Récit de Patricia2 (2010)
*****
Fin de mon dressage.
Comme Pierre m’en avait parlé, j’allais avoir l’occasion de me racheter et de donner satisfaction à une autre de ses relations, je lui demandai combien d’hommes y allait-il y avoir. Il me répondit que cela ne me regardait pas, mais que ce qui allait m’arriver avait été orchestré dans les grandes lignes.
Je m’habillai comme la fois précédente : jupe courte, cuissardes, chemisier, et mon collier. Pierre me conduisit en voiture jusqu’à un portail et me dit :
- C’est là, donne satisfaction !
Il me tendit une enveloppe que je devais remettre. Je sortis, regardai la voiture s’éloigner, puis je me décidai à sonner,. Le portail s’ouvrit, je me dirigeai vers la porte d’entrée de la maison. Une distance d’environ 15 mètres m’en séparait. Un mot scotché sur la porte :
« Tu te déshabilles, tu mets le bandeau qui se trouve à terre sur tes yeux, et à genoux ! La phrase magique à dire : je suis je suis venue pour me faire dresser et me faire monter ! »
Je regardai aux alentours s’il y avait peu de vis-à-vis. Des deux fenêtres d’où on pouvait me voir, je ne vis personne derrière les vitres.
Je me déshabillai, mis le bandeau, à genoux, j’attendis un long moment. Ils me faisaient déguster mon humiliation, moi, qui, étant plus jeune m’amusais a faire marcher les garçons, et à présent être à leur entière disposition, et devoir donner satisfaction, m’abandonner à eux, combien seraient-ils ?
J’entendis la porte s’ouvrir, je prononçai la phrase magique, et tendis l’enveloppe, il l’ouvrit et lut a haute voix :
« MODE D’EMPLOI DE PATRICIA :
Si vous lisez cette lettre, c’est que vous avez devant vous Patricia, et cette lettre est en quelque sorte son mode d’emploi :
C’est une bourge particulièrement salope, elle est aussi bien clitoridienne que vaginale, elle mouille rapidement et facilement.
Il est préférable de la fouetter avant de la posséder, elle n’en éprouvera que plus de plaisir et se donnera avec plus d’ardeur.
Elle suce bien, mais peut s’améliorer, ne pas hésiter à la faire sucer le plus possible et avaler, ne pas hésiter à l’humilier, elle apprécie.
Voilà, je vous en souhaite bonne utilisation, et surtout n’hésitez pas à la punir si elle ne vous donne pas satisfaction. Je m’en chargerai également dès son retour (c’est la double peine) »
Je sentis une main me pincer fortement le bout d’un de mes seins. Il me fit me relever et m’entraîna à l’intérieur.
- Messieurs, je vous présente Patricia, la salope que nous attendions.
Il m’ordonna de mettre les mains sur les hanches, comme une pute qui vend son corps et retira mon bandeau.
J’ai cru que j’allais défaillir, horreur, un copain de FAC, Philippe se trouvait devant moi, je le reconnus facilement, il n’avait guère changé. A l’époque je l’avais fait marcher, lui posant des lapins, jouant avec ses désirs pour moi sans rien lui accorder, cela faisait partie des jeux de filles. Philippe ne marchait pas, il courait, le type de l’amoureux transi.
Comment Pierre avait-il fait (facebook ?). Il est machiavélique, j’étais livide. Nue devant lui, je sentis le bout de mes seins s’ériger, je m’en voulais de ne pouvoir les contrôler, cette situation humiliante plaisait aux bouts de mes seins, nue devant lui et à sa merci, à devoir lui obéir, le satisfaire. J’avais envie de protéger ma poitrine, mon sexe avec les mains, mais je pensai au fouet entre les jambes, et je pensai que je devais affronter, surmonter cette épreuve, je devais être à la hauteur, ne pas décevoir.
A la FAC et par la suite, j’avais le pouvoir sur les hommes, à présent, c’était l’inverse, ma vie avait basculé depuis que je connaissais Pierre.
- Alors la bourge, comme on se retrouve, te souviens-tu de moi ?
- Oui Philippe !
- Tu te souviens de m’avoir fait marcher et même courir ?
- Oui, mais cela fait longtemps, et ce n’était pas méchant !
Je reçus une paire de gifles (j’ai l’impression que les hommes aiment bien me gifler)
- C’est moi qui parle et juge, toi qui obéis ! Je n’ai rien oublié, et tu dois bien te douter que lorsque Pierre est venu me demander ce service, j’ai pris grand plaisir à accepter, participer à ton dressage est intéressant et te fera le plus grand bien ! J’ai invité quelques copains, mais c’est bien pour te rendre service, pour te faire plaisir… D’abord, tu vas nous parler de toi, ensuite nous t’utiliserons comme doit l’être une femme dans ton genre !
Il me fit asseoir sur une table basse, les fesses juste au bord, les bras croisés derrière le dos, les cuisses grandes ouvertes. Il attacha des pinces à mes lèvres avec des poids (tout en visitant mon intérieur humide) pour bien ouvrir ma chatte. Ils étaient face à moi assis sur fauteuils et canapés à me détailler, je reçus une autre paire de gifles (c’est bien ce que je disais me gifler doit être leur plaisir aux hommes).
- C’est pour le passé, et ce ne sera pas la dernière ! Nous allons jouer aux questions réponses, c’est pour faire connaissance, pour t’utiliser au mieux. Si tu ne réponds pas assez vite c’est une gifle, si tu mens (nous le saurons), c’est une paire !
Et les questions commencèrent :
A quel âge je me suis fait baiser pour la première fois ? à quel âge j’avais commencé à sucer ? à avaler ? si je préférai être montée sans ménagements ou avec douceur, si je préférai les longues queues dans la bouche ou les épaisses ? quels étaient mes fantasmes (elle fait mal cette question, humiliante, et surtout d’y répondre avec franchise), etc...
Je devais répondre en regardant dans les yeux la personne qui m’avait posé la question.
Je reçus seulement une fois une paire de claques (oui, encore une), de temps en temps un des hommes introduisait deux ou trois doigts dans ma chatte (que je maudissais, car elle s’ouvrait), pour me masturber, pinçait mon clitoris, me pinçait le bout des seins et installait des pinces a linge, je grimaçais de plaisir ainsi que de douleur, avec une forte envie de serrer les cuisses.
Les questions cessèrent, ils me firent les sucer les uns après les autres, eux, assis et moi à genoux devant eux, c’était pour me faire faire connaissance avec leur queue, ils n’allèrent pas jusqu’au bout.
Philippe, lui, préféra se lever, et moi à genoux devant lui, il voulait que je lui « vide les couilles », (le moment redouté arrivait), je le haïssais, j’allais y être obligée. Philippe vint m’attraper par les cheveux plaça ma tête devant la fermeture de son pantalon.
- Allez suce Patricia ! et correctement, il faut que tu me donnes satisfaction sinon…
Je fis glisser la fermeture, dégrafai la ceinture, fis descendre le pantalon puis le slip, je retardai l’instant. Son sexe était à présent dressé devant moi, je me décidai, je pensai que c’était le sexe d’un autre que Philippe, cela m’aidait, je suçai la verge, les grelots, la décalottai et l’enfournai dans ma bouche la faisant aller et venir, je pensai à ce qui m’attendait si je ne donnais pas satisfaction. Mon amour propre et orgueil en prirent un coup, j’y mis beaucoup d’applications, d’ardeur.
- Jusqu’au bout Patricia et tu avales ! cela me fait plaisir de te voir me sucer à genoux, la bourge sophistiquée devenue catin, je reconnais que tu es une bonne suceuse, tu verras tout à l’heure lorsque je te monterai ma petite pouliche !
Je bus mon humiliation jusqu’à la lie, je sentis la sève monter, et inonder ma gorge, je l’avalai en remerciant et en prenant bien soin de lécher la dernière goutte, j’étais honteuse.
Je devais reprendre la main, prouver ma bonne volonté et prendre une initiative pour me racheter de la dernière fois. J’avais vu un fouet sur une commode, je me levai, allai le chercher, me mis à genoux devant eux, le fouet à plat sur mes mains et leur tendis.
- S’il vous plaît, je suis meilleure lorsque j’ai été fouettée !
Je me devais de donner satisfaction, je pensais au fouet entre les jambes, et en même temps cela me coûtait de m’humilier ainsi devant Philippe.
J’entendis l’approbation et rires à mes dépens, ils semblaient ravis : bonne initiative. Ils m’attachèrent les mains en l’air, les jambes grandes écartées, je sentis le fouet claquer sur mes fesses, mon dos, pendant que deux me fouettaient, les deux autres s’occupaient de mes seins de ma chatte, de mon clitoris, puis ils échangeaient leur rôle.
Je compris qu’ils désiraient me faire jouir, ou plus exactement m’amener au presque orgasme et ralentir, donc la frustration de jouissance. l’un des hommes voulut me prendre par-devant, mais sans me faire jouir.
Puis, Philippe s’assit entre mes jambes et devant moi, me mit des pinces aux lèvres munies de poids pour laisser, je le suppose, ma chatte bien accessible, et se mit à s’occuper sérieusement de mon clitoris, le stimulant d’un doigt, et de son autre main il me pénétra de deux ou trois doigts, conjointement à l’action du fouet, cela devenait insupportable.
J’avais l’interdiction de jouir, je les suppliai, c’est ce qu’ils attendaient de moi, je mouillai, une vraie fontaine, j’avais honte, je me surpris à trépigner tellement le désir de jouir était intense et m’était interdit, j’avais envie de jouir, de serrer les jambes, je tirai sur mes liens.
Puis ils me détachèrent, j’étais épuisée, ils voulurent me jouer pour savoir lequel allait me « monter » le premier.
Ils me firent mettre à plat dos, les jambes repliées vers la poitrine, et grandes ouvertes, un coussin sous les reins, je dus avec mes mains écarter mes lèvres et ouvrir ma chatte, je pensai que Philippe devait être ravi de me voir ainsi offerte, dans cette humiliante position, d’ailleurs il me le fit savoir :
- Tu es indécente Patricia, lorsque tu étais étudiante, je suis sûr que tu ne pensais pas qu’un jour tu serais ainsi ouverte devant moi !
Ils prirent chacun 5 billes, se mirent à trois ou quatre mètres de moi, celui qui en mettait le plus dans le trou de Patricia serait le premier qui me sauterait, ensuite le suivant, etc... Execo ils rejouaient.
J’entendais les commentaires du style « ça y est, dans le trou de la bourge ».
Ça y était, l’ordre pour me « monter » fut établi, Philipe m’avait gagnée en premier. Ils me « vidèrent des billes» en me fouillant avec vigueur et sans ménagement, et en me disant que j’allais être remplie mais avec autre chose, puis ils m’emmenèrent sur un lit.
Je m’allongeai, deux des hommes me prirent chacun une jambe et ils m’ouvrirent au maximum. Les jambes un peu repliées et relevées, j’entendis Philippe dire :
- C’est moi qui te monte en premier et tu as intérêt à te donner, je veux t’entendre couiner !
J’étais écartelée, je vis que Philippe enfilait un genre de bague en caoutchouc munie de picots à son pénis. Il me pénétra d’un coup sec, puis alla et vintt lentement en moi, mais bien profondément. Il me prit la tête entre ses mains pour que je le regarde dans les yeux, (je compris à quoi servait l’objet qu’il avait mis a son pénis : celui-ci venait exciter mon clitoris à chaque coup de boutoir, terriblement efficace)
Il alla et vintt lentement en moi, comme pour savourer son triomphe, sa domination et me faire comprendre qu’il me prenait, me baisait, qu’il me dominait, qu’il me chevauchait, qu’il prenait le contrôle de mon corps, de mon esprit.
- Alors tu vois, je te monte, je te baise, je te la mets bien profond, et je veux t’entendre chanter, gémir, abandonne-toi, sinon je dirai à Pierre que je ne suis pas satisfait de toi !
Il continua de me besogner de plus en plus fort, cela me fit de l’effet, je commençai à geindre, gémir, je sentais ma chatte s’ouvrir, s’ouvrir inexorablement et mouiller.
Il ralentit, jusqu’à ce que je le supplie de me faire jouir. Il m’embrassa à pleine bouche, puis introduit deux ou trois doigts dans la bouche que je suçai avidement. Il arriva à ses fins, je ne me contrôlai plus et le remerciai de me donner du plaisir, de me faire l’honneur de me sauter. Il me gifla à deux reprises pendant qu’il me possédait.
- Pour mon plaisir ! me dit il.
Je m’abandonnai, il déchargea. J’étais humiliée, domptée, vaincue, il avait pris possession de mon corps, de mon esprit. Pendant qu’il me prenait, j’entendais vaguement les commentaires salaces des « invités » de Philippe, « c’est une sacrée salope la Patricia », « écoute comme elle couine bien », « regarde comme ses mamelles ballottent », etc...
Un des hommes voulut me prendre par le petit trou, je dus me mettre courbée, la tête plaquée sur une table, les mamelles pendantes, les cuisses bien écartées, et les mains écartant les deux lobes de mes fesses, et demander :
- S’il vous plaît, faites-moi ce plaisir !
Pendant que celui qui m’avait gagnée me pénétrait, deux autres de chaque côté de moi, s’occupaient de jouer avec mes seins, les pinçant, les giflant. Les deux autres voulurent me prendre en sandwich, la vraie catin que l’on utilise.
Je livrai mon corps et âme tout au long de l’après-midi à leurs caprices, avec l’alternance de prise de possession de mon corps entrecoupée de jeux tels que de me mettre des pinces reliées à de longues chaînes aux lèvres, et je devais jambes grandes écartées et légèrement repliées, mains sur la tête faire aller et venir mon bassin d’avant en arrière, les poids devant aller toucher mes fesses et mon ventre, sinon fessée, ceci agrémenté de commentaires. Je devais offrir un magnifique spectacle.
Un godemiché sur un tabouret, je devais m’y empaler, les mains sur la tête.
Ils avaient beaucoup d’imagination, j’étais leur jouet sexuel qu’ils pouvaient utiliser à leur convenance puisque obligation d’obéissance et de donner satisfaction, à ce stade, je n’avais plus aucune pudeur.
*****
Voici arrivé la fin de mes récits, Pierre me dit que j’étais dressée et que nous allions pouvoir vivre différentes aventures et situations. Comme par exemple, le soir où je me suis retrouvée attachée au lit dans un grand hôtel, nue naturellement avec la serveuse venant apporter un plateau et Pierre de lui dire :
- Madame n’a pas été sage, j’ai dû l’attacher !
Le lendemain, le personnel de l’hôtel me regardait avec un sourire narquois.
Aventures qui se sont déroulées dans différents lieus : Etretat, dans les forêts, chez un gynéco un peu particulier d’une ville du sud est de la France, etc….
Depuis le début de ces récits, j’ai divorcé d’avec mon mari. Avec Pierre nous vivons séparément, et heureuse pour ma part, je suis indépendante. Comme j’ai déjà pu le dire, je ne suis l’esclave que de mes pulsions, désirs, envies, Pierre n’est pas mon maître, je ne suis pas son esclave, mais sa grande complice.
Je remercie Pierre de m’avoir dressée, je bénis le jour où j’ai fait par étourderie l’erreur de transférer mon journal intime sur clé USB et d’être « tombée » sur la bonne personne.
Nous ne poursuivrons pas notre vie ensemble, je désire quitter la France pour aller vivre dans un autre pays, au sein d’une ville romantique, impériale, envoûtante, dont je suis amoureuse. Je vous souhaite à toutes et tous de vivre aussi intensément que je je fais.
Patricia
FIN
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci de vos retours