Récit de Patricia2 (2010)
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Poursuite de mon dressage : Nadine ,et son cousin.
J’étais fébrile, j’allais revoir Nadine, je lui avais moi-même proposé de participer à mon dressage, et tester le nouveau fouet sur moi.
Cette jeune femme qui pourrait être ma fille, et à laquelle j’allais devoir obéir, cette jeune femme qui m’avait faite me déshabiller devant elle. Son cousin comment était-il ? Qu’allait-il penser de moi ? Qu’allait-il exiger ? Cette jeune femme avait un visage d’ange mais en réalité était diabolique.
Pierre avait choisi les vêtements que j’allais porter : bottes type cuissardes, jupe ample et très courte, un chemisier que l'on peut aisément ouvrir, sans culotte et sans soutien-gorge.
Un quart d’heure avant le rendez-vous, Pierre me fit lever, m’amena au-dessous d’une poutre à laquelle pendait une corde. Il me passa des bracelets à chaque poignet, et les attachât au-dessus de ma tête à cette corde et me mit un bandeau sur les yeux.
Mon cœur battait la chamade, mon ouïe épiait le moindre bruit, j’entendis le ronflement d’un moteur, puis plus rien. Brusquement la sonnette retentit, l’heure était arrivée, je redoutais plus l’humiliation que le fouet, l’humiliation d’être traitée en objet, de devoir obéir à « ma fille », j’étais obsédée par le fait que Nadine pourrait être ma fille.
J’entendis Pierre se diriger vers la porte, Nadine faire les présentations, et Pierre remercier Nadine de me faire l’honneur de bien vouloir s’occuper de moi. Pierre proposa aux invités de boire un verre, puis il dit :
- Je vous laisse faire la connaissance de Patricia, pouvez-vous faire les présentations Nadine ?
- Volontiers !
J’entendis les pas de Pierre s’éloigner et les pas de Nadine et son cousin se rapprocher de moi.
- Je te présente Patricia, c’est une bourgeoise en mal de sensations, elle a certainement dû être frustrée ou se frustrer elle-même de sexe, les fameux interdits de la bourgeoisie, mais elle désire rattraper le temps perdu, car l’âge avance. Tu peux l’utiliser comme tu l’entends et de la façon que tu le désires, si toutefois elle t’intéresse. Je la fouetterai simplement au préalable, cela rend une femme de son genre plus coopérative. Bref, elle exprime plus son plaisir après avoir été fouettée, et cela la rend plus soumise.
Nadine n’avait pas tort, bien que plus jeune que moi, elle était plus expérimentée. Je sentis deux mains s’insinuer sous mon chemisier, monter vers mes seins, brusquement me pincer fortement les bouts et les tourner. Je hurlai de douleurs, une main se dégagea, profita de ma bouche ouverte pour y introduire deux de ses doigts et les faire aller et venir. Instinctivement, dans ma soumission, j’ouvris encore plus la bouche. Il en prit possession, y introduisit quatre doigts qui allaient et venaient. Je salivai abondamment, il se servait de ma bouche comme d’un vagin.
- Tu vois, tout à l’heure ta chatte sera dans le même état, baveuse et grande ouverte, et comme ta bouche s’est ouverte, tu écarteras tes cuisses en grand, j’adore caresser une chatte qui s’ouvre comme une moule.
Ces suggestions me faisaient grandement mouiller, je m’en voulais que ce rustre puisse me faire cet effet, tellement sûr de lui, j’étais pour lui la catin qui allait se donner, exécuter ses moindres désirs et de plus gratuitement, la femme qu’il allait manipuler à sa guise à cause de ses désirs intimes.
Ma bouche grande ouverte, ses quatre doigts entraient, ressortaient, jouaient avec ma langue. De son autre main il jouait à titiller le bout d’un de mes seins. Ma bouche demandait, quémandait ses doigts. Et j’aimais cela, cela m’excitait et je m’en voulais.
Il abandonna ma bouche, je sentis une main se diriger vers mon entrejambe. Ma pudeur m’ordonnait de serrer les cuisses, mon obéissance et envie me dictaient de m’ouvrir. Je décidai de les écarter, je sentais ma chatte inondée, il allait se moquer de moi, ou peut-être ne fera-t-il aucune remarque.
- Oh, la bourge est bien trempée, je suis sûr qu’une catin mouille moins que cela, c’est bien ce que je disais, sa chatte est comme sa bouche, on peut y enfoncer quatre doigts.
Il faisait aller et venir ses doigts en moi, m’obligea à écarter encore plus les jambes.
- Cette moule s’ouvre dès qu’elle est sollicitée, c’est un vrai plaisir !
Je ne sentais pas la solidarité féminine de la part de Nadine, au contraire, elle aimait à me voir humiliée, rabaissée.
- Bon cette bourge me semble digne d’être baisée, mais auparavant j’aimerais la voir à poil !
Il me détacha, m’ôta mon bandeau, m’ordonna de me mettre a poil. Il avait le visage rude, les épaules carrées, les mains épaisses, les yeux inquisiteurs. Je n’aimais pas son genre, et pourtant il allait me prendre, il avait tous les droits sur moi. J’avais honte, honte de ne pouvoir refuser, il allait certainement me demander de le sucer (les hommes aiment cette caresse humiliante pour les femmes, surtout quand elles sont à genoux). Je ne pensais même pas à désobéir, je cherchais les yeux de Nadine comme pour l’implorer qu’elle intervienne. Sa seule réponse fut :
- Dépêche-toi, j’ai hâte de te voir gigoter sous le fouet !
Je m’exécutai avec beaucoup de mal, je mis mes mains derrière ma tête, et écartai mes jambes. Je m’aperçus que Pierre était de retour. Il dit :
- Vous convient-elle ? vous verrez, elle suce très bien, elle a un bassin large qui vous permet de la prendre sans aucun ménagement, d’ailleurs elle aime être saillie de cette façon. Elle a pour mission de donner entière satisfaction à chaque homme auquel je la confie pour son dressage, de participer elle-même à sa propre domination.
- Si vous n’en êtes pas satisfait, vous pouvez la punir de la manière qu’il vous convient, vous trouverez tous les instruments nécessaires sur la commode. Le programme pour la suite, tout d’abord, Nadine va s’occuper de la fouetter, vous verrez, après le fouet, elle est toujours plus soumise, elle se donne beaucoup plus. Ensuite, nous jouerons un peu avec elle et enfin, je discuterai avec Nadine pendant que vous pourrez en faire selon votre bon plaisir
Je fus rattachée les mains en l’air, Nadine alla chercher le fameux fouet, me mit un bandeau sur les yeux et me dit :
- Finalement je t’aime bien, (j’étais rassurée), mais qui aime bien châtie bien, et je t’aime beaucoup, si tu as envie de pleurer, tu le peux...
Je sentis ses lèvres contre les miennes, elle m’embrassa, c’était la première fois qu’une femme m’embrassait, puis elle s’écarta de moi. J’entendis alors le fouet siffler, aïe, que dis-je aïe, c’était cuisant et horrible sur mes épaules, j’avais le bandeau et ne voyais pas venir les coups, puis, ce fut mes fesses, mes cuisses, mon, ventre, c’était horrible. Je suppliai Nadine, elle était sourde, je me tortillai, elle me demanda d’écarter encore plus mes cuisses.
- Je vous en supplie Nadine, pas à cet endroit, non, pas cela !
Je transpirai. Nadine s’approcha, m’embrassa à nouveau, ma langue cherchait la sienne, j’y mettais
tout mon cœur, mon âme.
- Si tu ne veux pas que je te fouette entre les jambes tu dois me supplier de te fouetter sur tout le corps et de m’en remercier, tu devras t’abandonner à mon cousin.
- Je vous en supplie Nadine, fouettez-moi, je ferai tout ce que vous exigerez de moi, je vous en remercie par avance !
Le sifflement du fouet repris, je pleurai, je sanglotai, mais ne demandai plus rien, j’étais vaincue.
Ils me détachèrent, j’étais épuisée. Ils m’installèrent sur le lit, me passant de la pommade sur mes striures. Ils me firent écarter les cuisses, les deux hommes me maintinrent les cuisses ouvertes et en l’air pendant que Nadine s’occupait de mon clitoris avec la brosse à dents achetée au sex-shop. Elle s’amusait à m’amener prêt de l’orgasme, puis arrêtait, c’était machiavélique, horrible, la frustration de l’orgasme était insupportable, ma chatte était inondée, ouverte, j’en avais honte, ils pouvaient tous le voir.
Puis, Nadine et Pierre s’en allèrent pour discuter, Nadine me fit la recommandation d’être parfaite, sinon...
Voilà, j’étais entre les mains du cousin que je n’appréciais pas trop mais auquel je devais obéir, donner satisfaction, et même plus, participer moi-même à ma propre domination. La première chose qu’il me fit faire, c’est de me faire mettre a genoux, et me forcer la bouche avec son sexe sans ménagement, de me la mettre bien profond comme il disait. Je suçai sans grande conviction, il s’en aperçut et je reçus une paire de gifles. Je continuai alors avec beaucoup plus d’ardeur, et j’avalai.
- Tu verras femelle, tes trois trous vont y passer, j’ai pris du viagra, la bourge va être comblée.
Effectivement, il était infatigable, il me fit prendre des positions on ne peut plus obscènes. Je sentis qu’il prenait possession de moi, pas de brutalité, mais de la rudesse, sans me ménager, j’étais la femelle que l’on prend, que l’on utilise, et qui n’avait qu’à s’ouvrir, s’abandonner, et remercier. Il se servit de mon corps comme d’un objet qui a une âme qui éprouve du plaisir, avec de temps en temps une fessée pour me rappeler ma condition.
Le plus humiliant c’est peut-être lorsqu’il éjacula dans ma bouche et qu’il me demanda de bien mâcher son sperme avant de l’avaler. Ou de tester l’ouverture de mon vagin avec un goulot de bouteille, le corps de la bouteille devait entrer.
Combien de fois ai-je joui ? Combien de fois ai-je été contrainte de m’abandonner, et combien de fois désira-t-il m’entendre « chanter » ?
Pendant ce temps, je remarquai que Pierre faisait l’amour avec douceur à Nadine. L’après-midi se termina, Nadine et son cousin prirent congé, Nadine me dit tendrement et en m’embrassant :
- A bientôt Patricia !
Elle m’embrassait à pleine bouche, puis elle me susurra :
- Alors, entre les jambes la prochaine fois ?
Elle attendait ma réponse, m’embrassait, j’étais désorientée, paniquée, comment dire non à un ange ? Je répondis :
- OUI, et, pourquoi pas tout de suite ? Si vous le désirez...
- Ce sera pour la prochaine fois, j’ai obtenu ce que je voulais, je t’aime beaucoup et donc, je te ferai souffrir, énormément souffrir, mais en retour tu auras droit de me donner un gage.
Les invités partis, Pierre me demanda si j’étais jalouse de Nadine, je lui répondis que oui, un peu.
- Tu sais, Nadine t’aime réellement, c’est moi qui devrais être jaloux. Et toi qu’éprouves-tu pour elle ?
- Elle a une façon de faire, de demander, de s’imposer, qu’il m’est impossible de lui refuser si elle désire quelque chose, je n’ai jamais eu de relations avec une femme et n’ai jamais éprouvé ce fantasme, mais avec elle c’est différent, je suis troublée.
- Si tu le désires nous la reverrons, Nadine aime être soumise à un homme, mais seulement si elle le choisit, et dominante avec les femmes, tu lui plais beaucoup !
- Alors, je suis d’accord pour la revoir.
- Bientôt tu auras une autre épreuve pour ton éducation, Nadine t’accompagnera. Je désire te prêter pour une soirée à deux amis, Nadine sera là pour te sécuriser et te surveiller.
A suivre...
Hâte de lire le prochain épisode. Les femmes sont très souvent les plus cruelles entre elles et certains savent particulièrement bien se servir du fouet y compris sur un homme pour le soumettre totalement quand elles sont lesbiennes. Une sorte de vengeance cuisante ...
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