Récit de Gabrieldutour
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Encore avec ma mère et visionnage de DVD.
Bonjour, après quelques temps d'absence, me voici de retour pour raconter les aventures pornographiques de ma mère Martine. Je tiens à préciser avant toute chose que cet épisode est assez malsain.
Comme vous le savez, ma mère, Martine a décidé de s'offrir à moi afin que je guérisse de mon obsession sur elle. Hélas, ce n'était pas la solution, cela n'a fait qu'empirer les choses et je ne pense qu'à la baiser tous les jours. Je ne la vois plus seulement comme une mère, mais aussi comme une salope aux atouts terriblement attirants. Depuis cet inceste, je suis devenu un pervers inimaginable, un drogué du sexe ne pensant qu'au cul tout le temps.
Je suis donc assis sur le canapé dans mon salon en train de réviser quelques cours. Je suis peu concentré, d'autant plus que le latin n'est pas forcément une matière intéressante. C'est alors que je vois ma mère étendre son le linge. Je décide d'aller la voir. Elle me voit et sourit aussitôt :
- Alors, Julien, tu révises ?
- Oui maman, et c'est pas très intéressant les déclinaisons latines.
- Je te comprends, j'en ai fait un peu mais je n'ai pas poursuivi.
- Oui, mais il me faut mes deux années tu sais ! ensuite je deviendrai prof !
- Aah oui ! Mais tu sais que tu as aussi des talents d'écrivain, n'est ce pas ?
Elle me fait un clin d’œil. Elle fait référence aux nombreuses histoires hard que j'ai écrites sur elle. Moi, j'ai essayé d'oublier cela car elle a eu de graves problèmes à cause de ces textes pornographiques.
La voilà qui étend un de ses soutien-gorge à armature. Autrefois elle avait honte, mais là, elle les exhibe dans le jardin de la maison cossue.
- Tu n'as pas honte d'exhiber tes dessous ?
- Julien, pourquoi voudrais-tu que j'ai honte ? Ce sont mes dessous et quel mal y a t-il à les exhiber ?
Elle accroche le gros soutien-gorge en dentelle. Comme le fil est assez haut, elle tend les bras et son chemisier blanc compresse ses seins. Elle a vraiment de gros seins. Je bande aussi sec à la vue de sa poitrine. Elle s'en rend compte mais ne dit rien. Elle sourit. Je me retiens de plaquer mes deux mains sur ses grosses loches et de les malaxer. C'est alors qu'elle se penche pour ramasser le linge de la corbeille en plastique. Là, j'ai le bonheur de voir les deux mamelles pendre lourdement, retenue par son soutien-gorge. Elle l'a fait exprès pour me provoquer.
- Alors mon chéri, tu regardes ma poitrine ? Tu n'en as jamais assez !
- Tes seins sont si gros, si beaux ! Je les peloterai pendant des heures !
- Julien, il va falloir te trouver une copine à nouveau ! Choisis en une qui a une poitrine comme la mienne !
- Ta poitrine est incomparable ! En plus, elle est naturelle et pas comme mes actrices de porno préférée.
- Oui je sais Julien, mais elles sont obligées tu sais !
- Tu aurais très bien pu te lancer dans le porno, maman !
Ma mère rougit .
- Julien, tu es gentil de me dire cela ! Je sais que tu es fier de moi mais je ne suis plus toute jeune hélas !
- Franchement, tu ne fais pas ton âge. Je te donnerai facilement dix ans de moins ! D'ailleurs, comment expliques tu tous les hommes qui te désirent sur le net !
Elle m'embrasse tendrement. Je bande toujours autant. Mais elle ne semble ne pas se rendre compte de la chance qu'elle a d'être aussi bien conservée. Je vais vous la décrire un peu. Ma mère est brune aux yeux marron. Ses cheveux coupés au carré sont toujours impeccables. Son visage, tous les jours maquillé, n'a presque aucune ride et il ressemble un peu à la présentatrice Evelyne T.. Elle porte un chemisier blanc, à manches longues et une robe bleu marine, fendue sur le côté et qui descend jusqu'à ses belles chevilles. Ce qui ressort d'elle aussi, ce sont ses deux énormes seins qu'elle n'hésite plus à mettre en valeur. Ils déforment souvent les tee-shirt moulants et autre chemisiers à cause de leur taille. Croyez-moi , elle a du mal à trouver les soutien-gorges appropriés. Elle ne met pas de bas car elle aime exhiber ses cuisses et ses mollets bien épilés. Ses fesses sont encore bien fermes. Elle a juste un peu d'embonpoint sur les hanches. C'est son seul défaut. Mais bon, elle a eu deux grossesses : ma sœur et moi. Dire que mon père ne pense qu'à travailler au lieu de la baiser. Mais ma mère semble se complaire de la chose. Heureux que je suis de profiter de ses charmes. Je l'aide à étendre le linge en espérant que cela me calmera mais non. Je tiens entre mes mains ses culottes, ses strings et surtout ses énormes soutien-gorges.
Nous rentrons enfin. Je regarde alors son cul, caché derrière la robe, ce cul si souvent sodomisé. Je repense à ce qu'il lui est arrivé et le pire c'est que j'en bande. A peine rentré, je lui prends la main et l'entraîne violemment à la cuisine.
- Julien, arrête, tu me fais mal, tu..
- Je lui descends sa robe et lui enlève ses chaussures.
- Julien, ça suffit ! tu es fou !
Je ne lui réponds pas et jette sa belle robe. La voilà en culotte blanche en dentelle.
- Julien, on avait dit que notre relation était finie.
- Tais-toi et montre moi tes gros seins !
Je déboutonne son chemisier comme un animal. Ma mère est trop surprise pour réagir. Le chemisier vole à son tour. La voilà en dessous. Je la regarde et surtout ses seins. Qu'ils sont gros, laiteux et aux auréoles brunes. Ils sont lourds et ressemblent à deux gros ballons moelleux. Je les malaxe à travers le fin tissu du soutien-gorge. Ils sont vraiment moelleux au toucher. Ma mère ne me repousse pas, résignée. N'en pouvant plus, je dégrafe brutalement le soutien-gorge. Les seins jaillissent presque tant ils étaient compressés. Ils retombent lourdement. J'adore les soupeser. Je les empoigne donc et teste leur poids. Ils me prennent largement la main et il y a de quoi faire.
- Voilà, je te dis que tu aurais été une superbe actrice porno adulée par les foules !
Ma mère aime être comparée à ces femmes magnifiques. Elle réagit positivement.
- Ooh, Julien, tu me fais rêver !
La , je ne me contrôle plus en parole et je lui sors des insanités.
- De toute façon, tu devrais être une pute ! vendre ton cul et tes seins !
- Julien, tu me crois une pute ?
- Oui, je sais que tu aimerais pratiquer ce métier !
Je commence à baisser sa culotte pour toucher sa chatte. Elle mouille. Visiblement, elle aime être insultée, être traitée de pute.
- Je te vois très bien faire le trottoir , comme dans mes histoires mais tu serais encore plus salope, largement !
A ces mots, ma mère a la respiration qui s'accélère. Je sens ses tétons durcir, elle gémit :
- Juliennnn, tu es un pervers, tu veux que ta mère soit une pute !
- Mais tu es une pute véritablement, maman ! une salope incroyablement bonne ! Avec tes gros seins, tu serais obligée de baiser 24 heures sur 24 tant tu aurais des clients.
Ma mère écarte les cuisses, m'invitant à la baiser. Mais moi, c'est son cul qui m'intéresse.
- Maman, tourne toi sur la table ! je veux te baiser comme une chienne !
- Oui, baise moi par le cul !
Elle est à poil et je la retourne comme une truie sur la table. Son anus est à moi. Cet anus déjà maintes fois visités. Ses gros seins sont aplatis sur la table et on l'impression qu'elle est à plat ventre sur des ballons. Je la saisis par les hanches et lui pénètre le cul. Ma queue est énorme mais pourtant d'autres l'ont bien plus écarté. Je m'en fiche de toute façon, seul mon plaisir m'intéresse. Si elle est pas contente, elle n'aura qu'a faire le trottoir. Je la pénètre et la lime. Son cul est magnifique. Elle sait y faire car elle a des mouvements de hanche qui accompagnent mes va et viens. Je la ramone, me retenant d'éjaculer. Ma mère se cambre bien pour que je la ramone au mieux. Je tiens 30 secondes sans gicler. Hélas, elle m'excite trop et j'éjacule dans le conduit culier, répandant mon foutre dans ses entrailles. Je gicle en gémissant, me vidant de tout mon plaisir. Ma mère sent le liquide chaud dans son cul et son ventre. Je voulais garder mon foutre pour sa bouche ou ses seins. Je me retire d'elle. Elle , elle se relève et je lis du bonheur dans son regard.
- Julien, tu es si pervers !
- Oui, maman, je suis pervers mais toi , tu l'es aussi car tu baises ton fils !
- Je crois ! mais j'ai aimé être traité de pute et de salope !
- J'aime te savoir pute ! Tu dois offrir tes charmes aux hommes !
- Non, je ne peux pas, je ne peux pas faire cela à ton père !
Ma mère a raison, papa serait outré et traumatisé s'il savait par ce qui se passe. Nous sommes dans la réalité, pas dans les histoires où tout est si facile. Ma mère reste longtemps nue dans la cuisine. J'aimerai tant que des inconnus surgissent et la viole ici même. Mais je chasse cette idée de ma tête. Ma mère est une femme de chair et d'os, pas un personnage sur un bout de papier. Je vais me reposer un peu. A mon réveil , maman est toujours nue et je la surprend en train de se masturber.
- Maman, tu es folle, habilles toi !
- Julien, tu ...tu m'as trop excité avec tes histoires de prostitutions !
- Les prostituées ne font pas ça pour leur plaisir tu sais !
- Arrête, maintenant, tu m'as mis cela en tête !
- Écoute, je vais te chercher des films pornographiques ! tu peux rester nue si tu le veux ! papa ne rentre pas le jeudi soir !
- Ouiiii ! va vite me chercher des films x, mon chéri !
Ma mère était en manque de sexe et je commence a regretter de lui avoir mis ces idées salaces dans la tête. Je file donc dans mon sex-shop favori et demande les dernières nouveautés. Le vendeur me demande :
- Vous cherchez quoi ?
- Ma mère fantasme sur les femmes qui se prostituent !
- Encore une ? eh bien, en ce moment c'est la mode ! J'ai quelques DVD qui traite de ce thème ! Là, ce sont des étudiantes qui font le trottoirs !
- Je vous en prend deux ! (cela, je les garde pour moi !)
- Là, vous avez la catégorie , femme au foyer salope !
- Oui, c'est cela mais j'aimerai que ma mère puisse s'identifier à l'actrice !
- Voilà, il y 'a que ça ! c'est un film très pervers avec une femme qui se prostitue pour payer de la drogue à son fils ! C'est très hard et malsain par contre et cela se termine très mal pour la mère ! Je vous préviens !
- Tant mieux, car elle verra que cela n'est pas aussi rose, la vie de prostituée !
- Ce sera tout ? Sinon, elle aime les gang bang ?
- Oui, mais elle doit pouvoir s'identifier à l'héroïne !
- Voilà, l'histoire d'une mère qui se fait baiser par les amis de son fils !
Je prends donc 4 DVD, je ne peux m'empêcher de prendre un film sur les femmes africaines perverses. La somme fait mal. Le vendeur essaie d'avoir des renseignements sur ma mère mais je ne veux pas trop lui donner des détails. On dirait qu'il aurait aimé lui rendre visite. Bref, je retourne en vitesse chez nous. Ma mère est à poil toujours allongée sur le canapé, ses deux gros seins à l'air. Elle s'est servi un verre de rhum qu'elle sirote.
- Voilà maman, deux DVD pour toi !
Nous regardons donc la première, celle du gang bang. Pas terrible, l'actrice fait trop jeune pour être la mère du fils. Pas crédible. Le second , en revanche est assez glauque. Ce n'est pas un film de cul ordinaire mais bien une descente aux enfers de cette mère qui a pitié de son fils et se prostitue pour lui. Les scènes de sexes sont crues et le final horrible. Car elle termine dans un snuff-movie, se fait torturer sexuellement et meurt de façon atroce. Choquant, le film. Ma mère est un peu moins excitées.
- Julien, ce film est dur !
- Oui, maman, je sais mais cela peut arriver, tu sais ! Cela pourrait t'arriver à toi !
- Julien , rien ne peut m'arriver, je suis ici ! avec toi ! Ce film est horrible ! Je refuse même d'y croire ! On ne peut torturer et tuer des gens pour son plaisir…
- Pourtant, lis les faits divers ! tu verras ! Il faut se méfier, c'est horrible !
Ce film m'a calmé car j'ai réellement fantasmé avec elle sur sa prostitution. Ce film casse tout. Ce n'est pas plus mal car j'avais peur que ma mère fasse des bêtises. Je la regarde maintenant. Elle est restée presque 6 heures à poil dans la maison. Cette idée me fait bander et à la vue de ses seins, je recommences à m'exciter. Je me rapproche d'elle et elle m'offre ses gros seins que je pétris aussitôt. Ma mère continue cependant à me parler de ce film.
- Julien, tu crois que la femme est morte en vraie ?
- Non, c'est une actrice ! ce n'est pas un film vrai !
- Tu crois qu'il pourrait m'arriver la même chose ?
- Écoute maman, je ne vois pas pourquoi tu penses à cette idée !
- Je ne sais pas ,mon chéri, mais j'ai eu un frisson dans tous le corps en voyant la fin ! Ces tortures, cette mort si épouvantable
- Je crois que c'est un film réaliste ! il fait réfléchir ! en plus, le fils se rend compte de sa terrible erreur ! La drogue , c'est terrifiant !
- Je sais, Julien, tu ne te drogues pas, j'espère ?
- Non, maman, occasionnellement mais sagement !
Je reprends ironiquement :
- Rassure toi, tu n'auras jamais à te prostituer pour moi !
- ...ni terminer à être torturer et mourir !
- Non , je te rassure !
Ma mère semble rassurée à l'idée de ne pas être à la place de cette pauvre femme. Je malaxe toujours ses gros seins, lui caressant les cuisses , le cul . Cette chair bien en vie qui procure du plaisir.
Ce genre de film m'a troublé et m'a redonné vigueur. Cette mort , ce gâchis m'a donné envie de baiser encore plus pour profiter de la vie. Ma mère se penche et me suce la queue comme jamais. Sa bouche est experte. Accroupie, elle lèche mon gland sorti. Elle va vite. Sa bouche avale mon membre. Ses joues sont déformés par l'extrémité de ma queue.
- Je veux gicler sur tes énormes seins !
- Vas y, mon chéri !
Je sors ma queue alors de sa bouche et la met entre ses deux seins gigantesques. Elle me branle alors. Ma queue faisant des va et vient entre les deux lourdes mamelles. Je finis par éjaculer sur ses gros seins. Le sperme est en quantité remarquable et dégouline sur ses nichons. Elle se met à quatre pattes et me demande de l'enculer. Je suis vidé mais je bande encore. Je fais ce qu'elle me demande en la ramonant de plus belle. Un peu de foutre jaillit de mon sexe et je finis par me retirer d'elle. Ma mère se lève alors, son cul au niveau de mon visage. Ses deux fesses magnifiques devant moi. Il y'a encore du sperme séché de ce matin. Elle se sert du rhum. Quelque chose lui prend la tête. Elle a baisé machinalement pas comme d'habitude. Elle ne prend même pas le soin d'essuyer le sperme sur ses gros seins et sur son cul. Elle boit une gorgée de son verre et se rallonge sur le canapé.
- Maman, y'a un truc qui va pas ?
- Julien, je dois te dire que je me suis senti à la place de cette pauvre femme ! J'ai beaucoup aimé cette dépravation mais cela m'a choqué aussi !
- Je n'aurai pas du acheter ce film ! Le vendeur m'avait prévenu que cela se terminait mal à la fin !
- Cela aurait pu être moi, tu sais !
- Écoute maman, la prostitution, ta prostitution est un fantasme ! Je ne vois pas pourquoi tu terminerais dans un snuff ! ce film est une mise en garde !
- Oui, mon chéri mais j'ai un mauvais pressentiment !
- Bon, écoute, demain, je vais ramener ce DVD au vendeur ! ce devrait être interdit à la vente, ce genre de film !
Je monte donc me coucher en laissant ma mère seule et nue sur le canapé. J'ai gâché ma soirée avec ce film. Ma mère semble être obsédée par celui-ci et de manière assez ambiguë. Je voulais lui faire plaisir en lui achetant ce film et voilà le résultat. Elle a peut être raison, finalement, je devrais me trouver une autre copine. L'ancienne m'a largué pour un autre et est parti en Corée. Mais bon, ce ne sera pas la première avec qui ça va pas.
A suivre…
Blog de récits érotiques imaginaires et fictifs sur les thèmes de la soumission et de l'humiliation.
mardi 26 novembre 2019
Train d'enfer - 1ère partie
Le début du voyage.
Nous revenions d’un week-end en amoureux. Pour le voyage nous avions choisi le train couchette, avec en arrière pensée l’idée de faire l’amour dans la cabine qui se composait de 6 couchettes, trois de chaque côté. J’avais insisté pour que ma femme porte une jupe courte qui lui arrivait à mi-cuisse. Dessous elle portait des bas noirs et des bottes en cuir, j’avais réussi à la convaincre de ne pas mettre de culotte afin de réaliser notre fantasme plus facilement.
Le soir, vers 20 heures, notre train arriva en gare de Nice, pour un dernier arrêt avant le terminus à Paris. Il y avait beaucoup d’agitation sur le quai. Elle se propagea petit à petit à l’ensemble du train. En effet nous étions sur le départ en permission d’une caserne de militaire. Ma femme s’était absentée pour aller au bar, chercher des boissons.
Tout d’un coup, j’entendis siffler et je remarquai quelques paroles plus fortes venant du couloir. Je compris qu’il devait se passer quelque chose et je sortis de mon compartiment pour mieux comprendre. J’aperçus ma femme qui avait bien du mal à passer au milieu de tous ces mâles. Je remarquai trois soldats d’une vingtaine d’années qui prenaient visiblement plaisir à la gêner et à admirer ses jambes. Le plus hardi se permit même d’avoir les mains baladeuses, il remarqua donc forcément l’absence de culotte.
Ma femme arriva enfin jusqu’à notre compartiment, toute rouge mais le regard pétillant. Elle me tendit ma boisson et rejoignit sa couchette. Elle était installée au milieu du côté droit de la cabine, ma couchette était en face et tout en haut, ce qui ne facilitait pas les choses pour la réalisation de notre fantasme. Dans notre compartiment pour le moment, les autres places étaient inoccupées, tant et si bien que si elles le restaient nous avions prévu de nous rapprocher.
Mais le destin en avait décidé autrement. Tout à coup, dans un brouhaha indescriptible, les trois militaires du couloir investirent notre cabine. J’eus tout à coup l’impression que le ciel me tombait sur la tête. Je n’étais pas au bout de mes surprises. En effet un quatrième larron se présenta dans notre cabine, un sergent, la cinquantaine, affichant un certain embonpoint. Il portait une casquette et ses cheveux poivre et sel dépassaient sur les côtés. Son visage bouffi et ridé était barré par une moustache épaisse et grisonnante. Les prunelles de ses deux petits yeux bleus brillaient. Il était vêtu d'un pantalon de treillis, d’un tee-shirt douteux un peu court qui laissait apparaître un abdomen proéminent et velu. Ses épaules étaient larges et il avait un cou de taureau. Ses bras ballants étaient décorés par d’anciens tatouages qui avaient mal vieillis, ses mains ressemblaient à des battoirs.
Alors que tous le monde préparait sa couchette, un des militaires profita de l’étroitesse du compartiment pour se frotter contre les fesses de ma femme. Elle fit comme si de rien n’était.
Le vieux sergent rondouillard s’aperçut du manège et regarda ma femme de haut en bas avec un sourire lubrique. Je m’étonnai qu’il puisse imaginer quoi que ce soit au vu de son physique, mais les événements à venir allaient pourtant lui donner raison.
Un peu plus tard tout le monde était couché. D’où j’étais, je voyais très bien ma femme. Elle était en sandwich, un militaire au-dessus et un en-dessous. Moi-même, j’avais un militaire au-dessus et le sergent pas très clean en dessous.
Ma femme était toujours habillée de la même façon, elle avait juste enlevé ses bottes et s’était allongé sur ses draps. Il faisait très chaud dans ce train. Tout à coup un fantasme me vint à l’esprit, un fantasme de ma femme dont le début aurait pu ressembler étrangement à ce qui nous arrivait. Ma femme y avait-elle pensé ?
À priori non, car elle semblait dormir. Mais était-elle réellement assoupie ? Moi-même je simulai le sommeil. Nos amis les militaires eux ne dormaient pas. Nous croyant peut-être endormis, ils commencèrent rapidement à faire des commentaires salaces et dirent que ma femme avait l’air chaude au vu de sa tenue, que cela tombait bien car ils n’avaient jamais croisé de nymphomane et qu’ils avaient plein de choses à expérimenter que leurs femmes ne pratiquaient pas. L’un d’entre eux alla fermer les rideaux du compartiment et éteignit la lumière, mais les veilleuses m’éclairaient suffisamment la scène.
Après quelques minutes dans la pénombre, ils décidèrent qu’il fallait vérifier l’absence de culotte de ma femme. En conséquence, celui qui était couché au-dessus de sa couchette essaya de lui remonter légèrement sa jupe pendant son sommeil. Je restai interdit. En effet que dire, c’était tellement excitant. Je décidai que quoi qu’il arrive, c’était à ma femme de décider.
En l’occurrence elle ne réagissait pas, il faut avouer qu’elle a le sommeil lourd. Les deux militaires dont les couchettes étaient en haut se rinçaient l’œil. On commença à voir le haut de ses bas et sa peau claire qui apparaissait maintenant. Ils allaient donc voir qu’elle ne portait pas de culotte. Qu'en penseraient-ils ? Qu’elle était une fille facile voire une grosse salope ? La jupe fut désormais remontée sur le haut de ses cuisses, qui étaient légèrement écartées ? on voyait son pubis avec une petite touffe de poils bien taillé comme j’aime, et juste en dessous ses lèvres charnues, bien rasées, bien dessinées et déjà gonflées. Dormait-elle vraiment ? Apparemment l’absence de culotte encouragea les militaires. Ils se dirent que décidément ils avaient affaire à une nymphomane.
Je regardai les trois militaires qui commençaient à ouvrir leurs braguettes pour se masturber. Celui qui menait les opérations, prenant un peu d’assurance, commença à lui caresser les cuisses puis la chatte. Tout en dormant ma femme étouffa des petits cris qui n’allaient pas tarder à exciter tous les hommes du compartiment. Sous les caresses, inconsciemment elle écarta davantage les jambes. Je pus voir que ça chatte luisait de mouille. L’homme qui la caressait dit alors à haute voix que sa chatte était trempée.
Soudain elle fit mine de se réveiller. Elle voulait sûrement mettre un terme à l’expérience et elle s’agita. Deux des militaires l’attrapèrent pour la maintenir et le troisième lui mit la main sur la bouche pour l’empêcher de crier. Elle était prise à son propre piège. Ils lui expliquèrent qu’ils ne lui voulaient aucun mal bien au contraire.
Cela faisait deux mois qu’ils n’avaient pas eu de permission et qu’ils n’avaient pas baisé de fille. Elle dut comprendre que, soit je dormais, mais c’était peu probable, soit j’appréciais qu’elle se fasse tripoter par plusieurs mecs en même temps. Elle devint donc beaucoup plus coopérative avec nos trois soldats.
L’un deux lui enleva son petit haut et fit apparaître sa poitrine généreuse, ses tétons étaient insolemment dressés. Il se mit à lui embrasser fougueusement les seins qu’il finit par libérer de leur écrin. Un autre fourra sa tête entre ses cuisses et lui titilla le clitoris en passant sa langue dans sa chatte qui était maintenant trempée de mouille et de salive.
Le troisième monta sur sa couchette et, après avoir enlevé son pantalon et son slip, se plaça face à elle et mit son sexe contre sa bouche. Elle l’engloutit et ,après l’avoir léché longuement, se mit à le sucer activement. Le militaire l’attrapa alors par les cheveux et la força à l’avaler presque entièrement. Elle faillit s’étrangler mais se laissa faire docilement. Elle sentait un visage entre ses cuisses et une langue qui s’introduisait dans son vagin. Sous la langue du premier, sa poitrine se durcit et sous celle du second sa chatte mouilla. Les cuisses écartées et maintenues, elle se retrouva entourée par trois militaires mal dégrossis dont deux avaient commencé à la travailler.
Cette langue et ce sexe qui envahissaient sa bouche et son vagin, l’excitèrent au plus haut point. Ses mains saisirent le sexe du troisième militaire, et elle le masturba frénétiquement. La situation la plaçait comme une poupée de chair manipulée, le comportement de ses amants ne cherchant qu’à la posséder.
Réalisant la cochonne qu'ils avaient sous la main, ils la mirent à quatre pattes sur la couchette, lui enlevèrent sa jupe et son soutien-gorge. Il ne lui resta plus que ses bas. Puis ils la prirent en levrette les uns après les autres, alternant les va et vient rapides et lents, sortant pour la pénétrer de plus belle, alternant de temps en temps avec sa bouche tant et si bien qu’elle avait toujours deux bites en elle.
Mais comme la couchette était un peu petite pour quatre personnes dont trois hommes, en conséquences ils l’attrapèrent et la portèrent pour la mettre à quatre pattes au milieu du compartiment.
Comme une chienne docile, les fesses relevées, elle avait la tête entre les bras et ne bougeait pas. Elle attendait, le cul bien relevé, la chatte luisante de mouille. Immédiatement l’un d’eux l’enfourcha et s’enfonça d’un coup dans sa belle fente. A la pénétration, ma femme ne fit que crisper les mains. Puis l'homme commença une série de va-et-vient très rapides, rythmés par les halètements de ma femme.
C’est à ce moment que le sergent choisit de se manifester. Je l’avais oublié, car il était sous ma couchette. Il se leva. Il avait déjà ôté son pantalon et son slip. Son sexe était impressionnant, très épais et noueux, ses couilles étaient également impressionnantes. Il se dirigea vers ma femme et lui releva la tête en la saisissant par les cheveux. Qu’allait être sa réaction face à cet homme de Cro-Magnon ? Elle eut effectivement un léger recul, mais n’hésita qu’une petite seconde et pris le sexe en bouche en fixant son propriétaire dans les yeux sur un air de défi. Mal lui en prit, car il lui tira plus fort sur les cheveux pour lui faire avaler son sexe jusqu'à la garde, puis il fit de violents aller-retours comme s’il était dans un vagin. Il dit alors :
- Qu’elle est bonne les gars ! Regardez ses seins qui pendouillent ! Écarte ta chatte petite chienne !
Il attrapa fermement ses fesses et pris soin de les écarter. Je vis donc clairement la queue d’un des militaires rentrer et sortir du con de ma femme. Ils échangèrent leur place et le sergent présenta son énorme engin contre le sexe de ma femme. Il le fit coulisser avec vigueur. Pendant ce temps, celui qui venait de la pilonner présenta son sexe tout gluant à ma femme qui le suça à son tour du mieux qu’elle le pouvait malgré les coups de boutoir du sergent. Ils échangèrent tous les quatre de place à tour de rôle. Le sergent, peu avare de commentaires salaces, dit alors :
- On va la faire exploser cette petite !
A suivre...
Nous revenions d’un week-end en amoureux. Pour le voyage nous avions choisi le train couchette, avec en arrière pensée l’idée de faire l’amour dans la cabine qui se composait de 6 couchettes, trois de chaque côté. J’avais insisté pour que ma femme porte une jupe courte qui lui arrivait à mi-cuisse. Dessous elle portait des bas noirs et des bottes en cuir, j’avais réussi à la convaincre de ne pas mettre de culotte afin de réaliser notre fantasme plus facilement.
Le soir, vers 20 heures, notre train arriva en gare de Nice, pour un dernier arrêt avant le terminus à Paris. Il y avait beaucoup d’agitation sur le quai. Elle se propagea petit à petit à l’ensemble du train. En effet nous étions sur le départ en permission d’une caserne de militaire. Ma femme s’était absentée pour aller au bar, chercher des boissons.
Tout d’un coup, j’entendis siffler et je remarquai quelques paroles plus fortes venant du couloir. Je compris qu’il devait se passer quelque chose et je sortis de mon compartiment pour mieux comprendre. J’aperçus ma femme qui avait bien du mal à passer au milieu de tous ces mâles. Je remarquai trois soldats d’une vingtaine d’années qui prenaient visiblement plaisir à la gêner et à admirer ses jambes. Le plus hardi se permit même d’avoir les mains baladeuses, il remarqua donc forcément l’absence de culotte.
Ma femme arriva enfin jusqu’à notre compartiment, toute rouge mais le regard pétillant. Elle me tendit ma boisson et rejoignit sa couchette. Elle était installée au milieu du côté droit de la cabine, ma couchette était en face et tout en haut, ce qui ne facilitait pas les choses pour la réalisation de notre fantasme. Dans notre compartiment pour le moment, les autres places étaient inoccupées, tant et si bien que si elles le restaient nous avions prévu de nous rapprocher.
Mais le destin en avait décidé autrement. Tout à coup, dans un brouhaha indescriptible, les trois militaires du couloir investirent notre cabine. J’eus tout à coup l’impression que le ciel me tombait sur la tête. Je n’étais pas au bout de mes surprises. En effet un quatrième larron se présenta dans notre cabine, un sergent, la cinquantaine, affichant un certain embonpoint. Il portait une casquette et ses cheveux poivre et sel dépassaient sur les côtés. Son visage bouffi et ridé était barré par une moustache épaisse et grisonnante. Les prunelles de ses deux petits yeux bleus brillaient. Il était vêtu d'un pantalon de treillis, d’un tee-shirt douteux un peu court qui laissait apparaître un abdomen proéminent et velu. Ses épaules étaient larges et il avait un cou de taureau. Ses bras ballants étaient décorés par d’anciens tatouages qui avaient mal vieillis, ses mains ressemblaient à des battoirs.
Alors que tous le monde préparait sa couchette, un des militaires profita de l’étroitesse du compartiment pour se frotter contre les fesses de ma femme. Elle fit comme si de rien n’était.
Le vieux sergent rondouillard s’aperçut du manège et regarda ma femme de haut en bas avec un sourire lubrique. Je m’étonnai qu’il puisse imaginer quoi que ce soit au vu de son physique, mais les événements à venir allaient pourtant lui donner raison.
Un peu plus tard tout le monde était couché. D’où j’étais, je voyais très bien ma femme. Elle était en sandwich, un militaire au-dessus et un en-dessous. Moi-même, j’avais un militaire au-dessus et le sergent pas très clean en dessous.
Ma femme était toujours habillée de la même façon, elle avait juste enlevé ses bottes et s’était allongé sur ses draps. Il faisait très chaud dans ce train. Tout à coup un fantasme me vint à l’esprit, un fantasme de ma femme dont le début aurait pu ressembler étrangement à ce qui nous arrivait. Ma femme y avait-elle pensé ?
À priori non, car elle semblait dormir. Mais était-elle réellement assoupie ? Moi-même je simulai le sommeil. Nos amis les militaires eux ne dormaient pas. Nous croyant peut-être endormis, ils commencèrent rapidement à faire des commentaires salaces et dirent que ma femme avait l’air chaude au vu de sa tenue, que cela tombait bien car ils n’avaient jamais croisé de nymphomane et qu’ils avaient plein de choses à expérimenter que leurs femmes ne pratiquaient pas. L’un d’entre eux alla fermer les rideaux du compartiment et éteignit la lumière, mais les veilleuses m’éclairaient suffisamment la scène.
Après quelques minutes dans la pénombre, ils décidèrent qu’il fallait vérifier l’absence de culotte de ma femme. En conséquence, celui qui était couché au-dessus de sa couchette essaya de lui remonter légèrement sa jupe pendant son sommeil. Je restai interdit. En effet que dire, c’était tellement excitant. Je décidai que quoi qu’il arrive, c’était à ma femme de décider.
En l’occurrence elle ne réagissait pas, il faut avouer qu’elle a le sommeil lourd. Les deux militaires dont les couchettes étaient en haut se rinçaient l’œil. On commença à voir le haut de ses bas et sa peau claire qui apparaissait maintenant. Ils allaient donc voir qu’elle ne portait pas de culotte. Qu'en penseraient-ils ? Qu’elle était une fille facile voire une grosse salope ? La jupe fut désormais remontée sur le haut de ses cuisses, qui étaient légèrement écartées ? on voyait son pubis avec une petite touffe de poils bien taillé comme j’aime, et juste en dessous ses lèvres charnues, bien rasées, bien dessinées et déjà gonflées. Dormait-elle vraiment ? Apparemment l’absence de culotte encouragea les militaires. Ils se dirent que décidément ils avaient affaire à une nymphomane.
Je regardai les trois militaires qui commençaient à ouvrir leurs braguettes pour se masturber. Celui qui menait les opérations, prenant un peu d’assurance, commença à lui caresser les cuisses puis la chatte. Tout en dormant ma femme étouffa des petits cris qui n’allaient pas tarder à exciter tous les hommes du compartiment. Sous les caresses, inconsciemment elle écarta davantage les jambes. Je pus voir que ça chatte luisait de mouille. L’homme qui la caressait dit alors à haute voix que sa chatte était trempée.
Soudain elle fit mine de se réveiller. Elle voulait sûrement mettre un terme à l’expérience et elle s’agita. Deux des militaires l’attrapèrent pour la maintenir et le troisième lui mit la main sur la bouche pour l’empêcher de crier. Elle était prise à son propre piège. Ils lui expliquèrent qu’ils ne lui voulaient aucun mal bien au contraire.
Cela faisait deux mois qu’ils n’avaient pas eu de permission et qu’ils n’avaient pas baisé de fille. Elle dut comprendre que, soit je dormais, mais c’était peu probable, soit j’appréciais qu’elle se fasse tripoter par plusieurs mecs en même temps. Elle devint donc beaucoup plus coopérative avec nos trois soldats.
L’un deux lui enleva son petit haut et fit apparaître sa poitrine généreuse, ses tétons étaient insolemment dressés. Il se mit à lui embrasser fougueusement les seins qu’il finit par libérer de leur écrin. Un autre fourra sa tête entre ses cuisses et lui titilla le clitoris en passant sa langue dans sa chatte qui était maintenant trempée de mouille et de salive.
Le troisième monta sur sa couchette et, après avoir enlevé son pantalon et son slip, se plaça face à elle et mit son sexe contre sa bouche. Elle l’engloutit et ,après l’avoir léché longuement, se mit à le sucer activement. Le militaire l’attrapa alors par les cheveux et la força à l’avaler presque entièrement. Elle faillit s’étrangler mais se laissa faire docilement. Elle sentait un visage entre ses cuisses et une langue qui s’introduisait dans son vagin. Sous la langue du premier, sa poitrine se durcit et sous celle du second sa chatte mouilla. Les cuisses écartées et maintenues, elle se retrouva entourée par trois militaires mal dégrossis dont deux avaient commencé à la travailler.
Cette langue et ce sexe qui envahissaient sa bouche et son vagin, l’excitèrent au plus haut point. Ses mains saisirent le sexe du troisième militaire, et elle le masturba frénétiquement. La situation la plaçait comme une poupée de chair manipulée, le comportement de ses amants ne cherchant qu’à la posséder.
Réalisant la cochonne qu'ils avaient sous la main, ils la mirent à quatre pattes sur la couchette, lui enlevèrent sa jupe et son soutien-gorge. Il ne lui resta plus que ses bas. Puis ils la prirent en levrette les uns après les autres, alternant les va et vient rapides et lents, sortant pour la pénétrer de plus belle, alternant de temps en temps avec sa bouche tant et si bien qu’elle avait toujours deux bites en elle.
Mais comme la couchette était un peu petite pour quatre personnes dont trois hommes, en conséquences ils l’attrapèrent et la portèrent pour la mettre à quatre pattes au milieu du compartiment.
Comme une chienne docile, les fesses relevées, elle avait la tête entre les bras et ne bougeait pas. Elle attendait, le cul bien relevé, la chatte luisante de mouille. Immédiatement l’un d’eux l’enfourcha et s’enfonça d’un coup dans sa belle fente. A la pénétration, ma femme ne fit que crisper les mains. Puis l'homme commença une série de va-et-vient très rapides, rythmés par les halètements de ma femme.
C’est à ce moment que le sergent choisit de se manifester. Je l’avais oublié, car il était sous ma couchette. Il se leva. Il avait déjà ôté son pantalon et son slip. Son sexe était impressionnant, très épais et noueux, ses couilles étaient également impressionnantes. Il se dirigea vers ma femme et lui releva la tête en la saisissant par les cheveux. Qu’allait être sa réaction face à cet homme de Cro-Magnon ? Elle eut effectivement un léger recul, mais n’hésita qu’une petite seconde et pris le sexe en bouche en fixant son propriétaire dans les yeux sur un air de défi. Mal lui en prit, car il lui tira plus fort sur les cheveux pour lui faire avaler son sexe jusqu'à la garde, puis il fit de violents aller-retours comme s’il était dans un vagin. Il dit alors :
- Qu’elle est bonne les gars ! Regardez ses seins qui pendouillent ! Écarte ta chatte petite chienne !
Il attrapa fermement ses fesses et pris soin de les écarter. Je vis donc clairement la queue d’un des militaires rentrer et sortir du con de ma femme. Ils échangèrent leur place et le sergent présenta son énorme engin contre le sexe de ma femme. Il le fit coulisser avec vigueur. Pendant ce temps, celui qui venait de la pilonner présenta son sexe tout gluant à ma femme qui le suça à son tour du mieux qu’elle le pouvait malgré les coups de boutoir du sergent. Ils échangèrent tous les quatre de place à tour de rôle. Le sergent, peu avare de commentaires salaces, dit alors :
- On va la faire exploser cette petite !
A suivre...
dimanche 17 novembre 2019
La déchéance de ma mère Ch. 01
La déchéance de ma mère - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte
Une mère de famille devient une esclave sexuelle.Salut à tous, Je m'appelle Guillaume, j'ai 19 ans. Ma mère, Sylviane, est une belle femme de 49 ans. Blonde, un visage fin, des yeux verts. Une allure d'aristocrate. Une bourgeoise distinguée et raffinée. Pas très grande mais elle met souvent des chaussures à talons ce qui la grandit. Elle est très féminine, toujours en jupe très sexy. Comme aujourd'hui ou elle portait une jupe courte sur des bas clairs. Je savais que c'était des bas parce que ce matin, je l'ai surprise par l'entrebâillement de la porte de sa chambre en train d'enfiler ses bas, un pied posé sur son lit, remontant lentement le nylon sur ses cuisses fuselées. J'espionne souvent ma mère et parfois je la surprends en train de s'habiller. Je sais qu'elle est très amatrice de lingerie fine. Quand elle s'absente, je vais parfois fouiller dans son tiroir ou est rangé sa lingerie. Touchant ses bas, ses guêpières et ses porte-jarretelles...Un jour je me suis masturbé dans un de ses strings. Mon père, Charles, est rarement la. Il se déplace souvent à l'étranger pour son travail. Sylviane ne travaille pas, les revenus de mon père nous permettent d'avoir un bon train de vie. Nous habitons dans un immeuble très bourgeois dans une ville huppée de la région parisienne.
Nous revenions d'une visite chez ma tante pour son anniversaire ou j'avais retrouvé ma sœur, Charlotte. Elle venait de se marier récemment et ça m'avait fait plaisir de la revoir.
- Je t'avais dit de tourner à droite, maman...
- Mais le GPS a dit tout droit!
- Y doit être détraqué, je ne sais pas moi...
Nous tournions en rond depuis une bonne vingtaine de minutes, la nuit était tombée et je n'arrivais plus du tout à me repérer. Maman conduisait notre Mercedes et je ne sais trop comment nous nous étions complètement perdus.
Nous nous retrouvons soudain dans un quartier entourés de barres d'immeubles dans un état de délabrement avancé. Je m'inquiète un peu de l'environnement et le fait remarquer à Sylviane.
- Nous devons être dans la cité. Tu as raisons, nous ne devrions pas nous attarder ici...
La cité, c'est la cité tristement célèbre pour ses émeutes à répétitions qui se trouve à quelques kilomètres de la ville collet monté ou nous résidons.
Nous apercevons un groupe de 6 jeunes qui discutent bruyamment au pied d'un immeuble. Ma mère ralentit la Mercedes devant eux.
- Je vais leur demander notre chemin...
Elle appuie sur le bouton commandant l'ouverture de sa vitre électrique.
- Excusez moi messieurs, nous sommes perdus, pouvez vous m'indiquer la direction de ...
Les jeunes se rapprochent sifflant en découvrant la Mercedes. Faisant le tour du véhicule en faisant des commentaires sur cette bagnole de riches. Un des jeunes, un grand balèze, capuche sur la tête, se penche par la portière. Il me jette un œil puis lorgne les cuisses de maman dévoilées par la jupe courte. Il regarde le tableau de bord en noyer et les fauteuils en cuir et sourit à ma mère.
- Bien sur madame, mais ça va pas être facile de vous expliquer, ce n'est pas simple pour sortir de la cité si on ne connaît pas. Venez, je vais vous montrer.
Je ne suis pas du tout rassuré que ma mère sorte de la voiture mais elle s'exécute, ouvrant la portière. Elle dévoile généreusement ses cuisses aux regards des 6 jeunes en sortant. Instantanément, Sylviane se retrouve entourée par le groupe. Elle me jette un regard apeuré et je sors de la Mercedes. Maman est coincée par les jeunes. Ils la poussent la dirigeant vers un bâtiment!
- Viens par là , ma belle!
On l'agrippe par le bras et elle pousse un cri. Je vois des mains qui s'égarent sous sa jupe! Je veux intervenir et sauver maman mais je suis vite neutralisé par deux types qui me maintiennent solidement. J'entends ma mère protester.
- Mais! ça suffit enfin... Arrêtez...
On nous pousse vers un escalier qui descend visiblement dans les caves de la cité. Je pense aussitôt aux tournantes dont on a entendu parler. Je suis paniqué et maman aussi, je l'entends m'appeler au secours. Je tente de me débattre mais je reçois un coup de poing qui me met ko.
On force maman à descendre les escaliers, elle trébuche sur ses talons aiguilles.
Nous nous retrouvons dans un couloir et on nous entraîne vers un local assez grand ou se trouve un canapé dans un piteux état et quelques fauteuils. Je suis assis sur un des fauteuils et solidement attaché avec une corde. On me bâillonne avec une serviette roulée en boule. Maman se débat dans les bras de ses tourmenteurs qui lui soulèvent la jupe découvrant les bas et le string. On déchire le haut moulant qu'elle portait découvrant les seins emprisonnés dans un soutien-gorge en dentelle dont on s'empresse de baisser les balconnets exhibant les seins de ma mère qui sont aussitôt malaxés et sucés par des bouches avides. Maman gémit et donne des coups de pieds; Je suis horrifié d'assister impuissant au viol de ma mère. On écarte le string et on lui enfonce des doigts dans sa fente. On la branle sans ménagements. Sylviane se débat, tente d'échapper à l'infamante pénétration. On lui écarte les jambes au maximum exhibant sa fente. Un des jeunes, celui qui semble être le chef, lui enfonce un doigt et le secoue énergiquement. Il en enfonce un second, puis un troisième. Derrière elle, un autre jeune claque les fesses de ma mère et lui introduit un doigt dans son anus ce qui fait hurler ma pauvre maman. On lui malaxe les seins, tirant sur les pointes. Celui qui la doigte se penche et lui suce le clitoris. Maman pousse un gémissement et le jeune ricane :
- Elle mouille cette salope!
Elle se retrouve à genoux devant les 6 jeunes. Le jeune avec la capuche sort sa queue et s'approche de Sylviane.
- Suce-moi, sale pute!
Maman détourne la tête et proteste.
On la tire par les cheveux et le jeune force ses lèvres engouffrant sa bite dans la bouche de maman. Ses joues sont déformées par l'épaisseur de la bite. Le jeune donne des coups de reins et fait des vas et viens dans sa bouche manquant de l'étouffer. Des larmes lui monte aux yeux mais elle s'exécute, suçant la bite avec des bruits écœurants. Plusieurs jeunes ont sortis leurs téléphones portables et ils font des photos et même des films! On fait des photos de ma mère en gros plan avec une bite dans la bouche. Le jeune s'active et dirige ma mère en la tenant par les cheveux et lui donnant des instructions.
- T'es pas douée connasse, t'as jamais sucé ou quoi? Sors ta langue! Suce le gland! Reprends-moi en bouche!
Sylviane pompe la bite aussi vite qu'elle le peut. Finalement, il éjacula libérant un torrent de sperme. Maman voulut recracher son foutre mais il lui ordonna de tout avaler « comme le font les bonnes chiennes ». Maman ne put obéir à cet ordre, cela choquait trop sa morale bourgeoise. Elle recracha le sperme qui s'écoula sur son menton.
Les autres se précipitent et de nouveau, ma mère doit sucer des bites. On ne lui laisse aucun répit! Sa bouche est envahie à tout moment. A peine si elle peut respirer. Ceux qu'elle ne peut sucer, se branle au dessus d'elle et jouisse sur son visage. Elle est recouverte de sperme. Elle en a dans les cheveux, sur son menton, ses seins. Certains veulent se branler entres ses seins et elle doit rapprocher ses mamelles et les masturber. Les yeux fous je regarde ma maman être traitée comme la dernière des putes. Elle, la bourgeoise distinguée, bonne épouse et bonne mère de famille. Et en observant la déchéance de ma mère, je bande comme un fou....
- On va l'enculer!
Un grand black agrippe ma mère et la met à quatre pattes. Maman pousse un cri désespéré :
- Oh non, je vous en prie, pas ça....
Le black lui claque ses fesses dodues.
- On va te baiser d'abord!
Il a sortie sa queue qui est d'un diamètre imposant. Il agrippe les hanches de Sylviane et pénétre sa chatte. Il donne des coups de reins violents faisant tressauter le corps de maman qui halète. Ses seins ballottent dans tous les sens. Le grand black la bourre violemment. Les yeux exorbités, décoiffée, en sueur, maman subie les assauts du black en se mordant les lèvres. Une bite se présente et elle l'avale sans rechigner. Le black accélère ses coups de reins et il éjacule sur le dos de maman en poussant un grognement.
Un autre le remplace aussitôt. Celui qu'elle suçait lui gicle dans la bouche et se retire. Deux autres arrivent et la force à prendre leurs deux bites dans sa bouche. Elle pousse des grognements étouffés. Sa bouche est ouverte au maximum, la mâchoire complètement déformés par les deux bites.
Le type à la capuche, le chef, se présente derrière Sylviane et lui introduit son index dans l'anus « pour la préparer ». Maman pousse un petit cri. Il fait tourner son index puis rajoute son majeur faisant coulisser les deux doigts dans le trou du cul de maman. Il se masturbe un peu et pointe son gland sur l'ouverture des reins. Il pousse et maman supplie une dernière fois. Sans pitié, le chef agrippe les hanches de ma mère et dans un violent coup de reins s'engouffre dans le cul de Sylviane qui pousse un hurlement étouffé par les bites qu'elle pompe.
Les commentaires vont bon train.
- Regarde ta maman, elle se fait enculer!
- Elle aime ça la salope.
Le chef va d'abord doucement puis de plus en plus vite. Sa bite coulisse de mieux en mieux dans l'étroit canal. Il l'encule sauvagement et ma mère pousse des râles.
Maman n'est plus qu'un objet sexuel. On l'encule à tour de rôle. Elle poussera un hurlement déchirant qui me fera frissonner quand le grand black lui déchirera l'anus à grand coups de pines. Cela dure des heures, elle est baisée comme une chienne. Je ne la reconnais plus. ; Elle est recouverte de sperme. L'humiliation suprême aura lieu quand le chef s'apercevant que j'avais une érection impressionnante obligea ma mère à venir me sucer. Celle-ci lutta, protesta, pleurnicha mais rien n'y fit. Toujours attaché, je me débats également mais il arrive à dégager ma queue, dur comme l'acier, tendue à faire mal. On appui inexorablement sur la tête de ma mère et elle se retrouve avec ma bite posé sur ses lèvres. Un dernier bastion de morale l'empêche d'obéir et elle garde obstinément la bouche fermée. On lui tanne le cul avec une ceinture et elle pousse un cri ouvrant la bouche. Aussitôt, on la force a gobé ma bite. Sous les cris de nos tourmenteurs, elle me suce avec application. Me pompant le gland, salivant sur ma bite. Sa langue me titille le gland. Elle me masturbe de ses doigts manucurés. On la filme en train de me sucer. Je ne résiste pas longtemps et j'éjacule dans sa bouche...
Les 6 jeunes nous ont libérés et nous avons pu rentrer chez nous. Maman n'étant pas en état de conduire je ramène la Mercedes. Inquiet tout de même. Le chef du gang nous a menacés de mettre les films et les photos sur Internet si on portait plainte. Ce serait trop humiliant...Et surtout, ils ont fouillés dans le sac à main de maman et découvert ses papiers. Maintenant ils connaissent notre nom et notre adresse.
Ils nous ont promis de passer nous voir...
A suivre...
Brian est en Irak Ch. 04
Brian est en Irak - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte
Nouvelle séance de pose suivie d'un gang bang record.Lorsque nous sortîmes, il m'entrava à nouveau les poignets et nous sommes retournés dans la voiture.
Il était à peine 15 heures.
Je grognais en voyant ou nous allions.
Tom se gara dans le parking juste devant le club photo.
Je ne parvenais pas à cacher mon angoisse.
Je le suppliais de ne pas me faire revivre cette épreuve.
Il sourit et me dit :
-"Désolé ma chérie, j'ai eu une foule de demandes pour que tu reviennes et c'est de l'argent facilement gagné! ...."
Ils me tirèrent hors de la voiture et nous sommes retournés au club.
Le colosse noir qui gérait les lieux sourit en nous voyant.
Il vint nous rejoindre et nous entraîna tout de suite dans le vestiaire.
Il me toisa du regard et me dit :
-"Personnellement j'adore la façon dont tu es vêtue aujourd'hui! .... Mais tes clients veulent que tu les excites à mort! ..... Ils veulent tirer quelques clichés de ta petite culotte avant de passer aux choses sérieuses."
Il me sortit quelques tenues de ville tout à fait ordinaires, il me tendit des vêtements que j'aurai choisi pour m'habiller d'acheter si j'en avais eu l'opportunité.
Tom m'enleva les menottes et tandis que je me changeais, il se mit à discuter avec le gérant en se promenant de ci de là, dans la pièce. Je savais qu'ils discutaient de moi, ils planifiaient ma prestation.
Je ne voulais pas y penser.
Je me tenais devant Rory et Steve vêtue d'un chemisier et d'une jupe ordinaires, en dessous j'avais des sous-vêtements tout à fait traditionnels.
Tom revint vers moi et me sourit démoniaque ment quand il me vit ainsi vêtue, il me rappela :
-"Tu connais la routine... Tu te mêles à tes clients et tu te montres gentille avec eux! ..... Puis tu viens dans la pièce des prises de vue, tu prends les poses qu'ils demandent et tu enlèves un vêtement à chaque tintement de la cloche..... Si tu me déçois, il y a une salle réservée au sado-masochisme et l'on pourrait très bien y poursuivre notre petite fête! ..... Mais je ne pense pas que veuilles me décevoir, n'est-ce pas ma chérie? ....."
Je secouais négativement la tête me résignant à jouer une nouvelle fois les prostituées pour leur grand plaisir.
Tom sourit et me félicité :
-"T'es vraiment une bonne fille ma petite salope... " puis il me prit par le bras et me poussa dans la salle principale où je me mêlais aux consommateurs.
Dès que je pénétrais dans la grande pièce, les consommateurs se regroupèrent autour de moi.
Les plus audacieux tendirent tout de suite la main pour palper mes charmes au travers de mes vêtements.
Une paire d'entre eux me malaxèrent la croupe alors qu'un troisième posait son bras sur mes épaules laissant pende sa main sur mes nibards.
Ils me posaient les mêmes questions qu'hier.
Je leur dis mon prénom et mon âge et pourquoi une jeune mariée se résignait à exercer ce genre de boulot.
Tom était là pour rectifier mes dires, et ils réalisèrent bientôt que j'étais là contre mon gré ils semblèrent s'en réjouir comme tout comme le groupe de la veille.
Je suppose que c'était bien plus amusant pour eux de dégrader une jeune femme mariée plutôt que de s'amuser avec une prostituée payée pour satisfaire leurs caprices.
Il semblait y avoir plus de participants cette fois, je jetais un coup d'œil circulaire tentant d'en faire le compte.
Mais ils bougeaient tout le temps et je ne voyais pas ceux qui se tenaient dans mon dos, mais il me semble qu'ils étaient au moins une vingtaine de mateurs.
C'était le même genre d'assistance cependant La plupart blancs d'âges murs, avec quelques jeunes et quelques vieux et cette fois il y avait aussi deux noirs.
Le gérant décida qu'il y avait assez de monde et il nous emmena dans le studio.
C'était la même pièce que la veille.
Je vis Rory se placer à nouveau contre le mur pour filmer la séance.
Tom et Steve s'assirent dans l'arrière plan un sourire réjoui aux lèvres.
Bien que je ne sois pas habillée en écolière cette fois, on garda le décor de la salle de classe.
Je m'installais sur la petite scène au centre du studio et je commençais à poser à selon leurs demandes.
Presque immédiatement je dus retrousser ma jupe et écarter en grand les cuisses, tourner sur moi-même en relevant aussi l'arrière de ma jupe.
Je devais tenir les poses jusqu'à ce qu'ils soient satisfaits, puis adopter d'autres poses alors qu'ils me photographiaient sous d'autres angles.
Dès que j'entendis résonner la cloche, je me levais et déboutonnais mon corsage.
Je l'enlevais lentement, j'entendis alors le déclic signalant la mise en oeuvre des caméras.
Puis je posais empaumant mes nichons, les tendant aux spectateurs qui se pressaient autour de moi.
A leur commandement j'entrepris de triturer érotiquement mes tétons dardés.
Le plus difficile était d'afficher les bonnes expressions faciales, ils me demandaient de sourire, d'afficher une moue boudeuse, puis de nouveau un sourire... Et ainsi de suite...
Je ne pense pas que mes sourires forcés les satisfassent vraiment, j'espérais qu'ils ne sen plaindraient pas.
La cloche retentit à nouveau et j'ôtais suggestivement ma jupe, je posais maintenant en soutien-gorge et petite culotte.
Ils m'enjoignirent de tirer ma culotte vers le haut, enfonçant le fond dans le sillon de ma minette ce qui soulignait mes babines enflées de façon tout à fait obscène.
Ils trouvèrent amusant de me faire plonger la main dans ma petite culotte pour me faire titiller ma chagatte.
Choquée, je dus plonger mon index dans ma fente, je constatais immédiatement qu'immédiatement je me mis à secréter un flot de cyprine détrempant ma cramouille.
Je dus tourner sur moi-même, me pencher en avant, jeter une jambe en l'air, écarter le plus possible mes cuises.
J'espérais que personne ne noterait que ma chatte était trempée de mouille, mais j'entendis plusieurs gars souligner que le fond de ma petite culotte avait trempé à hauteur de ma chatoune.
La cloche tinta à nouveau, je m'assis et me débarrassais de mon soutien-gorge, dès que mes nichons jaillirent à l'air libre je dus recommencer à poser selon leurs consignes.
Ils prirent une multitude de clichés leurs mains posées sur mes nibards les malaxant, étirant les mamelons.....
Quelques instants plus tard j'étais debout lorsque deux costauds saisirent l'élastique de ma petite culotte, à la taille et me soulevèrent en force en tirant dessus.
Ils me tinrent suspendus dans les airs le temps que leurs potes puissent prendre une flopée de photos de ma foufoune débordant du fond de ma petite culotte ainsi que plusieurs clichés avec leurs mains fourrées dans mon sous-vêtement.
Exactement comme la veille, lorsque la cloche sonna, ils me dépouillèrent de ma petite culotte et les événements devinrent plus sauvages.
Ils prirent une longue série de photos alors qu'ils tournaient au tour de moi écartant mes globes charnus pour mater mon petit trou de cul ridelé.
Ils me doigtèrent alors plus avidement exhibant leurs érections, je savais que très bientôt ils bourreraient leurs bites érigées dans ma chatoune.
Je ne voulais pas y penser.
Après m'avoir fait poser dans les positions les plus humiliantes qu'ils purent trouver, la cloche sonna à nouveau et ils m"emmenèrent hors de la pièce, j'attendais dans le hall tandis que le gérant vendait mes charmes à mes futurs clients.
Je me souvins que la dernière fois cela avait été rapide.
Je ne pouvais qu'espérer qu'ils en auraient vite finis avec moi.
La porte s'ouvrit et je dus retourner dans une petite salle qui ressemblait à une réserve à la porte taillée dans le mur du fond.
Ils m'installèrent au milieu du plancher allongée à plat dos.
Une sangle épaisse encercla ma taille et mes poignets furent liées sur mes chevilles, ma tête pendait lorsque je jetais un coup d'œil circulaire je notais que la plupart des hommes avaient ôté leurs pantalons, je ne voyais que des bites érigées partout où mes yeux se posaient.
le gérant dit alors :
-"Messieurs, comme vous êtes nombreux je vais vous accorder un peu plus de temps, aussi prenez votre temps et amusez-vous bien! ...." puis il se recula contre le mur et la partouze démarra.
Dès qu'il se fut reculé contre le mur, je me retrouvais avec une bite en bouche qui s'enfonça dans mon arrière gorge du premier coup.
Je me débattais un peu, mais comme cela ne servait à rien je me résignais rapidement à prodiguer une gorge profonde.
On releva mes jambes en l'air, tout en me courbant en avant mamelles pendantes.
Dès que je fus bien ouverte, un des assistants plongea violemment son épaisse bite dans la chatte.
Je ne comprenais pas pourquoi tous ces hommes se montraient si brutaux.
Cela avait déjà était la même rengaine la veille.
Je subodorais qu'ils devaient avoir une bien basse opinion des femmes, peut être m^me que c'était de moi qu'ils avaient une si basse opinion.
J'entendais les appareils photos cliquer alors que deux hommes me possédaient, je ne pouvais que prier pour que ces photos ne se retrouvent jamais sur internet.
Je doutais que c'était le genre de personne à utiliser internet, mais on ne sait jamais! .....
Deux nouveaux spectateurs me possédaient, cette fois cela dura plus longtemps que le premier duo.
Ils me prenaient souvent en cul cette fois.
Je savais qu'ils étaient plus nombreux que la dernière fois, je le sentais bien au volume de foutre que j'avalais et qui ruisselait de ma chatoune et de mon trou du cul.
J'étais vraiment épuisée et je me mis à pleurer misérablement.
Je n'attendais pas de compassion de leur part, mais j'aurai espéré qu'ils se montrent moins frustes, moins rudes.
Ils riaient à gorge déployée alors qu'ils se vidaient sur mes joues mélangeant leur sperme à mes larmes, lorsqu'ils voulaient que j'arbore une expression plus angoissée, ils tordaient brutalement mes tétons.
Le gérant n'interrompait pas la séance, il les laissait faire ce qu'ils voulaient sans intervenir..
Il se tenait avec Steve et Tom le long du mur et ils regardèrent le spectacle jusqu'au moment où mes clients se lassèrent de mes charmes.
Une fois qu'ils se furent rhabillés et qu'ils quittèrent la salle Tom m'autorisa à gagner la douche pour me nettoyer de toutes ces infâmes souillures.
Lorsque je me fus lavée et séchée, Tom m'attendait pour me ramener dans la salle.
Le gérant me courba sur la banquette et me baisa longuement par derrière, puis je dus nettoyer consciencieusement sa bite, il tendit alors une pleine poignée de billets à Tom et ils sortirent de la pièce pour quelques minutes.
Quand il est revenu, il m'a tendu ma tenue de salope et nous sommes partis.
Nous gagnâmes la salle de la porte à coté.
Tom et Steve m'accompagnèrent à l'intérieur, Rory nous dit qu'il nous rejoindrait bientôt et nous quitta.
Nous avons commandé une tournée de bières.
Rory revint au bout de quelques minutes
Il avait amené un sac qu'il posa au sol à coté de sa chaise.
J'espérais que ce n'était pas pour moi, je priais que nous ne retournions pas une nouvelle fois au sex-shop voisin.
Des choses horribles qui m'étaient arrivées, la visite au sex-shop était bien la pire.
Cette fois Tom ne m'avait pas droguée.
Nos quatre demis nous ont été apportés par une serveuse et j'étais la seule de la table à avoir touché à mon verre.
J'espérais bien que cela sous-entendait que nous ne rendrions pas au sex-shop.
Tom se mit à jeter de fréquents coups d'œil sur sa montre, je compris alors qu'il avait quelque chose en tête.
Il allait de soi que je détesterais ce qui allait advenir, quoi que ce soit.
Tom jeta un dernier coup d'œil sur sa montre et paya les consommations, et nous quittâmes le bar.
Dès que nous fûmes sortis Rory fouilla son sac en papier et tendit quelque chose à Tom. Il s'agissait d'un bandeau.
Tom m'en couvrit les yeux, j'étais paniquée.
Une fois que je fus aveuglée, ils me firent tourner sur moi-même à plusieurs reprises jusqu'à ce que je perde toute notion d'orientation.
Ils arrêtèrent alors, une fois que pus reprendre mon chemin, ils m'entraînèrent le long de la contre-allée.
J'étais terrifiée à l'idée de retourner au sex-shop, mais ils me firent entrer dans un autre bâtiment.
Je savais que nous n'étions pas au sex-shop parce que nous n'avions pas franchi de sas d'entrée.
C'était calme à l'intérieur, ou bien personne ne parlait, j'entendais des gens respirer lourdement, j'entendais des gens marcher, nous n'étions pas seuls dans cette pièce.
Des gens se mirent à évoluer, mais je n'entendais toujours pas un mot.
Après quelques minutes, on me fit remonter un vestibule pour gagner une salle sur le coté.
J'entendis beaucoup de gens marcher, des gens me suivaient tranquillement nous entourant de tous cotés.
A peine étions nous entrés dans la pièce que déjà quelqu'un me dépouilla de ma tenue de pute.
On m'écarta les cuisses et l'on me riva les pieds au sol.
Puis les menottes que l'on m'avait enlevées en arrivant au studio photo me furent remises, je me sentais plus que jamais sans défense.
Qui que ce soit qui m'avait entravé les chevilles et les poignets se retira et je sentis la foule s'approcher de moi.
Des puissantes mains viriles firent l'inventaire de mes charmes, beaucoup de mains bien que je ne puisse les compter.
Mes nichons étaient pétris rudement, mes tétons pincés et étirés douloureusement.
D'autres mains m'écartèrent mes fesses et explorèrent ma raie culière alors que deux hommes entreprenaient de s'amuser avec ma foufoune.
Ils semblaient palper mes appâts chacun à leur tour, les inventoriant consciencieusement avant de se retirer.
Cela continua un bon moment en l'absence totale de rires, de gloussements et de commentaires salaces.
Je ne pouvais absolument pas deviner ce qui allait se passer ensuite.
Je ne pouvais même pas estimer le nombre d'hommes m'encerclant, encore moins deviner s'ils étaient noirs, blancs ou jaunes, jeune ou vieux! .....
La seule chose que je constatais c'est qu'ils devenaient de plus en plus rudes, ils commençaient vraiment à me faire mal.
Je commençais à crier, ils semblèrent apprécier, j'entendis des gloussements alors qu'ils continuaient à me tourmenter.
L'un d'eux saisit une pleine poignée de cheveux et les tordit.
Je pensais tout d'abord qu'il faisait cela pour me torturer, mais je sentis alors qu'il me les liait avec une corde avant de me mette un collier autour du cou.
J'étais courbée sur ma taille on attacha une chaîne fixée au sol à mon collier.
Finalement la corde qui liait mes cheveux fut tirée en arrière et liée autour de ma taille.
Une autre chaîne fut attachée à mon collier m'étirant vers le plafond.
J'étais dans une position très inconfortable.
Mon torse se trouvait au niveau du plancher alors que ma tête était violemment rejetée en arrière visage tendue en avant
Je ne pouvais pas bouger.
Je ne serai même pas tombée au sol si je m'évanouissais; j'étais pendue par les cheveux.
Puis j'entendis Tom intervenir :
-"Messieurs, madame Kim est maintenant prête, vous pouvez utiliser son corps selon votre bon plaisir! ..."
J'entendis les sons produits par des vêtements que l'on enlève, je sus alors que des spectateurs se déshabillaient, et la séance démarra.
Une bite très épaisse fora sauvagement son trou dans ma chatoune alors qu'une autre me forçait les lèvres.
Ces deux bites étaient vraiment très grosses.
Celle qui violait ma bouche tentait de s'immiscer dans ma gorge en dépit de ma douleur.
J'étais au bord de la panique.
Cette bite était beaucoup trop grosse et j'étais sure qu'il allait me déchirer l'arrière gorge.
De toute manière, j'allais sûrement étouffer! ....
Cela ne faisait aucun doute! ......
J'étais incapable de respirer avec cette épaisse flamberge plantée dans mon arrière gorge.
L'homme qu me baissait me gifla les hanches, je ne parle pas de mes poignées d'amour, il me frappait les fesses.
Je criais après une gifle particulièrement violente, celui qui me prenait en bouche en profita pour s'enfoncer profondément dans mon arrière gorge coupant mes cris.
La douleur grandissait, enfin l'homme qui me baisait en bouche me laissa respirer, de temps à autre, je ne sais pas combien de temps s'écoula avant que ces hommes jouissent.
Lorsque mon chevaucheur de tête eut giclé dans mon arrière-gorge il extirpa sa grosse mentule se recula de quelques pas et m'enleva mon bandeau.
Je vis, au travers des larmes qui m'aveuglaient, que j'étais entourée par une nombreuse assistance de noirs.
Ils étaient costauds, des noirs musclés avec de grosses bites tendues.
Je remarquais immédiatement les caméras professionnelles qui filmaient ma performance.
Je ne sais pas combien ils étaient, mais je me rappelais ce que Tom m'avait dit en voyant ce genre de film au sex-shop.
Il avait dit qu'il était sur que je pourrais battre le record de la malheureuse actrice, aussi supposais-je qu'ils étaient plus de 25 prétendants à l'exploit.
Comme les deux suivants se mettaient en position de m'utiliser, je me souvins soudainement que Tom m'avait désignée par mon nom lorsqu'il avait invité ces hommes à user de mes charmes.
Ils connaissaient donc mon nom maintenant! ....
Par Dieu les caméras fonctionnaient-elles déjà à ce moment? .....
Ils se montrèrent aussi mauvais que les deux premiers, ils étaient tous deux dotés d'énormes queues avec lesquelles ils me baisèrent sauvagement! ...
Lorsque la troisième paire usa de mes charmes je commençais à m'engourdir.
C'est alors qu'ils décidèrent de varier les plaisirs! ....
Le suivant enfourna sa bite dans ma foufoune élargie et gonflée, mais après quelques coups de boutoir il extirpa sa bite, l'homme qui me prenait en bouche se retira pour qu'ils puissent tous apprécier mes beuglements alors que mon chevaucheur de queue m'enculait avec une violence extrême.
Je m'évanouis avant même qu'il ait introduit 5 centimètres de sa bite dans mon boyau non préparé.
Lorsque je revins à moi, ils me baisaient tous deux depuis un bon moment.
Suspendue comme je l'étais, j'étais restée en bonne position pour qu'ils puissent me posséder jusqu'au bout.
J'eus l'impression que cela dura une bonne semaine.
J'étais certaine d'être déchirée.
Je savais que c'était du sang qui s'étalait sur mes cuisses.
Sans aucun doute ces épaisses bites qui avaient ravagé mon cul m'avaient endommagée.
Je m'évanouis à plusieurs reprises par la suite, mais cela ne les dérangeait pas.
J'en vins à réaliser que leur seul but était que je me fasse fourrer par suffisamment d'énormes bites noires pour que le record soit filmé, enregistré et commercialisable.
Cela se termina enfin, je n'avais aucune idée du temps que mon épreuve avait duré.
Ils m'abandonnèrent toujours garrottée et suspendue le temps qu'ils se rhabillent tous et partent.
Puis les caméras firent le tour de mon corps supplicié et enregistrèrent les dommages que j'aie subis! ....
Lorsqu'ils arrêtèrent les caméras et quittèrent la salle, on me délia.
Je m'écroulais au sol et me recroquevillais en position fœtale, puis, je me mis à pleurer comme un bébé.
Jamais je n'avais eu aussi mal de toute ma vie! ....
J'avais peur d'inspecter mon corps pour constater les dégâts.
J'entendis la porte s'ouvrir et le gérant du studio photo nous rejoignit.
Je savais maintenant où je me trouvais! ...
Il sourit à Tom et s'esclaffa :
-"T'avais raison mec, je ne pensais pas que ça marcherait si bien..... Y'avait les 35 hommes avec les plus grosses bites de la ville..... Tandis qu'ils la baisaient j'ai développé une bonne idée! ..."
-"Elle n'est plus à un coup prêt maintenant... Et ces hommes paient drôlement cher pour partouzer une blanche! ...."
Je sentis qu'on me tapotait les fesse, je levais les yeux.
Tom me regardait affichant un air de dégoût sur son visage il me dit alors :
-"Plonge ton cul sous la douche et nettoie-le! .... Tu pues le sperme! ....."
j'essayais par deux fois de me relever, mais je n'y parvins pas.
Finalement Tom se baissa m'empoigna les cheveux et me mit sur pied.
Il m'enleva mes menottes et me poussa vers la porte.
Je chancelais, mais je me débrouillais pour m'appuyer contre le mur.
Je m'arrêtais une bonne minute pour reprendre des forces, je vis avec surprise que pas une goutte de sang ne décorait mes cuisses.
Mes jambes tremblaient follement, je ne parvenais pas à les contrôler, je chancelais tout le long du mur et passais la porte pour gagner la salle de douche.
Je m'assis sur le bidet laissant le foutre s'écouler hors de ma cramouille.
Une grosse partie s'était déjà écoulée sur mes cuisses
mais la dose qui sortit encore de ma moule et de mon trou du cul s'avérait impensable.
Il y avait bien un quart de litre flottant à la surface du bidet lorsque je me relevais pour m'installer sous la douche.
Je pris une douche aussi chaude que je pus l'endurer, et après m'être nettoyée, je restais encore un bon moment sous la douche, pleurant tout mon saoul.
Je ne sais pas combien de temps je restais sous la douche avant que ne survienne Tom qui m'intima :
-"Si tu ne te magnes pas le cul il va t'arriver des bricoles ma petite chérie! ...."
Je le regardais comme l'idiot qu'il était et je fermais le robinet.
Je me séchais et regagnais la pièce ou je venais de me faire si copieusement violer.
Alors que j'entrai, Rory me jeta mon top et mon pagne, je les enfilais prestement.
Je jetais un coup d'œil circulaire et retrouvais mes sandales contre l'une des murs, je les chaussais tout aussi rapidement.
Le gérant et Tom discutaient encore entre eux, et quel que ce soit le sujet de leur conversation, cela les faisait bien rire, ils se turent à mon approche et dès que je fus prête, nous quittâmes le studio.
Je m'assis à l'arrière avec Steve et regardait par la fenêtre alors que Tom nous reconduisait à l'appartement.
Je pensais qu'ils me laisseraient partir cette fois, je ne voulais pas croire qu'ils voudraient encore me toucher après ce que je venais de subir.
Il semble toutefois qu'ils avaient vraiment apprécié ma performance et qu'ils ne voyaient pas pourquoi trois fellations de plus me poseraient problème! ....
Ils descendirent tous trois leurs pantalons sur leurs genoux et s'assirent, j'allais de bite en bite les suçant chacun à leur tour.
Puis cette fois ils m'autorisèrent à les quitter.
Tom me dit que e pouvais me reposer pendant une paire de jours, et qu'il n'aurait probablement pas recours à mes services avant le week-end prochain.
Sinon, il m'appellerait sur mon portable, mais en principe je ne devais revenir à son appartement que le samedi suivant à 10 heures.
Je pris mon sac et sortis pour me ruer dans ma voiture.
Je n'étais pas capable de conduire pour l'instant.
Je pleurais beaucoup trop.
Quelques personnes s'arrêtèrent en me voyant effondrée, et me demandèrent si ça allait, je hochais la tête et les ignorais.
J'étais pourtant au trente sixième dessous, j'avais terriblement mal, aussi bien mentalement que physiquement.
Je me demandais comment je pourrai revenir le week-end suivant! ......
Je ne pouvais m'empêcher de repenser aux dernières paroles du gérant du studio.
Qu'avaient-ils programmé qui soit encore pire que ce que j'avais enduré? .....
Qu'est ce qui pouvait s'avérer pire que ce qu'ils m'avaient obligé à subir? .....
Lorsque je parvins à me calmer, je pris la route pour rentrer chez moi.
A ma grande surprise je constatais à la montre de ma voiture qu'il était plus que 23 heures.
Ce serait dur de me lever pour aller au travail le lendemain.
Je ne savais pas si j'y parviendrai.
Je savais que j'aurai une sacrée chance si j'étais capable de marcher ou m'asseoir demain matin, ou bien même de parler ou de penser.
Je n'avais pas essayé de parler depuis la fin de mon calvaire.
J'essayais de dire Hello tout en conduisant, ce ne fut qu'un méconnaissable croassement.
Pour corser le tout, un engourdissement douloureux gagnait ma chatoune et mon trou du cul tant la douleur était forte, et cela empirait de minute en minute.
A suivre...
La nouvelle vie de Christine Ch. 14
La nouvelle vie de Christine - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte
Arrangements avec le patron de Christine.Je me redressai et gonflai le torse en essayant de chasser l'appréhension qui me tenaillait. Je poussai les grandes portes de l'entreprise de Christine et pénétrai dans le hall d'accueil. Ma belle-mère qui se tenait à côté du distributeur de boisson vint vers moi ès qu'elle me vit. Elle paraissait beaucoup plus fraîche qu'il y a 20 minutes.
- Amène-moi à son bureau salope!
Je dus parler un peu trop fort car je vis Christine s'effrayer en regardant ses collègues féminines de la réception.
- Allez! Dis-je.
- Oui Maître. Chuchota-t-elle
Elle me conduit vers les ascenseurs et nous entrâmes dans le premier ouvert sur la droite. Une fois à l'intérieur, elle appuya sur le numéro 2. Trente secondes plus tard, l'ascenseur s'arrêta et ouvrit sur une large zone d'accueil décorée de deux grands canapés en cuir, d'un fauteuil et d'une table basse. Pour compléter ce mobilier coûteux, était accrochée au mur une télévision à écran large. Ma belle-mère me conduisit à droite de cette salle, le long d'un couloir, jusqu'à une porte décorée par une plaque dorée sur laquelle était gravé le nom du PDG : Francis MULLER. Deux autres portes portaient les noms de Daniel SUTOR et Robert WILFRIED avec la mention « ASSOCIE » collée aux patronymes. Une dernière double porte avait l'air de s'ouvrir sur une salle de conférence.
- Frappe à la porte! Ordonnai-je.
Timidement, Christine toqua deux fois puis recula.
- Entrez! Cria Francis de l'intérieur de son bureau.
Ma belle-mère hésitait alors je la poussai légèrement dans le bas du dos, manquant la faire tomber du haut de ses talons. Mais elle se stabilisa afin d'ouvrir la porte. Nous entrâmes dans l'immense bureau de Francis.
- Christine... Commença-t-il. Puis il s'arrêta lorsqu'il me vit pénétrer dans la pièce et refermer derrière moi.
Il était confus. Je devais rester confiant.
- Qui est-ce Christine? Et que voulez-vous?
Il resta assis dans son fauteuil, puissant et arrogant.
Je devais lui montrer le contrôle que j'exerçais sur son employée :
- Dis-lui qui je suis Salope!
Debout derrière elle, je regardai le changement d'expression de Francis alors que ses yeux déviaient de moi à elle. Il n'avait pas l'air paniqué.
Tout en baissant son regard vers le sol, Christine dit :
- C'est mon maître.
Francis rit, surpris.
- Votre maître! Vous devenez de plus en plus intéressante. Vous n'aviez pas l'air d'être la propriété de ce jeune homme aujourd'hui.
Il essayait de me rabaisser mais il ne s'attendait pas à ce que j'allais dire.
- Ouais. En tout cas, belle performance avec Marc et Nicolas lorsque vous lui avez éjaculé sur la figure tous les trois.
Je vis son sourire quitter lentement son visage. J'ajoutai :
- Vous allez comprendre Francis. C'est moi qui vous ai envoyé le message l'autre soir. Afin que vous vous rendiez compte des autres qualités de Christine.
- Hum...Fut tout ce qu'il trouva à dire alors je continuai :
- La femme qui se tient là est ma belle-mère Francis!
- Oh merde, c'est de plus en plus bizarre. Dit-il en s'enfonçant dans son siège.
- C'est ma belle-mère mais c'est aussi ma pute soumise. Elle fait ce que je lui dis. Et si elle se trouve dans des situations embarrassantes c'est que je l'ai décidé. Marc a installé une caméra dans son bureau. J'ai donc vu ses dernières activités de la journée et j'ai compris qu'il était temps que nous ayons une petite conversation ensemble.
J'avançai d'un pas, et attrapai une chaise sans y être invité, une façon pour moi de montrer mon assurance.
- Prenez un siège! Dit-il d'un ton sarcastique.
Je ne répondis pas à cette remarque mais je dis :
- Maintenant cela va être simple Francis. J'ai compris que ma pute va devenir une arme pour votre entreprise dans la conclusion de contrat. N'est-ce pas?
- C'est ce que j'avais prévu oui.
- J'aime bien son nouveau titre. Il sonne mieux que « pute de l'entreprise ». Voilà ce que je veux exactement...
Je me penchai sur son bureau.
- Afin que vous puissiez utiliser ma pute comme bon vous semble, je veux pouvoir la voir en action. Cela peut se faire par l'installation d'une caméra qui me transmettra les images à la maison.
- Est-ce tout? Demanda-t-il.
- Non. Je veux aussi un pourcentage sur l'argent gagné par son corps.
Francis réfléchit un moment avant de dire :
- Pourquoi ne vous dirai-je pas de foutre le camp avant de simplement renvoyer cette salope stupide?
Il espérait économiser un peu d'argent mais il était un homme d'affaire et il connaissait la valeur de Christine. Alors j'insistai :
- Vous êtes un homme d'affaire intelligent Francis. Vous savez très bien que vous perdriez beaucoup....
Il hocha la tête, me donnant raison. Il dit :
- Mais je ne suis pas en mesure de faire installer des caméras d'ici lundi.
Je le rassurai :
- Ce n'est pas un problème. Je suis sûr que vous avez assez d'influence pour demander à quelqu'un d'enregistrer tous les événements qui se produiront dans l'attente que le matériel soit installé.
- Pas de problème. Répondit-il
Pendant notre conversation, Christine était restée en arrière, attendant comme un petit chien bien docile. Il était temps de montrer à Francis comme elle m'obéissait et de lui montrer qu'on pouvait la sodomiser, chose que Francis n'avait jamais réclamé.
- Est-ce que cela vous dérange si je vous fais la démonstration d'une qualité de votre employée que vous n'avez pas encore exploré. Je suis certain que vous pourrez, à l'avenir, en tirer avantage lors de négociations.
- Allez-y! Si cela peut me rapporter plus d'argent...
Sans même regarder ma belle-mère, je lui ordonnai :
- Enlève ton chemisier, ta jupe et ton soutien-gorge. Puis viens à côté de moi et tourne-toi vers le mur là-bas.
Quelques minutes plus tard, elle était à côté de moi en ensemble jarretelle et talons, nous tournant le dos.
- Descend ta culotte jusqu'aux genoux, penche toi en avant et écarte les jambes autant que ta culotte le permettra.
Je vis Francis très étonné de l'obéissance de Christine à mes ordres. Elle suivit mes instructions à la lettre. Elle était penchée en avant, les jambes écartées, la culotte tendue entre ses genoux, les mains sur le sol. Ses gros seins étaient visibles entre ses jambes. Ils se balançaient lorsque que son équilibre changeait.
Je constatai :
- On dirait que vos employés et vous avez bien utilisé sa petite chatte.
Je tendis la main et laissai courir mon index sur ses petites lèvres gonflées jusqu'à son clitoris. Elle soupira.
- Vous savez Francis? Il n'y a rien de mieux que de voir sa pute bien baisée pour avoir une bonne érection.
- Euhhhh.... Oui. Elle a eu sa part de sexe aujourd'hui.
Francis semblait presque gêné de parler de cela avec moi.
- Ne soyez pas gêné pour parler Francis. Elle n'est qu'une pute après tout. Il faut juste ne pas lui infliger trop de douleurs et faire en sorte qu'elle ne rentre jamais marquée à la maison étant donné qu'elle a un mari pour le moment.
- Ne vous inquiétez pas! Je n'ai aucun intérêt à ce qu'elle soit marquée. Répondit Francis.
Je demandai à Christine :
- Revenons à nos moutons. Salope? Veux-tu ma bite dans ta chatte?
- Je veux toujours Maître. Mais je suis en mauvaise position. Me dit-elle en me regardant entre ses jambes.
- Dans ce cas, tu devrais peut-être préparer ton trou du cul pour moi.
Du coin de l'œil, je vis un sourire salace s'étendre sur le visage de son patron.
Christine demanda :
- Puis-je changer de position Maître?
- Non! Tu es très bien comme ça.
Sa main droite agrippa plus fermement le sol tandis que sa main gauche partit vers ses fesses. Un puis deux doigts pénétrèrent son cul serré. Elle gémit tout en travaillant son anus afin qu'il accepte ma bite.
En me levant et descendant pantalon et caleçon, libérant mon membre gonflé, je lui demandai :
- Es-tu prête Chienne?
- Pas encore Maître.
Elle haleta en accélérant le rythme de ses doigts. Je lui donnai une minute en discutant avec son patron.
- Pourquoi n'avez-vous pas encore utilisé son cul Francis? J'aurais cru que vous le fassiez aujourd'hui.
- Hum.... Pour convaincre des clients tenaces, je leur aurais peut-être proposé.
- Et bien Francis, laissez-moi vous montrer quel genre de pute nous avons là. Enlève ta main maintenant!
Sa main quitta ses fesses et fur de retour à côté de l'autre sur le sol. Elle se prépara. Son anus paraissait humide mais je savais qu'elle n'avait pas assez préparé le passage. Je m'avançai vers elle et mon gland tapa les lèvres charnues de sa chatte. Mon membre glissa vers le haut. Je dis :
- Plie un peu les genoux salope.
Elle ajusta immédiatement sa position, avançant les mains. Ses fesses chutèrent vers le bas, me facilitant l'accès.
- Arghhhhh
Christine grogna alors que je poussai mon gland au milieu de ses fesses. Ma bite rencontra la résistance de son anus encore serré. Je continuai à forcer, obligeant ma belle-mère à affirmer son équilibre avec ses mains.
- Ouille..... Ouillle..... merde....
Elle répéta ces mots puis cria quand son anus céda et ma bite la pénétra.
- ARGGGGGGHHHHH.
Je ne tentai pas de me retenir. Mon membre entra complétement, mes couilles tapant sa chatte humide. Ma soumise gémissait, la respiration lourde. Je commençai à coulisser lentement, profitant de la sensation de son trou du cul incroyablement serré sur ma bite. Mais après trois à quatre minutes, je labourai Christine, la renversant presque. Soudainement, elle eut un orgasme frénétique. Ses bras cédèrent et elle tomba sur le sol.
Je m'assis sur la chaise en face de Francis qui écarquillait les yeux en branlant paresseusement sa grosse queue qu'il avait sorti de son pantalon.
J'ordonnai à ma belle-mère toujours affalé sur le sol :
- Ramène ton cul sur ma bite Salope!
Elle se remit sur ses pieds, et vint se tenir devant moi, la face tournée vers son patron. Je rajoutai :
- J'attends!
Immédiatement, elle commença à abaisser ses grosses fesses rondes vers mon membre. Et sans utiliser ses mains, elle s'empala avec une grande facilité. Je parvins à incliner ma tête sur le côté, regardant Francis se branler et sourire de toutes ses dents alors que Christine rebondissait sur ma bite. Mais je n'étais pas sûr que son patron puisse bien voir :
- Comment est la vue Francis? Vous pouvez voir son cul engloutir ma queue?
- J'ai une belle vue sur ses seins.
- Il vous faut une meilleure vue. Mets tes pieds sur mes cuisses Salope, et écarte bien les jambes que ton patron ne rate rien du spectacle.
Elle obéit instantanément.
- Aie! Criai-je, Enlève tes talons Salope!
Elle se pencha en avant, ma bite encore dans son cul, afin de détacher les boucles de ses chaussures. Puis elle mit ses mains derrière elle, sur ma poitrine et écarta les jambes en grand. Alors qu'elle essayait de trouver son équilibre mon sexe sortit et frotta sa chatte et la raie de ses fesses. Je demandai :
- Comment est la vue Francis?
- Beaucoup mieux. Oui beaucoup mieux.
- Montre à ton patron que tu aimes prendre ma queue au fond de ton cul. Je veux que tu baises jusqu'à ce que tu jouisses deux fois. Ok Chienne?
- Oui Maître.
En me répondant, elle abaissa son merveilleux cul sur mon membre dressé et s'accroupit jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus. Je me mis à l'aise, appréciant cette chevauchée et imaginant Francis appréciant le spectacle et imaginant toutes les possibilités autres que lui offrait sa « Faciliteuse de contrat ».
Environ huit minutes plus tard, ma belle-mère jouis avec un cri me déchirant les oreilles. Elle se tint enfoncée sur ma bite pendant que ses jambes tremblaient sur mes cuisses, son orgasme secouant tout son corps. Quelques instants plus tard, s'étant remise, elle recommença à s'empaler avec rythme sur ma bite, recherchant une dernière jouissance. Mais après quinze minutes, elle fatigua et son mouvement de bas en haut sur ma verge devint plus lent. Ses bras flanchaient si bien qu'elle était presque couchée sur moi. Voulant montrer à son patron le degré de soumission de son employé, je fixais un défi presque impossible dans son état.
- Tu jouis dans les prochaines trois minutes Salope, ou alors ta chatte endolorie va encore souffrir.
Elle essaya d'accélérer le rythme mais elle était de plus en plus faible. Le mouvement cessa lorsque les trois minutes furent passées. Elle savait qu'elle n'avait pas réussi le défi. Ce qu'elle ne savait pas, c'est que ce serait son patron qui lui baiserait sa chatte. Je voulais lui montrer qu'elle pourrait sceller un contrat non pas avec un seul client mais avec deux s'il le fallait. En regardant par-dessus le corps de Christine encore empalé sur mon sexe, ses jambes écartées, je demandai :
- Francis? Voulez-vous la baiser?
En se levant et riant il répondit :
- Je suppose que ce serait impoli de refuser. Que voulez-vous que je fasse?
- Elle ne m'a pas obéi en loupant son défi. Alors pourquoi ne prendriez-vous pas sa chatte pendant que je reste dans son cul?
- Non, Non, Pas tous les deux, Maître!
Christine gémit mais ne ferma pas les jambes pour autant.
- Tu n'as rien à me refuser Chienne. Et puis tu sais bien qu'au travail tu dois faire ce que te demande ton patron. N'est-ce pas Francis?
- Exact. Répondit-il.
- Je pense que tu devrais présenter des excuses à ton chef Christine. S'il veut que l'on t'encule, tu ne dois pas refuser. Dis-je dans son oreille.
- Je suis désolé M. MULLER.
Elle gémit alors qu'il se tenait en face d'elle, son gros membre menaçant sa chatte évasée.
- Je pense que tu devrais supplier ton patron de baiser ta chatte jusqu'à ce que tu jouisses. Et ensuite lui dire que ton trou du cul est à sa disposition. Murmurai-je de nouveau à son oreille.
Elle gémit :
- M. MULLER?
- Oui Salope?
Il frottait son membre sur les lèvres enflées du sexe de ma belle-mère.
- S'il vous plait, baisez moi et faite moi JOUIR.
Elle haleta quand Francis écarta les lèvres de son sexe avec le gland de son gros membre.
- Je vais te faire jouir Salope, ne t'inquiète pas.
Il plongea sa verge lentement, augmentant sa sensation d'être complétement pénétré avec ma bite dans son cul.
- Et... AHHHHH.... après que j'ai joui, mon cul.... sera à VOUS.....
Elle cria lorsqu'il la remplit complétement avec son membre. Je pouvais sentir la pression qu'exerçait l'homme sur nous deux. Il était plus grand et fort que moi. Mais je pus sortir légèrement ma queue du cul de Christine afin de pouvoir la pilonner de nouveau. De son côté, Francis la baisa avec de longs coups puissants en s'assurant de complétement la pénétrer à chaque fois.
Christine, en sandwich entre nous deux gémissait, sa tête déposée sur mon épaule, ses yeux fermés, ses seins ballotant au rythme des pénétrations. Elle faisait d'étranges petits bruits entre grognements, gémissements, et cris. Puis elle nous annonça qu'elle allait jouir. Je sentis les muscles de son cul se serrer autour de ma bite. Je vis que Francis avait cessé de la baiser, sentant surement la chatte se serrer autour de son membre. Je dis :
- Je crois qu'il est temps que vous l'enculiez Francis!
Le patron sortit son sexe de celui de Christine pendant que je la poussai en avant afin de me dégager et de me lever. Dès que je fus parti du fauteuil, ma belle-mère se laissa tomber dedans, ses jambes ne pouvant la soutenir.
Sans attendre ni demander, Francis prit chacune des jambes de la femme et les balança sur chaque accoudoir du fauteuil. Il souleva ses fesses et la tira un peu en avant, de façon qu'elle soit près du bord. Et il pénétra son anus pour la première fois.
Christine gémit très fort quand il glissa sa queue à l'intérieur. Ses yeux restaient fermés, son corps abandonné à son patron.
Je vins sur le côté afin de malmener un petit peu ses seins et ses mamelons. Mais elle ne réagit pas, ne pouvant donner plus.
Elle était trop fatiguée pour jouir à nouveau. Alors Francis utilisa son cul jusqu'au moment où il éjacula tout au fond. Une fois qu'il fut ressorti, je pris sa chatte afin de lui laisser mon propre sperme.
Francis et moi regardâmes ma belle-mère abusée par tous les trous avec du sperme gouttant sur le sol. Nous nous sommes habillés et avons scellé notre accord avec une poignée de main.
Je dis à Christine de reprendre ses vêtements. Le chemin jusqu'à l'ascenseur et la réception fut laborieux car elle arrivait à peine à tenir sur ses talons. Une fois à la voiture, elle se laissa tomber sur la banquette et s'endormit.
Je décidai de la laisser tranquille jusqu'à son premier jour de travail dans ses nouvelles fonctions.
à suivre....
Ecole privée Ch. 01
Ecole privée - - Soumission - chantage - récit érotique
1 - L'arrivée à l'école.Les bâtiments étaient vieux et respiraient la tradition. Anne aimait ce lieu avec le grand parc qui entourait cette école. Elle était heureuse d'avoir pris ce travail dans cette école privée plutôt que dans une école publique. Elle suivit l'allée qui contournait le bâtiment jusqu'au parking du personnel. Bien que ce fût le jour juste avant la rentrée scolaire, il n'y avait qu'une demi-douzaine d'autres voitures. Elle trouva facilement une place pour sa petite Clio. Saisissant son petit sac, elle se dirigea vers la porte d'entrée. Elle se dit qu'elle récupérerait sa grosse valise plus tard, quand elle saurait où elle logerait.
Elle poussa la porte et se retrouva dans un long couloir désert. Incertaine, elle marcha en écoutant le son de ses pas. Apparemment la direction n'était pas fan de l'affichage des différents lieux. Il y avait des chiffres sur les portes mais aucun panneau n'indiquait où se trouvaient les bureaux de l'administration et celui du directeur.
Anne avançait en cherchant quand, tout à coup, deux adolescents sortirent d'une pièce. Les deux jeunes semblèrent tout aussi surpris qu'elle, mais après l'étonnement, deux paires d'yeux scrutèrent son corps puis se posèrent sur sa poitrine. Bien que Anne connaisse l'effet de ses gros seins sur les hommes, elle essayait toujours de les cacher dans des soutien-gorge amples. Elle rougit et s'efforça de rester calme. Elle se dit que ça ne servirait à rien de s'énerver la première fois qu'elle rencontrait des étudiants.
- Bonjour, je suis nouvelle ici. Pouvez-vous me dire où se trouve le bureau du directeur?
Bien qu'ils aient du mal, les deux garçons levèrent leurs yeux sur son visage. Un des deux, blond, ayant environ 18 ans sourit :
- Bien sûr mademoiselle. Au bout du couloir, à gauche, la dernière porte.
- Merci messieurs.
Elle repartit. Les garçons avaient l'air amicaux. Elle expira et sourit de sa nervosité. Elle trouva la porte désignée assez rapidement et se présenta au directeur. Lui aussi sembla amical et accommodant. Il avait un peu plus de cinquante ans, légèrement chauve et un peu en surpoids. Après quelques minutes de discussions sur la météo et son voyage, il en arriva aux choses sérieuses :
- Bien Mademoiselle POISTOUT, je suis sûr que vous êtes impatiente de savoir en quoi votre travail ici va consister. Je sais que c'est un peu inhabituel, mais puisque votre prédécesseur nous a quitté assez soudainement, vous allez devoir vous occuper d'une de nos deux classes de dernières années. Elle a 17 élèves dont douze garçons et 5 filles. Ils sont tous très bien. En vérité tous nos élèves se comportent très bien. Bien que comme vous le savez sûrement, les adolescents peuvent être chahuteurs. Monsieur BERGER s'occupe de l'autre classe et je suis sûr qu'il se fera un plaisir de vous aider. Êtes-vous prête pour cela?
Anne répondit en souriant :
- Oui bien sûr! Je sais qu'il me faudra de l'aide pour comprendre mon travail, mais je suis prête à travailler dur et à prendre conseil auprès des enseignants plus expérimentés.
Le directeur sourit :
- c'est l'esprit de ce pensionnat. D'autre part, vous devrez prendre des tours en tant que surveillante de dortoir, ou maîtresse de maison comme vous voulez.
Ils partagèrent un sourire avant que le directeur ne poursuive :
- Mais il y a un problème. Vous allez partager la responsabilité de la maison Emile ROUX qui abrite les 35 élèves de dernière année, avec Monsieur BERGER et deux autres enseignants. Il y a deux ailes, garçons et filles, bien sûr. Tous les professeurs doivent s'en occuper environ deux fois par semaine. Le problème, c'est que nous sommes à court de logements. Votre prédécesseur était marié et avait une maison dans le village. Ici, il n'avait qu'une petite chambre, juste pour ces soirs de service.
Anne l'interrompit.
- Mais je pensais que j'aurais un logement ici, je n'ai pas pris de disposition pour une location ailleurs. C'est dans le contrat d'ailleurs.
Le directeur leva la main.
- Attendez! En fait, vous avez un bel hébergement. Quand vous êtes arrivée, vous avez peut-être vu un petit chalet à gauche sous les arbres. C'était anciennement pour le jardinier. Je pensais vous y installer. C'est un peu petit, mais très agréable pour une personne seule comme vous. Le problème est que la seule chambre que vous pouvez avoir lors de vos nuits de service est du côté des garçons. Je les ai déjà avertis clairement qu'ils devront être décents dans le couloir et dans les salles de bain. Pensez-vous que ça ira?
Après le choc, Anne fut soulagée :
- Bien sûr, pas de problème. Je garderai ma porte fermée et j'avertirai quand je quitterai la chambre.
Le directeur sourit. Il prit un trousseau de clé sur son bureau.
- Super. C'est la clé du chalet. Je vais appeler un de nos garçons pour qu'il vous indique le chemin. La soirée précédant la rentrée, nous organisons toujours un dîner pour les membres du personnel. Si vous pouvez être à 19 heures dans la salle à manger, je vous présenterai les autres professeurs.
Il décrocha le téléphone et composa deux numéros :
- Ici BONHOMME, qui êtes-vous? Ah MAURICE. Je souhaiterai que vous consacriez quelques minutes pour montrer à votre nouvelle professeure son logement dans la maison du jardinier... Non MAURICE, pas plus tard, maintenant...
Il raccrocha le téléphone en secouant la tête.
- La plupart de nos étudiants sont bien élevés, mais ce MAURICE a vraiment besoin d'une main ferme. Il se considère parfois au-dessus des règles. Il est très intelligent et son père très riche.
Le directeur sourit avant d'ajouter :
- Mais je suis sûr que vous allez pouvoir le tenir, il est dans votre classe.
Quelques minutes plus tard, on frappa à la porte et un jeune homme séduisant, aux cheveux noirs, entra en souriant de manière un peu sardonique. Le directeur fit les présentations, puis Anne suivit l'étudiant. A l'extérieur, celui-ci ralentit pour être à côté d'Anne et fixa ses seins. Elle fit semblant de ne pas le remarquer. Si elle râlait à chaque fois que les hommes regardaient sa poitrine, elle ne ferait que ça.
MAURICE identifia rapidement sa voiture. C'était probablement la seule qu'il n'avait jamais vue. Il se dirigea vers la porte passager et s'écarta comme pour attendre que Anne lui ouvre la porte. « Tu peux toujours attendre » pensa Anne en se dirigeant vers la porte conducteur. Elle entra et le jeune garçon fit de même. Tout de suite il recula le siège. Du coin de l'œil, Anne vit qu'il appréciait la vue sur son chemisier. Elle s'autorisa un petit sourire en pensant qu'il se branlerait probablement ce soir en se remémorant ses seins.
- Qu'est-ce qui est si amusant? Demanda soudainement MAURICE.
C'était les premiers mots qu'il avait prononcés depuis le bureau du directeur. Pendant une fraction de seconde, Anne eut l'idée de lui dire sa pensée, mais elle se retint.
- J'attends seulement mon nouveau travail avec impatience.
- Oh, je pensais que vous aimiez être seule avec moi.
Anne leva les yeux et le vit sourire.
- Ne vous faites pas d'idées MAURICE. Répondit-elle sèchement.
Le trajet jusqu'au chalet fut court. Tous les deux restèrent silencieux. Quand ils furent sortis de la voiture, MAURICE se tourna vers elle et dit, les yeux fermement fixés sur sa poitrine :
- Je suis sûr que nous nous verrons souvent Anne.
Il se lécha lentement les lèvres.
- Ce sera Madame POISTOUT pour vous MAURICE. Il semble que vous ayez oublié les bonnes manières pendant l'été. Mais soyez rassuré, vous allez les retrouver rapidement, je vais m'en occuper. Je suis une fervente partisane de la discipline. Vous pouvez partir maintenant.
Un instant, MAURICE sembla furieux d'être renvoyé de la sorte. Mais son visage se fendit d'un sourire de prédateur.
- D'autres ont essayé avant vous Madame POISTOUT.
Il mit un ton insolent sur le nom d'Anne, puis il ajouta :
- On verra qui va apprendre les bonnes manières.
Avant que la jeune femme ne puisse donner une réponse, il se détourna et marcha vers l'école. Anne soupira, à peine arrivée, elle avait déjà un élève à problèmes. Pourtant elle s'attendait que les étudiants d'une école privée se comportent mieux.
Elle se tourna et mit la clé dans la serrure.
2 - L'installation.
Le chalet fut une bonne surprise. Elle s'attendait à un appartement austère dans un immeuble bruyant, mais ça ressemblait plus à une petite maison de vacance bien aménagée. Certes, c'était petit, mais comme elle était célibataire, elle n'avait pas besoin d'une maison somptueuse. Elle entra directement dans un salon confortable avec une petite cuisine et un comptoir pour déjeuner. Les meubles étaient un peu démodés, mais l'endroit avait du caractère. Il y avait même une petite cheminée à foyer ouvert. Un couple de fauteuils confortables, une table basse et une petite commode occupaient la pièce. Sous une fenêtre, il avait été placé un petit bureau.
Deux portes ouvraient sur une salle de bain bien équipée avec toilette et une chambre à coucher. Anne sourit quand elle vit le grand lit. Elle aimait bien être à l'aise pour s'étirer. Mais le meilleur atout du logement était le jardin. La chambre et le salon avaient des portes -fenêtres qui donnaient sur un jardin clos. Il semblait un peu envahi par la végétation, mais en jardinant quelques week-ends, elle aurait un espace privé adorable. Cela compenserait les deux ou trois nuits dans la chambre petite comme un placard à balai pour surveiller les pensionnaires. Elle se promit de beaucoup travailler ces nuits-là pour pouvoir profiter des autres nuits dans son chalet.
Le son d'un carillon la fit sortir de ses pensées. Elle était à moitié chemin de la porte d'entrée quand elle réalisa que le son venait de l'intérieur de la pièce. Elle sourit en voyant la petite horloge sur la cheminée. Celle-ci indiquait 15 heures 30. Anne se dit que si elle se dépêchait de ranger ses affaires, elle pourrait profiter d'une heure sur sa terrasse avant d'aller dîner.
Elle récupéra ses deux valises ainsi que son ordinateur portable dans sa voiture et s'occupa à ranger le tout dans le chalet. Elle avait beaucoup de place, car elle avait laissé beaucoup de vêtement et presque tous ses livres chez ses parents pour les récupérer plus tard. Elle pensa qu'avec une bibliothèque près du bureau, elle pourrait tous les ranger. Elle eut un moment de panique quand elle se demanda où brancher son ordinateur, mais elle trouva une prise électrique et réseau derrière le bureau.
Il était presque 17 heures quand elle finit. Elle sourit en se disant qu'elle avait le temps pour une bonne douche et un peu de bronzage au soleil. Elle se dirigea vers la salle de bain puis s'arrêta. C'était son logement privé après tout. Alors elle alla se déshabiller dans sa chambre, mit ses vêtements dans la panière de linge sale. Puis, nue, elle alla dans la salle de bain.
Quand elle ouvrit la porte, elle se retrouva face à elle-même, complètement nue. Un grand miroir couvrait presque totalement le mur du fond. Elle leva les bras. Bien que ses seins n'aient pas commencé à s'affaisser, elle savait qu'ils étaient toujours plus jolis quand elle levait les bras. Marie lui avait dit. Elle rougit et écarta cette pensée. Elle se retourna et regarda par-dessus son épaule. Ses fesses étaient rondes et bien fermes, mais après quinze jours à Ibiza où elle n'avait pas bougé, elle se dit qu'il fallait qu'elle fasse de l'exercice pour les garder ainsi. Elle nota mentalement qu'il faudrait qu'elle demande au directeur si elle pouvait faire du jogging dans l'enceinte de l'école.
Quand elle se tourna à nouveau, ses yeux se posèrent sur le petit buisson blond entre ses jambes. Elle le gardait bien entretenu et ajusté à son bikini, mais elle aimait la texture soyeuse de cette petite touffe. Lentement elle passa sa main dedans. Ses mamelons réagirent instantanément. Cela faisait presque une semaine depuis...
Quand elle toucha ses petites lèvres, elle gémit doucement et ses jambes s'écartèrent légèrement. Ce n'est pas bien de se toucher devant un miroir. Depuis qu'elle avait oublié de verrouiller la porte de la salle de bain et que sa mère l'avait attrapée avec ses doigts entre ses jambes à l'âge de quatorze ans, elle craignait les remontrances qu'elle avait reçues à cette époque. Pourtant elle ne pouvait s'en empêcher. Hypnotisée, elle regarda ses doigts écarter ses poils et pénétrer entre les plis humides. Elle eut le souffle coupé quand ses doigts trouvèrent son clitoris. Elle commença à respirer bruyamment quand ils le caressèrent et le titillèrent. Sa main gauche commença à tripoter ses seins tandis qu'elle continua de se masturber. Enfin elle ne put se retenir et elle ne parvint pas à retenir le cri de jouissance intense.
Respirant fort, avec l'odeur de son excitation, elle resta debout une minute pour se calmer avant de passer sous la douche. L'eau la rafraîchit. Elle se sentit merveilleusement détendue et à l'aise quand elle s'allongea sur la chaise longue de sa terrasse. Ce n'est que lorsqu'elle rentra, qu'elle se rendit compte qu'elle était toujours nue.
****
Contrairement à ses craintes, le dîner fut amusant. Les autres professeurs, une douzaine environ, formaient un groupe hétéroclite, mais tous lui semblèrent gentils. Elle eut immédiatement l'impression d'être intégrée. Après avoir mangé, quand ils se mélangèrent tous, un verre à la main, elle se tourna vers Nicolas BERGER, l'autre enseignant responsable de ses étudiants. Il était à peine plus âgé qu'elle, avec des cheveux bruns coupés court et une silhouette athlétique. Ils discutèrent du programme de l'année et il lui montra quels professeurs enseignaient les différentes matières. Il lui expliqua aussi ses tâches en tant que maîtresse de maison. Cela ne lui sembla pas trop difficile. Elle devait juste s'assurer que tout le monde soit présent à 22 heures et couché à Minuit. Il ajouta :
- Je crains que vous ne soyez responsable de l'aile des filles et des garçons. Nous ne sommes pas assez grands pour avoir des maisons séparées et nous passons nos nuits dans la fosse aux lions.
Soudainement il sourit :
- Avez-vous déjà rencontré un de nos lions?
Quand Anne raconta sa rencontre avec Éric MAURICE (en laissant de côté les insinuations sexuelles), l'enseignant acquiesça :
- Ouais, c'est notre MAURICE, le roi de la maison. Son père a beaucoup d'argent à dépenser. Mais la vraie raison pour laquelle il est si gâté, c'est qu'il est non seulement beau mais aussi très intelligent. Quand il s'applique c'est un élève exceptionnel. Toutefois, même sans application, il reste un élève ayant toujours les meilleures notes. Tous les garçons suivent son exemple. Et toutes les filles... eh bien, elles l'adorent. Et il le sait. Il se considère comme irrésistible. Franchement, je serais étonné qu'il n'ait pas flirté avec vous. Mais ce n'est pas mon problème bien sûr.
Anne était sur le point d'admettre que MAURICE l'avait un peu dragué, mais elle repoussa l'idée, pas besoin d'expliquer tout ça. Quand les premières personnes commencèrent à partir, Anne s'excusa. Elle était venue à pied et le retour à son chalet dans l'obscurité fut agréable. Elle dormit profondément dans sa nouvelle maison.
3 - Service de Nuit.
Les premiers jours d'école se passèrent bien. Elle était entrée en salle de cours avec des papillons dans le ventre, mais les étudiants avaient été gentils et sages, plutôt disposés à accepter son autorité. Même Éric MAURICE avait montré son meilleur côté. Les autres cours qu'elle donna furent tout aussi faciles. Elle s'installa dans une routine en appréciant ce qu'elle faisait.
Quand elle entra à l'école tôt le jeudi soir pour sa première nuit de surveillance, elle était confiante. Sa chambre était tout petite mais pas tout à fait comme le placard à balais décrit. Il y avait un lit, une étagère et un bureau. C'est tout ce qu'elle avait besoin. Elle fit ses premiers tours en annonçant sa présence et en rappelant aux garçons qu'elle était de service et qu'ils devaient être décents s'ils se promenaient dans les couloirs. Ils semblèrent l'accepter sans hésitation. Le seul inconvénient était qu'elle devait utiliser les toilettes des filles qui se trouvaient tout au bout de l'aile.
Elle passa quelques heures à préparer ses cours, interrompue seulement lorsqu'elle dut sortir pour rappeler à certains garçons de ne pas être trop bruyants dans le couloir. Ils s'excusèrent immédiatement. A 22 heures, elle commença sa tournée pour vérifier que tout le monde était là. Elle passa quelques minutes à parler avec certaines des filles, puis elle retourna du côté des garçons. Elle frappa fort à la première porte et elle s'annonça. Elle attendit un moment puis entra. Les deux habitants de la chambre la saluèrent avec un sourire et rigolèrent :
- ALTMANE et PICSON, Madame!
- Bonne nuit Messieurs! Répondit-elle en souriant.
Ce n'était pas aussi difficile qu'elle le craignait. Les autres chambres ne présentèrent pas de problèmes non plus. Quand elle se dirigea vers la dernière, David GRIFFON, le camarade de chambre d'Éric MAURICE s'approcha. Il désigna la salle de bain et elle acquiesça. Elle frappa à la porte et s'annonça comme elle avait fait aux autres portes, puis elle entra. MAURICE était allongé sur son lit en pyjama. Il la regarda sans un mot.
- Bonsoir, tout va bien? Je vérifie que tout le monde est présent.
Le jeune garçon sourit insolemment.
- Présent? Oh oui je suis bien présent.
Il baissa les yeux et Anne suivit automatiquement son regard. Sous le fin tissu du pyjama, il avait une érection évidente.
- Voulez-vous vérifier ma présence de plus près, Madame POISTOUT?
Pendant une seconde, Anne eut l'impensable idée de casser son bluff et de le faire exposer sa virilité, mais bien sûr elle ne ferait jamais ça. Elle resta silencieuse.
- Impressionnée? Demanda MAURICE avec désinvolture.
- Je serais plus impressionnée par des résultats scolaires hors normes MAURICE.
Elle savait que c'était une réponse pas très appropriée mais ce fut la seule réponse qui lui vint à l'esprit. Elle tourna les talons et partit.
« Qu'est-ce que c'est que ce garçon? ». Elle était habituée à ce que les hommes regardent son corps et ses seins en particulier, mais MAURICE semblait vouloir aller plus loin. En même temps il était assez intelligent pour ne pas être trop évident. Elle haussa les épaules. Il n'irait nulle part avec elle. Elle retourna dans sa chambre et ferma la porte derrière elle. Elle décida de se mettre à l'aise et d'enfiler son propre pyjama. Puis elle s'allongea sur le lit pour lire un moment. A minuit, elle sortit pour une dernière vérification. Tout était calme. Mais lorsqu'elle revient de chez les filles, elle rencontra MAURICE qui sortait des toilettes. Comme il était minuit passé, elle attendit qu'il entre dans sa chambre. Le garçon prit son temps et se dirigea vers elle en la regardant. Avant d'ouvrir la porte de sa chambre il se retourna une dernière fois.
- Superbe! Sourit-il en regardant sa poitrine.
Quand Anne baissa les yeux, elle réalisa que, dans le couloir froid, ses mamelons avaient durci et pointaient à travers la soie fine de son pyjama. Elle releva les yeux en essayant de trouver une réplique cinglante, mais le garçon avait déjà disparu dans sa chambre.
A suivre...
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