Récit de Patricia2 (2010)
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Recadrage.
Lorsque je retournai chez Pierre, un accueil glacial m’y attendait :
- J’ai appris que tu te caches les seins et la chatte lorsque tu es mise nue, et aussi qu’il faut te menacer de représailles pour que tu suces correctement. (je compris tout de suite à quoi Pierre faisait allusion)
- Je te confie à des hommes pour ton bien, ton plaisir et tu fais la mijaurée. Lorsque des hommes te font l’honneur de te laisser les sucer, tu t’appliques !
Il me gifla, retira ou plutôt déchira mon chemisier en faisant sauter les boutons, m’ordonna de retirer ma jupe, ce que je fis rapidement, me pris par le collier, et, avec brutalité m’emmena dans la chambre.
- Mets-toi à quatre pattes sur le lit, la chatte en l’air et la tête en bas, cuisses écartées et bien cambrée !
Je ne me fis pas prier, j’entendis le fouet, puis sentis la ou plutôt les douleurs, il me fouettait de bon cœur, ce n’était pas pour mon plaisir, mais pour mon dressage. Le fouet cessa, ce fut la cravache qui prit le relais. Je me vis comme si j’étais sortie de mon corps, Patricia la bourge sophistiquée, la croupe en l’air, les mains derrière le dos, pas attachée et qui acceptait la cravache. Mon corps tressautait à chaque coup, je remerciais mon tortionnaire de m’éduquer, je me cambrais le plus possible pour offrir ma croupe à la cravache et à Pierre. les brûlures étaient atroces. Mais, Pierre ne me faisait-il pas vivre ce dont j’avais longtemps rêvé, désiré ?
Je reconnus la pudeur mal placée dont j’avais fait preuve et mon manque d’application à la fellation.
Je compris alors pourquoi une femme soumise devait remercier celui qui la dressait, des sévices qu’il lui infligeait, j’avais donc encore beaucoup de choses à apprendre, à découvrir, et Pierre était mon guide, celui qui savait ce qui était bon pour moi. Il n’était pas mon maître, j’ai horreur de ce mot, je suis esclave de mes sens, de mes pulsions, et de rien d’autre ni de personne, si je me soumets, c’est parce que je le veux bien. Pierre obtint mes larmes, la cravache cessa.
Il m’appuya sur les reins pour faire bien ressortir ma croupe et ainsi offrir ma chatte, et me pénétra d’une seule poussée. Il me prit sans ménagement, et en même temps il me claqua une fesse d’une main avec vigueur (mes fesses déjà cuisantes), comme pour encourager une jument pendant la course, en me faisant la leçon.
- Une bourge comme toi ça obéit, ça se doit de donner satisfaction, ça s’abandonne, ça s’ouvre, offerte aux copains, comme une cochonne, car tu es une salope, reconnais-le !
- Oui Pierre, je suis une salope, une cochonne, j’aime que tu me prêtes, que tu me diriges (cela me fit penser qu’au début de notre rencontre Pierre m’avait dit que je devrais m’appeler Peggy la cochonne).
Le plaisir monta de plus en plus. Prise de force, fessée en même temps me plaisait beaucoup, je sentis ma chatte s’ouvrir, s’ouvrir, je m’abandonnai. Mes doigts griffèrent les draps, je hurlai dans un orgasme en remerciant Pierre. Il me retourna, me mit son sexe dans la bouche. Me tenant la tête il se servit de ma bouche comme d’un vagin, il explosa en moi, j’avalai et le remerciai.
Je ne pus que constater qu’après être fouettée, cravachée, mon plaisir était beaucoup plus intense à l’orgasme, je me donnais beaucoup, plus, je m’abandonnais sans retenues.
Qui eut dit que peu de temps avoir été « contrainte », m’être mise dans les mains de Pierre, j’en étais arrivée là, j’éprouvais une addiction à me soumettre, je sais que mon caractère, mes envies longtemps contenues m’y prédisposaient.
J’essaye de ne pas faire part seulement aux lecteurs de mon vécu sexuel, mais aussi de mes ressentis. J’espère que cela de vous n’ennuiera pas.
Nous passâmes une partie de la journée ensemble. Pierre me prit à nouveau, mais avec beaucoup de tendresse, me disant que ce soir Nadine allait venir pour tenir sa promesse : être fouettée entre les jambes, me disant que j’allais souffrir et il me dit aussi que j’allais avoir une seconde chance de me racheter, il allait une nouvelle fois me prêter à des relations à lui et que cette fois, je devrais être parfaite.
Ce qui me surprit c’est que Nadine me manquait. Je n’avais jamais éprouvé ce style de sentiments pour une femme, de plus une jeune femme. J’aimais qu’elle me martyrise, j’aimais souffrir pour elle comme pour Pierre, j’aimais qu’il et elle soit fière de moi par ma soumission, mon abandon, mon obéissance. J’avais besoin de ses caresses, de sa façon de m’embrasser.
Le soir arriva, Pierre m’installa nue à plat dos sur le lit, les membres solidement attachés aux montants du lit, les cuisses bien ouvertes et relevées avec un coussin sous les fesses, la chatte bien offerte. Il m’encouragea me disant que je devais connaître cela, que je pourrais hurler tant que je voudrais et pleurer. Il ajouta !
- Mais tu verras, ensuite nous te dorloterons !
Nadine arriva, j’étais impatiente et inquiète de la voir. Elle dit bonjour a Pierre, pénétra dans la chambre :
- Alors, prête la bourge ?
- Oui Nadine !
- Tu vas bientôt me maudire. Tu n’es pas obligée.
- Non, vous n’êtes pas obligée !
- Excusez moi Nadine, vous n’êtes pas obligée !
- Mais si, voyons, je dois tenir mes promesses, et je te promets qu’ensuite je prendrai soin de toi, tu es indécente Patricia dans cette position !
Nadine qui pourrait être ma fille et qui allait me corriger, que je suis obligée de vouvoyer et elle qui me tutoie. Nadine qui me voit les cuisses ouvertes et qui me fait des réflexions, c’est humiliant.
Je la vis aller prendre le fouet à un seul brin, très efficace, spécial pour le dressage de femmes comme moi. Je me raidis, elle me caressa avec le manche du fouet puis décida de me mettre un bandeau. Je vis Pierre en spectateur, puis le noir, je sentis le fouet caresser mon entrejambe, ma chatte, l’intérieur de mes cuisses, puis le sifflement et la douleur à l’intérieur de mes cuisses, elle prit bien soin de fouetter chaque cuisse en remontant vers ma chatte offerte.
La douleur fut intense, puis la chatte, ce fut horrible, je hurlai et j’essaiyai de bouger pour échapper aux brûlures, impossible, un second coup, puis un autre, je pleurai, je sanglotai, Nadine poursuivit son œuvre.
Elle s’arrêta enfin, posa son instrument de torture, s’allongea près de moi, m’embrassa sur la bouche tout en me caressant le visage, la poitrine, puis me dit à l’oreille :
- Pierre m’a demandé de te punir de la sorte chaque fois que tu ne donneras pas satisfaction, en plus de la punition qu’il te donnera. Je t’avais aussi promis que tu aurais le droit de me donner un gage : veux-tu que pierre me cravache aussi ?
- Non Nadine, j’aimerais plutôt que vous vous occupiez de moi !
Nadine se déshabilla, me passa de la pommade sur mes cuisses, ma chatte, c’était bon cela étouffait le feu, elle me caressa longuement. Pierre s’était aussi déshabillé, il me caressa les seins, m’embrassa, Nadine s’occupa de mon clitoris, et Dieu sait qu’elle savait y faire, je me cambrai j’étais toujours attachée, je jouis...
La suite de la soirée fut douceur, ils prirent soin de moi. Pierre pris possession de Nadine, je n’étais pas jalouse, je ne puis expliquer le pourquoi, c’est la première fois que j’entendis Nadine « chanter » de plaisir.
A suivre...
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