dimanche 29 décembre 2024

Enlèvement au crépuscule.

 Traduction d’un texte de sweetnpetite.

 *****

- Baisons cette salope ! Déclare Jazz.

- Ouais ! Convient Jordan.

La salope n’est qu’une chienne blanche qui vient de descendre la rue dans une jupe rouge courte et serrée et un haut licou argenté qui met ses seins en valeur. Elle est là, anonyme et sans voix, de la peur dans les yeux. Son regard passe de l’un à l’autre et elle réalise rapidement qu’elle ne peut pas se défendre. Ils sont grands, musclés et intimidants.

- S’il vous plaît… Commence-t-elle à dire.

- Ferme ta putain de bouche de salope ! Si je te dis d’ouvrir ta bouche ça sera sûrement pour y enfoncer ma bite ! Compris ? Dit Jazz.

La jeune blonde est figée de peur.

- Il t’a demandé si tu avais compris, salope ? Tu ferais mieux de répondre quand on te pose une putain de question ! Dit Jordan.

La jeune femme hoche la tête en ne sachant que faire. Mais elle reçoit une gifle de Jazz qui lui dit :

- Je veux t’entendre dire « Oui Monsieur ».

Des larmes dans ses yeux verts et une marque rouge sur la joue, elle réussit à dire doucement :

- Oui Monsieur !

Jordan déclare alors :

- Maintenant, mettons les choses au clair. Tu es notre putain. Je m’en fous de ton nom, parce que tu n’as pas de nom. Tu t’appelles « salope », « pute » ou « traînée » quelque chose dans ce genre-là. Quelle que soit la chose que l’on te demande de faire, tu ferais mieux d’obéir si tu ne veux pas que ça se passe mal ! Compris ?

Alors que les yeux de la blonde se remplissent de larmes, elle répond rapidement pour éviter d’être à nouveau frappée :

- Oui Monsieur !

- Et ne t’embête pas à essayer de crier à l’aide, nous connaissons tout le monde ici et personne ne t’aidera. Et si tu cries, nous frappons ! Compris, salope ?

- Oui Monsieur ! Répond-elle en déglutissant difficilement.

- Maintenant, quel est ton nom ?

- Allis…

CLAC, une autre gifle vient de tomber sur sa joue.

- Espèce de connasse, je t’ai dit quel était ton nom. Ton putain de nom est « salope », tu as compris ?

- Oui Monsieur !

- Quel est ton putain de nom ? Demande Jordan à nouveau.

La blonde baisse les yeux sur le trottoir et dit en sanglotant :

- Je m’appelle « salope » !

- Ouais c’est vrai ! Déclare Jazz en prenant son menton et en levant son visage vers le haut.

- Maintenant, regarde-moi bien et dis-le. Et n’oublie pas le Monsieur, salope !

La fille se met à pleurer abondamment et elle manque de s’étouffer. Des grosses larmes salées coulent de ses yeux brillants et descendent sur ses joues roses. Jazz serre sa mâchoire pour lui faire comprendre qu’il est sérieux. 

- Je m’appelle « salope » Monsieur ! 

Les deux garçons noirs rigolent.

- Tu sais ce que tu vaux. À genoux !

La blonde s’agenouille. Ses genoux nus se posent sur trottoir en ciment. C’est à peine le crépuscule et elle n’arrive pas à croire que la rue est complètement déserte. C’est comme si tout avait été planifié. Il n’y a ni piétons, ni voitures, ni clochards. Il n’y a pas âme qui vive. Elle est toute seule et à la merci de ces deux hommes. Que se passera-t-il si elle ne leur obéit pas ? Elle se dit que c’est même dangereux de seulement y penser.

Jazz éclate de rire en ouvrant son pantalon et en sortant son long outil sombre.

- Ouvre la bouche, salope ! Ordonne t-il.

La jeune fille s’est souvent demandé ce que ça ferait de faire une fellation à une bite comme ça, longue et noire. Mais Jazz ne lui laisse pas la chance de pratiquer son savoir-faire. Il envahit sa bouche avec sa grosse bite et commence à la baiser. Il saisit ses cheveux pour la tire vers lui alors que son copain l’encourage.

- Baise la bouche de cette petite salope blanche ! Enfonce-toi bien au fond ! Je bande rien qu’en te regardant baiser la bouche de cette pute.

Il sort sa propre queue et commence à la caresser.

- Ok, maintenant ralentis mon pote ! Donnons une chance à cette salope de nous montrer si elle sait faire. Je parie que c’est une de ces putes blanches qui sait bien sucer un noir.

Jazz ralentit et dit alors :

- Bien salope, suce ma bite ! Je veux t’entendre gémir comme une bonne pute. Et dis-moi que je suis ton homme !

La blonde commence alors à lécher la hampe de la bite d’ébène. Malgré ses larmes, elle commence à gémir comme si elle y prenait du plaisir. Puis elle commence à dire des choses qu’elle ne se serait jamais attendu à dire, mais elle sent… Elle sait que sa survie en dépend.

- Mmmm, cette bite est si bonne, Monsieur. Permettez-moi de bien sucer votre grosse queue bien dure, Monsieur. Ma chatte est si chaude et humide, Monsieur. Vous êtes un Dieu, Monsieur. Une salope comme moi ne mérite pas de sucer la bite d’un Dieu comme vous. 

Elle lèche le gland et un peu de liquide pré-éjaculatoire sort de la fente. Alors elle le suce comme de la crème sucrée. Elle se rend compte que sa chatte commence vraiment à devenir humide et, étrangement, elle apprécie la sensation de faire glisser sa langue sur ce sexe noir et dur. C’est comme si l’ordre de sucer ce sexe l’avait libérée et que ses désirs enfouis remontaient en elle. 

Elle se rend compte alors qu’elle lèche les couilles du garçon noir tout en lui disant qu’elle n’est rien d’autre qu’une putain de suce-bite sans valeur. Bien sûr ce sont des mots qui lui ont été dictés, mais elle ressent comme d’étranges frissons quand ils quittent sa bouche.

Jazz serre sa main sur la poignée de cheveux qu’il tient et il relève son visage vers le sien pendant qu’elle lui lèche couilles et bite.

- Ouais, tu es une putain de garce sans valeur. Tu vas ramper à genoux devant moi et tu me suceras jusqu’à ce que je couvre ton visage de foutre. Tu sais que tu le mérites, car tu es une pute, une chienne sans nom. Tu es dans cette rue pour servir tes maîtres, et c’est mon copain et moi qui sommes sur le point de baiser ta chatte sans valeur.

La jeune blonde gémit à nouveau, en partie excitée, en partie terrifiée. Des larmes coulent de ses yeux, mais il est difficile de dire si c’est par peur ou dû à l’effort fourni pour sucer le garçon. Elle essaie de s’appliquer le mieux possible.

Jazz la laisse faire un moment. Il la laisse sucer sa bite, puis il s’enfonce profondément dans sa gorge si bien qu’elle étouffe. Puis il se retire légèrement pour la laisser respirer. Il regarde ses joues se creuser quand elle le suce. De nouveau il s’enfonce dans sa gorge tout en tenant sa tête par ses cheveux. Il aime voir cette chienne, impuissante, les larmes dans les yeux, s’étouffer sur sa bite bien enfoncée dans sa bouche.

Jordan enlève sa chemise et la met sous se genoux alors qu’il s’accroupit derrière la jeune fille. Il passe sa main entre ses jambes pour trouver sa chatte tremblante. Il est agréablement surpris de voir à quel point elle mouille. Il rigole :

- Je peux sentir ta chatte, salope ! Je peux sentir ton jus de salope couler le long de ma main. Dis-moi que tu aimes sucer ce membre noir !

- Oui monsieur, j’adore avoir une bite noire et raide qui glisse dans ma gorge. Je l’admets, je suis une sale pute ! Dit la jeune blonde en essayant de reprendre son souffle.

- Je vais te baiser, salope ! Déclare Jordan en faisant glisser sa queue raide dans la chatte humide.

Il dit à son copain :

- Cette garce est mouillée, je pense qu’elle aime ça cette pute.

Il attrape ses seins et les serre alors qu’il la baise par-derrière. 

- Peut-être que nous sommes trop gentils ! J’aimerais voir plus de larmes sur le visage de cette chienne ! Rit Jazz.

Sur ces mots, il attrape l’arrière de la tête de la jeune blonde et il s’enfonce profondément dans sa gorge. Mais cette fois il reste ainsi alors qu’elle s’étouffe et se débat.

- Grosse chienne, ta bouche de pute est à moi !

Des larmes coulent des yeux de la fille alors qu’elle supplie silencieusement d’être libérée. Satisfait de l’avoir suffisamment fait souffrir, le jeune garçon la lâche.

Jordan continue de la pilonner, s’enfonçant dans sa chatte si profondément et si violemment qu’elle crie de douleur. Jazz se moque d’elle et dit :

- Supplie-moi de recommencer !

La blonde tremble de peur et secoue la tête pour refuser. Jazz pâlit et la gifle deux fois avant de tirer sur ses cheveux. 

- Supplie-moi de t’étouffer avec ma bite, salope ! Supplie ou tu vas passer un mauvais moment !

- S’il vous plaît Monsieur, S’il vous plaît ! Supplie-t-elle.

Elle n’arrive pas à se résoudre de dire ce qu’il veut alors le garçon la gifle à nouveau. 

- S’il te plaît quoi, sale pute ! Tu n’as pas le choix ici, tu dis ce que je te dis. Tu es ma chienne, tu te souviens ?

- S’il vous plaît, étouffez-moi sur votre bite ! S’il vous plaît, empêchez-moi de respirer avec votre grosse queue noire ! Supplie-t-elle.

Elle sanglote lourdement en parlant. Cela a pour effet de rendre les bites des deux garçons encore plus raides et dures. 

- S’il vous plaît, étouffez-moi sur votre bite ! S’il vous plaît, empêchez-moi de respirer avec votre gros sexe noir ! Étouffez-moi ! Étouffez-moi !

- Puisque tu en as tellement envie ! Ricane Jazz en enfonçant une nouvelle fois sa bite au fond de la gorge douloureuse.

Les larmes coulent alors que la jeune blonde essaie de se libérer. Puis finalement le jeune noir sort de sa bouche et dit :

- Embrasse ma bite ! Embrasse-la et adore-la !

Elle obéit en embrassant la tige raide du garçon et en lui disant combien elle l’aime. Elle n’arrive pas à croire que ces mots sortent de sa bouche. Il y a quelques instants, ce membre de chair l’empêchait de respirer, lui donnant l’impression qu’elle allait mourir, une bite enfoncée dans la gorge. Et maintenant elle l’embrasse et lui parle comme si c’était un Dieu.

- Dis-moi combien tu aimes ma bite dans ta chatte ! Dit alors Jordan en continuant de pilonner sa chatte gluante.

- Dis-moi combien tu aimes cette grosse bite noire qui étire ta petite chatte rose !

Elle gémit.

- Oui… Oui, j’adore être baisée par une grosse bite noire ! Baisez ma chatte rose avec votre queue ! Faites de moi votre pute blanche !

La jeune blonde se dit qu’elle avait envie de le dire. La bite qui la baise par-derrière est merveilleuse. Portant elle est dans une rue déserte, à genoux, et forcée par deux garçons noirs et costauds. Elle est terrifiée et inexplicablement excitée. Elle n’arrive pas à admettre que les mots qui sortent de sa bouche soient les siens.

- Baisez ma chatte blanche avec votre bite noire, Monsieur ! Baisez-moi comme une petite pute !

- Je vais t’enculer à sec, salope ! Menace Jordan.

- NON ! Crie-t-elle.

Elle ne peut imaginer la douleur de son cul déchiré par cette énorme bite.

- NON, s’il vous plaît ! Mon Dieu non !

Elle est effrayée par ce que veut lui faire Jordan.

- Je vais te fendre le cul en eux avec ma queue, et m’enfoncer dans tes entrailles, espèce de sale pute ! Je vais bien t’ouvrir le fion !

- Non, non… Supplie-t-elle en pleurant.

Jazz se met à rire et force sa queue dans sa bouche, mais un peu moins loin qu’avant. La jeune blonde est forcée de le sucer alors qu’il agrippe ses cheveux et se moque d’elle.

- Je parie que ton petit cul est bien serré et tout chaud. J’aimerais te sodomiser à sec, petite pute. Tu vas prendre ma bite dans le cul que ça te plaise ou non. N’est-ce pas petite garce ? N’est-ce pas ?

Jordan se retire avec l’intention de lui claquer le cul, mais au lieu de ça, il jouit sur son dos. Jazz sort de s abouche et lui projette son foutre sur son visage et dans ses cheveux. Elle a l’impression qu’ils ne vont jamais s’arrêter d’éjaculer. Elle sent les giclées de sperme sur sa figure, sur sa tête et sur son dos. Elle sent même une coulée de foutre descendre dans son cul et sur sa chatte.

Quand ils finissent enfin, et qu’elle voudrait s’effondrer, ils commencent à racler le sperme pour lui fourrer dans la bouche en disant :

- Mange notre foutre, petite salope ! Mange ce sperme comme la pute que tu es ! 

Allison gît là alors que le sperme collant semble s’évaporer et que le goût ignoble disparaît. Sur son matelas moelleux, elle commence à sentir le monde réel apparaître autour d’elle. Son majeur plié et humide de son jus se retire de dessus son clitoris. Elle peut entendre sa propre respiration lourde et même sentir l’humidité sur ses joues où ont coulé de vraies larmes.

Elle se redresse sur son lit. Elle est seule et confuse. Elle vit dans un beau quartier et elle a beaucoup d’amis. Quelque chose lui dit que le cauchemar (ou rêve ?) qu’elle vient d’avoir n’est pas politiquement correct : une fille blanche baisée par deux voyous noirs, une fille blanche se rendant compte qu’elle a aimé ça et qu’elle le voulait. Elle sait qu’il s’agit d’un mythe de croire que les hommes noirs sont violents et ont toujours une grosse queue. Mais elle n’arrive pas à le sortir de sa tête. Elle sait que ses amis, Jordan et Jazz, ne lui feraient jamais ces choses, mais en se levant pour aller prendre sa douche, elle rougit en pensant qu’elle souhaiterait qu’ils lui fassent.

FIN

vendredi 27 décembre 2024

Meathole

 Récit de Belletfou (2012)

*****

— Bonjour. C’est bien ici le 34 rue des Halles?

- Oui c’est là. Entre et ferme la porte.

- Ok…

- Si t’es venu c’est que vous êtes vraiment décidé ? T’es au courant qu’on fait pas dans le soft ici. Si c’est du romantique que vous voulez il est encore temps de rentrer chez vous.

- Oui oui, on sait.

- C’est ça que tu nous amènes ?

- Oui.

- Ta femme ou ta pute ?

- Ma femme.

- Elle a une belle gueule. L’air un peu conne mais son cul a l’air potable. Tourne, qu’on voit ce que ça donne.

Luce me regarde sans comprendre tout de suite que c’est à elle qu’on s’adresse.

- J’ai dit tourne, on veut voir la marchandise.

Elle obéit, un peu subjuguée.

- Le cul est pas mal… Elle est comment au pieu ?

- Pas mal non plus.

- Tu fais tout avec ?

- Et bien… pas mal de trucs, en tout cas.

- Tu l’encules ?

- Oui.

- Facile ?

- Je la prépare un peu et j’y vais mollo…

- Elle aime ça ?

- Elle se laisse faire en tout cas.

- Bien. On en demande pas plus… T’es le seul ?

- Le seul quoi ?

- A l’enculer ?

- Oui… Enfin j’imagine haha !

Le gars derrière son bureau ne sourcille pas.

- Ses nichons sont pas mal. Ils sont vrais ou c’est de la gonflette ?

- Pardon ?

- Je te demande si ses nibards sont naturels.

- Cent pour cent naturels.

- Et ça tient tout seul ? On dirait qu’elle a pas de soutif.

- Elle en a pas. Y tiennent bien. Même qu’elle en est fier…

- Fais voir !

Luce va pour ôter son chandail.

- Je t’ai pas dit de te foutre à poil comme une pute ! Montre juste comme ça tient… Fais bouger… Voilà. Pétris bien tout ça. Bien. Maintenant sautille sur place, qu’on voit ça en action… Putain, ça remue là-dessous… Bon arrête, tu vas nous faire du beurre haha… Maintenant ouvre la bouche. Elle suce ?

- Oui.

- Comment ?

- Moyen.

- Ah bon ? Elle a pourtant une belle petite gueule de suce-bites avec ses lèvres épaisses… Je t’ai dit d’ouvrir la gueule, connasse ! Qui t’a dit de la refermer… Comment ça, moyen ?

- Elle a tendance à suçoter.

- On va la mettre au dressage… Et j’imagine qu’elle avale pas ?

Je vais pour répondre mais ma femme intervient.

- J’aime pas ça. Question de goût, c’est tout.

- On t’a sonné poufiasse ? Tu ouvres ta gueule quand on te pose une question ou pour sucer. C’est vu ? Tu te branles ?

Mais Luce reste avec la bouche ouverte, sans répondre.

- Là, je te pose une question, alors tu réponds ! Tu te branles souvent ? Ton bonhomme m’a dit que t’étais cochonne.

- S’il vous l’a dit…

- Sois pas arrogante. J’en sais déjà pas mal sur toi et tes vices de ménagère inassouvie, mais ça me fait bander si tu me racontes toi-même… Paraît que tu te plantes des trucs dans le con pour te faire jouir. C’est vrai ?

- Oui.

- Quoi par exemple ?

- Je savais pas que je venais ici pour répondre à un questionnaire ! s’irrite Luce.

- Tiens donc ! Et tu es venue ici pour quoi alors ?

- Bin pour… de l’action.

- Haha, tu veux dire pour baiser ? La salope se réveille et veut sa dose de bite, c’est ça ? Rassure-toi, tu vas en avoir de la bite et de l’action. Mais ici, c’est moi qui décide. Alors tu vas commencer par la mettre en sourdine et ravaler tes airs de pimbêche. Pour le moment, tu réponds à mes questions et tu fais ce que je te dis… Tout ce que je te dis. C’est vu ?

Je vois le visage de ma femme s’empourprer, surprise qu’elle est de ce haussement de ton. L’homme quitte son bureau et vient se coller à elle. D’une main, il saisit fermement le bas de son visage et ses doigts s’insinuent dans sa bouche, comme un palefrenier qui vérifie la dentition d’une jument. Le geste est spécialement vulgaire.

- Il faut que tu saches, petite ménagère mal baisée, que pour moi tu ne représentes rien d’autre qu’un tas de viande tiède.

Ses doigts s’insinuent plus loin, écartèlent la bouche, tentent de saisir la langue. Luce a des haut-le-cœur et se met à baver.

- Ce morceau de viande molle comprend des orifices comme celui-ci qu’il me plaît d’explorer pour ensuite décider avec lequel je jouerai en premier. Est-ce que c’est clair ?

L’homme a ponctué sa question d’une tape sur la joue de ma femme.

- Est-ce que c’est clair ? Insiste-t-il cette fois en lui balançant une vraie gifle.

Luce semble un peu affolée et me cherche du regard. Voyant que je ne réagis pas, elle semble se résigner et je l’entends répondre un oui timide. Il la gifle encore.

- C’est très bien.

Il plonge délibérément la main dans le chandail de ma femme et fait jaillir ses seins l’un après l’autre par l’encolure.

- Putain elle a de sacrée beaux nibard ta monture. On doit bien s’amuser avec ça.

Il se met à frapper violemment les seins avec le plat de la main.

- Et c’est vrai que c’est plus ferme que ça en a l’air.

Il saisit Luce par les cheveux et lui tire la tête en arrière.

- Cambre un peu qu’on voit ce que ça donne.

Il lui frappe encore plusieurs fois les seins puis, tirant plus fort sur ses cheveux la force à se mettre à quatre pattes sur le sol.

- Et ça donne quoi quand tu te mets en position ? Ouai c’est pas mal. Ça pend juste ce qu’il faut mais pas trop. Bouge pour voir.

Et il lui administre un violent coup de pied dans le derrière.

- J’ai dis bouge, grosse vache !

Je me dis alors que cette fois le jeu est vraiment commencé. Rouge de honte, ma femme s’agite de gauche à droite, faisant ballotter sa poitrine pendant que l’homme tourne autour d’elle en ricanant.

- Putain tu parles d’une femelle !

Nouveau coup de pied dans les fesses, encore plus violent. Luce pousse un cri et manque de perdre l’équilibre. Je ne peux m’empêcher de réagir.

- Hé allez-y mollo quand même.

L’homme me regarde avec un sourire.

- T’inquiète, elle aime ça. Tu sens pas comme ça pue la femelle ?

Il se baisse et saisit la robe de ma femme et la rabat sur ses reins.

- Écarte un peu qu’on admire le paysage !

Luce, devenue très docile, écarte les genoux. L’homme presse du pied sur sa tête pour la faire se cambrer puis, sans gêne, passe un orteil dans sa culotte et la descend à mi-cuisses.

- Vise un peu dans quel état elle est déjà cette cochonne !

En effet, il n’est même pas nécessaire de m’approcher pour constater qu’elle est excitée. Enivré par cette vision, l’homme se penche et se met à la tripoter sans vergogne. Résigné par une telle vision, je vais m’installer dans un coin de la pièce, curieux de voir la suite.

- Si t’es dérangé, va faire un tour et tu reviens la récupérer dans deux heures.

- Non, ça va.

Penché sur ma femme, il lui fouille l’intimité de façon très obscène, la faisant gémir.

- T’emballe pas la truie, on a encore à faire alors si tu veux un conseil, ne gaspille pas ton jus haha.
Il finit par la laisser et s’empare de nouveau de ses cheveux, d’abord en faisant mine de s’essuyer les mains, puis pour l’obliger à se relever.

- Fous-toi à poil, dit-il en retournant à son bureau.

Luce semble hypnotisée. Elle retire prestement son chandail et dégrafe sa jupe qui tombe à ses pieds. Elle va pour retirer sa culotte, restée au-dessus du genou.

- Laisse-la où elle est, ça fait plus trash.

Elle se retrouve ainsi totalement désarmée. L’homme la dévisage des pieds à la tête.

- Tu sais que t’as l’air conne, comme ça ?

Ma femme ne sait pas trop comment réagir. Elle baisse la tête en gardant les bras ballant.

- Mais bon, t’aime ça, hein… ?

- Quoi donc ?

- Qu’on te traite de conne… Ou tu préfères grosse cochonne ?

Luce relève la tête.

- Grosse ?! Cochonne, je veux bien admettre, mais grosse, je ne sais pas ce qu’il vous faut !

- Hahaha… Une femme c’est toujours une grosse cochonne même si elle n’a que la peau et les os. T’aime pas ça, n’est-ce pas, qu’on te traite de grosse.

- Non, pas vraiment.

- Haha… La fierté, chez une femme, c’est aussi désagréable qu’injustifié… C’est ce qu’il faut briser en premier… Branle-toi !

Cette fois, Luce obéit immédiatement.

- Tu mouilles ?

- Oui.

- Ca se tripote la moule devant quelqu’un qu’on connait à peine et ça joue les fiers. Y a qu’une énorme cochonne qui peut faire ça. C’est ta perversité qui est énorme, même si t’as un petit cul. Tu comprends ça, grosse cochonne ?

- Oui, je crois ! répond-elle dans un souffle.

- Alors dis-le, que t’es une grosse cochonne et une grosse salope. Je suis sûr que ton mari aimerait l’entendre.

Luce hésite, visiblement gênée par la présence de son mari.

- Allez bordel ! Hurle le type. Dis-le ce que tu es ! On t’écoute.

- Je suis une grosse cochonne… et une grosse salope.

L’homme rigole.

- Parfait, dit-il en s’approchant de Luce. T’es une docile toi, hein…

Il saisit le bout des seins de ma femme entre ses doigts et s’amuse à les tirailler dans tous les sens.

- Le genre de conne qui fait tout ce qu’on lui dit et qui accepte tout sans broncher, c’est ça ?

Luce gémit sous la torture infligée à ses seins. Le type lui balance deux gifles à la volée qui manquent de lui faire perdre l’équilibre.

- Réponds, pouffiasse !

- Oui, balbutie ma femme, quand je suis excitée…

Il plaque sa main entre les cuisses de Luce.

- Ah ça, excitée, on peut dire que tu l’es haha...

Et il se met à la fouiller sans vergogne, enfonçant profondément ses doigts dans sa chatte.

- Écarte !

- Hoooo Doucement s’il vous plait… Je… Vous allez me…

- Tu te retiens grosse cochonne, sinon je te balance dans la rue à poil… Écarte, je t’ai dit ! Et fléchis les jambes, c’est plus vicieux… Voilà, comme ça… Bonne bête… Tu aimes ça, hein ma salope ?

Puis, s’adressant à moi.

- Vise un peu, mon vieux. J’y rentre presque toute la main, dans ta pute.

De voir ma femme s’offrir avec tant d’indécence me procure une très forte érection. Luce gémit et tremble de tout son corps, luttant comme elle peut contre l’orgasme. Le type retire sa main et pousse brutalement sa victime, la faisant choir sur le tapis.

- Fous-toi à quatre pattes comme une chienne avec le croupion bien relevé…

Elle ne répond visiblement plus et se contente d’obéir aux ordres qu’elle reçoit. Lorsqu’elle se trouve dans la position demandée, l’homme reprend ses odieux attouchements. Je le vois enfoncer trois, puis quatre doigts dans la chatte de Luce sans aucune difficulté. Lorsqu’il les ressort, ils sont luisants de cyprine et il les lui présente devant le visage.

- Lèche ton foutre, grosse cochonne ! T’as pas honte de te mettre dans de tels états ?

Docile, ma femme se met à laper avec avidité avant qu’il ne replonge en elle et ne revienne, la main à nouveau chargée du jus de son excitation.

- T’aime ça ma garce, haha… Je sens qu’on va bien s’amuser, tous les deux.

Il l’empoigne par la chevelure et l’embrasse à pleine bouche.

- Elle me plaît ta femme, dit-il à mon intention. T’as bien fait de me l’amener. Je vais en faire ma chose.
Puis, sans lâcher ses cheveux, il commence à arpenter la pièce de long en large en la trainant derrière lui.

- Mesdames et messieurs ! Se met-il à crier hilare. Je vous propose aujourd’hui une pouliche de premier choix. Regardez un peu comme elle bouge bien.

Et il poursuit ses vas-et-vient dans la pièce, forçant toujours plus son allure, sans lâcher ma femme qui galope derrière lui de manière un peu grotesque, sa petite culotte toujours roulée à ses genoux.

- Approchez ! Approchez ! Poursuit-il en s’adressant à un public imaginaire, elle est à vous pour pas cher ! 50€ la saillie, par le trou que vous voulez !

Luce fini par trébucher et se retrouve à plat-ventre. Le type la traine encore sur plusieurs mètres puis, toujours en la manœuvrant par les cheveux, il la force à se mettre à genoux et recule de quelques pas.

- Mais à 50€ le trou, il faut de la marchandise qui fonctionne. Tu dis qu’elle suçote ?

- Disons que je trouve qu’elle ne fait pas beaucoup d’effort.

- On va voir ça, dit l’homme en dégrafant son pantalon.

Il sort son pénis qu’il agite devant les yeux de ma femme.

- Viens me sucer, grosse salope.

Luce avance sur ses genoux et saisit le sexe bandé avec sa main. Au moment où elle approche sa bouche pour commencer à sucer, le type lui balance une mandale qui la fait tomber sur le côté.

- Je t’ai pas dit de me branler, connasse ! Reviens ici, mets tes mains dans ton dos et sers-toi uniquement de ta gueule… C’est compris ?

Ma femme obéit sans protester. Je la vois engloutir la bite raide et commencer à sucer.

- Pas si mal, pour une tocarde. Regarde comme elle douée. Elle t’a déjà fait ça?

- Jamais aussi bien, je dois dire.

- C’est juste une nouvelle bite qu’il lui fallait à cette pute. Pas vrai qu’il te fallait une nouvelle bite, la ménagère ?

Ma femme acquiesce d’un discret mouvement de tête.

- D’ailleurs elle est déjà accro de mon braque. Tu veux une démo ?

Il commence à reculer. Ma femme se met alors à avancer tant bien que mal sur les genoux, sans lâcher sa proie.

- Vise un peu cette salope ! Jubile le type. Tu commences à comprendre, vieux ? Une bonne femme, dès que tu la respectes elle devient conne et à la première occasion elle te file entre les pattes et va se faire saillir par le premier qui saura s’en occuper comme elle en a besoin.

Il s’arrête de marcher et lui saisit la tête à pleine main pour s’enfoncer plus profondément. Surprise, Luce a un haut-le-corps.

- Ouvre la gueule, grosse conne ! Dit-il sans la lâcher.

Ma femme se met tousser et baver. Le type s’arrache alors d’elle et la gifle plusieurs fois avec violence.

- T’arrête de foutre ta langue en travers, espèce de connasse !

Il enfonce plusieurs doigts dans sa bouche pour l’écarteler.

- Tire la langue ! Tire la langue, je te dis. Comme une chienne.

Luce obéit. Son visage est grimaçant et luisant de salive. Le type lui pince le nez pour l’obliger à respirer par la bouche en l’ouvrant très grand.

- Tu restes bien comme ça, la chienne.

Et il enfonce à nouveau son sexe bandé au plus profond de la gorge puis commence un furieux va-et-vient en lui agrippant solidement la tête. Ma femme se débat, émet quelques cris et gémissements étouffés puis vomit. L’homme se met à râler vulgairement sans pour autant la lâcher prise.

- Ahhh que c’est bon ! Vas-y, dégueule encore, connasse. C’est chaud sur ma bite, je bande…

Puis il la lâche et la laisse reprendre sa respiration.

- Ton mari a quand même raison, ricane-t-il. T’es pas une championne.

Il la saisit à nouveau par les cheveux et l’attire sans ménagement contre lui.

- On reprend. Bouffe-moi un peu les couilles, pour voir.

Il lui maintient le visage contre son entrejambe.

- Allez, poufiasse, ouvre la gueule et aspire mes couilles, je te dis ! Voilà, comme ça. Prends-les bien en entier, c’est ça. Aspire bien. Charogne que c’est bon ! Tu sens comme elles sont bien pleines ?

Il se masturbe au-dessus de son visage pendant un moment en râlant vulgairement de plaisir, puis il lui tire la tête en arrière. Il se tourne et lui tend son postérieur.

- Maintenant bouffe-moi le cul. Lèche mon trou, grosse cochonne.

Lucre grimace et fait non de la tête. L’homme lui administre deux claques sonnantes puis tenant sa tête à deux mains, il lui plaque son entrefesse sur le visage.

- Tu comprends ce que je te dis, saloperie ?! Tu sors ta langue et tu me nettoies le trou, c’est vu ?

Résignée une fois de plus, ma femme lui obéit.

- Ah que c’est bon.. Oui, vas-y, encule-moi avec ta langue. Oh que t’es vicieuse !

L’homme savoure l’odieuse caresse quelques instant puis se retourne.

- Maintenant, tu vas me finir, ma salope. Tu vas me sucer et faire ça cent fois mieux qu’avec ton mec, c’est compris ?

Elle acquiesce d’un hochement de tête et entame une fellation en y mettant une ardeur que je ne lui connaissais pas.

- Voilà qui est bien. Tu vois que tu peux. Toutes les femmes sont des putes si on sait les prendre.

Je suis effaré de voir à quel point Luce met du cœur à l’ouvrage. A genoux devant l’inconnu, elle lui fait la plus belle fellation jamais vue. L’homme râle de contentement.

- Putain ce qu’elle est bonne ta femme. Vise comme elle me suce bien cette putain. Elle va me vider les couilles cette salope.. Oui… Oh ouii… Je sens que ça vient… Ouiii…

Elle tente alors de se retirer comme elle le ferait avec moi mais Laurent ne le voit pas sous cet angle. Il lui plaque les deux mains sur la tête et la maintient fermement.

- Bouffe tout salope ! Ahh que c’est bon...

Luce se débat et frappe du poing sur la cuisse du gars mais il ne lâche pas prise, tenant sa victime jusqu’à son dernier spasme de plaisir.

- Si tu recraches une seule goûte espèce de connasse, dit-il encore avant de la libérer, je te fais lécher le sol.

Elle avale tant bien que mal en grimaçant.

- Ouvre et montre si tu es obéissante.

Ma femme ouvre la bouche.

- Voilà qui est bien. Tu vois, petite conne que c’est facile. C’est la première fois ?

Elle acquiesce en me jetant un bref regard gêné.

- C’est très bien, dit-il en s’essuyant le sexe à ses cheveux. Ca me plait.

Il la repousse brutalement du pied.

- Maintenant tu nettoies tout ce bordel et tu vas te doucher, tu pues. On reprend dans un moment.

Pendant que ma femme s’affaire docilement à remettre de l’ordre, l’homme s’approche de moi et se présente.

- Salut, moi c’est Laurent.

- Salut.

- Elle est pas mal ta femme. Bien foutue, tout. On peu en faire quelque chose. C’est toi qui as eu l’idée de venir me voir ?

- C’est-à-dire... On a décidé ensemble. C’est moi qui ai répondu à l’annonce, mais ça la travaille depuis qu’on se connait.

- C’est-à-dire ?

- Au début elle n’osait pas. Ou plutôt ne savait pas trop ce qui lui arrivait. Mais comme ça fait pas mal de temps qu’on est ensemble, elle a fini par me parler des trucs auxquels elle devait penser pour atteindre l’orgasme.

- Quoi par exemple ?

- Bin... Comme je t’ai dit dans mes messages.

- J’aime bien qu’on en parle de vive voix, ça met en confiance. Qu’est-ce qu’elle t’a dit, au juste ?

- Bin que pour s’exciter elle devait penser à des situations où elle était humiliée et traitée comme une moins que rien.

- Comme je viens de le faire ?

- Ouais... Par exemple. Mais disons que c’est pas évident en vrai.

- T’es dérangé ?

- Je sais pas. Un peu. Disons que je suis partagé. J’ai vu l’effet que ça lui fait… Ca surprend.

- Et tu n’es pas au bout de tes surprises. Les nanas comme elles sont plus nombreuses qu’on croit. Leur véritable nature de femelle qui refait surface. C’est prouvé par les sociologues. Seulement y en a peu qui se l’avouent. Elles ont honte, tu parles…

Puis, s’adressant à Luce qui est toujours accroupie sur le sol, à astiquer.

- Hein ça te fait honte, d’être aussi vicieuse ?

Il n’attend pas de réponse. Le silence de ma femme qui frotte de plus belle confirme ses dires. Vu qu’elle se trouve à portée, il lui balance un nouveau coup de pied au derrière. Je suis surpris autant par la violence du coup que par la réaction, ou plutôt le manque de réaction de ma femme. Elle semble même apprécier particulièrement le geste, même s’il représente, à mes yeux, l’un des plus dégradants qu’il soit.

- Le secret, c’est que c’est justement cette honte qui les stimule. Le paradoxe, c’est que plus elles ont honte, plus elles s’excitent et plus elles sont excitée par cette honte, plus elles ont honte. Tu me suis? Une vicieuse prise dans un cercle vicieux. Intéressant, non ?

Luce a terminé son nettoyage et ne sait pas trop quelle attitude adopter. Elle est toujours à quatre pattes sur le sol et semple un peu agacée. Impatiente qu’on en finisse avec nos palabres.

- Qu’est-ce t’as à nous regarder comme une conne ? Tu veux quelque chose ?

Elle le regarde sans savoir quoi répondre.

- T’as envie de prendre ton pied, c’est ça ? Tourne-toi. Montre ton cul, que je vois si t’es excitée.

Toujours plus docile, elle nous présente son postérieur en cambrant les reins.

- Et bien ma grosse cochonne, t’as l’air en forme. Une véritable chienne en chaleur. Recule, je t’offre mon bas de pantalon.

Luce s’approche en reculant, sans trop comprendre où Laurent veut en venir.

- Voilà. C’est ça. Appuie ton cul contre ma jambe et frotte-toi. C’est comme ça que s’assouvissent les clébards dégueulasses dans ton genre.

Il abandonne ma femme à ses turpitudes et s’adresse de nouveau à moi.

- Quand elle t’en a parlé, elle t’a donné des détails ? Par exemple de ce qu’elle entendait par "être humiliée et traitée comme une moins que rien" ?

- Oui, un peu. Mais c’est pas évident. On n’y connait rien en sado-maso.

- Rien à voir.

- Quoi ?

- Rien à voir avec ce monde là. Le masochisme est basé sur la peur, l’angoisse, la douleur. Une femme attachée et torturée est psychiquement mise en valeur. Les tenues de cuir ou de latex sont également étudiées pour mettre en valeur les "victimes". Ta femme, c’est l’inverse. Elle a besoin d’être rabaissée. Et cette particularité est tout à fait propre à la nature féminine. Preuve en est, contrairement à ce qu’on pourrait croire, la majorité des vrais masochistes sont des hommes.

- Tu m’apprends quelque chose.

- Je suis là pour ça. Quand elle t’a avoué ses fantasmes, tu n’as pas eu envie de tester par toi-même.

- Oui, nous avons essayé. Mais ce n’est pas évident dans un couple. Les sentiments etc...

- Normal. Tu l’as jamais flânée ?

- Quoi ?

- Tu lui as jamais foutu sur la gueule, sachant qu’elle aime ça.

- Non. Je n’imagine même pas. Dans la vie courante en tout cas pas.

- Et dans votre vie de cul ?

- Non plus. Comme je te l’ai dit, c’est pas facile.

- Mais si que c’est facile. Regarde. 

Laurent se baisse et saisit Luce par les cheveux et l’arrache à ses activités honteuses. Il l’oblige à se redresser et, tout en lui maintenant la tête en arrière, claque violemment ses seins de sa main libre.

- Vise un peu comme elle raffole de ça, cette connasse.

Avec son genou, il la force à ouvrir les cuisses.

- Écarte ça, sale pute.

Elle obéit.

- Mieux que ça, charogne !

Il lui administre alors une série de claques sonnantes sur la chatte.

- Putain vise un peu comme ça gicle ! Elle adore ça, cette morue. Elle pisse la sauce comme une fontaine. T’es vraiment une grosse dégueulasse, ma parole. J’en ai plein la main.

Sans lui lâcher les cheveux, il l’entraine à travers la pièce. Luce fait quelques pas maladroits et s’enmêle dans sa culotte qui lui entrave les chevilles. Elle chute mais il ne ralentit pas son allure pour autant et entreprend d’arpenter l’appartement en la trainant derrière lui. Il finit par la projeter sur le tapis où elle s’écroule.

- Fous-toi à quatre pattes et branle-toi. Je vais m’occuper de toi dans un moment.

Nous reprenons notre dialogue.

- Ca t’excite ?

- Quoi ?

- De voir ta belle se faire malmener ?

- Je sais pas. Je suis partagé. Oui, je crois, mais il faut que je sois convaincu qu’elle aime vraiment ça.

- T’en as la preuve. Elle sait qu’elle peut arrêter ça quand elle veut et s’en aller. Pourtant elle reste là, bien docilement. Elle en veut encore cette vicieuse. Vise un peu comme elle ruisselle.

- Oui, en effet.

- Et bien tu vois, c’est la même chose pour elle. Il faut qu’elle se débarrasse de sa culpabilité. Et pour ça, elle doit à son tour être convaincue que tu aimes ça.

- Oui, je comprends. 

Luce commence à respirer bruyamment sur le tapis.

- Eh ! Tu te tiens, espèce de dégueulasse. Tu te crois où ? Arrête un moment ces cochonneries.

Elle obéit et se fige. Elle semble hypnotisée par l’excitation.

- Quand je m’en occupe, tu bandes ?

- Pas au début, mais c’est vrai que ça commence.

- Alors n’hésite pas à te branler, ça lui rendra service.

- Comment ça ?

- Tu sais pas te branler ? Ricane Laurent.

- Oui heuu... enfin je veux dire comment ça peut lui rendre service ?

- Tu es le dernier obstacle avant qu’elle puisse se laisser aller pour de bon. Elle culpabilise devant toi, tu comprends ?

- Oui... je crois comprendre.

- Alors sors ta bite et branle-toi. Montre-lui que tu es aussi vicieux qu’elle.

Je suis quand même un peu gêné par la proposition. Je n’ai pas l’habitude de faire ça devant ma femme et encore moins devant un inconnu.

- Ou alors tu participes.

- Quoi ?

Il me désigne ma femme du menton.

- T’as vu comme elle adore morfler ta bonne femme! On sera pas trop de deux pour la dérouiller alors vas-y, défoule-toi. Montre ce que tu sais faire.

Je reste sans bouger et sans répondre.

- Je vois, dit-il. Dans ce cas, t’es mieux d’aller faire un tour et de revenir la récupérer après.

- Non, je veux rester.

- Alors arrange-toi pour que ta pute de femme arrête de lorgner dans ta direction pour voir si ta morale s’accorde à ses besoins honteux. Tu piges ?

- Oui. Je comprends.

Convaincu par ses arguments, je me dégrafe, sors mon sexe déjà dressé et commence à me caresser. Je suis un peu gêné par le regard de Luce qui en effet semble m’encourager. Laurent va rejoindre ma femme et se place debout derrière elle.

- Vise-moi un peu cette chienne. Elle a l’air à point, non ?

Puis, s’adressant à elle :

- Tu as vu ton cochon de mari. On dirait que ça l’excite de voir sa salope de femme entre les mains d’un vrai mec.

Il caresse son intimité avec le dessus de sa chaussure. Instinctivement, Luce commence à se frotter contre le pied de Laurent.

- Regardez-moi cette grosse cochonne ! Quel spectacle honteux pour une honnête épouse.

Il donne un coup avec sa chaussure sur la chatte trempée.

- Dis encore que t’es une grosse cochonne !

- Je suis une grosse cochonne, gémit Luce. Prenez-moi.

- Comment cela, prenez-moi ? Ricane Laurent en frappant encore avec sa chaussure. Tu veux que je te baise ?

- Oui.

- Devant ton mari ? T’as pas honte ? C’est carrément dégueulasse, ce que tu me demandes là.

- J’en peux plus !

Il envoie un violent coup de pied dans sa chatte.

- Ouiii ouiii ! Encore ! Gémit-elle en se tortillant devant lui. Frappez-moi encore !

Laurent ne se fait pas prier. Il frappe à nouveau avec son pied, visant le sexe béant de Luce.

- T’es vraiment une grosse cochonne, dit-il en ricanant. T’aime ça qu’on te cogne dessus, hein charogne !

Je n’en reviens pas. Mon épouse est en train de se faire brutaliser de manière abjecte devant mes yeux et je me masturbe honteusement en me régalant du spectacle. Il la roue maintenant de coup de pieds, autant sur les seins que sur le cul. Plus il frappe, plus elle a l’air d’être au bord de l’extase.

- Dis-moi pas que tu vas prendre ton panard comme ça, ma salope !

- Ouiiiii encore ! Encore ! Sanglote-t-elle en tendant ses fesses.

Laurent cesse de frapper.

- Ta femme c’est vraiment la pire des vicieuses perverse que j’aie jamais vu, dit-il à mon intention. J’ai bien envie de me la faire cette cochonne.

- Oui ! Dit Luce dans un souffle. Allez-y !

- Ô là, du calme. C’est la bonne ménagère fidèle que je veux sauter en premier. Pas la chienne. Vas te foutre sur la table.

Luce se relève et va se coucher sur la table pendant que Laurent retire son pantalon.

- Dis donc, elle se fait pas prier ta bonne femme. Tu l’as déjà vue se faire baiser par un autre ?

Je fais non de la tête, subjugué par l’indécence avec laquelle ma femme s’offre à ce type qui va vers elle, le sexe dressé.

- Approche, me dit-il encore. Viens lui tenir les guibolles.

Gagné par l’excitation, je me place à côté de la table et saisis les chevilles de ma femme qui s’est déjà docilement placée en position, les jambes écartées.

- C’est ça, parfait. Tiens bien ta femelle, je vais la baiser comme une pute.

La situation particulière excite Luce encore plus. Le regard fixé sur ma propre érection, elle semble sur le point de jouir. Laurent prend son temps et savoure l’instant. Il place son énorme sexe contre la chatte ruisselante.

- Maintenant les amoureux, regardez-vous dans les yeux, ça m’excite.

Et il s’enfonce en elle d’un seul coup, lui arrachant un cri de plaisir. Le pénis luisant ressort entièrement, puis plonge à nouveau. Laurent semble déguster sa conquête quelques instant puis se met à la besogner violemment, en proférant des insultes.

- Bon sang qu’elle est bonne cette salope ! Souffle-t-il en donnant de furieux coups de reins. Vise comme elle aime la bite, cette pute !

Jamais à ma connaissance Luce n’a été baisée avec autant de violence. A tel point qu’elle se met soudain à hurler son plaisir en nouant ses jambes autour du torse de son amant.

- Ouiiii… Je vais jouir ! Je vais jouiiiiiir…

- Tiens-toi putain !! Hurle Laurent sans cesser de la besogner violemment. Qui t’a permis, salope ?

Il se met à la gifler à la volée sans aucun ménagement. Mais les coups terribles qu’il lui porte excite ma femme encore plus. Elle se met à jouir comme je ne l’ai jamais vu. Un orgasme dévastateur et interminable auquel Laurent semble résister.

- La salope a failli m’avoir, souffle-t-il alors en se retirant.

Luce reste pantelante. Il la pousse sans ménagement en bas de la table et elle tombe lourdement sur le sol.

- Dégage-toi de là connasse.

Il s’acharne alors sur elle et la bat alors qu’elle tente de se relever.

- A quatre pattes salope !

Il lui botte le cul et la fait courir dans toute la pièce en lui criant les plus abjectes insultes.

- Grimpe sur le divan et tends-moi ton cul de salope.

Luce est devenue aussi docile qu’un animal de cirque. Laurent se place derrière elle et frotte vulgairement son sexe entre ses fesses.

- T’en veux encore salope ?

- Oui, gémit-elle. Baisez-moi !

Puis il s’adresse à moi.

- Dis donc, le mari branleur, ça te va si je l’encule ?

Comme toute réponse, j’accélère ma branlette.

- Oh nonnn, réagit Luce. Vous être trop gros, je ne…

- Ferme ta gueule, gronde-t-il en lui plaçant son sexe entre les fesses.

Il commence à la pénétrer, mais ma femme se met à gigoter en pleurnichant. Laurent la saisit par les cheveux et tire violemment en arrière.

- Tiens-toi tranquille, salope ! Vise un peu ton mari comme ça l’excite d’admirer sa femme chérie se faire troncher par le cul.

Il s’acharne pour tenter de la pénétrer, mais elle résiste encore.

- Desserre le cul charogne ! lui crie-t-il en frappant ses omoplates à coups de poings, ou je te le fais exploser.

Luce gémit alors que le sexe de l’homme s’enfonce inexorablement en elle.

- Oui c’est ça, relâche-toi ma grosse cochonne, tu vas adorer ça. Putain ce que t’es bonne !

Les hanches de Laurent sont maintenant collées au postérieur de ma femme.

- Tu la sens ma bite, grosse salope ? Tu sens comme je t’encule à fond ?

Il reste profondément planté en elle un long instant puis se retire lentement. Son pénis bandé au maximum palpite en face de l’orifice distendu de ma femme qu’il tient fermement par les hanches. Mais tout de suite il se replace et sans attendre, il s’enfonce en elle violemment. Luce pousse un cri que je reconnais comme étant plus de surprise que de douleur.

- T’aime ça hein ma cochonne ? Ça t’excite de te faire enculer comme une truie devant ton cocu ? T’es une salope hein ? Dis-le que t’es une grosse salope et que t’aime que je te bourre le cul.

Luce se masturbe comme une démente en encaissant les terribles coups de bélier de son amant. Pour moi s’en est trop et je me mets à éjaculer entre mes doigts. Ma femme ne perd pas une miette du spectacle et se met à jouir à son tour en criant et en sanglotant.

- Ouai c’est ça, se met à hurler Laurent. Serre ton cul salope ! Essore-moi les couilles, charogne !

Il se déchaîne carrément puis s’immobilise en maintenant ma femme tout contre lui et jouit bruyamment et grossièrement.

- Et maintenant disparaissez bande de pervers !

Il ramasse les vêtements de ma femme et les jette dans le couloir. Nous quittons les lieux précipitamment.

Un mois plus tard, Luce me suppliait de retourner au 34 Rue des Halles… 

FIN

mercredi 25 décembre 2024

Dans le bus Ch.01

 Traduction d’un texte de creativeboyinspring

 *****

Début du voyage en bus pour Yesnia.

- Ringarde !

J’entends l’insulte fuser dans le couloir alors que je les croise. Un instant plus tard, ce sont des rires qui éclatent. Bien sûr tous ces rires ne sont pas vraiment nets, mais ils montrent à quel point les étudiants sont stupides ici. Je ne dis rien et je ne réagis pas, car c’est ce qu’ils voudraient.

Je m’appelle Yesnia et j’ai 19 ans. Oui je suis une intello. Je ne veux pas dire une de ces petites intellos mignonnes que l’on voit à la télé, mais une vraie intello, une ringarde comme on aime m’appeler. Il fut un temps où je détestais ce mot, mais j’ai grandi avec. De plus je suis la meilleure étudiante de l’université et j’ai gagné tous les concours que j’ai passés. 

Qu’est-ce qui fait de moi une ringarde ? Tout mon être. Et sûrement que ce soit le fait que je ne me maquille jamais ou que je porte toujours mes cheveux noirs coiffés avec une queue de cheval, que je ne m’habille pas vraiment comme une fille, car je porte toujours des tee-shirts ou des sweats à capuches très larges ainsi que des jeans. J’aime porter des vêtements de garçons, car ils sont toujours plus résistants que les froufrous des filles. En plus ils ont des poches. Bien sûr, je porte de grosses lunettes que l’on m’accuse d’avoir volé à un vieillard et je préfère regarder des documentaires plutôt qu’aller aux fêtes débiles organisés par mes camarades de classe, même si je ne suis jamais invitée.

Je presse mes livres de cours contre ma poitrine en marchant. C’est ainsi que je marche toujours , car j’ai un buste très lourd, très très lourd même. Si j’étais une de ces filles sans cervelle qui traînent ici, je porterai de grands décolletés pour montrer mes attributs. Mais je ne suis pas comme ça. Bien sûr, une partie de moi aimerait le faire , mais je ne peux pas, ce ne serait pas moi.

Aujourd’hui, je mesure 1m65 et je pèse 65 kilos. Je sais que les gens qui s’aperçoivent que je suis un peu boulotte veulent voir ma poitrine qui fait du 110 DD. Je dis « les gens qui s’aperçoivent » car je suis devenue très douée à cacher mes formes. Comme je l’ai dit, je porte des vêtements amples ce qui rend difficile de voir les courbes de mon corps. 

Une partie de moi aimerait peut-être porter des vêtements qui dévoileraient plus mes rondeurs, mais je suis trop timide pour le faire. L’attention des autres sur mon corps est quelque chose que je voudrais, mais ça me fait vraiment peur. Aussi étrange que cela puisse paraître, je fantasme sur le fait que quelqu’un veuille voir mon corps nu. Je veux dire par là qu’ils veulent vraiment le voir, que je sois d’accord ou non. Qu’ils aient vraiment envie de découvrir ce que je cache depuis longtemps. Oui je sais, je suis bizarre. On pourrait même dire que je suis folle. Mais les ringardes peuvent avoir des fantasmes.

Je traverse les couloirs de l’université pour l’une des dernières fois. Je viens d’être diplômée et il ne me reste que quelques jours de cours. Je suis là parce que je fais partie du club de sciences et que je dois transmettre des directives au nouveau président du club.

On pourrait penser qu’étant donné que l’année scolaire est presque terminée, l’université serait presque vide. Mais ce n’est pas le cas . J’ai l’impression qu’il y a encore plus de monde. Pour aggraver les choses, il y a une sortie organisée pour les étudiants de 18 ans et plus. Ils vont aller visiter quelques monuments  et aller au parlement pour voir le gouvernement en action.

On pourrait penser que ceux qui sont inscrits à cette sortie y vont parce qu’ils s’intéressent à la politique, mais ce n’est pas vraiment le cas. La plupart y vont parce qu’ils ont prévu de faire la fête dans le motel où ils sont hébergés. Ils seront loin de chez eux et auront leur propre chambre pour pouvoir s’amuser et faire ce qu’ils veulent. Ils savent que les professeurs ne diront rien car ils sont adultes. Et donc, ils ne pourront être punis ou expulsés.

En franchissant la porte principale de l’université, je vois sur la droite le parking rempli de bus pour ce voyage. Il y a des étudiants partout qui traînent en attendant que les bus soient chargés.

Comme je ne me suis pas inscrite à ce voyage, je tourne à gauche pour rentrer chez moi. Mais je me fige immédiatement et je gémis. Devant moi, il y un groupe que j’appelle « les gothiques ». Ils sont cinq, trois garçons et deux filles. Dans chaque communauté, il y a des groupes comme eux, des gothiques stéréotypés. Vous savez, le genre qui porte des vêtements noirs, des croix inversées comme bijoux, du maquillage noir, y compris les mecs. Leurs vêtements donnent l’impression qu’ils travaillent pour la maison hantée et leur vocabulaire est souvent composé de mots ayant un rapport avec la mort. Une des filles porte une paire de menottes à la ceinture et dit à tout le monde que c’est pour montrer que nous sommes tous menottés par la société.

La seule chose à savoir sur ce groupe c’est qu’ils sont tous des trous du cul. Ils aiment qu’on les regarde et ils s’attirent constamment des ennuis. Et ils ne manquent jamais de faire de ma vie un enfer. La plupart du temps ils se moquent de moi, mais il est arrivé qu’ils s’en prennent à moi physiquement en me faisant trébucher, en faisant tomber mes livres de mes mains et même une fois en me jetant de l’eau à la tête.

- Regardez, regardez, la mocheté cherche son prince charmant. Dit l’un des garçons aux autres.

Quand ils me voient ils prennent tous une tête sinistre. Le garçon qui est le chef du groupe s’appelle Paul. Il est le plus grand et bien plus grand que moi puisque qu’il doit mesurer plus d’1m80.

- Cette ringarde est si moche qu’elle transformerait Médusa en pierre. Dit l’un des autres gars.

Et comme d’habitude, chacun d’eux fait une remarque blessante ou injurieuse sur mon apparence. Je sais qu’il est préférable que je les laisse dire. Je reste là et j’encaisse.

Je sais que je suis une ringarde. Tout comme je sais que je suis timide. C’est d’ailleurs pour cela que les gens aiment m’intimider, je déteste la confrontation. Je me contente d’encaisser les harcèlements en espérant qu’un professeur ou quelqu’un d’autre viendra à mon aide. Je ne sais pas pourquoi je suis comme ça, pourquoi je ne me défends pas même physiquement. Je ne fais rien, j’ai trop peur.

Et ce groupe m’intimide beaucoup trop. J’essaie toujours de les éviter à tout prix, allant jusqu’à prendre un chemin avec détours si je les vois dans un couloir. Mais aujourd’hui, je ne peux les éviter. Ils sont juste en face de moi et ils m’ont vue. Pire, ils me bloquent le chemin vers ma maison.

En les regardant, j’ai un très mauvais pressentiment. Il y a quelque chose de différent chez eux aujourd’hui. Même s’ils ont l’air normaux avec leurs accoutrements et leurs maquillages gothiques, je sens qu’il y a quelque chose qui ne va pas.

Et puis je remarque qu’ils ont tous une chose en commun : les yeux rouges. Je vois que certains ont un regard vide. Ce regard qui est droit devant, mais qui ne voir rien, le genre de regard qui dit que vous n’êtes plus là.

Ce n’est que lorsque le vent souffle doucement que je repère l’odeur reconnaissable entre toutes : du cannabis. Ils sont défoncés, ils sont tous défoncés. En remarquant cela j’ai un frisson de peur qui me parcoure l’échine. Ils sont défoncés. Ils se droguent ? Oh mon Dieu, aidez-moi ! Ils sont drogués !

- Tu ne pars pas en voyage ? Tu n’as pas envie de voir tous les autres ringards comme toi qui s’agitent de partout pour dire à tout le monde ce qu’il faut faire ? Demande Paul d’une manière condescendante.

Pendant qu’il parle, ses amis commencent à tourner autour de moi comme ils le font habituellement quand ils m’attrapent. En temps normal c’est déjà assez difficile, mais cette fois-ci, en sachant qu’ils sont défoncés, je commence à trembler un peu de peur. Je n’ai aucune idée de ce qu’ils sont capables de faire. Je crois que les gens sous l’emprise de la drogue essaient parfois de manger les autres non ?

- Je… je ne veux pas d’ennuis. Et non je ne pars pas, je rentre chez moi. 

J’arrive enfin à parler, les mots sortants difficilement de ma gorge sèche. Je sais que je montre que j’ai peur, mais je ne peux pas m’en empêcher. Ils sont drogués, je ne me suis jamais trouvée dans une telle situation.

- Tu sais quoi ? Me dit une fille nommée Jennifer qui s’approche de moi sur le côté.

Elle tire sur mon nœud qui retient ma queue de cheval. Puis elle passe sa main dans ma chevelure et attrape une poignée de mes cheveux. Je grimace de douleur et je penche ma tête vers elle.

- Je pense qu’elle serait tellement plus belle si on lui rasait ce côté de sa tête. Dit-elle au groupe qui se met à rire.

Je suis terrifiée, car je les imagine  en train de me faire ça. Qu’ils m’emmènent derrière le bâtiment et qu’ils me rasent la tête pour que je ressemble aux deux filles. Qu’ils me fassent ressembler à un monstre drogué.

- S’il te plaît non ! Gémis-je alors qu’elle continue à tirer mes cheveux. 

Soudain l’autre fille se place derrière moi et attrape mon sac à dos. Elle tire fort dessus. Je pense qu’elle essayait de me faire tomber sur mes fesses. Mais au lieu de cela, elle fait glisser mon sac à dos le long de me bras et les sangles tirent mes bras en arrière.

- Ou quoi ? Demande la fille dans mon oreille ;

Je regarde toujours Paul, puis je vois quelque chose qui me fait réfléchir. Paul me regarde mais ses yeux sont baissés comme s’ils étaient attirés par quelque chose. C’est alors que je vois ses pupilles se dilater comme s’il avait vu quelque chose qui lui plaît.

Confuse et effrayée, je baisse les yeux pour voir ce qu’i regarde fixement. Je me mets presque à crier de gêne et de peur en voyant ce que c’est. Lorsque Lynn, la fille derrière moi a tiré mon sac, mon chemisier ample a été tiré vers l’arrière et tendu sur ma poitrine. Maintenant, le groupe peut voir à quel point mes seins sont gros.

Effrayée, je tire sur les bretelles de mon sac et je fais un pas sur le côté pour l’arracher des mains de Lynn et obliger Jessica à lâcher mes cheveux. Seulement les deux filles rigolent pour montrer qu’elles trouvent mes efforts amusant.

- Je dois y aller maintenant ! Dis-je sur un ton que je veux confiant, mais qui ne l’est pas beaucoup. 

Ce qui n’aide pas c’est que je regarde le sol, car je ne veux pas croiser le regard de Paul après ce qu’il a vu. J’ai espoir qu’ils s’écartent de mon chemin, mais ils ne le font pas. Ils restent immobiles.

- Oui c’est ça ! Dit enfin Paul.

Je suis soulagée de l’entendre dire ça. Je suppose qu’ils doivent partir avec les bus. S’ils ne les prennent pas à l’heure voulue, ils devront rester. Ce qui veut dire pas de fête. Même drogué, il se souvient de ça.

- Tu dois y aller oui… et monter dans le bus. Dit-il d’un ton sévère.

- Tu vas faire ce voyage à la con, car je sais qu’il va être chiant à mourir. Et j’ai l’impression que notre amusement ne fait que commencer. Ajoute-t-il.

Les autres rigolent. Leurs rires augmentent quand je lève les yeux vers lui et que mon visage affiche un air confus. J’ai clairement dit que je ne faisais pas le voyage et que je rentrais chez moi. Je ne peux pas faire ce voyage, je ne suis pas inscrite.

- No… Non… Je ne suis pas inscrite, donc je ne peux pas y aller. Je dois…

Je commence à expliquer que je ne me suis pas inscrite à ce voyage et que je dois préparer un dossier pour m’inscrire dans une autre université l’année prochaine, mais Paul me coupe. Il m’interrompt en se penchant pour que son visage se rapproche dangereusement du mien. 

- Chuuuutttt… Putain de ringarde ! Dit-il très calmement.

Je peux sentir l’odeur du cannabis dans son haleine. Il met son doigt sur mes lèvres. Me sentant stupide et lâche, je me tais. Je le fais parce que je ne sais que faire d’autre. Qu’est-ce qui pourrait se passer avec ces drogués ?

Le meilleur que je puisse faire en ce moment est de scruter tout autour de moi dans l’espoir qu’un professeur ou que quelqu’un que je connaisse vienne à mon secours. Mais vu que les cours sont finis et que nous sommes devant l’université, je n’ai pas beaucoup d’espoirs. 

- Tu vois ce bus ? Demande alors Paul en me désignant le bus le plus proche de nous.

Je regarde et je lui fais signe que je le vois.

- Tu vas monter dans ce bus. En fait tu devras même être la première à faire la queue pour monter dedans. Une fois à l’intérieur tu iras au fond, complètement au fond et tu t’assiéras sur le dernier siège comme une bonne petite fille et tu y resteras. M’explique lentement Paul.

Sa voix est animée, montrant à quel point il est excité. Chaque mot qu’il prononce me provoque des frissons de peur.

- Mais je… Commencé-je pour expliquer que je ne peux pas.

J’ai des choses à faire. Je ne suis pas inscrite, ce qui signifie qu’il n’y aura pas de places pour moi.

- Tu te demandes peut-être ce qui va se passer si tu ne fais pas ce que te dit Maître Paul ? Tu peux t’enfuir et nous dénoncer ? Dit-il calmement en utilisant sa différence de taille pour m’impressionner. 

J’ai l’impression qu’il pourrait me marcher dessus. 

- Ma réponse à ces questions est… Veux-tu vraiment le découvrir ? Veux-tu savoir ce qui se passe si tu nous mets, mes amis et moi, dans une situation très inconfortable ?

Il me parle en rapprochant son visage du mien jusqu’à ce que nous soyons qu’à quelques centimètres. Je sens de nouveau l’odeur de drogue sur lui. Je sens la sueur froide de ma peur remonter le long de ma colonne vertébrale.

Il est drogué ma petite Yesnia ! Drogué ! Les gens drogués font des choses bizarres et effrayantes. Si je n’obéis pas, qui sait ce qu’il peut me faire ? M’attacher sur le capot d’une voiture et foncer contre un mur ? M’attacher et me jeter dans une rivière ? Me tuer et me manger ? Je regarde Paul et le temps ralentit. La seule pensée dans mon esprit est : « Qu’est-ce que je fais ? ». je ne peux pas monter dans ce bus, je ne peux pas.

Mais je ne peux pas lui dire « non ». ils sont drogués. Que vont-ils me faire si je les mets en colère ! Alors que dois-je faire ?

Je commence à avoir mal au ventre, car je sais ce que je vais faire. Je ne veux pas l’admettre. Encore une fois, je sais très bien que je suis une ringarde. Tout comme je sais que je suis lâche par moment. Et en ce moment en particulier.

Me détestant pour ce que je vais faire, je me retourne sans rien dire. Lynn en face de moi s’écarte du chemin et fait une révérence en disant :

- Par ici s’il vous plaît, Madame !

Le visage rouge de honte, je commence à marcher, mes mains tremblantes tenant les bretelles de mon sac à dos. Effrayée, non terrifiée, je descends le trottoir en direction des bus.  En marchant, je regarde autour de moi pour trouver quelqu’un qui pourrait m’aider. Mais je ne vois personne que je connais ou qui pourrait me secourir. Tous les professeurs sont au loin, près du premier bus. Je n’ai jamais eu beaucoup d’amis dans cette université. J’en ai des tonnes sur les réseaux sociaux, mais pas tant que ça dans la vraie vie.

Je m’arrête devant le bus que Paul m’a indiqué, près de la porte. J’espère un peu que quelqu’un me verra et me demandera ce que je fais là, qu’il attirera l’attention d’un professeur. Mais personne n’a l’air de se soucier de moi. Même s’ils me voient, ils ne s’occupent pas de ce que je fais. Chacun reste das son groupe et discute. La plupart du temps, j’aime bien que l’on ne fasse pas attention à moi, mais pas aujourd’hui.

Le temps s’accélère quand les portes du bus s’ouvrent. Au même moment une voix à l’interphone annonce que tout le monde doit monter, car le départ va bientôt se faire. 

J’envisage de ne pas bouger. Rester là et bloquer l’entrée pour que les autres râlent et fassent venir un professeur. Mais je ne peux pas. Je ne peux juste pas. C’est tellement impoli que je ne peux pas faire ça. Alors je monte les trois marches pour entrer dans le bus scolaire. Mon esprit est en ébullition, car je ne sais pas quoi faire.

Mes jambes tremblent alors que je me dirige vers le fond. Je fais exprès de me déplacer lentement en pensant et espérant que quelqu’un crie :

- Tu ferais mieux de ne pas t’asseoir dans le fond !

Je sais que le fond du bus est l’endroit où la plupart des gens aiment s’asseoir. Mais je continue à avancer et personne ne me dit rien. Au contraire, ils rient et plaisantent entre eux, sans même me voir.

Quand j’arrive au fond je m’installe sur la banquette de gauche, en n’arrivant pas à croire que je suis là. Aucun enseignant ne m’a arrêtée pour me dire que je n’étais pas inscrite. Aucun chauffeur ne m’a demandé si j’avais besoin d’aide. Et aucun autre étudiant ne s’aperçoit que j’existe.

Je suis don assise ici, effrayée et je regarde les gens monter dans le bus. La plupart ont le même rituel. Ils montent, jettent un coup d’œil pour voir s’ils ont un ami et se dirigent vers lui pour s’asseoir à côté. La plupart se mettent à l’avant.

Puis Paul monte avec une démarche arrogante. Il me fixe tout de suite et il se dirige droit vers moi. Derrière lui, son groupe le suit. Personne ne se rend compte qu’ils sont drogués. Paul arrive au fond et s’assoit dans le siège de l’autre côté de l’allée par rapport à moi. Il me regarde avec un large sourire et des yeux rouges. Les autres s’assoient sur les banquettes juste devant les nôtres, deux personnes par siège. Puis ils se tournent pour me regarder avec leurs regards de drogués.

Je me mords la lèvre et je ne dis rien alors qu’ils me fixent. J’espère qu’un professeur va monter et remarquer que je ne suis pas censée être ici, que je suis une passagère clandestine, que je suis kidnappée par les gothiques.

Ceux-ci continuent de me regarder et de parler entre eux, parfois en gloussant ou en riant. Ils chuchotent, regardent autour d’eux, mais ils restent calmes. Paul se contente de me regarder sans rien dire.

Après plusieurs minutes d’attente tendue, le bus démarre. Je n’ai vu ni enseignant ni personne qui se demande pourquoi je suis là. Et lorsque le bus démarre, je gémis en disant :

- Nonnn…

Ce n’est pas possible. J’entends alors les gothiques rirent. C’est un rire cruel et méchant. Comme quand vous apprenez que quelqu’un que vous déteste vient d’échouer à un test pour lequel il avait vraiment étudié.

Le bus commence à rouler. Il suit ls autres, il est le dernier de la file. Il sort du parking de l’université et prend la route pour plusieurs heures de voyage. Il roule avec moi à bord sans que personne ne le sache ou ne semble s’en soucier.

- Maintenant… Dit Paul d’un ton presque joyeux.

Ses amis se retournent pour me regarder. Ceux qui sont près de l’allée se penchent vers l’arrière et les autres assis près des vitres se mettent à genoux sur leur siège pour me regarder. Ils me fixent tous et je sais qu’assis de cette façon, ils empêchent quiconque dans le bus de me voir. Paul se déplace vers le bord de son siège, assez près pour me toucher.

- Que faire de cette intello ? Dit-il tout haut comme pour demander au groupe. 

Ses amis font des suggestions stupides comme me jeter par la fenêtre ou me donner un look de gothique. l’un d’entre eux, dans un état d’esprit élevé suggère de me faire manger un de mes livres scolaires. 

- Voyons ce qu’elle a dans son sac ! Dit l’un des garçons.

Les autres acquiescent en grognant. Maintenant, je me sens comme un objet exposé, comme un animal dans un zoo.

- Vas-y, enlève-le ! Me dit Paul comme si j’étais un enfant stupide qui ne comprend pas ce qu’on lui dit.

Je fronce les sourcils, mais je glisse un bras en dehors d’une des sangles de mon sac, puis l’autre. Je sais que je devrais crier et les insulter pour que tout le monde entende, mais je ne peux pas. J’ai trop peur.

Une fois mon sac à dos enlevé, les deux du groupe sur la banquette devant moi le saisissent. Ils l’ouvrent et regardent à l’intérieur en déclarant qu’il est plein de « merdes de ringarde ». Je suis reconnaissante qu’ils ne jettent rien. Ils se contentent de le pousser dans un coin de mon siège.

- Tu sais, je crois que nous avons tous envie de voir… ça… Dit Paul en avançant sa main.

Le doigt tendu il soulève un peu le bas de mon chemisier. On voit brièvement mon ventre avant que je baisse les mains pour rabattre le tissu. Bien sûr, ça les fait tous rire.

En entendant ces rires tout en tenant mon chemisier, quelque chose de bizarre se produit. Je ressens un picotement comme jamais auparavant entre mes jambes. C’est une sensation profonde, une sorte de plaisir sexuel profond. D’où cela vient-il ? Du fait qu’il essaie de soulever mon chemisier ? Où est-ce d$u à la peur et à la honte que je ressens ?

Soudain Paul a un sourire méchant sur le visage. En même temps, ses yeux rouges s’illuminent et révèlent qu’il vient de penser à quelque chose. Il me regarde dans les yeux fixement.

- Hé Jen, donne-moi tes menottes ! Dit-il en continuant de me regarder.

Puis il se tourne vers la fille. Celle-ci le regarde un moment sans trop comprendre, l’esprit embué par la drogue. Finalement elle réagit et d’une manière maladroite elle détache les menottes de sa ceinture puis elle les tend à Paul.

- Sois une bonne fille et donne-moi ta main ! Me dit-il d’un ton moqueur en me tendant la sienne pour que j’y mette la mienne. Une sueur froide me parcoure la colonne vertébrale quand je comprends qu’il veut me menotter. Alors je secoue la tête pour dire NON, que je ne le ferais pas. Il ne dit rien mais agite ses doigts comme pour dire : « Allez, donne-là ». je secoue une nouvelle fois la tête pour dire NON, mais il ne fait que répéter son geste avec sa main.

- Veux-tu me voir en colère, ringarde ? Demande-t-il soudainement sérieusement les yeux braqués sur les miens.

Son visage affiche une contrariété qui me fait très peur. Me sentant lâche et pathétique, je tends ma main gauche. Il sourit comme un chat qui vient d’attraper un canari, puis il fait claquer une menotte métallique sur mon poignet.

- Nonnnn, s’il te plaît, ne fais pas ça ! Gémis-je.

Mais je ne fais aucun mouvement pour retirer ma main. Sous le regard des autres il amène l’autre menotte vers la cadre de la banquette où il l’attache. Maintenant ma main est menottée au cadre du siège sur le côté.

- Excuse-moi ! Dit-il en se levant et en passant entre moi et la banquette devant. 

Il fait exprès de me bousculer. Comme il y a peu de place, je suis obligée d’écarter les jambes de sorte qu’il se place entre elles, son entrejambe à la hauteur de mon visage. Il ne dit rien et se baisse calmement pour saisir ma main droite. Je l’implore de ne pas faire ça, que quelqu’un va le voir, qui n’aura pas simplement des problèmes à l’université, mais qu’il ira aussi en prison. Il ne m’écoute pas et attache ma main droite au côté droit du siège. Je ne peux plus utiliser mes mains. 

- Voilà, c’est beaucoup mieux ! Dit-il d’un ton moqueur en retournant sur son siège.

Ses amis rigolent. Soudain il attrape le bas de mon chemisier et il le tire vers le haut. Il force et le remonte si bien qu’il peut recouvrir ma tête avec. Il l’enroule à l’arrière de mon cou pour qu’il ne puisse pas redescendre.

Stupéfaite, choquée, effrayée, il y a tant de mots qui ne peuvent décrire totalement ce que je ressens. Mon chemisier est totalement relevé et cache mon visage. A travers le tissu je ne peux seulement voir que de vagues contours de ce qui se trouve devant moi. Je me rends qu’il vient de dévoiler mon ventre… Mon soutien-gorge… Et ma poitrine.

Je gémis de manière audible quand j’entends les petits cris de stupéfaction en voyant la taille de mes seins. Ils sont tous surpris, ne se doutant pas de ce que je cachais. J’avais toujours fait attention de me tenir de manière à ne pas faire ressortir ma poitrine, m’asseoir en restant penchée. Je voulais être sûre que les gens ne sachant pas que j’avais une grosse poitrine.

- Putain de merde ! Dit l’un des garçons, choqué. 

J’essaie en vain de lever les mains. Le bruit du métal qui s’entrechoque doucement se fait entendre encore et encore alors que je me débats pour essayer de lever les mains et abaisser mon chemisier. Mais je n’y arrive pas.

- C’est pas possible ? Dit l’une des filles.

Bientôt les commentaires fusent :

- Ils sont plus gros que sa tête !

- Ils sont peut-être même plus gros que des ballons de basket !

- Je ne savais pas que les ringardes avaient des seins !

Je suis obligée de rester assise et de subir leurs insultes en sachant mes seins seulement couverts d’un soutien-gorge. Et ce qui n’arrange pas les choses, c’est qu’avec le déplacement du bus, je sens mes seins se balancer, rebondir et trembler. Je sais que personne d’autres dans le bus ne peut voir ça. Le groupe de gothiques fait en sorte de bloquer la vue pour que personne ne puisse voir ce qu’ils font. Personne ne se rend compte qu’ils me violentent.

Je suis incapable de dire quoi que ce soit tant je ressens une pluralité d’émotions. La première chose que je voudrais faire c’est de pleurer, la deuxième de crier. Mais étrangement la troisième, aussi étrange que cela puisse être, c’est de ronronner. C’est vraiment horrible, mais le picotement étrange entre mes jambes est plus intense. C’est un picotement sombre, sûrement sexuel, mais si sombre. 

- Continue à être une bonne fille et reste assise là gentiment et tranquillement. Je pense que tu ne voudrais pas que quelqu’un te voit comme ça, non ? Dit Paul d’un air moqueur.

Et les autres qui renchérissent : 

- Tu ne voudrais pas que ça finisse sur Facebook, non ?

Je ne dis rien et je ne bouge pas. Je reste assise en pensant que peut-être si je ne dis rien ils me laisseront tranquille. Je ne me suis jamais sentie autant humiliée de toute ma vie. Je ne me suis jamais sentie aussi stupide et aussi honteuse. Et par-dessus tout, je n’ai jamais ressenti une telle excitation.

- Attends ! Non, ne fais pas ça ! Dis-je en voulant crier, mais je ne fais que chuchoter quand je sens les mains de Paul sur mon soutien-gorge.

Avec une facilité déconcertante, mon soutien-gorge s’ouvre juste entre les bonnets comme s’il s’agissait d’un fermoir à ouverture frontale. Il s’ouvre, le soutien-gorge que j’ai dû commander en ligne.

Mes seins sont soudainement libérés. Ils tombent lourdement puis commencent immédiatement à trembler avec le mouvement du bus. Ma poitrine est à nue alors que mon chemisier est relevé. Mes seins sont exposés dans un bus scolaire. 

- Putain, qu’ils ont l’air ferme ! Dit une des filles sous le choc. 

Je voudrais me mettre à hurler, mais je me retiens. J’ai envie de crier pour qu’elles sachent à quel point c’est horrible. Elles laissent Paul faire ça à d’autres femmes. Mais je ne dis rien parce qu’en fin de compte elles sont pires que lui puisqu’elles prennent leur pied à le voir me maltraiter.

Les commentaires se succèdent alors qu’ils regardent ma poitrine nue à l’arrière du bus. Ils se moquent de moi et de mes seins trop gros alors que mes mains sont menottées et le chemisier couvre mon visage.

- Bouge-les ! Commande un des garçons.

Quand il le dit, les autres sont d’accord. Une fille répète même l’ordre. Puis les autres me l’ordonnent aussi. Tous sont d’accord pour que je remue ma poitrine devant eux. Ça devient même une litanie.

Je fais rouler mon épaule droite puis mon épaule gauche ce qui fait remuer mes seins. Je continue à le faire de plus en plus fort jusqu’à ce que mes seins ballottent carrément. Il y a de brèves acclamations et des rires de leur part, ce qui aurait dû attirer l’attention de l’avant du bus, mais personne ne vient.

En les entendant, je ne suis pas sûre de ce que je ressens, de ce que je veux. Bien sûr je veux que le chauffeur voit et arrête cette folie. Mais une partie de moi ne le veut pas. Une partie sombre dans mon cerveau aime que je sois exposée ainsi. J’aime que l’on puisse voir ma grosse poitrine, c’était un fantasme. J’aime remuer mes seins de cette manière obscène, comme une pute. J’aime être un objet.

- Heureusement que tu as couvert le visage de cette ringarde, sinon ses nichons ne seraient pas aussi beaux. Dit l’un des gars en riant.

D’autres blagues sont faites, ils insistent sur le fait qu’ils me trouvent laide, mais que je n’ai jamais été aussi belle de toute ma vie. Que si j’allais à l’université comme ça, je pourrais avoir des amis.

- Je suis curieux de savoir une chose… Dit Lynn.

C’est alors que je sens des mains sur mon jean. Des doigts qui essaient de le déboutonner.

- Ne faites pas ça, s’il vous plaît. Vous vous êtes bien amusé déjà… Dis-je en me penchant en avant pour supplier.

C’est alors que Paul bouge et je sens son visage appuyé contre le côté de ma tête. Même avec le chemisier qui me couvre la tête, il colle sa bouche contre mon oreille.

- Assieds-toi salope !  Grogne-t-il à voix basse dans mon oreille, d’un ton furieux. 

Effrayée par son ton et sachant qu’il est drogué, je lui obéis immédiatement et je m’assois.

- Tu vas rester assise et être une bonne petite ringarde, compris ? Dit-il encore.

Je ne réponds rien, mais je déglutis, montrant ainsi à quel point j’ai peur. Je reste donc sagement adossée au siège.

- En fait, dis-nous que tu es heureuse que nous jouions avec toi. Dis : « Merci de regarder mes seins de ringarde », Dis-le maintenant ! Grogne Paul en attrapant mon menton avec sa main en guise d’avertissement.

- Mer… ci à tous de reg… arder mes... seins de ringarde ! Dis-je rapidement la voix tremblante montrant à quel point je suis effrayée. 

Bien sûr, ils rigolent et chacun d’eux répond :

- Avec plaisir !

En les entendant je lutte contre l’envie de serrer mes jambes l’une contre l’autre pour essayer de faire cesser les picotements.

- Dis que tu as l’air stupide comme ça ! Ordonne Paul qui a fini par lâcher mon menton et reculer sa tête.

Il ne retourne pas à son siège, mais au moins il ne me touche plus.

- Je sais que je dois avoir l'air stupide comme ça, avec mes mains menottées et mes seins exposés. Dis-je, le visage rouge de honte. 

Même s’ils ne peuvent pas le voir, je sais qu’ils sentent au ton de ma voix que c’est très humiliant.

- Ce ne sont pas des seins, ringarde. Tu n’as pas de seins. Les filles normales comme Lynn et moi ont des seins. Toi tu as des mamelles, de grosses mamelles ! Me dit Jennifer.

E les autres continuent à se moquer de ma poitrine.

- Je sais que j’ai l’air stupide avec mes… grosse mamelles à l’air. Dis-je, les larmes aux yeux.

Cela dit, les rires recommencent. Je ne me suis jamais sentie aussi impuissante et désemparée. Je n’ai jamais été autant maltraitée. Pourtant, avec ma poitrine qui se balance au rythme du mouvement du bus, je constate que j’ai effectivement serré les jambes l’une contre l’autre. Je n’arrive pas à croire à quel point je suis excitée.

- Bonne petite ringarde ! Dit Paul.

Puis il me gifle le sein gauche. Je glapis assez fort sous la douleur. Je sens mon sein se balancer et frapper mon sein droit. C’est une sensation très étrange que je n’ai jamais ressentie auparavant. Je suis sûre que ça a dû déjà arriver, mais là je le ressens vraiment. Je sens comme c’est humiliant de voir mes deux seins se balancer lourdement à la vue de tous. J’ai l’impression que le haut de mon corps veut se balancer en rythme. Plus important encore, je sens… Je sens que j’aime ça.

Les doigts reviennent à mon entrejambe. Mon jean est déboutonné et la fermeture éclair ouverte. Cette fois je ne dis rien pendant que la fille le fait. Je sais que Paul serait mécontent. Je la laisse faire, elle enlève ma ceinture maintenant. Et comme je l’ai prévu, je la sens monter sur le dossier de son siège pour essayer de baisser mon jean.

Sachant que l’on me l’ordonnera de toute façon, je lève mes fesses pour l’aider à baisser mon pantalon et exposer ma culotte. Elle tire encore et encore. Elle a du mal à cause de l’espace restreint. Mais elle réussit à descendre mon jean sous mes fesses. Elle s’arrête quand il est autour de mes genoux. Maintenant ils peuvent voir 
ma culotte et mes cuisses.

Une fois de plus, je sens qu’il me détaille dans tous les sens, même si je ne peux voir leur visage. Je les sens qui regardent non seulement ma poitrine, mais aussi ma culotte, ma culotte noire en coton. Et plus je reste assise sans qu’ils ne disent ou ne fassent quelque chose, plus je me sens excitée. Je suis furieuse d’être excitée par cette situation, mais je le suis vraiment. J’ai l’impression d’être un objet que l’on regarde, dont on se moque. Ça touche une partie de mon subconscient qui voulait être réveillé.

- Vous savez quoi ? Je pense qu’on devrait la laisser comme ça quand on arrivera là-bas ! Dit Paul à sa bande.

Ils sont tous d’accord bien sûr. Ils n’arrêtent pas d’imaginer qui pourrait me trouver et ce qui se passerait. L’un d’entre eux dit qu’il faudrait que ce soit un des professeurs et qu’il vomirait en me voyant. Un autre dit que ce devrait être un des joueurs de foot pour qu’il s’amuse avec moi. Et un autre ajoute que ça devrait être un ringard afin que nous perdions notre virginité ensemble.

Ils me demandent alors de bouger à nouveau mes seins et de dire que ce sont des « mamelles de ringarde ». En soupirant, j’obéis. Les larmes coulent encore sur es joues de temps en temps, mais secrètement je commence à apprécier ce traitement. Je pense  que je dois être exhibitionniste au fond de moi. Nous sommes à l’arrière d’un bus où il y a au moins une vingtaine d’étudiants. Chacun d’eux pourrait me voir ou m’entendre. N’importe lequel pourrait voir ce qu’ils me font. Si j’étais seule avec Paul, je ne ressentirais sûrement pas ça.

- Autant continuer ! 

C’est Lynn qui vient de parler. Je sens alors des mains saisir l’élastique de ma culotte. Je sursaute même si je sais que cela allait arriver, qu’elles allaient baisser ma culotte. Mais au lieu de faire ça elle la tire vers le haut.

Une main recouvre ma bouche alors qu’elle tire ma culotte ver le haut, la faisant remonter sur mon sexe. Incapable de m’en empêcher, je crie et j’essaie de bouger mes mains. Comme je montre que j’ai clairement mal, le groupe rigole et elle continue. En fait, elle tire plus fort ce qui m’oblige à bouger les hanches pour essayer d’atténuer la douleur alors que ma culotte s’infiltre entre mes lèvres.

Lynn se clame enfin et baisse un peu ma culotte pour qu’elle ne s’accroche pas à mes lèvres. Je prends une grande respiration à ce moment-là, car elle pressait mon clitoris et je commençais à me sentir bizarre. Quand je pense que c’est Lynn qui m’agresse, l’effrayante Lynn avec son crâne partiellement rasé.

La main est toujours sur ma bouche, donc quand elle recommence à tirer sur ma culotte, on ne peut entendre mon cri. Une fois de plus, je pousse mes hanches en hauteur tandis qu’elle tire encore. Avec horreur, j’entends le tissu se déchirer. Lynn déplace alors sa main qui tient ma culotte de gauche à droite, pour me faire le plus mal possible. Les autres doivent apprécier le spectacle, car ils rient.

- Secoue tes mamelles ! Ordonne Paul. 

Je commence à secouer ma poitrine, dans l’espoir qu’elle lâche ma culotte. Et je le fais de plus en plus fort alors qu’elle continue à tirer.

On entend clairement le bruit de déchirure. Ma culotte se déchire et casse juste sur mon clito. En un instant la douleur s’arrête et je sens l’air frais sur mon sexe nu. Je n’ai plus de culotte, ma féminité est bien visible. Ils peuvent voir ma chatte.

Je suis totalement exposée. Ils rient. Ils se moquent de moi. Je suis impuissante et complètement exposée devant eux et ils se moquent. Ils se moquent de la ringarde aux grosses mamelles.

- La ringarde se rase la chatte, regardez ! Dit Jennifer comme si elle était surprise.

Les autres ont de fausses exclamations de surprise, ce qui me fait encore rougir. Le fait que je les connaisse n’arrange rien. Ils sont tous en train de regarder entre mes jambes pour voir ma chatte. L’envie d’écarter mes cuisses pour qu’ils puissent mieux voir brûle en moi, car je sais que si je le fais, je vais jouir d’excitation. Mais heureusement, mon jean qui entoure mes genoux m’empêche de le faire. De plus si je faisais une chose aussi perverse, je serais considérée comme une pute.

Je commence à me demander si tout ceci n’est pas un cauchemar. Si on était dans la vraie vie, quelqu’un aurait déjà remarqué que quelque chose se passe à l’arrière du bus, non? Pas inscrite pour le voyage, on m’aurait fait descendre du bus. Le conducteur aurait crié pour que les gothiques s’assoient afin qu’il puisse voir par la vitre arrière du bus. Donc ça doit bien être un cauchemar, non ?

Alors que j’essaie de m’en persuader, je sais bien qu’il en est rien. Les professeurs en ont manifestement rien à foutre. Tout le monde a plus de 18 ans, les étudiants sont tous majeurs, donc s’il arrive quelque chose, l’université n’y est pour rien. Alors pourquoi les professeurs se soucieraient-ils de quelque chose ? Et le conducteur, il doit s’en foutre aussi. Il n’a pas besoin de regarder à travers la vitre arrière puisqu’il a ses rétroviseurs latéraux. Et pourquoi ferait-il quelque chose qui pourrait lui causer du tort en énervant une bande d’adolescents.

- Elle a l’air complètement stupide comme ça, n’est-ce pas les gars ? Demande Paul.

Ils sont tous d’accord. Encore une fois, et je ne sais pas vraiment pourquoi, le fait de l’entendre dire ça fait vibrer quelque chose en moi. Quelque chose de sombre qui fait que les picotements augmentent en intensité. J’en arrive au point où je sens que j’ai besoin d’être touchée… maintenant.

- Je crois que ça ne lui sert plus à rien alors il vaut mieux les enlever. Dit Paul.

Je vois alors sa silhouette se déplacer vers moi. Il se penche et dans un moment de panique et d’excitation, je crois qu’il va se mettre à genoux, pour peut-être embrasser ma chatte…

Je suis à la fois déçue et soulagée, car il ne le fait pas. Au lieu de ça il enlève une de mes chaussures. Puis l’autre. Bientôt mes chaussettes sont également enlevées et je me retrouve pieds nus. Paul se redresse un peu, remet sa main sur ma bouche comme pour me dire de me taire.

- Vas-y, jette tout ça par la fenêtre !

Je proteste aussitôt. Mai je me plains en silence, car il appuie sa main sur mon visage pour que l’on ne m’entende pas. A travers le fin tissu de mon chemisier, je vois un des gars ouvrir la fenêtre et balancer mes chaussures et mes chaussettes.

- Oh, attendez ! Attendez, j’ai une idée géniale ! Dit le garçon assis devant moi. Il est joyeux comme s’il venait de recevoir un cadeau. Comme je ne peux pas faire grand-chose, je me contente de le regarder alors qu’il se penche sur le dossier de son siège pour atteindre le mien. Au début je pense qu’il veut me claquer, mais il ne le fait pas. Il tire mon sac à dos et commence à farfouiller dedans. Apparemment il recherche quelque chose.

Pendant ce temps, Paul tire sur mon jean, montrant clairement qu’il veut l’enlever. Encore une fois, je sais que je devrais donner des coups de pieds, ruer, mais je ne le fais pas. Je garde mes jambes immobiles pendant qu’il descend mon jean jusqu’à ce qu’il l’enlève complètement. Je le supplie de ne pas faire ça, mais il ne m’écoute pas.

- Ça aussi, par la fenêtre ! Dit Paul après avoir mis sa main sur ma bouche.

Bon sang, je peux me passer de mes chaussures et de mes chaussettes, mais mon Jean ? NON, sans culotte et sans pantalon, je ne peux pas couvrir mon cul et ma chatte. Alors je me débats brièvement en essayant de secouer la tête pour enlever sa main de ma bouche.

Je vois alors mon jean passer par la fenêtre du bus en marche. Je n’ai plus rien pour couvrir ma chatte. Et tandis que je vois mon jean disparaître à travers le fin tissu de mon chemisier, je sens une vague de plaisir m’envahir. Elle me traverse d’une manière qui ne m’est jamais arrivée auparavant. Il me faut un moment pur comprendre que je viens d’avoir un mini orgasme. C’était bref, mais c’était bon. J’ai joui à cause du sentiment d’être impuissante et exposée.

- Ah voilà ! Dit le garçon qui fouillait dans mon sac.

Il montre à tout le monde sa découverte. Il y a beaucoup de bruits. Ayant l’impression d’avoir la tête dans les nuages, je me tourne pour essayer de voir ce qu’il a sorti de mon sac. Il s’agit de mon cordon USB.

- Putain, qu’est-ce que tu veux faire ? Demande Paul.

Je me pose aussi la question sans vouloir vraiment connaître la réponse. Ce que je veux c’est de pouvoir encore ressentir ce bref moment de plaisir, être nue et exposée, sentir mes seins se trémousser et se balancer avec les mouvements du bus, être un jouet pour le groupe. 

- Ça ! Répond le gars.

Je sens alors qu’il enroule le cordon sur mon sein droit. J’essaie de faire un mouvement sur le côté. Mes mains essaient de bougre pour l’arrêter, mais je ne peux pas. Il fait une bouche autour de mon sein et commence à tirer sur le cordon pour le serrer.

- Arrête s’il te plaît ! Supplié-je de ma voix tremblante alors que je sens le cordon se resserrer de plus en plus autour de mon sein.

Pendant qu’il fait ça, j’entends les autres rire et commenter son idée en criant « génial ». Il tire encore sur le cordon et serre de plus en plus. Il fait souffrir mon sein. On ne m’a jamais fait ça alors je ne sais pas trop qu’en penser à part que ça fait mal. Je gémis quand il commence à enrouler le cordon sur mon sein gauche.

-Merde ! Tu dois plus serrer ! Dit Paul l’air ennuyé. 

Je sens qu’il bouge ses mains pour attraper le cordon. Il tire fort dessus et me fait crier de douleur. Il attache le cordon super serré. j’ai l’impression que le sang est coupé pour mes deux seins.

Je gémis de douleur alors que Paul s’applique à faire un nœud. Le cordon s’enfonce dans la chair tendre de ma poitrine. J’ai l’impression de sentir mes battements de cœur dans mes deux seins, car la circulation du sang est coupée. J’ai aussi l’impression que mes seins gonflent lentement. Paul recule alors pour laisser voir le cordon blanc enroulé autour de mes mamelles de ringarde.

- Bon, ça suffit. Je ne crois pas que je vais pouvoir attendre beaucoup plus. Dit Paul.

En regardant devant moi alors que la chaleur monte entre mes seins, je l’entends bouger. Puis j’entends alors une ceinture se défaire et une fermeture éclair être descendue. Paul se lève et comme avant il se place devant moi. Cette fois-ci j’écarte les jambes pour qu’il puisse se placer entre elles et directement face à moi. J’ai le souffle coupé quand je sens ma féminité s’ouvrir. Je sais que je mouille tellement je suis excitée. Il va sûrement s’en apercevoir.

Il saisit alors mon chemisier. Je pense qu’il va l’enlever, mais non. Il se contente de le tirer un peu vers le haut en attrapant le col. Comme ça, mon menton et ma bouche sont visibles. Je vois encore à travers le tissu et je reste pantoise.

Paul a sorti sa bite. Elle est bien raide et bien droite. Elle est à quelques centimètres de mon visage et son pantalon est tombé sur ses chevilles. Il pousse ses hanches en avant et sa bite frotte mes lèvres. Je garde la bouche fermée, car je ne sais pas que faire d’autre. J’ai jamais été dans cette situation. 

En riant, Paul pince mon nez avec son autre main. Je comprends ce qu’il veut. Si bien que lorsque j’ouvre la bouche pour respirer, je m’assure de l’ouvrir bien grand. Il pousse alors sa bite à l’intérieur.

Paul vient de mettre sa queue dans ma bouche sous le regarde de ses amis qui le regardent me violer. Qu’est-ce que je fais ? Crier ? Me battre ? Le mordre ?  Non, je me contente de fermer mes lèvres sur son membre.

Grossièrement il commence à faire des mouvements de va-et-vient dans ma bouche pour me baiser le visage. Bien sûr j’ai déjà vu ça dans des pornos et j’ai entendu des gars en parler, mais ça ne m’est jamais arrivé. Je sens la chaleur monter dans mon corps  et mes seins se balancent en rythme avec ses hanches.

Bizarrement la seule pensée qu’il me vient est que j’ai toujours pensé qu’une bite devait avoir un goût horrible. Que ce serait dégoûtant. Mais ça ne l’est pas. C’est chaud comme n’importe quelle chair. 

En silence, avec mes jambes écartées, il me baise le visage à l’arrière du bus. Quand il gémit, je me sens frémir, car je n’ai rien ressenti de tel auparavant. C’est assez génial et excitant. Bien sûr je voudrais que ça s’arrête. Je le veux vraiment, mais je veux plus aussi.

Soudain il attrape l’arrière de la tête et tire fort, si fort que sa bite tape le fond de ma gorge. Il reste immobile, je sens ses couilles sur mon menton. Je commence à protester, car j’ai beaucoup de mal à respirer. Puis je comprends.

Je le découvre en goûtant le liquide épais, salé et gluant qui coule dans ma bouche. Ma réaction naturelle est d’avaler. Paul jouit dans ma bouche. Il jouit et je suis obligée d’avaler. Il jouit dans ma bouche comme si j’étais une pute.

- Bonne petite ringarde ! Dit-il en finissant de gicler son sperme dans ma bouche.

Il ne retire pas sa bite, mais la garde dans ma bouche comme s’il voulait que je la nettoie.

- Et pense qu’il nous reste 6 heures pour s’amuser ! Ajoute-t-il en riant.

Le reste du groupe rigole aussi.

A suivre…