samedi 29 mars 2025

Dressage d’une quadra Ch. 03

Récit de Patricia2 (2010)

*****

Poursuite de mon dressage : Nadine ,et son cousin.

J’étais fébrile, j’allais revoir Nadine, je lui avais moi-même proposé de participer à mon dressage, et tester le nouveau fouet sur moi.

Cette jeune femme qui pourrait être ma fille, et à laquelle j’allais devoir obéir, cette jeune femme qui m’avait faite me déshabiller devant elle. Son cousin comment était-il ? Qu’allait-il penser de moi ? Qu’allait-il exiger ? Cette jeune femme avait un visage d’ange mais en réalité était diabolique.

Pierre avait choisi les vêtements que j’allais porter : bottes type cuissardes, jupe ample et très courte, un chemisier que l'on peut aisément ouvrir, sans culotte et sans soutien-gorge.

Un quart d’heure avant le rendez-vous, Pierre me fit lever, m’amena au-dessous d’une poutre à laquelle pendait une corde. Il me passa des bracelets à chaque poignet, et les attachât au-dessus de ma tête à cette corde et me mit un bandeau sur les yeux.

Mon cœur battait la chamade, mon ouïe épiait le moindre bruit, j’entendis le ronflement d’un moteur, puis plus rien. Brusquement la sonnette retentit, l’heure était arrivée, je redoutais plus l’humiliation que le fouet, l’humiliation d’être traitée en objet, de devoir obéir à « ma fille », j’étais obsédée par le fait que Nadine pourrait être ma fille.

J’entendis Pierre se diriger vers la porte, Nadine faire les présentations, et Pierre remercier Nadine de me faire l’honneur de bien vouloir s’occuper de moi. Pierre proposa aux invités de boire un verre, puis il dit :

- Je vous laisse faire la connaissance de Patricia, pouvez-vous faire les présentations Nadine ?

- Volontiers !

J’entendis les pas de Pierre s’éloigner et les pas de Nadine et son cousin se rapprocher de moi.

- Je te présente Patricia, c’est une bourgeoise en mal de sensations, elle a certainement dû être frustrée ou se frustrer elle-même de sexe, les fameux interdits de la bourgeoisie, mais elle désire rattraper le temps perdu, car l’âge avance. Tu peux l’utiliser comme tu l’entends et de la façon que tu le désires, si toutefois elle t’intéresse. Je la fouetterai simplement au préalable, cela rend une femme de son genre plus coopérative. Bref, elle exprime plus son plaisir après avoir été fouettée, et cela la rend plus soumise.

Nadine n’avait pas tort, bien que plus jeune que moi, elle était plus expérimentée. Je sentis deux mains s’insinuer sous mon chemisier, monter vers mes seins, brusquement me pincer fortement les bouts et les tourner. Je hurlai de douleurs, une main se dégagea, profita de ma bouche ouverte pour y introduire deux de ses doigts et les faire aller et venir. Instinctivement, dans ma soumission, j’ouvris encore plus la bouche. Il en prit possession, y introduisit quatre doigts qui allaient et venaient. Je salivai abondamment, il se servait de ma bouche comme d’un vagin.

- Tu vois, tout à l’heure ta chatte sera dans le même état, baveuse et grande ouverte, et comme ta bouche s’est ouverte, tu écarteras tes cuisses en grand, j’adore caresser une chatte qui s’ouvre comme une moule.

Ces suggestions me faisaient grandement mouiller, je m’en voulais que ce rustre puisse me faire cet effet, tellement sûr de lui, j’étais pour lui la catin qui allait se donner, exécuter ses moindres désirs et de plus gratuitement, la femme qu’il allait manipuler à sa guise à cause de ses désirs intimes.

Ma bouche grande ouverte, ses quatre doigts entraient, ressortaient, jouaient avec ma langue. De son autre main il jouait à titiller le bout d’un de mes seins. Ma bouche demandait, quémandait ses doigts. Et j’aimais cela, cela m’excitait et je m’en voulais.

Il abandonna ma bouche, je sentis une main se diriger vers mon entrejambe. Ma pudeur m’ordonnait de serrer les cuisses, mon obéissance et envie me dictaient de m’ouvrir. Je décidai de les écarter, je sentais ma chatte inondée, il allait se moquer de moi, ou peut-être ne fera-t-il aucune remarque.

- Oh, la bourge est bien trempée, je suis sûr qu’une catin mouille moins que cela, c’est bien ce que je disais, sa chatte est comme sa bouche, on peut y enfoncer quatre doigts.

Il faisait aller et venir ses doigts en moi, m’obligea à écarter encore plus les jambes.

- Cette moule s’ouvre dès qu’elle est sollicitée, c’est un vrai plaisir !

Je ne sentais pas la solidarité féminine de la part de Nadine, au contraire, elle aimait à me voir humiliée, rabaissée.

- Bon cette bourge me semble digne d’être baisée, mais auparavant j’aimerais la voir à poil !

Il me détacha, m’ôta mon bandeau, m’ordonna de me mettre a poil. Il avait le visage rude, les épaules carrées, les mains épaisses, les yeux inquisiteurs. Je n’aimais pas son genre, et pourtant il allait me prendre, il avait tous les droits sur moi. J’avais honte, honte de ne pouvoir refuser, il allait certainement me demander de le sucer (les hommes aiment cette caresse humiliante pour les femmes, surtout quand elles sont à genoux). Je ne pensais même pas à désobéir, je cherchais les yeux de Nadine comme pour l’implorer qu’elle intervienne. Sa seule réponse fut :

- Dépêche-toi, j’ai hâte de te voir gigoter sous le fouet !

Je m’exécutai avec beaucoup de mal, je mis mes mains derrière ma tête, et écartai mes jambes. Je m’aperçus que Pierre était de retour. Il dit :

- Vous convient-elle ? vous verrez, elle suce très bien, elle a un bassin large qui vous permet de la prendre sans aucun ménagement, d’ailleurs elle aime être saillie de cette façon. Elle a pour mission de donner entière satisfaction à chaque homme auquel je la confie pour son dressage, de participer elle-même à sa propre domination. 

- Si vous n’en êtes pas satisfait, vous pouvez la punir de la manière qu’il vous convient, vous trouverez tous les instruments nécessaires sur la commode. Le programme pour la suite, tout d’abord, Nadine va s’occuper de la fouetter, vous verrez, après le fouet, elle est toujours plus soumise, elle se donne beaucoup plus. Ensuite, nous jouerons un peu avec elle et enfin, je discuterai avec Nadine pendant que vous pourrez en faire selon votre bon plaisir

Je fus rattachée les mains en l’air, Nadine alla chercher le fameux fouet, me mit un bandeau sur les yeux et me dit :

- Finalement je t’aime bien, (j’étais rassurée), mais qui aime bien châtie bien, et je t’aime beaucoup, si tu as envie de pleurer, tu le peux...

Je sentis ses lèvres contre les miennes, elle m’embrassa, c’était la première fois qu’une femme m’embrassait, puis elle s’écarta de moi. J’entendis alors le fouet siffler, aïe, que dis-je aïe, c’était cuisant et horrible sur mes épaules, j’avais le bandeau et ne voyais pas venir les coups, puis, ce fut mes fesses, mes cuisses, mon, ventre, c’était horrible. Je suppliai Nadine, elle était sourde, je me tortillai, elle me demanda d’écarter encore plus mes cuisses.

- Je vous en supplie Nadine, pas à cet endroit, non, pas cela !

Je transpirai. Nadine s’approcha, m’embrassa à nouveau, ma langue cherchait la sienne, j’y mettais
tout mon cœur, mon âme.

- Si tu ne veux pas que je te fouette entre les jambes tu dois me supplier de te fouetter sur tout le corps et de m’en remercier, tu devras t’abandonner à mon cousin.

- Je vous en supplie Nadine, fouettez-moi, je ferai tout ce que vous exigerez de moi, je vous en remercie par avance !

Le sifflement du fouet repris, je pleurai, je sanglotai, mais ne demandai plus rien, j’étais vaincue.

Ils me détachèrent, j’étais épuisée. Ils m’installèrent sur le lit, me passant de la pommade sur mes striures. Ils me firent écarter les cuisses, les deux hommes me maintinrent les cuisses ouvertes et en l’air pendant que Nadine s’occupait de mon clitoris avec la brosse à dents achetée au sex-shop. Elle s’amusait à m’amener prêt de l’orgasme, puis arrêtait, c’était machiavélique, horrible, la frustration de l’orgasme était insupportable, ma chatte était inondée, ouverte, j’en avais honte, ils pouvaient tous le voir.

Puis, Nadine et Pierre s’en allèrent pour discuter, Nadine me fit la recommandation d’être parfaite, sinon...

Voilà, j’étais entre les mains du cousin que je n’appréciais pas trop mais auquel je devais obéir, donner satisfaction, et même plus, participer moi-même à ma propre domination. La première chose qu’il me fit faire, c’est de me faire mettre a genoux, et me forcer la bouche avec son sexe sans ménagement, de me la mettre bien profond comme il disait. Je suçai sans grande conviction, il s’en aperçut et je reçus une paire de gifles. Je continuai alors avec beaucoup plus d’ardeur, et j’avalai.

- Tu verras femelle, tes trois trous vont y passer, j’ai pris du viagra, la bourge va être comblée.

Effectivement, il était infatigable, il me fit prendre des positions on ne peut plus obscènes. Je sentis qu’il prenait possession de moi, pas de brutalité, mais de la rudesse, sans me ménager, j’étais la femelle que l’on prend, que l’on utilise, et qui n’avait qu’à s’ouvrir, s’abandonner, et remercier. Il se servit de mon corps comme d’un objet qui a une âme qui éprouve du plaisir, avec de temps en temps une fessée pour me rappeler ma condition.

Le plus humiliant c’est peut-être lorsqu’il éjacula dans ma bouche et qu’il me demanda de bien mâcher son sperme avant de l’avaler. Ou de tester l’ouverture de mon vagin avec un goulot de bouteille, le corps de la bouteille devait entrer. 

Combien de fois ai-je joui ? Combien de fois ai-je été contrainte de m’abandonner, et combien de fois désira-t-il m’entendre « chanter » ?

Pendant ce temps, je remarquai que Pierre faisait l’amour avec douceur à Nadine. L’après-midi se termina, Nadine et son cousin prirent congé, Nadine me dit tendrement et en m’embrassant : 

- A bientôt Patricia !

Elle m’embrassait à pleine bouche, puis elle me susurra :

- Alors, entre les jambes la prochaine fois ?

Elle attendait ma réponse, m’embrassait, j’étais désorientée, paniquée, comment dire non à un ange ? Je répondis :

- OUI, et, pourquoi pas tout de suite ? Si vous le désirez...

- Ce sera pour la prochaine fois, j’ai obtenu ce que je voulais, je t’aime beaucoup et donc, je te ferai souffrir, énormément souffrir, mais en retour tu auras droit de me donner un gage.

Les invités partis, Pierre me demanda si j’étais jalouse de Nadine, je lui répondis que oui, un peu.

- Tu sais, Nadine t’aime réellement, c’est moi qui devrais être jaloux. Et toi qu’éprouves-tu pour elle ?

- Elle a une façon de faire, de demander, de s’imposer, qu’il m’est impossible de lui refuser si elle désire quelque chose, je n’ai jamais eu de relations avec une femme et n’ai jamais éprouvé ce fantasme, mais avec elle c’est différent, je suis troublée.

- Si tu le désires nous la reverrons, Nadine aime être soumise à un homme, mais seulement si elle le choisit, et dominante avec les femmes, tu lui plais beaucoup !

- Alors, je suis d’accord pour la revoir.

- Bientôt tu auras une autre épreuve pour ton éducation, Nadine t’accompagnera. Je désire te prêter pour une soirée à deux amis, Nadine sera là pour te sécuriser et te surveiller.

A suivre...

jeudi 27 mars 2025

BCBG contre SDF.

 Récit d'Elko.

*****

Madame Amboise d'Andrésy sort du magasin de lingerie où elle vient de dépenser une petite fortune. Elle remonte la rue commerçante de la ville guindée et très collet-monté où elle réside depuis de nombreuses années avec son mari. Jean-Charles Amboise d'Andrésy, en plus d'avoir une fortune personnelle, a réussi en devenant un homme d'affaire avisé. Il est le propriétaire d'une chaine de boutique de luxe qui ont fait sa renommée et sa fortune. Les Amboise d'Andrésy habitent une villa immense avec terrasse et piscine, plus le personnel qui va avec. Ségolène Amboise d'Andrésy est une jolie blonde aux yeux bleux, pas très grande mais toujours perchée sur des talons aiguilles. 

Elle passe devant un groupe de sans-domicile fixe qu'elle regarde avec dédain . Malheureusement, les SDF pullulent en France dans toutes les villes et celle-ci ne fait pas exception. Les trois hommes la regardent passer en se rinçant l'oeil.

Madame Amboise d'Andrésy porte en ce jour printannier une jupe noire légèrement fendue sur le côté qui s'arrête au dessus du genou découvrant des jambes gainées de bas fumés. Le chemisier blanc qu'elle porte laissait deviner une poitrine généreuse. Madame d 'Andrésy pour ses 64 ans est encore une belle femme qui le sait et le montre. Les trois SDF lorgnent les jambes mais aussi le collier hors de prix autour du cou de la bourgeoise.

La jeune femme s'éloigne ondulant du cul sans le vouloir... Les trois hommes l'interpellent.

- M'dame, une pièce, m'dame....

Madame se retourne regardant avec mépris les SDF.

- Vous n'avez qu'à travailler !

Les trois hommes dont la barbe mange leurs visages se regardent.

- Putain quelle salope ! Lache Jacky en se grattant.

- Ouais ! renchérit Momo.

Le dernier, celui qui était un peu le chef de la bande, Lulu, se lève.

- Venez, on va voir où elle va.

Et ils commencent à suivre Ségolène Amboise d'Andrésy.

Les talons aiguilles des escarpins noirs résonnent dans le sous-sol du parking souterrain où Ségolène doit rejoindre Brice, le chauffeur de son mari que celui-ci lui a généreusement prêté pour faire ses emplettes.

Brice est un grand martiniquais d'une trentaine d'années. Il ne se gêne pas pour matter les jambes de madame Amboise d'Andrésy quand celle-ci descend de la Mercedes Classe E quand il lui ouvre la portière. Il lui arrive parfois, quand madame en porte, d'appercevoir fugitivement l'attache d'un porte-jarretelles...

Brice sort de la berline en entendant claquer les talons aiguilles de madame. Plutôt content, il va encore pouvoir jouer les voyeurs en matant les jambes de l'épouse de son patron. Cette bourgeoise bien née l'excite avec ses airs de sainte-nitouche. Il se branle parfois en s'imaginant la défoncer comme une chienne, la faisant gueuler sous ses coup de boutoirs. Il l'a surprise une fois en facheuse posture avec son professeur de yoga. Madame en tenue de sport, legging et top moulant ses gros seins, se faisait baiser par Boris, son prof de yoga, une grand type d'origine russe. A quatre pattes dans la salle de sport aménagé dans sa villa, le legging baissé, madame gémissait sous les coups de pines de Boris qui la pilonnait comme un fou la tenant aux hanches. Les seins dégagés du top gigotaient dans tous les sens. Le regard fou, haletante, décoiffée, madame ondulait de la croupe pour mieux sentir la bite de son prof de yoga la limer consciencieusement. Brice avait fait une petite vidéo avec son portable qu'il se repassait parfois dans la berline en attendant madame.

Momo, Lulu et Jacky avancent à pas de loup dans le parking souterrain.

Ils aperçoivent la bourge se diriger vers sa Mercedes. Les trois SDF décident de lui voler son collier pour se faire de la thune. Le collier doit coûter un an de salaire d'un ouvrier moyen... Ils s'approchent silencieusement de leur victime...

Brice entend un hurlement et il se cache instinctivement derrière la voiture. Il jette ensuite un coup d'oeil. Stupéfait, il voit la femme de son patron se débattre dans les bras de trois hommes qui ont l'air d'être des mendiants. Ségolène pousse des cris tentant d'échapper aux mains qui commencent à se faire baladeuses. 

Jacky empoigne un sein ferme à travers l'étoffe du chemisier blanc. A genoux, Lulu essaie de soulever la jupe courte de madame Amboise d'Andrésy. Il y parvient découvrant le porte-jarretelles qui retient les bas fumés... Momo vient en aide à Jacky qui ouvre le chemisier blanc exhibant un soutien-gorge bien rempli. Momo descend les balconnets avec un rire gras. Il pose ses mains sales sur le seins de madame qui pousse un grognement. Momo et Jacky s'amusent à tirer sur les pointes des mamelons faisant couiner madame. Ségolène parvient à leur échapper et elle se met à courir maladroitement sur ses talons aiguilles en direction du chauffeur.

Brice bande deja comme un malade en voyant arriver vers lui sa patronne dépoitrailler, haletante, la jupe tirebouchonnée autour de la taille. Elle se jette dans ses bras. Les trois SDF arrivent derrière elle. Ils s'arrêtent net en découvrant le chauffeur, le black étant très impressionnant.

Mais l'aide dont madame espére obtenir de son chauffeur ne vient pas. Bien au contraire... Brice vient d'avoir une idée. Ce qu'il n'aurait jamais oser faire va pouvoir par ce coup du destin se réaliser. Avec un sourire bien pervers, Brice sort son portable et montre la vidéo de Ségolène avec Boris. Madame blêmit sous son maquillage.

- Mais, mais.... bafouille-t-elle.

Réalisant sa tenue indécente, elle tente de redescendre sa jupe mais Brice l'arrête.

- Non! Reste comme ça !

Madame ouvre de grand yeux, plus choquée que son chauffeur lui donne un ordre que par le ton employé pour le lui donner. Les trois SDF sont bouches bées devant la tournure des événements.

- Tu veux que je montre la vidéo à ton mari ? Ça serait le divorce assuré !

Effondrée, Ségolène supplie son chauffeur.

- Je vous en supplie Brice, ne faites pas ca. Je vous donnerai de l'argent, je rachète votre film ! lance t'elle pleine d'espoir.

Malheureusement pour madame Ségolène Amboise d'Andrésy, Brice a une tout autre idée.

- Mets-toi genoux !

- Quoi ? bafouille-t-elle, quoi?

Impitoyable, son chauffeur appuie sur ses épaules la mettant de force à genoux devant lui. Il sort son sexe bandé devant le visage aristocratique de madame qui arrondit les yeux devant la taille impressionnante de la bite de son employé. Il empoigne ses cheveux blond et la tient de cette manière. Puis, il force le barrage de ses lèvres rouges. Madame veut protester mais cela se transforme en gargouillis inintelligible.

Jacky, Momo et Lulu se branlent comme des fous en voyant cette aristo distinguée à genoux devant ce black lui pomper la bite. Le black fait coulisser sa queue dans la bouche de sa patronne en ondulant du bassin. Il la tient par les cheveux et il s'agite rapidement dans sa bouche faisant hoqueter Ségolène lui provoquant des hauts le cœur. Lulu plus téméraire, s'approche de madame et lui retrousse sa jupe montrant son cul à ses camarades. Il la positionne à quatre pattes et écarte le string. Il passe la main sur la fente de Ségolène qui rugit en tentant de se débarasser de cet importun. Mais Brice la rappelle à l'ordre en lui fessant le cul.

Lulu est rejoint par Jacky et tout deux enfoncent leurs doigts dans la fente de Ségolène. Momo rejoint Brice et ce sont maintenant deux bites que madame d'Andrésy sucent, haletantes. Elle prend entre ses mains manucurées la bite de Momo pour la branler pendant qu'elle suce toujours le membre de son chauffeur, salivant sur la hampe, lui léchant les couilles.

Derrière elle, Jacky et Lulu font coulisser leurs index et leurs majeurs rapidement provoquant un clapotis qui résonne dans le silence du parking souterrain.

Ségolène est relevée et poussée vers la Mercedes. Penchée en avant, les seins écrasés sur le capot de sa voiture, bien campée sur ses talons aiguilles, madame gémit sous les coups de pines de son chauffeur qui réalise enfin son fantasme : baiser comme une chienne la femme de son patron.

Madame Amboise d'Andrésy grogne sous les coups de boutoirs de Brice. Son ventre vient claquer contre ses fesses. Jackie et Lulu ont enfoncé leurs bites dans la bouche de madame qui a un haut le cœur tellement ils sentent mauvais. Elle tente de lutter contre les deux SDF qui veulent absolument lui faire sucer les deux membres en mêmes temps.

La machoires deformée par les deux queues, madame les recrachent par moment pour pouvoir prendre une goulée d'air.

Elle gémit et grogne, le black continuant de la défoncer comme un fou la tenant aux hanches.

Pour faire une variante, Ségolène est poussée à l'intérieur de la Mercedes. Affalée sur les sièges en cuir, le cul dépassant par la portière ouverte, elle sent la bite de Momo pointer sur son trou du cul. Elle pousse un hurlement étouffé par la bite de son chauffeur qu'elle pompe de nouveau . Le SDF s'enfonce de tout son long dans le cul de la bourgeoise. La tenant fermement aux hanche, il la bourre, élargissant son anus. Madame ouvre la bouche sur un cri muet.

- Eh ! Mais, qu'est ce que c'est que ce bordel ici !

La voix résonne dans tout le parking.

Brice et ses comparses arrêtent de baiser leur bourgeoise qui leve les yeux, hagards, la bite de Momo toujours enfoncée dans son cul.

Rachid, le gardien du parking, voyant des images digne d'un film porno sur ses caméras de surveillance est descendu voir. Et il n'en croit pas ses yeux...

Ségolène, horrifiée, entend son chauffeur lui expliquer que sa patronne sous ses airs de bourgeoise respectable est une véritable petite salope. Pour preuve, la vidéo qu'il montre au gardien du parking.

Qui regarde la victime d'un autre œil.....

L 'instant d'après, les cris et les hurlement de madame d'Andrésy résonnent dans tout le parking. Debout sur ses escarpins penchée en avant, elle suce la bite de Rachid, Momo et Lulu pendant qu'elle se fait bourrer par Jacky dont le gros ventre vient claquer contre ses fesses. Pendant ce temps, Brice réalise une autre vidéo avec son portable prenant en gros plan le visage ravagée de l'aristocrate, la machoire distendue par les bites qu'elles sucent à la chaine...

Momo et Lulu éjaculent en criant, aspergeant le visage de madame de foutre qui fait couler son rimmel. Des filaments attérissent sur ses lèvres et tombent sur ses seins.

On oblige Ségolène à s'empaler sur la bite de Rachid, allongé sur le sol froid du parking. Elle monte et descend sur la queue du gardien, ses seins bougeant sous les violents coups de pines de Brice qui l'encule. Jackie se branle un instant et lache plusieurs trainée de sperme qui vont s''écraser sur le front de la malheureuse qui gémit sans discontinuer.

Affalée sur le sol du parking, ses bas déchirés, la bouche gonflée d'avoir dû suçer toutes ces bites, madame Amboise d'Andrésy attend le coup de grâce. Elle halète en regardant Rachid et Brice qui se masturbent au dessus d'elle en grognant. Ils jouissent en criant. Leurs spermes giclèrent allant s'écraser sur le visage de Ségolène...

*****

Brice ouvre la porte de la villa des Amboise d'Andrésy. Monsieur n'est pas là parti pour ses affaires au Japon.

Les cris de madame venant du salon emplissent la villa.

Brice rentre dans le salon découvrant avec un sourire Ségolène, vêtue d'une tenue de soubrette, avec un tablier, robe retroussée, découvrant ses jambes gainées de bas résille, perchée sur des talons aiguilles, penchée sur la table du salon et se faisant enculer par Rachid, que Brice a invité à manger.

Il a également convié les trois SDF qui pour une fois vont pouvoir manger à leur faim. C 'est madame qui fera le service deguisée en soubrette.

C'est Maria , la bonniche et cuisinière de Ségolène qui en a eu l'idée. Après l'épisode du parking, Brice lui a montré la vidéo.

Depuis, Maria utilise sa patronne comme bonniche dès que monsieur est parti. Elle l'oblige à faire le ménage dans des tenues indécentes ou en soubrette, la forçant à s'exhiber. Elle la baise aussi avec des sex-toys, faisant hurler sa patronne de plaisir.

Rachid, tout en besognant madame Amboise d'Andrésy, propose à Brice que la prochaine fois on emmène cette chienne dans les caves de la cité où il habite. Il a plein de potes qui voudraient baiser cette salope...

Brice sourit et enfonce sa bite dans la bouche de son ex-patronne devenue son esclave sexuelle...

FIN

mardi 25 mars 2025

Dans le bus Ch.04

 Traduction d’un texte de creativeboyinspring

 *****

Yesnia est traînée à l'extérieur.

Il fait sombre et tout est calme, un peu comme une prison où on m’aurait laissée seule. Je suis un peu effrayée. Je me demande ce qui va se passer. Je me demande quand ça va arriver. Menottée au siège, je ne peux pas voir l’heure qu’il est. Tout ce que je sais, c’est que la nuit est tombée et que quelque chose va forcément se produire.

Je suis actuellement sur le dos, sur le dernier siège d’un bus scolaire. Mes mains sont attachées au cadre du siège au-dessus de ma tête et je n’ai plus de vêtements à l’exception de mon chemisier qui était tiré sur mon visage. Après cinq minutes où je me suis retrouvée seule, j’ai remonté mon chemisier pour pouvoir voir. C’était la première fois depuis le début du voyage que mes yeux étaient découverts.

Les gothiques m’ont laissé ici. Lorsque le bus s’est arrêté, ils m’ont dit de me taire et qu’ils allaient revenir, après m’avoir maltraitée et violée durant tout le voyage. J’étais persuadée que le chauffeur du bus me trouverait lorsqu’il vérifierait si tout le monde était descendu. Mais la bande à dû trouver quelque chose pour détourner son attention. J’ai entendu une bousculade devant le bus et le chauffeur et les professeurs ont dû s’en occuper. C’est sûrement mes agresseurs qui ont voulu détourner l’attention.

C’était il y a plus de trente minutes. Enfin je suppose qu’il s’est passé environ ce temps-là. Depuis je suis seule. J’ai essayé pendant un moment de crocheter la serrure des menottes, mais je n’y suis pas arrivée. De toute façon, je n’ai même pas d’épingle ou de pince à cheveux pour m’aider, donc c’était une mauvaise idée. Et je ne suis pas assez forte physiquement pour le briser.

Puis je commence à penser et je me demande si la cause pour laquelle je ne suis pas encore sortie d’ici n’est pas le fait que je ne le veuille pas. Après tout, je suis la fille la plus intelligente de l’université, la première en presque tout. Quelqu’un d’aussi intelligent que moi devrait pouvoir trouver un moyen de me sortir de là. Et puis je pourrais crier, ça me sauverait.

Alors pourquoi ? Ils ont profité de moi et ils m’ont maltraitée pendant des heures. Pourquoi j’apprécierais ça ? Peut-être parce que j’aime ces sensations, la sensation d’être désirée, la sensation d’être humiliée, la sensation d’être vue seulement comme un objet sexuel plutôt qu’une personne. J’ai tellement ressenti de choses que ça a déclenché un éveil sexuel en moi. Je vois tout différemment maintenant.

Après tout ce qu’ils m’ont fait, je ne vois pas ce qu’ils peuvent encore faire. J’ai tellement été humiliée et abusée par ces salauds que je suis sûr qu’ils ne peuvent rien imaginer de plus. Quand ils reviendront ils auront sûrement des vêtements et même s’ils veulent encore me baiser, ensuite ils me laisseront partir. Nous partirons chacun de notre côté et ce sera seulement une mauvaise aventure, une aventure que je ne raconterai jamais. Et même s’ils se vantent, personne ne les croira.

- Hé ringarde, on t’a manqué ? 

J’entends une voix traînante. Mon cœur se serre quand je reconnais celle de Paul, le chef du groupe de gothiques. Puis j’entends les pas du groupe qui monte dans le bus vide. Je baisse mon chemisier pour qu’il recouvre à nouveau mon visage et pour qu’ils croient que je ne l’ai pas touché tout ce temps.

- Quelqu’un a envie de baiser la chatte de cette ringarde ? Demande Paul en bafouillant ?

C’est alors que je sens quelque chose qui m’effraie. Je sens l’odeur de l’alcool, du whisky sûrement.Ils ont dû boire. Mon Dieu, ils sont ivres !

La même peur qu’au début du voyage quand j’ai compris qu’ils étaient drogués, me reprend. Je suis terrifiée. Cela signifie pour moi qu’ils peuvent être dangereux. On ne pense pas correctement lorsqu’on est ivre. En vérité, on est complètement désinhibé.

- No… Non… Bafouillé-je.

Je suis gelée de peur. L’odeur du whisky devient plus forte. Le groupe braille et crie comme s’ils revenaient d’une fête. Ils sont vraiment excités.

- J’ai pensé que tu aimerais savoir… Commence Paul en s’approchant de moi à l’arrière du bus.

J’entends les autres s’asseoir sur les sièges voisins. Je peux juste voir leurs contours à travers le tissu de mon chemisier, mais je ne sais pas s’ils sont tous là.

- Nous avons abandonné le groupe alors qu’ils restaient assis pour écouter un guide ennuyeux. Et nous avons trouvé une bouteille… Alors nous avons fait la fête tout seuls. Dit Paul.

Les autres approuvent. Ils continuent de crier et brailler . Je comprends qu’ils ont bien bu.

- Et… Nous avons pensé à toi ! Déclare Jessica qui est assise sur le siège en face de moi.

Les autres rient, mais leurs rires sont différents, plus maléfiques et vicieux. J’ai l’impression que je vais encore subir des choses ignobles.

- Je… Je ne dirais rien à personne… Si vous me laissez partir. Dis-je en tremblant.

Encore une fois, les rires retentissent. Puis ils commencent à se moquer de moi.

- Oh chérie, laisse-moi t’aider ! Je n’arrive pas à croire qu’on t’ait laissé comme ça ! Dit l’autre fille, Lynn.

Elle se déplace pour attraper mon chemisier sur mon visage. Elle soulève le bas et le tire sur mon nez pour découvrir ma bouche. Ensuite, je sens du liquide versé sur ma figure. Il entre dans ma bouche. Immédiatement je tousse en en avalant un peu par accident. Et tout de suite le liquide me brûle. C’est du whisky qu’ils me versent dans la bouche. J’essaie de fermer celle-ci et de bouger ma tête pour les empêcher de faire. Alors l’alcool se répand sur ma figure, sur mon nez et sur le siège. Je tousse davantage. Et le groupe continue de rire.

Une main me saisit le menton et maintient ma tête droite. Ça dit être la main de Paul, car elle est ferme et elle me fait un peu mal, comme si on me disait de me tenir tranquille. Ses ongles s’enfoncent dans mes joues comme s’il voulait les transpercer. Je comprends son message et j’arrête de me débattre.

- Écoute l’intello ! Tu vas ouvrir la bouche et boire. Sinon on mettra la bouteille dans un autre orifice et on te soûlera de cette façon. Compris ? Dit Paul méchamment.

Auparavant il me paraissait simplement méchant, mais là il est carrément diabolique. J’ai l’impression qu’il préférerait que je n’obéisse pas pour pouvoir me faire du mal. 

J’ai peur et je tremble. Alors j’ouvre la bouche pour montrer que je vais boire. Bien sûr, le groupe continue de rire. On commence immédiatement à verser l’alcool dans ma bouche. Seulement cette fois, ils le versent lentement. Je me dis qu’ils ne vont pas en mettre beaucoup, mais au lieu de ça, ils remplissent presque entièrement ma bouche de whisky. 

Puis ils s’arrêtent et je suis obligée d’avaler. L’envie de recracher et de tousser est forte, d’autant plus que cet alcool est tellement fort qu’il me pique les yeux. Mais, petit à petit, j’avale en ayant l’impression de subir une torture. Bien sûr, les gothiques se moquent de moi pendant que j’avale, jusqu’à ce que l’un d’eux, probablement Paul, me ferme la bouche pour me forcer à avaler le reste.

Je sais que l’alcool n’agit pas aussi vite, mais j’ai l’impression d’être instantanément ivre. Mes sensations sont maintenant un peu émoussées, mais amplifiées. Mon corps est plus détendu et je suis encore plus effrayée. Je n’ai jamais bu autant d’alcool en une seule fois, c’est une expérience nouvelle pour moi. Étrangement je commence à me sentir heureuse.

- Bonne fille ! Dit Paul en lâchant mon menton.

Mon visage est couvert de whisky alors que je commence à en ressentir les effets. Je comprends qu’ils voulaient me faire boire, car ils restent assis et ils attendent. Ils pensent sûrement que je serai plus facilement contrôlable.

- Vas-y ! Dit Paul alors que ma tête devient de plus en plus légère.

A ce moment je me prépare à ce que l’un des gars passe entre mes jambes ou s’approche de mon visage pour me baiser. Mais rien ne se passe. Je sens un peu de mouvements, mais pas beaucoup. Avec mon chemisier sur les yeux et l’obscurité dans le bus, je ne peux pas voir grand-chose. Je n’ai aucune idée de ce qui se passe.

C’est alors que quelqu’un touche mes menottes. En même temps, j’entends des petits cliquetis, des bruits de métal contre métal. Puis c’est un nouveau son : Une des menottes qui s’ouvre. Ce n’est pas celle que j’ai au poignet donc ce doit être celle qui était fixée au cadre du siège. Je bouge alors mon bras gauche et je m’aperçois qu’il n’est plus attaché au siège. Je peux enfin le bouger librement.

Les bruits continuent et je comprends que l’on me libère complètement des menottes. Un peu ivre, je me maudis d’avoir pensé qu’ils allaient me faire quelque chose de pire que ce qu’ils ont déjà fait. Il est clair qu’ils me libèrent. Ils doivent aussi avoir des vêtements pour moi. Après tout, si cette histoire se sait, ils risquent la prison.

Mon autre main est alors détachée du cadre du siège. Mes bras sont complètement libérés. J’ai toujours les menottes aux poignets, mais je ne suis plus attachée au siège. La joie m’envahit, mais je suis aussi un peu triste que cela se termine enfin.

- Assieds-toi ringarde ! Commande Paul. 

Lentement, car mon corps est endolori après tout ce qu’il a subi, je m’assois. Je m’attends un peu à ce que quelqu’un me gifle ou claque mes seins, mais non. Ils restent et me regardent m’asseoir. Le monde tourne un peu autour de moi. Je ressens de plus en plus les effets de l’alcool.

- Regarde ! Dit Paul à l’un de ses amis.

Je ne comprends pas. Est-ce qu’il parle de moi. Regardez quoi ? Regardez mon corps pour voir s’ils l’ont abîmé ? Ah oui, peut-être pour voir s’il n’y a personne dans les parages. 

- Non, il n’y a personne dans le coin. Répond une voix masculine un peu plus tard. Et quelques instants après une voix féminine confirme, comme s’ils n’avaient pas cru la première personne. 

- Debout l’intello ! Ordonne Paul. 

Il m’attrape par le bras et me tire sur mes pieds. En réaction, je fais ce qu’il veut et je me lève. C’est la première fois depuis que je suis montée dans ce bus. Ce faisant, je suis consciente que mes seins se balancent et pendent. J’avais oublié qu’ils étaient attachés avec mon cordon USB. Je ressens la douleur dans ma poitrine quand elle bouge. Mes seins sont gonflés maintenant.

- Mets tes mains dans le dos et ne bouge pas ! Ordonne Paul. 

Je rougis. C’est complètement idiot, mais de me sentir debout et nue devant eux m’humilie à nouveau. J’ai l’impression qu’ils détaillent tous mon corps nu pour la première fois, alors que je suis nue depuis longtemps.

L’alcool ne fait qu’amplifier l’humiliation de ma soumission. Il rend les picotements de plaisir plus intenses qu’ils ne le sont. J’ai l’impression de lâcher prise. Ces picotements deviennent plus fort lorsque je mets lentement mes deux mains derrière mon dos comme il me l’a ordonné. Les menottes pendent.

- Avance ! 

Des mains se posent sur mes épaules pour me pousser et me tirer. On me sort du siège et on me pousse dans l’allée du bus. Ils sont si brutaux que je manque de tomber. J’arrive à me rattraper, mais je trouve que mes jambes flageolent. Je ne sais pas si c’est à cause du whisky ou du nombre de fois où j’ai été baisée, mais mes jambes sont fatiguées. Je sais que je ne risque pas de courir de sitôt.

Une fois que je me suis stabilisée, je commence à marcher. Je tourne un peu mon corps sur le côté alors que je me déplace dans l’allée du bus. Tandis que je marche pieds nus, je me demande ce qu’ils ont encore pu planifier. S’ils avaient des vêtements pour moi, ils me les auraient déjà donnés, non ? Mais après tout, ils sont ivres, donc ils m’emmènent peut-être où sont les habits.

Il me faut de l’aide pour descendre les marches du bus, car l’obscurité et le tissu sur mes yeux m’empêchent de voir. Des mains m’attrapent par-derrière et m’aide à descendre jusqu’à ce que je sente l’herbe sous mes pieds.

L’air frais de la nuit enveloppe mon corps complètement nu. La sensation est si étrange et intense que j’ai le souffle coupé. Puis je réalise. Et si des gens me voient comme ça ? Je suis dehors, nue ! Vraiment dehors, à l’extérieur ! Et si ces salauds voulaient m’exhiber à d’autres ? Je tends l’oreille et comme il n’y a pas de bruits, je me dis que ce n’est pas ça.

- Bouge ! Dit Paul en me poussant dans le dos alors que les autres descendent du bus.

Effrayée, je commence à marcher dans la direction où il me pousse. Je garde mes mains dans mon dos comme ils le veulent et je suis très consciente de la façon dont mes gros seins nus se balancent. Ils bougent tellement que je me dis que ça doit en être comique.

- Regardez ces grosses mamelles se balancer ! Dit l’un des gars.

Les autres rient. Mon visage rougit en voyant que je n’ai pas été la seule à le remarquer. Je n’ai jamais marché avec mes seins libres, donc la sensation est étrange.

- Fermez vos gueules ! Ordonne Paul.

Je comprends alors qu’il est inquiet que quelqu’un puisse les voir. En réalisant cela, je me mords les lèvres en pensant que je pourrais crier à l’aide, que quelqu’un m’entende et qu’ils aient ce qu’ils méritent ces salauds.

Mais j’oublie cette idée en réfléchissant à ce que ça signifierait pour moi. Si je crie et que j’attire l’attention de quelqu’un, tout le monde saura que j’ai été violée. Et pire, toutes les choses que j’ai dû faire, comme lécher la chatte d’une fille, se sauraient, sans parler que l’on me verrait nue. Après tout, mon avenir est prometteur. J’ai juste besoin de survivre à cette épreuve et tout ira bien. Je suis quand même la première de l’université.

Ils me font marcher et marcher, mes seins rebondissant, car je ne peux les empêcher. Aucun des membres de la bande ne dit quelque chose alors que nous avançons. S’ils le font c’est en chuchotant ou en gloussant sans que je puisse vraiment entendre. En marchant, j’essaie de comprendre où ils m’emmènent. J’ai de l’herbe sous les pieds et non du béton, donc nous ne nous dirigeons pas vers l’hôtel où ils doivent dormir. Il y a peu de lumière donc nous ne sommes pas dans une zone habitée.

- Ici ! Dit Soudainement Paul. 

Des mains me saisissent par les épaules et me tournent légèrement vers la droite avant de me pousser à nouveau. J’entends des ricanements, mais je continue à marcher. Je réfléchis au fait que je garde toujours mes mains derrière moi. Et je me demande pourquoi ? Est-ce que ça fait une différence ? C’est encore une de leurs méthodes pour me contrôler et m’humilier. Et je leur donne le pouvoir de le faire. Pourquoi je laisse faire ?

Cette pensée me donne l’envie de crier à l’aide. Je pourrais crier jusqu’à ce que quelqu’un vienne. Et quand il arriverait, les flics suivraient peu après. Des images des gothiques pris en photo au poste de police apparaissent dans ma tête. Je glousse intérieurement. Je les vois effrayés alors qu’ils vont aller en prison avec de vrais délinquants, hommes et femmes, et qu’ils vont ressentir les mêmes choses que ce qu’ils m’ont fait.

Mais encore une fois, je vois aussi l’article de presse avec ma photo de fin d’étude, article expliquant tout ce qui m’est arrivé, que j’ai laissé le groupe me violer encore et encore. Certains diraient sûrement que j’en ai profité aussi, car j’ai joui plusieurs fois. Et puis chaque fois que quelqu’un me chercherait sur Google, il apprendrait cette histoire qui me suivrait partout. Alors je me tais et marche.

Bientôt je sens du béton sous mes pieds. Puis des rainures. Je pense que je suis sur un trottoir, car les rainures sont espacées régulièrement. J’essaie de distinguer l’endroit où ils m’ont amenée, mais avec mon chemisier sur les yeux, je ne vois que des contours.

- Arrête-toi ! Commande Paul. 

J’obéis, ivre. Je ressens vraiment les effets de l’alcool maintenant et j’ai l’impression que mon esprit est au ralenti. Il me faut beaucoup plus de temps que d’habitude pour arriver à construire une pensée cohérente, ce qui n’est pas bien. D’un autre côté, j’apprécie cette sensation, car je ne m’inquiète pas comme d’habitude de chaque petite chose. Quand j’essaie de penser, j’entends les battements de mon cœur.

Des mains se posent sur mes épaules à nouveau et on me tourne. Puis on me tire en arrière. Je les laisse faire et les picotements dus à ma soumission augmentent encore plus. J’ai presque envie de sourire tellement c’est vicieux ce qu’ils me font, mais aussi presque excitant.

Je dois admettre que j’aime ça. Aussi bizarre que cela puisse paraître, j’aime qu’ils me traitent ainsi. Que suis-je ?  Je ne suis pas vraiment sûre. Une soumise ? Une esclave sexuelle ? Je ne sais pas. Mais j’ai apprécié qu’ils me fassent parader nue, avec mes gros nichons d’intello à la vue de tous. A ce moment je dois m’empêcher de rire, car je n’ai jamais fait auparavant référence à mes seins en les traitant de « gros nichons d’intello ». C’est sûrement l’alcool qui me fait parler comme ça.

Je sens alors que mes mains sont soulevées en l’air. Des personnes de chaque côté saisissent mes bars et les soulèvent vers le haut. Encore une fois, je me laisse faire , car je n’ai aucune idée de ce qu’ils veulent. Ils sont rapides, pressés. J’essaie de voir derrière le tissu de mon chemisier, mais il fait trop sombre. 

Finalement, je me demande pourquoi ils lèvent mes bras et je commence à paniquer. J’ai toujours les menottes. Avant que je puisse réagir ou bouger, j’entends le cliquetis qui verrouille les menotte. J’essaie alors de tire un coup sec avec mes deux mains, mais je m’aperçois qu’elles sont attachées en l’air.

Je tire encore et encore, mais mes bras sont maintenus en l’air et écartés. Quand je tire, j’entends un son métallique qui me permet de dire qu’ils ont attaché les menottes à une barre en fer. Alors que je continue à essayer de me libérer, j’entends le groupe de gothiques ricaner et rire. J’ai l’impression qu’ils ne se soucient plus de faire du bruit. Et ils ne se soucient pas du bruit que je peu faire en essayant de m’échapper.

Puis mon chemisier qui couvrait ma tête depuis le début est soudainement arraché. En un instant, le monde se présente à moi. Il tourne un peu et mes cheveux partent dans tous les sens. Je vois devant moi les cinq gothiques. Ils sont tous debout avec un grand sourire sur leur visage. Je vois les trois garçons et les deux filles. L’une d’elle porte mon sac à dos.

En levant les yeux, je vois que mes mains sont menottées à une barre métallique au-dessus de ma tête. Elle est maintenue par deux poteaux en bois de chaque côté. Je regarde alors tout autour pour voir où je suis. Au début, je pense qu’il s’agit d’un simple terrain de jeu dans un parc, mais ce n’est pas ça. Il y a un chemin qui traverse le parc et des petits arrêts de temps en temps sur les côtés. Mais il n’y a pas d’équipements de terrain de jeu.

Finalement je comprends. c’est une sorte de parcours de santé. Les gens peuvent courir sur le sentier et ils peuvent s’arrêter pour faire de la musculation. Je vois un arrêt avec des marches en métal. j’en vois un autre avec une barre qui doit servir pour les étirements. Et la barre au-dessus de ma tête doit servir à faire des tractions avec les bras.

- Comment se passe ta soirée, ringarde ? Demande Paul.

Ils rigolent tous comme s’il s’agissait d’une bonne blague. Bizarrement le fait qu’ils voient mon visage me fait reculer. J’ai l’impression d’être un super-héros dont on vient de découvrir les faiblesses secrètes. Je ne peux rien faire d’autre que de tourner le tête pour qu’ils ne voient plus mon visage embarrassé alors que je suis nue et sans défense.

- Bel endroit, n’est-ce pas ? Demande Paul aux autres.

Ils acquiescent tous en se moquant de moi. A tour de rôle ils parlent et ils soulignent ce qu’ils trouvent agréable : La nuit douce, l’aménagement du parcours de santé, le fait que le parc soit vide.

- S’il vous plaît… Laissez-moi partir. Je ne dirai à personne ce qui s’est passé… Jamais… Dis-je d’une voix faible tout en refusant de les regarder.

Je crois vraiment ce que je dis, je ne le dirai jamais à personne. Mais cette proposition est accueillie par des rires. Paul éclate de rire et ses amis se joignent à lui.

- Oh, et finir de nous amuser ? Se moque-t-il.

Toujours en riant, il se déplace pour être derrière moi. J’essaie de le suivre du regard pour voir ce qu’il va faire, mais bientôt je ne le vois plus. Est-ce qu’il va me donner une fessée ? Me fouetter ? Me baiser ?

- Maintenant tu vas être une bonne fille… et tu vas regarder mes amis pendant que je te baise. Dit Paul à mon oreille.

Le reste du groupe ricane alors que je rougis. Instantanément des émotions puissantes et déroutantes m’envahissent. Je voudrais lui dire « non » ou lui dire que je vis crier, mais une autre partie de moi veut savoir ce que ça fait. Ce que ça fait d’être baisée comme ç, alors que je suis impuissante.

- Ou alors, nous pourrons voir à quoi ressemble ton cul après que nous l’aurons fouetté à tout de rôle avec nos ceintures. Ajoute Paul en me révélant la seule autre option qui s’offre à moi.

Les picotements de soumission reviennent et envahissent mon corps alors que je me dis que je n’ai pas le choix.

- Attendez ! Dit Jessica comme si elle avait oublié quelque chose.

Tout le monde la regarde, même Paul qui se met sur le côté. Jessica pose mon sac à dos et l’ouvre.

- J’ai oublié une chose… J’ai regardé dans le sac de l’intello et j’ai vu quelque chose qui sera parfait ! Dit-elle en fouillant dans mes affaires.

Elle sort deux rapports que je transportais pour pouvoir les retravailler si j’avais eu du temps de libre. Que diable veut-elle en faire ? Et je comprends. Chaque paquet de feuilles est maintenu par une grosse pince en métal. Elle les enlève et remet les papiers dans mon sac en les bourrant pour qu’ils soient froissés.

Puis elle avance rapidement vers moi tout en tenant les pinces à relier. Comme elle est plus grande que moi, je la regarde en levant les yeux et je fais « non » de la tête pour qu’elle ne fasse pas ce qu’elle veut faire.

Mais elle fait un bruit idiot d’avion qui vole en levant ses deux mains. Dans chacune d’elles se trouve une pince qu’elle garde ouverte. Puis elle les pose sur mes tétons et les lâche.

Je pousse un glapissement quand les pinces mordent mes tétons déjà durs. Voilà à quoi ressemble une morsure ; J’ai l’impression que quelqu’un cherche à m’arracher les tétons. Tandis que la douleur m’envahit, je me débats contre les menottes en faisant beaucoup de bruit. Puis j’arrive à faire face à cette douleur. Elle ne disparaît pas, mais elle est moins forte qu’avant. Je baisse les yeux et je vois les pinces accrochées à mes pauvres mamelons.

Sentant l’humiliation m’envahir, Paul me pousse doucement entre les omoplates pour me faire comprendre que je dois me pencher. J’obéis et Jessica s’éloigne. Elle regagne le groupe qui regarde mes seins pendre. Je ne peux pas beaucoup me pencher, car je reste menottée à la barre au-dessus de moi, mais ça semble suffisant pour mon agresseur. Je sens Paul utiliser son pied pour écarter mon pied droit, puis mon pied gauche jusqu’à ce que mes jambes soient écartées.

Ensuite on entend le bruit qu’il fait en défaisant son pantalon. Je vois le groupe ricaner et me regarder dans l’attente de ce qui va suivre. Alors que je les regarde, je sens mes yeux se remplir de larmes, car le niveau d’humiliation que je ressens est si fort. Ils me voient soumise, ils voient mon vrai moi. Ils vont voir comment je vais réagir.

- Oh ! Gémis-je en fermant les yeux quand je sens que Paul pose sa virilité contre ma chatte.

Bien que j’aie été baisée tant de fois aujourd’hui, la sensation d’une bite bien dure sur ma chatte est très bonne. Lorsqu’il s’enfonce à l’intérieur, je gémis doucement et rouvre les yeux pour continuer à regarder le groupe devant moi. Ça me donne l’impression d’être une actrice de porno. Mais ce qui rend la situation encore plus embarrassante, c’est le regard des deux filles qui savent bien ce que je dois ressentir. Il s’agit de sensations qui se vivent en privé et non en public.

Quand Paul est complètement à l’intérieur, il se retire puis entre à nouveau. Il est d’une douceur surprenante. Il commence à pousser sa queue dans et hors de ma chatte sans être brutal comme avant. En regardant le groupe pendant qu’il me baise, j’essaie de ne pas gémir et de ne pas retourner le regard. La sensation est différente de celle d’avant, car il est plus lent. C’est toujours aussi agréable.

Puis il commence à accélérer… Et devient plus violent. En fin de compte, même si j’essaie de les retenir, des gémissements s’échappent de mes lèvres. Et ils deviennent plus forts alors que mes seins commencent à se balancer furieusement sous ses coups de rein. Mon corps tout entier se balance. J’ai l’impression que mes mains vont être arrachées par les menottes tant il est brutal. Ce salaud me baise comme une bête sauvage.

- Dis-leur… De regarder comment… Tes seins… se balancent ! Dit Paul en gardant sa main sur mon dos comme pour me forcer à me pencher davantage, même si c’est impossible.

Je ne peux pas prétendre que je n’aime pas ça. Les bruits de succion qui s’échappent de ma chatte montrent à quel point je suis excitée, même si je déteste ça. C’est peut-être pour ça qu’ils m’ont fait boire. Ils savaient que j’allais aimer.

- Regardez mes mamelles se balancer ! Dis-je sur un ton de folie.

Sur ces mots mon visage devient tout rouge et brûlant alors que je sens mes seins se balancer sauvagement et frapper presque mon estomac sous les coups de boutoirs de mon violeur.

- Regardez-les se balancer et rebondir quand il me baise ! Continué-je à dire, l’alcool me faisant agir comme quelqu’un d’autre.

Dans ma tête je pense à une actrice porno que j’ai vue dans une vidéo. Alors qu’elle était prise par-derrière, elle criait sauvagement pour qu’on continue à la baiser. Elle ressemblait à un animal en chaleur.

- Qu’est-ce… Que je baise ? Quelle... partie ? Demande Paul en semblant essoufflé.

Le bruit des applaudissements de ses amis me revient en écho alors qu’il garde un rythme rapide et brutal.

- Il baise ma chatte ! Dis-je au groupe, ce qui les fait rire.

Je suis alors surprise quand un orgasme me frappe. Des vagues de plaisir m’envahissent et me parcourent le corps pendant que je gémis comme une pute. J’essaie de regarder le groupe, mais mes yeux roulent dans leurs orbites. Paul continue à me baiser vigoureusement. La force et la rudesse de ses coups de boutoirs font que les ondes de plaisir semblent rebondir en moi. Je gémis encore plus fort.

- Nous y voilà… Nous y voilà…. Chantonne Paul tout en ralentissant.

Bientôt il ne bouge plus, sa queue enterrée en moi. Je sens pourquoi, il jouit. Je sens qu’il expulse son sperme dans mon ventre et la chaleur se répand en moi. Et même si je déteste l’admettre, je gémis à cette sensation. Je gémis alors qu’il marque une fois de plus son territoire.

- Qu’est-ce qu’il se passe l’intello ? Qu’est-ce qu’il a fait ? Demande Lynn.

Nous savons bien tous ce qui vient de se passer, mais elle veut m’entendre le dire à voix haute. Elle veut que je m’humilie encore plus.

- Il a giclé son sperme dans ma chatte ! Dis-je d’une voix honteuse.

Paul se retire. Je baisse la tête et je laisse couler quelques larmes. Encore ivre, j’ai honte d’avoir joui comme ça devant quelqu’un. Mais je pourrais encore apprécier cela. Les larmes continuent à couler alors que je pense ça et je me sens si honteuse.

Soudain je sens une autre bite à l’entrée de ma chatte. Instantanément ma tête se lève, car je ne comprends pas. Je regarde devant moi et je vois quatre personnes dont Paul. Je réalise alors qu’un des autres garçons a changé de place. Il se trouve derrière moi pour me baiser.

- Att… Attendez ! S’il vous plaît… Nonn…

Je supplie vainement, car celui qui est derrière moi fait pénétrer sa queue entièrement en moi. Je halète quand je me sens à nouveau remplie. Puis il commence à me baiser. Sa bite entre et sort en coulissant sur les parois de ma chatte.

Pendant qu’il me baise avec joie, on m’ordonne de continuer de regarder le groupe dans les yeux. J’obéis et je dois les regarder rire et se moquer de moi. Mais cette fois, on me fait dire des choses plus ignobles. Comme Paul n’est pas celui qui me baise, il est capable d’imaginer des propos horribles que je dois répéter, des mots auxquels je n’aurais jamais pensé, des mots qui les font tous rire. Je dois dire « C’est comme ça que j’aime être baisée » ou « j’espère que mes mamelles vont me frapper le visage, ou encore le pire « J’aimerais que mes amis et ma famille puissent me voir ainsi ».

Le garçon qui me baise dure la moitié du temps de Paul avant de jouir. Il éjacule en moi lui aussi, mais il s’allonge sur mon dos pendant un moment comme s’il était trop épuisé pour continuer. Je manque de lui faire un commentaire sur sa virilité, mais je sais que ça ne fera qu’aggraver les choses, alors je me tais.

Une fois qu’il s’est retiré, le troisième gars passe derrière moi. Il défait son pantalon et je sens qu’il enfonce sa bite dans ma pauvre chatte. Le processus recommence. Je suis une nouvelle fois baisée.

Ma chatte est à vif et mon dos me fait mal, car on me maintient dans cette position penchée. Bien sûr, comme avant, on m’oblige à dire des choses stupides et vicieuses comme « Baise ma chatte d’intello », « je suis intelligente te j’aime qu’on me baise » ou « j’espère que mes professeurs puissent voir ça ». ce qui rend les choses pires c’est de devoir le dire en regardant quelqu’un dans les yeux. 

Ce mec me baise plus longtemps que les deux autres et il atteint un point où mes gémissements sont continus, car je ne peux plus les retenir. Il va même jusqu’à m’attraper les cheveux et me tire la tête en arrière juste pour m’entendre crier de douleur. Puis il jouit en moi sans se soucier du fait que je risque de tomber enceinte après tout ça.

Une fois qu’il s’est retiré, je m’accroche aux menottes, épuisée. Mon pauvre corps est vermoulu et couvert de sueur. Je regarde le sol en essayant de ne pas pleurer. Mon corps est à la fois brûlant et si froid que j’en tremble.

- S’il vous plaît… Laissez-moi partir… Vous vous êtes bien assez amusés. Supplié-je.

Je ne leur dis pas de me libérer, je ne leur demande pas, mais je les supplie. Je les supplie comme la petite salope soumise que je suis devenue.

- Pourquoi ? Demande alors Paul.

Mais son ton, au lieu d’être méchant ou moqueur, est sérieux. Il me demande vraiment pourquoi ils devraient me laisser partir. Pour une raison quelconque ça me touche. Pas parce que je n’ai pas de réponse, mais parce qu’il a une vraiment faible opinion de moi. Il pense que je suis une telle ringarde qu’il ne comprend pas pourquoi il devrait me libérer. Il faut que je trouve une bonne raison pour qu’ils ne me fassent rien de plus.

- Je… Je… Commencé-je, troublée par cette situation.

Paul continue de me regarder, les sourcils levés en attendant une réponse. Mais plus je le regarde et plus je suis troublée, et rien ne sort.

- Attrapez ses pieds ! Ordonne Paul qui a fini d’attendre. 

C’est alors que maintenant que je suis capable de dire :

- Attendez !

Mais ça n’a plus d’importance. Les deux autres gars viennent vers moi, s’agenouillent et enlèvent leur ceinture. Pendant une seconde j’ai peur qu’ils commencent à me fouetter, mais au lieu de ça, ils enroulent leur ceinture autour de ma cheville. Puis ils tirent dessus pour me forcer à écarter davantage les jambes. Ils continuent à tirer alors que je me débats pour garder les jambes rapprochées. Mais ils sont trop forts. Bientôt mes pieds touchent les poteaux en bois de chaque côté de moi. Ils entourent alors leur ceinture autour de ces poteaux, rendant maintenant impossible la fermeture de mes jambes.

Je tire sur mes pieds dans l’espoir de faire craquer les ceintures, mais c’est inutile, je ne suis pas assez forte. Puis quelque chose est poussé contre ma figure. c’est gros, ça recouvre complètement mon visage. On le relâche et je vois un gros tas de terre et de feuilles tomber devant moi. Je tousse et je crache des petits morceaux de terre devant moi.

Jessica s’effondre de rire devant moi. C’est elle qui vient de presser une poignée de terre et de feuille contre ma figure. Lynn arrive, en riant elle aussi et elle déverse deux poignées de terre sur ma tête et mes épaules. Les filles continuent ce jeu pendant un moment. Elles rient tellement qu’elles doivent bientôt s’arrêter.

Après quelques instants, Jessica revient avec deux poignées de terre. Mais au lieu de les faire couler sur ma tête, elle frotte mon sein gauche avec les saletés tout en évitant la pince. Lynn se joint à elle et s’occupe de mon sein droit, l’enduisant de terre en disant :

- Sale mamelle !

Puis elles continuent leur jeu jusqu’à ce que ma poitrine soit enduite de terre. Cela fait elles s’occupent des autres parties de mon corps. Elles m’enduisent de terre, en s’assurant de n’oublier aucun endroit… A part mon entrejambe. Mais mon visage, mes bras, mes jambes , mon corps est couvert de terre. Ces garces s’amusent même à en mettre entre mes orteils.

- C’est mieux comme ça, tu ne crois pas ? Demande Paul qui s’est approché de moi et s’est placé juste devant.

Encore une fois, je le regarde, incrédule. Il agit comme si je l’avais voulu. Que c’est moi qui l’ai demandé ou quelque chose comme ça. Que cette humiliation est une chose dont nous avons discuté et que j’ai accepté.

- Bon voilà, nous allons devoir partir bientôt, mais il y a une chose que j’ai toujours voulu faire ! Dit-il sur un ton qui suggère que nous sommes devenus des amis.

Il passe alors derrière moi. 

- s’il vous plaît non ! Laissez-moi partir ! Supplié-je.

Je ne peux rien faire d’autre que supplier. Je ne peux plus bouger mes jambes. Je suis enduite de terre et mes seins sont attachés et pincés. Que peuvent-ils vraiment faire de plus ? 

Une fois de plus je l’entends se défaire de son pantalon. Ça fait bien quinze minutes qu’il m’a baisée, donc je crains qu’il ne soit prêt à recommencer. D’une certaine manière, je suis excitée par ça, mais je me sens si fatiguée.

- NON ! Crié-je, mon énergie étant revenue, alors que je sens sa bite qui cette fois-ci n’est pas sur ma chatte.

Il pose sa bite entre mes fesses et elle appuie sur mon petit trou. Il rigole de mon cri et la seule chose que je puisse faire est de tendre mon corps sale dans mes liens.

- S’il vous plaît, non ! Dis-je alors qu’il commence à forcer sa bite sur mon cul. 

Un tout petit peu entre à l’intérieur, mais c’est une situation horriblement humiliante. C’est un endroit qui n’est pas conçu pour ça. Il n’est pas destiné à être envahi par une bite.

Mais maintenant, je sens sa queue raide y entre lentement en écartant les murs de chair. Je gémis de douleur et d’humiliation. Quelqu’un enfonce une bite dans mon cul. Je sens une bite dans mon cul.

Paul se penche un peu pour pouvoir faire entrer son membre.

- Allez ! Allez ! Baise ce cul d’intello ! Chantonne-t-il alors que mon corps commence à se détendre, ce qui rend les choses plus faciles pour lui. La tension se relâche, car je ne peux plus lutter et il pousse sa queue beaucoup plus rapidement. Je ne sais pas pourquoi ça se produit, si c’est l’alcool ou une partie de moi qui le veux, mais j’arrête de serrer les dents.

Je laisse échapper un cri lorsqu’il parvient à pousser sa queue au fond de mon cul. Il la laisse là un moment et je l’entends haleter aussi fort que moi. Il a poussé sa bite aussi loin qu’elle puisse aller.

Je n’ai jamais rien ressenti de tel auparavant. c’est extrêmement violent, mais d’un autre côté la sensation est enivrante. C’est la sensation que c’est une chose qui ne devrait pas être fait, une chose qu’aucune jeune fille de bonne famille ne laisserait se produire. 

- Dis-le ! Dis ce que tu as dans le cul, ringarde ! Grogne Paul alors qu’il ne bouge plus.

Il respire difficilement, car il doit être, lui aussi, submergé par des sentiments contradictoires.

- C’est ta bite… Ta bite est dans mon cul… Dis-je, la tête inclinée sur le côté pour essayer de le voir.

Mais avec sa main il m’oblige à regarder le groupe devant moi. Les deux filles et les deux garçons ont des sourires en coin, mais ils ont l’air surpris et même choqués. Comme s’ils ne savaient pas que ça irait si loin.

- Sa bite est dans mon cul ! Dis-je sans que Paul ait besoin de me le rappeler.

C’est alors qu’il commence. Il se retire lentement puis pousse en avant très vite. A ce moment-là, je pousse un glapissement, car la douleur et le plaisir se mélangent. Il recommence à me donner des coups de rein, sauf que contrairement à la fois d’avant où il essayait juste de jouir, son but est différent. C’est comme s’il voulait que je comprenne au plus profond de mon âme qu’il a le contrôle, qu’il peut baiser toutes les parties de moi qu’il veut.

- Il… m’en… cule ! Dis à chaque coup de rein. 

Il me pilonne en me donnant l’impression qu’il déchire mon cul. Il continue de me sodomiser encore et encore. Et cette fois, comme je ne suis plus penchée vers l’avant, à chaque poussée, mes seins rebondissent vers le haut. Je n’ai jamais ressenti ça avant. j’ai l’impression que mes seins vont me frapper le visage.

- Je… Jouis… d’être… Enculée… Crié-je alors que les vagues de plaisir m’envahissent.

L’orgasme est violent et me fait pousser mes hanches vers l’arrière alors qu’il pousse en avant. Nos deux corps s’entrechoquent. Je ne me rends pas compte que je fais ça, c’est mon corps qui bouge tout seul.

Paul m’attrape alors les cheveux et tire ma tête en arrière. Il pilonne furieusement mon cul, enfonçant sa bite encore et encore aussi vite qu’il le peut. Je gémis constamment de douleur et de plaisir. Je sais que je dois crier fort, car j’entends l’écho de ma voix. Mais s’il continue comme ça, j’ai peur qu’il me casse.

Puis il s’arrête soudainement. Ou plutôt il s’effondre. Il laisse échapper un cri et il se presse contre moi comme pour se reposer. Il reste comme ça un moment, sans bouger un cil. Je suis tellement choquée et abasourdie que je ne dis rien, même pas « tu peux lâcher mes cheveux s’il te plaît ! ». Je reste comme ça, sentant toujours sa bite dans mon cul. 

Après de longs instants, il se retire lentement. Ce n’est qu’alors que je ressens les effets de cette sodomie et la chaleur de son foutre dans mon cul. Non seulement il a baisé mon cul, mais il a éjaculé à l’intérieur, marquant ainsi son territoire. Je peux sentir le liquide descendre lentement et s’écouler de mon trou du cul élargi.

Paul recule et je l’entends remonter son pantalon. Je reste exposée aux regards de ses amis. Ils m’ont baisée par tous les trous possibles. On s’est même branlé entre mes seins. Il n’y a rien qu’il ne m’ait pas fait ces animaux.

Ils ne disent plus rien. Normalement ils se moquent de moi. Mais là, ils restent silencieux en me regardant. Ils ont brisé la ringarde.

- Je… Je suis la première de l’université. Dis-je sans raison.

J’aurais voulu le dire avec fierté, pour leur faire comprendre à quel point je suis mieux qu’eux, à quel point ils sont pitoyables. Mais je n’ai pas d’énergie et les mots ne sortent pas comme je le voudrais. J’entends ma propre voix et combien elle me semble pathétique.

- Oui tu l’es ma chérie ! Dit Jessica.

Après cela le silence s’installe jusqu’à ce que j’entende Paul rejoindre ses amis. Il me regarde droit dans les yeux et dit :

- Regardez la fille la plus intelligente de l’école ! La fille la plus intelligente, nue, baisée et abusée, couverte de terre. La fille la plus intelligente qui s’est laissée faire. La fille la plus intelligente avec les mamelles attachées.

- Tiens ! Dit un des garçons à Paul en lui lançant ce qui semble être mon chemisier.

Le chef de la bande le prend et s’avance vers moi. Je vois s’afficher sur son visage un sourire méchant.

- Je sais que tu as aimé ce que l’on t’a fait. Alors on t’offre un cadeau pour te remercier. 

J’entends les autres rire. Leurs rires commencent doucement, mais s’amplifient. Bientôt leurs rires sarcastiques résonnent dans la nuit alors que Paul me montre que mon chemisier a été déchiré en une longue bande.

Il commence à l’enrouler autour de ma tête et il la noue à l’arrière. Il recouvre complètement mes yeux. Je ne vois plus que des contours flous. Mais il fait un tour de plus et je ne vois plus rien.

- Dis AAAHHHH ! Ordonne-t-il.

En fait il n’attend pas que j’obéisse et il me saisit le menton avec force. Ma bouche s’ouvre et il pousse le tissu à l’intérieur, pas qu’un petit bout, mais beaucoup. Je comprends qu’il enfonce le reste de mon chemisier jusqu’au fond de ma gorge. Il bourre tellement que je ne peux plus bouger la langue ou fermer la bouche. Un bout de tissu flotte sur mon menton comme pour indiquer que je suis bien bâillonnée.

- C’était amusant, ringarde ! Dit Paul.

Les autres acquiescent en faisant d’autres commentaires. Mais leurs paroles semblent s’éloigner. 

- On se reverra, grosses mamelles ! Dit l’un d’eux.

- Ta chatte est bien bonne ! Crie un autre.

Mais il est clair qu’ils s’éloignent. Ils partent et ils me laissent comme ça.

J’essaie de crier, mais je ne peux pas. Rien ne sort de ma bouche. j’essaie alors de bouger mes jambes, mais je ne peux pas non plus. Pareil pour mes bras, je peux les bouger d’un côté et de l’autre, mais je ne peux pas enlever les menottes, elles sont bien trop solides. Le mieux que je puisse faire, c’est de les faire tinter sur la barre métallique.

Ils m’ont laissée ici. Ils m’ont laissée, nue, couverte de terre, les yeux masqués, les jambes écartelées et bien baisée. Comment ont-ils pu ? Comment ont-ils pu me faire ça ? Comment ont-ils pu m’abandonner ?

Et puis je sens la raison… Le sombre picotement revient ainsi que la peur d’avoir été laissée ici sans défense. Je suis encore excitée. Pire encore, je mouille. Même si je crains pour ma vie, je ne me suis jamais sentie aussi excitée. Je n’ai jamais vécu une telle aventure. Les gothiques savaient ce que je n’arrive toujours pas à accepter : J’aime ça… et j’en veux plus.

- Regardez-moi ça ! Dit une voix bourrue au bout de vingt minutes. 

J’entends beaucoup de bruits, ce qui me fait penser qu’un groupe de personnes se dirige vers moi.

En les entendant, je commence à paniquer, mais je me détends aussi rapidement. Je me dis que c’est ce que je veux. C’est ce dont j’ai besoin. Alors je ne me donne même pas la peine de bouger ou d’essayer de crier. Je reste immobile en acceptant que des étrangers me voient comme je suis… Nue. Ils voient tout, mes nichons d’intello, ma chatte et mon cul bien baisés. 

- Putain, cette salope doit être vraiment chaude pour jouer comme ça. Et regardez ces gros nichons ! Dit un homme.

Alors je sens des mains sur ma poitrine. Elles me tripotent durement. Elles essaient de tenir mes nichons, mais comme ils sont trop gros, elles se contentent de les tripoter en me faisant ressentir douleur et plaisir. Ensuite on s’amuse avec les pinces sur mes tétons. On les tire, on les défait et on les remet.

Puis je sens un homme qui se presse derrière moi. Un moment plus tard, je sens ce qui doit sûrement être sa bite se présenter à l’entrée de ma chatte. Il la positionne en respirant de plus en plus fort, puis il la pousse à l’intérieur de ma chatte chaude et humide. Nous gémissons de concert. Mon dos se cambre à la sensation de la bite d’un étranger dans ma chatte.

- Être sans abri a quelques avantages, n’est-ce pas les gars ? On a toujours les meilleurs restes ! Dit le gars derrière moi.

J’entends d’autres hommes rire. J’en compte au moins six. Et tandis que l’un d’eux tripote mes sains sans pitié, celui qui est derrière moi commence à me baiser. Horrifiée par le fait que je suis violée par un groupe de SDF, je ne suis pas loin de jouir.

Plus tard, j’ouvre les yeux. Je n vois rien d’autre que l’obscurité et la confusion règne dans ma tête alors que je ressens encore les effets de l’alcool. Je sens que je ne suis plus debout, ni attachée dans le parc. Je suis allongée sur ce que je pense être un matelas. Je suis toujours nue et ma chatte et mon cul me font mal. C’est douloureux comme jamais auparavant.

Des bribes de souvenirs me reviennent alors. Ces sans-abris qui m’ont trouvé dans le parc m’ont utilisée encore et encore. Puis ils m’ont enlevé le bâillon et ils m’on fait boire ce que je pense être de la vodka. Ils m’en ont fait beaucoup boire.

Puis ils m’ont encore baisée, se relayant sur chacun de mes trous. Ils m’ont même prise en double en restant debout. Je crois même que l’un est monté sur le dos d’un autre pour essayer de mettre sa bite dans ma bouche. Du moins c’est ce que je pense me souvenir.

Et je suis presque sûre qu’ils ont appelé des amis, je me souviens de beaucoup de gars qui m’ont baisée. C’était comme une fête. Pour moi tout était flou sûrement à cause de l’alcool.

Je me souviens avoir adoré ça. Je me souviens même avoir ri à un moment donné. Je me suis jointe à la fête et j’ai ri. Même quand l’un d’eux a commencé à gifler mes seins. Je l’ai laissé faire et j’ai adoré. Je me souviens du sentiment de se sentir bien. Les gothiques avaient commencé à me le faire ressentir, mais les sans-abris ont fini. J’ai eu peur, je me suis sentie possédée et j’ai joui comme jamais auparavant. 

En clignant des yeux, je réalise que j’ai toujours le bandeau. J’essaie alors de bouger une main pour l’enlever, mais je ne peux pas. Je ne sens plus les menottes, mais je sens le frottement d’une corde. Je crois que je suis attachée, étendue sur le matelas.

D’autres souvenirs me reviennent alors que je me demande comment je suis arrivée là. Tout est si étrange. J’ai l’impression d’être droguée, car mon cerveau a du mal à traiter toutes les informations.

Ça y est, je me souviens maintenant. Quand les sans-abris en ont eu assez, ils ont enlevé mon bâillon et ils m’ont demandé pourquoi je faisais ça. C’est là que je leur ai tout raconté : Comment les gothiques m’avaient kidnappée et malmenée dans le bus, comment ils m’avaient déshabillée et violée pendant des heures. Et comment ils m’avaient laissée attachée après m’avoir sodomisée.

Mon histoire atout changé. L’un des sans-abri a dit qu’il savait comment enlever mes menottes, ce qu’il a fait. Les autres ont défait les ceintures. Ils ont enlevé le bandeau et ils m’ont libérée complètement.

Je me rappelle m’être assise avec eux dans le parc, tandis qu’ils me demandaient si j’allais bien. J’ai répondu que oui et ils m’ont donné une couverture pour me couvrir ainsi que de la vodka pour me calmer. Ils m’ont dit qu’ils pensaient que c’étaient un jeu pervers et qu’ils regrettaient d’avoir participé, qu’ils ne voulaient pas me faire de mal ou quelque chose contre ma volonté. En les entendant parler j’ai vu qu’ils se sentaient mal. Je me souviens que certains d’entre eux m’ont demandé si j’avais besoin d’aide, un téléphone ou autre chose, si je voulais appeler la police. C’étaient des gens bien. Ils avaient vraiment l’air de se soucier de moi.

Et je me souviens de ce que j’ai fait alors. Mon estomac se creuse un peu à ce souvenir. Mais dans l’ensemble j’accepte ce que j’ai fait et j’accepte ce qui s’est passé.

Tandis que j’étais assise au milieu du groupe et qu’ils s’inquiétaient pour moi, je savais que j’avais changé. Quelque chose en moi était différent et je savais que je ne pouvais pas revenir en arrière.

Alors je leur ai demandé s’ils avaient aimé de me voir pendue comme ça. Je leur ai demandé d’être honnêtes. De me dire réellement s’ils avaient aimé me baiser alors que j’étais attachée et sans défense. S’ils avaient apprécié mes glapissements de douleur et mes gémissements de plaisir et de jouissance. Bien sûr, ils m’ont répondu que oui, et l’un d’entre eux a même dit que c’était la chose la plus vicieuse qu’il ait jamais faite.

C’est alors que je leur ai dit que je voulais plus. Je voulais qu’ils me fassent encore plus de choses. Je leur ai dit qu’ils étaient libres de me faire ce qu’ils voulaient tant qu’ils me traitaient comme la femme qu’ils avaient vue en arrivant.

Ils ont changé instantanément de comportement quand ils ont compris que j’étais sérieuse. Ils m’ont arraché la couverture et ils m’ont attaché les mains derrière le dos. Ils m’ont fait même me cambrer en attachant mes bras. Ils ont ensuite attaché mes chevilles avec une corde tout en me laissant une latitude pour que je puisse avancer sans pouvoir m’enfuir.

Ensuite, je les ai joyeusement suivis jusqu’à leur camp, tandis qu’ils ne se gênaient pas pour me claquer les fesses. L’un d’eux avait attaché une corde autour de mon cou et s’en servait comme d’une laisse pour me faire avancer. Les sans-abris se moquaient de moi et me disaient toutes les façons dont ils allaient me baiser. En plus, comme je faisais des petits pas, mes seins n’arrêtaient pas de bouger et de rebondir. Ça les faisait rire et ils ne se gênaient pas pour les gifler.

Quand nous sommes arrivés à leur camp, ils m’ont amené ici, sur ce matelas, où j’ai insisté pour être attachée dessus. Ils l’ont fait et ils ont remis le bandeau et le bâillon, me rendant de nouveau complètement impuissante.

Je sens que l’on m’enlève le bâillon. Je prends quelques grandes respirations en me demandant ce qui va se passer. Je sens alors un goulot de bouteille sur mes lèvres. Levant un peu la tête, je me prépare à boire. On me verse de la vodka dans la bouche que j’avale avidement. Après avoir versé quelques gorgées supplémentaires, la personne remet le bâillon et laisse l’alcool faire son effet.

De temps en temps, quelqu’un que je ne peux pas voir vient et me baise d’une manière ou d’une autre. On baise parfois ma chatte, d’autres fois mon cul, souvent ma bouche. Et on se branle entre mes seins en les pressant ensemble. Des fois, on me détache pour m’attacher dans une autre position afin qu’ils me baisent encore. Les uns après les autres, ils abusent de moi encore et encore. Je jouis quasiment avec chacun d’eux, car je suis toujours dans un état d’excitation. De temps en temps on me donne à manger ou à boire de la vodka, mais sinon je suis toujours bâillonnée. Je suis une esclave sexuelle maintenant, une esclave sexuelle dans un campement de sans-abris.

Avant qu’ils ne m’attachent au matelas, je me souviens avoir plaisanté avec eux. Je me souviens leur avoir dit qu’ils devaient indiquer où je me trouvais pour les autres, une pancarte indiquant où se trouvait l’esclave sexuelle du camp. Ils m’ont répondu qu’ils ne savaient pas trop quoi mettre.

Je leur ai dit d’écrire : « La première de l’université »

A suivre…

dimanche 23 mars 2025

La dette - Ch.06

  Texte de Claude Lamour (2010)

*****

Lesbianisme et confession.

Finalement, je ne rentre pas si tard que ca. J’aurais le temps de prendre une douche et d’aller chercher Amandine avant qu’Eddy ne rentre. Mais lorsque j’arrive, il est dans le salon à regarder la télé.

- Ho ! Ben, t’es déjà là ?

- Oui, j’ai pu me libérer plus tôt et… Putain ! Mais qu’est ce que tu fous !?

Il s’est levé et tourné vers moi. Mais tout à coup, il a l’air furieux.

- Qu’est ce qui t’arrive ? Pourquoi te fâches-tu ?

- Tu veux me faire croire que tu a été bosser avec ca !?

Il a passé son doigt dans l’anneau du collier et il tire dessus. Pauvre de moi. J’étais tellement obsédée par les taches sur ma jupe, que j’en ai oublié de le retirer. Dire n’importe quoi, mais dire quelque chose.

- Ben non ! Bien sur que non ! Je l’ai mis quand je suis parti. Enfin, Eddy ! Je l’ai acheté, ce n’est pas pour le laisser au fond d’un tiroir !

- Cathyyyyy ! C’est un collier pour chien !

- Pffff ! Mais non ! Sors un peu ! C’est à la mode ca !

Rejoindre la salle de bain. Me changer. Il me faut le faire tout de suite avant qu’il ne découvre les taches.

- Hooo ! Et puis tu m’ennuies à la fin ! Laisse-moi tranquille, tu veux !

Je le laisse planter là et je fonce m’enfermer dans la salle de bain. Je me déshabille et balance mes affaires dans la machine à laver, que je mets en route sans attendre. Voilà ! Je me sens déjà mieux.

Une douche plus tard, toutes preuves envolées, je rejoins Eddy, le cœur léger et prête à faire la paix.

- Je suis désolée chéri. Tu sais, j’ai eu beaucoup de travail et…

- Arrête ça tout de suite, tu veux ! Le docteur vient d’appeler. Il voulait savoir s’il pouvait compter sur toi demain ! Où étais-tu cet après midi ? Pourquoi t’es-tu empressée de prendre une douche ? Tu as un amant ? C’est ca ?

- N’importe quoi ! T’es parano, mon pauvre ami ! J’ai couru les magasins pour te trouver un cadeau, si tu veux savoir ! Et à courir partout, j’ai beaucoup transpiré ! Voilà ! Ca te va comme explication ?

- Cathyyy ! Je ne pouvais pas deviner ! Je suis désolé, pardonne-moi, j’ai été stupide.

Mentir ! Voilà une chose que je n’ai jamais faite de toute ma vie. Pourtant là, j’ai l’impression d’être une professionnelle. Je suis remplie de honte face à cet homme que je trompe à tour de bras, et que j’aime pourtant passionnément. Mais comment pourrait-il comprendre mon nouveau comportement, ma nouvelle vie, mes nouvelles envies. Je m’assois sur ses genoux et passe mon bras autour de son cou.

- N’en parlons plus. Je t’aime Eddy.

Nous nous embrassons tendrement. Eddy me caresse doucement et je sens le désir monter en moi. J’ai envi de lui, là, tout de suite. Je dois fuir. Je me relève d’un coup.

- Amandine ! Faut que j’aille chercher Amandine !

- Cathyyy ! Amandine est chez Sylviane ! Il n’y a pas le feu, tout de même ! Allez ! Viens là !

- Non, non ! Je ne veux pas abuser de sa gentillesse !

- Cathyyy !

Mais je suis déjà dehors. Je suis prise de tremblements et je dois m’appuyer contre le mur pour reprendre mes esprits. Toutes ces émotions rapprochées me perturbent. Il va falloir que je me résonne et que j’arrête ce petit jeu stupide. C’est trop dur. Mon cœur s’emballe lorsque soudain mon téléphone sonne. La voix chevrotante, je dis un "Allo" timide.

- Samedi, quatorze heures, devant le zoo !

- Ho non, Maître ! Je dois vous dire… J’arrête tout !

- Samedi, quatorze heures, devant le zoo !

Il a raccroché. Personne ne peut m’obliger à me rendre à ce rendez-vous. Il se déplacera pour rien. Après tout, je m’en fous. C’est avec, je crois, l’esprit libéré que je sonne chez Sylviane.

J’adore cette fille. Lesbienne de la première heure, elle ne cesse de me draguer pour me taquiner. Mais je sais que si je lui disais oui, elle en serait ravie. Eddy aussi d’ailleurs. C’est un de ses plus grands fantasmes. Mais je ne suis pas sûre que Sylviane accepterait de le faire devant lui.

C’est une jeune fille de vingt-deux ans. Rousse, grande, belle et mince, elle porte des cheveux longs et bouclés qui coulent dans son dos. Elle est souvent juste couverte d’une petite robe d’été. Ça lui va bien. Ses seins ne connaissent pas le soutien-gorge. Il est vrai que bien que sa poitrine soit plus grosse que la mienne, elle est aussi plus ferme et a un maintien incroyable. J’en serais presque jalouse. Tout comme moi, elle est une adepte inconditionnelle des talons hauts, et elle chausse en permanence des chaussures à talons aiguille, au grand désespoir de son parquet.

- Bonjour Cathy ! Tu es magnifique aujourd’hui ! Plus belle et plus désirable de jour en jour !

- Arrête donc, tu veux ?

- Tu donne dans le sado-maso, maintenant ? À moins que ce ne soit la soumission ?

- Ça vas pas ! Pourquoi tu dis ça ?

- Ton tour de cou fait penser à ça. C’est très spéciale, ma chérie, mais j’aime beaucoup.

Je ne m’étais même pas rendu compte que je le portais toujours. J’ai pris ma douche sans le retirer. Je m’y suis tellement habituée, qu’il fait presque partie de moi.

- Il te plaît ? Je te l’offre ?

- Tu es folle ! Tu veux être punie ?

- Qu’est ce que tu racontes ?

- Laisse tomber ! Regarde !

Elle s’approche de son buffet et ouvre un tiroir. Je crois mourir, lorsque j’aperçois une chasuble blanche bien pliée et un collier identique au mien. Elle capte mon désarroi et tente d’apaiser ma honte.

- Ce n’est rien Cathy ! Ce sera notre secret, ne t’inquiète pas. Comment s’appelle-t-il ?

- Hein ? Quoi ?

- Ton Maître ? Comment s’appelle-t-il ?

- Sir Jefferson.

Prononcer son nom me fait un effet étrange, envoutant. Je suis parcourue par un grand frisson.

- Haa ! Je le connais bien ! Comment va-t-il ?

Je décide de couper court.

- Bon ! Je dois y aller ! Tu veux bien appeler Amandine ?

- Ha ! Ok ! Je vois que tu es dans ta période d’incertitude. Ça fait ca à tout le monde, c’est normal. Mais tu comprendras très vite que ta place est auprès de ton Maître. AMANDINE ! Ta maman est là !

Ce soir, sa bise pour me dire au revoir, est plus proche de la commissure de mes lèvres. Plus appuyée aussi.

*****

Le souper se fait dans le silence. Je vois bien qu’Eddy est vexé d’avoir été de nouveau évincé. Lorsque je lui apporte le café, le téléphone retentit et je manque de tout renverser. J’aurais préféré répondre, mais Eddy a été plus rapide que moi.

- Allo ! Oui ! Oui, bien sûr ! D’accord, je lui dis. Bonsoir !

J’essaie de cacher mon trouble. Qui cela pouvait-il bien être ? J’ai la réponse rapidement.

- C’était Sylviane. Elle a retrouvé le film dont elle t’a parlé. Elle voudrait que tu viennes le regarder avec elle.

- Le film ? À oui, le film !

- Tu vas y aller ?

- Je ne sais pas.

- Tu sais, tu peux. Vu ta frigidité fulgurante et soudaine, tu peux bien devenir cinéphile.

- Ça, c’est dégueulasse ! Ben tu vois, ce soir je voulais te faire plaisir ! Et bien tant pis pour toi ! Tu peux aller dormir, moi, je vais chez Sylviane ! Bonsoir !

Je claque la porte.

Elle habite un rez de chaussée. Un ancien petit bistrot, réaménagé en habitation. Rien de particulier sinon deux colonnes de chaque coté de son salon. Lorsque je sonne chez elle, j’ai les larmes aux yeux.

- Déjà ! Ben dis donc, tu n’as pas mis longtemps à te décider ! Hé ? Qu’est ce qu’il y a ? Tu pleures ?

Submergée par l’émotion, je ressens un grand besoin de tendresse et je me jette au cou de mon amie. Ce qui devait arriver… arrive. Je lui tends mes lèvres et nous échangeons un tendre et passionné baiser. Je suis surprise par la douceur de ses lèvres, la délicatesse avec laquelle elle enroule sa langue autour de la mienne. Son parfum m’enivre. Je sens sa poitrine se soulever contre la mienne. Une main sur ma nuque, l’autre caresse doucement ma joue. Mais soudain, elle s’arrête.

- Je suis désolée Cathy ! Je n’ais pas le droit de profiter de ta fragilité.

- Non, Sylviane. Tu n’as pas à être désolée. C’est moi qui le voulais. Je viens de me fâcher avec Eddy. J’avais besoin de réconfort.

- Viens par là. Raconte-moi tout.

Nous nous installons dans le canapé. Sylviane prend mes mains et je commence à parler. Je commence et ne m’arrête plus. Je me vide de tous mes maux, de tous mes doutes, mes erreurs, mes folies. Je dis tout.

- … Vu ta frigidité fulgurante et soudaine, tu peux bien devenir cinéphile. J’ai claqué la porte et je suis venue ici. Voilà ! Tu sais tout.

- Je connais cette situation. Je l’ai vécu avec une de mes ex. Il ne faut pas écouter ta logique mais ton cœur. Que te dit-t-il de faire ?

- De ne pas réfléchir, dans l’immédiat.

Je m’enfonce dans le canapé et je tourne la tête vers elle. Elle me regarde étonnée. Je remarque que, tout comme moi d’ailleurs, elle reste les genoux décollés. Dans la logique, je l’imagine sans culotte. Ça m’excite malgré moi et je pose une main sur sa cuisse.

- Tu es sûre que c’est ce que tu veux ?

- Non, je ne sais pas.

- Alors, je ne vais pas attendre que tu t’enfuies.

Elle se penche sur moi et m’embrasse de nouveau, mais avec fougue cette fois-ci. C’est pourtant vrai que je ne sais pas. Jamais l’idée de m’offrir à une fille n’a effleuré mon esprit. Un peu perdue, je me laisse aller et ferme les yeux. Sa main caresse mon ventre et soulève habilement mon tee-shirt pour se faufiler dessous. Je suis prise de frissons lorsque ses doigts se posent sur mes tétons. Elle les titille et les pince, jusqu’à ce qu’ils soient prêt à exploser. Je passe ma main derrière sa nuque afin de l’empêcher d’abandonner son baiser.

Tournée de trois quart, elle fait glisser son genoux sur ma cuisse, jusqu’à mon bas-ventre, alors que sa main, désormais, palpe ma poitrine avec savoir-faire. C’est maintenant toute sa jambe repliée qui monte et descend sur les miennes. Et enfin, dans un dernier effort, la voilà assise face à moi, sur mes cuisses. 
Obligée de lâcher notre étreinte, je laisse mes bras tomber sur le canapé. Intimidée, je suis incapable de lui montrer que j’ai envie d’elle. Elle semble avoir bien compris mon trouble et me gratifie d’un sourire ravageur.

Lentement, elle défait les boutons de sa robe et la quitte. C’est une pure merveille. Sa beauté m’intimide encore plus. Elle agrippe le bas de mon tee-shirt et en un rien de temps, il vole loin derrière elle. Elle se soulève un peu et approche sa poitrine de mon visage. J’embrasse le téton qui se présente, puis, timidement, je le pince de mes lèvres. Si le contact, nouveau pour moi, me trouble, il n’en est pas moins agréable. Je sens la pointe durcir et je prends confiance en moi. Je saisis sa poitrine à pleines mains et lèche et aspire ses mamelons à tour de rôle. Elle semble y trouver plaisir et pousse de petits gémissements.

- Hoo, ouiii ! C’est bon ! Tu as fais ça toute ta vie, ce n’est pas possible ! Tu te débrouilles très bien, Cathyyy !

- Tais-toi, s’il te plaît !

- Alors embrasse-moi !

Elle repose ses fesses sur mes genoux et prend mon visage à pleine main. Nous nous embrassons de nouveau, avec gourmandise. Nos seins se frôlent et me donnent la chair de poule. Et soudain, en un éclair, la voilà à genoux entre mes jambes.

- Donne-moi ta chatte, chérie !

Il ne lui faut qu’une petite seconde pour soulever ma jupe, que je porte toujours, et plonger son visage entre mes cuisses. Une décharge électrique fulgurante traverse mon corps, m’obligeant à me cambrer et à jeter ma tête en arrière. Jamais les cunnilingus d’Eddy ne m’ont procuré autant de plaisir. 

Je crois bien que je crie. Sa langue fouille tous les recoins de mon sexe dégoulinant. Parfois, elle se retire et descend jusqu’à ma pastille brune qu’elle titille rapidement, puis retourne à ses premières amours. Mes doigts glissent dans sa chevelure. J’appuie sur son crane pour qu’elle me fouille, plus loin, plus fort. Aveu de mon extase.

Soudain la sonnette retentit. C’est comme un poids lourd qui rentre dans un mur. Tout s’arrête, brusquement, violemment.

- Merde ! On n’est jamais tranquille ! Cache-toi là ! Je reviens !

Elle me pousse dans une espèce de grand réduit. Je laisse la porte légèrement entrouverte pour voir ce qu’il se passe. Je la vois ouvrir sa porte et se pencher, pour cacher sa nudité au visiteur.

- Ha ! C’est toi ! Entre !

L’homme qui rentre n’est autre qu’Eddy. Il s’avance dans la pièce et se retourne. Il découvre le corps nu de Sylviane. Il détourne son regard aussitôt.

- Oups ! Je suis désolé ! Je t’en prie, couvre-toi !

- J’ai bien trop chaud ! Tu veux boire un truc ?

A quoi joue t’elle ? Je vois mon homme mal à l’aise comme jamais.

- Heuu ! Oui ! Un whisky ! Un double même ! Je cherche Cathy. Où est-elle ?

- Tu devrais lui foutre la paix.

- Je n’ai pas de conseils à recevoir d’une…

- D’une quoi, Eddy ? D’une gouine ? C’est ça ?

- Tu dis n’importe quoi ! Bon, Cathy n’est pas là, je m’en vais !

- Si vite, pourquoi ? Tu n’as même pas fini ton verre ! Si je n’étais pas homo, tu partirais aussi vite ?

- À quoi tu joue Sylviane, là ?

- À rien, je t’assure, mais j’aimerais comprendre pourquoi tu ne m’aimes pas.

- Tu te fais des idées, je n’ai rien contre toi, mais tu te présentes nue à moi, et en plus tu es lesbienne. Tu sais je suis comme tout les hommes. Vous êtes un fantasme pour nous.

- Les fantasmes sont fait pour être réalisés, mais pourtant celui-ci reste inaccessible. Je comprends. Ça doit être dur.

Je la regarde jouer au chat et à la souris, sans comprendre vraiment où elle veut en venir.

- Devine ce que je faisais quand tu es arrivé !

- J’en sais rien moi ! Tu te préparais à prendre une douche ?

- Non, Eddy ! J’étais allongée sur mon canapé et je me masturbais.

Elle va trop loin. J’ai envie de sortir de ma cachette, mais je suis seins nus et ça ne ferait qu’aggraver les choses.

- Mais, tu es chez toi ! Tu peux y faire ce que tu veux ! Ça ne me regarde pas.

- Oui, bien sûr, mais quelle chance inespérée pour l’homme que tu es, si j’acceptais de le faire devant toi !

- Arrête Sylviane ! Ce n’est pas drôle du tout ! Tu te rends même pas compte de ce que tu dis ! Un truc comme ça, et je deviens fou en deux minutes. Je te sauterais dessus ! Allez, je m’en vais !

Je suis très fier de mon Eddy. Il n’a pas succombé à ce diable féminin. Mais elle n’a pas dit son dernier mot.

- Et avec ça, Eddy ?

Elle ouvre un tiroir.

- Quoi ? Des menottes ? T’es complètement folle, ma pauvre fille !

Il est tellement troublé et perdu, qu’il se laisse menotter dans le dos, autour d’un des poteaux.

- Mais qu’est ce que… Détache-moi tout de suite, Sylviane !

- Deux minutes, deux petites minutes.

Elle s’agenouille devant lui et défait sa ceinture et sa braguette. Sous les protestations d’Eddy, après lui avoir descendu pantalon et caleçon aux pieds, elle entreprend de déboutonner entièrement sa chemise.

- Héé ! Mon gaillard ! Mais tu bandes déjà !

C’est pourtant vrai. De ma cachette, je vois très bien le sexe d’Eddy, droit comme la justice. Moi qui dois le caresser de longues minutes pour arriver à ce résultat ! J’en suis toute vexée.

Elle ne le touche pas. Fière d’elle, elle tourne autour, puis s’installe dans le canapé, jambes bien écartées et entreprend de se masturber doucement.

- Salope ! Tu vas voir ton cul, quand tu vas me détacher !

- Et Cathy ?

- Cathy ! Cathy ! Quoi Cathy ? Je suis un être humain, avec des pulsions humaines, et les miennes me disent de te baiser comme une chienne !

- Ça… C’est pas gagné ! N’est ce pas Cathy !

Le rideau tombe. Je sors de ma cachette, sous les yeux hagards de mon mari.

- Vous m’avez piégé ? Vous êtes deux belles salopes !

Il a l’air très en colère et je n’aime pas beaucoup ses injures. C’est donc tout naturellement que je me refugie dans les bras de Sylviane. Je me blottis contre elle comme une petite fille apeurée.

- Eddy ! Calme-toi ! Ta femme a quelque chose à te dire. Écoute-la.

Mais aucun mot ne sort de ma bouche.

- Très bien ! Je vais le faire moi-même.

Je n’ai pas le temps d’intervenir.

- Cathy a un Maître.

- Quoi, un Maître ? C’est quoi ça ? Qu’est ce que c’est que ces conneries !

- Comment te dire… C’est le résultat de pulsions humaines, qui aboutissent à l’envie d’obéir à une personne extérieure à son couple et en qui on a une confiance totale. Je sais, c’est dur à expliquer. Aussi dur que d’expliquer une érection non désirée, devant une lesbienne, par exemple.

- Tu m’embrouilles le cerveau là ! Je ne comprends rien !

Je me lève et retire ma jupe avant de m’approcher d’Eddy. Je me colle à lui, mes seins contre son torse, son sexe toujours dressé, entre mes cuisses.

- Je t’aime, Eddy. Personne n’est à l’abri de ce qui m’arrive. Je veux le vivre, avec ou sans toi, mais je préférerais avec toi. Je t’expliquerai et tu comprendras. Tu verras. Je veux juste m’ouvrir à la vie et tout comme toi, ne plus résister à mes pulsions.

Je l’embrasse dans le cou tout en palpant ses testicules, puis je lui susurre à l’oreille que je l’aime.

Il s’est calmé et semble perdu. Il ne dit plus rien. Peut être se résigne-t-il ? Peut être reconsidère-t-il son futur, sans moi ? J’espère que non, car j’aime vraiment cet homme de tout mon cœur et de toute mon âme. Mais jamais plus, je ne pourrais vivre sans mon Maître. Aujourd’hui, j’en suis sûre.

Je le laisse à ses pensées et je m’agenouille face à Sylviane. Mes mains sur ses cuisses, je lève les yeux vers elle.

- Sois indulgente !

- Tu sais, moi aussi, j’ai commencé un jour. N’ais pas peur, tout ira bien. J’en suis certaine. Fais-moi jouir, ma chérie.

J’écarte doucement ses grandes lèvres pour découvrir son clito. Il pointe et réagit au passage de mon pouce. Les effluves que dégage cette grande rousse, sont poivrées et enivrantes. Comme tout le monde, j’ai entendu des tas de choses sur les rousses, et je suis heureuse de constater qu’il n’en est rien, ou du moins, pas grand-chose.

Un baiser timide, une pointe de langue, puis une autre plus frivole, plus présente. Je fais glisser le bouton rose entre mes lèvres pour le pincer légèrement et l’aspirer par de petites succions. Comme je suis heureuse d’entendre mon amie gémir grâce à moi. Confortée par le fait que je peux donner du plaisir, je m’aventure plus avant et plonge mon visage dans les chairs détrempées de cyprine. Je comprends très vite le pouvoir de ma bouche, associé à l’attouchement de mes doigts ou de mes pouces.

- Haaa ! Je viens ! Regarde Eddy, comme ta femme me fait jouir ! Haaa ! Hoooo !

Elle explose et se jette à terre, m’entrainant sous elle. Nous sommes comme deux serpents. Nous enroulons nos jambes, frottons nos ventres et mélangeons notre salive dans de grossiers et bestiaux baisers.

J’aperçois furtivement Eddy. Il a les yeux exorbités et sa queue raide sursaute toute seule, comme secouée par une main invisible. Il semble souffrir.

Mais mon plaisir est plus important. Nous nous asseyons l’une en face de l’autre et approchons nos fentes juteuses jusqu’au contact. Penchées en arrière, en appui sur nos bras, nous nous frottons comme des démentes, mélangeant nos liqueurs dans de longs gémissements. Des bruits de succions accompagnent nos plaintes, et nous invitent à nous donner encore, et encore. Nous jouissons ensemble ou presque et nous nous écroulons au sol, comme deux loques.

Au dessus de nous, le membre baveux de mon mari, s’agite toujours de haut en bas… de bas en haut, comme une marionnette à fil. Il me regarde, suppliant.

- Suce-moi Cathy ! Je t’en supplie, suce-moi ! Ne me laisse pas comme ca ! Tu feras ce que tu veux, mais suce-moi !

- Pas question, Cathy !

Sylviane s’est relevée et elle s’équipe d’une ceinture gode, sortie de je ne sais où.

- Je n’en ai pas fini avec toi. Place-toi à quatre pattes face à ton mari.

Je m’installe, le pantin de mon homme à cinquante centimètres à peine de mon visage. Etrange sensation que les mains de Sylviane sur mes hanches. Etrange également, le contact du gland de latex contre mon vagin. Mais sentir mon con se remplir, me transporte une fois de plus dans le monde magique du plaisir. Sylviane me baise, fort, profond, sans ménagement. Je ne peux m’empêcher de lui crier :

- Ouiii ! Plus fort ! Encore ! Ouiii !

Je relève la tête et vois l’organe d’Eddy, aller et venir sous mes yeux. Mon visage ne s’arrête qu’à quelques millimètres.

- Harggg ! Suce-moiii ! Suce-moi, salooope !

Je prends une claque sur les fesses.

- Je te l’interdit ou je le répéterais à Sir Jefferson !

Pourquoi a-t-elle prononcé ce nom. Le simple fait de l’entendre me donne un orgasme incontrôlable.

- Ho, ouiiii ! Dis-luiii ! Qu’il me punisse ! Je suis sa chose, son jouet ! Je suis sa trainée ! Il doit me châtier ! Ouiiiii !

- C’est moi qui vais te punir, ma belle ! Tiens, prends ça !

Sans préambule, elle quitte mon vagin et pénètre mon cul d’un coup.

- Ho, ouiii ! Encule-moi ! Encule-moi fort ! Ouiii !

Elle pilonne mon anus avec une force terrible. Le gland en arrivant en fin de course, propage une onde de choc incroyable dans mes intestins, mon ventre tout entier. Je ne crie plus, je hurle mon plaisir comme une hystérique. Mes yeux se voilent, inondés de bonheur. Pourtant, dans un ultime sursaut de lucidité, j’entrevois le sexe d’Eddy, s’arrêter de gigoter. Il semble vibrer, palpiter, battre comme un cœur.

Et c’est l’explosion. Des jets plus puissants les uns que les autres, atteignent mon visage, éclaboussent mes joues, souillent ma bouche, mon menton. D’autres finissent leurs courses dans mes cheveux et même dans mon dos. Tout ceci semble plonger Sylviane dans une sorte d’euphorie. Elle rit et pleure tout à la fois, injuriant et encourageant mon mari.

- Ouiii ! Vas-y, connard ! Salit-la, souille-la ! Mais regarde, cocu ! C’est moi qui la baise ! Hahaha ! Vide-toi bien, mais c’est moi qui remplit son cul !

Soudain, il y a un grand éclair et c’est le noir. Je viens de m’évanouir. Lorsque je reviens à moi, Sylviane et Eddy sont penchés sur moi.

- Ça va aller, chérie. Tu as perdu connaissance. Je vais t’aider. Nous rentrons à la maison.

- Non Eddy ! Ce soir, je reste ici.

Il soupire et résigné, il se lève puis sort de l’appartement. Il y aura du travail, des discussions, des concessions à faire, mais c’est décidé, je commence ma nouvelle vie de soumise. Dans les bras de sylvaine, je m’endors pour une douce et longue nuit, peuplée de rêves érotiques.

A suivre...