dimanche 15 décembre 2024

Auto-stop en enfer Ch. 05

 Traduction d’un texte de Grandflasher C.

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La prison et ses détenus.

Trente minutes plus tard, Amy se tient debout, nue comme un ver, avec seulement ses bottes de cow-boy, au milieu du commissariat du comté de Stanton. La policière Mandy Thorn avait fait monter la jeune fille de dix-huit ans dans son véhicule de police. Elle avait mis ses affaires dans le coffre. Le trajet s’était passé sans incident, mais il était dans la direction opposée à Belmeade. La jeune blonde stupéfaite réalisait qu’elle s’était faite sodomisée par cinq étudiants et qu’elle avait sucé la bite d’un policier idiot pour seulement retourner sur ses pas. Elle n’irait nulle part à cette allure.

Donc, la jeune fille se retrouve au poste de police, reluquée par cinq ou six policiers. Elle est mortifiée. Non seulement elle est complètement nue, mais l’adolescente est couverte de sperme qui a coulé de son trou du cul sur l ‘intérieur de ses cuisses. Elle a aussi du sperme sur le visage et dans ses cheveux sûrement. Le foutre est en grande partie sec, mais il est toujours visible.  Et bien sûr, Amy ne peut pas s’essuyer, car ses mains sont toujours menottées dans son dos. En fait, la jeune blonde ne peut rien cacher de son anatomie à part son cul. Ses seins massifs avec des mamelons en érection et sa chatte nue sont clairement visibles du public.

Et le public est assez nombreux au commissariat. Presque tout le monde s’est arrêté lorsque Mandy a amené la jeune blonde, les seins ballants et se mordant nerveusement la lèvre inférieure. Amy ne s’est jamais aussi embarrassée auparavant, et sa honte augmente quand la policière lit les charges retenues contre elle à l’officier de permanence.

- Son nom est Amy Hutchens. Elle est arrêtée pour auto-stop, sodomie avec cinq hommes et fellation criminelle d’un autre homme ! Dit Mandy bien fort afin que tout le monde puisse entendre.

La jeune blonde devient encore plus rouge qu’avant. Elle sent une bonne douzaine de regards posés sur elle. Elle n’a jamais été aussi humiliée de sa vie.

Le policier de permanence, un homme gros et chauve d’une cinquantaine d’années sourit :

- Vous l’avez attrapée ! Bien, donnez-moi ses affaires !

L’homme a du mal à ne pas fixer la poitrine ou la chatte de la jeune fille. Mandy tend les affaires d’Amy avant de lui jeter un regard et dire :

- Putain, Demande à Phil de lui donner une douche avant de la mettre en cellule. Elle est dégueulasse cette fille !

- Quel chanceux ! Marmonne l’officier de permanence avant de crier :

- Phil ! Viens ici !

Amy ne peut s’empêcher de crier :

- Des vêtements ! Vous allez bien me donner des vêtements pour me couvrir ?

L’homme fouille son sac à dos, puis lui fait un clin d’œil :

- Ne t’inquiète pas, je vais te trouver quelque chose à mettre quand tu seras passée sous la douche. 

L’adolescente déglutit quand un flic maigre d’une quarantaine d’années s’approche d’elle avec un sourire vicieux sur le visage.

- C’est mon tour de nettoyer les vagabonds, hein ?

L’officier Phil conduit Amy dans les cachots du poste de police. Après avoir passé de nombreuses portes fermées à clé, descendu un escalier, et être passé devant la seule cellule qui est très grande et qui contient quelques hommes, Phil s’arrête pour chercher des clés. Les prisonniers sifflent et reluquent la jeune fille.

- Hé bébé, tu veux faire la fête avec nous ?

- Tu veux me lécher le cul, ma jolie ?

- Viens donc chérie, que je te montre ma grosse bite noire !

Il y a huit hommes dans la cellule, et ils ont tous l’air sales et brutaux, des péquenauds à coup sûr. La plupart sont blancs, mais il y a des noirs aussi. Ils bavent en fixant Amy et lui crient des perversités alors que la jeune fille leur tourne le dos en essayant de cacher ses fesses nues avec ses mains entravées. C’est alors qu’elle remarque que cinq policiers les ont suivis. Apparemment ils n’ont rien à faire et veulent profiter du spectacle.

Après avoir déverrouillé la porte, l’officier Phil conduit Amy dans un étroit couloir. Les autres policiers suivent. La jeune fille est soulagée de ne plus être en vue des prisonniers, mais elle commence à ressentir une boule qui se forme au creux de son estomac. Phil l’arrête alors qu’ils entrent dans une salle de douche de taille moyenne avec plusieurs douches. L’espace est assez grand sans de cabines fermées. Le long du mur sont alignés cinq pommeaux de douche. Toute la pièce est carrelée de blanc, mais elle est délavée et vieille. Les autres policiers s’appuient contre un mur à l’entrée et ils sourient.

Phil déverrouille les menottes d’Amy avant de se diriger vers un côté de la pièce où se trouvent un tablier, des gants et des bottes. 

- Enlève tes bottes, petites ! 

Il commence alors à se changer. En soupirant, l’adolescente n’a pas d’autres choix que d’obéir. Elle enlève ses bottes de cow-boy et se retrouve totalement nue devant les six policiers. Elle n’a pas besoin de se couvrir, mais machinalement, après avoir frotté ses poignets, elle couvre sa poitrine et sa chatte avec ses mains.

Entre-temps, l’agent Phil a enlevé sa chemise (il porte un marcel blanc dessous) et a enfilé le lourd tablier en latex. Il a ensuite enfilé les bottes en plastique épais, mais il décide de ne pas mettre les gants. Il ordonne alors à Amy :

- Bien chérie ! Va te mettre sous la douche la-bas !

Les cinq policiers qui regardent commencent à rire et à chuchoter. L’adolescente obéit et se place sous le pommeau de douche. Confuse, elle demande :

- Vous voulez que je me douche ?

Phil l’ignore et ramasse un tuyau sur le sol. Il le met en marche et asperge la jeune blonde d’une eau particulièrement froide. Choquée, Amy pousse un cri, mais ne peut rien faite d’autre que de se tourner et laisser l’homme faire. Bientôt elle est trempée de la tête aux pieds. Elle crie :

- Arrêtez !

La jeune blonde cligne des yeux, aveuglée quelques secondes, avant de se rendre compte que l’homme est en train de faire mousser du shampoing sur ses cheveux. Elle est trop abasourdie pour faire ou dire quoi que ce soit. Alors elle le laisse faire.

Phil sent la confusion d’Amy et il glousse :

- J’ai le travail le plus merdique ici, je dois nettoyer les ivrognes et les clochards. Tu sais, quand ils ont vomi ou chié dans leur froc. Mais aujourd’hui, j’ai le plus beau boulot du monde.

Il se lèche les lèvres et il ouvre le robinet de la douche pour laisser couler l’eau chaude afin de rincer les longs cheveux blonds. Après quelques minutes, les cheveux sont propres et Phil ferme la douche. Il sort une bouteille de savon liquide et il en verse sur la poitrine de la jeune fille. Le savon glisse rapidement sur le corps féminin. Phil met ensuite un peu de savon dans ses paumes et il commence à faire mousser ses mains en regardant la poitrine avec envie. Amy est sidérée, elle s’écrie :

- NON ! Je peux me doucher toute seule !

Phil rigole et répond :

- Je ne peux pas te laisser faire ! Mandy a dit que tu étais une fauteuse de troubles, alors je dois être sûr que les choses seront bien faites.

- NO…. AHHH ! Crie Amy.

Les mains savonneuses du policier commencent par les seins en les tripotant de façon obscène au grand amusement de ses collègues. Amy plaide :

- Mais… Mais… je ne suis pas ivre… Je n’ai pas besoin d’aide pour… OOOHHHHH !!!

Un des policiers demande :

- Ce sont des vrais, Phil ?

Celui-ci pince impitoyablement les tétons entre ses doigts et il répond :

- Cent pour cent des vrais, les gars ! Ils sont magnifiques !

Il les claque pour montrer à ses ais comment ils rebondissent de façon naturelle.

- Mon Dieu, ce sont des nichons vraiment énormes pour une si petite gamine ! Espèce d’enfoiré chanceux !

S’amusant énormément, Phil joue avec la poitrine d’Amy pendant cinq bonnes minutes avant de dire :

- Voilà c’est propre et net !

Il s’agenouille et savonne le ventre et la taille de l’adolescente avant de caresser brièvement sa chatte. Tandis qu’Amy frémit à ce contact, il descend le long des cuisses et des jambes fines. Il fait un clin d’œil et dit :

- Je reviendrai à ta chatte. Je parie qu’elle est vraiment sale et qu’elle a besoin d’une attention particulière !

- Oh mon Dieu ! Murmure Amy.

Même si elle déteste cette situation et que des hommes pervers la regardent, son corps réagit malgré elle et il s’excite. Elle se sent bizarre d’être ainsi exposée, tripotée et caressée. Et le fait qu’un parfait inconnu la lave et fait courir ses mains et ses doigts sur tout son corps, lui procure des picotements dans la chatte.

Pendant ce temps, Phil s’applique sur les jambes fines de la blonde. Il utilise ses deux mains pour masser de haut en bas une jambe avant de laver l’autre. La peau d’Amy est incroyablement douce et souple et il aime particulièrement l’intérieur des cuisses. A chaque fois que sa main s’approche de cette jonction entre les jambes de la jeune fille, elle frémit à ce contact.

Au bout d’un moment, il en a marre de laver les jambes alors ses mains glissent vers la chatte sensible, faisant gémit l’adolescente. Le policier se dit qu’elle a la chatte la plus parfaite qu’il n’ait jamais vue. Il sait aussi que ses collègues l’envient en ce moment. Il savoure chacune des caresses qu’il donne à la jeune fille. Il explore chaque coin et recoin de l’intimité féminine avant de plonger ses doigts dedans. Au début, ses doigts ne pénètrent que quelques centimètres, mais bientôt il explore la grotte humide jusqu’au dernières phalanges.

- Lave-lui bien la chatte, Phil ! Dit un de ses collègues.

- C’est vraiment une petite salope ? Demande un autre.

- Oh putain oui, c’est une vraie salope, c’est sûr ! S’exclame Phil, complètement absorbé par son travail.

La sensation de cette chatte serrée et parfaite est incroyable, surtout quand il joue avec de manière si habile que la jeune blonde commence à gémir bruyamment. De temps en temps, Phil retire ses doigts, les trempe sans du savon liquide, puis les remet dans la chatte d’Amy. L’intérieur devient rapidement une bouillie mousseuse. 

La jeune fille n’est pas loin de jouir, mais avant qu’elle puisse le faire, le policier la fait tourner face au mur. Il lui fait tendre les mains pour qu’elle s’appuie et qu’elle soit légèrement penchée en avant, ses fesses pointant vers les autres policiers. Il commence lors à la savonner. Phil lui vide du savon sur le dos et les fesses. Il frotte le dos de la jeune fille en descendant vers le bas jusqu’à ce qu’il pétrisse le cul de l’adolescente, produisant ainsi une mousse abondante.

- Oh mon Dieu ! Gémit Amy, excitée par les doigts de Phil qui s’enfoncent dans le creux de ses fesses.

Elle est incapable de se contrôler alors que l’homme caresse ses deux orifices les plus sensibles. Elle commence à trembler sur ses jambes instables. Alors qu’elle jette un coup d’œil derrière elle, elle voit les cinq autres hommes la reluquer attentivement. A sa grande honte, sa chatte s’humidifie encore plus. 

Phil lui donne quelques claques vicieuses sur les fesses, ce qui provoque un cri de l’adolescente et des éclays de rire che les collègues policiers.

- Regardez ce putain de cul ! C’est la perfection absolue ! Quel cul !

-Je pense que tu devrais faire une inspection anale. Pour la sécurité des autres prisonniers bien sûr… C’est peut-être une petite criminelle sournoise… Nous devons prendre des précautions. Dit l’un des officiers.

Tous les gars rigolent à ces mots et Phil répond alors :

- Je crois bien que tu as raison, Carl ! La sécurité d’abord !

Sur ce, Phil place un doigt contre le sphincter de la jeune fille. La jeune fille sursaute d’incrédulité :

- OH MON DIEU NON !

Elle n’arrive pas à croire que ça va se produire à nouveau. Son trou du cul va être exploré une fois de plus. 

Le doigt de l’homme s’enfonce impitoyablement dans le trou du cul sans défense de la jeune fille. Elle crie sous la douleur résiduelle de s’être faite enculer plusieurs fois. Insensible à ses cris, Phil enfonce son doigt de plus en plus profondément. Puis il ajoute un autre doigt. Ses doigts épais glissent dans le cul d’Amy jusqu’à ce qu’ils soient complètement entrés. Puis il les bouge pour en retirer les preuves d’une sodomie profonde.

- Phil ? Comment est ce trou du cul ? Tu as trouvé des armes ?

- Putain merde, pas d’armes, mais c’est un trou du cul fraîchement baisé. Regardez tout ce sperme sur mes doigts, les gars ! Dit Phil en montrant ses doigts tachés de foutre.

Les cinq hommes se moquent à cette révélation tandis que la jeune blonde baisse la tête de honte. Elle ne dit rien, car, honnêtement, que pourrait-elle dire ? Et pendant les dix minutes suivantes, elle ne dit rien à part gémir sous les mains du policier qui la malmène.

Phil fait gicler du savon liquide dans son petit trou de façon brutale avant de planter le tuyau d’eau et de remplir ses entrailles avec le jet d’eau. Ensuite il la fait s’accroupir et vider le mélange écumeux et sale de fluides sur le sol carrelé. C’est terriblement inconfortable et humiliant pour l’adolescente qui se tortille alors que six hommes la regardent. Phil recommence alors l’opération jusqu’à ce que son trou du cul soit bien propre.

Après chaque lavement il inspecte le cul d’Amy en lui enfonçant un doigt dans le cul. Il le retire et l’inspecte avant de l’enfoncer à nouveau dans son cul. Le policier répète ces gestes encore et encore au grand désarroi de la blonde jusqu’à ce que le trou du cul bien utilisé ait bien passé l’inspection. A ce moment, la jolie blonde se tortille et ondule du cul. Elle se réjouit que Phil l’asperge d’eau pour un dernier lavage. 

- Voilà les gars ! Totalement propre ! Proclame Phil.

- Tu as de la chance ! Rigole un de ses collègues.

- Ouais ! Beau travail Phil ! Je suis sûr que tu as détesté chaque moment !

- Merde, Regardez cette salope mouillée. Elle va en prendre plein la vue !!

Amy est étourdie, mais elle réagit à la dernière remarque :

- Hein… de quoi parlez-vous ?

Elle regarde l’homme qui vient de parler et elle s’aperçoit que c’est un nouveau venu. Il vient probablement d’arriver dans la pièce. 

Alors que Phil sèche la jeune femme avec une serviette, il lève les yeux vers le nouvel arrivant et il demande :

- Alors Charlie, quelles sont les nouvelles ?

L’homme ne peut détacher ses yeux d’Amy.

- On a appelé son père. Il viendra demain pour payer la caution. Il a dit qu’une nuit en prison lui fera du bien !

Tous les hommes dans la pièce ricanent et rigolent. La jeune blonde repense avec horreur à la cellule avec les prisonniers.

- Oh mon Dieu, vous ne voulez pas dire que….

Charlie lui tend une paire de chaussures prise dans sa valise.

- Tiens ! Mets-les !

L’adolescente, complètement distraite dans ses pensées, prend les chaussures et les enfile maladroitement devant tous les hommes qui la regardent attentivement. Elle est sèche maintenant, seuls ses cheveux restent un peu humides. Elle remarque alors qu’on lui a donné ses chaussures préférées : une paire d’escarpins en cuir noir avec des talons de dix centimètres comme en portent les prostituées. Elle sait qu’elle est très sexy avec. Elle lève les yeux vers l’homme et lui demande, inquiète :

- Mes… Mes vêtements…

- je les ai laissés dehors, viens ! Dit Charlie en quittant la pièce.

Tous les policiers commencent à sortir de la pièce à part Phil derrière Amy. Celle-ci le regarde et soupire. Elle ne peut rien faire d’autre que suivre les ordres, alors elle sort de la pièce et se retrouve devant la cellule. Les huit prisonniers reluquent une fois de plus son corps nu. Les sept policiers entourent la jeune blonde. En lui jetant des vêtements, Charlie ordonne :

- Mets ça, petite !

Amy lève le vêtement au niveau de ses yeux et se rend compte qu’il a choisi l’habit le plus étriqué et le plus vicieux qu’il a pu trouver dans son sac. C’est une petite nuisette noire qu’un de ses ex-petits amis lui avait offert. Cette nuisette offre, avec ses fines bretelles, un décolleté vertigineux et couvre à peine sa chatte. Elle est faite de dentelle, mais on peut quand même voir ses tétons dressés en dessous. La nuisette est large et presque totalement transparente.

- Un soutien-gorge et une culotte ? Demande Timidement Amy.

Cette tenue est bien trop révélatrice pour son goût. Avec un grand sourire sur le visage, Charlie lui répond :

- Désolé petite ! Tu pourrais étrangler quelqu’un avec ça ! Tu vas devoir te contenter de ça ce soir !!

Abasourdie, Amy est bouche bée et rétorque :

- Vous vous moquez de moi !

- Plus de questions, mets-le ! Ordonne l’homme.

N’ayant pas d’autre choix que d’obéir, Amy enfile la nuisette. Elle se dit qu’une tenue légère est toujours mieux que rien. Elle reste immobile devant tous ces hommes, les mains cachant son entrejambe en se demandant ce qui va lui arriver ensuite.

L’un des policiers déverrouille alors la cellule et crie aux huit prisonniers :

- Reculez les gars ! Phil, amène la fille ici !

Les huit détenus obtempèrent avec joie. Ils ne peuvent pas détacher leurs regards de la jeune blonde si peu vêtue, si belle et si sexy. Ils ne peuvent croire à leur chance.

Amy se fige. Elle est vraiment effrayée en voyant les hommes pas très propres dans la cellule. Elle bégaie :

- Mon Dieu… Vous.. Vous n’êtes pas sérieux !! Vous… Vous voulez dire que je dois passer la nuit là-dedans ? Avec ces animaux !

Phil la prend par le bras et la conduit vers la cellule :

- Désolé, mais c’est le règlement ! Nous n’avons qu’une cellule, alors vas-y, petite !

Bien qu’elle essaie de résister, il lui apparaît rapidement que c’est inutile, le policier est trop fort pour elle. Il la jette dans la cellule et, à la grande horreur de la jeune fille, les policiers ferment rapidement la porte puis la verrouille. Ils regardent tous la blonde paniquée avec un peu de remords. Mais ils trouvent amusant de jouer avec cette adolescente.

- S’il vous plaît… Vous ne pouvez pas faire ça ! C’est… Oh mon Dieu… Vous ne pouvez pas me laisser là toute la nuit avec ces animaux. Ils vont me violer !!! Supplie Amy.

- Mmmm, tu aurais dû y penser avant de sucer la bite d’un homme et de te faire sodomiser par cinq gars, petite ! Dit Phil sévèrement.

Les huit prisonniers ne font pas de bruits en se regardant les uns et les autres avec étonnement. Ont-ils bien entendu ? Amy, les poins serrés sur les barreaux devant elle, jette un coup d’œil derrière elle et crie aux policiers qui s’en vont :

- ATTENDEZ !!! Il n’y a pas quelqu’un qui est censé nous surveiller ? Vous ne pouvez pas tous partir !!!

Mais tous les policiers quittent la pièce. La jeune fille se retrouve seule dans une cellule verrouillée avec huit hommes étranges, des ivrognes et des criminels qui sont soudainement heureux d’avoir été arrêtés ce jour-là.

Amy se retourne pour faire face à ses compagnons de détention. Elle couvre sa chatte et sa poitrine avec ses mains et elle dit :

- Attendez les gars ! Ce n’est pas vrai ! Les choses qu’a dites le policier ne sont pas vraies. Il voulait plaisanter !

L’adolescente essaie de sourire en débitant son mensonge, mais cela sonne faux même à ses propres oreilles. Puis elle voit que les hommes se déshabillent lentement. Elle écarquille les yeux en voyant leurs érections épaisse et longues, toutes prêtes pour elle.

- Oh mon Dieu ! Murmure-t-elle.

L’un des hommes noirs la fixe intensément :

- Quel est ton nom, blondinette ?

Amy se mord la lèvre inférieure et répond nerveusement :

- Am… Amy…

Le dos contre les barreaux de la cellule, effrayée, la jeune fille est lentement encerclée par les hommes nus. Certains d’entre eux caressent lentement leur bite.

- S’il vous plaît, arrêtez ! Ne vous approchez pas de moi !!!

Plusieurs détenus décollent l’adolescente des barreaux et elle se retrouve totalement entourée. Alors, huit paires de mains commencent à la toucher et à caresser sa jeune chair. C’est trop pour Amy. Elle n’arrive pas à comprendre tout ce qui lui est arrivée aujourd’hui : avoir été baisée ou sodomisée, avoir eu à sucer des bites. Elle ne comprend pas pourquoi tous ces hommes vicieux et lubriques ont abusé de son corps, le souillant avec des envies dépravée et avilissantes.

Et maintenant ça recommence. Seize mains sales et rugueuses, qui luttent pour trouver un passage, la tripotent et la caressent de partout. Des mains différentes se battent pour pincer ses tétons incroyablement durs, mais sensibles. Et c’est encore pire avec ses orifices. Des doigts se tortillent dans tous les sens en s’efforçant de violer sa chatte ou son cul.

- OH MON DIEU ! OH MON DIEU ! OH PUTAIN DE DIEU ! Crie très fort Amy.

Bientôt l’adolescente tient à peine debout. Mais cela n’a pas d’importance puisque les doigts des prisonniers qui s’enfoncent dans sa chatte et dans son cul soutiennent facilement le poids de la jeune fille.

Amy se débat, se tortille dans tous les sens. Son corps mince se contorsionne dans la chaleur émise par le mur de chair virile. Il y a tellement de doigts en elle qu’elle ne peut les compter. Et quand elle ouvre les yeux, elle voit des visages horribles, pleins de luxure et d’envie.

- Oh putain, regarde ce joli cul ! Tellement baisable ! Dit l’un des prisonniers en lui donnant une claque sur les fesses. 

- Hé mec, regarde ces gros nichons sur cette gamine ! Putain qu’ils sont gros ! Et ils sont vrais ! Je n’arrive pas à y croire, putain ! Dit un autre homme en pinçant les tétons si fort qu’elle ne peut éviter de laisser échapper un gémissement.

- Je me demande combien de bites cette salope a branlé entre ses mamelles !

- Je ne sais pas, mec. Mais elle va s’envoyer huit bites de plus ce soir ! Répond un autre.

Les huit détenus rigolent méchamment. Celui qui semble être le meneur dit :

- Et elle va faire plus que ça les gars ! Cette salope va prendre nos huit bites dans ses trois trous ! On va la baiser à fond !

Amy tremble d’être entourée de détenus très excités. Se retrouver la victime d’un gang-bang en prison n’est pas une chose qu’elle aurait pu imaginer. Puis sa situation devient une orgie sexuelle.

Les prisonniers commencent par mettre la jeune fille à genoux pour un tour de fellation avec chacune des huit bites. Amy ne sait combien de temps elle passe à sucer et branler ces queues poilues avec ses deux mains. Mais elle tourne en rond pendant ce qui lui paraît être une éternité. Ce n’est pas l’épaisseur ou la longueur des bites qui lui pose problème, c’est plutôt leurs goûts ignobles ou les odeurs horribles qui s’en dégagent. Plusieurs fois elle manque vomir. Toutefois l’adolescente ne peut faire autre chose que de s’occuper des sexes des huit détenus sans cœur.

Ensuite, les huit hommes commencent par baiser la chatte de la jeune fille. Ils la couchent sur le dos sur un banc, les jambes en l’air, puis ils forment une queue et donnent trois minutes à chacun. Amy est pilonnée violemment et rapidement. Et cela ne suffit pas à contenter les gars. L’un d’eux, après s’être retiré de sa chatte, positionne sa queue entre ses gros seins et ordonne à l’adolescente de les serrer fort pour bien envelopper sa bite dans la chair douce. Il ne peut retenir son plaisir :

- Oh putain de Dieu, les seins de cette fille sont incroyables !

Les autres rigolent.

- Super mec ! Je vais en profiter un peu après ! Dit l’homme costaud qui laboure la chatte d’Amy.

- Mon Dieu… Soupire la blonde en respirant bruyamment et en regardant l’homme qui abuse d’elle.

Après un autre tour, les prisonniers n’en ont toujours pas assez. Même en lui baisant la chatte et en se branlant entre ses gros nichons, ils en veulent plus. Le détenu qui bénéficie d’une branlette espagnole se déplace légèrement pour pouvoir introduire son engin entre les lèvres féminines réticentes.

- Ouvre salope ! Ordonne l’homme.

Amy essaie de résister, mais il est impossible que la bite du gars ne pénètre pas entre ses lèvres pulpeuses. Bientôt l’homme glisse dans et hors de sa bouche. La petite blonde engloutit contre son gré la chair d’un homme poilu en sueur. La chatte d’Amy jouit de manière incontrôlée. Elle crache son jus et les hommes se moquent d’elle. Ils choisissent d’ignorer sa jouissance et ils continuent de baiser sa chatte à un rythme torride. En même temps un homme se branle entre ses seins, maintenant perlés de transpiration et de différents fluides sortant de sa chatte. Un autre homme continue de baiser férocement sa bouche alors qu’elle essaie de la garder grande ouverte pour essayer de respirer.

L’odeur flottant dans l’air et cette sensation d’être écrasée par tant de chair masculine sont trop forts pour l’adolescente. Elle a l’impression d’être dans cette position depuis toujours. Mais au bout d’un moment, les détenus soulèvent la jeune fille, la tournent pour la mette à quatre pattes sur le banc. Et ils commencent par l’enculer. 

Amy est soulagée un moment par l’arrêt des assauts, mais elle pousse un cri strident quand le premier gars viole son trou du cul. Il la pilonne brutalement et les douces fesses de la blonde tressaillent joliment à chaque impact de la chair contre la chair. Après quelques minutes de sodomie effrénée, il met sa queue directement dans la bouche de l’adolescente.

Amy fixe l’homme avec un regard de tueur, mais elle ne peut rien faire d’autre que de le laisser faire. Le prisonnier attrape ses cheveux et baise sa bouche de toutes ses forces. Il est le premier à jouir, d’abord dans sa gorge, ce qui la fait étouffer, puis il se retire rapidement et projette le reste de son foutre sur le joli visage de la blonde. 

- OH NON !!! S’il vous plaît, NON ! Supplie-t-elle.

Elle ferme les yeux et sent le sperme chaud et collant éclabousser sur ses joues, son nez, ses yeux et son front. Quand elle ouvre les yeux à nouveau, le sperme dégouline le long de ses sourcils et la pique. Sa vue est brouillée. L’odeur lourde de la semence de l’homme lui imprègne les narines, mais elle peut voir que la queue est toujours braquée sur elle. Honteuse, elle réalise ce qu’elle doit faire, alors elle prend la bite entre ses lèvres pour lécher tout le foutre gluant et la nettoyer à fond. Enthousiaste, l’homme s’exclame :

- Oh oui putain ! Cette petite pute n’a pas besoin qu’on lui dise quand une queue a besoin d’être nettoyée !

Les joues d’Amy sont d’un rouge profond, mais elle continue à polir le membre rigide de l’homme avec ses lèvres. Elle récupère tout le sperme dans sa bouche. Puis elle lève les yeux vers le gars et lui montre la bouchée de foutre. Elle l’avale consciencieusement en espérant que c’est la dernière fois de la nuit que le détenu jouit.

Malheureusement pour la jeune fille, ce n’est pas le cas. Les autres détenus commencent à jouir eux aussi, certains entre ses lèvres comme le premier, mais d’autres dans son cul serré qui est devenu un tunnel de velours lisse et chaud. Quatre hommes déchargent dans le cul de la jeune blonde à son grand désarroi, un autre se contente de gicler sur son dos.

Mais les hommes savent qu’ils ont toute la nuit avec la jeune fille, et il n’est pas bien tard. Ils forcent Amy à les sucer pendant quelques heures alors qu’ils se reposent. Toutefois il y a une limite à ce que peut faire une fille avec sa bouche à un groupe de huit hommes. Après un certain temps, Amy a les mâchoires douloureuses. Alors la blonde commence à les baiser en les chevauchant, rebondissant sur leur bite jusqu’à ce que sa chatte convulse et qu’elle jouisse presque sans arrêt. A ce stade l’homme qui la baise saisit simplement ses fesses et la fait monter et descendre brutalement sur son membre dressé. Certains des détenus giclent au fond de son vagin , ce qui fait gémir la jeune fille de désespoir.

Puis le groupe d’hommes obligent la pauvre blonde à baiser leur bite avec son trou du cul en la faisant les chevaucher dos à eux. A ce stade, le corps de l’adolescente tremble continuellement et ses genoux ne peuvent plus la tenir. Sa peau lisse est perlée de sueur et sa chatte est complètement inondée. C’est tout un spectacle de voir la jeune fille écarter ses fesses pour descendre sur l’une des bites étincelantes, son sphincter se contractant et sa chatte débordante de foutre, la voir s’empaler sur la queue et pousser un cri alors que son trou du cul avale toute la longueur. Parfois elle baise elle-même la bite enfoncée dans son cul, mais la plupart du temps ce sont les détenus qui l’aident contre son gré.

De temps en temps, l’un des hommes jouit soit profondément dans son cul soit en l’obligeant à prendre l’engin dans sa bouche. En fin de compte ça n’a plus d’importance pour elle étant donné qu’elle doit toujours nettoyer les bites après leur éjaculation. Bientôt Amy n’a plus faim, son estomac rempli d’une grande quantité de sperme.

Au milieu de la nuit, tout le monde est en sueur, et les trois orifices de la jeune fille ont bien servi. Son jus coule sans cesse de sa chatte et se mélange avec le foutre de ses huit violeurs  pour former une mousse peu ragoûtante. Amy se demande combien de temps les détenus peuvent encore tenir ce rythme, mais elle réalise qu’ils peuvent faire des pauses alors qu’elle a toujours une bite à s’occuper. 

C’est à peu près à ce moment-là qu’ils décident de lui prendre le cul et la chatte en même temps. L’adolescente hurle de frayeur lorsqu’ils commencent à s’enfoncer dans ses deux trous déjà bien malmenés. En riant toujours, les hommes menaçant et toujours bien excités abusent de son cul et de sa chatte ensemble.

- OH MON DIEU… NON… NON… NON !!!! Crie Amy en sentant deux glands pénétrer ses deux trous.

- STOP ! Espèce de monstres… Vous n’en avez pas eu assez !!!!!

Les deux hommes ignorent simplement ses supplications et ils continuent leur assaut sexuel frénétique. Amy ressent alors des sensations qu’elle n’a jamais connues auparavant. Elle lutte avec les deux hommes alors que leurs énormes bites s’enfoncent plus profondément en elle. Elle sait qu’elle ne peut rien faire pour les arrêter. La sensation de ces deux bâtons durs qui étirent simultanément ses deux trous et qui s’enfoncent de plus en plus profondément en elle, est trop forte pour elle.

Elle jouit soudainement alors que les hommes la pénètrent complètement, jouissant du plaisir d’être dans des fourreaux chauds et doux.  Amy arque son dos, tend son corps et laisse échapper un gémissement profond tandis que son corps la trahit à nouveau, son jus jaillissant sauvagement de sa chatte.

- OOOOHHHHHHHH PUTAINNNNNN !

Le détenu costaud qui l’encule glousse dans son oreille :

- C’est ce qu’on appelle être au milieu d’un sandwich à la bite, chérie !

Sur ce, les deux hommes commencent à baiser la pauvre petite blonde jusqu’à ce qu’elle gémisse une fois de plus, impuissante face à l’assaut frénétique qui maintient son corps dans un état de jouissance continuel. Après un certain temps de ce double empalement, Amy est trop étourdie pour rester consciente. Un homme se retire de sa chatte et un autre prend sa place. c’est pareil pour son cul. Tantôt ils la baisent  en levrette, un homme dessous, un homme dessus, Tantôt elle est assise embrochée sur les deux bites, jambes écartées. Quelle que soit la position dans laquelle elle se trouve, les orgasmes s’enchaînent alors que les huit prisonniers la baisent encore et encore, sans relâche. 

De temps en temps, une bite se déverse dans son cul ou dans sa chatte, mais Amy ne s’en rend plus compte. La seule chose qui compte pour elle est de tenir bon, tandis qu’elle est parcourue de vagues orgasmiques constantes qui la font grincer des dents et trembler de tout son corps. Quelques fois, un des détenus met sa bite sale et dégoulinante dans sa bouche. Machinalement elle aspire le mélange qui recouvre la queue et elle s’applique à la rendre propre. Et pendant ce temps les hommes continue de profiter d’elle.

 ******

Le lendemain matin, le père d’Amy, furieux, vient la chercher au poste de police. Un policier le conduit à la cellule où les huit hommes en sueur, sales et épuisés dorment soit sur un banc, soit contre les barreaux. La jeune fille blonde est évanouie sur le sol. Elle est nue et ne porte que ses talons. Elle est couverte de sperme. En fait elle dort dans une flaque gluante. Et on peut voir clairement du liquide blanc et épais s’écouler des petites lèvres de sa chatte. Incrédule, le père d’Amy dit :

- PUTAIN ! Regardez cette petite garce blonde ! Elle est encore plus pute que je le pensais ! Merde, c’est une salope comme sa mère !

Gêné, le policier tousse et dit :

- Nous pouvons la nettoyer, ça ne prendra que vingt minutes.

- Non ! Je reviendrai demain pour récupérer cette petite pute, ça lui apprendra de s’enfuir de chez elle ! Assurez-vous qu’elle soit propre à ce moment-là ! Dit le vieil homme.

Puis il se retourne et sort en trombe de la pièce, l’officier juste derrière lui.

Amy ouvre les yeux en grognant et s’assoit dans la flaque de foutre. Est-elle en train de rêver ? Il lui semble avoir entendu la voix de son père, puis un policier qui disait à Phil de descendre pour lui faire prendre une douche, qu’elle restait encore un jour et une nuit. Ce n’est pas possible, non ? Elle regarde derrière elle et cligne des yeux, effarée. Les huit prisonniers lui sourient, l’air excité.

FIN. 

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