dimanche 22 mars 2020

Ecole privée Ch. 10

Ecole privée - - Soumission - chantage - récit érotique

18 - Sous la coupe des filles.

- Tu peux poser ton cul, salope. Personne ici ne va t'enculer, même si tu supplies. Remarqua Lydie.

Sa voix dégoulinait de mépris. Elle continua :

- Je savais que tu étais une honteuse salope quand tu m'as léché le cul et que tu as semblé aimer. Mais je ne savais pas que tu étais assez pute pour te faire baiser par tous les garçons. Imaginez, nous avons une putain comme professeure.

- Mais Lydie, tu ne peux pas parler de Mme POISTOUT de cette façon.

Cette voix calme appartenait à la belle et timide Valentine RIVIERE. Elle ajouta :

- Après tout c'est notre professeure.

Lydie sourit.

- Et alors? Que penses-tu qu'elle va faire? Nous faire échouer nos examens à toutes? Nous allons avoir les meilleures notes de tous les temps.

- Non nous ne pouvons faire ça. Interrompit Belinda.

- Éric a expliqué très clairement que quoi que nous fassions avec elle, nos cours et nos notes n'ont rien à voir avec ça. C'est lui qui a mis ça en place. Il la contrôle et a dit que nous pouvions avoir tout le plaisir que nous voulions avec elle, mais elle ne nous fournira pas de bonnes notes sans travail pour notre dernière année.

Puis elle ajouta en souriant :

- Remarquez qu'elle est toujours notre putain.

- Je dis toujours que nous ne pouvons pas traiter notre professeure de cette façon. Affirma Valentine.

- Allez Valentine, c'est amusant et je suis sûre que Mme POISTOUT sait qu'elle est une salope et qu'elle ne le dit pas. En plus j'en ai marre de jouer toute seule avec ma chatte. C'est plus agréable de l'avoir elle pour se faire lécher. Je ne sais pas pour vous les filles, mais le spectacle m'a laissée complètement excitée. Allez, lèche-moi la chatte!

Katia baissa sa culotte et écarta les jambes.

- Katia! Comment peux-tu? Ici devant nous! Cria Valentine.

Rose l'interrompit.

- Oh arrête Valentine, nous avons vu les chattes de chacune dans les vestiaires et sous les douches. Et n'oublie pas que nous partageons la même chambre. Je sais que tu te masturbes parfois et tu sais que je le fais aussi. Alors où est le problème? Et puis regarde notre petite lécheuse de chatte. Elle ne partage pas tes objections.

Tous les yeux se tournèrent vers Anne, déjà occupée, la tête sous la jupe de Katia, et la langue sur son clitoris.

Belinda sourit et dit :

- Eh bien, au moins maintenant, elle se souvient à quoi sert sa bouche. Mais une chose dont je me rappelle, il ne s'agit pas de l'avoir à notre service, ce qui, je suis sûr, sera son but à l'avenir, mais bien de la punir de ne pas se souvenir qu'elle peut être utilisée pour lécher des chattes au lieu de simplement sucer des bites.

Bon sang, mais elle ne pouvait pas savoir que les filles étaient là et elle n'avait pas voulu dire aux garçons ce qu'elle avait fait avec Belinda et Éric, et encore moins ce qui était arrivé avec Katia et Lydie. Maintenant elle allait être punie par les filles.

- Alors que faisons-nous avec Mme POISTOUT? Demanda Rose.

Belinda répondit en souriant :

- Tout d'abord nous nous assurons que tout le monde réponde à son nom. Katia, tu pourras l'avoir plus tard, mais pour le moment nous voulons toutes nous amuser. Viens ici salope!

Anne hésita un moment en espérant que Katia proteste. Au moins, cette fille était très gentille avec elle, et de plus, tant que son visage était caché sous la jupe, elle n'avait pas à les affronter toutes. Mais aucune protestation ne s'éleva. Katia commença à fermer ses jambes, et, à contrecœur, Anne s'éloigna et fit face à Belinda. La jeune fille tenait un marqueur dans sa main. Elle s'approcha d'Anne. Celle-ci, sans baisser les yeux, put deviner ce que l'étudiante écrivait sur sa poitrine. Belinda dit alors :

- Voilà! Et quiconque l'appellera maintenant Mme POISTOUT devra payer une amende. Comme ne pas avoir sa chatte léchée pendant une heure. C'est une salope, après tout c'est ce qu'elle a dit, et même vingt-cinq fois.

Dans la joie générale Belinda s'assit.

- Bon pourquoi pas laisser chacune d'entre nous faire une suggestion. Je suis sûre que nous allons toutes profiter des idées des autres. Et toi la salope, vas t'agenouiller dans le coin et couvre tes oreilles. Nous voulons te surprendre.

Anne fit comme elle lui avait dit. Son corps entier était toujours blessé. Elle était incertaine sur ce qu'était le pire pour elle, la douleur physique et l'humiliation d'être utilisée par tous ses élèves, ou la perspective de subir plus de punition et être ensuite baisée par tous les garçons. Elle posa volontiers ses mains sur ses oreilles pour tenter de résoudre son problème. Comment en était-elle arrivée là? Elle savait qu'elle était si profondément plongée dans sa situation qu'il n'y aurait aucun retour en arrière, si elle voulait continuer de travailler. Elle aimait cette école avec ses professeurs et elle se voyait rester ici. Mais d'abord elle devait passer cette année, d'une manière ou d'une autre? Ça allait être une longue année. Une main toucha son épaule.

- Nous allons jouer à un petit jeu salope. Nous allons te donner la chance de décider toi-même de l'ampleur de ta punition. Si tu fais attention, ça ne sera pas grand-chose, mais si vous...

Lydie laissa la fin de sa phrase en suspens.

- Les règles sont si simples que même une salope comme toi peut les comprendre. Tu va venir au milieu de la pièce et tu vas nous écouter attentivement. Chaque fois qu'une partie de ton corps sera mentionnée dans une conversation, tu feras de ton mieux pour la montrer. Compris salope?

- Oui Lydie.

- Alors pourquoi ne montrerais-tu pas ta chatte salope!

Lydie rigola.

- Et ce sera Mademoiselle Lydie à partir de maintenant.

- Oui Mlle Lydie.

Anne se laissa tomber sur le dos et écarta les jambes.

- Ok les filles, de quoi allons-nous parler? de sa chatte, de son cul ou de ses seins?

Anne se dépêcha de se tourner pour montrer son cul, puis roula en arrière et releva ses seins.

- Non parler de sa chatte est ennuyeux.

Rose reprit le fil tandis qu'Anne levait rapidement sa jambe pour montrer sa chatte.

- Parlons de l'école. Saviez-vous qu'il y avait un trou dans le toit. L'eau est entrée et a mouillé deux gros sacs. Je l'ai entendu de la bouche du concierge mais comme j'étais derrière un pilier, je n'ai pas tout entendu.

- Je pense que nous devons motiver notre salope un peu plus.

Belinda leva les yeux d'un papier sur lequel elle était occupée à écrire.

- Elle a deux « chatte », un « cul » et un « seins », mais elle a manqué le « trou », « gros sacs », « bouche » et « derrière ». Pas dans le même contexte, mais peu importe. Tu as vraiment besoin de réfléchir plus, salope, et de penser à tes trous.

Anne gémit de frustration. La conversation continuait et elle n'arrêtait pas de se tordre sur le sol en présentant toutes les parties de son corps dans un show sexuel dégradant. Quand les filles en eurent assez, elles lui annoncèrent qu'elle avait loupé dix-sept mots. Et, Quand Anne vit Belinda se lever une canne à la main, elle perdit toute dignité.

- Non, s'il vous plaît, pas plus. Mon cul me fait tellement mal. S'il vous plaît, je... je ferais tout ce que vous voudrez.

Elle se mit à genoux et les supplia. Les jeunes filles se regardèrent et explosèrent de rire.

- Tu le feras de toute façon, salope. Sourit Belinda.

- Mais peut-être pourrait-elle nous offrir quelque chose à laquelle nous ne pensions pas.

Étonnamment Valentine fit soudain une suggestion.

- Oh oui, quelque chose de vraiment dégradant. Des suggestions? Ajouta Rose.

Anne répondit la première chose qui lui vint à l'esprit :

- Je vais embrasser tous vos culs.

Il y eut un moment de silence et quelques filles éclatèrent de rire tandis que Valentine était abasourdie.

- Mais c'est trop humiliant d'embrasser le cul de quelqu'un d'autre. S'exclama-t-elle.

- C'est exactement pour ça qu'elle va le faire. Mais pas juste comme ça. Elle va d'abord supplier chacune d'entre nous. Allez les filles, montrons-lui de beaux culs à embrasser.

Lydie laissa tomber ses vêtements et se pencha sur le comptoir du petit meuble de cuisine où les garçons se préparaient à boire. Katia et Belinda firent comme elle. Anne s'approcha d'elles et se laissa tomber à genoux derrière Belinda.

- Puis-je t'embrasser le cul Belinda?

- Oh non salope. Comme tu veux échapper à ta punition, montre-nous à quel point tu mérites ce privilège. Objecta Belinda.

- S'il vous plaît Melle BELINDA, puis-je avoir l'honneur d'embrasser votre magnifique cul?

- Tu peux salope!

Anne posa ses lèvres sur chacune des fesses de la jeune fille puis elle glissa sur le côté vers Lydie.

- Melle Lydie, S'il vous plaît, puis-je avoir le privilège d'honorer votre cul avec mes lèvres?

- Embrasse-le salope!

Lydie put à peine contrôler son rire quand Anne pressa ses lèvres sur son gros derrière.

- S'il vous plaît Melle Katia, me permettez-vous de vous montrer ma gratitude en embrassant votre doux derrière?

Quand Anne eut fini cet acte dégradant, elle fut soulagée, mais seulement pour un moment.

- Trois culs embrassés, ça te laisse quatorze coups.

- Et elle n'a même pas embrassé mon trou du cul. Se plaignit Katia en souriant.

- Embrasser un trou du cul? personne ne fait ça! S'exclama Valentine.

- Elle va le faire. Essaie donc. Allez, ose!

Valentine se leva lentement et regarda le corps nu d'Anne. Puis elle s'allongea sur un canapé et releva sa jupe. Elle ne portait pas de culotte. Anne s'approcha d'elle à genoux. Elle détestait cette situation et les regards que lui jetaient les autres filles, mais elle ne voulait pas être fouettée. Alors elle poussa son visage entre les fesses de la fille et toucha doucement son anus avec les lèvres.

- Tu peux faire mieux que ça, salope! Lança Lydie.

N'importe quoi pourvu qu'elle évite la canne. La langue d'Anne sortit et lécha le trou du cul de façon experte. Elle entendit Valentine haleter de surprise et continua de lécher, de pousser et de frotter le bout de sa langue sur le petit trou serré de la jeune fille. Jusqu'au moment où un coup frappé à la porte la fit arrêter.

- Vous en avez encore pour longtemps avec elle les filles? Certains d'entre nous s'impatientent un peu. Cria une voix masculine.

- Plus que quelques minutes. Cria Lydie en retour.

- Et bien, nous allons en enlever trois de plus pour avoir embrassé et léché le trou du cul de Valentine. Ça laisse onze coups et plus de temps pour en diminuer le nombre. Penche-toi salope!

Anne trembla et supplia :

- S'il vous plaît, est-ce que je peux faire autre chose?

- Tu peux te pencher sur cette table ou... j'irai dire à Éric que tu refuses nos ordres.

Belinda balaya l'air avec la canne. A contrecœur, Anne s'approcha et se plia sur la table. Belinda lui administra trois coups de canne, chacun d'eux faisant crier l'enseignante. Les autres filles lui donnèrent deux coups chacune. Étonnamment, ce fut Valentine qui frappa le plus durement, lui faisant monter les larmes aux yeux. Quand ce fut fini, Anne n'était pas en état de réfléchir. Elle entendait les filles parler à voix basse et rigoler. Finalement, ce fut Rose qui lui parla.

- Nous avons décidé de ne pas te laisser partir dans cet état. Nous allons faire un petit cadeau aux garçons. Va t'asseoir sur cette chaise devant l'ordinateur. Regarde ce que nous avons mis sur l'écran, je suis sûre que c'est ce que tu veux le plus, n'est-ce pas?

Anne s'assit en faisant très attention. Et quand elle regarda l'écran, elle vit une grosse bite en érection. L'image lui rappela ce qui l'attendait et elle déglutit. Lydie sourit.

- Vous voyez! Le simple fait de voir une queue l'excite. Allez salope, montre-nous comment une putain sans vergogne comme toi se prépare à prendre des bites. Je suis sûre que les garçons vont bien profiter de toi, alors assure-toi que ta chatte soit bien humide et accueillante. Allez, on veut voir le jus de ta chatte.

Et maintenant, elle devait se masturber devant elles. Mais Lydie avait raison. Sa chatte lui faisait mal actuellement, mais elle lui ferait encore plus mal si les garçons la baisaient sans qu'elle mouille. Elle commença à caresser son clitoris et se tripoter les seins pendant que la jeune fille commentait son comportement dans des termes vulgaires. Elle mouilla étonnamment vite. Ses mouvements devinrent de plus en plus rapides.

- Mieux vaut que tu arrêtes ou alors nous serons encore là demain pour une autre punition.

La voix de Valentine la ramena à la réalité et elle s'arrêta à contrecœur.

- Bon, je vais la ramener dans sa chambre. Si nous la laissons partir seule, elle va surement disparaître dans les toilettes ou un placard à balai pour jouer avec sa chatte. Déclara Belinda.

- Attends, laisse-moi la préparer pour le voyage.

Lydie sourit et prit le marqueur que Belinda avait déjà utilisé. Ce qu'elle écrit fit rigoler les filles. Lydie fit signe à Anne de se tenir devant un miroir.

- Tu veux que je supprime ça? Je pense que ça te va bien. Tu as des objections?

- Non Melle Lydie. Chuchota Anne.

Elle se tourna vers la porte, l'inscription « grosse pute de merde » inscrite sur son corps.

- A genoux salope! Tu vas ramper jusqu'à ta chambre. Déclara Belinda.

En dehors de la salle commune, la plupart des portes étaient ouvertes et les garçons suivirent sa lente progression en rampant avec un grand sourire, surtout quand Belinda la faisait ramper plus vite avec quelques claques sur son cul maltraité. Belinda l'avait à peine laissée dans sa chambre que Ali entra.

- J'ai tiré la première place salope. Annonça-t-il, son visage bronzé souriant largement.

- Sors ma bite et suce-la!

Quand elle eut fini de satisfaire tous les garçons, les genoux et la bouche d'Anne étaient engourdis et son visage dégoulinait de sperme. Néanmoins, elle était reconnaissante qu'ils n'aient pas utilisé sa chatte ou son cul.

A suivre...

Éducatrices Ch. 06

Educatrices - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Les 18 ans des cadets, le concours.

Les semaines, puis les mois passèrent, les quatre femelles étaient maintenant sous totale influence, Chaque week-end l'infirmière et les deux éducatrices mettaient leurs bouches, leurs cons, leurs culs à l'entière disposition de leurs maîtres qui ne se privaient pas de les utiliser fréquemment.

La pharmacienne, propriété commune, ne passait pas la totalité de chaque week-end en leur compagnie, mais était tenue de leur consacrer le samedi ou le dimanche quand elle ne pouvait plus, elle leur livrait chaque semaine son emploi du temps pour la semaine suivante.

De plus, en semaine, souvent le mercredi ils leur faisaient la surprise d'une visite qui se terminait chaque fois par des ébats dans le lit conjugal. Aucune des quatre n'avait plus de velléité de résistance, elles se pliaient à tous leurs caprices, mêlant volupté et honte dans un cocktail de jouissances.

Cependant, les plus jeunes commencèrent à murmurer, ils n'avaient pas été sans remarquer les allées et venues suspectes des quatre jeunes femmes. D'abord étonnés de ces visites régulières, ils ne tardèrent pas à flairer un coup fumant, et se mirent alors à épier leurs aînés.

Ils notèrent d'entrée les tenues érotiques des jeunes femmes le week-end ; leurs vêtures contrastant fort avec leurs habituels habits de travail. Samedi, dimanche, fini les jupes longues, les pulls ras du cou, les pantalons androgynes, ils laissaient place aux mini jupes, aux corsages échancrés, transparents. Ces premières constations les incitèrent à approfondir leurs investigations .

Ils déployèrent des trésors d'imagination pour en savoir plus. Robert, le plus inventif, peut-être parce que le plus déluré, mit au point un dispositif infaillible qu'ils expérimentèrent tous avec rapidité. Ils fixèrent un petit miroir sur le dessus de leurs chaussures, il leur suffisait alors de le glisser avec discrétion sous les jupes de ces dames pour découvrir leurs avantages en toute impunité.

C'est seulement à ce moment qu'ils virent leurs soupçons les plus délirants confirmés : elles se baladaient sans culottes ces salopes !

Leur opinion faite, ils s'attachèrent alors aux gestes de leurs aînés. Sans surprise, ils observèrent les mains fouineuses passer sous les jupes, les imaginèrent palpant les cramouilles désirées, pinçant les fesses opulentes, se régalant de tous ces chairs normalement interdites.

Combien de branlettes exigèrent ces observations, ils auraient pu seul le révéler !

Puis les langues se délièrent, ils osèrent des plaisanteries douteuses :

- Tiens encore Miloud la main au panier... Au panier de Fabienne bien sur... Qu'est ce qu'il cherche ? La figue ?

- Alors tu veux tapisser ? Tu cherches la colle ?

- Et Stephan... Regarde il cherche le sel ou la crème ?

Puis il testèrent leurs réactions, caressant furtivement sous leurs yeux les appâts convoités.

Aux premiers heurts avec les aînés soucieux de voir respecter leurs biens, ils insinuèrent que personne n'avait intérêt à voir ces pratiques dévoilées, laissant planer un doute, une menace diffuse.

Réunis en conseil, les aînés décidèrent que mieux vaudrait sacrifier une de leurs proies plutôt que de risquer une éventuelle divulgation. Ils résolurent donc d'en offrir une en pâture à leur juvénile lubricité. Ils préféraient passer pour des bienfaiteurs plutôt que de se faire forcer la main, ce qui pourrait advenir s'ils ne bougeaient pas, leur autorité étant trop fortement battue en brèche par la convoitise des plus jeunes.

Justement, l'occasion se présenta rapidement, avec le mois d'avril arrivaient aussi les anniversaires de Mohamed, Gérald et Robert, ils atteignaient tous leurs 18 ans.

Ils convinrent de les fêter le même soir et en cadeau de leur offrir leur dépucelage. Les quatre femmes devraient amener pour cette soirée une tenue de soubrette modèle : petit tablier blanc et coiffe. Une des quatre baiseuses, leur serait offerte en guise de cadeau.

Il leur parut amusant de soumettre les quatre belles à des épreuves qui détermineraient le nom du cadeau. Ils montèrent une compétition ou chaque jeu attribuerait un certain nombre de points aux concurrentes, la perdante serait dévolue au plaisir des cadets. Elle serait chargée d'initier les trois puceaux aux joies du sexe, bien entendu, elles ignoraient totalement le programme de la soirée.

Le vendredi soir, elles arrivèrent donc toutes quatre dans leurs tenues habituelles. L'IME déserté par les autres pensionnaires, elles furent sommées de préparer le repas d'anniversaire, tâche dont elles s'acquittèrent soigneusement.

A peine le repas était-il prêt, le couvert mis en place par les plus vieux, qu'elles durent revêtir les atours appropriés au service, seul détail important, elles ne portaient en tout et pour tout que leurs tabliers blancs ceints à la taille et leurs coiffes.

Les bras chargés de plats, elles pénétrèrent dans la salle à manger, et là se trouvèrent confrontées aux regards des trois cadets, aussi enchantés que stupéfaits du spectacle. Rouges de honte elles posèrent les plats sur la table et s'enfuirent dans la cuisine.

Miloud qui les avait rejointes se vit obligé de les menacer de futures représailles, il dut même distribuer quelques claques, avant de les voir se résoudre à réintégrer la salle des réjouissances.

Dès leur retour, applaudies par les trois jeunes, elles se rangèrent au côté de Stephan qui annonça alors le déroulement de la soirée.

- Gérald, Robert et Mohamed, pour vos dix-huit ans, nous ne savions pas quoi vous offrir, aussi a-t-on décidé que pour vous ce jour serait mémorable... Vous savez que ces quatre salopes nous obéissent au doigt et à l'œil, ce soir, l'une d'entre elle partagera votre lit... Vous en ferez ce que vous voudrez... Ce sera votre cadeau d'anniversaire !

- Pour savoir de laquelle vous disposerez pour le week-end, nous avons organisé un concours après le repas... En attendant elles vont nous servir dans cette tenue, vous pourrez vous régaler les mains et faire connaissance avec leurs culs, une des quatre sera à vous pour 48 heures et  vous apprendrez rapidement comment bien vous en servir !

- Allez les salopes au boulot !

Chacune à son tour chaque jeune femme dut présenter un plat aux convives, les trois autres, dos tournés leur exposant leurs fesses crispées par la honte et l'angoisse. Chacune leur tour, elles sentirent les mains fureteuses des trois cadets inventorier leurs charmes. Aux premiers contacts furtifs, frôleurs, les trois jeunes n'osant pas, d'emblée, peloter des adultes, la profanation étant trop évidente, succédèrent des gestes plus appuyés. Encouragés par leurs aînés rigolards, ils relevèrent les tabliers, s'assurèrent de la couleur de la toison de ces dames.

Puis sur les invitations pressantes de leurs aînés, ils se firent plus hardis, des mains fiévreuses s'aventurèrent sous la bavette des tabliers, estimèrent la lourde fermeté des seins offerts, palpèrent les culs exposés, fouillèrent les entre fesses velus, les craquettes ouvertes. Des doigts agiles s'introduisirent dans les vulves tendues, les anus furent palpés puis visités, bientôt aucune des trois n'eut plus de particularité anatomique secrète.

Aucune ne l'aurait avoué, mais ces multiples pelotages, leur avaient échauffé les sens, si chacune était au bord des larmes de devoir se laisser tripoter par les jeunes mains inexpertes, si le rouge de la honte leur montait aux joues de sentir ces doigts de puceaux violer leurs sexes et leurs entrailles, aucune ne pouvait non plus nier l'humidité suspecte qui sourdait de leurs ventres lesquels se tendaient maintenant vers les caresses inexpérimentées.

Miloud, au coté duquel, leur service achevé, elles venaient se placer, testa l'état de leurs moules et les trouvant gluantes à souhait se chargea d'en informer la tablée :

- Regardez moi ces cochonnes, il a fallu les forcer... Et maintenant... Elles ont le cul trempé... Des vraies fontaines!

Elles durent, alors livrer chacune leur tour leurs sexes aux investigations de leurs maîtres, qui confirmèrent les observations de Miloud. Plus que le plaisir qu'elles avaient prises à ces manipulations, la révélation de ce plaisir les anéantissait.

Le repas terminé, elles desservirent, tandis que les trois aînés, invitant les trois cadets à prendre place sur le divan préparaient les accessoires du concours. La véritable soirée commençait.

A l'annonce de leur prénom, elles vinrent se ranger face à leur public, Miloud les invitant alors à se présenter plus en détail. Sur son ordre elles quittèrent leurs tabliers et exposèrent leurs cramouilles aux yeux attentifs. Le dos fléchi en arrière, le sexe tendu elles durent en écarter les grandes lèvres, révélant aux yeux écarquillés des trois plus jeunes la richesse de leur carnation. Chaque vulve entrebâillée révélait tous ses détails habituellement dissimulés.

Du doigt, Miloud leur fit une petite leçon d'anatomie, désignant clairement les grandes et petites lèvres, le méat urinaire, l'entrée du vagin à la chair plus rose, et le clitoris surmontant l'ensemble de la cicatrice. Frottant son doigt dans la fente de ses dames il leur montra les secrétions luisantes qui garnissaient maintenant copieusement les chattes étalées. Puis se tournant elles durent écarter les fesses, exhibant leurs anus fripés, crispés d'appréhension. Introduisant le doigt les trois aînés firent remarquer au jeune public ravi d'une telle aubaine, l'élasticité des œillets maintenant bien rodés. Écarquillant les rondelles soumises il leur précisa qu'on pouvait aussi prendre son plaisir dans ces réceptacles, leur révélant l'utilisation qu'on pouvait faire des trois orifices naturels de ces dames.

La confusion des quatre salopes était maintenant à son comble, de se voir reléguées au rôle de poupées éducatives, leur faisait tout craindre de l'avenir proche. Elles avaient bien raison, dès le début du concours elles surent que leur déchéance serait totale.

Pour la première épreuve, elles déambulèrent dans la pièce, un fin crayon de bois planté dans le sexe.
La règle était simple, la première qui le laisserait chuter ne marquerait qu'un point, la seconde deux, la troisième trois et la dernière quatre, à l'issue des épreuves qui seraient toutes notées suivant le même principe, celle qui totaliserait le plus petit score serait livrée à la convoitise des trois cadets.

Le vagin contracté sur le fin vit qui les garnissait, elles marchaient lentement, bassin crispé, cherchant à retarder la chute fatale, le jeu durait depuis quelques minutes, lorsque les gars impatients d'en voir la conclusion se mirent à leur claquer les fesses.

La croupe ondulant sous les coups, des petits cris plaintifs aux lèvres elles cherchaient encore à enrayer l'issue, soudain la petite bite gluante glissa de la moule de Fabienne, un bruit mat soulignant sa chute, les cuisses serrées les trois autres continuaient à se dandiner, Françoise puis Murielle perdirent leurs crayons.

Miloud félicitant la gagnante inscrivit le score au tableau noir :

Fabienne 1
Françoise 2
Murielle 3
Sylvie 4

Stephan préparait déjà le matériel pour la seconde épreuve : quatre petites bouteilles de Perrier et un banc. Il disposa les quatre bouteilles cote à cote sur le banc, puis lia les mains des quatre concurrentes dans leurs dos et leur exposa la règle tandis que Charles leur enduisait largement le sphincter anal de graisse.

-- Cul bien graissé, mains liées dans le dos, vous devrez saisir le goulot de la bouteille avec l'anus et vous relever, la première qui se tiendra droite la bouteille bien fichée dans les fesses aura gagné, on commence au signal... Attention... Partez !

Toutes quatre se précipitèrent, ouvrant désespérément les fesses, elles s'accroupirent au dessus des bouteilles et lentement cherchèrent à s'empaler sur les phallus de verre. Mais la graisse faisait déraper les goulots, ils remontaient dans l’entre-fesse, la concurrente devait alors se remettre en position.

Dilatant fortement son sphincter pour pouvoir se saisir de l'objet de sa convoitise, l'anus écarquillé sur le goulot, Murielle commença de se relever péniblement, elle allait y parvenir lorsque son cul éjecta le corps étranger, elle qui avait frôlé l'exploit dut reprendre la bouteille entre les dents pour le disposer à nouveau sur le banc.

Pendant ce temps, l'anus tétant voracement le goulot, Françoise parvint à se redresser puis ce fut Fabienne. Telle une ventouse son cul avait aspiré la bouteille qui disparaissait presque entre ses fesses accueillantes, enfin Murielle se releva, il fallut attendre encore quelques instant avant de voir Sylvie la bouche déformée par l'effort, le cul crispé sur le goulot fuyant se redresser.

Miloud afficha le nouveau score :

Fabienne 5
Françoise 5
Murielle 5
Sylvie 5

L'égalité parfaite .

On ne délia pas les mains des quatre femelles pour l'épreuve suivante : une bougie fichée dans le cul , elles devaient en allumer la mèche à une autre bougie posée sur le banc. On leur enfila chacune un gros cierge dans le fondement, leurs gaines étranglèrent l'objet pour le tenir en place, la mèche à allumer dépassant de cinq centimètres des fesses.

Tortillant du cul, le visage dévissé sur l'épaule elles approchèrent lentement leurs masses fessues des petites flammes, Sylvie la première se brûla la croupe, son cri de douleur fit redoubler de prudence ses rivales.

Le spectacle avait quelque chose d'obscène et de ridicule. Les gros culs, crispés par l'appréhension approchaient craintivement la flamme, chacune à son tour se brûla, chacune insista. Brutalement le cul de Françoise se tétanisa , elle en perdit son appendice qui chuta au sol, elle fut déclarée perdante.

Puis dans un grésillement, les joues empourprées par l'effort, le cul cuisant sous la chaleur, Fabienne parvint à allumer sa chandelle, et ce fut le tour de Murielle et de Sylvie .

De nouveau le score fut inscrit :

Fabienne 9
Françoise 6
Murielle 8
Sylvie 7

Fabienne et Murielle jubilaient, Françoise et Sylvie faisaient plutôt grises mines.

Après quelques instants de repos, qui permirent à tous, spectateurs et concurrents de se rafraîchir, le concours reprit.

Cette fois les quatre salopes se virent fourrer dans le vagin une lourde bille de métal, évidemment de la force de leur ventre dépendrait leur salut. De nouveau elles durent déambuler dans la salle, le ventre crispé, cherchant à retenir la lourde boule, cuisses jointes, elles marchaient bizarrement. Toutes à leurs efforts elles ne prêtaient aucune attention au spectacle cocasse qu'elles offraient.

Le jeu dura quelques minutes, visiblement elles faisaient toutes des efforts démesurés pour garder la précieuse bille bien au chaud dans leurs écrins. Et l'inattendu arriva, dans un grand cri de jouissance, submergée par un orgasme fou, Sylvie roula à terre libérant son précieux otage, Fabienne à son tour, les cuisses frémissantes dut s'avouer vaincue, Françoise explosa aussi dans un spasme révélateur, Murielle voyant ses rivales hors de combat, sourit en laissant couler le gros biscayen hors de son étui.

Le score avait encore évolué, c'était au tour de Murielle de se réjouir, Sylvie elle s'inquiétait fortement à sa vue .

Fabienne 11
Françoise 9
Murielle 12
Sylvie 8

- Tout peut encore changer au cours des trois dernières épreuves ! Commenta Miloud

- Je serai bien incapable de vous dire qui vous contentera... Ajouta-t-il s'adressant aux trois plus jeunes.

Les commentaires allaient bon train chacun y allant de son pronostic. Enfin la partie reprit.

- Pour l'épreuve suivante, nous allons sortir ! Annonça Charles hilare

- Vous allez boire autant que vous voudrez, vous pisserez debout, celle qui pissera le plus loin aura gagné !

Les quatre élues se précipitèrent sur le broc d'eau chacune éclusant plusieurs verres à la file, puis tous sortirent, et à la lueur du lampadaire se mirent en place.

C'était surréaliste, les quatre filles, sur la même ligne, le ventre tendu en avant, les doigts pinçant les orifices urinaires, pour mieux affiner les jets, elles parvinrent toutes, en un mince filet à projeter, telles des fontaines, de longs jets brûlants à plusieurs pas.

Les juges, silencieusement, durent avoir recours au mètre pliant pour les départager. Toujours silencieusement ils réintégrèrent la salle à manger , et tous, concurrentes et spectateurs découvrirent en même temps la nouvelle marque.

Fabienne 12
Françoise 12
Murielle 14
Sylvie 12

Seule des trois ex aequo Sylvie heureuse de revenir au score souriait. Les deux dernières épreuves seraient donc décisives.

Avec anxiété, les quatre femelles virent les garçons suspendre quatre brocs reliés par un tube à une canule, au mur derrière le banc, elles furent priées de s'agenouiller sur le banc et rigolards ils leur enfilèrent la canule dans le trou du cul, les petits vits entrèrent facilement, les culs bien graissés lors des premières épreuves les admettant facilement.

Miloud énonça la règle :

- On va ouvrir les robinets, lorsque vos culs déborderont, ou que vous crierez grâce, ils seront refermés et on mesurera le volume de liquide que vous aurez ingurgité, chaque broc étant gradué... Pour corser l'affaire, les robinets seront réglés sur des débits différents, ainsi vous ne pourrez pas vous régler par rapport aux réactions de vos adversaires ...

Les quatre robinets ouverts, l'eau tiède envahit en glougloutant les entrailles qui se déplièrent, s'assouplirent au maximum pour admettre le plus gros volume de liquide. Les ventres s'arrondirent sous la pression, aucune ne voulait céder, les intestins gargouillaient, les visages crispés, déformés par des grimaces, les mâchoires bloquées elles sentaient leurs abdomens gonfler démesurément.

La première Murielle cria grâce, immédiatement son robinet fut fermé, son anus fut libéré de sa canule et elle dut s'écarter sans connaître la valeur de sa performance. Tour à tour, les anus de Françoise et Sylvie laissèrent d'abord suinter un filet de liquide blanchâtre, malgré leur arrêt Fabienne faisait des efforts désespérés pour dilater son estomac et admettre encore plus d'eau, enfin son cul déborda, une longue giclée jaillit de son anus resserré sur la canule, son intestin martyrisé la contraignait ainsi à l'abandon.

De nouveau le score fut inscrit :

Fabienne 15
Françoise 13
Murielle 16
Sylvie 16

Seule, cette fois, Françoise grimaçait, son sort était presque fixé, ses trois rivales lui adressaient d'ailleurs des sourires narquois.

Avant l'ultime épreuve elles reçurent l'autorisation de se vider les entrailles.

Comme elles se dirigeaient vers les toilettes, Charles les arrêta et leur tendant chacune un seau les invita à se libérer au vu et au su de tous. Elles se cabrèrent sous ce dictat, refusèrent, argutièrent, puis vertes d'humiliation, sous la pression de leurs intestins durent se soumettre à cette nouvelle humiliation, courbées sur les genoux, sous les quolibets des spectateurs ravis, elles s'exécutèrent.

Le chuintement du jet jaillissant de leurs anus, eau et matières fécales mêlées, puis crépitant sur les bords du seau rendait leur déchéance encore plus palpable.

Les verres se remplirent à nouveau, chacun s'accordant quelques minutes de répit avant la décision finale.

Enfin Stephan apporta une corbeille garnie de concombres de formes et de tailles variées, chacune d'entre elles devait choisir le concombre le plus gros qu'elles pensaient pouvoir s'enfiler par le cul, puis s'exécuter.


On mesurerait ensuite la circonférence des concombres de celles qui seraient parvenus à s'en sodomiser, la taille déterminerait le nombre de points engrangés.

Elles s'approchèrent de la corbeille, palpant avec attention les cucurbitacées, observant le choix de leurs adversaires, jetant des coups d'œil au score elles tentaient de déterminer les chances de chacune en fonction de l'objet de leur choix.

Françoise, choisit un légume de diamètre démesuré, les autres la regardèrent faire, le sourire aux lèvres, certaines de son futur échec, néanmoins par mesure de sûreté, elles choisirent tout de même des légumes aux diamètres conséquents.

Allongées sur le dos, cote à cote elles ne pouvaient voir le comportement de leurs rivales, aussi s'appliquèrent-elles toutes à réussir dans leur entreprise.

Une nouvelle fois les rondelles se dilatèrent, les intestins avides se remplir, Murielle et Sylvie les gros pals enfoncés dans le rectum se redressèrent, puis Fabienne, souriante le cul comblé en fit autant et toutes trois, le fondement toujours dilaté par leur exploit, se joignirent aux garçons pour apprécier les vains efforts de Françoise.

Il paraissait impossible que son œillet puisse admettre un tel calibre, la disproportion entre le fruit monstrueux et son mignon troufignon était trop importante. Le gourdin dérapait sur l'anus gras, elle s'entêtait, le replaçait, forçait à nouveau. Enfin Françoise parvint à en appliquer l'extrémité mafflue sur sa rondelle, elle poussait désespérément, rien n'y faisait, bien que son anus soit repoussé vers l'intérieur, le légume n'entrait pas.

Déjà ses trois adversaires se réjouissaient quand le muscle annelé sembla se retrousser épousant la forme oblongue. La tête du fruit était passée. L'anus prodigieusement dilaté, Françoise s'accorda un instant pour souffler, la douleur irradiant son muscle malmené s'estompait lentement. L'opération paraissait cependant encore invraisemblable, quand dans un dernier et violent effort Françoise se poignarda véritablement les reins.

Un cri de souffrance inhumain sortit de sa bouche, la figure ravagée par la douleur elle ne croyait pas encore en son exploit, et pourtant l'énorme légume avait disparu jusqu'à la racine dans sa gaine démesurément élargie. Elle se sentait comblée hors de toute proportion, son intestin ne pouvant s'habituer à une telle plénitude elle s'effondra en sanglotant sur le dos.

Ebahis, enthousiasmés par l'exploit les trois aînés se précipitèrent pour la débarrasser de l'énormité qui risquait de léser sérieusement son trou, ils ne purent l'attraper. Heureusement le cul béant permit à Miloud de visser un tire-bouchon dans la pulpe et d'arracher avec un floc sonore la bonde qui lui déchirait les entrailles.

Sans même mesurer le monstrueux légume, les quatre points lui furent attribués. Les autres cucurbitacées extraits, puis mesurés, Charles inscrivit le score définitif , les trois cadets le regardaient faire impatients de savoir laquelle de ces belles putes leur serait dévolue, pour la même raison les trois femelles en concurrence pour la dernière place suivaient ses gestes, l'air craintives.

Le score décisif était maintenant établi :

Fabienne 16
Françoise 17
Murielle 19
Sylvie 18

C'était donc Fabienne qui serait livrée à la folle lubricité des trois puceaux, qui contenterait tous leurs instincts même les plus pervers.

Les trois jeunes se réjouissaient, la belle bourgeoise, à l'allure guindée leur convenait parfaitement, les yeux luisants de convoitise, ravis de leur soirée ils l'entraînèrent, abasourdie, sans réaction, vers leur chambre.

Enchantées de leur performance, qui leur évitaient de se voir livrée aux trois jeunes puceaux pour combler tous leurs désirs, les trois gagnantes, se relevèrent, péniblement et escortées de leurs maîtres gagnèrent leurs chambres respectives. Pour elles non plus la soirée n'était pas terminée, échauffés comme ils l'étaient leurs propriétaires seraient difficiles à contenter.

Dés la porte franchie, Gérald, Mohamed et Robert arrachèrent, plus qu'ils n'ôtèrent leurs vêtements. Ebahie, Fabienne contemplait leurs jeunes virilités dressées comme des mats. Pour tous trois la nature s'était faite généreuse, malgré leurs jeunes ages ils arboraient des flamberges qui auraient contentés bien des adultes.

Impatients ils se jetèrent sur Fabienne, la palpant, la griffant, lui mordillant les pointes des seins, lui tirant les poils du pubis, affolés par le désir ils ne savaient pas trop par où commencer.

Enfin Gérald s'allongea sur elle, il trouva d'emblée l'orifice convoité et d'un furieux coup de reins il s'enfonça jusqu'à la garde entre les babines juteuses, son impatience était telle qu'en trois coups de reins il éjacula bien calé au fond de sa matrice, de même Mohamed puis Robert qui l'enfourchèrent successivement ne purent refréner leurs ardeurs et à peine introduits ils lui crachèrent leur venin au fond de sa craquette l'emplissant de sperme crémeux.

Ils n'allaient cependant pas en rester là, les nombreux films pornographiques qu'ils avaient disséqués ces derniers mois leur avaient enseigné bien des pratiques qu'ils voulaient tester.

Son ardeur renaissant déjà, la bite se redressant fièrement Gérald sollicita ses lèvres, il franchit la frontière des dents, se frotta longuement sur la langue, réclamant de son initiatrice plus de participation si elle voulait éviter qu'ils ne se plaignent aux grands.

Pliant sous la menace, Fabienne s'efforça de le contenter, sa bouche se fit plus douce, ses lèvres coururent sur la hampe dressée, sa gorge se fit plus profonde, en de lents va-et-vient le gland de Gérald venait à l'orée de la bouche, puis s'enfonçait profondément dans l'arrière gorge, repoussant la luette de sa pipeuse puis recommençait le même cycle.

Par un certain mimétisme ses cuisses copiaient les mouvements de ses lèvres, elles s'entrouvraient révélant le sexe englué, puis se refermaient mollement, Robert de nouveau s'allongea sur elle, bien décidé cette fois à faire durer le plaisir.

Il entama un branle puissant sur un rythme soutenu, Mohamed n'avait plus qu'une solution, il demanda à Robert et Gérald de lui permettre l'accès au cul de la belle.

Sans sortir de son con, lui empoignant les hanches, Robert roula sur lui même, Gérald dont la bite avait quitté l'antre chaud de la bouche, lui recolla son vit en pleine gorge tandis que les mains impatientes de Mohamed lui écartaient déjà les fesses

L'anus béait encore à la suite des différentes épreuves qu'il avait enduré, sans effort Mohamed lui introduisit sa flamberge dans le cul. Robert s'était immobilisé pour faciliter l'introduction anale. Fabienne sentait les deux la remplir à bloc, ils accordèrent d'instinct leur rythme.

Les deux pals lui massaient le périnée, les sensations se faisaient trop fortes, son esprit déjà échauffé par le déroulement de la soirée cédait aux vagues de plaisir, son bassin se mit à remuer, elle participait. Son cul remontait s'enclouant jusqu'aux couilles sur la bite de Mohamed, puis absorbait voracement le vit de Gérald jusqu'à la matrice, sa bouche onctueuse procédait par à coups sur la queue de Gérald.

Elle l'aspirait voluptueusement jusqu'à la glotte puis la repoussait du bout de la langue, mordillait le frein et la reprenait à pleines bouches, ses mains se posèrent sur les couilles de son amant de tête, les lui tripotèrent, les caressant, les frottant contre son menton.

Dans un saut de carpe Gérald se planta au fond de sa gorge, le nez enfoncé dans les poils de son pubis elle sentit les frémissements convulsifs qui s'emparaient de sa byroute, l'agitant de soubresauts nerveux tandis qu'en longs jets il lui inondait la bouche, elle téta sa liqueur salée jusqu'à la dernière goutte, ne consentant à libérer le chibre ramolli qu'une fois certaine de lui avoir vidé les couilles .

Ses deux chevaucheurs perdirent brutalement le rythme et tandis que son bassin aussi s'affolait, les spasmes lui secouant avec la dernière intensité la matrice elle sombra dans l'orgasme alors qu'en même temps Mohamed lui crachait sa purée au fin fond des entrailles et Robert se vidait encastré jusqu'à la garde dans son fourreau.

Epuisés, les couilles à plats, les trois cadets s'endormirent emmêlés sur elle.

Les yeux grands ouverts elle écoutait son cœur se calmer, elle sombra aussi dans le sommeil le con et le cul débordant de foutre chaud.

Tout le dimanche, elle livra son corps à leur lubricité, leur enseignant en cours accéléré toutes les possibilités d'un beau corps de femme totalement disponible.

En ce week-end de folie, les quatre femelles comprirent que cette jouissance inouïe qu'elles avaient prises à ces coucheries devait beaucoup aux humiliations subies la veille lors du concours qui les avait opposées. Si leur corps s'était maintenant fait aux rudes étreintes dont les pensionnaires les gratifiaient, leur âme s'habituait à jouir dans la contrainte, la clandestinité, l'humiliation, la soumission.

A suivre...


mercredi 11 mars 2020

La nouvelle vie de Christine Ch. 21

La nouvelle vie de Christine - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Réunion avec des parents...

Après avoir déposé Christine à son travail et alors que j'étais sur le chemin du retour, mon téléphone sonna. Sur l'écran s'affichait le nom de Paul GREUCORE. Je répondis :

- Bonjour Paul. Que puis-je pour vous?

- Je voulais vous dire que j'avais passé le mot à quelques papas qui n'hésitent pas à courir d'autres jupons que ceux de leurs femmes.

J'écoutai, soudain très intéressé.

- J'ai trouvé deux autres personnes intéressées par une certaine action.

Il fallait que je fasse attention. Ma belle-mère devait pouvoir satisfaire ses clients au travail car cela nous rapportait beaucoup d'argent. Alors j'établis quelques règles avec Paul :

- Trouvez un endroit pour les rencontres et nous organiserons environ vers le milieu de chaque mois une petite séance collective. Vous pourrez tous baiser Christine, par tous ses trous mais elle ne doit être ni blessée ni marquée. D'accord?

- C'est clair. Je vous rappelle dans la journée pour vous communiquer l'endroit. Dit-il.

- Encore une chose Paul. Il nous faut une histoire afin que ma belle-mère se sente obligée d'y aller et qu'elle ne pense pas que ce soit de mon fait. Je voudrais lui faire sentir qu'elle se met elle-même dans de telles situations.

- Avez-vous des idées? Me demanda-t-il.

Bien sûr que j'avais des idées. Mon esprit perverti n'avait pas de limites pour faire baiser ma belle-mère.

- Auriez-vous une amie qui pourrait faire semblant d'être votre femme? Je vous donnerai le numéro de portable de Christine et elle l'appellera pour lui dire qu'elle veut la rencontrer au sujet de ce qui s'est passé dans le parking du restaurant avec vous.

- Oui je connais quelqu'un qui pourra nous aider. Donnez-moi son numéro.

Je le fis et il raccrocha après m'avoir dit qu'il me rappellerait dans la journée.

Heureusement Christine eut une journée très facile au travail. Francis l'avait baisée très tôt le matin et elle avait dû sucer Daniel SUTOR juste après le déjeuner.

Paul me rappela juste après 14 heures. Il me dit qu'il avait les clés du bâtiment de l'équipe de foot locale. Nous convînmes que j'y emmènerai ma belle-mère vers 19h00 après qu'une femme se faisant passer pour son épouse l'ai appelée. Avant de raccrocher, je lui demandai qui serait présent.

Il me donna deux noms d'hommes que je connaissais car ils vivaient dans le même village que nous. Adam BEAUMONT habitait à deux portes de ma belle-mère et Jean VANNIER vivait dans le village voisin mais travaillait comme barman dans le bar de notre commune.

Même si je savais qu'en exposant Christine dans le restaurant pas loin de la maison elle pouvait être reconnue, je n'aurai jamais imaginé que cela conduirait à des rencontres avec de proches voisins. Ces personnes me connaissaient ainsi que Christine et Alain. La situation était risquée car la nouvelle vie de ma belle-mère pourrait être exposée à la vue de tous.

D'un autre côté, le niveau d'humiliation de ma soumise serait augmenté. Je voulais qu'elle soit utilisée par des personnes la connaissant comme une femme intègre et de bonne réputation qui la verraient agir comme une pute de rue bon marché.

Sa réputation serait ruinée et je voulais qu'elle soit honteuse et embarrassée. Ainsi mon contrôle sur elle augmenterait.

J'étais assis dans le salon avec Christine quand son portable sonna. Elle répondit et instantanément éloigna le téléphone de son oreille. Je pus entendre une voix de femme qui criait. Lorsqu'elle cessa, Christine remit le téléphone à son oreille. Je ne pus entendre qu'un côté de la conversation.

- Non.... Non, vous devez vous tromper...Dit Christine en me regardant, clairement inquiète et choquée. Puis elle écouta à nouveau.

- Honnêtement, je n'ai aucune idée.... vous rencontrer? Où? Pourquoi? Oh mon dieu..... D'accord, d'accord, mais je ne comprends pas de quoi vous voulez parler. Dit-elle.

Quand la communication fut coupée, elle l'enleva de son oreille.

- Qui était-ce? Demandai-je tout en connaissant la réponse.

En colère, elle me jeta :

- Une femme qui m'a dit m'avoir vu baiser son mari au restaurant où vous m'avez emmenée.

- Ne me blâme pas salope! Ils ont mérité de te baiser après que tu les aies excités toute la nuit. Criai-je

Sa confiance disparut aussi vite qu'elle était arrivée.

- Qu'est-ce qu'elle veut de toute façon? Demandai-je.

- Elle veut que je la rencontre ce soir à 19h00 au bâtiment de l'équipe de football. Pouvez-vous m'accompagner?

- Bien sûr. Dis-je avec un sourire sur mon visage.

Nous quittâmes la maison à 18h50 car le stade n'était pas loin. Ce n'était qu'une simple promenade. Christine était encore dans les habits avec lesquels elle avait été au travail. Elle avait simplement rajouté un grand manteau car les nuits devenaient froides. Nous sommes arrivés au terrain de football alors que l'obscurité tombait. Les lumières du bâtiment étaient bien visibles. Il n'y avait personne. Christine me demanda si nous devions voir à l'intérieur.

- Oui, pourquoi pas vu que nous sommes là. Dis-je en souriant intérieurement.

Ma belle-mère poussa la porte déverrouillée et aussitôt nous entendîmes des voix masculines plaisantant et riant. Mais dès que la porte se referma, le silence s'installa.

Je lui tapotai le cul et je la poussai vers la pièce d'où sortaient les voix un moment plus tôt :

- Vas-y!

- Qu'est-ce qui se passe? Dit-elle en me regardant nerveusement.

Je ne répondis pas. Je la poussai vers la salle où je savais que des hommes attendaient. Mais avant que nous y arrivions, une femme en sortit et ferma la porte derrière elle. Nous étions tous les trois au milieu du couloir.

- Alors tu es la putain de salope qui a baisé mon mari? Demanda la femme.

Elle semblait n'avoir pas plus de 23 ans et je me demandai comment Paul pouvait penser qu'une si jeune femme fut crédible. Mais Christine resta figée sur place, stupéfaite, effrayée et incapable de répondre. Le côté soumis que je lui avais instillé depuis quelque temps prit le dessus et elle baissa la tête tout en disant :

- Je suis vraiment désolée, je ne savais pas qu'il était marié.

- Regarde-moi salope! Cria la femme.

Puis, elle la gifla. Ma belle-mère recula et accusa le coup avec un petit cri. La femme continua :

- Mon mari m'a dit que vous avez montré à tout le restaurant que vous ne portiez pas de culotte. Puis quand il est retourné à sa voiture, vous l'avez accosté et vous lui avez demandé de sucer sa bite.

- Non, non, ce n'est pas ce qui s'est passé... Plaida ma belle-mère.

- Il m'a dit qu'avant qu'il puisse refuser, tu as sorti sa queue et tu l'a mise dans ta bouche de pute.

La jeune femme jouait très bien le rôle que lui avait assigné Paul.

- Non Non , ce n'est pas cela. Se défendit Christine.

- Et non contente de sucer la bite de mon mari, tu as écarté tes jambes de salope pour qu'il t'enfile.

La femme gifla de nouveau ma belle-mère qui recula encore et gémit :

- Je suis désolée.

- Je ne veux pas de tes excuses salope. Sais-tu ce que c'est d'être la cible des ragots parce que ton mari à baisé une vieille pute. Et bien, je vais faire en sorte que je ne sois pas la seule femme trompée par son mari avec la prostituée du village.

La femme attrapa Christine par le bras et la tira vers la salle derrière elle.

- Non s'il vous plaît, s'il vous plaît. Supplia ma soumise.

Elle me regarda, attendant de l'aide, mais je haussai des épaules et les suivit dans la pièce.

Quand nous entrâmes dans la salle, je vis que Christine reconnaissait les hommes. Un masque d'horreur se figea sur son visage.

La femme la poussa vers Paul qui se tenait à l'extrémité de la pièce. Les hommes se regardèrent et lui firent des commentaires ironiques. Ma belle-mère semblait complètement choquée, les yeux lui sortant presque de la tête. Paul commença à déboutonner son manteau. Christine resta figée sur place tandis qu'il tirait le manteau et lui enlevait pour le jeter dans un coin.

Les hommes sifflèrent quand ils posèrent les yeux sur la poitrine énorme entassée dans le petit chemisier dont quelques boutons étaient défaits. Le long manteau avait caché la très courte mini-jupe qu'elle avait porté dans la journée ainsi que ses bas sexy.

Alors que Paul finissait de défaire les trois boutons restants de son chemisier, Christine restait immobile. Sa bouche s'ouvrit comme pour protester, ses lèvres bougèrent mais aucun son ne sortit. Finalement le dernier bouton se rendit et le chemisier s'ouvrit sur le soutien-gorge demi-tasse qui luttait pour contenir les gros seins de ma belle-mère. Les auréoles foncées ainsi que le mamelon apparaissaient au-dessus du tissu.

Encore une fois, les hommes eurent des propos obscènes à son encontre. Ils furent plus gratinés étant donné que Christine n'arrêtait pas Paul et elle ne protestait pas non plus.

Paul enleva son chemisier et le jeta vers le manteau. Puis il mit sa main derrière elle afin de trouver la fermeture éclair de la mini-jupe. Christine eut un sursaut et voulut l'empêcher mais il lui gifla la main et continua à baisser la fermeture éclair. Lorsqu'elle fut complètement ouverte, l'homme posa ses mains sur le haut de la jupe puis la tira vers le bas. La mini-jupe glissa sur les hanches de ma belle-mère et tomba à ses pieds.

D'autres obscénités retentirent dans la pièce quand les hommes virent la mince culotte qui laissait apparaître la petite bande de poils pubiens qu'elle avait laissée sur sa chatte. Paul la fit tourner sur elle-même. Les sifflets et les propos salaces reprirent de plus belle lorsqu'ils virent le cul nu avec une simple ficelle nichée entre les deux fesses.

Enfin, Paul la mit face aux deux autres hommes qui avaient du mal à cacher leurs érections. Il se mit derrière elle et écarta les balconnets du soutien-gorge afin d'exhiber ses seins fabuleux.

Il prit les mamelons dans ses doigts pour les rouler et les tirer pendant plus d'une minute. Quand il les laissa, les petits tétons étaient dressés fermement, complètement engorgés. Pour terminer l'humiliant déshabillage, Paul accrocha ses doigts dans l'élastique du string pour le rouler jusqu'aux pieds de Christine et le dégager de ses jambes.

Il tendit le string à l'homme le plus proche. Je le regardai inhaler le parfum profondément avant de le passer à son collègue avec un grand sourire.

Ensuite, Paul tourna Christine afin qu'elle soit face au mur de la salle, les hommes derrière elle, admirant ses merveilleuses jambes ainsi que son cul rond et lisse.

Paul me fit un clin d'œil et sourit. Moi-même, je souris puis je m'assis dans un coin.

Paul posa alors une main sur le dos de la tête de Christine puis il appuya, la poussant vers l'avant. Elle arrêta le mouvement en posant ses mains sur le mur devant elle. Mais l'homme les saisit avec son autre main et les retira du mur. Il continua sa pression sur la tête jusqu'à ce que la femme soit complètement courbée. Ses jambes étaient toujours collées et les lèvres de sa chatte étaient écrasées entre ses cuisses.

Dans la salle, les hommes parlaient entre eux, discutant des choses qu'ils voulaient faire à ma belle-mère. Adam BEAUMONT, notre voisin de quartier me regarda et sourit à pleines dents. Il tint son regard sur moi pendant un moment avant de retourner à Christine.

Les bras de celle-ci ne bougeaient plus et je vis qu'elle gardait la position sans lutter. Paul gardait sa main sur sa tête au cas où elle aurait voulu se relever. Il demanda :

- Ouvre un peu les jambes Christine. Et montre aux autres ta chatte de salope de parent d'élève.

Son ordre rencontra un bruyant assentiment des deux autres hommes. Sans hésiter, ma soumise ouvrit un peu les jambes. Et sur l'ordre de Paul elle les écarta un peu plus. Celui-ci dit :

- Maintenant, étant donné que je suis généreux, il fallait que je partage cette salope avec vous mes amis. Mais sans l'aide de Nicole qui s'est faite passer pour ma femme et sans l'autorisation de notre ami assis là-bas, rien n'aurait été possible. Merci Nicole pour ton aide, tu peux partit maintenant, nous te remercions.

- Tu me dois un service. Dit-elle en s'éloignant et en laissant la porte se refermer derrière elle.

Les lèvres rasées de Christine ainsi que son trou du cul étaient clairement exposés. Je remarquai ainsi que les autres hommes que ses lèvres scintillaient alors que sa chatte la trahissait et commençait à s'humidifier lentement. Il fut clair pour tout le monde qu'elle commençait à être excitée.

- Il me semble qu'elle a du mal à se contrôler. Constata Paul.

Il fit glisser ses doigts sur le dos puis sur les fesses et enfin sur les lèvres de la chatte humide.

- Ummmmm. Gémit-elle.

Un sourire salace s'étala sur les visages des hommes pendant que Paul écartait les plis luisants d'humidité.

Puis, en la tirant par les cheveux pour la tourner vers Adam BEAUMONT notre voisin et Jean VANNIER, le barman du café du village, il dit :

- Salope, vas te présenter à mes amis.

Elle se dirigea vers les deux hommes qui se levèrent pour l'encadrer. Adam avait l'âge de Christine ou était juste un peu plus âgé. Jean avait environ 45 ans et était un peu plus baraqué qu'Adam. Celui-ci parla le premier. Il tendit la main pour saisir un mamelon et le tirer vers lui. Elle perdit l'équilibre et trébucha quand il tira.

- Quand je pense que je vis depuis longtemps à deux portes de chez toi Christine. Pourquoi tu ne m'as rien dit? Tu aurais pu avoir ma queue beaucoup plus tôt tu sais.

Il rit et plaqua ma belle-mère sur sa poitrine. Il l'embrassa passionnément, lui faisant ouvrir la bouche pour sa langue envahissante.

- S'il te plaît, ne dis rien Adam. Demanda Christine quand il relâcha son étreinte.

- Ça va dépendre du plaisir que tu vas me donner. Répondit l'homme en la poussant vers son acolyte et en ne lui laissant aucune illusion sur ce qu'il allait se passer ce soir.

Elle n'eut pas le temps de réfléchir à la réponse avant que ses lèvres soient séparées par la langue de Jean. Il l'embrassa fougueusement, une main malaxant un sein, l'autre tripotant son cul.

Puis il la relâcha et dit en souriant :

- Ça va être dur de servir une bière à Alain après ce soir où j'aurais baisé sa salope de femme.

Elle le supplia avec ses grands yeux bruns :

- S'il te plait Jean, ne dis rien à Alain lorsque tu le verras.

- Peut-être que je ne dirais rien à Alain. Mais tu sais comment sont les autres. Ils cherchent toujours une femme à baiser moins ennuyeuses que leurs épouses. Donc s'ils apprennent sur toi et qu'ils me disent qu'ils aimeraient bien passer une soirée avec toi, je pourrais peut-être arranger cela. Qu'en penses-tu?

Il la taquina en riant. Puis elle fut tirée et poussée sur le siège où les deux hommes se tenaient auparavant.

Ils se tinrent devant elle, assez près pour que les bosses déformant leurs pantalons soient à portée de main. Adam défit son jean et le poussa sur ses jambes. Jean fit rapidement de même. Si bien qu'ils furent tous les deux debout devant elle, leurs caleçons gonflés par leurs queues attendant d'être libérées.

- Sors ma bite Christine! Dit Adam.

Ma belle-mère savait qu'elle n'avait pas le choix. Depuis quelques mois, elle avait cessé de résister et de protester. Elle accrocha ses doigts dans le caleçon de son voisin puis elle l'abaissa, évitant d'être claquée dans le menton par la bite. Elle n'était pas si grande que cela. Elle en avait eu de plus longues et plus épaisses. Mais c'était une bite donc elle devait la prendre et en profiter.

- Allez, sors la mienne aussi Christine. Demanda Jean impatient.

Il avança le bassin. Le renflement de son caleçon était plus impressionnant. Mes pensées furent confirmées quelques secondes plus tard quand Christine recula quand la bite jaillit et frappa son menton. Jean était bien doté, avec une queue longue et épaisse. Je pensai qu'au fil des ans, en tant que barman, il avait dû sauté beaucoup de femmes.

Ma belle-mère tendit les deux mains et prit les deux membres qu'elle enveloppa avec ses doigts fins. Alors que son pouce rencontra les autres doigts autour de la bite d'Adam, elle ne put faire le tour de celle de Jean. En même temps, elle décalotta les deux queues laissant apparaître leurs gros glands.

- Tu manipules deux bites avec une telle facilité. Se moqua Jean.

Elle ne répondit pas mais commença à déplacer ses mains de haut en bas, lentement de façon délibérer, afin de caresser toute la longueur et frotter ses paumes autour des têtes avant de les glisser vers le bas.

- Et elle va y arriver avec trois. Regarde. Dit Paul.

Il s'introduit entre les deux hommes, les poussant légèrement et attrapa Christine par les cheveux.

- Ouvre ta bouche. Lui dit-il.

Elle obéit et aussitôt il pénétra sa bouche et baisa son visage. Il rajouta :

- Continue à branler mes amis.

Surprise par Paul, elle en avait oublié ses mains. Rappelée à l'ordre, elle se remit à caresser les deux bites pendant que sa bouche était occupée.

Après avoir démontré qu'elle pouvait gérer trois queues à la fois, Paul se retira. Adam fut le plus prompt à réagir. Il attrapa la tête de la femme et enfourna rapidement son membre dans sa bouche. Paul prit la place d'Adam en plaçant sa verge dans la main féminine.

Quand ce fut le tour de Jean, le sexe de celui-ci avait encore grossi. Il prit grand plaisir à regarder Christine étirer ses lèvres autour de son gland. Et son égo enfla encore à la vue des joues gonflées et les prises de respiration frénétiques par le nez de la femme dont la gorge était complètement remplie par son gourdin.

Ils se firent sucer chacun leur tour encore deux fois. Puis Paul la souleva du sol pour l'étendre sur une table de massage qu'il avait ramenée de la pièce voisine.

- Ouvre tes jambes. Demanda-t-il.

Elle obéit et écarta ses membres en les tenant en l'air. Paul la tira afin qu'elle soit juste au bord de la table, puis il repoussa ses jambes sur ses seins et lui demanda de les tenir. Il plongea son visage dans le sexe de ma belle-mère et commença à la lécher avec application.

Jusque-là, peu d'hommes ayant utilisé Christine n'avaient eu envie de lécher sa chatte. Peut-être pensaient-ils que son sexe et son cul étaient réservés aux bites. Ou alors n'aimaient-ils pas.

Cela ne dérangeait pas Paul qui mangeait sa chatte comme un possédé. Il léchait la fente sur toute la longueur et titillait le clitoris avec sa langue.

- Oh mon dieu. Cria Christine.

Tout le monde comprit que son clito avait été localisé et qu'elle aimait ça. Paul passa du temps dessus, le léchant et le suçant, la femme devenant de plus en plus sensible et réceptive à ce traitement.

Ma belle-mère jouit environ deux minutes plus tard sur un cri aigu. Lorsqu'elle se calma, Paul releva son visage trempé, affichant un large sourire.

- J'aime manger les chattes. Confirma-t-il.

Il se déplaça sur le côté de la table et tira le visage de Christine afin de pouvoir glisser sa bite dans sa gorge, tout en rajoutant :

- Et ta chatte est savoureuse Christine.

Il l'empêcha de répondre en enfilant son sexe dans sa bouche.

Jean plongea entre ses jambes, et après avoir brièvement léché sa chatte, il écarta ses fesses avec ses grandes mains et enfonça sa langue dans le petit trou plissé. Le gémissement de ma belle-mère indiqua que cette intrusion était la bienvenue. Puis Jean doigta le chemin anal sans bouger de place pour laisser Adam s'en occuper. Alors celui-ci se déplaça sur le côté de la table, et, d'une main il tira les mamelons et de l'autre il enfonça deux doigts au fond de la chatte de Christine.


Le jeu simultané sur ses tétons et sur sa chatte tira à la femme de longs gémissements qui allèrent en s'amplifiant. S'il n'y avait eu la bite de Paul dans sa bouche, elle aurait sûrement criée.

Heureux de son travail sur le petit trou de Christine, Jean se leva et posa sa bite sur sa chatte, alors que les doigts d'Adam se trouvaient toujours à l'intérieur.

- Attend Jean. Avant que tu lui introduises cet engin, j'aimerai en profiter. Dit Adam en retirant ses doigts et en se poussant sur le côté.

- Désolé Adam, je me suis emporté mon ami. Je te laisse la place. Dit Jean en se dirigeant vers le côté libre de la tête de la femme.

Il n'eut pas à attendre longtemps avant que Paul se retire de la bouche de ma belle-mère et lui tourne la tête vers son ami afin qu'elle engouffre le gros mandrin :

- Alterne entre nous deux, salope.

Jean sourit quand Christine obéit à l'ordre de Paul et avale sa bite. Elle la travaille pendant 20 ou 30 secondes avant de la laisser et de se tourner vers celle de Paul.

Jean et Paul gardent les yeux fermés pendant que ma belle-mère les suce à tour de rôle jusqu'au moment où elle gémit et recrache la queue dans sa bouche. Paul grimaça et regarda Adam qui non seulement avait un grand sourire sur le visage mais aussi son sexe complétement enfoui dans le vagin de Christine.

- Espèce de sournois. Dit Jean en rigolant et en tirant la tête de la femme sur sa bite.

Adam baisa Christine pendant plus de 10 minutes avant qu'elle jouisse pour la deuxième fois, abandonnant les deux autres bites. Elle l'avait maudit au début mais maintenant elle le remerciait en l'implorant de ne rien dire aux autres voisins dans la rue.

Paul et Adam changèrent de place et de nouveau sa chatte et sa bouche furent remplies les douze minutes suivantes. Puis Paul laissa sa place à contrecœur à Jean qui lui avait demandé. Ma belle-mère approchait l'orgasme suivant.

Jean frotta son gland le long des petites lèvres afin de le lubrifier avec le jus de chatte. Puis il poussa sa bite dans l'entrée du vagin lentement afin de le remplir complètement.

- Oh merde, c'est gros. Dit Christine en levant la tête pour regarder Jean qui poussa encore plus loin. Elle rajouta :

- Oh mon Dieu, c'est gros, tellement gros.

Alors que les deux autres hommes le regardaient, Jean poussa encore plus sa bite tout en écartant les petites lèvres gonflées. Puis il pinça le clitoris engorgé entre son pouce et son index avant de le faire rouler. Le dos de la femme s'arqua, et son corps trembla pendant qu'un gémissement se fit entendre durant 20 secondes.

Christine eut le plus intense orgasme de sa vie sur cette bite épaisse. Cela flatta l'égo de Jean qui lui demanda :

- Alors Christine? N'arrives-tu pas à trouver d'aussi grosses queues?

A la surprise des hommes elle répondit. Etait-ce sous le coup du délire orgasmique ou qu'elle savait maintenant qu'il lui fallait des membres gros et épais, elle répondit à la question de Jean, les dents serrées :

- Non, je n'en ai jamais assez.

- Bien, parce qu'à partir de maintenant salope, tu vas souvent avoir droit à la mienne.

Sur ces mots, Jean commença à la baiser en s'assurant d'enfiler à chaque fois sa queue tout au fond de la chatte trempée de ma belle-mère qui clapotait.

Pendant les dix prochaines minutes, j'écoutai les clapotements ainsi que les gémissements étouffés. Puis jean se lassa et laissa la place à Paul qui la positionna autrement.

Penchée sur la table avec sa jambe droite posée dessus, elle était parfaitement d'équerre. Paul conduisit son membre dans la chatte et commença à la baiser durement et profondément. Les deux autres hommes attendaient derrière en se masturbant lentement jusqu'à ce que Paul eût besoin de se reposer et s'écarta pour Adam.

Cela se poursuivit pendant les trente prochaines minutes. Assis, je regardai ma belle-mère être traitée comme une vraie pute.

Ecouter Christine durant les trente minutes suivantes fut comme de la musique dans mes oreilles. J'entendis gémissements et petits cris pendant que les trois bites la baisaient selon un cycle régulier jusqu'au moment où elle éclatait dans l'orgasme et poussait un cri qui remplissait la salle pendant une minute. Puis le cycle recommençait. Elle jouit encore deux fois avant que Paul, toujours enterré dans sa chatte, lui demande :

- Demande-nous de baiser ton cul Salope. Supplie-nous de te sodomiser Christine.

Tout de suite, elle obéit et demande :

- Arrêtez de baiser ma chatte et sodomisez-moi s'il vous plaît. Je veux que vous m'enculiez tous les trois. S'il te plaît Paul, baise mon cul maintenant. Mets ta bite dans mon cul.

Plus elle suppliait, plus les hommes souriaient et la traitaient de chienne et de pute.

- On va arranger ça. Dit Paul

Il sortit sa queue de la chatte avec un plop bruyant puis il la positionna à l'entrée plissé de l'anus. Il poussa jusqu'au moment où la résistance céda et son gland sauta à l'intérieur.

- AAAHHH. Dit-elle.

- C'est bien ce que tu voulais salope? Demanda Paul tout en restant immobile jusqu'à ce qu'elle réponde.

- Oui c'est ce que je veux. Haleta-t-elle.

- De toute façon, que tu le veuilles ou non, nous aurions baiser ton cul ce soir. Si Nelson y a eu droit alors moi aussi.

Il enfonça son sexe tout à l'intérieur avant de commencer à la limer. Une fois encore, je regardai pendant les vingt prochaines minutes, les trois hommes utiliser la voie anale de ma belle-mère. Après Paul il y eut Adam puis Jean et sa grosse bite. Même si le passage était un peu desserré, Christine cria et se mit à pleurer en suppliant Jean de cesser car il était trop gros et cela la blessait. Mais jean lui répondit :

- Arrête de pleurer salope, et profite de ma bite.

Ensuite, tout en la baisant sans pitié, il lui fit répéter maintes fois qu'elle aimait sa bite dans son cul.

Quand il se retira, j'eus une belle vue sur le cul béant de ma belle-mère. Il était étiré et rouge.

Les hommes n'en avaient pas fini d'elle. Paul grimpa sur la table et tira Christine. Il l'assit sur son sexe et l'attira vers lui de telle sorte que ses seins furent écrasés sur sa poitrine et son cul accessible. Ensuite il lui dit à l'oreille mais assez fort pour que ses acolytes entendent :

- Il n'y a pas de raison que l'un de nous attende alors que tu as trois trous. N'est-ce pas?

Dès qu'elle acquiesça, Jean se présenta devant elle à l'extrémité de la table et lui tira sa tête vers le bas. Il poussa sa queue fraîchement sortie du passage anal dans sa gorge. Adam se positionna afin d'être derrière la femme et pouvoir la sodomiser.

Si Jean n'avait pas rempli sa bouche de son membre, ma belle-mère aurait été entendue du bout du village. Ses yeux s'étaient grand ouverts quand Adam avait rempli le dernier trou vacant et son corps s'était raidi. Il lui fallut un petit moment pour s'habituer à avoir trois bites en elle en même temps.

Adam et Paul trouvèrent finalement le bon rythme pour baiser ses deux trous convenablement. Elle jouit de nouveau, le corps tendu durant quelques secondes, les yeux fermés, son gémissement de jouissance étouffé par la grosse queue de Jean. Puis elle se relâcha et permit ainsi aux hommes de continuer à la pilonner.

Ils échangèrent leurs places au bout de cinq minutes : Jean dans sa chatte, Paul profondément dans son cul et Adam à mi-chemin dans sa gorge. A chaque fois qu'ils bougèrent de place, Christine eut un orgasme. Je perdis le nombre de fois où elle jouit.

Quand ils arrêtèrent, ils la conduisirent vers le canapé. Il fut facile de voir qu'elle était flageolante sur ses pieds et qu'elle avait à peine assez d'énergie pour se tenir debout. Elle était recouverte de sueur, son corps luisant et ses cheveux trempés. Des marques rouges apparaissaient sur ses seins, son cul, ses cuisses, son ventre et son dos. Elle avait été si malmenée et fessée.

Ils la tournèrent dos au canapé. Adam s'assit et la tira en arrière afin qu'elle laisse tomber son cul sur sa bite. Dans cette position l'homme put lever ses jambes et les tenir en l'air avec ses bras.

- Regardez-moi ça! Dit Jean en fixant l'entrejambe de ma belle-mère, son cul rempli par une bite et sa chatte gonflée, dégoulinante et suppliante d'être pénétrée.

Il ajouta en me regardant pour avoir mon approbation :

- Il faut que je prenne une photo.

Je ne fus pas sûr de vouloir qu'il prenne un photo en sachant qu'il était barman dans le bar où Alain le mari de Christine allait se saouler. Pendant quelques secondes je faillis dire non mais soudain je pensai aux sentiments honteux de ma soumise en sachant qu'une telle photo serait dans le téléphone du serveur de son mari. Elle serait inquiète et n'en serait que plus malléable pour moi. Alors je dis oui à Jean.

Il alla chercher son smartphone dans la poche de son pantalon sur le plancher puis se mit debout devant Christine en disant :

- Souris salope.

Il prit une première photo puis s'approcha et aligna sa bite avec l'entrée de la chatte. Il prit un autre cliché. Tout en pénétrant ma belle-mère, il photographia sa bite pendant qu'elle disparaissait et le visage de Christine exprimant à la fois la douleur et le plaisir. Alors, il la pilonna dans un rythme effréné, tout en demandant à Paul de les saisir en image sur le côté. Il leva le pouce en l'air et sourit pour le souvenir permanent s'enregistrant dans son téléphone.

Ce fut pendant le deuxième tour de Paul dans la chatte qu'Adam annonça qu'il allait éjaculer dans son cul. Paul se retira pour qu'Adam puisse encore donner trois coups pour s'enterrer profondément et vider son sperme dans les entrailles de ma belle-mère.

Puis il la souleva de façon à ce que sa bite quitte son cul et retombe. Les autres regardèrent l'anus se refermer lentement comme s'il faisait un clin d'œil. Le liquide épais d'Adam commença à couler du petit trou maltraité.

- Quelle pute! Dit Jean.

Il prit la femme et l'assit à côté d'Adam. Il repoussa ses jambes en arrière et mit son sexe dans sa chatte puis il lui dit :

- On dirait que je vais juter dans ta chatte alors Christine.

Il commença à la pilonner vite et brutalement jusqu'à ce qu'il annonce l'arrivée de sa jouissance. Avec une poussée final et un grand cri, il éclata dans son ventre, tout au fond, là où seulement sa queue pouvait aller. Après s'être retiré, il attendit que son jus s'écoule pour rajouter une image à sa collection.

- Alors je pense que je vais avoir sa bouche. Dit Paul en la tirant pour qu'elle se mette à genoux.

Il lui demanda qu'elle le suce. Après qu'elle se fut agenouillée, la semence des deux autres hommes s'échappa d'elle et forma une flaque sur le sol. Jean en profita pour prendre une autre photo.

La dernière photo qu'il enregistra fut une du visage de ma belle-mère recouvert du sperme de Paul. Celui-ci avait décidé d'éjaculer sur sa figure plutôt que dans sa gorge. Après, Christine dut sucer les bites et les couilles de chaque homme pour les nettoyer de toutes traces de liquide. Et seulement ensuite, elle fut autorisée à se rhabiller et à me rejoindre, le visage couvert de sperme.

- Tu as encore une queue à satisfaire à la maison. Lui dis-je en montrant mon bas-ventre.

Elle me sourit et me dit ok tout en me prenant le bras et me tirant vers la sortie.

- Je t'appelle pour fixer des dates. Me cria Paul à travers la porte.

- Pas de problème. Répondis-je.

Nous partîmes et marchâmes jusqu'à la maison, avec du sperme frais sur le visage de ma belle-mère. Il y resta le temps que je baise son cul sur le plancher de la cuisine et que je me vide en elle. Avant d'aller me coucher je lui dis :

- Tu as été fantastique cette putain de soirée.

- Merci Maître. Dit-elle toujours pliée en deux sur le sol, mon sperme sortant de son cul.


A suivre....

Madame et Les Flics

Texte écrit par Géronimo il y a quelques années.

Une ville huppée de la région parisienne. Une BMW Cabriolet fonce à vive allure dans les rues désertes en ce samedi soir. Il est 3h00 du matin. Au volant de ce petit bolide, Madame. Madame a la quarantaine épanouie. Madame est belle, distinguée, raffinée. Elle est l'épouse depuis plus de vingt ans du Maire de la commune. Elle est notaire, elle possède son Etude dans cette ville bourgeoise, si collet monté. Elle est également Présidente du Conseil Général. Malgré son âge, Madame a encore une silhouette de jeune fille. Elle met souvent des jupes, des tailleurs, des robes. Toujours en talons pour mettre ses jambes en valeur bien sur. Toujours en bas, auto-fixant ou porte-jarretelles, rarement des collants.

Madame revient d'une réception mondaine chez des amis. Elle a un peu forcé sur le champagne. Et elle appuie un peu trop sur l'accélérateur. Elle aperçoit trop tard le feu rouge et le grille. Quelques minutes plus tard, une voiture banalisée, gyrophare sur le toit, la rattrape et lui fait comprendre qu'il faut qu'elle s'arrête. Elle stoppe son véhicule sur le bas coté et attend. Elle peste contre les flics, comme tous bon français qui se respecte. 3 hommes descendent du véhicule. Tenues sombres, matraque à la main, 357 Magnum à la ceinture. Ils sont prudents, on ne sait jamais sur qui on va tomber lors d'un contrôle. Ils appartiennent à la BAC, la Brigade Anti Criminalité. L'un d'eux s'approche de la vitre de la BMW et tape au carreau. Madame descend la vitre. Le flic aperçoit immédiatement, éclairée par la puissante lampe torche qu'il tient à la main, les cuisses gainées de bas noirs largement dévoilées par la courte jupe du tailleur. La lampe aveugle Madame, elle ne se rend pas compte que le flic reluque ses jambes. Il lui demande ses papiers.

- Ecoutez!, lâche Mme avec un air excédé, je suis l'épouse du Maire, alors si vous ne voulez pas avoir d'ennui avec votre supérieur demain matin, je vous conseille de me laisser partir immédiatement.

Le flic ne répond pas et Mme lui tend son permis de conduire. Le flic dont elle ne distingue pas bien les traits toujours éblouie par la lampe, l'inspecte avec soins. Madame tapote de ses doigts manucurés sur le volant. Le flic lui demande de sortir du véhicule et ouvre la portière. Elle s'exécute, contrariée, énervée, outrée aussi qu'on se permette de lui faire subir cet affront !  La contrôler ? Elle ! L'épouse du Maire ! En sortant, sa jupe se relève encore plus et tous les flics matent ses jambes.

Le flic lui tend un alcootest et elle blêmit légèrement sous son maquillage. Elle sait bien que le test sera positif à cause des coupes de champagne qu'elle a bu pour accompagner le foie gras et le caviar dont elle vient de se gaver tout en discutant du problème terrible de la faim dans le monde.

Elle souffle dans le ballon et ses lèvres s'arrondissent autour de l'embout. Elle intercepte le regard ironique des flics qui s'imaginent Dieu sait quoi. Le résultat est positif bien sur et celui qui semble être le responsable lui dit qu'il va falloir verbaliser. Madame est folle de rage, elle tape du pied au risque de casser les talons aiguilles de ses escarpins italiens.

- Mais je vous dis que je suis l'épouse du Maire. Vous voulez me la mettre votre foutue amende ? Allez-y ! Demain je la ferai sauter, je connais très bien le Sous Préfet qui est un ami, ça ira loin, je vous préviens !

Le flic fronce les sourcils et lui demande s'il s'agit d'une menace. Il lui dit qu'il n'a pas peur des petites bourgeoises comme elle qui se croient tout permis parce qu'elles sont riches ou que leur maris exerce une fonction importante. Et là, Madame va commettre l'irréparable.furieuse, hors d'elle, elle gifle le flic..

Apres un moment de flottement, ses collègues réagissent. Madame est retournée et plaquée sur le capot de sa BMW. Les seins écrasées, elle pousse un cri. Les flics lui disent qu'après cet acte de rébellion, elle est en garde à vue pour outrage envers un policier dans l'exercice de ses fonctions. Une fouille corporelle est nécessaire. On commence à la palper. Des mains remontent sur ses jambes gainées de bas noirs. On palpe son corps sous toutes les coutures. Madame est furieuse et n'arrête pas d'insulter les fonctionnaires de police, ce qui aggrave son cas. Elle sent une main baladeuse qui s'infiltre rapidement sous la jupe de son tailleur noir Yves Saint Laurent. Le temps de vérifier si elle porte un string peut être ? Madame ensuite est relevée, ses cheveux sont en bataille, elle est toute rouge et bafouille que c'est scandaleux. Elle se débat quand elle sent qu'une main se faufile dans l'échancrure de la veste de son tailleur. Dessous, elle ne porte qu'un soutien-gorge en satin noir qui retient une opulente poitrine. La main malaxe ses seins. Les commentaires vont bon train.

- Putain ! Quelle salope, elle ne porte rien en dessous.

Madame proteste. Elle rue, donne des coups de pieds. On retrousse sa jupe qui se retrouve enroulée autour de sa taille. Sifflements admiratifs quand les flics pervers réalisent qu'elle est vêtue d'un porte-jarretelles noir avec un string de même couleur. La fouille à corps continue. On écarte le string et des doigts inquisiteurs caressent sa vulve, son clitoris. Madame pousse un cri devant cette agression caractérisée. Elle supplie, gémit... On a ouvert la veste de son tailleur et dégagés ses seins des balconnets. Ils sont malaxés par un des flics qui respirent comme un bœuf, tout rouge. Il se penche et suce la pointe, léchant les mamelons. Elle hurle. On la contraint à sucer la matraque. Ses lèvres pulpeuses vont et viennent autour de la matraque comme s'il s'agissait du sexe d'un homme. Plusieurs doigts se sont introduit dans sa chatte et elle est masturbée sans ménagement. Madame a chaud, elle ressent une étrange sensation.. Elle a peur mais elle est excitée aussi. Ces hommes se servent d'elle comme d'un jouet, comme d'une poupée vivante à qui on peut faire tous ce que l'on désire. Elle est devenue leur esclave. Leur chose. Madame sent, à sa grande honte, de la cyprine qui coule. Le flic qui lui a enfourné son index et son majeur dans sa chatte s'en rend compte et le dit aux autres.

- Elle mouille cette chienne, une vraie salope.

Madame frémit sous l'insulte. Mais un flot de mouille se répand sur les doigts de ce flic. On lui fait toujours coulisser la matraque dans la bouche et elle salive dessus. Celui qui la masturbe s'arrête et sort sa bite dressée.

- Ça suffit, arrête avec la matraque, elle va me sucer la bite, cette salope.

Madame doit s'agenouiller, le sexe tendu devant ses lèvres, elle hésite. Elle ne peut pas faire cela. Une main ferme se pose sur sa nuque et la pousse vers le sexe du flic. Il parait énorme à Madame. Elle a un haut le cœur quand la bite s'engouffre dans sa bouche et va heurter sa glotte. On guide sa tête dans un mouvement de va et vient en la tenant par les cheveux. Elle s'active sur la queue qui rentre et qui sort de sa bouche. On lui ordonne de lécher les couilles et elle s'exécute. Puis, la tirant par les cheveux , elle doit pomper une autre bite, encore plus grosse a-t-elle l'impression.. Puis c'est le troisième. Elle alterne entre les trois, agenouillée à leurs pieds comme une esclave docile. Les flics donnent des coups de reins violents pour s'enfoncer encore plus loin dans la bouche accueillante de cette bourgeoise friquée qui les insultaient il y a encore cinq minutes. Quelle revanche ! Madame a empoigné un des sexes dressés et le masturbe dans l'espoir qu'il éjacule. Mais le flic ne compte pas en rester la. Il redresse Madame et la poussant vers sa voiture la courbe en avant, les seins écrasés sur le capot. Il lui frappe le cul et il rougit rapidement. Madame pousse un cri à chaque fessée. Il prend la matraque et l'enfonce dans la chatte dégoulinante de l'épouse du Maire qui pousse un gémissement. Il fait coulisser rapidement la matraque dans le con de la malheureuse. Les halètements de ce flic pervers résonnent dans la nuit. Bientôt, se joignent à ces halètements les gémissements de Madame. Elle ondule du cul. Ses mains griffent le capot. Elle pousse un feulement rauque.

- Oh Mon Dieu, Oui.oui.Non.Je ne veux pas.Arrêtez !

Un des flics lui pince le nez la contraignant à ouvrir la bouche et lui enfonce son sexe dedans. Automatiquement, elle commence à le sucer. On lui retire la matraque et le flic, s'agrippant aux hanches de Madame, s'enfonce dans sa chatte et commence à la limer brutalement lui donnant de violents coups de reins. Madame pousse un cri étouffé par la bite qu'elle pompe avec frénésie. Le ventre du flic claque contre les fesses de la femme du Maire. Il se retire et il est remplacé par celui que Madame suçait. A son tour, il s'enfonce dans le ventre de Madame qui pousse un gémissement sourd. Une queue se matérialise soudain devant elle et elle ouvre la bouche aspirant la queue.

Le manège dure un bon moment. Pouvant profiter de cette bourgeoise arrogante, les trois flics ne s'en privent pas. Madame est défoncée comme une chienne. A quatre pattes, la matraque dans le cul pour qu'elle s'habitue, elle sera contrainte de faire le tour de sa BMW sous les rires de ces ignobles fonctionnaires. Puis elle sera enculée, la bite des flics forçant ses reins. Elle poussera un hurlement strident et de peur qu'elle réveille le voisinage, on lui enfoncera son string dans la bouche pour étouffer ses cris. Son corps tressautera sous les coups de boutoirs de ses enculeurs. Prise en levrette, à genoux sur le sol, les genoux écorchés, les bas filés, elle sera envahie par ces bites de toutes les façons. Elle sera même prise par les trois trous, empalée sur une bite dressée, enculée par un autre pendant que le troisième se fera sucer. Ils la défonceront dans cette position pendant un bon quart d'heure. Elle sera allongée sur le sol et positionnant son sexe entre ses gros seins, elle devra masturber un des flics avec pendant qu'elle continue de sucer un autre. On lui relèvera ses jambes à la verticale et elle sera baisée de cette façon. Combien de temps tout cela a t' il duré ? Madame serait incapable de le dire. Les trois flics ont abusé de ce corps pendant des heures. On la positionne finalement à genoux et les trois hommes autour d'elle, le sexe à la main, se masturbe en respirant bruyamment. On lui ordonne de s'approcher, d'ouvrir la bouche et elle se soumet, domptée. Elle a la chatte en feu, son trou du cul lui fais mal, sa mâchoire est endolorie à force d'avoir sucé toutes ces bites. Le premier éjacule en poussant un grognement. Son sperme jaillit éclaboussant le visage de Madame. Elle en a dans les cheveux, des filaments coulent sur son front. L'autre lâche des traînées de foutre qui vont s'écraser sur ses seins. Le troisième enfin la contraint à avaler sa semence qu'il vient de lui envoyer par longues saccades dans sa bouche. Madame s'exécute manquant vomir de dégoût. C'est la première fois qu'elle avale du sperme.

On la relève.elle titube sur ses talons aiguilles et on la soutient pour la ramener à son véhicule. Un des flics lui dit que c'est bon pour cette fois et qu'elle n'aura pas d'amende.Qu'est ce qu'il ne faut pas faire.la prochaine fois, vous pouvez être sur que Madame sera plus respectueuse à l'encontre des forces de l'ordre.

FIN

Le bistro Ch. 02

Texte écrit en 2009 par Nadi69.

L'invasion de mon domicile.

Je remarque que celui qui s’est adossé à la porte tient un sac de sport dans sa main gauche et me regarde avec un sourire sadique, et admiratif en même temps.
Je ne peux quitter des yeux ce grand noir qui semble me déshabiller du regard. Hypnotisée, je ne sens pas l’autre arriver derrière moi, prendre le nœud de la ceinture de ma sortie de bain, de le détacher et de tirer vers lui mon peignoir qui s’envole dans la pièce.

    • Ne bouge surtout pas et laisse-toi faire. Chuchote le grand noir dans mon oreille.

Il prend mes deux bras et les rejoint dans mon dos. Avec la ceinture de ma sortie de bain, il lie mes poignets ensemble et me lèche l’oreille droite en disant :

    • Je suis sûr que tu vas être bonne toi.

    • S’il… S’il vous plait… S’il vous plait, je suis fatiguée… revenez un autre jour… S’il vous plait…

    • Un autre jour ma petite pute ? N’y compte même pas...Monsieur Jean, le patron du café, nous a demandé de faire de toi une vraie petite pute pour lui. Déclare le noir appuyé contre ma porte d’entrée.

    • Et vu le corps que tu as cela va être un vrai plaisir !

Le noir qui a attaché mes poignets se tient toujours derrière moi et malaxe mes seins en tirant et pinçant mes tétons. A plusieurs reprises, il me lèche le visage en disant que j’ai bon goût pour une pute blanche.

    • Au lieu de nous supplier de partir, tu vas nous supplier de te baiser ok ? Fait le noir dans mon dos
    •
    • Je… je…

Il pince fortement un de mes tétons et répète sa phrase :

    • Supplie-nous de te baiser salope !

    •  Aie ! S’il vous plait… Je… Non… Aie… Pitié !

    • Alors on attend ! Dit l’autre noir.

    • Je… Je… je vous prie de bien vouloir…me… bai...baiser.

    • Mieux que ça ! Dit le noir derrière moi en pinçant de plus belle mon téton déjà meurtri.

    • Aieee !... Je… Aie ! Baisez-moi… s’il vous plait !

    • C’est déjà mieux, mais je suis sûr que tu peux mieux faire…

Ils me font répéter à de nombreuses reprises des phrases vulgaires, pour les supplier de me baiser de toutes les façons possibles.

Ce jeu dure plusieurs longues minutes, pendant lesquelles, je subis des pincements, des caresses et des pénétrations de doigt dans le vagin et le derrière. Puis chacun d’eux m’embrasse de façon baveuse, m’obligeant à avaler leur salive. Ils me font sucer leurs doigts qui sortent de mon vagin.

Lorsque ma bouche est libre, ils me font les supplier de me baiser. C’est un véritable lavage de cerveau qu’ils m’imposent. Je suis dans un état de jouissance extrême à cause de leurs caresses et des phrases de plus en plus vulgaires, qu’ils m’obligent à répéter sans cesse et de plus en plus fort.

Je suis entraînée dans ma chambre et couchée sur le dos au bord du lit. Mes jambes pendent en dehors, mes bras attachés dans le dos. Ainsi je leur offre mon bassin.
Ils se déshabillent tous les deux et je peux voir avec un certain effroi, la taille de leurs sexes qui ne sont même pas encore en érection totale. Leur corps athlétiques et noirs me font un effet bizarre, comme un mélange de peur et d’envie. Mes intestins ne sont plus qu’un énorme nœud et ma gorge se serre si bien que j’ai des difficultés à respirer.

Pendant que le plus grand des deux noirs se place entre mes cuisses largement écartées, le second m’oblige à ouvrir la bouche et y engouffre un bâillon-boule, qu’il s’empresse d’attacher derrière ma tête.

    • Tu en as de la chance, tu me donnes tellement envie de te baiser que cela va être un vrai plaisir et puis tu n’as pas arrêté de nous supplier, alors on va te baiser toute la nuit. Dit le plus grand.

    • T’inquiète pas petite pute, on va bien s’amuser tous les trois ! Hein Abdou ! Dit l’autre gars.

« Le grand noir s’appelle donc Abdou » Pensai-je dans des brumes d’excitation. Il promène son gland sur mes cuisses et ma fente forçant légèrement l’entrée. Il caresse mon clitoris bien dur avec le bout de son sexe qui devient de plus en plus dur et grossit encore plus.

Alors que, je me berce de ses caresses, il s’enfonce en moi brusquement et violemment. Je crus qu’il m’ouvrait en deux et j’eu l’impression d’avaler la boule qui se trouvait dans ma bouche tant le souffle me manqua lors de cette intrusion brusque.

Il commence à me limer comme un dingue faisant exploser mon taux d’adrénaline et m’obscurcissant complètement l’esprit. Tout mon corps supporte les assauts d’Abdou. Dans ma tête résonne le bruit du lit qui se déplace à chaque pénétration de son sexe en moi.
Puis, tout devient beau, la douleur et le rythme de la pénétration font éclater en moi une onde géante de plaisir. La situation, mon corps lié et trituré par les mains de l’autre noir, plus les coups de rein monstrueux d’Abdou dans mon corps, font en sorte de faire exploser un orgasme sans précédent. Je ne sais plus rien, mon cerveau ne pense plus, seul ce monstrueux sexe qui coulisse en moi et qui me donne tant de plaisir compte pour moi. A ce moment précis, je crois que j’ai atteint le but de ma vie. Plus rien ne compte, plus rien n’a d’importance à part ce sexe qui entre et sort à une allure folle de mon corps.

Alors que le bout du sexe d’Abdou tape contre le col de mon utérus, me faisant voir à chaque fois l’infinité de l’univers, le grand noir décide de se retirer complètement de moi, me laissant un vide immense dans mon ventre.

    • A toi Salim ! Elle est à point. S’écria Abdou.

Le temps de réaliser ce que mon cerveau vient d’enregistrer, le Salim en question se place entre mes cuisses et me pénètre sans aucune précaution. Je reçois ce deuxième sexe presque comme une offrande et ma jouissance reprend aussi vite que les allers et retours de Salim dans mon vagin.

Alors, commence pour moi la nuit la plus jouissive de ma courte vie d’adulte. Pendant un temps impossible à évaluer ils se relaient dans mon vagin, sans jamais jouir, leurs sexes étant lubrifiés par mes sécrétions continuelles et abondantes.

Ce fut Salim qui conclut cette première partie en jouissant abondamment en moi. Il est remplacé par Abdou qui met plus de dix minutes à me limer comme un fou avant de me remplir lui aussi de son sperme tellement abondant que mon vagin déborde à chaque enfoncement.

Ils me laissent ainsi, à bout de souffle, toujours attachée et bâillonnée, sur le lit et lorsqu’enfin, je reprends mes esprits et le contrôle de mes pensées, je peux distinguer aisément le bruit caractéristique de vaisselle dans ma cuisine.
Je me rends compte alors qu’en fait, ils sont en train de vider mon frigo et mangent et boivent ce qu’ils trouvent.

Ce répit ne dure que le temps de se remplir l’estomac car, je les vois revenir, le sourire jusqu’aux oreilles, en me disant que, maintenant, ils vont enfin me baiser comme, je le mérite.

    • C’est un vrai cinq étoiles chez toi. Fait Abdou.

    • Ouais ! Et maintenant qu’on a repris des forces on va pouvoir te prendre de tous les côtés, petite pute. Confirme Salim.
Instinctivement, je referme mes cuisses mais Abdou les ouvre sans aucune peine et prenant le couvre-lit, sur lequel je suis couché, les jambes toujours hors du lit, il m’essuie l’intérieur des cuisses et ma vulve dégoulinante de leurs spermes.
Ensuite, Il me retourne comme une crêpe et place son sexe contre mon anus.
Une angoisse et peur s’empare de moi croyant qu’il va me pénétrer comme il l’a fait dans mon vagin, mais son sexe redescend jusqu’à l’entrée de ma vulve et me pénètre de quelques centimètres. Il ressort et replace son gland sur mon anus mais, cette fois en poussant.

La poussée exercée sur mon anus est continuelle et de plus en plus forte, ce qui fait ouvrir le passage et Abdou rentre complètement son sexe en moi. La douleur de cette pénétration arque mon corps et me soulève presque à 90° vers l’arrière.
Mon cri étranglé par la boule-bâillon, n’est qu’un grognement à peine audible mais il explose dans ma tête.

Abdou profite du redressement de mon torse pour m’attraper les deux seins et me redresser complètement contre lui. Mon corps quitte la surface du lit, mes reins se creusent à cause de mes poignets liés dans mon dos et le poids de mon corps renforce la pénétration du sexe d’Abdou dans mon derrière.

    • Waouh ! Elle est aussi étroite du cul que du vagin ! S’écrie Abdou dans mon oreille.

    • Tiens la bien j’arrive. Dit Salim en s’approchant de moi, son sexe tendu vers mon ventre.

Abdou resserre sa prise sur mes petits seins et Salim présente son sexe tendu à l’entrée de mon vagin. La pénétration de Salim est lente et douloureuse. Jamais je n’ai eu deux sexes en moi et l’impression de m’ouvrir en deux, fait une fois de plus monter une jouissance incommensurable depuis mon ventre jusqu’au tréfonds de mon cerveau.

Plus le sexe de Salim entre en moi, plus le sexe d’Abdou veut ressortir. Alors il me lâche brusquement les seins et attrape mes cuisses pour les tirer vers lui. Mon corps bascule vers l’avant mais sur la poitrine de Salim, qui en profite pour donner un formidable coup de rein et s’enfoncer complètement en moi.
Nos deux pubis se touchent et ses poils durs et crépus, griffent le mien complètement rasé. Ma poitrine écrasée contre le torse de Salim me fait ressentir toute la dureté de ses muscles pectoraux.

Je suis coincée entre les deux noirs et mes pieds ne touchent plus le sol. Salim met ses mains entre le ventre d’Abdou et me fesses et tire vers lui, pendant qu’Abdou tire mes cuisses vers son corps. Les deux pénétrations sont totales et sans que ni l’un ni l’autre ne bougent en moi, un orgasme titanesque me submerge et mon corps est secoué de spasmes.

    • La salope ! Elle jouit et on n’a même pas commencé. S’écrie Salim.

    • T’inquiète, elle va voir ce que deux noirs peuvent faire avec leur queue.

Je ne peux décrire ce qui se passa ensuite. Le seul repère que mon cerveau retint c’est le va et vient des deux sexes en moi.
Ni le temps, ni la fatigue, ni même le plaisir ou la douleur ne laissèrent de trace en moi. Seul le ramonage ininterrompu des deux sexes marqua mon esprit.
.
Lorsque je reprends mes sens, je suis allongée en chien de fusil sur le lit et une douleur sourde mais supportable émane de mon entre-jambe.
Le brouillard de mon esprit disparait lentement laissant derrière lui des limbes de plaisir et de jouissance.
Je vois avec effroi Abdou et Salim s’approcher de moi, leur sexe à l’horizontal comme s’ils n’avaient pas encore baisé.

    • Alors petite salope, prête pour la troisième partie ?

    • Grumf !... Grumf !...

    • On ne parle pas la bouche pleine ! Dit Salim en me donnant une claque sur les fesses.

    • T’as raison mon pote, elle est mal élevée cette petite pute.

Ils me détachent et ôtent mon bâillon. Je veux me redresser mais aucune force ne me permet de bouger. Je suis comme paralysée, vidée de toute énergie.
Ils me retournent et mettent ma tête au bord du lit. Puis, ils me flagellent le visage avec leur sexe tendu et dur.

    • Alors Salope, tu en veux encore ? Demande-le-nous gentiment ! Dit Abdou.

    • Ouais c’est ça ! Demande-nous. Renchérit Salim.

N’ayant aucune force pour lutter, mon esprit complètement perturbé par ce que je viens de subir et ne voulant pas trop souffrir, je leur dit les phrases qu’ils m’avaient fait répétée sans cesse au début et qui s’étaient imprimées dans mon cerveau :

    • S’il … vous… plait, Monsieur Abdou… baisez-moi ! Mettez… votre grosse… heu… queue en moi !

    • Ouais c’est bien ! Continue salope !

    • Remplissez-moi…heu…de votre…heu…. sperme ! Mettez …votre grosse queue dans mon cul !

Les phrases viennent toutes seules et avec de plus en plus de facilité pour mon cerveau et mon éducation. Je comprends alors avec effroi, qu’ils m’ont conditionné l’esprit et que mes propres paroles m’excitent réellement.

Je mouille ! Je n’en crois pas mon corps mais ce que je dis m’excite au plus haut point. Leur sourire béat me confirme que, ce que je supplie, leur plait.

    •  Ok ma salope ! Puisque tu le demandes, tu vas en avoir !

Ils me mettent à genoux, à côté du lit, mais comme je ne peux tenir droite, Salim me prend les bras et les met en arrière sur le dessus du lit et me tient les poignets.

Abdou prend ma tête et pousse son sexe sur ma bouche. Il baise ma bouche comme si c’est un vagin. Je ne peux même pas le sucer ou l’aspirer, Abdou n’en tient pas compte. Il fait de douloureux va et vient au fond de ma gorge, me faisant saliver abondamment.
Bien sûr, à peine la moitié de son sexe entre dans ma bouche et touche le fond de celle-ci. Mais Abdou n’hésite pas à essayer d’aller plus profondément, avec comme conséquence une brusque envie de vomir pour moi
.
Après un temps qui me semble l’éternité, il se retire et place son gland sur le bord de ma langue et se masturbe de plus belle.
Ma bouche grande ouverte, la langue tirée à fond, je sens avec une seconde de retard le moment de son éjaculation.
Le premier jet est d’une telle violence qu’il s’engouffre directement dans ma gorge. Il est suivi de deux autres tout aussi violents puis de quelques-uns moins abondants et plus espacés.

    • Avale salope ! Sont les seules paroles d’Abdou.

Ce que je fais évidemment. Ensuite il me fait lécher son sexe et propose à Salim de le remplacer.
Je reprends seulement mon souffle que le sexe de Salim envahit ma bouche et c’est reparti pour un tour

Plus personne ne tient mes poignets et je dois m’accrocher au couvre-lit pour ne pas m’écrouler sur mes talons. Mes bras tirés en arrière commencent à me faire mal, mais coincée comme je le suis, je ne peux rien y faire. Ma nuque contre le bord du matelas, permet à Salim de me pénétrer la bouche, le plus loin possible. Mes mâchoires commencent à me faire mal et des larmes coulent toutes seules de mes yeux. C’est alors que je sens un objet dur et froid se placer contre ma vulve.

    • Ecarte ! Ordonne Abdou.

J’obéis immédiatement et l’objet commence à me pénétrer. Salim s’en donne à cœur-joie dans ma bouche et je sens cet objet s’enfoncer de plus en plus écartant de plus en plus fort mes parois vaginales. J’ai une montée d’adrénaline et en même temps ma gorge s’ouvre sous la poussé de Salim. Son sexe s’enfonce, dépassant allègrement ma luette et bloquant ma trachée artère, me coupant la respiration. Ma gorge semble doubler de volume et l’envie de vomir disparaît. Mon nez est brusquement en contact avec les poils frisés de Salim et mon menton touche ses testicules.

Je comprends, en un dixième de seconde, que l’entièreté de son sexe est en moi. En même temps, l’objet que l’on introduit en moi est brusquement absorbé par mon vagin et celui-ci se referme sur la chose.

    • Putain, je suis à fond dans sa gueule ! Rigole Salim.

C’est aussi à ce point que je sens, une fois de plus, un orgasme monter à l’allure d’un tgv en furie. Sans doute excité par le fait d’être entièrement dans ma gorge, Salim jouit brusquement et je sens parfaitement les jets de sperme descendre dans mon œsophage.
Puis c’est le voile noir de la jouissance et le manque d’air qui me font perdre conscience.

Lorsque je reviens à moi, je suis couchée sur le sol de la chambre. Mon regard se porte sur mon réveille-matin et mon cerveau enregistre 4h15.

Cela fait plus de cinq heures que je suis entre les mains d’Abdou et de son complice. Mon corps reprenant vie me fait comprendre que quelque chose me gêne entre les jambes et dans mon derrière.

Je soulève la tête péniblement et voit l’origine de mes différentes douleurs. Une grosse corde me ceinture la taille et passe également entre mes cuisses. Mais la corde ne rentre pas entre mes lèvres vaginales et semble plutôt retenir un objet en moi. Je sens aussi un objet profondément retenu par la même corde dans mon derrière. Je veux toucher avec mes mains mais je me rends compte que celles-ci sont liées ensemble et reliées à un pied de mon lit.

    • Aaaah ! Enfin elle se réveille. Dit Abdou.

C’est alors qu’une vibration se fait sentir dans mon corps mais, surtout dans mon derrière.

    • On va voir combien de temps il lui faut pour jouir.  Fait Abdou en me montrant un petit objet dans sa main.

Un fil électrique en sort et descend vers le sol. Je comprends qu’ils m’ont enfilé un godemiché vibrant. Mais pendant que mon cerveau enregistre ce nouveau moyen d’excitation, une nouvelle montée d’adrénaline se fait en moi.

    • Ouais ! Comme tu dis ! On va voir combien de temps elle tiendra et combien d’orgasmes elle aura. Confirme Salim s’approchant de moi, me faisant rouler sur le dos et plaçant sa main sur la chose enfoncée dans mon vagin.

Alors que tout mon derrière vibre au rythme du gode, lorsque Salim retire sa main, quelque chose semble bouger dans mon vagin. Un autre godemiché vibrant est maintenant en fonction dans mon vagin. Seulement celui-là semble bouger dans mon vagin et non vibrer comme celui dans mon derrière.

Les deux noirs s’amusent de me voir me tordre dans tous les sens sous l’influence de leurs jouets.
Abdou augmente puis diminue l’intensité des vibrations dans mon derrière. Bien sûr, il ne faut que quelques minutes de ce traitement pour que je me torde de plus belle sous des orgasmes multiples et allant en crescendo.

Une fois de plus, je perds toute notion du temps et de la réalité, pour me réfugier dans une inconscience complète.

Je reprends connaissance avec un sentiment de vide complet et une vibration de mon corps. L’appartement est silencieux et la lumière du jour se profile derrière mes tentures.

Je suis toujours allongée sur le sol et les godemichés en moi fonctionnent faiblement. Ne sentant pas encore mes bras et me croyant toujours attachée, je remue les jambes lentement pour écarter mes cuisses au maximum, persuadé que cela me fera du bien.

Mes bras n’ont pas changé de position et sont toujours tendus vers l’arrière de ma tête. J’essaie de bouger un bras et suis agréablement surpris que ce dernier exécute le mouvement demandé. Je mets ma main entre mes jambes pour sentir que les godemichés en moi sont encore bien présents. Je cherche à tâtons le nœud de la corde qui maintient ces godes en moi.

« Les salauds, ils ont fait le nœud dans mon dos ». Pensé-je.

Je me mets à plat ventre et cherche le nœud. Je mets un temps infini pour le défaire et tout autant pour me détacher et enlever les godemichés toujours en fonction de mon corps.
Je ressens aussi avec un certain effroi, tandis que je retire les godemichés en moi, une nouvelle excitation monter depuis mon ventre. Mais elle cesse dès que mon anus et mon vagin sont libérés de ces instruments.

M’asseyant en tailleur, je regarde la taille énorme des godes ainsi que les sécrétions qui dégoulinent, mélange probable de sperme et de ma propre mouille. Celui de mon derrière semble le plus « sale » car il est maculé de taches brunâtres. Celui qui sort de mon vagin semble avoir été trempé dans un bol de sperme tellement il dégouline.

Je ne sais pas ce qui me prend, devins-je folle, mais ma langue sort toute seule de ma bouche et je lèche avec un certain plaisir ce godemiché dégoulinant de sperme. Je me surprends à le nettoyer complètement et même à le remettre en moi pour y chercher encore le sperme stagnant dans mon vagin.

Des applaudissements retentissent dans mon dos, me faisant me retourner pour voir avec effroi, Abdou, Salim, tous deux rhabillés, et le patron du café qui applaudissent le léchage du godemichet.

    • Je constate qu’Abdou et Salim ont fait du bon travail. S’exclame le patron du bistrot.

Puis il continue :

    • Puisque tu es prête tu viendras ce soir, vers vingt heures, habillée d’une simple et courte robe. Rien en dessous ! Et tâche d’être à l’heure !

Ensuite, tous les trois tournent les talons et quittent mon appartement.

    • A ce soir ! Crient en cœur Abdou et Salim.

Je comprends à ce moment précis que je vais devenir leur chose, leur pute. Et au lieu d’être complètement dégoûtée des hommes et du sexe, je pense déjà, avec envie, aux sexes qui vont me faire jouir ce soir.

Je veux me lever mais mes jambes ne peuvent supporter le poids de mon corps. Je me traîne vers mon lit et avec le peu de force qu’il me reste, je me hisse dessus et m’endors de suite.

Lorsque je regard mon réveille-matin, je vois 15h26 et je me sens au mieux de ma forme. Seule une petite douleur à la gorge et à mon derrière me reste comme séquelle de cette nuit de folie.
Je me douche longuement, appréciant l’eau chaude sur mon corps, puis je m’habille de façon provocante et sortie faire quelques courses, car Abdou et Salim ont réellement vidé mon frigo.

A peine dans la rue, le regard des hommes et parfois même leurs réflexions, me font mouiller comme pas possible.
Je passe, sans le faire exprès, devant le bistrot de Monsieur Jean et les clients, en terrasse, ne manquent pas à leur habitude de me « vanner » avec leurs propositions sexuelles.

Je fais mes courses et revient à mon appartement en évitant cette fois la rue du bistrot. Je place mes courses au frigo j’allume mon ordi.
Je fais un résumé assez détaillé de ma nuit, à ma Maîtresse Marie, dans l’espoir, qu’elle soit satisfaite de moi, puis je m’installe dans le divan, pour regarder la télé, en attendant de me retrouver au bistrot, à la disposition de Monsieur Jean.


A suivre……