Il fait sombre et tout est calme, un peu comme une prison où on m’aurait laissée seule. Je suis un peu effrayée. Je me demande ce qui va se passer. Je me demande quand ça va arriver. Menottée au siège, je ne peux pas voir l’heure qu’il est. Tout ce que je sais, c’est que la nuit est tombée et que quelque chose va forcément se produire.
Je suis actuellement sur le dos, sur le dernier siège d’un bus scolaire. Mes mains sont attachées au cadre du siège au-dessus de ma tête et je n’ai plus de vêtements à l’exception de mon chemisier qui était tiré sur mon visage. Après cinq minutes où je me suis retrouvée seule, j’ai remonté mon chemisier pour pouvoir voir. C’était la première fois depuis le début du voyage que mes yeux étaient découverts.
Les gothiques m’ont laissé ici. Lorsque le bus s’est arrêté, ils m’ont dit de me taire et qu’ils allaient revenir, après m’avoir maltraitée et violée durant tout le voyage. J’étais persuadée que le chauffeur du bus me trouverait lorsqu’il vérifierait si tout le monde était descendu. Mais la bande à dû trouver quelque chose pour détourner son attention. J’ai entendu une bousculade devant le bus et le chauffeur et les professeurs ont dû s’en occuper. C’est sûrement mes agresseurs qui ont voulu détourner l’attention.
C’était il y a plus de trente minutes. Enfin je suppose qu’il s’est passé environ ce temps-là. Depuis je suis seule. J’ai essayé pendant un moment de crocheter la serrure des menottes, mais je n’y suis pas arrivée. De toute façon, je n’ai même pas d’épingle ou de pince à cheveux pour m’aider, donc c’était une mauvaise idée. Et je ne suis pas assez forte physiquement pour le briser.
Puis je commence à penser et je me demande si la cause pour laquelle je ne suis pas encore sortie d’ici n’est pas le fait que je ne le veuille pas. Après tout, je suis la fille la plus intelligente de l’université, la première en presque tout. Quelqu’un d’aussi intelligent que moi devrait pouvoir trouver un moyen de me sortir de là. Et puis je pourrais crier, ça me sauverait.
Alors pourquoi ? Ils ont profité de moi et ils m’ont maltraitée pendant des heures. Pourquoi j’apprécierais ça ? Peut-être parce que j’aime ces sensations, la sensation d’être désirée, la sensation d’être humiliée, la sensation d’être vue seulement comme un objet sexuel plutôt qu’une personne. J’ai tellement ressenti de choses que ça a déclenché un éveil sexuel en moi. Je vois tout différemment maintenant.
Après tout ce qu’ils m’ont fait, je ne vois pas ce qu’ils peuvent encore faire. J’ai tellement été humiliée et abusée par ces salauds que je suis sûr qu’ils ne peuvent rien imaginer de plus. Quand ils reviendront ils auront sûrement des vêtements et même s’ils veulent encore me baiser, ensuite ils me laisseront partir. Nous partirons chacun de notre côté et ce sera seulement une mauvaise aventure, une aventure que je ne raconterai jamais. Et même s’ils se vantent, personne ne les croira.
- Hé ringarde, on t’a manqué ?
J’entends une voix traînante. Mon cœur se serre quand je reconnais celle de Paul, le chef du groupe de gothiques. Puis j’entends les pas du groupe qui monte dans le bus vide. Je baisse mon chemisier pour qu’il recouvre à nouveau mon visage et pour qu’ils croient que je ne l’ai pas touché tout ce temps.
- Quelqu’un a envie de baiser la chatte de cette ringarde ? Demande Paul en bafouillant ?
C’est alors que je sens quelque chose qui m’effraie. Je sens l’odeur de l’alcool, du whisky sûrement.Ils ont dû boire. Mon Dieu, ils sont ivres !
La même peur qu’au début du voyage quand j’ai compris qu’ils étaient drogués, me reprend. Je suis terrifiée. Cela signifie pour moi qu’ils peuvent être dangereux. On ne pense pas correctement lorsqu’on est ivre. En vérité, on est complètement désinhibé.
- No… Non… Bafouillé-je.
Je suis gelée de peur. L’odeur du whisky devient plus forte. Le groupe braille et crie comme s’ils revenaient d’une fête. Ils sont vraiment excités.
- J’ai pensé que tu aimerais savoir… Commence Paul en s’approchant de moi à l’arrière du bus.
J’entends les autres s’asseoir sur les sièges voisins. Je peux juste voir leurs contours à travers le tissu de mon chemisier, mais je ne sais pas s’ils sont tous là.
- Nous avons abandonné le groupe alors qu’ils restaient assis pour écouter un guide ennuyeux. Et nous avons trouvé une bouteille… Alors nous avons fait la fête tout seuls. Dit Paul.
Les autres approuvent. Ils continuent de crier et brailler . Je comprends qu’ils ont bien bu.
- Et… Nous avons pensé à toi ! Déclare Jessica qui est assise sur le siège en face de moi.
Les autres rient, mais leurs rires sont différents, plus maléfiques et vicieux. J’ai l’impression que je vais encore subir des choses ignobles.
- Je… Je ne dirais rien à personne… Si vous me laissez partir. Dis-je en tremblant.
Encore une fois, les rires retentissent. Puis ils commencent à se moquer de moi.
- Oh chérie, laisse-moi t’aider ! Je n’arrive pas à croire qu’on t’ait laissé comme ça ! Dit l’autre fille, Lynn.
Elle se déplace pour attraper mon chemisier sur mon visage. Elle soulève le bas et le tire sur mon nez pour découvrir ma bouche. Ensuite, je sens du liquide versé sur ma figure. Il entre dans ma bouche. Immédiatement je tousse en en avalant un peu par accident. Et tout de suite le liquide me brûle. C’est du whisky qu’ils me versent dans la bouche. J’essaie de fermer celle-ci et de bouger ma tête pour les empêcher de faire. Alors l’alcool se répand sur ma figure, sur mon nez et sur le siège. Je tousse davantage. Et le groupe continue de rire.
Une main me saisit le menton et maintient ma tête droite. Ça dit être la main de Paul, car elle est ferme et elle me fait un peu mal, comme si on me disait de me tenir tranquille. Ses ongles s’enfoncent dans mes joues comme s’il voulait les transpercer. Je comprends son message et j’arrête de me débattre.
- Écoute l’intello ! Tu vas ouvrir la bouche et boire. Sinon on mettra la bouteille dans un autre orifice et on te soûlera de cette façon. Compris ? Dit Paul méchamment.
Auparavant il me paraissait simplement méchant, mais là il est carrément diabolique. J’ai l’impression qu’il préférerait que je n’obéisse pas pour pouvoir me faire du mal.
J’ai peur et je tremble. Alors j’ouvre la bouche pour montrer que je vais boire. Bien sûr, le groupe continue de rire. On commence immédiatement à verser l’alcool dans ma bouche. Seulement cette fois, ils le versent lentement. Je me dis qu’ils ne vont pas en mettre beaucoup, mais au lieu de ça, ils remplissent presque entièrement ma bouche de whisky.
Puis ils s’arrêtent et je suis obligée d’avaler. L’envie de recracher et de tousser est forte, d’autant plus que cet alcool est tellement fort qu’il me pique les yeux. Mais, petit à petit, j’avale en ayant l’impression de subir une torture. Bien sûr, les gothiques se moquent de moi pendant que j’avale, jusqu’à ce que l’un d’eux, probablement Paul, me ferme la bouche pour me forcer à avaler le reste.
Je sais que l’alcool n’agit pas aussi vite, mais j’ai l’impression d’être instantanément ivre. Mes sensations sont maintenant un peu émoussées, mais amplifiées. Mon corps est plus détendu et je suis encore plus effrayée. Je n’ai jamais bu autant d’alcool en une seule fois, c’est une expérience nouvelle pour moi. Étrangement je commence à me sentir heureuse.
- Bonne fille ! Dit Paul en lâchant mon menton.
Mon visage est couvert de whisky alors que je commence à en ressentir les effets. Je comprends qu’ils voulaient me faire boire, car ils restent assis et ils attendent. Ils pensent sûrement que je serai plus facilement contrôlable.
- Vas-y ! Dit Paul alors que ma tête devient de plus en plus légère.
A ce moment je me prépare à ce que l’un des gars passe entre mes jambes ou s’approche de mon visage pour me baiser. Mais rien ne se passe. Je sens un peu de mouvements, mais pas beaucoup. Avec mon chemisier sur les yeux et l’obscurité dans le bus, je ne peux pas voir grand-chose. Je n’ai aucune idée de ce qui se passe.
C’est alors que quelqu’un touche mes menottes. En même temps, j’entends des petits cliquetis, des bruits de métal contre métal. Puis c’est un nouveau son : Une des menottes qui s’ouvre. Ce n’est pas celle que j’ai au poignet donc ce doit être celle qui était fixée au cadre du siège. Je bouge alors mon bras gauche et je m’aperçois qu’il n’est plus attaché au siège. Je peux enfin le bouger librement.
Les bruits continuent et je comprends que l’on me libère complètement des menottes. Un peu ivre, je me maudis d’avoir pensé qu’ils allaient me faire quelque chose de pire que ce qu’ils ont déjà fait. Il est clair qu’ils me libèrent. Ils doivent aussi avoir des vêtements pour moi. Après tout, si cette histoire se sait, ils risquent la prison.
Mon autre main est alors détachée du cadre du siège. Mes bras sont complètement libérés. J’ai toujours les menottes aux poignets, mais je ne suis plus attachée au siège. La joie m’envahit, mais je suis aussi un peu triste que cela se termine enfin.
- Assieds-toi ringarde ! Commande Paul.
Lentement, car mon corps est endolori après tout ce qu’il a subi, je m’assois. Je m’attends un peu à ce que quelqu’un me gifle ou claque mes seins, mais non. Ils restent et me regardent m’asseoir. Le monde tourne un peu autour de moi. Je ressens de plus en plus les effets de l’alcool.
- Regarde ! Dit Paul à l’un de ses amis.
Je ne comprends pas. Est-ce qu’il parle de moi. Regardez quoi ? Regardez mon corps pour voir s’ils l’ont abîmé ? Ah oui, peut-être pour voir s’il n’y a personne dans les parages.
- Non, il n’y a personne dans le coin. Répond une voix masculine un peu plus tard. Et quelques instants après une voix féminine confirme, comme s’ils n’avaient pas cru la première personne.
- Debout l’intello ! Ordonne Paul.
Il m’attrape par le bras et me tire sur mes pieds. En réaction, je fais ce qu’il veut et je me lève. C’est la première fois depuis que je suis montée dans ce bus. Ce faisant, je suis consciente que mes seins se balancent et pendent. J’avais oublié qu’ils étaient attachés avec mon cordon USB. Je ressens la douleur dans ma poitrine quand elle bouge. Mes seins sont gonflés maintenant.
- Mets tes mains dans le dos et ne bouge pas ! Ordonne Paul.
Je rougis. C’est complètement idiot, mais de me sentir debout et nue devant eux m’humilie à nouveau. J’ai l’impression qu’ils détaillent tous mon corps nu pour la première fois, alors que je suis nue depuis longtemps.
L’alcool ne fait qu’amplifier l’humiliation de ma soumission. Il rend les picotements de plaisir plus intenses qu’ils ne le sont. J’ai l’impression de lâcher prise. Ces picotements deviennent plus fort lorsque je mets lentement mes deux mains derrière mon dos comme il me l’a ordonné. Les menottes pendent.
- Avance !
Des mains se posent sur mes épaules pour me pousser et me tirer. On me sort du siège et on me pousse dans l’allée du bus. Ils sont si brutaux que je manque de tomber. J’arrive à me rattraper, mais je trouve que mes jambes flageolent. Je ne sais pas si c’est à cause du whisky ou du nombre de fois où j’ai été baisée, mais mes jambes sont fatiguées. Je sais que je ne risque pas de courir de sitôt.
Une fois que je me suis stabilisée, je commence à marcher. Je tourne un peu mon corps sur le côté alors que je me déplace dans l’allée du bus. Tandis que je marche pieds nus, je me demande ce qu’ils ont encore pu planifier. S’ils avaient des vêtements pour moi, ils me les auraient déjà donnés, non ? Mais après tout, ils sont ivres, donc ils m’emmènent peut-être où sont les habits.
Il me faut de l’aide pour descendre les marches du bus, car l’obscurité et le tissu sur mes yeux m’empêchent de voir. Des mains m’attrapent par-derrière et m’aide à descendre jusqu’à ce que je sente l’herbe sous mes pieds.
L’air frais de la nuit enveloppe mon corps complètement nu. La sensation est si étrange et intense que j’ai le souffle coupé. Puis je réalise. Et si des gens me voient comme ça ? Je suis dehors, nue ! Vraiment dehors, à l’extérieur ! Et si ces salauds voulaient m’exhiber à d’autres ? Je tends l’oreille et comme il n’y a pas de bruits, je me dis que ce n’est pas ça.
- Bouge ! Dit Paul en me poussant dans le dos alors que les autres descendent du bus.
Effrayée, je commence à marcher dans la direction où il me pousse. Je garde mes mains dans mon dos comme ils le veulent et je suis très consciente de la façon dont mes gros seins nus se balancent. Ils bougent tellement que je me dis que ça doit en être comique.
- Regardez ces grosses mamelles se balancer ! Dit l’un des gars.
Les autres rient. Mon visage rougit en voyant que je n’ai pas été la seule à le remarquer. Je n’ai jamais marché avec mes seins libres, donc la sensation est étrange.
- Fermez vos gueules ! Ordonne Paul.
Je comprends alors qu’il est inquiet que quelqu’un puisse les voir. En réalisant cela, je me mords les lèvres en pensant que je pourrais crier à l’aide, que quelqu’un m’entende et qu’ils aient ce qu’ils méritent ces salauds.
Mais j’oublie cette idée en réfléchissant à ce que ça signifierait pour moi. Si je crie et que j’attire l’attention de quelqu’un, tout le monde saura que j’ai été violée. Et pire, toutes les choses que j’ai dû faire, comme lécher la chatte d’une fille, se sauraient, sans parler que l’on me verrait nue. Après tout, mon avenir est prometteur. J’ai juste besoin de survivre à cette épreuve et tout ira bien. Je suis quand même la première de l’université.
Ils me font marcher et marcher, mes seins rebondissant, car je ne peux les empêcher. Aucun des membres de la bande ne dit quelque chose alors que nous avançons. S’ils le font c’est en chuchotant ou en gloussant sans que je puisse vraiment entendre. En marchant, j’essaie de comprendre où ils m’emmènent. J’ai de l’herbe sous les pieds et non du béton, donc nous ne nous dirigeons pas vers l’hôtel où ils doivent dormir. Il y a peu de lumière donc nous ne sommes pas dans une zone habitée.
- Ici ! Dit Soudainement Paul.
Des mains me saisissent par les épaules et me tournent légèrement vers la droite avant de me pousser à nouveau. J’entends des ricanements, mais je continue à marcher. Je réfléchis au fait que je garde toujours mes mains derrière moi. Et je me demande pourquoi ? Est-ce que ça fait une différence ? C’est encore une de leurs méthodes pour me contrôler et m’humilier. Et je leur donne le pouvoir de le faire. Pourquoi je laisse faire ?
Cette pensée me donne l’envie de crier à l’aide. Je pourrais crier jusqu’à ce que quelqu’un vienne. Et quand il arriverait, les flics suivraient peu après. Des images des gothiques pris en photo au poste de police apparaissent dans ma tête. Je glousse intérieurement. Je les vois effrayés alors qu’ils vont aller en prison avec de vrais délinquants, hommes et femmes, et qu’ils vont ressentir les mêmes choses que ce qu’ils m’ont fait.
Mais encore une fois, je vois aussi l’article de presse avec ma photo de fin d’étude, article expliquant tout ce qui m’est arrivé, que j’ai laissé le groupe me violer encore et encore. Certains diraient sûrement que j’en ai profité aussi, car j’ai joui plusieurs fois. Et puis chaque fois que quelqu’un me chercherait sur Google, il apprendrait cette histoire qui me suivrait partout. Alors je me tais et marche.
Bientôt je sens du béton sous mes pieds. Puis des rainures. Je pense que je suis sur un trottoir, car les rainures sont espacées régulièrement. J’essaie de distinguer l’endroit où ils m’ont amenée, mais avec mon chemisier sur les yeux, je ne vois que des contours.
- Arrête-toi ! Commande Paul.
J’obéis, ivre. Je ressens vraiment les effets de l’alcool maintenant et j’ai l’impression que mon esprit est au ralenti. Il me faut beaucoup plus de temps que d’habitude pour arriver à construire une pensée cohérente, ce qui n’est pas bien. D’un autre côté, j’apprécie cette sensation, car je ne m’inquiète pas comme d’habitude de chaque petite chose. Quand j’essaie de penser, j’entends les battements de mon cœur.
Des mains se posent sur mes épaules à nouveau et on me tourne. Puis on me tire en arrière. Je les laisse faire et les picotements dus à ma soumission augmentent encore plus. J’ai presque envie de sourire tellement c’est vicieux ce qu’ils me font, mais aussi presque excitant.
Je dois admettre que j’aime ça. Aussi bizarre que cela puisse paraître, j’aime qu’ils me traitent ainsi. Que suis-je ? Je ne suis pas vraiment sûre. Une soumise ? Une esclave sexuelle ? Je ne sais pas. Mais j’ai apprécié qu’ils me fassent parader nue, avec mes gros nichons d’intello à la vue de tous. A ce moment je dois m’empêcher de rire, car je n’ai jamais fait auparavant référence à mes seins en les traitant de « gros nichons d’intello ». C’est sûrement l’alcool qui me fait parler comme ça.
Je sens alors que mes mains sont soulevées en l’air. Des personnes de chaque côté saisissent mes bars et les soulèvent vers le haut. Encore une fois, je me laisse faire , car je n’ai aucune idée de ce qu’ils veulent. Ils sont rapides, pressés. J’essaie de voir derrière le tissu de mon chemisier, mais il fait trop sombre.
Finalement, je me demande pourquoi ils lèvent mes bras et je commence à paniquer. J’ai toujours les menottes. Avant que je puisse réagir ou bouger, j’entends le cliquetis qui verrouille les menotte. J’essaie alors de tire un coup sec avec mes deux mains, mais je m’aperçois qu’elles sont attachées en l’air.
Je tire encore et encore, mais mes bras sont maintenus en l’air et écartés. Quand je tire, j’entends un son métallique qui me permet de dire qu’ils ont attaché les menottes à une barre en fer. Alors que je continue à essayer de me libérer, j’entends le groupe de gothiques ricaner et rire. J’ai l’impression qu’ils ne se soucient plus de faire du bruit. Et ils ne se soucient pas du bruit que je peu faire en essayant de m’échapper.
Puis mon chemisier qui couvrait ma tête depuis le début est soudainement arraché. En un instant, le monde se présente à moi. Il tourne un peu et mes cheveux partent dans tous les sens. Je vois devant moi les cinq gothiques. Ils sont tous debout avec un grand sourire sur leur visage. Je vois les trois garçons et les deux filles. L’une d’elle porte mon sac à dos.
En levant les yeux, je vois que mes mains sont menottées à une barre métallique au-dessus de ma tête. Elle est maintenue par deux poteaux en bois de chaque côté. Je regarde alors tout autour pour voir où je suis. Au début, je pense qu’il s’agit d’un simple terrain de jeu dans un parc, mais ce n’est pas ça. Il y a un chemin qui traverse le parc et des petits arrêts de temps en temps sur les côtés. Mais il n’y a pas d’équipements de terrain de jeu.
Finalement je comprends. c’est une sorte de parcours de santé. Les gens peuvent courir sur le sentier et ils peuvent s’arrêter pour faire de la musculation. Je vois un arrêt avec des marches en métal. j’en vois un autre avec une barre qui doit servir pour les étirements. Et la barre au-dessus de ma tête doit servir à faire des tractions avec les bras.
- Comment se passe ta soirée, ringarde ? Demande Paul.
Ils rigolent tous comme s’il s’agissait d’une bonne blague. Bizarrement le fait qu’ils voient mon visage me fait reculer. J’ai l’impression d’être un super-héros dont on vient de découvrir les faiblesses secrètes. Je ne peux rien faire d’autre que de tourner le tête pour qu’ils ne voient plus mon visage embarrassé alors que je suis nue et sans défense.
- Bel endroit, n’est-ce pas ? Demande Paul aux autres.
Ils acquiescent tous en se moquant de moi. A tour de rôle ils parlent et ils soulignent ce qu’ils trouvent agréable : La nuit douce, l’aménagement du parcours de santé, le fait que le parc soit vide.
- S’il vous plaît… Laissez-moi partir. Je ne dirai à personne ce qui s’est passé… Jamais… Dis-je d’une voix faible tout en refusant de les regarder.
Je crois vraiment ce que je dis, je ne le dirai jamais à personne. Mais cette proposition est accueillie par des rires. Paul éclate de rire et ses amis se joignent à lui.
- Oh, et finir de nous amuser ? Se moque-t-il.
Toujours en riant, il se déplace pour être derrière moi. J’essaie de le suivre du regard pour voir ce qu’il va faire, mais bientôt je ne le vois plus. Est-ce qu’il va me donner une fessée ? Me fouetter ? Me baiser ?
- Maintenant tu vas être une bonne fille… et tu vas regarder mes amis pendant que je te baise. Dit Paul à mon oreille.
Le reste du groupe ricane alors que je rougis. Instantanément des émotions puissantes et déroutantes m’envahissent. Je voudrais lui dire « non » ou lui dire que je vis crier, mais une autre partie de moi veut savoir ce que ça fait. Ce que ça fait d’être baisée comme ç, alors que je suis impuissante.
- Ou alors, nous pourrons voir à quoi ressemble ton cul après que nous l’aurons fouetté à tout de rôle avec nos ceintures. Ajoute Paul en me révélant la seule autre option qui s’offre à moi.
Les picotements de soumission reviennent et envahissent mon corps alors que je me dis que je n’ai pas le choix.
- Attendez ! Dit Jessica comme si elle avait oublié quelque chose.
Tout le monde la regarde, même Paul qui se met sur le côté. Jessica pose mon sac à dos et l’ouvre.
- J’ai oublié une chose… J’ai regardé dans le sac de l’intello et j’ai vu quelque chose qui sera parfait ! Dit-elle en fouillant dans mes affaires.
Elle sort deux rapports que je transportais pour pouvoir les retravailler si j’avais eu du temps de libre. Que diable veut-elle en faire ? Et je comprends. Chaque paquet de feuilles est maintenu par une grosse pince en métal. Elle les enlève et remet les papiers dans mon sac en les bourrant pour qu’ils soient froissés.
Puis elle avance rapidement vers moi tout en tenant les pinces à relier. Comme elle est plus grande que moi, je la regarde en levant les yeux et je fais « non » de la tête pour qu’elle ne fasse pas ce qu’elle veut faire.
Mais elle fait un bruit idiot d’avion qui vole en levant ses deux mains. Dans chacune d’elles se trouve une pince qu’elle garde ouverte. Puis elle les pose sur mes tétons et les lâche.
Je pousse un glapissement quand les pinces mordent mes tétons déjà durs. Voilà à quoi ressemble une morsure ; J’ai l’impression que quelqu’un cherche à m’arracher les tétons. Tandis que la douleur m’envahit, je me débats contre les menottes en faisant beaucoup de bruit. Puis j’arrive à faire face à cette douleur. Elle ne disparaît pas, mais elle est moins forte qu’avant. Je baisse les yeux et je vois les pinces accrochées à mes pauvres mamelons.
Sentant l’humiliation m’envahir, Paul me pousse doucement entre les omoplates pour me faire comprendre que je dois me pencher. J’obéis et Jessica s’éloigne. Elle regagne le groupe qui regarde mes seins pendre. Je ne peux pas beaucoup me pencher, car je reste menottée à la barre au-dessus de moi, mais ça semble suffisant pour mon agresseur. Je sens Paul utiliser son pied pour écarter mon pied droit, puis mon pied gauche jusqu’à ce que mes jambes soient écartées.
Ensuite on entend le bruit qu’il fait en défaisant son pantalon. Je vois le groupe ricaner et me regarder dans l’attente de ce qui va suivre. Alors que je les regarde, je sens mes yeux se remplir de larmes, car le niveau d’humiliation que je ressens est si fort. Ils me voient soumise, ils voient mon vrai moi. Ils vont voir comment je vais réagir.
- Oh ! Gémis-je en fermant les yeux quand je sens que Paul pose sa virilité contre ma chatte.
Bien que j’aie été baisée tant de fois aujourd’hui, la sensation d’une bite bien dure sur ma chatte est très bonne. Lorsqu’il s’enfonce à l’intérieur, je gémis doucement et rouvre les yeux pour continuer à regarder le groupe devant moi. Ça me donne l’impression d’être une actrice de porno. Mais ce qui rend la situation encore plus embarrassante, c’est le regard des deux filles qui savent bien ce que je dois ressentir. Il s’agit de sensations qui se vivent en privé et non en public.
Quand Paul est complètement à l’intérieur, il se retire puis entre à nouveau. Il est d’une douceur surprenante. Il commence à pousser sa queue dans et hors de ma chatte sans être brutal comme avant. En regardant le groupe pendant qu’il me baise, j’essaie de ne pas gémir et de ne pas retourner le regard. La sensation est différente de celle d’avant, car il est plus lent. C’est toujours aussi agréable.
Puis il commence à accélérer… Et devient plus violent. En fin de compte, même si j’essaie de les retenir, des gémissements s’échappent de mes lèvres. Et ils deviennent plus forts alors que mes seins commencent à se balancer furieusement sous ses coups de rein. Mon corps tout entier se balance. J’ai l’impression que mes mains vont être arrachées par les menottes tant il est brutal. Ce salaud me baise comme une bête sauvage.
- Dis-leur… De regarder comment… Tes seins… se balancent ! Dit Paul en gardant sa main sur mon dos comme pour me forcer à me pencher davantage, même si c’est impossible.
Je ne peux pas prétendre que je n’aime pas ça. Les bruits de succion qui s’échappent de ma chatte montrent à quel point je suis excitée, même si je déteste ça. C’est peut-être pour ça qu’ils m’ont fait boire. Ils savaient que j’allais aimer.
- Regardez mes mamelles se balancer ! Dis-je sur un ton de folie.
Sur ces mots mon visage devient tout rouge et brûlant alors que je sens mes seins se balancer sauvagement et frapper presque mon estomac sous les coups de boutoirs de mon violeur.
- Regardez-les se balancer et rebondir quand il me baise ! Continué-je à dire, l’alcool me faisant agir comme quelqu’un d’autre.
Dans ma tête je pense à une actrice porno que j’ai vue dans une vidéo. Alors qu’elle était prise par-derrière, elle criait sauvagement pour qu’on continue à la baiser. Elle ressemblait à un animal en chaleur.
- Qu’est-ce… Que je baise ? Quelle... partie ? Demande Paul en semblant essoufflé.
Le bruit des applaudissements de ses amis me revient en écho alors qu’il garde un rythme rapide et brutal.
- Il baise ma chatte ! Dis-je au groupe, ce qui les fait rire.
Je suis alors surprise quand un orgasme me frappe. Des vagues de plaisir m’envahissent et me parcourent le corps pendant que je gémis comme une pute. J’essaie de regarder le groupe, mais mes yeux roulent dans leurs orbites. Paul continue à me baiser vigoureusement. La force et la rudesse de ses coups de boutoirs font que les ondes de plaisir semblent rebondir en moi. Je gémis encore plus fort.
- Nous y voilà… Nous y voilà…. Chantonne Paul tout en ralentissant.
Bientôt il ne bouge plus, sa queue enterrée en moi. Je sens pourquoi, il jouit. Je sens qu’il expulse son sperme dans mon ventre et la chaleur se répand en moi. Et même si je déteste l’admettre, je gémis à cette sensation. Je gémis alors qu’il marque une fois de plus son territoire.
- Qu’est-ce qu’il se passe l’intello ? Qu’est-ce qu’il a fait ? Demande Lynn.
Nous savons bien tous ce qui vient de se passer, mais elle veut m’entendre le dire à voix haute. Elle veut que je m’humilie encore plus.
- Il a giclé son sperme dans ma chatte ! Dis-je d’une voix honteuse.
Paul se retire. Je baisse la tête et je laisse couler quelques larmes. Encore ivre, j’ai honte d’avoir joui comme ça devant quelqu’un. Mais je pourrais encore apprécier cela. Les larmes continuent à couler alors que je pense ça et je me sens si honteuse.
Soudain je sens une autre bite à l’entrée de ma chatte. Instantanément ma tête se lève, car je ne comprends pas. Je regarde devant moi et je vois quatre personnes dont Paul. Je réalise alors qu’un des autres garçons a changé de place. Il se trouve derrière moi pour me baiser.
- Att… Attendez ! S’il vous plaît… Nonn…
Je supplie vainement, car celui qui est derrière moi fait pénétrer sa queue entièrement en moi. Je halète quand je me sens à nouveau remplie. Puis il commence à me baiser. Sa bite entre et sort en coulissant sur les parois de ma chatte.
Pendant qu’il me baise avec joie, on m’ordonne de continuer de regarder le groupe dans les yeux. J’obéis et je dois les regarder rire et se moquer de moi. Mais cette fois, on me fait dire des choses plus ignobles. Comme Paul n’est pas celui qui me baise, il est capable d’imaginer des propos horribles que je dois répéter, des mots auxquels je n’aurais jamais pensé, des mots qui les font tous rire. Je dois dire « C’est comme ça que j’aime être baisée » ou « j’espère que mes mamelles vont me frapper le visage, ou encore le pire « J’aimerais que mes amis et ma famille puissent me voir ainsi ».
Le garçon qui me baise dure la moitié du temps de Paul avant de jouir. Il éjacule en moi lui aussi, mais il s’allonge sur mon dos pendant un moment comme s’il était trop épuisé pour continuer. Je manque de lui faire un commentaire sur sa virilité, mais je sais que ça ne fera qu’aggraver les choses, alors je me tais.
Une fois qu’il s’est retiré, le troisième gars passe derrière moi. Il défait son pantalon et je sens qu’il enfonce sa bite dans ma pauvre chatte. Le processus recommence. Je suis une nouvelle fois baisée.
Ma chatte est à vif et mon dos me fait mal, car on me maintient dans cette position penchée. Bien sûr, comme avant, on m’oblige à dire des choses stupides et vicieuses comme « Baise ma chatte d’intello », « je suis intelligente te j’aime qu’on me baise » ou « j’espère que mes professeurs puissent voir ça ». ce qui rend les choses pires c’est de devoir le dire en regardant quelqu’un dans les yeux.
Ce mec me baise plus longtemps que les deux autres et il atteint un point où mes gémissements sont continus, car je ne peux plus les retenir. Il va même jusqu’à m’attraper les cheveux et me tire la tête en arrière juste pour m’entendre crier de douleur. Puis il jouit en moi sans se soucier du fait que je risque de tomber enceinte après tout ça.
Une fois qu’il s’est retiré, je m’accroche aux menottes, épuisée. Mon pauvre corps est vermoulu et couvert de sueur. Je regarde le sol en essayant de ne pas pleurer. Mon corps est à la fois brûlant et si froid que j’en tremble.
- S’il vous plaît… Laissez-moi partir… Vous vous êtes bien assez amusés. Supplié-je.
Je ne leur dis pas de me libérer, je ne leur demande pas, mais je les supplie. Je les supplie comme la petite salope soumise que je suis devenue.
- Pourquoi ? Demande alors Paul.
Mais son ton, au lieu d’être méchant ou moqueur, est sérieux. Il me demande vraiment pourquoi ils devraient me laisser partir. Pour une raison quelconque ça me touche. Pas parce que je n’ai pas de réponse, mais parce qu’il a une vraiment faible opinion de moi. Il pense que je suis une telle ringarde qu’il ne comprend pas pourquoi il devrait me libérer. Il faut que je trouve une bonne raison pour qu’ils ne me fassent rien de plus.
- Je… Je… Commencé-je, troublée par cette situation.
Paul continue de me regarder, les sourcils levés en attendant une réponse. Mais plus je le regarde et plus je suis troublée, et rien ne sort.
- Attrapez ses pieds ! Ordonne Paul qui a fini d’attendre.
C’est alors que maintenant que je suis capable de dire :
- Attendez !
Mais ça n’a plus d’importance. Les deux autres gars viennent vers moi, s’agenouillent et enlèvent leur ceinture. Pendant une seconde j’ai peur qu’ils commencent à me fouetter, mais au lieu de ça, ils enroulent leur ceinture autour de ma cheville. Puis ils tirent dessus pour me forcer à écarter davantage les jambes. Ils continuent à tirer alors que je me débats pour garder les jambes rapprochées. Mais ils sont trop forts. Bientôt mes pieds touchent les poteaux en bois de chaque côté de moi. Ils entourent alors leur ceinture autour de ces poteaux, rendant maintenant impossible la fermeture de mes jambes.
Je tire sur mes pieds dans l’espoir de faire craquer les ceintures, mais c’est inutile, je ne suis pas assez forte. Puis quelque chose est poussé contre ma figure. c’est gros, ça recouvre complètement mon visage. On le relâche et je vois un gros tas de terre et de feuilles tomber devant moi. Je tousse et je crache des petits morceaux de terre devant moi.
Jessica s’effondre de rire devant moi. C’est elle qui vient de presser une poignée de terre et de feuille contre ma figure. Lynn arrive, en riant elle aussi et elle déverse deux poignées de terre sur ma tête et mes épaules. Les filles continuent ce jeu pendant un moment. Elles rient tellement qu’elles doivent bientôt s’arrêter.
Après quelques instants, Jessica revient avec deux poignées de terre. Mais au lieu de les faire couler sur ma tête, elle frotte mon sein gauche avec les saletés tout en évitant la pince. Lynn se joint à elle et s’occupe de mon sein droit, l’enduisant de terre en disant :
- Sale mamelle !
Puis elles continuent leur jeu jusqu’à ce que ma poitrine soit enduite de terre. Cela fait elles s’occupent des autres parties de mon corps. Elles m’enduisent de terre, en s’assurant de n’oublier aucun endroit… A part mon entrejambe. Mais mon visage, mes bras, mes jambes , mon corps est couvert de terre. Ces garces s’amusent même à en mettre entre mes orteils.
- C’est mieux comme ça, tu ne crois pas ? Demande Paul qui s’est approché de moi et s’est placé juste devant.
Encore une fois, je le regarde, incrédule. Il agit comme si je l’avais voulu. Que c’est moi qui l’ai demandé ou quelque chose comme ça. Que cette humiliation est une chose dont nous avons discuté et que j’ai accepté.
- Bon voilà, nous allons devoir partir bientôt, mais il y a une chose que j’ai toujours voulu faire ! Dit-il sur un ton qui suggère que nous sommes devenus des amis.
Il passe alors derrière moi.
- s’il vous plaît non ! Laissez-moi partir ! Supplié-je.
Je ne peux rien faire d’autre que supplier. Je ne peux plus bouger mes jambes. Je suis enduite de terre et mes seins sont attachés et pincés. Que peuvent-ils vraiment faire de plus ?
Une fois de plus je l’entends se défaire de son pantalon. Ça fait bien quinze minutes qu’il m’a baisée, donc je crains qu’il ne soit prêt à recommencer. D’une certaine manière, je suis excitée par ça, mais je me sens si fatiguée.
- NON ! Crié-je, mon énergie étant revenue, alors que je sens sa bite qui cette fois-ci n’est pas sur ma chatte.
Il pose sa bite entre mes fesses et elle appuie sur mon petit trou. Il rigole de mon cri et la seule chose que je puisse faire est de tendre mon corps sale dans mes liens.
- S’il vous plaît, non ! Dis-je alors qu’il commence à forcer sa bite sur mon cul.
Un tout petit peu entre à l’intérieur, mais c’est une situation horriblement humiliante. C’est un endroit qui n’est pas conçu pour ça. Il n’est pas destiné à être envahi par une bite.
Mais maintenant, je sens sa queue raide y entre lentement en écartant les murs de chair. Je gémis de douleur et d’humiliation. Quelqu’un enfonce une bite dans mon cul. Je sens une bite dans mon cul.
Paul se penche un peu pour pouvoir faire entrer son membre.
- Allez ! Allez ! Baise ce cul d’intello ! Chantonne-t-il alors que mon corps commence à se détendre, ce qui rend les choses plus faciles pour lui. La tension se relâche, car je ne peux plus lutter et il pousse sa queue beaucoup plus rapidement. Je ne sais pas pourquoi ça se produit, si c’est l’alcool ou une partie de moi qui le veux, mais j’arrête de serrer les dents.
Je laisse échapper un cri lorsqu’il parvient à pousser sa queue au fond de mon cul. Il la laisse là un moment et je l’entends haleter aussi fort que moi. Il a poussé sa bite aussi loin qu’elle puisse aller.
Je n’ai jamais rien ressenti de tel auparavant. c’est extrêmement violent, mais d’un autre côté la sensation est enivrante. C’est la sensation que c’est une chose qui ne devrait pas être fait, une chose qu’aucune jeune fille de bonne famille ne laisserait se produire.
- Dis-le ! Dis ce que tu as dans le cul, ringarde ! Grogne Paul alors qu’il ne bouge plus.
Il respire difficilement, car il doit être, lui aussi, submergé par des sentiments contradictoires.
- C’est ta bite… Ta bite est dans mon cul… Dis-je, la tête inclinée sur le côté pour essayer de le voir.
Mais avec sa main il m’oblige à regarder le groupe devant moi. Les deux filles et les deux garçons ont des sourires en coin, mais ils ont l’air surpris et même choqués. Comme s’ils ne savaient pas que ça irait si loin.
- Sa bite est dans mon cul ! Dis-je sans que Paul ait besoin de me le rappeler.
C’est alors qu’il commence. Il se retire lentement puis pousse en avant très vite. A ce moment-là, je pousse un glapissement, car la douleur et le plaisir se mélangent. Il recommence à me donner des coups de rein, sauf que contrairement à la fois d’avant où il essayait juste de jouir, son but est différent. C’est comme s’il voulait que je comprenne au plus profond de mon âme qu’il a le contrôle, qu’il peut baiser toutes les parties de moi qu’il veut.
- Il… m’en… cule ! Dis à chaque coup de rein.
Il me pilonne en me donnant l’impression qu’il déchire mon cul. Il continue de me sodomiser encore et encore. Et cette fois, comme je ne suis plus penchée vers l’avant, à chaque poussée, mes seins rebondissent vers le haut. Je n’ai jamais ressenti ça avant. j’ai l’impression que mes seins vont me frapper le visage.
- Je… Jouis… d’être… Enculée… Crié-je alors que les vagues de plaisir m’envahissent.
L’orgasme est violent et me fait pousser mes hanches vers l’arrière alors qu’il pousse en avant. Nos deux corps s’entrechoquent. Je ne me rends pas compte que je fais ça, c’est mon corps qui bouge tout seul.
Paul m’attrape alors les cheveux et tire ma tête en arrière. Il pilonne furieusement mon cul, enfonçant sa bite encore et encore aussi vite qu’il le peut. Je gémis constamment de douleur et de plaisir. Je sais que je dois crier fort, car j’entends l’écho de ma voix. Mais s’il continue comme ça, j’ai peur qu’il me casse.
Puis il s’arrête soudainement. Ou plutôt il s’effondre. Il laisse échapper un cri et il se presse contre moi comme pour se reposer. Il reste comme ça un moment, sans bouger un cil. Je suis tellement choquée et abasourdie que je ne dis rien, même pas « tu peux lâcher mes cheveux s’il te plaît ! ». Je reste comme ça, sentant toujours sa bite dans mon cul.
Après de longs instants, il se retire lentement. Ce n’est qu’alors que je ressens les effets de cette sodomie et la chaleur de son foutre dans mon cul. Non seulement il a baisé mon cul, mais il a éjaculé à l’intérieur, marquant ainsi son territoire. Je peux sentir le liquide descendre lentement et s’écouler de mon trou du cul élargi.
Paul recule et je l’entends remonter son pantalon. Je reste exposée aux regards de ses amis. Ils m’ont baisée par tous les trous possibles. On s’est même branlé entre mes seins. Il n’y a rien qu’il ne m’ait pas fait ces animaux.
Ils ne disent plus rien. Normalement ils se moquent de moi. Mais là, ils restent silencieux en me regardant. Ils ont brisé la ringarde.
- Je… Je suis la première de l’université. Dis-je sans raison.
J’aurais voulu le dire avec fierté, pour leur faire comprendre à quel point je suis mieux qu’eux, à quel point ils sont pitoyables. Mais je n’ai pas d’énergie et les mots ne sortent pas comme je le voudrais. J’entends ma propre voix et combien elle me semble pathétique.
- Oui tu l’es ma chérie ! Dit Jessica.
Après cela le silence s’installe jusqu’à ce que j’entende Paul rejoindre ses amis. Il me regarde droit dans les yeux et dit :
- Regardez la fille la plus intelligente de l’école ! La fille la plus intelligente, nue, baisée et abusée, couverte de terre. La fille la plus intelligente qui s’est laissée faire. La fille la plus intelligente avec les mamelles attachées.
- Tiens ! Dit un des garçons à Paul en lui lançant ce qui semble être mon chemisier.
Le chef de la bande le prend et s’avance vers moi. Je vois s’afficher sur son visage un sourire méchant.
- Je sais que tu as aimé ce que l’on t’a fait. Alors on t’offre un cadeau pour te remercier.
J’entends les autres rire. Leurs rires commencent doucement, mais s’amplifient. Bientôt leurs rires sarcastiques résonnent dans la nuit alors que Paul me montre que mon chemisier a été déchiré en une longue bande.
Il commence à l’enrouler autour de ma tête et il la noue à l’arrière. Il recouvre complètement mes yeux. Je ne vois plus que des contours flous. Mais il fait un tour de plus et je ne vois plus rien.
- Dis AAAHHHH ! Ordonne-t-il.
En fait il n’attend pas que j’obéisse et il me saisit le menton avec force. Ma bouche s’ouvre et il pousse le tissu à l’intérieur, pas qu’un petit bout, mais beaucoup. Je comprends qu’il enfonce le reste de mon chemisier jusqu’au fond de ma gorge. Il bourre tellement que je ne peux plus bouger la langue ou fermer la bouche. Un bout de tissu flotte sur mon menton comme pour indiquer que je suis bien bâillonnée.
- C’était amusant, ringarde ! Dit Paul.
Les autres acquiescent en faisant d’autres commentaires. Mais leurs paroles semblent s’éloigner.
- On se reverra, grosses mamelles ! Dit l’un d’eux.
- Ta chatte est bien bonne ! Crie un autre.
Mais il est clair qu’ils s’éloignent. Ils partent et ils me laissent comme ça.
J’essaie de crier, mais je ne peux pas. Rien ne sort de ma bouche. j’essaie alors de bouger mes jambes, mais je ne peux pas non plus. Pareil pour mes bras, je peux les bouger d’un côté et de l’autre, mais je ne peux pas enlever les menottes, elles sont bien trop solides. Le mieux que je puisse faire, c’est de les faire tinter sur la barre métallique.
Ils m’ont laissée ici. Ils m’ont laissée, nue, couverte de terre, les yeux masqués, les jambes écartelées et bien baisée. Comment ont-ils pu ? Comment ont-ils pu me faire ça ? Comment ont-ils pu m’abandonner ?
Et puis je sens la raison… Le sombre picotement revient ainsi que la peur d’avoir été laissée ici sans défense. Je suis encore excitée. Pire encore, je mouille. Même si je crains pour ma vie, je ne me suis jamais sentie aussi excitée. Je n’ai jamais vécu une telle aventure. Les gothiques savaient ce que je n’arrive toujours pas à accepter : J’aime ça… et j’en veux plus.
- Regardez-moi ça ! Dit une voix bourrue au bout de vingt minutes.
J’entends beaucoup de bruits, ce qui me fait penser qu’un groupe de personnes se dirige vers moi.
En les entendant, je commence à paniquer, mais je me détends aussi rapidement. Je me dis que c’est ce que je veux. C’est ce dont j’ai besoin. Alors je ne me donne même pas la peine de bouger ou d’essayer de crier. Je reste immobile en acceptant que des étrangers me voient comme je suis… Nue. Ils voient tout, mes nichons d’intello, ma chatte et mon cul bien baisés.
- Putain, cette salope doit être vraiment chaude pour jouer comme ça. Et regardez ces gros nichons ! Dit un homme.
Alors je sens des mains sur ma poitrine. Elles me tripotent durement. Elles essaient de tenir mes nichons, mais comme ils sont trop gros, elles se contentent de les tripoter en me faisant ressentir douleur et plaisir. Ensuite on s’amuse avec les pinces sur mes tétons. On les tire, on les défait et on les remet.
Puis je sens un homme qui se presse derrière moi. Un moment plus tard, je sens ce qui doit sûrement être sa bite se présenter à l’entrée de ma chatte. Il la positionne en respirant de plus en plus fort, puis il la pousse à l’intérieur de ma chatte chaude et humide. Nous gémissons de concert. Mon dos se cambre à la sensation de la bite d’un étranger dans ma chatte.
- Être sans abri a quelques avantages, n’est-ce pas les gars ? On a toujours les meilleurs restes ! Dit le gars derrière moi.
J’entends d’autres hommes rire. J’en compte au moins six. Et tandis que l’un d’eux tripote mes sains sans pitié, celui qui est derrière moi commence à me baiser. Horrifiée par le fait que je suis violée par un groupe de SDF, je ne suis pas loin de jouir.
Plus tard, j’ouvre les yeux. Je n vois rien d’autre que l’obscurité et la confusion règne dans ma tête alors que je ressens encore les effets de l’alcool. Je sens que je ne suis plus debout, ni attachée dans le parc. Je suis allongée sur ce que je pense être un matelas. Je suis toujours nue et ma chatte et mon cul me font mal. C’est douloureux comme jamais auparavant.
Des bribes de souvenirs me reviennent alors. Ces sans-abris qui m’ont trouvé dans le parc m’ont utilisée encore et encore. Puis ils m’ont enlevé le bâillon et ils m’on fait boire ce que je pense être de la vodka. Ils m’en ont fait beaucoup boire.
Puis ils m’ont encore baisée, se relayant sur chacun de mes trous. Ils m’ont même prise en double en restant debout. Je crois même que l’un est monté sur le dos d’un autre pour essayer de mettre sa bite dans ma bouche. Du moins c’est ce que je pense me souvenir.
Et je suis presque sûre qu’ils ont appelé des amis, je me souviens de beaucoup de gars qui m’ont baisée. C’était comme une fête. Pour moi tout était flou sûrement à cause de l’alcool.
Je me souviens avoir adoré ça. Je me souviens même avoir ri à un moment donné. Je me suis jointe à la fête et j’ai ri. Même quand l’un d’eux a commencé à gifler mes seins. Je l’ai laissé faire et j’ai adoré. Je me souviens du sentiment de se sentir bien. Les gothiques avaient commencé à me le faire ressentir, mais les sans-abris ont fini. J’ai eu peur, je me suis sentie possédée et j’ai joui comme jamais auparavant.
En clignant des yeux, je réalise que j’ai toujours le bandeau. J’essaie alors de bouger une main pour l’enlever, mais je ne peux pas. Je ne sens plus les menottes, mais je sens le frottement d’une corde. Je crois que je suis attachée, étendue sur le matelas.
D’autres souvenirs me reviennent alors que je me demande comment je suis arrivée là. Tout est si étrange. J’ai l’impression d’être droguée, car mon cerveau a du mal à traiter toutes les informations.
Ça y est, je me souviens maintenant. Quand les sans-abris en ont eu assez, ils ont enlevé mon bâillon et ils m’ont demandé pourquoi je faisais ça. C’est là que je leur ai tout raconté : Comment les gothiques m’avaient kidnappée et malmenée dans le bus, comment ils m’avaient déshabillée et violée pendant des heures. Et comment ils m’avaient laissée attachée après m’avoir sodomisée.
Mon histoire atout changé. L’un des sans-abri a dit qu’il savait comment enlever mes menottes, ce qu’il a fait. Les autres ont défait les ceintures. Ils ont enlevé le bandeau et ils m’ont libérée complètement.
Je me rappelle m’être assise avec eux dans le parc, tandis qu’ils me demandaient si j’allais bien. J’ai répondu que oui et ils m’ont donné une couverture pour me couvrir ainsi que de la vodka pour me calmer. Ils m’ont dit qu’ils pensaient que c’étaient un jeu pervers et qu’ils regrettaient d’avoir participé, qu’ils ne voulaient pas me faire de mal ou quelque chose contre ma volonté. En les entendant parler j’ai vu qu’ils se sentaient mal. Je me souviens que certains d’entre eux m’ont demandé si j’avais besoin d’aide, un téléphone ou autre chose, si je voulais appeler la police. C’étaient des gens bien. Ils avaient vraiment l’air de se soucier de moi.
Et je me souviens de ce que j’ai fait alors. Mon estomac se creuse un peu à ce souvenir. Mais dans l’ensemble j’accepte ce que j’ai fait et j’accepte ce qui s’est passé.
Tandis que j’étais assise au milieu du groupe et qu’ils s’inquiétaient pour moi, je savais que j’avais changé. Quelque chose en moi était différent et je savais que je ne pouvais pas revenir en arrière.
Alors je leur ai demandé s’ils avaient aimé de me voir pendue comme ça. Je leur ai demandé d’être honnêtes. De me dire réellement s’ils avaient aimé me baiser alors que j’étais attachée et sans défense. S’ils avaient apprécié mes glapissements de douleur et mes gémissements de plaisir et de jouissance. Bien sûr, ils m’ont répondu que oui, et l’un d’entre eux a même dit que c’était la chose la plus vicieuse qu’il ait jamais faite.
C’est alors que je leur ai dit que je voulais plus. Je voulais qu’ils me fassent encore plus de choses. Je leur ai dit qu’ils étaient libres de me faire ce qu’ils voulaient tant qu’ils me traitaient comme la femme qu’ils avaient vue en arrivant.
Ils ont changé instantanément de comportement quand ils ont compris que j’étais sérieuse. Ils m’ont arraché la couverture et ils m’ont attaché les mains derrière le dos. Ils m’ont fait même me cambrer en attachant mes bras. Ils ont ensuite attaché mes chevilles avec une corde tout en me laissant une latitude pour que je puisse avancer sans pouvoir m’enfuir.
Ensuite, je les ai joyeusement suivis jusqu’à leur camp, tandis qu’ils ne se gênaient pas pour me claquer les fesses. L’un d’eux avait attaché une corde autour de mon cou et s’en servait comme d’une laisse pour me faire avancer. Les sans-abris se moquaient de moi et me disaient toutes les façons dont ils allaient me baiser. En plus, comme je faisais des petits pas, mes seins n’arrêtaient pas de bouger et de rebondir. Ça les faisait rire et ils ne se gênaient pas pour les gifler.
Quand nous sommes arrivés à leur camp, ils m’ont amené ici, sur ce matelas, où j’ai insisté pour être attachée dessus. Ils l’ont fait et ils ont remis le bandeau et le bâillon, me rendant de nouveau complètement impuissante.
Je sens que l’on m’enlève le bâillon. Je prends quelques grandes respirations en me demandant ce qui va se passer. Je sens alors un goulot de bouteille sur mes lèvres. Levant un peu la tête, je me prépare à boire. On me verse de la vodka dans la bouche que j’avale avidement. Après avoir versé quelques gorgées supplémentaires, la personne remet le bâillon et laisse l’alcool faire son effet.
De temps en temps, quelqu’un que je ne peux pas voir vient et me baise d’une manière ou d’une autre. On baise parfois ma chatte, d’autres fois mon cul, souvent ma bouche. Et on se branle entre mes seins en les pressant ensemble. Des fois, on me détache pour m’attacher dans une autre position afin qu’ils me baisent encore. Les uns après les autres, ils abusent de moi encore et encore. Je jouis quasiment avec chacun d’eux, car je suis toujours dans un état d’excitation. De temps en temps on me donne à manger ou à boire de la vodka, mais sinon je suis toujours bâillonnée. Je suis une esclave sexuelle maintenant, une esclave sexuelle dans un campement de sans-abris.
Avant qu’ils ne m’attachent au matelas, je me souviens avoir plaisanté avec eux. Je me souviens leur avoir dit qu’ils devaient indiquer où je me trouvais pour les autres, une pancarte indiquant où se trouvait l’esclave sexuelle du camp. Ils m’ont répondu qu’ils ne savaient pas trop quoi mettre.
Je leur ai dit d’écrire : « La première de l’université »
A suivre…