Texte écrit par G il y a quelques années.
Après les cours, retour à la maison.
Après avoir de nouveau subi de multiples humiliations dans ma salle de classe par Rachid et Bruce, la journée s'écoule sans que je ne sois plus importunée par mes deux élèves que je n'aurais d'ailleurs jamais soupçonné d'être aussi pervers. Je suis cul nu sous ma jupe. Je rappelle que j'ai été forcée de donner mon slip à Rachid et Bruce ce qui me contraint à rester sans aucuns sous-vêtements pour le reste de la journée. C'est la première fois que je suis les fesses à l'air sous mes vêtements et je dois reconnaître que cela procure une étrange sensation.
Je suis soulagée quand retentit la sonnerie annonçant la fin des cours pour la journée. Je crois bien que je suis encore plus rapide que mes élèves pour sortir de l'établissement. Je me dirige vers ma voiture garée dans le parking réservé aux professeurs. Je suis en train de chercher mes clés dans mon sac à main quand une voix derrière moi me fait sursauter :
- Bonsoir salope!
Je me retourne et me trouve nez à nez avec Rachid et Bruce et un autre élève de l'établissement que je ne connais pas.
- Où tu vas la?
- Chez...chez moi...Balbutie-je, terrorisée.
Bruce s'approche de moi et me plaque contre ma voiture.
- Tu vas nous emmener chez toi, pour nous offrir l'apéro.
Je proteste que je ne peux pas, que mon mari va rentrer du travail.
- A quelle heure il rentre? me demande Bruce en m'empoignant un sein à travers le chemisier.
- Vers 20h00, je pense. Murmure-je, vaincue.
- Eh bien Impec, il est à peine 17h00, on a le temps de visiter ton chez toi, de boire un coup, et surtout de s'amuser un peu.
Je sens le sang se retirer de mon visage. Ce n'est pas possible! Je ne vais pas emmener ces voyous chez moi. Soudain, Bruce commence à déboutonner mon chemisier blanc, faisant apparaître mes seins lourds qui débordent de mon soutien-gorge blanc. Il baisse les bonnets et commence à me triturer les seins, les malaxant sans douceur. Je suis complètement affolée à l'idée qu'un élève ou un de mes collègues débarquent dans le parking et nous aperçoivent.
- Je vous en supplie, pas ici, on pourrait nous voir. Dis-je en haletant.
Bruce me demande les clés de ma voiture que je m'empresse de lui donner. Il s'installe au volant pendant que je suis contrainte de monter à l'arrière avec Rachid et l'autre garçon. Je suis coincée entre les deux sans aucun moyen de m'enfuir. Bruce me demande mon adresse et nous démarrons.
Pendant le trajet, Rachid me présente leur copain, il s'appelle Bruno. Il est assez gros, pas très beau je dois dire. Il ne doit pas avoir beaucoup de succès avec les filles. Je suis pelotée par Rachid et Bruno pendant que Bruce conduit la voiture. Bruno a soulevé ma jupe et il a sifflé en découvrant que je ne porte pas de slip. Rachid lui lance :
- Tu vois, c'est une salope je t'avais dit, elle donne ses cours les fesses à l'air.
Je proteste que ce n'est pas vrai et que c'est eux qui m'ont forcée à l'enlever. Rachid plonge soudain ses doigts dans mon vagin et commence à me branler. Très vite, je sens une douce chaleur dans mon bas-ventre. Pendant ce temps-là, Bruno tord les tétons de mes seins en me traitant de salope, de bourgeoise perverse. Le trajet me semble interminable. Plusieurs fois je suis au bord de l'orgasme et je me mords les lèvres. A chaque fois, Rachid arrête de me branler, il ne veut pas que je prenne mon pied tout de suite me dit-il en rigolant. Il faut me préserver pour tout à l'heure.
Nous arrivons enfin devant mon pavillon et j'actionne l'ouverture automatique de mon portail. Bruce rentre la voiture et se gare dans le jardin. Nous descendons de ma voiture et je les fais entrer dans mon pavillon tout en sachant que je viens de commettre l'irréparable. Les démons sont dans la maison. Ils sifflent en entrant dans le pavillon. J'imagine qu'ils sont éblouis, eux qui habitent dans un HLM de la citée. Un aboiement les fait sursauter. C'est Voxy, mon caniche nain qui arrive pour faire la fête à sa maîtresse. Il se jette sur moi, pas spécialement étonné de voir des personnes qu'il ne connait pas à la maison. Tu parles d'un chien de garde. Rachid et Bruce lui font même des caresses.
- Bon, tu nous sers à boire? Demande Rachid.
Je les emmène dans le salon et commence à leur demander ce qu'ils veulent boire. J'ai le chemisier toujours ouvert et me seins ballottent pendant que je marche.
- Attends! Ce n'est pas marrant comme ça, t'as pas une bonniche?
Je regarde Bruno, interloquée. Non, je n'ai pas de domestique...enfin, une femme de ménage qui vient seulement une fois par semaine.
- Alors tu vas faire la bonniche. S'exclame Bruce en éclatant de rire.
- Tu vas te saper en bonniche sexy, comme dans les films de cul.
Je baisse la tête. Je vais de nouveau être leur jouet. Je dois leur montrer ou je range mes vêtements. Je les emmène donc dans ma chambre. Ils sourient en voyant le lit conjugal et me demande si c'est là que mon mari me défonce.
- Ouu...oui. Murmuré-je je rougissante, honteuse.
Bruce et Rachid ouvrent ma penderie et observent mes vêtements : Surtout des tailleurs, quelques pantalons. Ils m'ordonnent de me déshabiller, ce que je fais sous leurs regards lubriques. Bruce commence à prendre des photos avec son téléphone portable. Je suis totalement nue devant eux et je tente de cacher maladroitement ma toison. Rachid farfouille dans ma penderie.
- Où tu mets tes chaussures? Me demande-t-il soudain, et ta lingerie de pute comme l'autre jour dans le bar?
Je lui désigne une commode qu'il s'empresse d'ouvrir. Il y découvre en effet ma lingerie fine. Il s'extase devant les strings, les soutiens-gorge en dentelle, les porte-jarretelles, les bas, les collants et surtout une guêpière qu'il sort immédiatement.
- Tiens, tu vas enfiler ça!
- Et ça. Lâche Bruce en sortant un porte-jarretelle noir.
Bruno, lui, sort une paire d'escarpins vernis à très hauts talons : Des chaussures qui m'ont été offertes par mon mari pour assouvir ses fantasmes mais qu'en fait je n'ai jamais mises. Les talons-aiguille sont vraiment hauts et surtout en acier, ce qui me donne vraiment un air de pute.
Je m'habille sous les quolibets de mes tourmenteurs qui décident de m'aider ce qui leur donne l'excuse de me tripoter les seins et la chatte. Ils découvrent ma collection de bas et me choisissent des bas-résilles. Après un débat existentiel sur le fait de savoir si je dois porter un string ou non, il est finalement décidé que je resterai cul nu pour faire le service. Bruce n'arrête pas de prendre des photos bien sûr.
Nous redescendons dans le salon et je déambule pour faire le service et leur préparer leur whisky. Chaque fois que je m'approche un peu trop près de chacun de mes « invités » une main baladeuse me palpe le cul et s'introduit dans mon vagin, m'écarte les lèvres pour me masturber. Inutile de dire que dans ces conditions, le service dure des heures. Bruce découvre alors sur le guéridon du salon la laisse de Voxy. Il appelle le chien qui vient sans discuter et lui retire son collier. Il se relève et me regarde :
- Viens ici ma chienne...
J'ai déjà compris quand je m'approche de lui. Il m'attache le collier autour du cou et y accroche la laisse. Voilà donc ce que je suis devenue : une chienne.
Bruce me prend par la laisse et s'amuse à me promener dans le salon sous les rires des autres. Rachid prend des photos. Soudain, Bruno demande :
- On ne lui montre pas le site?
On me demande s'il y a un ordinateur. Je leur réponds que mon mari en possède un dans son bureau. Bruce me force à me mettre à quatre pattes et, toujours tenue en laisse, je les emmène dans le bureau de mon mari. Bruno se met devant l'ordinateur et se connecte sur internet. Très vite, je vois des photos apparaître. Horrifiée, je reconnais les photos prises dans le bar quand je me suis faite prendre à la chaîne. Heureusement, mon visage est flouté. Des commentaires accompagnent les photos : « La bourgeoise salope se fait enculer dans un bar » ou encore « la prof perverse se fait défoncer par ses élèves ». Ces salauds ont mis les photos sur le Net comme il me l'avait dit et je suis anéantie de savoir que des millions de pervers peuvent les mater. Bruce a fait le tour et s'est mis derrière moi. Il me sort les seins des bonnets de la guêpière et commence à me les triturer en me soufflant dans l'oreille.
- Ça t'excite de savoir que des millions de mecs se branlent en matant tes photos?
Je ne réponds pas. Il s'empare de mes tétons et commencent à les faire rouler entre ses doigts. Puis il me soulève les seins et les laissent retomber, plusieurs fois. Cela semble l'amuser. Il se penche vers moi et me suce les tétons jusqu'à ce qu'ils deviennent rouges.
Rachid n'est pas en reste, il est à genoux devant moi et me suce la chatte. Sa langue s'empare de mon clitoris et j'ai un sursaut. Je suis manipulée comme ça pendant un bon moment. Je n'en peux plus, j'halète. On me force à m'agenouiller et tous les trois sortent leur queue. Je commence à les sucer, passant d'une queue à l'autre. Rachid me tient par ma laisse et s'active dans ma bouche en m'insultant :
- Pompe bien la Bourge, on va pouvoir te faire faire la pute, te faire tourner des films...
Je ne réponds pas à ces menaces, tout à mon plaisir. Je les suce comme une folle. Soudain, Je suis relevée et ramenée dans le salon. Je suis penchée sur le canapé. Je sens un doigt puis deux s'introduire avec violence dans ma chatte. Mon corps réagi malgré moi et je suis trempée. Rachid me murmure dans l'oreille :
- Je vais te baiser.
Il place sa bite contre l'ouverture de ma chatte gluante et s'enfonce d'un coup sec, me faisant crier. Il me donne des grands coups de reins. Il me baise avec brutalité et je me mets à ahaner. Il me donne des petites claques sur les fesses en me traitant de « grosse jument à dresser ».
Bruce a fait le tour du canapé et il me force à prendre sa bite dans ma main et je commence à le branler. Bruno, pendant ce temps, prend des photos. Bruce présente sa bite épaisse devant mes lèvres et force le passage. J'ouvre la bouche et l'engloutit. J'ai les larmes aux yeux tant il est imposant. Bruce fait exprès de me l'enfoncer jusqu'au fond de la gorge. Je veux le recracher mais il me prend les cheveux pour m'obliger à accepter toute la longueur du membre.
Rachid me donne des coups de reins de plus en plus violents. Bientôt, ils alternent, c'est Bruce qui s'enfonce dans ma chatte et Rachid qui s'empare de ma bouche. Cela dure des heures. Bruce et Rachid accélèrent le rythme, me pistonnant chacun par un trou. Puis Ils éjaculent presque en même temps, me provoquant un orgasme. Rachid m'asperge d'un foutre épais qui coule sur mon visage, mes lèvres jusqu'à mes seins, pendant que Bruce me remplit le vagin.
Je descends du canapé et m'affale par terre, cuvant mon orgasme, mais je n'ai pas le répit que j'espérais. Bruno s'approche de moi en se branlant et m'oblige à me mettre à quatre pattes sur la moquette du salon. Je sens qu'il pose son gland contre mon cul et je pousse un cri.
- Non! Pas par là, je ne l'ai....
Bruce se lève et se penche vers moi :
- On en a rien à foutre de ce que tu veux. T'es notre chienne, tu verras tu vas aimer...
Bruno me donne un grand coup de reins et je pousse un hurlement. Bruce et Rachid me bâillonnent d'abord avec leur main puis avec des bas que Rachid a été cherché dans ma chambre. Une paire roulée en boule enfoncée dans ma bouche et un autre nouée autour de ma tête m'empêchent de sortir le moindre son et je ne pousse plus que des plaintes étouffées.
Bruno m'a agrippé les hanches et me défonce le cul à grand coup de bassin. Son ventre claque contre mes fesses. Je pousse des cris à travers mon bâillon puis ces cris se transforment en gémissements. Je réalise que je coule comme une fontaine. Je secoue la tête dans tous les sens, ivre de désir. Je bouge mes fesses pour encore mieux sentir la bite de Bruno pendant qu'il me déchire le cul. Il se démène en me donnant des coups de queue puissants et soudain il se vide les couilles dans mon cul en poussant un cri.
Tout le monde se relève. Je tiens à peine debout. Bruce regarde l'heure. Il est 19h30.
- Tu vois, me dit-il en ricanant, il te reste une demi-heure pour redevenir une bourgeoise respectable et une bonne épouse pour accueillir ton petit mari qui va rentrer du travail.
Avant de partir, pour donner du piment à leur site dont je suis l'héroïne bien malgré moi, ils me forcent encore à faire des photos dont une à quatre pattes où ils inscrivent au rouge à lèvres sur mes fesses : « PROF A ENCULER ».
Je suis encore humiliée puisque qu'ils m'obligent à les ramener à la gare RER pour qu'ils puissent rentrer chez eux. Mais ils m'ordonnent de mettre simplement un manteau de fourrure par-dessus ma guêpière et mes porte-jarretelles et surtout de garder le collier et la laisse qui pend entre mes seins dégoulinants de sperme car, bien entendu, ils m'ont interdit de me laver. Jusqu'où tout cela va-t-il aller?
à suivre...
Blog de récits érotiques imaginaires et fictifs sur les thèmes de la soumission et de l'humiliation.
samedi 25 avril 2020
Ecole privée Ch. 12
Ecole privée - - Soumission - chantage - récit érotique
21 - L’anniversaire.Nerveusement Anne regarda sa montre. 11 heures 30. Le repas était dans le four, la table dressée et les boissons au frais. Elle se précipita dans la salle de bain pour prendre une douche et se préparer à l'arrivée de ses élèves dans une heure. Quand l'eau coula sur son corps, elle eut l'impression de mains qui la caressaient. Elle sentit ses mamelons durcir et sa chatte la démanger. Enfin, dans une heure ou deux, elle aurait son orgasme. Ces derniers jours, elle fut souvent tentée de se toucher, mais elle n'était toujours pas sûre que MAURICE n'ait pas mis de caméra dans sa maison. Après tout ce qui s'était passé, elle le savait capable de tout.
Elle sécha son corps et ses cheveux puis se maquilla. Elle lança un autre regard sur l'horloge : 11 heures 50. Il était temps pour elle de se préparer. Elle vérifia le repas une dernière fois, baissa légèrement le four, puis, le cœur battant elle retourna dans son salon. Elle 'agenouilla devant la porte d'entrée, prenant soin de bien écarter les jambes, puis elle attacha le bandeau autour de sa tête. Espérant s'être souvenue de tout ce que MAURICE lui avait ordonnée, elle s'installa pour attendre.
Malgré son excitation, elle réalisa à quel point elle s'humiliait. Nue, les mains derrière la tête, présentant ses endroits les plus intimes de son corps à quiconque se présentant à elle, elle était agenouillée chez elle, attendant d'être utilisée comme une pute ordinaire. Toutefois, elle ne pouvait s'empêcher d'anticiper leur arrivée, dans l'espoir d'avoir les deux orgasmes qu'on lui avait promis. « Suis-je une vraie salope » se demanda-t-elle. Pour la première fois, elle admit ouvertement que son humiliation et sa soumission avaient donné un coup de fouet à sa vie sexuelle. Elle avait toujours aimé le sexe, n'avait jamais été prude, mais n'avait jamais eu d'orgasmes aussi puissant que ceux qu'elle avait eu ce dernier mois.
- Aux pieds putain, et salue correctement ton maître!
La voix autoritaire de MAURICE la surprit. Elle ne l'avait même pas entendu ouvrir la porte. Elle baissa son corps jusqu'à ce que sa tête touche le genou du garçon. Celui-ci ne bougea pas et elle dut reculer de quelques centimètres afin de pouvoir baisser sa tête sur le sol, embrasser et lécher ses chaussures. Il ne lui accorda que quelques secondes avant de faire un pas en arrière. Mais quand elle essaya de se relever, elle sentit un pied sur son cou la tenant le visage à terre. Puis une autre chaussure toucha son visage. Ses dix-sept étudiants présentèrent leurs chaussures à ses lèvres et sa langue. Elle goûta la poussière et le sable du chemin.
- Elle fait ça bien. Nous devrions lui faire nettoyer nos pompes de cette façon tous les jours.
- Non, la plupart du temps, elle a du foutre dans la bouche, et je ne voudrais pas qu'elle en mette sur mes chaussures. Répondit une voix de fille.
- Nous pourrions toujours laver sa bouche avec du savon avant de lui faire nettoyer nos chaussures.
- De toute façon, je préfère qu'elle me lave les pieds.
Anne était à peu près sûre que c'était Lydie qui parlait et qui ajouta :
- Et elle devrait le faire après le cours de gym.
Un garçon rigola et dit :
- Ouais! Et je ferais en sorte de de ne pas prendre se douche ce matin-là afin que mes pieds aient du goût.
Finalement l'épreuve (la première d'une multitude, Anne le savait) fut terminée et MAURICE lui retira le bandeau sur la tête. Les étudiants se tenaient en demi-cercle autour d'elle.
- Ok salope, on va voir comment tu joues avec tes mamelons. Ordonna MAURICE.
Ils allaient la laisser se masturber immédiatement. Cette pensée traversa son corps comme une décharge électrique. Elle commença à frissonner. Elle passa ses mains sur ses gros seins et elle sentit ses tétons durcir immédiatement. Quand elle les prit entre deux doigts et les fit rouler, elle ne put réprimer un gémissement de plaisir.
- Pince les plus fort et tords les!
Elle ne sut qui avait parlé mais elle obéit en pinçant et tordant ses mamelons bien durs. Ce contact lui envoya une vague de plaisir qui se concentra entre ses jambes.
- Maintenant écarte bien les petites lèvres de ta chatte et penche-toi en arrière pour que nous puissions bien voir une salope jouer avec elle-même.
Elle obéit à l'ordre avant même qu'il ne soit fini. Elle gémit à nouveau en touchant ses chairs excités.
- Mets deux doigts dedans et baise-toi!
Elle aurait aimé titiller son clitoris, mais elle obtempéra. Elle eut besoin de tout son sang-froid pour ralentir le mouvement alors qu'elle ne voulait que se baiser vite et fort avec trois doigts tout en triturant son clito de l'autre main. Mais plus aucun ordre ne vint, elle dut continuer sa lente taquinerie en mettant et retirant ses deux doigts de sa chatte. Son corps tremblait et transpirait. Elle gémissait continuellement maintenant.
- Sors tes doigts et lèche ton jus.
Le goût de son intimité ajouta une autre couche à son excitation. Mais elle se força pour ne pas supplier de pouvoir remettre ses doigts dans son sexe.
- Un doigt sur ton clito salope, et bouge très lentement.
Enfin! Elle plaça son majeur sur son petit bouton et le frotta en cercles lents. Un autre gémissement lui échappa. Si elle accélérait, elle jouirait. Elle avait tellement envie de le faire, mais malgré le brouhaha de folie, elle savait que ce serait beaucoup mieux si elle obéissait et attendait. Et ils la firent attendre.
Elle sentit son orgasme se construire de plus en plus lentement, elle sentit son estomac se contracter, elle sentit cette sensation particulière à l'arrière de ses genoux. Cela augmenta et se déplaça où son doigt continuait de taquiner son clito. Encore quelques secondes maintenant et elle savait qu'elle crierait de plaisir.
- J'ai faim, c'est l'heure de déjeuner. Tu pourras continuer de jouer plus tard, salope. Amène la nourriture sur la table.
Pendant de longues secondes, Anne ne put que regarder MAURICE sans comprendre. Il lui refusait encore son orgasme la faisant attendre encore plus longtemps. Mais un mouvement rapide la ferait jouir et elle n'aurait pas à attendre.
- Ne pense même pas à jouir grosse pute! Grogna MAURICE.
Ce n'était pas la peine qu'il dise ce qui se passerait si elle le faisait. Sur ses jambes tremblantes et accompagnée par les rires de ses étudiants, elle se dirigea vers la cuisine.
- Et lèche bien tes mains, je ne veux pas de ton jus dans ma nourriture.
Au moins, ils lui permirent de marcher au lieu de ramper. Elle apporta deux énormes plats de lasagnes et la salade qu'elle avait préparés. Une fois les plats posés sur la table, MAURICE lui indiqua qu'elle devait servir chacun de ses invités individuellement. Il lui fallut un moment pour remplir les assiettes de lasagnes et de salade. Quand elle revint en bout de table, elle s'aperçut qu'il ne restait plus aucune assiette. Alors elle partit vers la cuisine.
- Où vas-tu salope? Demanda MAURICE.
- Je vais chercher une autre assiette Monsieur. J'ai oublié d'en mettre une pour moi.
Le garçon éclata de rire.
- C'est moi qui aie enlevé l'assiette. Honnêtement, penses-tu que nous laisserions une salope nue manger à notre table? Tu restes où tu es. Je suis sûr que tu auras beaucoup à faire à nous servir tous.
Elle le fit. Les assiettes devaient être de nouveau remplies et les boissons distribuées. Pendant que ses élèves mangeaient et riaient, Anne se dépêchait de les servir tous. Quand tout le monde fut satisfait, Maurice sortit l'assiette qu'elle avait préparée pour elle et la passa autour de la table pour que les autres puissent mettre leurs restes dedans. Puis il ordonna :
- Tiens, salope. Mets là sur le sol et tu pourras manger. Mais d'abord viens ici. J'ai un petit cadeau pour toi.
Anne posa l'assiette et se plaça devant son bourreau. Il sortit un anneau en métal d'environ cinq centimètres de diamètre de sa poche. Deux ficelles y étaient attachées.
- Ouvre! Ordonna-t-il.
Il plaça l'anneau dans la bouche d'Anne, la forçant à la garder grande ouverte et il noua les ficelles derrière sa tête.
- Ok c'est bon, tu peux manger maintenant.
Il la repoussa violemment. Elle se rattrapa juste avant que son visage ne s'écrase dans les restes empilés sur l'assiette. Elle fit une tentative pour tirer la langue. Elle dut faire de son mieux pour atteindre la nourriture dans l'assiette. Elle eut beaucoup de mal à manger. Les étudiants la regardaient avec un amusement évident. Finalement MAURICE perdit patience.
- Oh, dépêche-toi salope. Nous n'allons pas passer toute la journée à regarder manger notre grosse truie.
Elle sentit son pied se poser sur son cou et pousser. Avec sa figure écrasée sur l'assiette, il était plus facile d'attraper quelque chose. Elle se dépêcha de manger sans penser à la saleté de son visage. Lorsque l'assiette fut vide, la chaussure se retira de son cou.
- Nettoie la table salope. Il est temps que nous nous amusions.
Respirant lourdement, Anne se leva et ramassa les assiettes et les couverts. Certaines filles l'aidèrent et empilèrent le tout sur le plateau qu'elle tenait. Quand elle fut à mi-chemin de la cuisine, MAURICE l'appela :
- J'avais presque oublié. Tu as un orgasme à venir. Il faut que tu n'y penses plus pour pouvoir bien te concentrer sur nous. Allez vas-y, frotte ta chatte. Mais ne prends pas toute la journée. Tu as... disons 20 secondes.
Anne le regarda, confuse.
- 19... 18...
Elle n'avait pas le temps de déposer le plateau à la cuisine. Désespérée d'avoir un orgasme, elle plaça le plateau sur sa main gauche et commença à se masturber frénétiquement avec la main droite. Son corps fut immédiatement submergé de plaisir, mais dans sa position inconfortable, il lui était difficile de se détendre suffisamment pour ressentir ce plaisir.
- 12... 11... 10...
Elle redoubla d'efforts tandis que le plateau vacillait sur sa main gauche. Des bruits humides sortaient de sa chatte pendant que sa main titillait son clitoris. Finalement, elle sentit la jouissance monter.
- 5... 4... 3...
- AHHHHHHHHH! Cria Anne alors qu'elle jouissait.
Son corps entier trembla et il fallut à l'enseignante mettre toute sa maîtrise en œuvre pour ne pas laisser tomber le plateau, s'effondrer sur le sol et céder à cet orgasme tant attendu.
- 0... Ne touche plus ta chatte, salope.
Avec un gémissement de déception, elle retira sa main alors que des vagues de plaisir la parcouraient encore. Elle savait qu'elle aurait faire durer plus longtemps cette extase.
- Ok, tu as pu jouir. Maintenant emmène ces assiettes à la cuisine, lave-toi le visage et reviens nous servir.
Les genoux faibles, en sueur, à bout de souffle et toujours aussi excitée qu'avant son orgasme elle obéit. Quand elle revint, MAURICE désigna le sol et elle s'agenouilla docilement. Les autres étudiants regardèrent le garçon avec espoir.
- Maintenant salope, je vais t'expliquer ce qui va se passer aujourd'hui. Nous allons passer un après-midi de plaisir et tu vas t'assurer que nous nous amusions. Chaque fois que quelqu'un voudra de toi, tu lui obéiras avec un sourire. Chaque fois que quelqu'un voudra que tu fasses quelque chose, tu obéiras avec empressent. Et ne t'attends pas à avoir des récompenses bien sûr. Tu es notre pute et il est de ton devoir de nous fournir un service parfait. Compris salope?
- Oui Monsieur. Soupira Anne.
Il ne répondit pas et se tourna vers Belinda et commença à l'embrasser. Les autres commencèrent à parler entre eux et ignorèrent complètement leur enseignante.
Lydie discuta avec Tom. Pendant près de vingt minutes, Anne resta à genoux, écoutant les conversations et regardant tranquillement Lydie jouer avec le sexe de Tom, tandis que le garçon avait sa main sous sa jupe. Leurs mouvements devinrent plus rapides, et soudain, Tom gémit profondément et le sperme jaillit de sa queue. Lydie n'arrêta pas de branler le garçon tant que tout son foutre ne soit étalé sur le sol. Les autres regardèrent en souriant.
- Belle éjaculation Tom. Sourit Robert.
- Nettoie salope, je suis sûre que tu sais comment faire. Ordonna Lydie en souriant.
Oui, elle savait comment. Prenant une profonde inspiration, Anne se pencha en avant et lécha quelques gouttes de sperme sur le sol. Quand elle voulut se relever pour passer aux suivantes, Lydie l'arrêta :
- Non, garde ton visage sur le sol et ton gros cul en l'air.
Soupirant silencieusement, Anne rampa vers les prochaines gouttes de sperme, consciente de son cul bien exposé. Lydie l'envoya partout, s'assurant de lui indiquer les gouttes les plus éloignées de l'endroit où elle se trouvait. Alors qu'elle léchait les derniers filaments de foutre sur le sol, elle entendit des ricanements de la part de certains garçons.
- Oui notre chienne va lécher ça! Dit une voix.
- Ici salope!
Elle suivit la voix de Lydie et quand elle atteignit le canapé et leva les yeux, elle vit que la jeune fille avait enlevé sa jupe et était assise, les jambes grandes ouvertes sur sa chatte poilue. Anne n'eut pas besoin d'autres ordres et plongea entre les jambes de l'étudiante. Une forte odeur la salua, mais elle serra les dents et commença à faire plaisir à son élève aux cheveux bruns.
Il y eut beaucoup d'encouragement autour d'elle, pour la plupart obscènes bien sûr. Mais Anne essaya de se concentrer sur ce qu'elle faisait. Elle fut récompensée par le fait que Lydie gémissait bruyamment, attrapant sa tête et frottant son visage sur la chatte poilue jusqu'à ce que sa figure soit couverte du jus féminin.
Apparemment, cela brisa la glace, et Anne passa l'heure suivante à sucer des bites et lécher des chattes. Quand elle eut un moment de répit, sa langue était douloureuse. Elle regarda autour d'elle et vit que MAURICE et Belinda avaient disparus. Mais elle n'eut pas longtemps à attendre pour savoir où ils se trouvaient. La voix de MAURICE lui fit rejoindre sa chambre. Elle trouva le couple sur son lit, en train de faire l'amour. MAURICE était sur le dos avec Belinda qui le chevauchait.
- Il était temps que tu arrives, salope. Tourne-toi ma chérie que notre putain puisse se mettre au travail.
Belinda se retourna sans relâcher la bite du garçon jusqu'à ce qu'elle fasse face à Anne.
- Viens ici salope et lèche-moi la chatte.
Anne rampa sur le lit et commença à lécher la chatte humide de Belinda, tandis que le membre du garçon montait et descendait langoureusement. Sous la double stimulation, Belinda jouit très vite. Mais MAURICE continua ses mouvements et Anne dut faire de même, bien que sa langue devienne de plus en plus engourdie. Belinda eut deux autres orgasmes, et l'enseignante, sa propre chatte brûlante de besoin, la détesta à chaque fois.
Finalement, les mouvements du garçon devinrent plus rapides et plus profonds. Il provoqua un nouvel orgasme à sa petite amie alors qu'il jouissait en elle. La seule récompense d'Anne fut de lécher le foutre du jeune homme sur sa bite et dans la chatte.
Avant de revenir au salon, les deux étudiants se rhabillèrent comme tous les autres après que Anne les ait servis. Evidemment ils voulaient qu'il n'y ait que l'enseignante complètement nue. Quand MAURICE s'installa dans un fauteuil et demanda à Anne de lui apporter une boisson, un silence s'abattit dans la pièce.
- Eh bien salope, après avoir fait un travail facile, il est temps d'organiser d'autres divertissements. Cependant il faut un peu de préparation. Va dans le jardin et attends!
Anne se dirigea sur son patio, mais d'un geste de la main, le garçon lui indiqua d'aller plus loin dans le jardin où elle attendit anxieusement. Qu'avaient-ils en tête pour elle? Son orgasme avait été merveilleux malgré les circonstances, mais elle était toujours aussi excitée qu'auparavant. Elle espérait être baisée comme lui avait promis MAURICE. Elle avait renoncé à prétendre qu'elle détestait tout ce qu'ils lui faisaient et qu'elle n'obéissait qu'à cause du chantage. A présent, elle savait qu'elle avait besoin de cette soumission et humiliation pour atteindre des orgasmes déchirants. Quoi qu'ils lui fassent, elle obéirait dans l'espoir d'être bien baisée à la fin.
A suivre...
Éducatrices Ch. 08
Educatrices - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte
Echanges.
La prise de possession des lieux se fit sans coup férir, le vaste appartement, entièrement aménagé pour la vie en semi-autonomie réservait une vaste salle de loisir commune, une cuisine salle à manger confortable et six chambres meublées de vastes lits. Il était conçu pour servir de sas transitoire entre la vie surveillée de l'IME et l'autonomie totale de l'extérieur.
Une chambre était aménagée pour recevoir l'éducateur chargé d'aider les jeunes sortants dans leurs démarches et la gestion de leur vie matérielle. Dans l'esprit des chefs, cette chambre accueillerait l'éducatrice de service. L'infirmière qui demeurait à proximité y séjournerait aussi bien que de façon moins soutenue, puisqu'elle pouvait rester d'astreinte chez elle. De toute manière c'était aux trois volontaires de gérer leur emploi du temps, mais en aucun cas les jeunes ne devaient rester hors de surveillance.
Toujours dans leur esprit, les trois aînés seraient à même d'y prouver leur débrouillardise et leur capacité à s'autogérer sous contrôle bienveillant.
La consigne donnée aux éducatrices était de les laisser agir le plus possible, de n'intervenir qu'en cas de conflit ou d'abus flagrant. Dans ce but, eux mêmes ne feraient que de rares visites de façon à laisser les situations se nouer et se dénouer de la façon la plus naturelle.
Ils avaient beaucoup appréciés ce tandem d'éducatrices, qui sans violence, sans éclat, avait si bien réussi à maintenir ces jeunes jusqu'ici sources de multiples problèmes dans un chemin qu'ils pensaient pavé de bonnes intentions.
Chacun prit possession de sa chambre, en fonction de la disponibilité de leurs maîtresses. Ils conçurent un planning leur permettant de toujours avoir à leur disposition trois femelles, se débrouillant même pour pouvoir profiter des quatre à la fois deux soirées par semaine.
Elles mirent sur le compte de l'entraide et de la solidarité cette activité qui les chassait souvent de leur foyer, les maris ne pipèrent point, et la vie s'organisa suivant les normes qu'avaient fixées les jeunes.
Quel que soit l'heure du jour, elles devaient être nues ou porter des tenues suggestives propres à exciter la convoitise de leurs amants, aucun voile ne devait protéger l'accès de leurs trous toujours disponibles.
Toutes quatre, à force de parader en bas, porte-jarretelles, voiles arachnéens, se trouvaient excitées en permanence, la cyprine coulait à flot de leurs moules lascives. Le cul graissé en permanence elles étaient toujours prêtes que ce pour une étreinte hâtive sur le bord de la table, ou pour une possession à plusieurs dans la douce tiédeur des couettes de lit.
Il arrivait même souvent que deux d'entre elles s'aiment sous les yeux des trois jeunes investissant simultanément les trois orifices de la délaissée.
Deux jours ne s'étaient pas passés que déjà Fabienne et Françoise avaient compris ce que dorénavant ils attendaient d'elles.
Un soir, à la tombée de la nuit, elles accompagnaient Miloud et Stephan partis chercher des cigarettes dans le coin le plus mal famé de la ville. Choisissant un bar tabac des plus louches, Miloud s'accouda au comptoir et commanda quatre demis, elles protestèrent qu'elles n'avaient pas soif, mais bien plutôt pipi, rien n'y fit, elles durent consommer, puis, puisque c'était leur désir, ils les emmenèrent aux toilettes, mais à leur grande confusion, dans celles des hommes.
Les deux compères s'amusèrent à les faire pisser dans les urinoirs suspendus, elles donnaient un spectacle croquignolet, ventre tendu vers le bac, sursautant à chaque bruit. La vessie contractée par la crainte de voir surgir un client, elles s'efforcèrent de les satisfaire sous leurs rires. Enfin, étirée sur la pointe des pieds, le ventre tendu au dessus de la faïence blanche, les petites lèvres pressées entre leurs doigts, pour mieux diriger le jet, elles parvinrent à se soulager. Elles ne purent cependant éviter les éclaboussements qui leur souillèrent les cuisses.
Elles étaient troussées toutes deux au dessus de la taille, un mouchoir humide à la main, se nettoyant les cuisses et la fente lorsque surgirent deux consommateurs interloqués. Sur un signe de Miloud, elles durent terminer la toilette de leurs chattes, avant de s'enfuir véritablement devant les sarcasmes des deux voyeurs, qui, ravis d'assister à un tel spectacle, commentaient grivoisement le tableau.
Folles de honte, elles s'empressèrent de régler cigarettes et consommations, puis, avant le retour des deux intrus, elles se précipitèrent au dehors, cherchant à se dissimuler pour attendre leurs tourmenteurs.
Ce n'est qu'une fois rentrées à l'appartement, que racontant la scène à leurs amies, elles comprirent que dès leur entrée dans les toilettes, Miloud escomptait l'arrivée d'étrangers désireux de les contraindre à cette exhibition obscène devant des tiers inconnus, cela augurait bien de l'avenir proche!
En bref la vie allait bon train dans l'appartement, les quatre femelles ne vivaient plus que pour le plaisir de sentir exulter leur corps, elles ne ressentaient même plus d'humiliation devant leurs volontés les plus perverses et se pliaient avec volupté à toutes leurs initiatives, surenchérissant même souvent.
Bêtes à jouir elles ne se sentaient vraiment bien que la pine dans la chatte la bouche ou le cul, cherchant souvent à les avoir dans leurs trois trous simultanément, goulues de sexe elles n'aspiraient plus qu'à pour se faire troncher du mieux et le plus souvent possible.
Françoise constata sans surprise la présence de plus en plus fréquente de Francis dans son sillage, insouciante elle ne s'en préoccupa pas. Toute à l'exultation de son corps, elle n'en ressentit qu'une aversion encore plus marquée pour son mari qui la faisait ainsi surveiller.
De toute manière, les trois jeunes prenaient assez de précautions, ils n'exhibaient leurs compagnes que dans l'intimité, ne s'autorisant aucune privauté dans les lieux par trop public.
Un après midi que Miloud et Fabienne se promenaient dans le même quartier louche, il s'entendit héler :
- Miloud ..... eh Miloud !
Dirigeant leurs regards vers la terrasse du "globe", ils aperçurent un petit gros qui de la main leur faisaient signe. Miloud le reconnut tout de suite.
- C'est Michel, un vieux copain de boite, viens on va le rejoindre !
Ils prirent place au coté du petit gros . Blond, la figure bouffie, de petits yeux porcins, le gaillard déplut d'entrée à Fabienne, d'autant plus qu'il la déshabillait du regard. Elle sentait ses yeux ramper le long de ses courbes, le contact lui semblait si physique, qu'elle en ressentit comme une brûlure.
- Fabienne, ma maîtresse... La présenta Miloud, appuyant sur le vo-able.
- Ta maîtresse? Interrogea le petit gros, visiblement intéressé.
- Eh oui... J'aurai du dire mon esclave... Elle fait tout ce que je veux... N'est ce pas Fabienne ?
- ......
- Tu te souviens... Y'a six mois... Tu m'as dit que tu te tapais la femme du notaire... Que tu l'avais photographiée en pleine action avec son gigolo, et que depuis ce jour elle se pliait à tes quatre volontés...
- .......
- Eh bien, avec Stephan et Charles, on a suivi ton exemple... On a maintenant chacun notre nana... J'ai donc, cette fois de la viande à te proposer en échange de ta belle !
- Continues mon vieux, tu m'intéresses, non seulement j'ai toujours Claudine à ma botte, mais ici aussi, j'ai fait école, Rachid, Ahmed, Roland ont eux aussi leurs baiseuses... Elle a l'air pas mal ta gonzesse... Mais avant de jouer, je voudrais voir la donne !
Rouge jusqu'aux oreilles, le cœur bourrelé d'angoisse, les larmes au bord des yeux Fabienne écoutait fiévreusement cet échange, en devinant déjà la conclusion. Une fois de plus elle serait contrainte, elle devrait se soumettre aux fantaisies libidineuses de son maître.
- Tu veux voir la marchandise ?
- Ben toi quand t'achètes, tu testes la qualité avant, non?
- Rentrons dans une des loges, à l'intérieur, on sera à l'abri des regards, t'es toujours copain avec le serveur ?
- Oui, allons y ça doit pouvoir s'arranger... Christophe! Christophe, on prend la loge quatre, tu peux surveiller pour qu'on ne vienne pas nous déranger ? Si ça t'intéresse, tu pourras toujours venir te rincer l'œi l!
Les deux garçons pénétrèrent dans une loge séparée de la salle principale par une porte western, ils s'assirent au fond sur la banquette, Fabienne debout face à eux.
- Trousse-toi, montres ta chatte... Lui ordonna Miloud.
D'un geste lent, pâle de honte, Fabienne releva la courte jupe sur ses cuisses, le liseré des bas apparus, puis la zone de chair dorée du haut de la cuisse et enfin le triangle blond frisé de son pubis. Seule la toison fournie de Fabienne dissimulait encore sa fente.
- Bien dressée... Elle porte jamais de culotte ?
- Toujours prête!
- Félicitations, c'est de la bonne marchandise... Commenta le petit gros.
- Tourne toi maintenant, tu vas voir le cul qu'elle se trimbale !
Docilement, servilement, elle pivota sur les talons exhibant l'opulence de ses fesses musclées, séparées par le profond sillon culier.
- C'est moche ces marques blanches... Remarqua Michel suivant le contour blanc des marques du maillot... Tu devrais remédier à ça... Je peux ? Questionna-t-il enfonçant sa main dans l'entre-fesses.
- Bien sur... Tâte la marchandise... J'espère que t'apprécies, et encore tu peux pas savoir... Elle a le cul serré, c'est un rare plaisir de l'enculer !
Sous les commentaires graveleux, Fabienne pâlit encore, l'entrée du serveur un plateau à la main ajoutant encore à sa confusion. Le bas du corps dénudé, jambes légèrement écartées, la main du testeur entre les fesses, Fabienne offrait une image d'une parfaite obscénité, et en avait conscience. Elle rougit cette fois, désemparée, elle ne cherchait même pas à se soustraire à la caresse de plus en plus appuyée.
- Eh bien mes cochons, vous ne vous emmerdez pas... Tu me la passeras aussi ?
- On verra plus tard... Chaque chose en son temps... Pour l'instant Michel est sur l'affaire... Mais j'en ai d'autres... Si le cœur t'en dit...
Michel obligea de la main Fabienne à présenter de nouveau sa chatte, lissant les poils, les démêlant afin de mieux découvrir la fente charnue, des doigts il suivit les grandes lèvres, effleurant du pouce le clitoris qui, affolé, se raidit au contact de la caresse furtive, puis il lui enfonça facilement l'index dans le vagin.
- Dis donc, c'est une vraie fontaine ! Elle démarre au quart de tour ta nana... Elle est déjà trempée... Si j'ai de la tapisserie à faire je te l'emprunte... Souligna vulgairement le petit gros.
En effet le mécanisme du plaisir s'était emparé du corps de Fabienne, sa tête avait beau dire non, elle perdait tout contrôle de son ventre, de ses reins, son exhibition et les caresses brutales la chaviraient. Brusquement sa motte s'était inondée de cyprine, elle sentait sa liqueur sourdre de son sexe poissant toute sa fente, son ventre se tendait vers la caresse infâme.
Brutalement le pouce du petit salaud lui força l'anus, il entreprit de lui masser la chair tendre et fine du périnée entre le pouce et l'index. Dans un soupir, Fabienne du avouer son orgasme sous l'œil des trois mateurs narquois.
Le serveur appelé à l'extérieur les quitta, tandis que Michel, d'une main fébrile sortait son gros sexe rouge de son slip.
- Suce moi! Commanda -t-il sur un ton péremptoire.
Comme elle s'agenouillait pour obtempérer, Miloud intervint :
- Ah non mon vieux... T'as le droit de tâter mais pas de goûter ! Demain après midi à l'appart... Amène ta putain et tu goûteras à la mienne... Préviens les copains, nous on présentera le cheptel au grand complet...
Bizarrement, Fabienne se sentit lésée, elle était si préparée à la fellation qui devait suivre, qu'elle ressentait presque de la frustration de s'en voir privée.
La soirée se passa calmement au rythme des coups de queues de ces messieurs impatients de se voir au lendemain. Les trois adolescents disposaient de leur harem au complet pour cette soirée qu'ils voulaient fracassantes, inoubliables.
Excitées, quelque peu inquiètes les quatre jeunes femmes s'affairaient dans l'appartement suivant les directives de leurs amants. Françoise et Murielle portaient leurs tenues de soubrettes modèles, petits tabliers blancs sur porte-jarretelles et bas alors que Sylvie et Fabienne dévêtues d'une guêpière et de bas semblaient attendre le client. Elles n'auraient pas d'ailleurs pu mieux dire, à la première sonnerie à la porte, elles reçurent pour mission de s'agenouiller de chaque coté de la porte et d'honorer les visiteurs de leurs bouches charnues.
Sans rechigner, prêtes à tout elles se prosternèrent la gorge tendue et attendirent le chaland. La porte s'ouvrit avec fracas, trois jeunes malfrats à l'allure douteuse pénétrèrent, surpris et ravis de l'accueil, ils défouraillèrent sans attendre s'enfonçant avec délice dans les réceptacles offerts, tandis que leurs nanas, dans leurs dos assistaient à la réception.
La bouche forcée par une épaisse bite odorante, les femelles ployèrent le cou, engouffrant jusqu'aux amygdales les chibres tendus. A peine deux ou trois sucions appliquées et les lances vibrantes aspergèrent leurs luettes d'un flot crémeux et acre.
La bouche à peine libérée, déjà d'autres membres se présentaient, Miloud imitant ses copains prétendit se faire cajoler ainsi que le dernier invité. En bonne pipeuses dociles, à nouveau elles se trouvèrent une bite enfournée jusqu'au tréfonds de la gorge, queues qui ne tardèrent pas à arroser de leur venin les cavernes chaudes.
Le sperme suintant aux commissures des lèvres, elles se levèrent, et fesses prises à pleines mains, elles précédèrent les invités au salon.
- Ben dit donc... Quel accueil... Souffla le plus vieux des trois invités.
- La prochaine fois je me préparerai... Je tiendrai plus longtemps !
- Ça t'as déplut ? Plaisanta Miloud.
- Non ... Non bien au contraire... S'enthousiasma le plus gros.
- Je suis même prêt à recommencer !
- Ne vous inquiétez pas ! Reprit Miloud
- La soirée ne fait que commencer... Vous aurez l'occasion de les baiser par tous les trous nos belles pétasses ... Et croyez moi, elles ont du talent... Et du ressort... Vous serez vite épuisés !
Miloud présenta son groupe :
- Vous connaissez Charles et Stephan... Fabienne, Françoise, Sylvie et Murielle...
Les arrivants se présentèrent à leur tour. Michel, le petit blond grassouillet, que Fabienne connaissait déjà était suivi d'une belle blonde sophistiquée, l'air assez dédaigneuse, Claudine l'épouse du notaire du lieu. Rachid un grand noir aux épaules musculeuses tenait Nicole, une petite brune, pétillante de vie, femme de médecin, par les hanches. Roland, le plus maigre, affirmait son emprise sur Odette, une blonde potelée, la quarantaine épanouie, elle aussi femme de notable.
Les trois femmes, le même âge, la même allure racée, faisaient visiblement partie de la bourgeoisie du cru, on les imaginait plus facilement au bridge, les cartes à la main que dans un bouge la queue des trois gaillards qui les accompagnaient en pleine bouche.
Silencieusement, sans enthousiasme, visiblement sous la contrainte, elles se dévêtirent, ce qui permit immédiatement à leurs admirateurs de constater que si Claudine était une vraie blonde, Nicole une brune naturelle, Odette, elle, était décolorée, son sexe châtain en témoignait clairement.
A leur tour, les garçons quittèrent leurs jeans et leurs tee-shirts. Les trois jeunes femmes découvrirent avec stupeur la conformation particulière de Michel et Rachid. Michel était doté d'un sexe mafflu, qui s'il était normal par sa longueur, était effrayant de grosseur.
Hypnotisée, Fabienne y porta la main pour en vérifier la réalité, sa main refermée était loin d'en faire le tour, d'un diamètre avoisinant celui d'une bouteille de "Heineken" ce qui lui valait d'ailleurs ce surnom, elle reposait telle une grosse courge violacée sur deux grosses oranges poilues.
Rachid, s'il présentait un ustensile d'une grosseur normale, bien que supérieure à la moyenne, frappait surtout par la longueur invraisemblable de son long cylindre noir, une vraie queue de mule qui pointait agressivement vers les intimités dévoilées.
A cette vue, les trois femmes sentirent des picotements au fond de leurs vulves, les trois invitées, certainement habituées à leurs conformations, n'y prêtait guère attention, évaluant d'un œil furtif les trois virilités qui, elles le savaient, se glisseraient bientôt dans tous leurs orifices.
Sans un mot, Michel s'allongea et attira Fabienne à lui, elle était effrayée à l'idée d'engloutir cette monstruosité dans sa chatte. Les autres couples les entourèrent, curieux de voir comment elle s'y prendrait pour se prêter à l'effraction qui la guettait.
Avec effroi, Fabienne décida de prendre les initiatives, à défaut de vaseline, ou de pommade, elle enduisit le gros cylindre de sa salive, puis de la pointe des doigts, elle se graissa abondamment la fente, se barbouillant le méat, de son jus enfonçant ses doigts le plus loin possible dans son conduit pour plus l'assouplir.
Elle ne pouvait retarder plus le moment fatidique, le dos au sol, Michel l'empoigna aux hanches, l'installa à l'aplomb de son vit animalesque, puis lentement il la descendit sur son pieux tendu. L'énorme courge buta sur la vulve, lui écrasant les lèvres, malgré la tartine de cyprine lui beurrant la chatte, il n'arrivait pas à s'introduire dans le chas crispé par l'appréhension.
Il la releva avec douceur, et soudain avec une violence inouïe l'empala sur son gourdin. Un cri déchirant jaillit des lèvres de Fabienne, de lourdes gouttes de sueur froide perlèrent sur son front, envahissant rapidement son visage, elle ouvrit désespérément la bouche, à la recherche d'un peu d'air.
Bien que seule la tête de la mentule soit parvenue à pénétrer sa chatte elle se croyait éventrée, cela avait craqué du coté du périnée, elle se croyait déchirée. En vérité, l'énorme masse avait réussi son entrée, le muscle annelé s'était fait le plus large, le plus dilaté, effectivement à la limite de la rupture pour mieux admettre le visiteur surdimensionné.
La sueur lui inondant le visage, les joues creusées, des douleurs lancinantes irradiant de son ventre meurtri, elle le sentit appuyer sur ses hanches la forçant doucement à engloutir le pal frémissant, la sensation d'envahissement se précisait, elle sentait sa matrice lui remonter sur l'estomac au fur et à mesure de l'impitoyable progression.
Ses poumons sifflant comme des soufflets de forge, c'est avec joie qu'elle sentit enfin ses fesses reposer sur le ventre musclé, elle n'aurait pu subir plus longtemps ce supplice du pal sans s'évanouir, l'énorme présence dans son ventre la remplissait toute.
Ce fut pire encore, lorsqu'il la souleva pour la laisser retomber, l'empalant à nouveau jusqu'au col, chaque fois qu'il la relevait, les spectateurs pouvaient entendre un étrange bruit de succion, immédiatement suivi du ronflement de ses poumons lorsqu'elle retombait.
Cependant, peu à peu l'abominable douleur s'estompait, laissant place à une anesthésiante lourdeur, son ventre tendu à bloc se transformait en un bout de bois que seuls quelques picotements élançaient encore, elle coulissait plus aisément sur la courge disproportionnée, les picotements embrasaient maintenant son ventre, des éclairs résonnaient dans sa tête, l'effroyable souffrance avait pris fin se muant en un infâme plaisir. D'elle même elle reprit le mouvement de va et vient, accélérant son rythme.
Un torrent de sperme jaillit soudain dans son ventre, l'immonde fût tressautait dans son étui moulant, le plaisir fulgura dans ses reins, ses râles se confondant aux grognements de plaisir de Michel, inerte elle s'effondra pantelante sur le torse de son amant. Dans son ventre l'épaisse bite ne faiblissait pas transmettant ses derniers spasmes aux muqueuses hyper-sensibilisées, longtemps ils se tinrent enlacés sans bouger lui toujours emmanché en elle, cherchant à reprendre leur souffle .
Se dressant sur ses mollets elle se releva difficilement, le bruit de succion reprit terminé par un plop sonore lorsque l'énorme bonde quitta son ventre meurtri. Des flots de sperme débordèrent de sa chatte lui poissant les cuisses et la motte, elle s'écroula vidée, se lova contre le flanc de son suborneur et s'assoupit.
Ce spectacle d'une rare intensité avait tant échauffé les spectateurs qu'ils se ruèrent sur les femelles disponibles. Stephan embrocha d'un coup roide Odette, la fausse blonde, il la poignarda jusqu'à la matrice. Roland s'emparant de la bouche de Françoise lui enfonçait sa tige jusqu'à la luette.
Rachid empoignant Sylvie lui faisait absorber la totalité de sa queue , s'aboutant au fond de sa matrice avant de pousser une tête curieuse par delà le col.
Miloud lui s'était accaparé la chatte convoitée depuis presque six mois, mais sa queue se perdait dans la moule distendue de Claudine si souvent ramonée par Michel, qu'elle ne serrait plus les queues des baiseurs normalement constitués, seul Michel pouvait encore ressentir une certaine pression quand il plongeait dans ce gouffre.
La retournant sur le ventre, il lui empoigna les deux fesses, les écartant rudement avant de poignarder sa corolle de son rostre tendu, Michel l'enculant rarement compte rendu de la difficulté de la chose, la rondelle plus élastique absorba son chibre jusqu'à la racine, l'étranglant dans son étroit chenal.
L'excitation était telle que dans les cinq minutes qui suivirent, tous les mâles avaient vidé leurs couilles dans les ventres, les bouches, les culs avides de semence. Tous à l'exception de Rachid qui maintenait Sylvie épinglé sur sa tige comme un papillon sur son présentoir.
D'un coup les cris de Sylvie se firent frénétiques, ses pleurs éveillèrent l'attention des autres couples, qui somnolaient épuisés de jouissance, rampant sur le ventre ils s'assemblèrent autour du couple fornicateur.
Rachid avait entrepris de la sodomiser, si au début tout s'était bien passé, la queue copieusement enduite de cyprine avait facilement perforé son œillet, et avait progressé d'une vingtaine de centimètres sans coup férir dans ses entrailles, maintenant la tâche était beaucoup plus ardue, ce ne serait pas du gâteau d'admettre le tiers restant.
Raidi sur ses jambes, Rachid forçait comme un damné pour enfoncer encore sa longue bielle dans les entrailles frémissantes.
Les petits cris de Sylvie s'étaient mués en hurlements de douleur, son intestin semblait lui remonter dans la gorge, la pression était atroce, elle n'était plus qu'un bloc de douleur crispée, tétanisée dans un ultime refus, et pourtant le long cylindre progressait encore, s'enfonçant inexorablement dans son fourreau abominablement distendu.
Enfin avec soulagement, elle sentit les poils frisés de ses bourses lui chatouiller les fesses, l'épreuve était terminée, pensait elle optimiste, ce en quoi elle avait tort car Rachid s'il s'était retiré avec douceur de son boyau martyrisé s'y renfonçait d'un coup de boutoir d'une violence inouïe.
Le cul véritablement éclaté, Sylvie ne retira aucun plaisir de ces abominables va-et-vient dans son rectum maintenant anesthésié, telle une poupée de son, elle se laissait embrocher, n'aspirant plus qu'au jet de foutre qui marquerait la fin de son supplice.
Mais les choses n'en restèrent pas là, conscient qu'après le passage de son copain, il devrait parvenir à enculer la belle pouliche, Michel qui ne pouvait le faire que très rarement, vu la taille de son abomination, s'approcha du couple et frappant l'épaule de Rachid lui fit signe de lui laisser la place.
Celui ci comprit illico le message, déculant de la belle, il roula sur le dos, la reprit par la taille et lui imposa à nouveau sa bite dans son fourreau naturel.
La satisfaction de Sylvie dura peu, l'énormité de la masse qui vint peser sur sa pastille la renseigna immédiatement sur l'identité de son nouvel agresseur. Folle de peur, elle rua dans tous les sens, échappant à l'étreinte de Michel, mais pas à la queue de Rachid qui lui restait fichée profondément dans le ventre.
Tout à fait réveillés, Miloud et consort se précipitèrent pour seconder Michel et l'aider à mener à bien son abominable projet. Maintenue enclouée sur la queue de Rachid, Miloud et Stephan lui écartant les jambes de force, Roland lui ouvrant largement les fesses, Michel sous le regard captivé des spectateurs entreprit de guider son énorme pieux sur sa cible au centre des fronces brunes, il pressa fortement la rondelle pour mieux en éprouver la résistance, puis d'un formidable coup de son estoc il lui pourfendit la pastille.
Seul le gland était passé, l'anneau ridelé se déformait atrocement formant un bourrelet qui épousait la racine du gros champignon, la peau dilatée du sphincter semblait étrangler la tête de l'ignoble envahisseur.
Sous le coup d'estoc, les yeux de Sylvie s'étaient révulsés, des flots de sueur coulaient de son front à son nombril, il lui semblait qu'on lui découpait la rondelle au rasoir elle se mit à forcer, ou plutôt son ventre se mit à forcer, contre elle même en quelque sorte, en tout cas contre sa volonté pour que s'élargisse encore l'orifice et que l'intrusion, qui était inéluctable en fut facilitée.
Son anus la trahissait et collaborait à sa propre invasion. Le sphincter céda soudain sous la pression monstrueuse. D'un coup puissant et implacable Michel s'installa en elle, dans ses intestins chauds et palpitants, de toute sa grosseur. Elle était pleine à éclater de la monstrueuse cheville plantée dans ses reins, c'était tout à fait intolérable. Elle avait l'impression que son boyau avait du se déplier pour l'accueillir, lui faire place, s'adapter à ses mesures.
Michel sortit d'elle presque en entier, puis revint, forçant s'installant, faisant sa place, son trou, la douleur était montée si haut en elle, que ses plantes de pieds étaient crispées par d'affreuses crampes. Sylvie haletait maintenant, les deux jeunes hommes commencèrent à remuer lentement en elle cherchant à coordonner leurs mouvements. Elle finit par s'accorder au rythme alterné des deux queues qui lui taraudaient le sexe et le cul, la limant en cadence. Elle vibra d'abord imperceptiblement, puis de façon plus nette, comme si elle consentait à ce coït. Oubliant la douleur sourde qui subsistait encore en elle, elle perdit toute retenue, se cabrant, projetant violemment son cul en arrière, les deux gars se déchaînèrent, leurs rythmes se désunirent, d'un seul coup ils se plantèrent tous deux jusqu'à la garde.
Rachid débordant largement le col, Michel s'enfonçant encore plus qu'il n'était encore allé, ils jouirent simultanément, Michel lui éclaboussant les parois du rectum, tandis que Rachid déchargeait à longues giclées dans le fin fond de son vagin l'entraînant dans une cascade d'orgasmes en chaîne. Le ventre secoué de vibrations intenses, Sylvie ne parvenait pas à revenir sur terre, encore emmanchée sur les deux queues qui lui transmettaient leurs derniers soubresauts, elle n'en finissait plus de jouir.
Quand enfin elle se calma, Michel décula lui arrachant encore un gémissement, la prenant à la taille, Rachid extraya sa bite du vagin vorace, et la laissa rouler à terre, elle resta longtemps pantelante, haletante avant que de pouvoir reprendre ses esprits, honteuse de ce plaisir bestial qu'ils lui avaient tous vu prendre.
Quelques heures, quelques sodomies, quelques enconnages, quelques pipes plus tard sonna enfin l'heure de se séparer. C'est épuisée qu'elles s'étendirent au coté de leurs seigneurs et maîtres, sombrant immédiatement dans un profond sommeil réparateur.
Ainsi fêtes et journées de routine se succédaient, ses dames se mettaient maintenant sans rechigner à servir aussi bien aux copains qu'à eux même, convaincues qu'elles étaient de devoir tout leur accorder pour conserver le plus longtemps possible le plaisir qu'ils savaient si bien leur dispenser.
A suivre...
La prise de possession des lieux se fit sans coup férir, le vaste appartement, entièrement aménagé pour la vie en semi-autonomie réservait une vaste salle de loisir commune, une cuisine salle à manger confortable et six chambres meublées de vastes lits. Il était conçu pour servir de sas transitoire entre la vie surveillée de l'IME et l'autonomie totale de l'extérieur.
Une chambre était aménagée pour recevoir l'éducateur chargé d'aider les jeunes sortants dans leurs démarches et la gestion de leur vie matérielle. Dans l'esprit des chefs, cette chambre accueillerait l'éducatrice de service. L'infirmière qui demeurait à proximité y séjournerait aussi bien que de façon moins soutenue, puisqu'elle pouvait rester d'astreinte chez elle. De toute manière c'était aux trois volontaires de gérer leur emploi du temps, mais en aucun cas les jeunes ne devaient rester hors de surveillance.
Toujours dans leur esprit, les trois aînés seraient à même d'y prouver leur débrouillardise et leur capacité à s'autogérer sous contrôle bienveillant.
La consigne donnée aux éducatrices était de les laisser agir le plus possible, de n'intervenir qu'en cas de conflit ou d'abus flagrant. Dans ce but, eux mêmes ne feraient que de rares visites de façon à laisser les situations se nouer et se dénouer de la façon la plus naturelle.
Ils avaient beaucoup appréciés ce tandem d'éducatrices, qui sans violence, sans éclat, avait si bien réussi à maintenir ces jeunes jusqu'ici sources de multiples problèmes dans un chemin qu'ils pensaient pavé de bonnes intentions.
Chacun prit possession de sa chambre, en fonction de la disponibilité de leurs maîtresses. Ils conçurent un planning leur permettant de toujours avoir à leur disposition trois femelles, se débrouillant même pour pouvoir profiter des quatre à la fois deux soirées par semaine.
Elles mirent sur le compte de l'entraide et de la solidarité cette activité qui les chassait souvent de leur foyer, les maris ne pipèrent point, et la vie s'organisa suivant les normes qu'avaient fixées les jeunes.
Quel que soit l'heure du jour, elles devaient être nues ou porter des tenues suggestives propres à exciter la convoitise de leurs amants, aucun voile ne devait protéger l'accès de leurs trous toujours disponibles.
Toutes quatre, à force de parader en bas, porte-jarretelles, voiles arachnéens, se trouvaient excitées en permanence, la cyprine coulait à flot de leurs moules lascives. Le cul graissé en permanence elles étaient toujours prêtes que ce pour une étreinte hâtive sur le bord de la table, ou pour une possession à plusieurs dans la douce tiédeur des couettes de lit.
Il arrivait même souvent que deux d'entre elles s'aiment sous les yeux des trois jeunes investissant simultanément les trois orifices de la délaissée.
Deux jours ne s'étaient pas passés que déjà Fabienne et Françoise avaient compris ce que dorénavant ils attendaient d'elles.
Un soir, à la tombée de la nuit, elles accompagnaient Miloud et Stephan partis chercher des cigarettes dans le coin le plus mal famé de la ville. Choisissant un bar tabac des plus louches, Miloud s'accouda au comptoir et commanda quatre demis, elles protestèrent qu'elles n'avaient pas soif, mais bien plutôt pipi, rien n'y fit, elles durent consommer, puis, puisque c'était leur désir, ils les emmenèrent aux toilettes, mais à leur grande confusion, dans celles des hommes.
Les deux compères s'amusèrent à les faire pisser dans les urinoirs suspendus, elles donnaient un spectacle croquignolet, ventre tendu vers le bac, sursautant à chaque bruit. La vessie contractée par la crainte de voir surgir un client, elles s'efforcèrent de les satisfaire sous leurs rires. Enfin, étirée sur la pointe des pieds, le ventre tendu au dessus de la faïence blanche, les petites lèvres pressées entre leurs doigts, pour mieux diriger le jet, elles parvinrent à se soulager. Elles ne purent cependant éviter les éclaboussements qui leur souillèrent les cuisses.
Elles étaient troussées toutes deux au dessus de la taille, un mouchoir humide à la main, se nettoyant les cuisses et la fente lorsque surgirent deux consommateurs interloqués. Sur un signe de Miloud, elles durent terminer la toilette de leurs chattes, avant de s'enfuir véritablement devant les sarcasmes des deux voyeurs, qui, ravis d'assister à un tel spectacle, commentaient grivoisement le tableau.
Folles de honte, elles s'empressèrent de régler cigarettes et consommations, puis, avant le retour des deux intrus, elles se précipitèrent au dehors, cherchant à se dissimuler pour attendre leurs tourmenteurs.
Ce n'est qu'une fois rentrées à l'appartement, que racontant la scène à leurs amies, elles comprirent que dès leur entrée dans les toilettes, Miloud escomptait l'arrivée d'étrangers désireux de les contraindre à cette exhibition obscène devant des tiers inconnus, cela augurait bien de l'avenir proche!
En bref la vie allait bon train dans l'appartement, les quatre femelles ne vivaient plus que pour le plaisir de sentir exulter leur corps, elles ne ressentaient même plus d'humiliation devant leurs volontés les plus perverses et se pliaient avec volupté à toutes leurs initiatives, surenchérissant même souvent.
Bêtes à jouir elles ne se sentaient vraiment bien que la pine dans la chatte la bouche ou le cul, cherchant souvent à les avoir dans leurs trois trous simultanément, goulues de sexe elles n'aspiraient plus qu'à pour se faire troncher du mieux et le plus souvent possible.
Françoise constata sans surprise la présence de plus en plus fréquente de Francis dans son sillage, insouciante elle ne s'en préoccupa pas. Toute à l'exultation de son corps, elle n'en ressentit qu'une aversion encore plus marquée pour son mari qui la faisait ainsi surveiller.
De toute manière, les trois jeunes prenaient assez de précautions, ils n'exhibaient leurs compagnes que dans l'intimité, ne s'autorisant aucune privauté dans les lieux par trop public.
Un après midi que Miloud et Fabienne se promenaient dans le même quartier louche, il s'entendit héler :
- Miloud ..... eh Miloud !
Dirigeant leurs regards vers la terrasse du "globe", ils aperçurent un petit gros qui de la main leur faisaient signe. Miloud le reconnut tout de suite.
- C'est Michel, un vieux copain de boite, viens on va le rejoindre !
Ils prirent place au coté du petit gros . Blond, la figure bouffie, de petits yeux porcins, le gaillard déplut d'entrée à Fabienne, d'autant plus qu'il la déshabillait du regard. Elle sentait ses yeux ramper le long de ses courbes, le contact lui semblait si physique, qu'elle en ressentit comme une brûlure.
- Fabienne, ma maîtresse... La présenta Miloud, appuyant sur le vo-able.
- Ta maîtresse? Interrogea le petit gros, visiblement intéressé.
- Eh oui... J'aurai du dire mon esclave... Elle fait tout ce que je veux... N'est ce pas Fabienne ?
- ......
- Tu te souviens... Y'a six mois... Tu m'as dit que tu te tapais la femme du notaire... Que tu l'avais photographiée en pleine action avec son gigolo, et que depuis ce jour elle se pliait à tes quatre volontés...
- .......
- Eh bien, avec Stephan et Charles, on a suivi ton exemple... On a maintenant chacun notre nana... J'ai donc, cette fois de la viande à te proposer en échange de ta belle !
- Continues mon vieux, tu m'intéresses, non seulement j'ai toujours Claudine à ma botte, mais ici aussi, j'ai fait école, Rachid, Ahmed, Roland ont eux aussi leurs baiseuses... Elle a l'air pas mal ta gonzesse... Mais avant de jouer, je voudrais voir la donne !
Rouge jusqu'aux oreilles, le cœur bourrelé d'angoisse, les larmes au bord des yeux Fabienne écoutait fiévreusement cet échange, en devinant déjà la conclusion. Une fois de plus elle serait contrainte, elle devrait se soumettre aux fantaisies libidineuses de son maître.
- Tu veux voir la marchandise ?
- Ben toi quand t'achètes, tu testes la qualité avant, non?
- Rentrons dans une des loges, à l'intérieur, on sera à l'abri des regards, t'es toujours copain avec le serveur ?
- Oui, allons y ça doit pouvoir s'arranger... Christophe! Christophe, on prend la loge quatre, tu peux surveiller pour qu'on ne vienne pas nous déranger ? Si ça t'intéresse, tu pourras toujours venir te rincer l'œi l!
Les deux garçons pénétrèrent dans une loge séparée de la salle principale par une porte western, ils s'assirent au fond sur la banquette, Fabienne debout face à eux.
- Trousse-toi, montres ta chatte... Lui ordonna Miloud.
D'un geste lent, pâle de honte, Fabienne releva la courte jupe sur ses cuisses, le liseré des bas apparus, puis la zone de chair dorée du haut de la cuisse et enfin le triangle blond frisé de son pubis. Seule la toison fournie de Fabienne dissimulait encore sa fente.
- Bien dressée... Elle porte jamais de culotte ?
- Toujours prête!
- Félicitations, c'est de la bonne marchandise... Commenta le petit gros.
- Tourne toi maintenant, tu vas voir le cul qu'elle se trimbale !
Docilement, servilement, elle pivota sur les talons exhibant l'opulence de ses fesses musclées, séparées par le profond sillon culier.
- C'est moche ces marques blanches... Remarqua Michel suivant le contour blanc des marques du maillot... Tu devrais remédier à ça... Je peux ? Questionna-t-il enfonçant sa main dans l'entre-fesses.
- Bien sur... Tâte la marchandise... J'espère que t'apprécies, et encore tu peux pas savoir... Elle a le cul serré, c'est un rare plaisir de l'enculer !
Sous les commentaires graveleux, Fabienne pâlit encore, l'entrée du serveur un plateau à la main ajoutant encore à sa confusion. Le bas du corps dénudé, jambes légèrement écartées, la main du testeur entre les fesses, Fabienne offrait une image d'une parfaite obscénité, et en avait conscience. Elle rougit cette fois, désemparée, elle ne cherchait même pas à se soustraire à la caresse de plus en plus appuyée.
- Eh bien mes cochons, vous ne vous emmerdez pas... Tu me la passeras aussi ?
- On verra plus tard... Chaque chose en son temps... Pour l'instant Michel est sur l'affaire... Mais j'en ai d'autres... Si le cœur t'en dit...
Michel obligea de la main Fabienne à présenter de nouveau sa chatte, lissant les poils, les démêlant afin de mieux découvrir la fente charnue, des doigts il suivit les grandes lèvres, effleurant du pouce le clitoris qui, affolé, se raidit au contact de la caresse furtive, puis il lui enfonça facilement l'index dans le vagin.
- Dis donc, c'est une vraie fontaine ! Elle démarre au quart de tour ta nana... Elle est déjà trempée... Si j'ai de la tapisserie à faire je te l'emprunte... Souligna vulgairement le petit gros.
En effet le mécanisme du plaisir s'était emparé du corps de Fabienne, sa tête avait beau dire non, elle perdait tout contrôle de son ventre, de ses reins, son exhibition et les caresses brutales la chaviraient. Brusquement sa motte s'était inondée de cyprine, elle sentait sa liqueur sourdre de son sexe poissant toute sa fente, son ventre se tendait vers la caresse infâme.
Brutalement le pouce du petit salaud lui força l'anus, il entreprit de lui masser la chair tendre et fine du périnée entre le pouce et l'index. Dans un soupir, Fabienne du avouer son orgasme sous l'œil des trois mateurs narquois.
Le serveur appelé à l'extérieur les quitta, tandis que Michel, d'une main fébrile sortait son gros sexe rouge de son slip.
- Suce moi! Commanda -t-il sur un ton péremptoire.
Comme elle s'agenouillait pour obtempérer, Miloud intervint :
- Ah non mon vieux... T'as le droit de tâter mais pas de goûter ! Demain après midi à l'appart... Amène ta putain et tu goûteras à la mienne... Préviens les copains, nous on présentera le cheptel au grand complet...
Bizarrement, Fabienne se sentit lésée, elle était si préparée à la fellation qui devait suivre, qu'elle ressentait presque de la frustration de s'en voir privée.
La soirée se passa calmement au rythme des coups de queues de ces messieurs impatients de se voir au lendemain. Les trois adolescents disposaient de leur harem au complet pour cette soirée qu'ils voulaient fracassantes, inoubliables.
Excitées, quelque peu inquiètes les quatre jeunes femmes s'affairaient dans l'appartement suivant les directives de leurs amants. Françoise et Murielle portaient leurs tenues de soubrettes modèles, petits tabliers blancs sur porte-jarretelles et bas alors que Sylvie et Fabienne dévêtues d'une guêpière et de bas semblaient attendre le client. Elles n'auraient pas d'ailleurs pu mieux dire, à la première sonnerie à la porte, elles reçurent pour mission de s'agenouiller de chaque coté de la porte et d'honorer les visiteurs de leurs bouches charnues.
Sans rechigner, prêtes à tout elles se prosternèrent la gorge tendue et attendirent le chaland. La porte s'ouvrit avec fracas, trois jeunes malfrats à l'allure douteuse pénétrèrent, surpris et ravis de l'accueil, ils défouraillèrent sans attendre s'enfonçant avec délice dans les réceptacles offerts, tandis que leurs nanas, dans leurs dos assistaient à la réception.
La bouche forcée par une épaisse bite odorante, les femelles ployèrent le cou, engouffrant jusqu'aux amygdales les chibres tendus. A peine deux ou trois sucions appliquées et les lances vibrantes aspergèrent leurs luettes d'un flot crémeux et acre.
La bouche à peine libérée, déjà d'autres membres se présentaient, Miloud imitant ses copains prétendit se faire cajoler ainsi que le dernier invité. En bonne pipeuses dociles, à nouveau elles se trouvèrent une bite enfournée jusqu'au tréfonds de la gorge, queues qui ne tardèrent pas à arroser de leur venin les cavernes chaudes.
Le sperme suintant aux commissures des lèvres, elles se levèrent, et fesses prises à pleines mains, elles précédèrent les invités au salon.
- Ben dit donc... Quel accueil... Souffla le plus vieux des trois invités.
- La prochaine fois je me préparerai... Je tiendrai plus longtemps !
- Ça t'as déplut ? Plaisanta Miloud.
- Non ... Non bien au contraire... S'enthousiasma le plus gros.
- Je suis même prêt à recommencer !
- Ne vous inquiétez pas ! Reprit Miloud
- La soirée ne fait que commencer... Vous aurez l'occasion de les baiser par tous les trous nos belles pétasses ... Et croyez moi, elles ont du talent... Et du ressort... Vous serez vite épuisés !
Miloud présenta son groupe :
- Vous connaissez Charles et Stephan... Fabienne, Françoise, Sylvie et Murielle...
Les arrivants se présentèrent à leur tour. Michel, le petit blond grassouillet, que Fabienne connaissait déjà était suivi d'une belle blonde sophistiquée, l'air assez dédaigneuse, Claudine l'épouse du notaire du lieu. Rachid un grand noir aux épaules musculeuses tenait Nicole, une petite brune, pétillante de vie, femme de médecin, par les hanches. Roland, le plus maigre, affirmait son emprise sur Odette, une blonde potelée, la quarantaine épanouie, elle aussi femme de notable.
Les trois femmes, le même âge, la même allure racée, faisaient visiblement partie de la bourgeoisie du cru, on les imaginait plus facilement au bridge, les cartes à la main que dans un bouge la queue des trois gaillards qui les accompagnaient en pleine bouche.
Silencieusement, sans enthousiasme, visiblement sous la contrainte, elles se dévêtirent, ce qui permit immédiatement à leurs admirateurs de constater que si Claudine était une vraie blonde, Nicole une brune naturelle, Odette, elle, était décolorée, son sexe châtain en témoignait clairement.
A leur tour, les garçons quittèrent leurs jeans et leurs tee-shirts. Les trois jeunes femmes découvrirent avec stupeur la conformation particulière de Michel et Rachid. Michel était doté d'un sexe mafflu, qui s'il était normal par sa longueur, était effrayant de grosseur.
Hypnotisée, Fabienne y porta la main pour en vérifier la réalité, sa main refermée était loin d'en faire le tour, d'un diamètre avoisinant celui d'une bouteille de "Heineken" ce qui lui valait d'ailleurs ce surnom, elle reposait telle une grosse courge violacée sur deux grosses oranges poilues.
Rachid, s'il présentait un ustensile d'une grosseur normale, bien que supérieure à la moyenne, frappait surtout par la longueur invraisemblable de son long cylindre noir, une vraie queue de mule qui pointait agressivement vers les intimités dévoilées.
A cette vue, les trois femmes sentirent des picotements au fond de leurs vulves, les trois invitées, certainement habituées à leurs conformations, n'y prêtait guère attention, évaluant d'un œil furtif les trois virilités qui, elles le savaient, se glisseraient bientôt dans tous leurs orifices.
Sans un mot, Michel s'allongea et attira Fabienne à lui, elle était effrayée à l'idée d'engloutir cette monstruosité dans sa chatte. Les autres couples les entourèrent, curieux de voir comment elle s'y prendrait pour se prêter à l'effraction qui la guettait.
Avec effroi, Fabienne décida de prendre les initiatives, à défaut de vaseline, ou de pommade, elle enduisit le gros cylindre de sa salive, puis de la pointe des doigts, elle se graissa abondamment la fente, se barbouillant le méat, de son jus enfonçant ses doigts le plus loin possible dans son conduit pour plus l'assouplir.
Elle ne pouvait retarder plus le moment fatidique, le dos au sol, Michel l'empoigna aux hanches, l'installa à l'aplomb de son vit animalesque, puis lentement il la descendit sur son pieux tendu. L'énorme courge buta sur la vulve, lui écrasant les lèvres, malgré la tartine de cyprine lui beurrant la chatte, il n'arrivait pas à s'introduire dans le chas crispé par l'appréhension.
Il la releva avec douceur, et soudain avec une violence inouïe l'empala sur son gourdin. Un cri déchirant jaillit des lèvres de Fabienne, de lourdes gouttes de sueur froide perlèrent sur son front, envahissant rapidement son visage, elle ouvrit désespérément la bouche, à la recherche d'un peu d'air.
Bien que seule la tête de la mentule soit parvenue à pénétrer sa chatte elle se croyait éventrée, cela avait craqué du coté du périnée, elle se croyait déchirée. En vérité, l'énorme masse avait réussi son entrée, le muscle annelé s'était fait le plus large, le plus dilaté, effectivement à la limite de la rupture pour mieux admettre le visiteur surdimensionné.
La sueur lui inondant le visage, les joues creusées, des douleurs lancinantes irradiant de son ventre meurtri, elle le sentit appuyer sur ses hanches la forçant doucement à engloutir le pal frémissant, la sensation d'envahissement se précisait, elle sentait sa matrice lui remonter sur l'estomac au fur et à mesure de l'impitoyable progression.
Ses poumons sifflant comme des soufflets de forge, c'est avec joie qu'elle sentit enfin ses fesses reposer sur le ventre musclé, elle n'aurait pu subir plus longtemps ce supplice du pal sans s'évanouir, l'énorme présence dans son ventre la remplissait toute.
Ce fut pire encore, lorsqu'il la souleva pour la laisser retomber, l'empalant à nouveau jusqu'au col, chaque fois qu'il la relevait, les spectateurs pouvaient entendre un étrange bruit de succion, immédiatement suivi du ronflement de ses poumons lorsqu'elle retombait.
Cependant, peu à peu l'abominable douleur s'estompait, laissant place à une anesthésiante lourdeur, son ventre tendu à bloc se transformait en un bout de bois que seuls quelques picotements élançaient encore, elle coulissait plus aisément sur la courge disproportionnée, les picotements embrasaient maintenant son ventre, des éclairs résonnaient dans sa tête, l'effroyable souffrance avait pris fin se muant en un infâme plaisir. D'elle même elle reprit le mouvement de va et vient, accélérant son rythme.
Un torrent de sperme jaillit soudain dans son ventre, l'immonde fût tressautait dans son étui moulant, le plaisir fulgura dans ses reins, ses râles se confondant aux grognements de plaisir de Michel, inerte elle s'effondra pantelante sur le torse de son amant. Dans son ventre l'épaisse bite ne faiblissait pas transmettant ses derniers spasmes aux muqueuses hyper-sensibilisées, longtemps ils se tinrent enlacés sans bouger lui toujours emmanché en elle, cherchant à reprendre leur souffle .
Se dressant sur ses mollets elle se releva difficilement, le bruit de succion reprit terminé par un plop sonore lorsque l'énorme bonde quitta son ventre meurtri. Des flots de sperme débordèrent de sa chatte lui poissant les cuisses et la motte, elle s'écroula vidée, se lova contre le flanc de son suborneur et s'assoupit.
Ce spectacle d'une rare intensité avait tant échauffé les spectateurs qu'ils se ruèrent sur les femelles disponibles. Stephan embrocha d'un coup roide Odette, la fausse blonde, il la poignarda jusqu'à la matrice. Roland s'emparant de la bouche de Françoise lui enfonçait sa tige jusqu'à la luette.
Rachid empoignant Sylvie lui faisait absorber la totalité de sa queue , s'aboutant au fond de sa matrice avant de pousser une tête curieuse par delà le col.
Miloud lui s'était accaparé la chatte convoitée depuis presque six mois, mais sa queue se perdait dans la moule distendue de Claudine si souvent ramonée par Michel, qu'elle ne serrait plus les queues des baiseurs normalement constitués, seul Michel pouvait encore ressentir une certaine pression quand il plongeait dans ce gouffre.
La retournant sur le ventre, il lui empoigna les deux fesses, les écartant rudement avant de poignarder sa corolle de son rostre tendu, Michel l'enculant rarement compte rendu de la difficulté de la chose, la rondelle plus élastique absorba son chibre jusqu'à la racine, l'étranglant dans son étroit chenal.
L'excitation était telle que dans les cinq minutes qui suivirent, tous les mâles avaient vidé leurs couilles dans les ventres, les bouches, les culs avides de semence. Tous à l'exception de Rachid qui maintenait Sylvie épinglé sur sa tige comme un papillon sur son présentoir.
D'un coup les cris de Sylvie se firent frénétiques, ses pleurs éveillèrent l'attention des autres couples, qui somnolaient épuisés de jouissance, rampant sur le ventre ils s'assemblèrent autour du couple fornicateur.
Rachid avait entrepris de la sodomiser, si au début tout s'était bien passé, la queue copieusement enduite de cyprine avait facilement perforé son œillet, et avait progressé d'une vingtaine de centimètres sans coup férir dans ses entrailles, maintenant la tâche était beaucoup plus ardue, ce ne serait pas du gâteau d'admettre le tiers restant.
Raidi sur ses jambes, Rachid forçait comme un damné pour enfoncer encore sa longue bielle dans les entrailles frémissantes.
Les petits cris de Sylvie s'étaient mués en hurlements de douleur, son intestin semblait lui remonter dans la gorge, la pression était atroce, elle n'était plus qu'un bloc de douleur crispée, tétanisée dans un ultime refus, et pourtant le long cylindre progressait encore, s'enfonçant inexorablement dans son fourreau abominablement distendu.
Enfin avec soulagement, elle sentit les poils frisés de ses bourses lui chatouiller les fesses, l'épreuve était terminée, pensait elle optimiste, ce en quoi elle avait tort car Rachid s'il s'était retiré avec douceur de son boyau martyrisé s'y renfonçait d'un coup de boutoir d'une violence inouïe.
Le cul véritablement éclaté, Sylvie ne retira aucun plaisir de ces abominables va-et-vient dans son rectum maintenant anesthésié, telle une poupée de son, elle se laissait embrocher, n'aspirant plus qu'au jet de foutre qui marquerait la fin de son supplice.
Mais les choses n'en restèrent pas là, conscient qu'après le passage de son copain, il devrait parvenir à enculer la belle pouliche, Michel qui ne pouvait le faire que très rarement, vu la taille de son abomination, s'approcha du couple et frappant l'épaule de Rachid lui fit signe de lui laisser la place.
Celui ci comprit illico le message, déculant de la belle, il roula sur le dos, la reprit par la taille et lui imposa à nouveau sa bite dans son fourreau naturel.
La satisfaction de Sylvie dura peu, l'énormité de la masse qui vint peser sur sa pastille la renseigna immédiatement sur l'identité de son nouvel agresseur. Folle de peur, elle rua dans tous les sens, échappant à l'étreinte de Michel, mais pas à la queue de Rachid qui lui restait fichée profondément dans le ventre.
Tout à fait réveillés, Miloud et consort se précipitèrent pour seconder Michel et l'aider à mener à bien son abominable projet. Maintenue enclouée sur la queue de Rachid, Miloud et Stephan lui écartant les jambes de force, Roland lui ouvrant largement les fesses, Michel sous le regard captivé des spectateurs entreprit de guider son énorme pieux sur sa cible au centre des fronces brunes, il pressa fortement la rondelle pour mieux en éprouver la résistance, puis d'un formidable coup de son estoc il lui pourfendit la pastille.
Seul le gland était passé, l'anneau ridelé se déformait atrocement formant un bourrelet qui épousait la racine du gros champignon, la peau dilatée du sphincter semblait étrangler la tête de l'ignoble envahisseur.
Sous le coup d'estoc, les yeux de Sylvie s'étaient révulsés, des flots de sueur coulaient de son front à son nombril, il lui semblait qu'on lui découpait la rondelle au rasoir elle se mit à forcer, ou plutôt son ventre se mit à forcer, contre elle même en quelque sorte, en tout cas contre sa volonté pour que s'élargisse encore l'orifice et que l'intrusion, qui était inéluctable en fut facilitée.
Son anus la trahissait et collaborait à sa propre invasion. Le sphincter céda soudain sous la pression monstrueuse. D'un coup puissant et implacable Michel s'installa en elle, dans ses intestins chauds et palpitants, de toute sa grosseur. Elle était pleine à éclater de la monstrueuse cheville plantée dans ses reins, c'était tout à fait intolérable. Elle avait l'impression que son boyau avait du se déplier pour l'accueillir, lui faire place, s'adapter à ses mesures.
Michel sortit d'elle presque en entier, puis revint, forçant s'installant, faisant sa place, son trou, la douleur était montée si haut en elle, que ses plantes de pieds étaient crispées par d'affreuses crampes. Sylvie haletait maintenant, les deux jeunes hommes commencèrent à remuer lentement en elle cherchant à coordonner leurs mouvements. Elle finit par s'accorder au rythme alterné des deux queues qui lui taraudaient le sexe et le cul, la limant en cadence. Elle vibra d'abord imperceptiblement, puis de façon plus nette, comme si elle consentait à ce coït. Oubliant la douleur sourde qui subsistait encore en elle, elle perdit toute retenue, se cabrant, projetant violemment son cul en arrière, les deux gars se déchaînèrent, leurs rythmes se désunirent, d'un seul coup ils se plantèrent tous deux jusqu'à la garde.
Rachid débordant largement le col, Michel s'enfonçant encore plus qu'il n'était encore allé, ils jouirent simultanément, Michel lui éclaboussant les parois du rectum, tandis que Rachid déchargeait à longues giclées dans le fin fond de son vagin l'entraînant dans une cascade d'orgasmes en chaîne. Le ventre secoué de vibrations intenses, Sylvie ne parvenait pas à revenir sur terre, encore emmanchée sur les deux queues qui lui transmettaient leurs derniers soubresauts, elle n'en finissait plus de jouir.
Quand enfin elle se calma, Michel décula lui arrachant encore un gémissement, la prenant à la taille, Rachid extraya sa bite du vagin vorace, et la laissa rouler à terre, elle resta longtemps pantelante, haletante avant que de pouvoir reprendre ses esprits, honteuse de ce plaisir bestial qu'ils lui avaient tous vu prendre.
Quelques heures, quelques sodomies, quelques enconnages, quelques pipes plus tard sonna enfin l'heure de se séparer. C'est épuisée qu'elles s'étendirent au coté de leurs seigneurs et maîtres, sombrant immédiatement dans un profond sommeil réparateur.
Ainsi fêtes et journées de routine se succédaient, ses dames se mettaient maintenant sans rechigner à servir aussi bien aux copains qu'à eux même, convaincues qu'elles étaient de devoir tout leur accorder pour conserver le plus longtemps possible le plaisir qu'ils savaient si bien leur dispenser.
A suivre...
Madame et le concierge
Texte écrit par Géronimo il y a quelques années.
Par une froide journée d'hiver, Madame, épouse distinguée du Maire, se rendait chez son amie, Amélie, elle-même femme du Sous-Préfet. Madame est au volant de son Cabriolet BMW. Elle se dirige vers les quartiers chics de l'ouest de Paris...Ce qu'on appelle le NAP : Neuilly-Auteuil-Passy.
Elle arrive devant un immeuble de grand standing et se gare dans le parking souterrain. Elle descend de la voiture et se dirige vers la sortie. Ses talons claquent sur le béton. Pour une fois, Madame n'a pas mis de talons aiguilles mais des bottes pour se protéger du froid. Elle porte sur elle un manteau de fourrure. Elle appela l'ascenseur jetant un œil par-dessus son épaule. Elle ne se sent pas vraiment en danger dans ce quartier huppé ou l'on trouve un flic tous les 200 mètres mais le parking souterrain reste le fantasme préféré des femmes. Il parait même que c'est un fantasme très répandu chez les bourgeoises comme elle. Elle a entendu ça l'autre jour à la télé dans l'émission à Jean-Luc Delarue qui décidément aborde tous les sujets. Les portes de l'ascenseur coulissèrent dans un chuintement discret et Madame monta dans la cabine. L'ascenseur arriva au rez de chaussée et Madame passa devant la loge du gardien. Courageusement, elle décida de prendre les escaliers. Elle croisa un homme à l'allure négligée qui lui jeta un regard torve. Elle se retourna et le surpris en train de tenter de mater ses jambes. Elle arriva à l'étage où habitait Amélie et sonna. La porte s'ouvrit très vite sur son amie.
- Marie-Hélène ! Ma chérie, comment vas-tu ?
Voix haut perchée des bourgeoises, issue d'une famille d'aristocrate, vieille noblesse française, Amélie est une femme d'une quarantaine d'années comme Madame. Elle la fait rentrer dans le salon et Madame retire son manteau de fourrure apparaissant dans une robe toute simple mais pourtant achetée une fortune chez un grand couturier. Les deux amies s'assoient dans le canapé et Amélie fait le service servant une tasse de thé à Marie-Hélène. La femme du Sous-Préfet est vêtue d'une jupe écossaise sur des bas noirs avec un chemisier blanc. Son serre-tête en velours retient ses cheveux blonds vénitiens. Elles commencèrent à discuter de l'actualité tout en sirotant leur thé.
Soudain un coup de sonnette interrompit leur conversation. Amélie se leva et alla ouvrir. Madame aperçoit un homme assez petit, gros, pas très beau. Il salut l'épouse du Sous-Préfet et lui tend un paquet. Il rentre dans le duplex et s'avance dans le salon. Curieux, pense Madame, elle n'a pas eu l'impression qu'Amélie lui avait donné l'autorisation d'entrer. Amélie revient. Madame a le sentiment que quelque chose ne vas pas. Amélie est toute pâle, livide. Le regard fuyant, elle fait les présentations.
- José, le gardien de notre immeuble. Il est monté m'apporter un colis que j'ai reçu.
Le gardien salut Madame d'un hochement de tête. C'était l'homme qu'elle avait croisé dans l'escalier. Madame frisonne en sentant le regard insistant qu'il lui porte la dévisageant sans vergogne. Il matte ses cuisses dévoilées par la robe.
- Il faudrait que je vous parle d'un problème concernant l'immeuble M'dame. Lance le gardien en regardant Amélie droit dans les yeux.
Madame a l'impression qu'Amélie a encore plus blêmi.
- Mais... Maintenant ? Ça ne peut pas attendre ?
- Non, je dois vous voir tout de suite dans ma loge.
Le ton est sans réplique et le concierge entraîne Amélie vers la sortie en s'excusant auprès de Madame qui se retrouve seule dans le salon. Madame n'hésite qu'une fraction de seconde, prise d'une inspiration subite, peut être le célèbre « instinct féminin », elle se précipita également, dévalant les escaliers à la poursuite du gardien et d'Amélie. Elle arriva légèrement essoufflée devant la loge du gardien.
La porte est entrouverte et elle hésite sur la conduite à tenir. Elle trouve quand même très étrange l'attitude du gardien envers Amélie. Elle jeta un œil par l'interstice et elle failli pousser un cri devant le spectacle qu'elle découvrit.
Amélie, accroupie devant José, était en train de lui administrer une fellation. Le gardien, le pantalon sur les chevilles, soufflant comme un bœuf, le slip à mi-cuisses, un sexe épais et gonflé dardant fièrement entre ses jambes velues, enfonçait son membre imposant dans la bouche pulpeuse de l'épouse du Sous-Préfet en donnant des petits coups de reins. Amélie, les joues gonflés par la bite faisait aller et venir ses lèvres autour du mandrin. Elle salivait dessus, hoquetant parfois. La situation scandalisa Madame qui se recula légèrement mais elle était fascinée par ce qu'elle voyait.Sa meilleure amie, élevée dans les plus prestigieuses institutions catholiques bourgeoises était en train de tailler une pipe au gardien de son immeuble. Sa jupe écossaise était relevée dévoilant ses jambes gainées de nylon noir. Le gardien lui agrippa les cheveux et la força à avaler sa queue encore plus profondément. L'épouse du Sous-Préfet poussa un gémissement.
- Vas y ma salope, suce moi la bite, t'es vraiment une pute. Dommage que ta copine ne vienne pas nous rejoindre, elle est pas mal l'épouse du Maire.
Offusquée par de tel propos, Madame se retient d'intervenir. Elle se demande si elle doit appeler la police. Mais Amélie est elle contrainte ? ça n'en a pas l'air. Et puis Madame n'est pas insensible à cette situation. Elle sent son string s'humidifier légèrement excitée par ce qu'elle voit.
José releva Amélie et lui ordonna de relever sa jupe écossaise.
- Fais voir ta chatte.
Rougissante, l'épouse du Sous-Préfet obéit relevant le tissu en le maintenant autour de sa taille. Elle apparaît en collant noir, moulant son cul et son mont de vénus avec précision.
Le concierge s'approcha d'elle et lui déboutonna son chemisier. Ses seins à peine contenus dans un soutien-gorge noir lui sautèrent au visage. Madame choquée découvre qu'Amélie porte un soutien-gorge comme on en trouve plutôt dans les sex-shop que dans les boutiques de lingeries fines. Le sous-vêtement laisse apparaître les pointes de ses seins ! Comme une pute pense alors Marie-Hélène. José se pencha et commença à mordiller les tétons qui rougissent et durcissent. L'épouse du Sous-Préfet gémit et proteste mollement.
- José...je vous en prie, arrêtez...attendez au moins que Marie-Hélène soit partie.
- Pas question ! Au contraire, ça m'excite de savoir que je vais te baiser pendant que la femme du Maire t'attend.
Il baissa d'un geste brusque le collant à mi-cuisses révélant un string rouge fendue découvrant ses lèvres intimes. Il la retourna pour s'assurer que le string était également fendue par-derrière.Il lui donna une petite claque sur ses fesses.
- C'est bien ma chérie, t'es obéissante.
Il lui plongea deux doigts dans sa fente et Amélie écarta d'elle même les jambes pour lui faciliter le passage. Madame commence à être sérieusement excitée par ce manège. Elle sent sa respiration s'accélérer. Elle a chaud. Son string est trempée maintenant. Oppressée, elle continue de regarder son amie se faire branler par José.
Celui-ci lui a déniché le clito et le pince sans douceur arrachant des gémissements à Amélie qui est toute rouge. Elle donne des coups de bassin maladroit. Elle se mord les lèvres quand le gardien lui enfonce son index et son majeur dans sa chatte. La mouille coule sur les doigts du gardien. Il se relève et tend ses doigts pleins de secrétions vers la bouche de l'épouse du Sous-Préfet qui s'empresse de les sucer avec une sale délectation, totalement soumise.
- Je vais te baiser salope, t'en meurt d'envie.
- Oui...oui.je vous en supplie, ne me laissez pas dans cet état...balbutie Amélie, haletante.
Maintenant, elle se moque éperdument que Marie-Hélène puisse la surprendre...tout ce qu'elle veut, c'est le sexe d'un homme dans sa chatte en feu.
José la souleva sans difficulté et la coucha à plat ventre en travers de la table du salon.Il pointa son sexe dur comme l'acier vers les lèvres béantes d'Amélie et s'engouffra dans sa chatte en poussant un grognement. L'épouse du Sous -Préfet poussa un petit gémissement enfin comblée par l'énorme pieu. Les mains crispées dans ses hanches, le gardien commença lentement des allers-retours dans le ventre accueillant. Puis il accéléra ses coups de pistons qui devinrent de plus en plus violent. Les fesses blanches d'Amélie tressautent sous les coups de boutoirs du gardien qui halète. Amélie gémit de plus en plus fort.
N'en pouvant plus, toujours caché aux regards des deux autres, Marie-Hélène a soulevé sa robe et écartant fiévreusement son string, elle s'enfonce son index dans sa chatte dégoulinante. Elle se masturbe en haletant consciente de sa déchéance. Elle ! L'épouse du Maire se branler comme une collégienne en chaleur en plein jour ! Au milieu de ce hall d'immeuble. Si ses administrés la voyaient... Elle se pinça le bouton si violemment qu'elle poussa un gémissement de plaisir et de douleur.
Sentant l'orgasme monter irrésistiblement de son ventre, l'épouse du Sous-Préfet poussa un cri étranglé.
- Tais-toi ! Tu veux ameuter les voisins !
Les mains crispées sur la table, Amélie subit passive, les assauts du gardien. La table bouge toute seule sous les coups de reins puissants de José. Il accéléra soudain faisant couiner la table et la femme du Sous-Préfet. Son ventre claque contre ses fesses avec violence. Amélie jouit soudain sous les coups de reins de José, elle étouffa ses cris en se mordant les lèvres. José se retira et se branla au dessus du visage ravagée par l'orgasme. Il éjacula lâchant des traînées de sperme blanc qui allèrent s'écraser sur les joues et le menton de la respectable épouse du Sous-Préfet.
Madame laisse retomber précipitamment sa robe en comprenant, affolée, qu'ils allaient sortir de la loge. Elle remonta rapidement les escaliers et quand Amélie arriva, les joues rouges, essoufflée, elle était de nouveau dans le canapé, sa tasse de thé à la main.
- T'en a mis du temps, lui lança Madame.
Amélie s'assoie à coté de son amie.
- Je n'arrivais plus à me débarrasser du concierge, il m'a...épuisé !
Par une froide journée d'hiver, Madame, épouse distinguée du Maire, se rendait chez son amie, Amélie, elle-même femme du Sous-Préfet. Madame est au volant de son Cabriolet BMW. Elle se dirige vers les quartiers chics de l'ouest de Paris...Ce qu'on appelle le NAP : Neuilly-Auteuil-Passy.
Elle arrive devant un immeuble de grand standing et se gare dans le parking souterrain. Elle descend de la voiture et se dirige vers la sortie. Ses talons claquent sur le béton. Pour une fois, Madame n'a pas mis de talons aiguilles mais des bottes pour se protéger du froid. Elle porte sur elle un manteau de fourrure. Elle appela l'ascenseur jetant un œil par-dessus son épaule. Elle ne se sent pas vraiment en danger dans ce quartier huppé ou l'on trouve un flic tous les 200 mètres mais le parking souterrain reste le fantasme préféré des femmes. Il parait même que c'est un fantasme très répandu chez les bourgeoises comme elle. Elle a entendu ça l'autre jour à la télé dans l'émission à Jean-Luc Delarue qui décidément aborde tous les sujets. Les portes de l'ascenseur coulissèrent dans un chuintement discret et Madame monta dans la cabine. L'ascenseur arriva au rez de chaussée et Madame passa devant la loge du gardien. Courageusement, elle décida de prendre les escaliers. Elle croisa un homme à l'allure négligée qui lui jeta un regard torve. Elle se retourna et le surpris en train de tenter de mater ses jambes. Elle arriva à l'étage où habitait Amélie et sonna. La porte s'ouvrit très vite sur son amie.
- Marie-Hélène ! Ma chérie, comment vas-tu ?
Voix haut perchée des bourgeoises, issue d'une famille d'aristocrate, vieille noblesse française, Amélie est une femme d'une quarantaine d'années comme Madame. Elle la fait rentrer dans le salon et Madame retire son manteau de fourrure apparaissant dans une robe toute simple mais pourtant achetée une fortune chez un grand couturier. Les deux amies s'assoient dans le canapé et Amélie fait le service servant une tasse de thé à Marie-Hélène. La femme du Sous-Préfet est vêtue d'une jupe écossaise sur des bas noirs avec un chemisier blanc. Son serre-tête en velours retient ses cheveux blonds vénitiens. Elles commencèrent à discuter de l'actualité tout en sirotant leur thé.
Soudain un coup de sonnette interrompit leur conversation. Amélie se leva et alla ouvrir. Madame aperçoit un homme assez petit, gros, pas très beau. Il salut l'épouse du Sous-Préfet et lui tend un paquet. Il rentre dans le duplex et s'avance dans le salon. Curieux, pense Madame, elle n'a pas eu l'impression qu'Amélie lui avait donné l'autorisation d'entrer. Amélie revient. Madame a le sentiment que quelque chose ne vas pas. Amélie est toute pâle, livide. Le regard fuyant, elle fait les présentations.
- José, le gardien de notre immeuble. Il est monté m'apporter un colis que j'ai reçu.
Le gardien salut Madame d'un hochement de tête. C'était l'homme qu'elle avait croisé dans l'escalier. Madame frisonne en sentant le regard insistant qu'il lui porte la dévisageant sans vergogne. Il matte ses cuisses dévoilées par la robe.
- Il faudrait que je vous parle d'un problème concernant l'immeuble M'dame. Lance le gardien en regardant Amélie droit dans les yeux.
Madame a l'impression qu'Amélie a encore plus blêmi.
- Mais... Maintenant ? Ça ne peut pas attendre ?
- Non, je dois vous voir tout de suite dans ma loge.
Le ton est sans réplique et le concierge entraîne Amélie vers la sortie en s'excusant auprès de Madame qui se retrouve seule dans le salon. Madame n'hésite qu'une fraction de seconde, prise d'une inspiration subite, peut être le célèbre « instinct féminin », elle se précipita également, dévalant les escaliers à la poursuite du gardien et d'Amélie. Elle arriva légèrement essoufflée devant la loge du gardien.
La porte est entrouverte et elle hésite sur la conduite à tenir. Elle trouve quand même très étrange l'attitude du gardien envers Amélie. Elle jeta un œil par l'interstice et elle failli pousser un cri devant le spectacle qu'elle découvrit.
Amélie, accroupie devant José, était en train de lui administrer une fellation. Le gardien, le pantalon sur les chevilles, soufflant comme un bœuf, le slip à mi-cuisses, un sexe épais et gonflé dardant fièrement entre ses jambes velues, enfonçait son membre imposant dans la bouche pulpeuse de l'épouse du Sous-Préfet en donnant des petits coups de reins. Amélie, les joues gonflés par la bite faisait aller et venir ses lèvres autour du mandrin. Elle salivait dessus, hoquetant parfois. La situation scandalisa Madame qui se recula légèrement mais elle était fascinée par ce qu'elle voyait.Sa meilleure amie, élevée dans les plus prestigieuses institutions catholiques bourgeoises était en train de tailler une pipe au gardien de son immeuble. Sa jupe écossaise était relevée dévoilant ses jambes gainées de nylon noir. Le gardien lui agrippa les cheveux et la força à avaler sa queue encore plus profondément. L'épouse du Sous-Préfet poussa un gémissement.
- Vas y ma salope, suce moi la bite, t'es vraiment une pute. Dommage que ta copine ne vienne pas nous rejoindre, elle est pas mal l'épouse du Maire.
Offusquée par de tel propos, Madame se retient d'intervenir. Elle se demande si elle doit appeler la police. Mais Amélie est elle contrainte ? ça n'en a pas l'air. Et puis Madame n'est pas insensible à cette situation. Elle sent son string s'humidifier légèrement excitée par ce qu'elle voit.
José releva Amélie et lui ordonna de relever sa jupe écossaise.
- Fais voir ta chatte.
Rougissante, l'épouse du Sous-Préfet obéit relevant le tissu en le maintenant autour de sa taille. Elle apparaît en collant noir, moulant son cul et son mont de vénus avec précision.
Le concierge s'approcha d'elle et lui déboutonna son chemisier. Ses seins à peine contenus dans un soutien-gorge noir lui sautèrent au visage. Madame choquée découvre qu'Amélie porte un soutien-gorge comme on en trouve plutôt dans les sex-shop que dans les boutiques de lingeries fines. Le sous-vêtement laisse apparaître les pointes de ses seins ! Comme une pute pense alors Marie-Hélène. José se pencha et commença à mordiller les tétons qui rougissent et durcissent. L'épouse du Sous-Préfet gémit et proteste mollement.
- José...je vous en prie, arrêtez...attendez au moins que Marie-Hélène soit partie.
- Pas question ! Au contraire, ça m'excite de savoir que je vais te baiser pendant que la femme du Maire t'attend.
Il baissa d'un geste brusque le collant à mi-cuisses révélant un string rouge fendue découvrant ses lèvres intimes. Il la retourna pour s'assurer que le string était également fendue par-derrière.Il lui donna une petite claque sur ses fesses.
- C'est bien ma chérie, t'es obéissante.
Il lui plongea deux doigts dans sa fente et Amélie écarta d'elle même les jambes pour lui faciliter le passage. Madame commence à être sérieusement excitée par ce manège. Elle sent sa respiration s'accélérer. Elle a chaud. Son string est trempée maintenant. Oppressée, elle continue de regarder son amie se faire branler par José.
Celui-ci lui a déniché le clito et le pince sans douceur arrachant des gémissements à Amélie qui est toute rouge. Elle donne des coups de bassin maladroit. Elle se mord les lèvres quand le gardien lui enfonce son index et son majeur dans sa chatte. La mouille coule sur les doigts du gardien. Il se relève et tend ses doigts pleins de secrétions vers la bouche de l'épouse du Sous-Préfet qui s'empresse de les sucer avec une sale délectation, totalement soumise.
- Je vais te baiser salope, t'en meurt d'envie.
- Oui...oui.je vous en supplie, ne me laissez pas dans cet état...balbutie Amélie, haletante.
Maintenant, elle se moque éperdument que Marie-Hélène puisse la surprendre...tout ce qu'elle veut, c'est le sexe d'un homme dans sa chatte en feu.
José la souleva sans difficulté et la coucha à plat ventre en travers de la table du salon.Il pointa son sexe dur comme l'acier vers les lèvres béantes d'Amélie et s'engouffra dans sa chatte en poussant un grognement. L'épouse du Sous -Préfet poussa un petit gémissement enfin comblée par l'énorme pieu. Les mains crispées dans ses hanches, le gardien commença lentement des allers-retours dans le ventre accueillant. Puis il accéléra ses coups de pistons qui devinrent de plus en plus violent. Les fesses blanches d'Amélie tressautent sous les coups de boutoirs du gardien qui halète. Amélie gémit de plus en plus fort.
N'en pouvant plus, toujours caché aux regards des deux autres, Marie-Hélène a soulevé sa robe et écartant fiévreusement son string, elle s'enfonce son index dans sa chatte dégoulinante. Elle se masturbe en haletant consciente de sa déchéance. Elle ! L'épouse du Maire se branler comme une collégienne en chaleur en plein jour ! Au milieu de ce hall d'immeuble. Si ses administrés la voyaient... Elle se pinça le bouton si violemment qu'elle poussa un gémissement de plaisir et de douleur.
Sentant l'orgasme monter irrésistiblement de son ventre, l'épouse du Sous-Préfet poussa un cri étranglé.
- Tais-toi ! Tu veux ameuter les voisins !
Les mains crispées sur la table, Amélie subit passive, les assauts du gardien. La table bouge toute seule sous les coups de reins puissants de José. Il accéléra soudain faisant couiner la table et la femme du Sous-Préfet. Son ventre claque contre ses fesses avec violence. Amélie jouit soudain sous les coups de reins de José, elle étouffa ses cris en se mordant les lèvres. José se retira et se branla au dessus du visage ravagée par l'orgasme. Il éjacula lâchant des traînées de sperme blanc qui allèrent s'écraser sur les joues et le menton de la respectable épouse du Sous-Préfet.
Madame laisse retomber précipitamment sa robe en comprenant, affolée, qu'ils allaient sortir de la loge. Elle remonta rapidement les escaliers et quand Amélie arriva, les joues rouges, essoufflée, elle était de nouveau dans le canapé, sa tasse de thé à la main.
- T'en a mis du temps, lui lança Madame.
Amélie s'assoie à coté de son amie.
- Je n'arrivais plus à me débarrasser du concierge, il m'a...épuisé !
lundi 13 avril 2020
Claudine soumise Chap. 02
Texte écrit par G il y a quelques années.
Fin de cours difficile pour la prof.
Je me réveille ce lundi matin avec l'impression de ne pas m'être couchée du tout. Après avoir été prise de toutes les façons la veille au soir par cette bande de dépravés dans ce bar sordide de la banlieue parisienne je ressens un étrange sentiment de honte et de culpabilité. Comment ais je pu, moi, une femme si droite, me vautrer dans cette débauche? Bien sûr, j'y ai été contrainte...Au début du moins. Mais je dois bien me l'avouer, j'y ai pris du plaisir. Et cela me trouble et me rend perplexe.
Je n'ai, bien entendu, absolument rien dit à mon mari qui de toute façon est rentré tellement tard de sa partie de poker que je dormais déjà depuis longtemps. Je me lève et commence à me préparer pour me rendre au lycée professionnel où j'enseigne le français. Un peu angoissée, j'appréhende le moment où j'aurais cours avec la classe où se trouvent Rachid et Bruce, les deux élèves qui ont été les témoins et les acteurs de mon agression d'hier soir. Je n'oublie pas non plus qu'ils ont pris des photos avec leur téléphone portable. J'hésite sur la manière de m'habiller. Hors de question de remettre le tailleur d'hier soir, qui de toute façon est souillé par les nombreuses traces de sperme de mes tourmenteurs. Je décide de m'habiller sage, pas de jupe courte. Je choisis un chemisier blanc, une jupe longue blanche, des collants couleur chair et des ballerines blanches, très virginale comme tenue. Je sors de mon pavillon et monte dans ma voiture, direction le lycée.
Les cours du matin se passe lentement tellement j'angoisse à l'idée de me retrouver devant Rachid et Bruce. Je jette continuellement un œil à ma montre et j'ai du mal à me concentrer. La dernière classe avant le déjeuner est justement celle de Rachid et Bruce. En arrivant dans le couloir, j'entends déjà des exclamations et des rires. Je rentre dans la classe mais le brouhaha continue jusqu'à ce que je me mette derrière mon bureau.
Je réclame le silence d'une voix autoritaire. Tout le monde se tait mais j'aperçois immédiatement Rachid et Bruce qui me regarde d'un air goguenard et je me sens rougir. Je commence mon cours en leur donnant une dictée à faire. Je leur dicte le texte tout en me promenant dans les allées de la classe. Je sens plusieurs fois le regard de mes élèves posé sur moi notamment sur mes fesses, qui ne sont pourtant pas tellement visibles puisque j'ai mis une jupe ample et longue.
Je termine la dictée juste quand résonne la sonnerie annonçant la fin des cours pour l'heure de midi. Je demande à mes élèves de poser leurs copies sur mon bureau en sortant. Ce qu'ils font tous sauf Rachid et Bruce qui restent assis à leur table. Tout le monde est sorti et je me retrouve seule avec eux dans la salle de classe. Ils se lèvent et se dirigent vers mon bureau leurs copies à la main. Je lève les yeux pour les regarder et d'une voix que j'essaie de ne pas faire trembler, je leur demande de me donner leurs copies.
- On aura une bonne note? me demande Rachid.
- Je ne sais pas Rachid, cela dépendra de votre travail.
Rachid et Bruce me regardent en souriant, un sourire pas très rassurant...
- Non Madame, vous n'avez pas compris. Ce n'était pas une question, on veut une bonne note. Sinon....
Je me sens blêmir...On y était! Ce que je redoutais depuis le début de la matinée se produisait. Rachid et Bruce sortent leurs téléphones portables.
- N'oubliez qu'on a des photos compromettantes. Je ne suis pas sûr que Madame la Directrice serait ravi de voir qu'un de ses professeurs s'est tapé deux de ses élèves hier soir.
Je ne réponds pas, anéantie par ce que je viens d'entendre. Ils me tiennent, ils peuvent me faire chanter et j'ai le sentiment qu'ils ne vont pas s'en priver. Bruce s'approche de moi en demandant à Rachid.
- On devrait refaire des photos et les mettre sur Internet, créer un site avec des photos cochonnes. La prof perverse...Qu'en dis-tu, ça marcherait du tonnerre!
Je les supplie de ne pas mettre les photos sur le Net. Bruce me regarde avec un regard vraiment lubrique qui me fait froid dans le dos.
- Je n'aime pas comme tu es habillée aujourd'hui, je préférais hier soir...
- Bruce a raison, renchérit Rachid, dorénavant, tu ne mettras que des jupes courtes, c'est compris? Et des chaussures à talons...
Bruce me regarde dans les yeux et me lance :
- Soulève ta jupe, que l'on voit si t'es sapée comme hier en dessous!
Je suis tétanisée. Je tente de les raisonner :
- Ecoutez, ce qui s'est passé hier est un accident, vous devez oublier, cela ne se reproduira plus.
Reprenant de l'assurance, je les menace :
- D'ailleurs, je pourrais porter plainte contre vous, je n'étais pas consentante hier soir!
Bruce éclate de rire et me montre le téléphone portable.
- Vous savez que ça fait caméra aussi? Vous voulez que je vous passe l'extrait où vous prenez votre pied pendant qu'on vous défonçait?
Bruce saisit alors ma jupe et commence à la remonter dévoilant mes jambes. Il s'arrête quand elle est en haut et me demande de la tenir. Ce que je fais, soumise.
Il siffle en me caressant les cuisses moulées dans mon collant puis il remonte me caressant le slip à travers le collant. Il me demande d'écarter les jambes et je m'exécute.
- On préférait hier soir avec tes bas. Lâche quand même Rachid en s'accroupissant devant moi. A partir de maintenant, tu ne mettras plus que ton attirail de pute sous ta jupe, plus de collant!
- Sauf si on te le demande. Souligne Bruce.
Je ne réponds pas, à quoi bon? Bruce me retourne soudain et me plaque sur mon bureau. Il relève ma jupe et commence à donner des claques sur mes fesses. Malgré la protection du collant, j'ai très vite mal et je le supplie d'arrêter. Rachid prend des photos avec son téléphone portable. Bruce continue de me donner la fessée pendant une bonne minute tout en m'insultant. Puis, il s'empare de mon collant et le déchire violemment! Je proteste :
- Non, ne faites pas ça!
Il baisse mon slip blanc et il enfonce un doigt dans mon vagin. Il s'empare de mon clitoris et commence à le titiller sans douceur. Il me masturbe ainsi pendant plusieurs minutes et je supplie les cheveux dans mon visage.
- Non, non, je vous en supplie, ne faites pas ça, je vais....
Impitoyable, Bruce continue sans relâche. Il me branle, il veut m'obliger à jouir, contre mon gré! Ma respiration s'accélère et je pousse un gémissement. Ses attouchements et surtout cette humiliation a raison de mes scrupules, je me laisse soudain aller et je jouie en criant.
Bruce retire sa main pleine de mouille et me relève en me prenant par les cheveux. Il me force à lui nettoyer les doigts en les suçant. Ce que je fais avec un plaisir sale. Hors d'haleine, je suis prise en main par Rachid qui veut aussi m'humilier. Il m'ordonne de me mettre à genoux sur le sol. Je me retrouve donc à quatre pattes, jupe troussée, collant déchiré, slip baissé, le cul à l'air devant mes élèves qui ont l'âge d'être mes fils!
Je sens que Rachid pose son doigt sur mon anus et j'implore de nouveau. Je le sens qui fait pression et je tente de me relever mais Bruce vient lui prêter main forte et m'immobilise. Je pousse un cri quand Rachid parvient à ses fins et m'enfonce complètement son doigt dans mon anus. Malgré la douleur, je dois supporter une nouvelle humiliation puisque Bruce me prend en photo avec un doigt vissé dans le cul. Rachid fait un peu coulisser son doigt et le retire brutalement me faisant crier de nouveau.
Ils me demandent de rester à genoux devant eux. Ils sortent leurs sexes gonflés à bloc et j'avance la tête, docile. J'empoigne des deux mains les verges et commencent à les secouer, les masturber.
Rachid me prend la nuque et m'oblige à avaler son gland, je faillis vomir tant il était imposant. Je commence à le pomper tout en alternant avec celle de Bruce qui est encore plus grosse. Je manque de m'étouffer à plusieurs reprises. Bruce et Rachid soufflent comme des bœufs en m'encourageant.
- Vas-y salope, sale bourge, pompe bien, t'es une bonne suceuse ma chienne de prof.
Je m'active avec des bruits de succions écœurants. Heureusement, ils furent rapides à jouir et lorsqu'ils éjaculèrent, je reçus des giclées de foutre sur mon visage qui coulèrent sur mes lèvres. Je me relève et me dirige vers mon bureau pour y prendre un mouchoir afin de me nettoyer avant la reprise des cours. Chancelante, je dois m'appuyer à mon bureau. Ma dernière humiliation est d'enlever les restes de mon collant déchiré et mon slip et de les donner comme trophées à Rachid et Bruce.
- Comme t'es une salope, tu n'as pas besoin de slip pour donner tes cours. Lâche Bruce en ricanant.
Ils me laissent seule dans la salle de classe non sans me donner rendez-vous pour le lendemain.
à suivre...
Fin de cours difficile pour la prof.
Je me réveille ce lundi matin avec l'impression de ne pas m'être couchée du tout. Après avoir été prise de toutes les façons la veille au soir par cette bande de dépravés dans ce bar sordide de la banlieue parisienne je ressens un étrange sentiment de honte et de culpabilité. Comment ais je pu, moi, une femme si droite, me vautrer dans cette débauche? Bien sûr, j'y ai été contrainte...Au début du moins. Mais je dois bien me l'avouer, j'y ai pris du plaisir. Et cela me trouble et me rend perplexe.
Je n'ai, bien entendu, absolument rien dit à mon mari qui de toute façon est rentré tellement tard de sa partie de poker que je dormais déjà depuis longtemps. Je me lève et commence à me préparer pour me rendre au lycée professionnel où j'enseigne le français. Un peu angoissée, j'appréhende le moment où j'aurais cours avec la classe où se trouvent Rachid et Bruce, les deux élèves qui ont été les témoins et les acteurs de mon agression d'hier soir. Je n'oublie pas non plus qu'ils ont pris des photos avec leur téléphone portable. J'hésite sur la manière de m'habiller. Hors de question de remettre le tailleur d'hier soir, qui de toute façon est souillé par les nombreuses traces de sperme de mes tourmenteurs. Je décide de m'habiller sage, pas de jupe courte. Je choisis un chemisier blanc, une jupe longue blanche, des collants couleur chair et des ballerines blanches, très virginale comme tenue. Je sors de mon pavillon et monte dans ma voiture, direction le lycée.
Les cours du matin se passe lentement tellement j'angoisse à l'idée de me retrouver devant Rachid et Bruce. Je jette continuellement un œil à ma montre et j'ai du mal à me concentrer. La dernière classe avant le déjeuner est justement celle de Rachid et Bruce. En arrivant dans le couloir, j'entends déjà des exclamations et des rires. Je rentre dans la classe mais le brouhaha continue jusqu'à ce que je me mette derrière mon bureau.
Je réclame le silence d'une voix autoritaire. Tout le monde se tait mais j'aperçois immédiatement Rachid et Bruce qui me regarde d'un air goguenard et je me sens rougir. Je commence mon cours en leur donnant une dictée à faire. Je leur dicte le texte tout en me promenant dans les allées de la classe. Je sens plusieurs fois le regard de mes élèves posé sur moi notamment sur mes fesses, qui ne sont pourtant pas tellement visibles puisque j'ai mis une jupe ample et longue.
Je termine la dictée juste quand résonne la sonnerie annonçant la fin des cours pour l'heure de midi. Je demande à mes élèves de poser leurs copies sur mon bureau en sortant. Ce qu'ils font tous sauf Rachid et Bruce qui restent assis à leur table. Tout le monde est sorti et je me retrouve seule avec eux dans la salle de classe. Ils se lèvent et se dirigent vers mon bureau leurs copies à la main. Je lève les yeux pour les regarder et d'une voix que j'essaie de ne pas faire trembler, je leur demande de me donner leurs copies.
- On aura une bonne note? me demande Rachid.
- Je ne sais pas Rachid, cela dépendra de votre travail.
Rachid et Bruce me regardent en souriant, un sourire pas très rassurant...
- Non Madame, vous n'avez pas compris. Ce n'était pas une question, on veut une bonne note. Sinon....
Je me sens blêmir...On y était! Ce que je redoutais depuis le début de la matinée se produisait. Rachid et Bruce sortent leurs téléphones portables.
- N'oubliez qu'on a des photos compromettantes. Je ne suis pas sûr que Madame la Directrice serait ravi de voir qu'un de ses professeurs s'est tapé deux de ses élèves hier soir.
Je ne réponds pas, anéantie par ce que je viens d'entendre. Ils me tiennent, ils peuvent me faire chanter et j'ai le sentiment qu'ils ne vont pas s'en priver. Bruce s'approche de moi en demandant à Rachid.
- On devrait refaire des photos et les mettre sur Internet, créer un site avec des photos cochonnes. La prof perverse...Qu'en dis-tu, ça marcherait du tonnerre!
Je les supplie de ne pas mettre les photos sur le Net. Bruce me regarde avec un regard vraiment lubrique qui me fait froid dans le dos.
- Je n'aime pas comme tu es habillée aujourd'hui, je préférais hier soir...
- Bruce a raison, renchérit Rachid, dorénavant, tu ne mettras que des jupes courtes, c'est compris? Et des chaussures à talons...
Bruce me regarde dans les yeux et me lance :
- Soulève ta jupe, que l'on voit si t'es sapée comme hier en dessous!
Je suis tétanisée. Je tente de les raisonner :
- Ecoutez, ce qui s'est passé hier est un accident, vous devez oublier, cela ne se reproduira plus.
Reprenant de l'assurance, je les menace :
- D'ailleurs, je pourrais porter plainte contre vous, je n'étais pas consentante hier soir!
Bruce éclate de rire et me montre le téléphone portable.
- Vous savez que ça fait caméra aussi? Vous voulez que je vous passe l'extrait où vous prenez votre pied pendant qu'on vous défonçait?
Bruce saisit alors ma jupe et commence à la remonter dévoilant mes jambes. Il s'arrête quand elle est en haut et me demande de la tenir. Ce que je fais, soumise.
Il siffle en me caressant les cuisses moulées dans mon collant puis il remonte me caressant le slip à travers le collant. Il me demande d'écarter les jambes et je m'exécute.
- On préférait hier soir avec tes bas. Lâche quand même Rachid en s'accroupissant devant moi. A partir de maintenant, tu ne mettras plus que ton attirail de pute sous ta jupe, plus de collant!
- Sauf si on te le demande. Souligne Bruce.
Je ne réponds pas, à quoi bon? Bruce me retourne soudain et me plaque sur mon bureau. Il relève ma jupe et commence à donner des claques sur mes fesses. Malgré la protection du collant, j'ai très vite mal et je le supplie d'arrêter. Rachid prend des photos avec son téléphone portable. Bruce continue de me donner la fessée pendant une bonne minute tout en m'insultant. Puis, il s'empare de mon collant et le déchire violemment! Je proteste :
- Non, ne faites pas ça!
Il baisse mon slip blanc et il enfonce un doigt dans mon vagin. Il s'empare de mon clitoris et commence à le titiller sans douceur. Il me masturbe ainsi pendant plusieurs minutes et je supplie les cheveux dans mon visage.
- Non, non, je vous en supplie, ne faites pas ça, je vais....
Impitoyable, Bruce continue sans relâche. Il me branle, il veut m'obliger à jouir, contre mon gré! Ma respiration s'accélère et je pousse un gémissement. Ses attouchements et surtout cette humiliation a raison de mes scrupules, je me laisse soudain aller et je jouie en criant.
Bruce retire sa main pleine de mouille et me relève en me prenant par les cheveux. Il me force à lui nettoyer les doigts en les suçant. Ce que je fais avec un plaisir sale. Hors d'haleine, je suis prise en main par Rachid qui veut aussi m'humilier. Il m'ordonne de me mettre à genoux sur le sol. Je me retrouve donc à quatre pattes, jupe troussée, collant déchiré, slip baissé, le cul à l'air devant mes élèves qui ont l'âge d'être mes fils!
Je sens que Rachid pose son doigt sur mon anus et j'implore de nouveau. Je le sens qui fait pression et je tente de me relever mais Bruce vient lui prêter main forte et m'immobilise. Je pousse un cri quand Rachid parvient à ses fins et m'enfonce complètement son doigt dans mon anus. Malgré la douleur, je dois supporter une nouvelle humiliation puisque Bruce me prend en photo avec un doigt vissé dans le cul. Rachid fait un peu coulisser son doigt et le retire brutalement me faisant crier de nouveau.
Ils me demandent de rester à genoux devant eux. Ils sortent leurs sexes gonflés à bloc et j'avance la tête, docile. J'empoigne des deux mains les verges et commencent à les secouer, les masturber.
Rachid me prend la nuque et m'oblige à avaler son gland, je faillis vomir tant il était imposant. Je commence à le pomper tout en alternant avec celle de Bruce qui est encore plus grosse. Je manque de m'étouffer à plusieurs reprises. Bruce et Rachid soufflent comme des bœufs en m'encourageant.
- Vas-y salope, sale bourge, pompe bien, t'es une bonne suceuse ma chienne de prof.
Je m'active avec des bruits de succions écœurants. Heureusement, ils furent rapides à jouir et lorsqu'ils éjaculèrent, je reçus des giclées de foutre sur mon visage qui coulèrent sur mes lèvres. Je me relève et me dirige vers mon bureau pour y prendre un mouchoir afin de me nettoyer avant la reprise des cours. Chancelante, je dois m'appuyer à mon bureau. Ma dernière humiliation est d'enlever les restes de mon collant déchiré et mon slip et de les donner comme trophées à Rachid et Bruce.
- Comme t'es une salope, tu n'as pas besoin de slip pour donner tes cours. Lâche Bruce en ricanant.
Ils me laissent seule dans la salle de classe non sans me donner rendez-vous pour le lendemain.
à suivre...
La nouvelle vie de Christine Ch. 22
La nouvelle vie de Christine - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte
Il faut qu'elle encourage les ouvriers.7 mois après le début de la nouvelle carrière de Christine, je reçois un appel de Francis, son patron, me demandant de passer le voir. Je lui réponds affirmativement en pensant à tous les chèques qui tombent tous les mois grâce aux attributs de ma belle-mère. Donc, dans l'après-midi je me dirige vers son entreprise et à 14h00 je frappe à la porte de son bureau.
- Bonjour, heureux de vous voir. Asseyez-vous. Me dit-il en désignant un fauteuil en face de son bureau.
- Y'a-t-il un problème Francis? J'espère que Christine est toujours aussi performante et fait gagner beaucoup d'argent à l'entreprise. Demandé-je avec un grand sourire sur le visage.
Il rigole et me confirme qu'elle est toujours un atout pour l'entreprise :
- Christine travaille très bien. D'ailleurs elle est juste en train de régler une grosse affaire. Vous savez que les Russes sont très dures en affaire. C'est pourquoi je remercie Dieu d'avoir Christine pour faciliter les négociations difficiles.
- Y'a-t-il une chance que je la voie travailler? Je n'ai plus beaucoup l'opportunité de la faire.
Francis hoche la tête. Il ne peut nier que c'est grâce à moi que Christine est devenue une salope pour sa clientèle. Il tend la main vers la télécommande d'un grand téléviseur à led sur le mur. Il allume l'écran et le grand bureau de Christine apparaît ainsi que de grands cris bruyants de plaisir. Ma belle-mère se retrouve actuellement sur le canapé avec la grosse bite d'un homme assez grand dans sa chatte. Assis sur un tabouret, complètement nu, sa queue en érection, se trouve un homme un peu plus petit.
- Le plus grand, celui qui baise Christine est Artur. Et celui sur le tabouret se prénomme Vadim. Ce sont tous les deux des hommes très riches et très puissants en Russie. Et je crois qu'avec l'aide de votre belle-mère, nous allons conclure un partenariat très lucratif. Mais ce n'est pas pour cela que je vous ai fait venir.
Ces derniers mots détournent mon regard de ma soumise qui fait ce qu'elle sait faire le mieux en se faisant baiser. Je demande :
- D'accord. Que se passe-t-il?
- J'ai dû licencier Etienne JARSON. Cet imbécile s'est fait détester de tout son service. Il était trop arrogant et coléreux. Si bien qu'aujourd'hui nous risquons de perdre un bon contrat. Christine avait passé une journée à l'obtenir mais Etienne a complètement salopé le boulot. Nous n'allons pas pouvoir respecter les délais, car les ouvriers ne réussiront pas à les tenir.
- D'accord. Et en quoi cela me concerne-t-il Francis? Je ne comprends pas. Dis-je.
- Est-ce que je pourrais utiliser Christine pour motiver le personnel de ce service et les faire travailler pour qu'ils respectent les délais. Elle pourrait répondre à quelques besoins. Demande-t-il un peu désespéré.
- Quel avantage vais-je en retirer? Vous n'allez pas gagner plus d'argent. Comment vais-je être récompensé?
Je pose la question tout en regardant la télévision dans laquelle ma belle-mère se fait embrocher par la queue du petit Russe.
- Je pense que je pourrais calculer un pourcentage supplémentaire si les délais sont respectés. Déclare Francis.
- Je pense que deux pour cent supplémentaires sur ce que vous fait gagner Christine reste raisonnable. Dis-je tout regardant ma belle-mère avoir un orgasme.
- Marché conclu. Dit Francis avec satisfaction.
Je lui demande alors :
- Quand et comment allez-vous présenter au personnel cette proposition?
- Je pense le faire ce soir lors du changement de poste. Il y aura moins de personnel. Je leur expliquerai et je pense que Christine devrait leur faire une petite démonstration de ce qu'elle peut leur offrir. Il va y avoir des négociations mais je suis préparé.
- des négociations? Comment ça? Demandé-je.
- La date limite n'est pas avant Noël mais nous avons beaucoup de retard. Alors le personnel pourrait vouloir des séances d'incitation régulières si je veux qu'ils restent motivés pour les quatre ou cinq prochains mois. Répond Francis.
- D'accord. Donc pour chaque séance supplémentaire que devra accomplir ma belle-mère, je m'attends à une belle gratification dans l'enveloppe mensuelle.
Je souris alors que Francis hoche la tête en riant pour me signifier qu'il a compris.
- Une autre chose : J'aimerai rester là pour voir la réunion et les personnes dont Christine devra s'occuper. Y'a-t-il un endroit où je pourrai regarder ça tranquillement? Dis-je en pointant du doigt l'écran de télévision.
-Oui, vous pouvez utiliser le bureau de Daniel, il n'est pas là aujourd'hui. Si vous avez besoin de moi, je ne suis pas loin. Je vais préparer un accord par écrit pour le personnel de l'entrepôt. Dit-il juste avant que je ne me prépare à sortir de son bureau.
Mais je m'arrête à la porte, alors que j'ai une dernière doléance :
- Francis, Ne dites pas à Christine que je suis là jusqu'au moment où nous irons à la réunion.
- D'accord. Dit-il.
Je sors de son bureau et me dirige vers celui de Daniel pour finir de regarder ma belle-mère en action.
Je ne sais pas depuis combien de temps Christine était avec les deux russes avant que je n'arrive à 14 heures mais je la regardai jusqu'à 15 heures 15. Elle saisit la bite du plus grand pour la positionner à l'entrée de son cul puis elle s'assit complètement dessus. Elle se pencha en arrière sur la poitrine poilue de l'homme et, sans qu'on lui demande, elle écarta les jambes et demanda à l'autre russe de pénétrer sa chatte.
L'homme n'eut pas besoin qu'on lui dise deux fois. Il glissa facilement sa queue dans le sexe bien utilisé et bien lubrifié de ma belle-mère. Elle se trouva ainsi prise en sandwich entre les deux hommes. Vers 15 heures 15, son cul et sa chatte ayant remplis leur office, Christine est accroupie entre ses partenaires pour nettoyer leur bite. Le sperme coule de ses deux trous et tombe sur le sol.
Une fois que leurs sexes semblent bien nettoyer, les hommes parlent en russe et se rapproche de leurs vêtements. Comme Christine, je les regarde s'habiller puis se diriger vers la sortie. Ma belle-mère, sur ses jambes un peu flageolantes, se rapproche de la porte et dit ce qu'elle a l'habitude de dire aux clients de l'entreprise :
- Merci d'avoir utilisé ma bouche, ma chatte et mon cul avec vos grosses bites. Ça fait partie du service.
Elle reste droite près de la porte donnant l'impression que c'est normal pour elle au bout de sept mois.
Quand le dernier russe, Vadim, s'éloigne, il se retourne et dit en anglais avec un fort accent russe :
- Espèce de sale pute, grosse traînée.
Puis il s'en va, laissant ma belle-mère immobile près de la porte. Elle semble indifférente à ces propos. Elle est habituée maintenant à être utilisée et humiliée par des hommes puissants et riches. Elle a déjà entendu pire.
Je la regarde se nettoyer et prendre une douche, puis se revêtir d'une des nombreuses tenues que lui ont achetées les hommes de l'entreprise. Ce matin, elle avait quitté la maison en pantalon et chemisier. Là, elle enfile une petite culotte blanche en dentelle, ouverte à l'entrejambe, qui ne cache rien de ses petites lèvres encore gonflées. Ensuite, elle met des bas et les fixe au porte-jarretelles. Elle monte sur ses talons hauts. Le soutien-gorge qu'elle prend est en dentelle. Il est conçu pour laisser voir un peu de l'auréole sombre autour de ses mamelons. Elle arrange ses cheveux et son maquillage dans le miroir et la voilà redevenue une vraie salope à baiser.
Elle a ensuite quitté la pièce. Je cherche autour de moi une télécommande comme celle de Francis. Je la trouve sur un classeur dans le coin du bureau de Daniel. Je suis maintenant en mesure de faire défiler les différentes caméras installées par l'ami de Francis et ses deux employés. Je vois dans un bureau, Francis qui rigole avec les deux russes. Évidemment les prestations de Christine avaient été bien perçues.
J'ai finalement trouvé ma belle-mère dans la zone d'attente se situant près de l'ascenseur.
Elle est penchée sur un tabouret, se tenant sur les avant-bras, ses seins tombant, son cul face à l'ascenseur. J'aime ce qu'ils lui font faire. Je l'ai vu plusieurs fois dans cette position lorsque je me connecte aux caméras. Elle doit rester dans cette position jusqu'à ce qu'elle soit appelée par un des administrateurs ou gestionnaires, ou éventuellement par un client.
Environ une heure plus tard, l'ascenseur s'ouvre et Robert WILFRIED en sort suivi de Michel FAURE.
- Même après sept mois, on ne peut pas s'ennuyer d'une vue comme celle-là lorsqu'on arrive ici. Qu'en penses-tu Michel? Dit Robert WILFRIED en riant, son collègue se joignant à lui et disant en approchant de Christine.
- C'est impossible Robert
Il se place derrière ma belle-mère, et rentre trois doigts dans sa chatte par l'ouverture de la culotte.
- Tu sors de réunion avec des clients salope? Dit-il en la regardant et pistonnant sa chatte avec trois doigts
- Oui Monsieur FAURE, c'est ce que je viens de faire. Dit-elle, les dents serrées alors qu'il continue à la fourailler.
L'homme enlève sa main, la porte à son nez pour la sentir, puis tourne autour de Christine et la pousse vers sa bouche pour qu'elle la nettoie. Cela fait, il sourit, prend un des tétons pour le pincer avant de s'éloigner en riant et en disant :
- Continue de faire du bon boulot.
Une fois de plus, ma belle-mère est laissée ainsi, complètement exposée, montrée comme un trophée ou un objet de décoration. Elle attend, obéissante, d'être appelée ou de se laisser tripoter par celui qui voulait. J'ai entendu les deux hommes entrer dans leur bureau. Vingt minutes plus tard, j'entends Francis dans le couloir. Il vient avec les deux russes Artur et Vadim pour montrer où attend Christine.
Je regarde la femme tandis que les voix approchent du bout du couloir. Quand elles arrivent, Christine regarde les hommes et leur sourit. Ils continuent d'avancer jusqu'à ce qu'ils soient debout à côté d'elle. Francis dit aux deux russes :
- Bien, Merci Artur et Vadim d'avoir conclu un contrat qui nous promet un partenariat très lucratif.
Il s'arrête de parler pour toucher le sein droit de Christine et pincer entre le pouce et l'index le téton afin de la faire gémir. Puis il ajoute en souriant :
- Et si à l'avenir, il y a quelque chose que nous pouvons faire pour vous, n'hésitez pas à nous appeler.
- Votre hospitalité a été des plus généreuses. Nous sommes contents de l'avoir découvert. Dit Artur en souriant à Christine.
Il tend la main vers la poitrine offerte et la caresse doucement avant de se diriger vers l'ascenseur, son associé à la remorque.
Une fois qu'ils sont partis, Francis s'approche de ma belle-mère avec un large sourire sur son visage. Aussitôt qu'il est à portée, il donne une grosse claque sur son cul.
- Aiiiieeee! Crie-t-elle en reculant après cette punition inattendue.
Il l'attrape par les cheveux et la force à se redresser. Les gros seins ballottent. Il se penche à son oreille et lui dit :
- Tu es une bonne pute Christine, une autre affaire dans le sac, merci à ta chatte.
Il la relâche pour qu'elle puisse reprendre sa position.
- Merci Monsieur MULLER. Dit-elle.
Comme ma belle-mère ne sait pas que je suis sur les lieux, il est bon pour moi de voir comment elle réagit et comment elle est traitée. Bien sûr, à la maison, je peux me connecter au système de caméras. Mais je ne peux pas m'asseoir toute la journée pour regarder même si j'aime bien.
Je regarde l'horloge et je commence à me lasser d'attendre. Plus rien ne se passe avec Christine alors qu'elle attend comme une pute.
A 17h00, je remarque que ma belle-mère commence à s'agiter et n'arrête pas de regarder l'horloge. Je me demande si elle est obligée de rester là tant qu'on ne lui dit pas le contraire. Çà serait logique. Donc je présume, qu'elle se demande pourquoi elle est encore là, abandonnée. Au bout de dix minutes, elle est encore plus agitée et ce n'est qu'après avoir entendu une porte s'ouvrir qu'elle reste immobile.
Un instant plus tard, on frappe à la porte du bureau où je me trouve et j'entends Francis dire :
- C'est l'heure.
- J'éteins la télévision et pose la télécommande. Puis j'accompagne Francis.
Avant d'arriver à la salle d'attente, il s'arrête devant un placard pour en sortir un long imperméable.
Quand nous arrivons dans la pièce où elle attend, le visage de Christine est perplexe et étonné de me voir avec un sourire ironique sur la face.
- Salope! Dis-je
- Maître! Répond-elle.
Puis elle ajoute :
- Que faites-vous ici?
Je pose un doigt sur mes lèvres et elle se tait.
- Peu importe pourquoi je suis ici salope, c'est mon affaire. En passant, bon travail avec les deux russes, le chèque devrait être intéressant. Dis-je.
Elle baisse les yeux, honteuse. Pourtant elle connaît très bien son rôle et elle sait que je le sais.
Francis l'aide à se redresser puis lui tend l'imperméable en disant :
- Mets cela. Nous avons une réunion à l'entrepôt.
Il l'aide à mettre les boutons et la ceinture. Il s'assure qu'elle soit bien couverte. Seuls ses talons hauts restent visibles. Pour quelqu'un qui ne sait pas qu'elle est en sous-vêtements dessous, elle paraît très bien habillée.
Je suis Francis et Christine dans l'ascenseur, puis dans des couloirs et à travers une multitude de portes. Comme Francis l'avait dit, l'entrepôt est presque désert à cette heure. Seuls restent quelques employés qui vont pointer pour sortir. L'équipe de nuit doit commencer à 18h00. Tout est calme.
Finalement nous arrivons à l'extrémité de l'entrepôt où se trouve un petit bureau entouré de palettes et cartons. S'y trouvent huit hommes en bleus de travail et gilets de protection. Nous avançons vers eux qui se mettent en demi-cercle. Ils se taisent à l'arrivée de leur patron.
- Bonjour Messieurs. Dit Francis avec Christine et moi derrière lui.
Je le laisse conduire la réunion, sachant le but alors que ma belle-mère ne le sait pas encore. Le patron continue :
- Vous savez que j'ai licencié Etienne. A cause de lui et de son arrogance, le moral semble être faible dans ce service et la productivité a anormalement chuté. Nous avons jusqu'à Noël pour remplir le dernier contrat mais nous sommes très en retard.
Les employés commencent à murmurer. J'ai l'impression qu'ils n'ont pas trop envie de se remuer pour faire le travail. Alors Francis lance la négociation :
- Voilà, pour résoudre ce retard et faire en sorte que la commande soit respectée, je souhaiterai que vous acceptiez de travailler 6 jours sur sept dans les prochains mois. Alors est-ce qu'un bonus pourrait vous persuader de m'aider?
Bien qu'il parle aux huit hommes, il regarde le plus âgé, qui semble être le chef d'équipe, pour obtenir une réponse.
- Eh bien Monsieur MULLER, Etienne a vraiment été désagréable et beaucoup d'entre nous se sont sentis rabaissés d'où le manque d'entrain au travail. Déclare le chef d'équipe.
Un murmure d'approbation des autres hommes se fait entendre. Francis dit alors :
- Bien sûr, vous serez financièrement récompensés pour les heures supplémentaires. Mais je peux peut-être vous proposer en plus une autre motivation. Par contre, il s'agit d'une chose spéciale qui demande une grande discrétion envers les autres employés de l'entreprise. Toute divulgation entraînera le licenciement immédiat de son auteur et la fin de cette récompense qui devrait vous plaire.
Je remarque que Christine semble mal à l'aise quand Francis parle d'incitation au travail. Je la connais assez bien pour savoir qu'elle a probablement deviné quelle serait la motivation.
Le chef d'équipe, en gilet vert, demande à ses collègues s'ils sont intéressés. Ceux-ci répondent que cela dépend de ce qui va être offert.
Je regarde le groupe d'hommes qui va profiter des charmes de ma belle-mère. Le chef d'équipe, assez mince, semble avoir entre quarante et cinquante ans. Les autres sont beaucoup plus jeunes, entre dix-huit et trente ans. Deux d'entre eux semblent peu soignés et fatigués. D'autres sont grands et forts comme des athlètes. Mais je constate qu'aucun d'entre eux ne portent d'alliance donc ne semblent pas mariés. Et je pense que la proposition de Francis ne rencontrera pas d'opposition chez des célibataires.
- Viens ici Christine! Dit Francis en montrant le sol devant lui.
Avec hésitation, elle se déplace pour se tenir debout devant son patron. Celui-ci lui demande de se retourner et de se mettre face aux hommes. Elle obéit et sent huit paires d'yeux se braquer sur elle. Il -est évident que ces employés la connaissaient et l'avaient déjà vue, mais sûrement dans son ancien poste, ce qui explique la confusion sur leurs visages.
Alors, pendant que Francis s'adresse à ces hommes, tout en restant derrière ma belle-mère, il défait la ceinture de l'imperméable puis les boutons en commençant d'en haut.
- Vous connaissez probablement tous Christine qui était la responsable des comptes...
Il enlève la ceinture et le premier bouton des six que comporte l'imperméable.
- Il y a sept mois, de nouvelles compétences ont été détectées chez elle. Depuis elle a un nouvel emploi au sein de notre société...
Je bouge légèrement pour voir deux autres boutons être défaits et l'apparition de son décolleté.
- Les compétences de Christine nous ont permis de gagner des contrats et conclure des offres de vente. Elle est équipée pour nous permettre d'atteindre les résultats escomptés en fin d'année.
L'imperméable s'ouvre sur les seins de ma belle-mère. Ses tétons apparaissent devant le regard des hommes. Instantanément, l'ambiance semble plus sereine.
Francis se penche et enlève les deux derniers boutons qui empêchent de dévoiler la chatte de Christine. Dès que l'imperméable est complètement ouvert, de grands sourires se répandent sur le visage de tous les hommes ainsi que des remarques chuchotées et des grognements. Le patron ôte l'imperméable des épaules de Christine et le jette sur une caisse à côté. Ensuite il tapote l'intérieur des cuisses de la femme qui fait glisser ses pieds pour écarter les jambes. Mais pas assez pour Francis qui tape un peu plus fort pour qu'elle écarte plus.
Ensuite, il se positionne à côté d'elle et recommence à parler aux hommes comme pour présenter Christine :
- Je pense que vous êtes tous d'accord pour dire que Christine est une belle chatte.
Il attend que ses employés répondent. Finalement, un des hommes, un des plus grands et des plus jeunes, brisent le silence gênant :
- Oui sur! Elle est splendide pour son âge. Et ce look lui va sûrement mieux que ses costumes tailleurs de marque.
Libérés, tous les autres commencent à s'exprimer. Certains choisissent de commenter ses seins. Mais tous sont d'accord avec leur jeune collègue pour dire qu'elle semble mieux dans ce rôle que dans son emploi précédent.
Francis sourit en comprenant que son plan fonctionne. Il déclare :
- Oui je suis d'accord. Les costumes qu'elle portait auparavant ne valent pas ceux qu'elle porte maintenant. Je vais vous expliquer comment va fonctionner l'incitation au travail. Pendant le 1er mois, je regarderai le taux de production à chaque fin de semaine et si je suis satisfait, Christine sera à l'entrepôt dès le lundi matin et y restera jusqu'à ce qu'elle ait donné à chacun de vous votre récompense hebdomadaire.
Le patron regarde tous ses employés qui sourient et continuent à regarder les seins et la chatte de ma belle-mère.
- Il reste trois mois pour finir ce contrat. Pour le premier mois, l'incitation au travail sera donnée par la bouche volontaire et très capable de Christine.
En parlant, Francis met ses doigts dans la bouche de ma belle-mère. Il lui ordonne ensuite :
- Tournez-vous et penchez-vous mais laissez vos jambes bien écartées. Puis écartez vos fesses.
Christine obéit et montre ainsi son intimité à tous les hommes.
- Le deuxième, ce sera la chatte chaude et humide de Christine qui délivrera la récompense.
En même temps, le patron enfonce un puis deux doigts dans le vagin de son employée et commence des va-et-vient.
- C'est fou! S'exclame quelqu'un dans le groupe.
Mais Francis poursuit :
- Oui ça peut sembler dingue mais trouvez-moi une autre entreprise qui remerciera de cette façon ses employés qui respectent les délais. Ceux qui ne sont pas d'accord peuvent partir s'ils le veulent.
Mais personne dans le groupe ne bouge ou ne dit mot. Alors le patron continue :
- Donc, si vous passez les deux premiers mois avec succès, Christine s'assurera que vous restiez efficace le troisième mois en vous offrant son petit trou du cul bien serré. N'est-ce pas Christine?
Il enfonce un doigt dans le rectum de la femme qui gémit et répond :
- Oui Monsieur MULLER.
- Colin! Interpelle Francis en regardant l'homme au gilet vert.
- Ouais! Dit l'homme en ajustant le renflement dans son jean poussiéreux.
- Vous n'êtes pas timide? Demande Francis en retirant son doigt du cul de ma belle-mère tout en lui indiquant de se relever et de faire face au groupe.
- Vous me connaissez patron, je n'ai jamais été timide.
- Bien parce qu'en tant que chef d'équipe vous avez l'honneur d'être remercié en premier en totalité. Je veux que vous sachiez tous en regardant Colin, ce que vous pouvez gagner si votre travail est efficace.
Francis rit tout en poussant Christine vers l'avant. Elle se retrouve ainsi seule au milieu des huit hommes de l'entrepôt. Colin commence à dégrafer son jean tout en parlant à son patron :
- Vous savez Patron, Steve JARSON était un petit chef de merde, voilà pourquoi nous avons pris du retard. Mais je crois qu'avec cette chienne nous pouvons le rattraper.
- Oubliez JARSON maintenant. Il est parti. Tout ce qui me préoccupe c'est ce contrat. Et je veux vous motiver à le remplir.
- Ne vous inquiétez pas Patron, ça va aller. Déclare Colin.
Il baisse son jean devant Christine, la regarde dans les yeux puis lui dit :
- Allez, à genoux et donne-moi une partie de la récompense promise.
Ma belle-mère le regarde brièvement puis s'agenouille sur le sol en béton froid et poussiéreux.
Quelques cris d'encouragement des ouvriers fusent pour leur chef d'équipe. Christine baisse le boxer de Colin sur ses chevilles. Quand elle relève la tête, la bite frappe le dessus. Elle s'écarte légèrement puis regarde l'engin fixement.
Cette queue fait environ 18 centimètres de long sans être trop épaisse ce qui fait ressortir son gland qui semble anormalement gros par rapport au reste. Les poils de l'homme sont touffus, ses couilles sont grosses et pendent bien en dessous de sa bite. Elles sont surement remplies de sperme.
Christine regarde ce sexe pendant 20 secondes. Le silence inonde l'entrepôt, dix paires d'yeux regarde la femme qui regarde la bite de Colin puis les visages souriants des hommes qu'elle devrait satisfaire les mois suivants. Enfin, avec sa main droite, elle saisit le sexe dressé juste en dessous du gland et le serre avec ses doigts fins.
Elle baisse sa main afin de rouler le prépuce et dégager la tête de la bite. Le contremaître ferme ses yeux et commence à grimacer de plaisir quand elle se met à pomper la queue. Elle accélère jusqu'à faire gémir l'homme qui dit :
- Enfer! Cette chienne ne va pas avoir assez des bites de mes garçons pour la satisfaire. Dit l'homme en se penchant pour enlever ses bottes, son jean et son caleçon. Un fois complètement libre de ses mouvements, il revient vers le visage de Christine, la queue tendue.
Au moment où il approche, ma belle-mère tend instinctivement la main afin de continuer de faire ce que lui demande son patron. Mais le contremaître la contourne et se retrouve derrière elle, face au groupe d'ouvriers. Sans avertissement, il tire ses cheveux.
- Aieee! Arghhh! Crie Christine.
Puis elle gémit alors que son dos est arqué vers l'arrière et ses seins poussés en l'air.
Tandis qu'une main de l'homme tient fermement les cheveux, l'autre commence à errer sur la grosse poitrine de la femme. Colin roule les mamelons entre ses doigts puis il les tire durement. A la lecture des histoires précédentes, vous savez que ma belle-mère aime avoir ses tétons tirés. Ça la fait gémir et montre son excitation à ses partenaires.
- Cette salope aime que l'on joue avec ses mamelons les gars! Dit le contremaître en s'acharnant sur les tétons, arrachant ainsi d'autres gémissements de Christine.
Content de ce qu'il fait subir à cette femme et heureux d'avoir trouvé une de ses faiblesses, Colin prend sa queue dans sa main et commence à gifler le visage renversé de Christine. Il frappe le front, les joues, le nez, le menton et la bouche.
- Caresse ta chatte! Ordonne-t-il en relâchant ses cheveux et en se replaçant devant elle, les jambes bien écartées pour que ses collègues aient une bonne vue sur les doigts de Christine jouant avec son sexe.
- Maintenant, ouvre ta jolie bouche!
Ma belle-mère obéit et ouvre ses lèvres humides. Colin se précipite en avant et pousse sa bite dans la bouche accueillante. Les hommes derrière lui poussent un cri d'encouragement l'encourageant à continuer. Le contremaître prend la tête de Christine à deux mains et il commence à pilonner son visage comme s'il s'agissait d'une Chatte. Ma belle-mère se contente de serrer les lèvres sur la queue et le laisse utiliser sa bouche comme il le veut.
Sa respiration devient courte et rapide par le nez. Quand l'homme sort son engin, elle en profite pour prendre une grosse goulée d'air avant qu'il ne réinvestisse sa bouche. Pendant ce temps, une main entre ses jambes titille son clitoris puis elle glisse trois doigts de l'autre dans son vagin et commence à le pomper.
- Quelle grosse salope! je n'ai jamais vu une telle chienne. Déclare l'un des hommes en appuyant sur la bosse dans son jean.
Cette réflexion me fait regarder la ligne d'hommes. Tous ont une bosse dans leur pantalon et ils n'arrêtent pas de bouger d'un pied sur l'autre.
Après avoir donné encore sept ou huit coups brusques dans la gorge ouverte, Colin s'arrête, regarde autour de lui et dit en riant :
- Vous allez aimer cette bouche.
L'homme se dirige vers les palettes où ses hommes sont appuyés. Ceux-ci s'écartent et se mettent en arc de cercle. Colin regarde Christine encore à genoux où il l'a laissée et lui demande :
- Pourquoi ne continues-tu pas à caresser ta chatte?
- Désolé. Répond-elle rapidement.
Immédiatement, ses mains retournent sur son sexe. Sa réponse montre sa soumission. Je suis sûr qu'aucun des hommes présents, hormis Francis, ne savaient qu'elle l'était autant.
- Viens vers moi mais continue à travailler ta chatte. Demande Colin.
Ma belle-mère se lève maladroitement et s'approche du groupe d'hommes, les genoux légèrement pliés afin de pouvoir d'une main continuer à pomper son vagin tandis que l'autre titille son clitoris.
Je regarde et pense qu'il est très humiliant pour Christine de traverser l'entrepôt dans de la lingerie érotique, tout en se doigtant devant huit ouvriers dont un va bientôt la baiser devant tout le monde.
Dès qu'elle arrive vers le contremaître, celui-ci l'attrape par les cheveux et tire sa tête en bas vers sa bite. Une fois encore elle ouvre la bouche et accepte le membre dressé, tout en trébuchant et en tendant une main vers la taille de l'homme pour se retenir.
- Garde tes mains sur ta chatte! Aboie l'homme.
Il enfonce sa queue tout au fond de la gorge de ma belle-mère. Tous ses hommes regardent, avec un renflement évident dans leur pantalon. Ils savent que tous les lundis pendant un mois, ils pourront aussi profiter de la bouche de Christine.
- Sur le dos sur le tas de palettes! Ordonne Colin en la repoussant.
Ma belle-mère retrouve son équilibre et relève la jambe droite sur la palette. Puis, avec l'aide de Colin qui la pousse, elle monte, se retourne et s'allonge sur le dos.
Elle voit que sept paires d'yeux la regardent et que sept grands sourires s'affichent. Elle crie de surprise quand le contremaître prend ses jambes et l'attire vers lui.
Mais l'homme se rend compte qu'elle est trop haute.
- Merde! suce ma bite! Dit-il en la descendant du tas de palettes.
Puis il ajoute :
- Lad, Enlève une palette de ce tas.
Instantanément, l'ouvrier obéit à son chef et retire une couche du tas de palettes.
Une fois encore, Colin retire son membre de la bouche de Christine. Il la redresse et la pousse jusqu'à ce que son cul tape la pile de palettes. Elle met ses mains sur le dessus et se soulève puis glisse sur la palette du dessus jusqu'à ce que l'intérieur des genoux tape le coin en bois.
- Ahhhh! Crie-t-elle en sentant une paire de mains ou deux mains différentes se poser sur ses épaules pour l'obliger à s'allonger sur le dos. Elle lève les yeux et voit sept visages souriants. Puis elle regarde vers le bas et voit Colin s'approcher souriant et caressant sa bite.
Le contremaître prend chaque jambe de la femme et fait en sorte que chaque pied soit posé à plat sur les coins de la palette. Ensuite il écarte ses genoux, montrant ainsi pour la première fois, l'humidité de la fente intime de Christine. Des cris d'approbation retentissent autour de la palette. Colin soulève un peu les fesses de la femme et la tire vers lui si bien qu'elle se trouve dans une position un peu inconfortable. Ma belle-mère gémit de cette position.
Mais un instant plus tard, l'inconfortable position est oubliée quand la bite du contremaître ouvre avec facilité les lèvres de la chatte humide. L'homme continue à pousser et son engin disparait à l'intérieur du vagin détrempé. Quand ses hanches butent contre la femme, il s'arrête, la regarde, puis regardent ses hommes et dit :
- Oh les gars, je vous le dis, vous allez respecter les délais car la chatte de cette chienne vaut le coup.
Puis, sans finesse, sans penser à la position inconfortable de ma belle-mère, il commence à la marteler durement et rapidement. Un flux constant et régulier de gémissements et de râles sortant de la bouche de Christine remplit l'air avec les bruits de claquements des cuisses de Colin contre le cul féminin.
Le reste d'entre nous est silencieux en regardant et écoutant les « ah, oh, oh, arghh, ah, oh,ooohh... ».
Sans se reposer, Colin garde son rythme effréné, et enfonce sa queue encore et encore au plus profond de Christine. Quand je la regarde, je m'aperçois sur son orgasme est proche. Effectivement, moins de deux minutes plus tard, un long cri aigu suivi d'un grondement sort de sa bouche et de ses dents serrées. Sa tête se balance de droite à gauche alors que ses yeux roulent dans leur orbite. Son dos se soulève et sa chatte cherche à être encore pénétrée plus loin. Les jambes de ma belle-mère s'enroulent autour de Colin et le serrent pour l'attirer au plus profond d'elle. Par expérience je sais aussi que les parois de son vagin serrent la bite en elle.
- ARGHHHHHH, je jouiiiiiisssss. Crie-t-elle.
Tous les hommes ont commencé à la traiter de pute, salope, chienne, l'excitant encore plus, sa chatte se contractant sur la queue de l'homme.
- Putain les gars, cette chienne est une vraie salope avide de sexe. Dit Colin.
Alors que son orgasme est passé, les jambes de Christine retombent de chaque côté du contremaître qui dit alors :
- Remets tes pieds sur la palette.
Il attend qu'elle reprenne la position initiale puis il recommence à la baiser avec la même force et vitesse qu'avant. Mais cette fois ci les bruits de leurs corps qui s'entrechoquent sont composés de bruits humides de succions tellement la chatte de ma belle-mère est humide.
Colin n'est pas le premier et ne sera surement pas le dernier à faire des commentaires sur le comportement vicieux de ma belle-mère. Je devine que 80 % des quarante ou cinquante bites ayant utilisé la chatte de Christine en ont donné la même description.
- Hey Francis! Appelle Colin sans s'arrêter.
- Oui Colin? Répond le patron en se déplaçant pour voir le contremaître.
- Mes hommes souffrent de leur membre du bas si vous voyez ce que je veux dire. Etant donné qu'ils ont vu la marchandise que vous offrez, ne serait-il pas normal que cette salope voit ce qu'il l'attend ces prochains mois?
Il continue à pistonner la femme qui approche d'un nouvel orgasme.
- Ok les gars, vous pouvez décompresser pour être mieux mais vous ne touchez pas. Dit Francis.
Dans les dix secondes qui suivent, sept bites jaillissent des pantalons. Les hommes font tomber leur jean et leur boxer sur leurs chevilles. Le tableau de toutes ces queues est assez impressionnant. Tous les hommes de l'entrepôt sont très bien montés et je souris à l'idée que ma belle-mère allait être bien remplie au cours des prochains mois.
- Regarde toutes ces queues! Dit colin en continuant ses va-et-vient rapides.
Christine regarde à gauche et à droite les sept grosses bites dans les mains de leur propriétaire qui autrefois la respectaient. Elle dit dans un sanglot :
- Oh mon Dieu, elles sont tellement grosses.
Puis elle crie encore de jouissance tandis que le contremaître tient ses jambes écartées et continue de nourrir sa chatte avec de grands coups de reins.
Après qu'elle ait inondé sa bite une deuxième fois, Colin la ressort avec un gros « slurp ». Il dit :
- Je suis content que nous ayons de telles encouragements Francis. Je suis certain que nous allons respecter les délais jusqu'à la récompense finale.
Il saisit les jambes de Christine et les pousse vers sa tête en lui demandant de les tenir. Elle obéit et il dit alors :
- Tiens bien tes jambes contre ton corps salope afin que je puisse pénétrer ton petit cul serré.
Evidemment ma belle-mère respecte les ordres et offre bientôt un accès facile à son cul pour Colin.
Il y a quelques temps, j'aurais dit que Colin avait accès à son trou le plus privé. Mais je pense que ma belle-mère réalise aujourd'hui que plus rien de son corps n'est privé. Elle en a perdu le droit le jour où elle a pris ma bite dans sa bouche dans ma chambre.
Je la regarde, content et excité, alors qu'une autre bite se présente à l'entrée de son anus. Après un peu de pression de Colin, je vois sur le visage de Christine que le passage s'est ouvert et qu'elle a accepté la queue de l'homme.
- Oh mon Dieu oui. Gémit-elle.
Colin pousse toute la longueur de son sexe à l'intérieur de l'anus tout en se penchant en avant et en écrasant les jambes de la femme contre sa poitrine.
- Tu as un cul merveilleusement serré. Dit l'homme à Christine en la regardant entre les jambes, un sourire vicieux sur son visage.
- Merci Colin. Halète-t-elle.
- Veux-tu que je baise ton cul de salope maintenant?
Au ton qu'il prend, je me rends compte qu'il se complaît dans l'autorité qu'il a maintenant sur Christine après quelques années à avoir suivi les ordres qui descendaient de son bureau plus haut.
- Oui s'il vous plaît Colin. Halète-t-elle encore.
Quelques hommes l'encouragent aussi :
- Vas-y, encule cette salope, dis-nous si elle vaut le coup.
Colin ne se la fait pas dire deux fois. Il ressort un peu son sexe puis il donne un grand coup de reins.
- Argggghhhhh! Hurle ma belle-mère.
Son premier coup de rein a enterré profondément sa bite entre les fesses de la femme.
- Arghhhhhhhhh! Crie-t-elle encore alors que le second coup de rein la laboure.
- Arggghhhhhhhhhhhhhhh! Hurle-t-elle pour la troisième fois alors que le contremaître plonge profondément sa bite dans le cul de Christine qui commence à jouir.
- OHHHH, Oui, oohhhhh, oui, oui ouiiiiii, je jouiiiis salaud. Crie ma belle-mère sous l'effet de l'orgasme alors que Colin ne faiblit pas.
Il continue de la baiser alors qu'elle jouit. Il est visible pour tous les hommes présents que la chatte déjà détrempée de ma belle-mère continue à couler de plus belle. Son jus s'échappe de ses petites lèvres et dévale les plis de sa chatte jusqu'à son cul où le contremaître continue à la pilonner.
Les sept hommes autour de Christine se branlent. Elle l'a vu et regarde chaque queue puis le visage de son propriétaire. Quelques ouvriers lui demandent si elle aime ce qu'elle voit. Elle hoche la tête et se mord les lèvres pendant que Colin continue à la sodomiser. Elle jette la tête en arrière et gémit à nouveau.
- Oh merde, je vais jouir à nouveau, oh mon Dieu, oh mon Dieuuuuuu. Crie-t-elle pour le deuxième orgasme qui traverse son corps dans les trois minutes.
Je ne pense pas que c'est du seulement à la bite de Colin car elle avait déjà été baisée par plus gros. Mais les russes qui l'avaient prise plus tôt, l'enculage brutal du contremaître, l'excitation de voir sept hommes se branler étaient surement la cause de ces orgasmes accélérés.
Colin donne l'impression de baiser la femme depuis plusieurs heures mais cette scène sordide ne dure que depuis 45 minutes. Le contremaître montre qu'il est bientôt prêt à se vider. Ses coups de reins ralentissent.
Donc ce n'est pas une surprise quand il dit à Christine qu'il va éjaculer dans son cul et que, comme une bonne pute elle le pria de se vider dans son rectum.
- Prends ça salope, ahhhhhhh! Dit-il en la pénétrant une dernière fois et en se vidant.
Il attend un petit moment d'être complètement vidé. Tout le monde s'est arrêté de parler jusqu'au moment où un des hommes dit qu'il va jouir. Alors Colin se retire du cul béant. Avant qu'il puisse dire quelque chose, Francis dit :
- Allez les gars, venez gicler sur elle. On dira qu'il s'agit d'une prime d'encouragement de début.
Il y a un moment d'excitation grandissant alors que les hommes se bousculent pour se présenter sur ma belle-mère. Les deux plus grands et plus jeunes se déplacent rapidement pour se positionner entres ses jambes. Ils prennent chacun l'une d'elle pour la positionner sur leur épaule. Les autres gars se positionnent vers sa tête et sur les côtés. Tous se branlent furieusement. Mais le plus vieux, qui avait indiqué être prêt à jouir, gicle son sperme sur le ventre de Christine.
Il s'éloigne pendant que les autres continuent à se masturber. Et sur une période de quatre à cinq minutes, une pluie de sperme chaud tombe sur le corps féminin. Les seins, le cou et le visage sont couverts et collants. Les deux jeunes garçons ont éjaculé sur sa chatte, son cul et ses cuisses. Après que chaque homme se soit libéré, ils se sont éloignés, laissant ma belle-mère allongée sur la palette, fatiguée et complètement humiliée et couverte de sperme.
Pendant que les hommes se rhabillent, Francis s'adressent à eux :
- Je considère que vous avez accepté notre accord?
Je n'ai pas compris pourquoi il leur demandait car ils l'étaient bien sûr.
- Je pense que chaque lundi matin, Christine descendra et attendra dans le petit bureau là-bas. Dit-il en montrant une petite pièce dans le coin.
- Ce sera plus discret. Maintenant c'est à vous de voir comment vous vous organisez. Je laisse le soin à Colin de régler les problèmes. Maintenant, si vous êtes d'accord, je vérifierai les chiffres dimanche et si tout va bien, Christine sera là lundi matin à 10 heures.
Francis se tourne vers moi, me fait un signe de tête vers la sortie.
- Viens salope! Dis-je à ma belle-mère qui finit de boutonner son chemisier sur son corps couvert de sperme et qui essuie son visage avec un chiffon trouvé sur le sol.
A suivre...
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