samedi 15 mars 2025

Dans le bus Ch.03

 Traduction d’un texte de creativeboyinspring

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Yesnia est violée et jouit.

Je regarde fixement devant moi alors que je suis un peu étourdie. Mon nom est Yesnia. J’ai 19 ans. Ma moyenne à l’université est plus que parfaite. Je suis bonne en cours depuis que je suis enfant. Dans quelques semaines, lors de la remise des diplômes je serai sûrement la major de l’université. Cette année mon projet scientifique a remporté la troisième place au niveau national et me permet d’avoir plusieurs propositions de bourses pour éviter d’avoir à payer mes études.

Je suis très intelligente, plus que la moyenne. Je suis aussi très douce. Alors pourquoi suis-je dans cette situation ?

Je suis pratiquement nue, assise à l’arrière d’un bus scolaire, avec comme seul vêtement un chemisier qui a été remonté de façon à couvrir mon visage comme un masque. Au cours de la dernière heure, un groupe de gothique m’a harcelé et forcé contre ma volonté à faire des choses sexuelles horribles. Et j’ai peur d’avoir aimé certaines d’entre elles.

Ils m’ont fait monter dans ce bus qui fait partie d’un voyage scolaire auquel je n’étais pas inscrit. Il va à la capitale de l’État pour que les étudiants puissent visiter des monuments. Il est prévu que le trajet dure six heures.

Les gothiques m’ont menottée au siège du fond et ils m’ont déshabillée pour voir et se moquer de mes seins bien trop gros et de ma chatte rasée. Ils ont même jeté mes vêtements par la fenêtre du bus en marche.

Après cela, ils ont utilisé le cordon USB de mon téléphone pour attacher chacun de mes seins bien serrés. Ils m’ont fait faire une fellation (c’était la première fois que je le faisais). L’un d’eux s’est branlé entre mes seins et une fille m’a léché la chatte. Le pire c’est que c’est la première fois qu’on me le faisait et qu’elle était vraiment douée, au point que j’ai eu l’orgasme le plus puissant de toute ma vie.

Maintenant je suis toujours assise et menottée, avec l’impression que j’ai perdu dignité et respect pendant qu’ils se moquent de moi. Je sais qu’ils prennent des photos, car j’entends le déclic continu de leurs téléphones. Je me dis qu’ils ont dû faire aussi beaucoup de vidéos pendant cet horrible voyage. Je sais que je dois avoir l’air sale, car celui qui s’est branlé entre mes seins a joui sur ma poitrine. Je ne peux rien faite d’autre que les laisser faire, car mes mains sont attachées aux côtés du cadre du siège.

- Puisque que c’est toi qui l’a sali, c’est à toi de nettoyer la ringarde ! Ordonne Paul qui se montre le chef du groupe.

- Mais ça valait le coup ! Dit le gars fièrement. 

J’entends une fille lui répondre affirmativement. Ils se mettent tous à rire.

Je sursaute lorsque je sens de l’eau froide se déverser sur ma poitrine. C’est très froid et je ne m’y attendais pas, ce qui me crispe. Je me demande bien où ils ont pu trouver l’eau, mais je sais que l’université est tenue de prévoir des bouteilles d’eau lors de voyage durant plus d’une heure. Donc il doit y avoir dans le bus une glacière avec des bouteilles.

L’eau se déverse sur mes seins. Comme je suis assise sur le siège, elle coule directement sur ma chatte et s’accumule là. Je sens une petite flaque entre mes jambes, là où je ressens une sensation étrange. C’est encore quelque chose que je n’arrive pas à comprendre.

Un moment plus tard, je sens quelque chose comme un chiffon ou une chemise que l’on passe sur mes seins. Le gars les essuie rudement pour enlever le sperme. Encore un peu d’eau est versée et il reprend son nettoyage. Mais de nouveau il veut m’humilier, car mes seins nettoyés, il commence à verser de l’eau sur moi, de mes cheveux à mes épaules, et partout. Je réagis en gémissant, car l’eau est froide et je reste humide. Ils ne me sèchent pas.

Le pire dans tout ce qu’ils font, c’est qu’ils s’attendent à ce que je me taise et que j’encaisse. Je devrais crier à l’aide, mais ils savent que je ne le ferais pas. Au début je ne l’ai pas fait, car j’avais remarqué qu’ils étaient sous l’emprise de la drogue et j’avais peur. En y pensant maintenant, je me dis que je suis stupide, car fumer de l’herbe n’a jamais rendu agressif.

Et maintenant, je pense qu’il s’est passé trop de choses pour que je puisse faire quoi que ce soit. J’ai l’impression de m’être résignée à cette situation pour une raison étrange. Que toute chance que j’avais d’obtenir de l’aide a disparu et que je suis obligée de les laisser faire ce qu’ils veulent. Les seuls mots que j’ai le droit de dire sont des grossièretés et des choses humiliantes qu’ils m’obligent à dire, comme « Regardez mes mamelles ». C’est le nom qu’ils ont donné à mes seins.

- Allez ! Montre-nous !

J’entends Jessica parler sur un ton sévère de professeur. Je sais qu’elle s’adresse à moi, même si à travers le chemisier je ne peux pas vraiment bien voir.

- Salope de ringarde, garde tes jambes écartées ! Tu as gardé ta chatte d’intello cachée si longtemps qu’elle a besoin de prendre l’air et d’être vue ! Commente-t-elle vicieusement.

Les autres rient. Je sais que le seul but est de m’humilier davantage. Je doute qu’elle ait vraiment envie de voir cette partie de mon anatomie, surtout avec ce qu’elle a fait plus tôt. Je pense qu’elle veut que je me sente encore plus soumise et possédée.

Mon visage rougit sous le chemisier et je sens une montée d’excitation qui devient si habituelle alors que je fais ce qu’elle dit. J’écarte les jambes comme elles étaient il y a quelques minutes, aussi écartées que possible. Ma chatte rasée est maintenant entièrement exposée. La sensation que je ressens est l’excitation, mais aussi l’addiction. Je déteste et j’aime à la fois. Surtout quand ça vient d’une autre fille.

- Maintenant, comme punition, secoue ces grosses mamelles ! Dit un garçon.

Après un soupir, je fais rouler mes épaules tout en gardant les jambes écartées. Comme ils me l’ont fait faire tant de fois aujourd’hui, je sens mes seins noués se trémousser, se balancer et rebondir violemment. Bien sûr j’entends à nouveau qu’ils prennent des photos. 

Alors que je secoue mes seins, je commence à réaliser quelque chose, quelque chose d’horrible, seulement… c’est à propos de moi. L’idée de comment m’en sortir me vient à l’esprit, il faut que je commence à crier. Crier fort pour que le chauffeur et tous les passagers du bus me sauvent. Mais au moment où je pense à ça, je sens une partie de moi me dire de rien faire. Cette partie de mon esprit ne veut pas que je le fasse, parce que j’aime ça. Je suis heureuse d’être traité ainsi…

Un gémissement s’échappe de mes lèvres alors que je pense à quel point je suis une perverse dérangée qui aime ça. Et en admettant que j’aime être traitée ainsi, je sais instantanément pourquoi. Parce que je me sens soumise et possédée. Dans ma vie il a toujours été question de tout planifier. Mes parents, les enseignants, les conseillers essaient de planifier ma vie. Alors je me tiens à ce plan et je force ma vie à le suivre. Mais aujourd’hui je suis impuissante et je ne contrôle plus rien. Et ça fait tellement du bien. 

- Bon, je pense que c’est le moment ! Dit Paul.

Je ne sais pas s’il me parle ou s’il le dit à quelqu’un d’autre. j’ai toujours pensé qu’il était un adolescent débile s’habillant bizarrement, le genre qui vénère Satan, le leader de son groupe. Maintenant je commence à me demander s’il est vraiment mauvais.

- Lynn, va devant et vois si tu peux pas trouver quelqu’un pour mettre de la musique. Je crois qu’il y a des gars de l’équipe de basket et généralement ils aiment bien mettre leur musique de merde très forte. Dit Paul.

La fille ne dit rien, mais je suppose qu’elle le fait, car j’entends du bruit dans les sièges et des pas qui s’éloignent.

- Vous trois, mettez-vous sur le siège devant elle et levez-vous. Je veux que vous empêchiez quiconque de voir ce qui se passe ici. Que l’on me cherche pas ! Ordonne-t-il.

A ce moment je déglutis, car je n’aime pas ce que j’entends. De nouveau, il y a du mouvement et des bavardages excités. Je pense que les autres veulent savoir ce qu’il est sur le point de faire, tout comme moi. On dirait que quoi que ce soit, Paul le prévoit depuis longtemps. Et je pense que ça l’excite.

- Debout l’intello ! Commande-t-il.

Ça me surprend, car je pensais que la dernière chose qu’il voulait me voir faire, c’est de me lever, car on pourrait me voir. Et la première chose que l’on verrait c’est ma tête couverte de mon chemisier, puis on s’apercevrait que je suis torse nu. Mais finalement je réalise que personne ne va me voir si les trois personnes sur le siège devant sont debout. Ils vont former un mur.

Sans rien dire, je ferme mes jambes et je me mets debout. Mes jambes tremblent au début, mais ma force revient et je me stabilise. Je ne peux pas vraiment me tenir complètement debout, car mes mains sont toujours attachées au siège. Mais je fais de mon mieux et me retrouve un peu penchée.

Mon cœur commence à battre la chamade quand je sens Paul s’approcher. Il s’installe sur le siège juste derrière moi. Je sens ses jambes glisser derrière les miennes. Il s’assoit sur mon siège… Dans mon dos.

La musique démarre. La plupart des étudiants dans le bus applaudissent. La musique est plutôt forte avec beaucoup de basses. Des étudiants se mettent à chanter, mais je ne reconnais pas la chanson. Tandis que le bruit s’intensifie dans le bus, j’entends faiblement le son d’une ceinture que l’on défait.

- Tu savais que ça allait arriver, ringarde ! Me dit Paul comme un avertissement.

Je sens ses mains saisir mes hanches. J’ai des frissons. Il m’attrape fort, ses ongles s’enfoncent dans ma chair, ce qui me fait glapir de douleur. Maintenant je sens qu’il me tire vers le bas.

- Doucement et lentement. Ouais, comme ça la ringarde ! Dit-il en me guidant alors que je commence à m’asseoir.

Je gémis alors que mon cul se déplace lentement vers le bas. Je devine ce qui va se passer. C’est juste que je n’y crois pas. Ça ne peut pas m’arriver ?

Et puis je le sens… je sens sa bite. J’ai le souffle coupé lorsqu’elle touche mon vagin. Il a du bien viser pendant que je descendais. Je sens glisser sa queue entre les lèvres de ma chatte.

- Oh mon Dieu ! Dis-je dans un murmure essoufflé alors qu’il me force lentement à m’empaler sur sa bite. Petit à petit il me pénètre en écartant les parois de mon intimité, ce qui me fait gémir. Comme une humiliation de plus, je découvre que je suis extrêmement humide et qu’il n’a aucun problème pour me pénétrer. Il glisse à l’intérieur sans aucun problème. 

Je descends encore et encore et bientôt je suis empalée sur sa bite. Je la sens profondément en moi. Dans un instant de folie, je m’imagine qu’elle me transperce complètement et qu’elle sort de ma bouche. Je n’ai jamais fait cela auparavant et c’est une expérience surréaliste.

Je laisse échapper un gémissement très clair en m’asseyant sur lui, sa queue dans ma chatte. Là, je sens que mes muscles vaginaux s’agrippent à son membre et donnent l’impression que j’ai besoin de ça depuis longtemps. Comme si ma chatte attendait ça que quelqu’un me fasse enfin ça.

Nous restons assis comme ça pendant un moment, sans que personne ne dise rien. Je savoure cette sensation, car je n’ai jamais fait l’amour das cette position. Paul ne bouge pas et moi non plus, car j’aime le sentir en moi. C’est alors que je comprends pourquoi il ne bouge pas. Il veut que je sente bien sa bite en moi tout en sachant que je ne peux rien y faire. C’est une autre façon de me montrer qu’il commande alors que je suis menottée au siège.

- Allez ! Dit-il.

Je sens qu’il soulève mes hanches vers le haut. Il est costaud, presque capable de me soulever tout seul. Mais je l’aide avec mes jambes. Je continue à remonter, j’ai l’impression qu’il veut que je me détache de lui. Je me soulève, sentant sa bite presque sortir de ma chatte jusqu’au moment où il me tire violemment pour m’empaler à nouveau.

Je gémis à la sensation soudaine de sa bite qui s’engouffre en moi. Mis je n’ai pas le temps de savourer, car je suis obligée de me relever pour être prête de nouveau à être perforée. La sensation de friction de la chair s’intensifie et je sens qu’il va plus loin en moi. 

Sachant ce qu’il veut, je répète encore et encore cette action, me soulevant pour qu’il puisse me forcer à m’empaler sur sa queue. Au bout d’un moment, alors qu’il me fait descendre, il donne un coup de rein vers le haut et il enfonce encore plu sa bite en moi.

Je suis incapable de m’empêcher de gémir quand il me fait ça, quand il me baise moi, la fille prude. Je me fais baiser à l’arrière du bus comme une actrice de porno. Le sentiment incroyable que cela me procure est amplifié alors que mes seins ligotés rebondissent  et que nous commençons à avoir un rythme rapide et régulier. 

Cette sensation de sa bite à l’intérieur de mon ventre, entrant et sortant, poussant les parois de mon vagin, est de loin la meilleure expérience sexuelle que j’ai jamais eue. Ça n’a pas de sens, mais j’ai l’impression d’avoir une vraie séance de sexe plutôt que les petites expériences que j’ai eu auparavant. Je me rends compte que mes premières aventures sexuelles étaient décevantes.

Bientôt, je sens que je vais avoir un orgasme. Il se construit lentement, mais sûrement. Il se rapproche. Pour la première fois je crois que je vais vraiment jouir en baisant.

- Putain, regardez ces mamelles rebondir de partout ! Dit un des garçons pendant que je rebondis sur la bite.

Chaque fois que je monte et descends, je sens ma poitrine se soulever, retomber et trembler. Tout comme j’entends le métal des menottes tinter contre le siège.

Pendant un moment, j’oublie le groupe de gothiques qui me regardent. Tout est flou et j’oublie où je suis. Le monde réel à disparu et je ne ressens que mon plaisir.

Le son de mes fesses tapant ses cuisses devient de plus en plus fort. En même temps, à chaque fois qu’il enfonce sa bite en moi, je laisse échapper un gémissement et je ne peux l’empêcher. C’est trop bon et mon corps ne peut s’empêcher de réagir.

- Baise ma bite, ringarde ! Murmure Paul en me faisant sauter sur lui.

Je ne crois pas qu’il me le dise à moi. Je pense que c’est plus une façon pour accélérer les choses.

- Je… Je… Je suis sur… Le point de… Jouiiir…

Je me surprends à dire ces mots à voix haute. Encore une fois, je n’avais pas l’intention de le faire, mais ça sort tout seul, comme une réaction naturelle de mon corps. Puis ça arrive, je jouis.

Ma bouche s’ouvre et je sais que je ne pourrais pas arrêter le gémissement ou le cri qui s’annonce. Mais soudain quelqu’un force sa main sous mon chemisier sur mon visage. Il me fourre plusieurs doigts dans la bouche pour me bâillonner. Les doigts s’enfoncent loin et quand mon gémissement arrive, il est étouffé.

En chevauchant la bite de Paul comme une pute, je jouis fort. Mon corps se tend tandis qu’il continue de me baiser et de me faire rebondir sur son sexe. En plus, les doigts dans ma bouche commencent à bouger dans un mouvement de va-et-vient. En réaction je ferme mes lèvres dessus en pensant que ça pourrait être une autre bite.

Les vagues de plaisir qui démarrent entre mes jambes montent et descendent le long de mes membres. Ces vagues sont si fortes et si puissantes que je les sens jusqu’au bout de mes doigts. C’est comme si chaque vague de plaisir était une bombe qui explosait entre mes jambes avec une onde de choc qui se propage partout.

En ressentant cette sensation incroyable, je commence à bouger plus vite. Je fais exprès de me pencher un peu pour mieux me contrôler, puis je me jette sur sa queue aussi fort que je peux, encore et encore. Mon orgasme devient plus intense et le bruit de martèlement plus fort.

Mais ma jouissance commence à s’estomper. À ce moment-là je me crispe, car je veux m’accrocher à ce plaisir. Cet orgasme est celui que je voulais la première fois que j’ai fait l’amour. Il est clair, féroce et intense.

Paul continue à me baiser, même si je ne bouge presque plus de mon côté. Puis soudainement, il pousse très fort tout en me tirant par les hanches. Il est tellement violent que je suis sûre que j’aurai des bleus à cet endroit, car il ne me lâche pas. 

Puis je ressens quelque chose que je n’ai jamais connue quand il jouit en moi. Je sens de la chaleur dans mon ventre alors qu’il éjacule encore et encore, sa bite tressaillant à chaque fois. Il me tient fermement en place pendant qu’il laisse son sexe répandre son foutre au plus profond de moi. J’ai l’impression qu’il marque sa propriété. Tout ce que je peux faire, c’est de rester assise sur lui et le sentir jouir en moi.

- Tu aimes ça, ringarde ? Demande Lynn d’un ton moqueur en retirant ses doigts de ma bouche.

Je sens ma salive et ma bave sortir avec, ce qui me fait me sentir encore plus sale. Maintenant que l’action est terminée, les autres se joignent à elle pour me noyer sous les commentaires moqueurs alors qu’ils me voient toujours empalée sur la bite de Paul.

- Je parie que c’est la première bite d’un vrai homme qu’elle prend dans sa chatte ! Dit Jessica pour faire en sorte que je sois encore plus humiliée.

Pour m’humilier encore plus, l’un d’eux avance la main et touche mon clito.

- NO… NONN.. S’il vous plaît ! Supplié-je.

J’essaie de reculer, mais ce n’est pas comme si j’étais capable de bouger. Comme j’ai les jambes bien écartées, ils commencent à s’amuser avec mon clitoris. Ils l’effleurent, le caressent, le titillent et ils tirent même dessus. À chaque fois je sursaute et réagis, mais je suis incapable de bouger avec la bite toujours en moi.

Une fois qu’il est reposé, Paul me soulève et me fait comprendre qu’il veut que je bouge. Je le fais lentement et sa bite sort de ma chatte. Je perds mon souffle, car mon sexe avait vraiment serré sa bite. Je me tiens sur mes jambes flageolantes tandis qu’il remet son pantalon puis glisse hors du siège. Je soupire alors et je suis reconnaissante qu’ils aient arrêté de toucher mon clitoris.

Dès que Paul est sorti du siège, je m’effondre dessus, fatiguée. Mon corps est en miettes et je suis couverte de sueur. Même mes jambes me brûlent à cause de la vigueur avec laquelle je les ai utilisées.

J’écarte les jambes, car je sais qu’on me l’ordonnera de toute façon. Je les écarte largement pour qu’on puisse voir ma chatte baisée. En fait, j’écarte tellement que mes pieds touchent les pieds du siège.

Assise ainsi, je sens ma féminité palpiter à cause de la séance de baise que je viens d’avoir. Ma chatte est un peu à vif, mais elle en veut plus. Jamais je n’ai été comme ça.

Un bout de temps s’écoule sans que personne ne dise rien ou ne fasse quoi que ce soit. La musique dans le bus est toujours aussi forte, et les gens parlent fort aussi. Je réalise que quels que soient les bruits que nous avons faits, personne n’a rien entendu.

- Hé Paul, tu penses que tu pourrais déplacer cette menotte ? Demande un des gars.

Un moment plus tard, je sens que ma main gauche est tirée par la menotte alors que Paul soulève un peu le siège. Celui-ci est fixé à un cadre à certains endroits, mais il est capable de le soulever et de faire passer la menotte le long d’une tige dessous.

- Super ! Tu peux rassembler les deux menottes ? Demande le gars, très excité.

Je sens Paul près de moi. Il continue de soulever le siège pour que son autre main fasse avancer la menotte. Je soulève mes jambes sans que l’on me dise pour qu’il puisse passer. La menotte glisse et me force à me tourner dans le siège pour que mon bras suive.

Je me retrouve bientôt face au côté du bus, même si je ne peux pas le voir à cause de mon chemisier. Mes deux poignets se retrouvent sur le côté droit du cadre. Je ne sais pas vraiment ce qu’ils cherchent à faire, car je suis dans une position étrange, assis sur le siège, mais le haut de mon corps tourné sur ma droite.

- D’accord l’intello, mets-toi à genoux ! Dit le gars excité alors que Paul retourne sur son siège. 

Encore un peu confuse et humiliée, je place mes genoux sous moi. Avec mes mains menottées comme elles le sont, c’est un peu comme si je me prosternais à genoux tout en étant courbé.

J’entends alors un mouvement qui ne peut venir que du gars qui a parlé. Un moment plus tard, je le sens derrière moi dans l’allée. Je ne sais pas comment, mais je sens bien qu’il est là.

- Baisse la tête et relève ton cul, l’intello ! Dit-il en appuyant ma tête sur le siège.

Il appuie fort mon visage contre le siège et de l’autre main il attrape ma hanche et guide mon cul jusqu’à ce qu’il soit en l’air à l’endroit où il veut. Il n’arrête pas de me bouger, de lever et baisser mon cul jusqu’à ce qu’il décide qu’il est à la bonne hauteur pour lui.

- Quelqu’un peut se mettre dans l’allée, s’il vous plaît? demande-t-il avec un peu de frayeur dans la voix.

J’ai l’impression qu’il a peur de ne pas être capable de faire quelque chose. J’entends des rires et une des filles lui fait une remarque. Mais je sens un mouvement et je me dis que un de ses amis se place dans l’allée pour cacher ce qu’il va faire.

- N’est-elle pas jolie et intelligente comme ça ? Dit l’une des filles d’un ton moqueur.

Juste après ces paroles… je le sens à l’entrée de ma chatte. Je frissonne en sentant la bite du gars s’immiscer entre mes petites lèvres. Des émotions confuses m’envahissent à nouveau.

Je frissonne encore lorsqu’il glisse et enfonce son membre dans ma chatte. Mais dans cette position, j’ai l’impression que son sexe presse ma chatte d’une manière différente. Il frotte contre mes parois d’une nouvelle manière, me créant d’autres sensations. c’est tellement inattendu que je frissonne plusieurs fois à cette sensation agréable.

Il va jusqu’au bout, jusqu’à ce que ses couilles tapent contre mes cuisses. En sentant cela, je fais quelque chose qui me donne vraiment l’impression d’être une pute. Mais je m’en fiche, j’écarte les jambes. Je les écarte autant que je peux sur le siège sans tomber. Ainsi il a un accès plus facile aux profondeurs de ma chatte.

Maintenant il commence vraiment à me baiser en faisant des va-et-vient rapides. Et bientôt il s’adapte au rythme de la chanson qui emplit le bus. Si bien que les bruits de claquements pendant qu’il me baise se noient dans la musique. En plus j’entends des étudiants applaudir en rythme.

Des gémissements s’échappent de ma bouche alors qu’il me baise dans cette position dégradante. À un moment donné, j’essaie de lever la tête pour glisser mes coudes sous moi, mais quelqu’un appuie sur mon visage pour le maintenir contre le siège. On m’ordonne de ne pas bouger.

Soudain le gars s’arrête. Il ne m’a pas baisée longtemps et il s’arrête. Et je sens pourquoi, il éjacule. Je sens sa bite se contracter alors qu’il gicle son sperme à l’intérieur de mon vagin. Une chaleur se répand dans mon ventre, mais au lieu de me sentir comme violée, je trouve que c’est bon. Je pense que le gars n’a pas pu se retenir longtemps.

- Éjaculateur précoce ? Rigole Paul. 

Les autres se joignent à lui pour se moquer de leur ami. Ils lui demandent s’il est puceau et s’il a déjà baisé une fille. Le gars se retire complètement de ma chatte. Je suis insatisfaite. En rangeant sa bite dans son pantalon, le garçon répond à ses amis de façon embarrassée.

Tandis que les gothiques continuent de se moquer de leur ami, je respire profondément, car je me sens bizarre. Je ne me sens plus du tout moi-même. Je ne me sens plus la fille la plus intelligente et studieuse de l’université, la fille réservée. Je me sens vivante et d’une certaine manière libérée. Tout comme je me sens aussi honteuse et embarrassée.

- Retourne-toi ! Ordonne Paul.

Je ne suis pas certaine qu’il s’adresse à moi, mais je ne vois pas pourquoi il dirait ça à une de ses amis. Alors je me mets d’abord à quatre pattes. Personne ne me bouscule et ils me laissent le temps de prendre mes repères.

Ma chatte est à vif après les rapports sexuels que je viens d’avoir, mais elle palpite, comme si elle en voulait davantage. C’est au point que même lorsque je fais glisser mes jambes pour m’asseoir sur le siège, ce simple contact fait vibrer ma féminité. Ensuite je bouge mes jambes dans l’autre sens et je m’allonge, les bras restant attachés au côté droit du siège.

Je suis obligée de croiser mes bras au-dessus de ma tête, car les menottes m’empêchent de faire autre chose. Donc je m’allonge sur le dos, mes jambes pendantes sur le côté du siège et dans l’allée. Étrangement c’est plus confortable que toutes les autres positions que j’ai eues auparavant. 

Être allongée ainsi est bizarre, car la sueur rend le siège glissant, tellement glissant qu’il est facile de faire bouger mon corps sur le siège. Je sens aussi mes seins ballotter à cause du mouvement du bus. Ils se trémoussent et tremblent comme des flans, ce qui m’humilie encore plus.

- Bien, tu te mets dans l’allée… Et toi sur le siège devant !

Paul recommence à donner des ordres. Ils vont continuer à s’amuser avec moi. Je ne sais pas du tout à qui il parle et je m’en fiche complètement. Il y a une partie de moi qui veut juste que ça se termine, mais il y a une autre partie, la plus importante, qui veut que ça continue, qui veut être satisfaite. Seulement, je ne sais pas ce qui me satisferait.

Quelqu’un se glisse sur mon siège. Qui que ce soit, il reste devant, se déplaçant juste dans l’espace entre mon siège et celui de devant, là où l’on met les jambes. Il se déplace jusqu’au bout, où se trouve ma tête.

- Vas-y, fais-le ! On va te cacher ! Personne ne verra ! Dit Paul dans un murmure contrarié. 

Juste après ces mots, je sens des mains sur mes jambes. Elles se placent sous mes genoux et les soulèvent. Elles replient mes jambes de façon à ce qu’elles reposent sur les bras de quelqu’un.

Mon chemisier qui masque mon visage est tiré. Des mains le saisissent par le col et tire dessus jusqu’à ce que ma bouche soit libérée. Le tissu reste sur mon nez pour l’empêcher de redescendre. 

Je soupire en pensant que ma bouche va encore être violée par une bite. Comme si elle était en accord avec mes pensées, la personne près de ma tête se déplace pour me chevaucher. Elle grimpe sur moi, juste sur mes épaules. Elle place ses genoux de chaque côté de moi, de sorte que son entrejambe est prêt de ma bouche. A ce moment-là, j’attends la sensation d’une bite se posant sur mes lèvres pour me faire savoir que je dois ouvrir la bouche.

Mais la personne s’assoit sur mon visage. C’est surprenant et je veux pousser un cri, mais ma bouche est pressée contre quelque chose qui étouffe le bruit. La personne n’est pas complètement assise sur moi sinon je risque d’étouffer et mourir sous le poids.

- Sors ta langue et lèche, l’intello ! 

C’est Jessica. J’écarquille les yeux pour voir à travers le tissu de mon chemisier si c’est vraiment elle, mais je ne peux pas voir grand-chose, à part que c’est la silhouette d’une femme qui est à califourchon sur moi. Je crois aussi qu’elle a enlevé son pantalon et sa culotte.

C’est une chatte qui est pressée contre mes lèvres. Un sexe de femme ! Ce n’est pas possible. Jessica commence alors à bouger ses hanches, pressant sa chatte contre mes lèvres encore et encore. Oh mon Dieu, je sens son clitoris. Je le sens quand elle appuie sur ma lèvre supérieure. Puis je sens les lèvres de sa chatte.

Je voudrais lui dire que je ne suis pas lesbienne, que je ne peux pas faire ça, que ce n’est pas pour moi. Bien sûr, je sais qu’elle m’a léché et que j’ai joui, mais c’est différent. Je ne suis pas lesbienne ni bi. Je ne peux tout simplement pas. Je veux dire que je sais que les filles bi ont tendance à être folles. Ce sont les plus bizarres, les plus fêtardes. Bien sûr, je peux admirer un joli corps de fille ou un beau visage, mais ça ne veut rien dire, tout le monde le fait.

Et puis voilà qu’une bite pénètre ma chatte alors que j’ai les jambes fléchies. Je gémis et mes yeux roulent dans leur orbite. La position allongée est la seule position sexuelle que j’ai connue avant cette situation. Je le sais, c’est classique et simple, mais il y a quelque chose que j’aime à être sur le dos : la sensation de devoir écarter les jambes, la sensation d’être regardée par au-dessus, le sentiment que l’homme est là pour prendre ce qu’il veut et que l’on ne peut que lui offrir.

Une chose étrange se produit quand je sens cette bite entrer en moi… Je tire la langue. Elle sort de ma bouche ouverte et je sens un goût sucré. Je goutte officiellement la chatte d’une autre femme. Alors j’explore, je bouge ma langue pour découvrir. Je fais cela jusqu’à ce que je découvre ce qui doit être son clitoris. Il est étrangement ferme par rapport au reste. Et quand j’appuie dessus, elle gémit ce qui m’excite encore plus.

Maintenant je titille à fond son clito avec ma langue. J’appuie fort puis je la déplace d’un côté à l’autre en essayant de me rappeler ce qu’elle faisait quand elle me léchait. J’appuie fort, mais je bouge lentement. En fin de compte je commence à avoir du respect pour elle, car ma langue est déjà fatiguée alors qu’elle me la fait pendant plusieurs minutes.

- C’est ça l’intello, continue ! Gémit Jessica alors que je lui mange la chatte.

Pendant qu’elle dit cela, le gars entre mes jambes commencent à entrer et sortir de ma chatte. Ses coups de rein sont violents, ce qui fait que mon corps tout entier se balance dans le siège humide. Je distingue le contour de Jessica et je vois comment elle suit le mouvement avec ses hanches pour garder le contact de sa chatte sur ma bouche.

Mon sexe s’accroche à la bite du garçon. Je mouille encore terriblement et ma chatte se contracte sur la bite. Cette fois je sens bien la friction quand elle entre et sort. Je ne sais pas pourquoi ou comment ça arrive, mais je jure que les muscles de mon sexe se referment sur le membre en moi.

Mon corps recommence à s’animer au fur et à mesure que la chaleur augmente. Ça commence entre mes jambes et ça se déplace vers l’extérieur. Je m’interroge sur le fait que le corps humain change pendant les séances de sexe. La chaleur qui monte en moi me rend plus agressive et je fais glisser ma langue plus rapidement sur son clitoris, de gauche à droite, puis de haut en bas. Et plus je vais vite, plus j’essaie d’appuyer sur son petit bouton. Je sais qu’elle aime ça, car elle gémit mon nom. Bien sûr, elle a dit « ringarde », mais elle parlait de moi.

Alors que je la lèche, je n’ai qu’une idée en tête : Je suis en train de lécher une femme. Je suis en train de lécher la chatte d’une femme. Moi, la fille bien élevée, la première de l’université, celle qui est reconnue comme être la plus sage. Je suis sur le dos , en train de me faire baiser pendant que je lèche une chatte. Ce n’est pas possible. Je veux dire… Ce n’est pas moi.

Celui qui me baise est de plus en plus brutal maintenant. Il se penche en avant tout en me baisant. À chaque coup de rein, ça fait un bruit sourd. La sensation de sa bite qui s’enfonce et se retire rapidement fait que j’ai du mal à me concentrer sur les mouvements de ma langue. Je pense que Jessica s’en rend compte, car elle se tourne légèrement et pose une main sur mon ventre.

Je voudrais protester alors qu’elle fait glisser cette main vers mon intimité. Toutefois, toutes les protestations que je voudrais émettre sont arrêtées par sa chatte. Bientôt je sens ses doigts sur mon clito.

Instantanément celui-ci s’enflamme lorsqu’elle le touche. J’essaie encore de crier et de me débattre, mais je ne peux rien faire. Je suis impuissante face à ce qu’ils me font. Je ne suis pas seulement menottée, mais on s’assoit sur moi pour m’empêcher de bouger et on tient mes jambes en place. Je suis vraiment sans défense.

Je lèche Jessica de façon automatique. Je ne me contente pas d'effleurer son clito, mais je tourne en rond autour, le taquinant avant de le lécher à nouveau. C’est comme si je ne faisais qu’un avec son corps. Je sais que c’est efficace parce qu’elle continue à gémir.

Je sens un orgasme monter en moi et je me bats intérieurement pour l’empêcher. Mais contrairement à la fois précédente où je l’ai senti venir de loin, cette fois-ci il explose soudainement. J’ai l’impression que mon corps s’embrase. Je n’ai jamais eu autant chaud. Les vagues de plaisir déferlent au point que j’en ai des spasmes. Mes muscles se tendent au point que le gars qui tient mes jambes ne peut plus les retenir. 

Je gémis encore et encore alors que je jouis comme jamais auparavant. Je n’aurais jamais pensé que cela puisse m’arriver, que je ferais l’amour avec une femme, et que je serais baisée en même temps. Et j’ n’aurais jamais pensé que des gens regarderaient. Mais c’est ce qui se passe et je pense que c’est la raison pour laquelle je jouis si fort.

- Elle jouit encore !

J’entends la voix de Jessica se moquer de moi pendant que les vagues de plaisir me submergent. Mes gémissements deviennent plus aigus à chaque vague. Je me dis que c’est assez fort pour que le reste du bus entende, mais Jessica presse sa chatte sur la plus grande partie de ma bouche afin d’étouffer tout bruit. Je crois qu’elle aime me voir gémir et crier dans son sexe. Elle-même gémit plusieurs fois.

- Oh ça vient ! Elle le fait vraiment. Cette intello va me faire jouir !

Les mots de la jeune fille me surprennent. Puis elle attrape l’arrière de ma tête pour la forcer à se presser contre son sexe. La manière frénétique dont elle le fait me fait comprendre qu’elle ne joue pas la comédie. Elle va jouir parce que je la lèche. Puis je ressens une certaine humiliation alors que nous jouissons toutes les deux en même temps.

Après ce qui me semble une éternité, mon orgasme atteint son apogée et commence à s’estomper. Pendant ce temps, le gars continue de me pilonner de manière brutale et sadique. Il veut sûrement s’assurer que je sente bien sa bite. Mon corps se détend peu à peu, agissant comme s’il avait obtenu ce qu’il voulait vraiment. Cela a l’air de contrarier le garçon qui me baise, car il passe ses mains sous mon cul et me soulève pour mieux me pénétrer. 

- Tiens ! Dit-il après quelques instants !

Il se retire soudainement et je le sens gicler entre mes jambes. Il déverse son foutre sur mon monticule, giclées après giclées. Son sperme jaillit jusque sur mon ventre.

- Espèce d’âne, tu as sali ma main ! Se plaint Jessica.

Elle est toujours assise sur mon visage. Ses amis rigolent et je reviens à la réalité de ce qui se passe. Pendant un moment j’ai eu l’impression d’être connectée amoureusement avec les deux. Mais en vérité, ce sont des agresseurs. Ce sont des brutes qui profitent de moi et m’utilisent comme ils le veulent. Je suis un simple objet à humilier et baiser.

Après son orgasme, Jessica se soulève et laisse mon visage et mon cou mouillés de son jus. Avant qu’elle ne parte vraiment elle baisse mon chemisier afin qu’il recouvre complètement mon visage. Je ne sais pas pourquoi, mais ça me gêne vraiment. J’ai vraiment l’impression de n’être qu’un objet d’amusement. Que je ne suis rien pour eux, que je suis si négligeable qu’ils ne veulent pas voir mon visage.

Fatiguée, je reste allongée tandis que celui qui m’a bien baisée s’éloigne en laissant mes jambes tomber du siège dans l’allée. De nouveau j’entends des déclics qui m’indiquent qu’ils prennent des photos. Mais je m’en fiche. Qu’ils prennent des photos de mon corps couvert de sperme, qu’ils prennent des photos de mes seins qui remuent, qu’ils fassent ce qu’ils veulent, de toute façon ce n’est qu’un cauchemar. C’est obligé.

Allongée, je ressens une étrange vibration. J’ai l’impression que tout le monde est épuisé. Après tout, plusieurs ont joui. Après tout ça, ils doivent être fatigués et ils veulent sûrement se reposer.

C’est vraiment ce qui se passe. Ils retournent chacun à leur place comme si rien ne s’était passé en me laissant dans cette position. Ils commencent à parler entre eux sur d’autres sujets sans se soucier que je sois là. Au bout d’un moment, Paul me tape sur les jambes et me dit de les mettre dans le siège pour que personne ne les voie. Mais il ne dit et ne fait rien d’autre. Cette bande de salauds me laissent simplement allongée sur le siège, menottée et sans défense, sans penser à ce qu’ils m’ont fait. Par contre, je sens encore comment ma chatte a bien été baisée.

J’essaie de me préparer mentalement à ce qui va se passer ensuite. Le bus va bientôt arriver à sa destination. Il va s’arrêter et tout le monde va descendre. Le chauffeur, un professeur, ou quelqu’un d’autre montera et fera un tour dans le bus. Alors il me verra et il alertera la police. Les professeurs seront prévenus et les journalistes viendront. Ma vie sera terminée. C’est ce qui va se passer une fois qu’on m’aura retrouvée.

Je suis tiré de mes pensées par des applaudissements et quelqu’un qui dit à l’avant du bus :

- Nous sommes presque arrivés !

Comme le bus ralentit et qu’il tourne à plusieurs reprises, je sais que le voyage est presque terminé.

Alors je m’assois lentement sur le siège avec l’impression que je vais fondre en sanglots. C’est tellement étrange ce que je ressens maintenant. Même si j’ai détesté ce qu’ils m’ont fait et que j’ai été intimidée, en quelque sorte j’ai aimé aussi. Bizarrement, je ne veux pas que ça s’arrête. C’est pour moi une nouvelle expérience, aussi horrible qu’elle ait pu être, mais ça m’a libérée. Ce fut une véritable expérience sexuelle, une que je n’oublierai jamais… Une que je veux renouveler.

Le bus s’arrête complètement dans le bruit des freins à air. J’entends maintenant les élèves se lever pour descendre. Nous sommes bien arrivés à destination.

- Oh, ne crois pas que l’on en ait fini avec toi, l’intello ! Déclare soudainement Paul en s’installant à côté de moi.

Il me le dit en chuchotant d’un air menaçant. J’ai l’impression que tout le groupe de gothiques me regarde. Je ne peux pas les voir à cause de mon chemisier, mais je les sens.

- Nous avons encore une surprise pour toi. Tu gardes ta chatte de ringarde ici et tu n’as pas intérêt à te faire remarquer, sinon… Compris ? Prévient Lynn d’une voix sérieuse.

Je me sens à la fois découragée par le fait que ça continue et j’ai envie de sauter de joie en même temps. Tout ce voyage a été vraiment déroutant. Pourquoi pourrais-je aimer quelque chose d’aussi horrible ? Pourquoi en voudrais-je plus ? A quel point suis-je dérangée ?

- Dis-le ! Ordonne alors Jessica.

Puis les autres se joignent à elle pour que je répète leur avertissement. Mais cette fois, ils chuchotent en faisant attention à ne pas être entendu. 

- Je… Je comprends. Je vais garder mes mamelles d’intello ici. Dis-je doucement.

Ils rient et me demandent de secouer à nouveau ma poitrine. Je le fais. Puis ils m’ordonnent de me recroqueviller sur le siège et de ne pas bouger afin que personne ne me voie et ne m’entende.

Ils quittent le bus en me laissant seule. Recroquevillée sur le siège arrière du bus, j’attends de voir ce qui va se passer. La peur m’envahit. Les gothiques vont-ils revenir . Si oui, que vont-ils faire ? Ou est-ce le chauffeur qui va me trouver ? 

Que va-t-il m’arriver ?

A suivre…

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