samedi 23 novembre 2024

Une drôle de belle-famille Ch. 13

Texte de Ricki Black (2012)
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les salopes au sex-shop.

J’arrive à un moment idéal de mon aventure. Pour résumer, sur une incitation de la plus jeune fille des futurs beaux-parents de mon fils, j’ai fini par pervertir une bonne partie de cette belle-famille. La plus jeune et la mère sont sous ma coupe et sont prêtes à satisfaire le moindre de mes désirs sexuels, le père est maintenant sous le joug de sa maîtresse femme et est devenu son soumis sexuel.

Les événements allaient prendre une tournure inattendue, lorsque je reçus un appel de Virgile, le vigile du centre commercial. Il m’annonçait qu’il avait reçu la visite de mon ex-femme au centre. Qu’elle lui a raconté que la dernière séance de baise l’avait extrêmement troublée, bien qu’elle soit une femme très convenable, cette expérience avait réveillé en elle des désirs, jusqu’alors ignorés. 

- Bref, me dit Virgile, ton ex, elle est venue pour que je la baise !!

Cette révélation va alors engendrer dans mon esprit un déclic, et je me dis qu’il est grand temps de réunir toutes ces belles salopes à leur insu, et quel meilleur endroit que le sex-shop d’Al, mon pote. J’en parle à Virgile qui est toujours partant pour une expérience de baise. Il va devoir accompagner Brigitte dans le sex-shop d’Al, je pense qu’il n’aura pas de difficulté à la convaincre, s’il y a une bonne partie de queue en perspective.

J’appelle Al pour lui confier mon plan. Pour lui pas de problème, il me donne la date et l’heure vers laquelle il faut venir, car j’ai demandé à Al qu’il y ait des clients dans la boutique. Il me recommande de venir vers 20H00, il y a en général une dizaine de mecs à cette heure. Je lui confie qu’il y aura 2 femmes matures, dont une mariée et accompagnée de son mari soumis. De plus moi je serai aussi présent avec une jeune soumise. Al me répond :

-  OK alors je te réserve une surprise Michel, je pense que tu vas apprécier…

Nous actons le planning et nous donnons rendez-vous, que je confirme à Virgile. Pour ma part je m’occupe de Martine et Pierre, futurs beaux-parents de mon fils. J’ordonne à Martine d’emmener Pierre dans un sex-shop afin de lui acheter des articles dédiés à sa nouvelle condition de soumis. Je pense à un gode ceinture et une cagoule avec un gode intérieur et extérieur. Equipé de cet accessoire Martine va pouvoir se baiser et s’enculer sur lui. Bien sur Martine est partante et ne perçoit pas le piège que je leur tends. Je l’informe que je ne serai pas présent mais que je la confie à Al, le patron du sex-shop que je lui recommande et qu’elle devra lui obéir comme si c’était moi. Son enthousiasme retombe un peu, mais l’idée de soumettre Pierre dans un tel lieu la motive encore énormément. Je lui donne l’adresse, la date et l’heure.

Arrivé le grand jour, je stationne mon 4x4 à quelques rues du sex-shop, ne voulant pas éveiller le moindre soupçon chez Martine ou Brigitte. Je suis accompagné de Léa, la benjamine de la belle famille est une sacrée salope et très soumise à mes désirs. Je lui ai raconté que nous allions baiser dans un sex-shop et ses yeux s’étaient alors allumés d’une lubrique flamme.

Elle est habillée comme j’aime, une petite robe légère, courte et transparente, sans rien dessous. Un décolleté profond qui laisse presque voir les auréoles de ces tétons. 

Nous entrons dans la boutique, en écartant un épais rideau rouge qui obstrue le passage. Al m’accueille avec un grand sourire et salue Léa avec un :

-  Bonsoir belle demoiselle.

Il est 19H30 et je ne vois qu’un seul client.La pièce principale comprend des rangements sur trois murs, Sur deux, sont disposés les DVD présentés par genre, sur le troisième sont présentés les articles et objets sexuels. Godes en tous genres, accessoires SM. 

Le quatrième mur laisse la place à plusieurs cabines de visionnage. Al m’invite à choisir un DVD puis de prendre place dans une cabine. Je demande à Léa de choisir le DVD, alors que je me dirige vers les cabines. J’ouvre la porte et découvre un espace plutôt cosy et assez spacieux. Une banquette assez large en velours rouge fait face un écran grand format. Des boutons placés sous l’écran permettent d’avancer, de reculer, de ralentir le film choisi. Un détail attire mon attention sur la porte de la cabine. Une vitre sans tain l’équipe et une fois fermée je m’aperçois que je peux voir absolument tout ce qui se passe dans la boutique alors que je reste invisible à leurs regards. Je me dis que c’est la surprise d’AL.

Je m’installe, alors que Léa me rejoint dans la cabine. Nous refermons la porte et poussons le loquet verrouillant la porte. Léa me complimente pour le lieu et surtout l’idée de voir sans être vu. Il est 19H50 lorsque l’écran s’allume et je découvre le choix de Léa. C’est un film de Mario Salieri, producteur italien de talent qui met en scène des situations très excitantes de personnes qui se retrouvent piégées et humiliées par des hommes puissants armés de bites énormes. Le titre s’affiche ‘L’ENFER’. La première scène se passe dans un restaurant, une femme dîne avec son mari et une autre femme le chauffe. 

Léa s’est déshabillée et à ouvert ma braguette pour commencer à me masturber. En l’espace de 10 minutes, une dizaine d’hommes sont arrivés dans la boutique. Il est 20H05 lorsque Virgile entre accompagné de Brigitte. C’est Léa qui les voit entrer, elle me sert fermement la queue et me disant.

-  Tu es vraiment pervers mon Maître, en faisant venir ton ex avec Virgile, quel est ton plan cette fois ?

Je lui renvoie en lui fourrant mon index dans sa fente trempée :

- Mate et régale-toi petite salope, cette fois tu vas pouvoir voir cette pute se faire humilier.

Brigitte est habillée comme une bourgeoise salope. Un ensemble tailleur chocolat, des bottes hautes noires. La jupe est très courte et laisse aisément voir le haut de ses bas noirs, voire la peau blanche de ses cuisses. Léa ne loupe rien alors qu’elle me branle avec vigueur elle murmure :

-  Quelle salope ton ex, habillée comme ça elle va se faire violer… mais j’imagine qu’elle n’attend que cela.

Brigitte est devant Virgile et son entrée n’est pas passée inaperçue. Tous les clients ont relevé la tête, certains plus hardis que d’autres se sont discrètement approchés d’elle. Elle est maintenant face aux DVD et tourne le dos à Virgile qui est positionné à côté. Trois mecs se sont approchés et Virgile attrape le bord de la jupe courte de Brigitte pour la remonter doucement. Il découvre ainsi peu à peu les bas, puis les cuisses et enfin le cul bas de mon ex…

Je suis particulièrement excité par la situation et Léa le sent.

-  Ça te fait drôlement durcir de mater ton ex en train de s’exhiber devant cette bande de vicieux.

Brigitte ne bouge pas et accepte d’être ainsi exposée, pire Virgile saisit ses fesses et les écartent pour exhiber le splendide plug qui est planté dans son cul.

Les trois spectateurs ont extirpé leurs bites et commencent à se branler. Ils bandent tous comme des taureaux, Virgile alors entraîne Brigitte dans le coin de la pièce et lui ordonne de se mettre à genoux. Elle obéit, alors que les trois compères l’entourent en leurs tendant leurs grosses bites. Je peux apercevoir subrepticement une des queues lui remplir la bouche. J’adore. Virgile lui est toujours à côté et surveille. 

Léa scrute la scène et je perçois comme une jalousie dans son regard. Elle aimerait bien être à sa place, je le sens et lui demande. Elle me répond qu’effectivement elle n’a jamais sucé trois mecs en même temps… Alors que sa main continue à m’astiquer, le rideau rouge se soulève et laisse la place à Martine accompagnée de Pierre. Léa stoppe tout mouvement, complètement figée par ce dont elle est témoin. Sa bouche est entrouverte et sa respiration chaotique. 

-  Putain c’est pas possible !!! Qu’est-ce qu’ils font là ??? Michel tu as vu ce sont Papa et Maman, mais qu’est qu’ils font dans un sex-shop ? Mais je rêve ce n’est pas possible… je ne veux pas le croire.

Léa est dans une grande agitation et je dois la contenir pour pas qu’elle sorte.

-  Léa calme-toi. Calme-toi. Il n’y a pas de quoi en faire tout un plat. Ils n’ont pas commis un meurtre, ils viennent simplement s’encanailler un peu, ils ont le droit. Tu le fais bien toi alors ne les juge pas.

Mes mots ont un peu apaisé son angoisse, alors qu’elle a maintenant le visage collé à la vitre sans tain, dans la fébrilité de ce qu’elle va découvrir. 

Martine entre et va à la rencontre d’Al. Il se parle pendant quelques instants alors que Pierre est derrière sa femme tête baissée et silencieux. Puis il aperçoit dans le fond les trois hommes, mais il garde la position soumise. Al alors va chercher dans un tiroir des objets et les tend à Martine. D’où je suis je vois bien que ce sont un collier et une laisse de chien. Se retournant vers Pierre, elle lui demande de baisser la tête et lui positionne le collier sur le coup avant de l’attacher. Puis elle dispose la laisse sur l’anneau du collier. 

Léa est rouge de confusion et reste muette de consternation. Elle observe le moindre geste de ses parents et découvre avec effarement les jeux pervers auxquels ils s’adonnent. J’en profite pour lui fourrer mon index d’un seul coup dans l’anus. Elle gémit de plaisir et me dit de lui en mettre un autre. Je l’entends murmurer que ce n’est pas possible, il est soumis à ses désirs, cette salope a réussi à en faire ce qu’elle veut… Elle a profité de sa faiblesse… cette sale Pute… Je suis étonné par le raisonnement de Léa qui incrimine sa mère et détaxe son père sans même connaître encore les tenants et les aboutissants. Mais quelque part je vais pouvoir exploiter cette image qu’elle a de sa mère et lui démontrer qu’elle ne peut pas la renier.

Virgile observe Martine qui traverse la pièce en tenant son mari en laisse. Les autres clients matent également cette belle bourgeoise habillée de cuir. Pierre suit, honteux du regard malsain que les autres hommes posent sur lui. Martine les regarde avec dédain, certains se caressent par-dessus leur pantalon. On sent la tension monter lorsque Virgile demande à Martine de s’approcher. Mon plan marche on ne peut mieux. 

Léa suit les mouvements et commente.

-  Oui vas-y salope, il va te faire souffrir, et c’est bien tout ce que tu mérites d’humilier mon père comme ça.

J’en profite pour accélérer ma cadence et glisse un troisième doigt dans son anus. Elle est tellement excitée qu’elle le sent à peine. 

Martine ne s’est toujours pas aperçue de la présence de Brigitte, cachée par les trois hommes qu’elle suce avidement.Se positionnant à côté de Virgile, elle attache la laisse de Pierre au comptoir. Al alors s’adresse à Martine.

-  Ton Maître m’a dit que tu dois payer tes emplettes en nature, on est bien d’accord ?

Martine acquiesce de la tête.

-  Très bien, je dois du fric à cet homme-là, alors tu vas faire ce qu’il te demande, OK ?

Martine acquiesce de nouveau en se tournant vers Virgile. Pierre, lui, est livide et anxieux, il prend conscience que sa femme est en train d’offrir son corps à un énorme black pour payer une dette. 

Léa, elle, y va de commentaires crades.

- Tu vois je le disais cette une véritable pute, elle va se faire baiser pour du fric… J’espère qu’il va lui exploser le cul avec sa bite de cheval !

Les clients s’approchent lorsque Virgile ordonne à Martine de se déshabiller. Je vois dans son regard comme un tressaillement alors que son corps se crispe. Elle commence par ôter son haut en cuir et se retrouve torse nu, sa petite poitrine tendue et dressée par la peur. Les regards pervers se font plus inquisiteurs lorsqu’elle dégrafe sa jupe qui tombe au sol. Le regard de Virgile est humide du désir inspiré par de si belles courbes et je sais que dans son esprit à cet instant, il me voue des remerciements chaleureux. 

Martine est nue au centre du sex-shop, habillée de ses bottes et de ses bas noirs, son abricot à la vue de tous les mâles et devant son mari qui, effondré, reste tapi dans son coin.Les hommes font face à Martine et chacun d’entre eux a sorti sa queue et se caresse, exhibant leur gland gonflé, Virgile s’est approché d’elle et lui murmure quelque chose à l’oreille. La main de Martine alors se pose sur la braguette de Virgile, regardant les voyeurs d’un regard fixe et déterminé, elle descend la fermeture du pantalon et plonge sa main à l’intérieur, pour en extraire avec difficulté l’énorme verge noire déjà bien tendue. La main de Martine a du mal à en faire le tour. Pierre, lui, est pétrifié en voyant la taille du pénis, et s’enfonce encore plus dans le coin pour essayer de ne plus être visible. Mais c’est sans compter sur sa femme qui au vu du missile de Virgile en profite pour humilier son soumis.

-  Pierre regarde ce que c’est une bite d’homme, la tienne serait plutôt de l’ordre d’un gros clito de salope, d’ailleurs montre à nos amis voyeurs comment la nature t’a dépourvu, et ils vont comprendre pourquoi j’ai besoin de prendre leurs calibres dans mes trous.

Pierre s’exécute, honteux, mais moi je sais qu’au fond de lui, il aime ça et d’ailleurs on peut le constater lorsqu’il extirpe sa bite raide de son pantalon.

- Vous voyez messieurs, même quand il bande à mort il reste trois fois plus petit qu’une belle bite de black comme celle là !

Léa s’est figée en voyant son père exhiber ainsi sa bite. Elle observe avec un intérêt particulier et je la comprends. C’est quand même de cette queue qu’elle est sortie. Elle murmure à nouveau.

- Quelle salope, et en plus on dirait qu’il aime ça se faire humilier devant tout le monde. Regarde comme il bande comme un taureau. Moi je la trouve belle et désirable cette bite et ce n’est pas parce que c’est celle de mon père !!!

Tout ceci m’émoustille vraiment et je ne vais pas tarder à enculer Léa qui mouille comme une folle. Alors que Martine s’agenouille devant Virgile, le rideau rouge s’écarte pour laisser apparaître une créature de rêve. Al s’approche d’elle pour lui faire la bise, puis il lui murmure quelques mots à l’oreille. La belle inconnue regarde Pierre qui est dans le coin la queue à la main et, aux ordres de sa femme, se masturbe.

Elle est très grande, brune le visage fin mais un peu trop maquillé à mon goût. Elle porte une robe en cuir noire très moulante qui laisse découvrir ses généreuses formes. Une ample poitrine généreuse et pesante, une taille de guêpe, une chute de reins exceptionnelle mourant sur une large paire de fesses. De longues jambes gainées de noir et des escarpins. La femme sexuelle et troublante. 

Elle approche de Pierre qui mate toujours Martine ayant pris en bouche l’énorme pine de Virgile. Les autres spectateurs se sont rapprochés et se branlent devant elle. La belle inconnue est devant Pierre qui a cessé de se branler. 

-  Continue ! lui intime t-elle tout en dégageant ses seins de la robe en cuir.

-  Suce-moi les tétons en même temps, petite pute !

A ces mots Pierre plonge le visage dans l’énorme poitrine et reprend son branlage. De son côté Martine est maintenant entourée de cinq bites qu’elle suce à la chaîne. J’observe aussi Brigitte qui s’active également sur les trois clients. L’un d’entre eux n’y tenant plus la relève, se place derrière elle et lui glisse sa queue au fond de la chatte. Sous le coup de boutoir Brigitte crie, révélant ainsi à Martine qu’une autre femme est présente. 

-  Bien je ne suis pas la seule salope à me faire baiser ce soir ici !

Virgile profite de cette occasion pour accélérer les choses en invitant Martine à rejoindre justement sa voisine. Elle obéit en se redressant. Elle avance vers les trois hommes, se fraye un chemin et arrive devant Brigitte qui crie de plaisir. Martine stoppe net en voyant Brigitte, et Brigitte cesse de geindre.

- Toi ? Mais qu’est-ce que tu fais dans un tel endroit ? demande Martine estomaquée par l’apparition.

-  Bien je pourrais te renvoyer la question petite salope… Moi je suis venue me faire remplir les trous de foutres chauds et épais.

Abasourdie par la réponse de la future belle-mère de sa fille, Martine est décontenancée. Mais elle ne tarde pas à reprendre la parole. 

-  Eh bien moi je suis venue acheter des objets pour ma chienne Pierre, tu connais je crois, et le patron m’a demandé de payer en nature. Alors je ne me suis pas fait prier et je suis prête à payer même plus cher si je peux prendre de la grosse bite, comme toi grosse pute !

Et sur ces derniers mots elles se mirent à rire comme des folles. Virgile reprend le contrôle sur un ton ferme et sans équivoque :

-  Ça va les bourges, vous n’êtes pas au salon de thé ici, faudrait vous employer à astiquer nos queues, allez, ouvrez vos bouches qu’on vous les baise.

S’exécutant, les deux femmes complices se remettent à sucer les bites qui leur sont présentées, alors qu’elles sont maintenant encerclées par une dizaine d’hommes plutôt affamés.

Léa est sur le cul de voir les deux vieilles salopes devenir complices, alors qu’une heure avant elle leur aurait donné le bon Dieu sans confession. Mais comment cela était-il possible ?

FIN

jeudi 21 novembre 2024

Le voyeur - 5ème partie

Bande dessinée de Chris.

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FIN

mardi 19 novembre 2024

Chantage au lycée - Ch. 01

 Récit de GILLESBDX (2013)

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Les enveloppes.

Depuis qu'elle avait été nommée dans cet établissement, Noëlle n’avait pas eu de problème particulier. Après un premier poste en région parisienne, elle avait réussi à se rapprocher de chez elle en acceptant un poste vacant. C’était à un peu plus de 100 kilomètres de chez elle, mais c’était mieux que rien.
Elle était mariée depuis quatre ans et le travail de son mari les obligeait à rester séparés. Ici, tout se passait bien… Les élèves n’étaient pas trop difficiles, les collègues étaient sympathiques… Seul le proviseur lui faisait un peu peur.

Elle n’avait que 26 ans et était ravissante. Elle était blonde, avec des cheveux ondulés qui lui tombaient sur les épaules et avait des yeux gris envoutants. Sa croupe était incendiaire et sa poitrine arrogante. Les tenues, assez sages mais souvent moulantes, qu’elle portait, ne laissaient pas les hommes indifférents. Ce matin là, pourtant, un événement allait changer sa vie.

Juste après le cours qu’elle venait de donner à une de ses classes de seconde, elle passa par la salle des profs comme elle en avait l’habitude. Une enveloppe entièrement blanche se trouvait dans son casier elle la prit et l’ouvrit distraitement. En voyant son contenu, elle se figea sur place. L’enveloppe contenait une photo d’elle en petite tenue…

Elle sortit de la pièce très perturbée, au point qu’elle faillit renverser un de ses collègues. Elle s’isola et regarda le cliché plus attentivement. Il la représentait debout, vêtue d’un tanga et d’un soutien-gorge rouges très sexy. La très fine épaisseur de tissu ne cache en rien de larges mamelons rose clair et des tétons dressés et durs. C’était justement le modèle qu’elle avait acheté quelques jours plus tôt pour faire une bonne surprise à son mari qui passait la voir. Il n’y avait aucun montage : le corps était bien le sien. Le grain de beauté situé à droite de son nombril en était la preuve. En arrière-plan, on voyait le mur du petit appartement qu’elle louait dans le centre ville. Comment quelqu’un avait-il pu prendre cette photo chez elle sans qu’elle s’en rende compte ? Elle n’avait essayé la parure qu’une fois, le soir où son mari était passé et ensuite, elle l’avait soigneusement rangée dans son emballage.

Elle eut beau chercher, aucun mot n’accompagnait la photo. Pas la moindre trace de sa provenance non plus. Qui avait pris cette photo et pourquoi ? Qui l’espionnait ?

Elle pensa à un élève, réalisant une traque d’enfer et devenant l’idole des garçons du lycée en diffusant la photo hyper-sexy de la prof de SVT. Elle songea aussi que ce pouvait être un des ses collègues… Oui, mais lequel ? Mentalement, elle les passa en revue…

Il y avait bien Benoit, le prof de Maths qui la draguait un peu… Il était jeune et beau, mais elle avait mis les choses au point avec lui. Elle aimait son mari et n’avait aucunement l’intention de profiter de son éloignement pour se permettre quelques incartades.

Il y avait aussi Albert, le prof d’histoire géo, un vieux vicieux proche de la retraite et connu pour reluquer outrageusement le décolleté de ses élèves de troisième quand il passait dans les rangs. Cela lui ressemblait beaucoup plus… 

Elle resta sur cette idée et fut perturbée tout le reste de la journée.

Le lendemain, en salle des profs, une nouvelle enveloppe l’attendait Celle-ci la représentait entièrement nue à la plage. On voyait nettement ses fesses galbées, dorées par le soleil, et, là encore, il ne pouvait pas s’agir d’un montage. Son autre grain de beauté, celui situé sous la fesse gauche, était nettement visible. Cette année là, pour la première fois, elle avait osé bronzer entièrement nue sur les immenses plages de Gironde. Mais comment était-il possible que quelqu’un ait pu se procurer une photo de ses vacances ? Elle se mit à paniquer. Où voulait en venir celui qui lui remettait ces photos compromettantes ? Qu’allait-il lui demander ?

Cette fois, il y avait un petit mot avec la photographie. Il était dactylographié et elle ne pouvait en reconnaître l’écriture : « Venez demain nue sous votre chemisier transparent, sinon… ».

De plus en plus perturbée, elle passa une journée horrible. Le soir, en rentrant chez elle, elle téléphona à son mari. Elle voulait lui parler de ce chantage horrible. Elle avait besoin qu’il la rassure…

Lionel sembla ravi d’avoir son épouse au téléphone. Elle lui exposa la situation, mais il sembla prendre le problème à la rigolade.

— C’est surement une de tes soupirants, un collègue qui fantasme sur toi… Laisse faire, ce n’est pas bien méchant… 

— Mais tu ne te rends pas compte ! Et puis comment a-t-il eu ces photos ? 

— Il doit te suivre partout… Tu devrais fermer les volets. 

Noëlle se leva et alla baisser le store roulant.

— Ne t’en fait pas, lui dit Lionel. Quand tu sauras qui c’est, je viendrai lui casser la gueule ! 

— Oui, mais en attendant, je fais quoi pour le chemisier ? 

— Comme tu veux… Moi, je te trouve très bandante avec un chemisier transparent sans soutien-gorge… »

— Idiot ! lui répondit-elle seulement, un peu exaspérée. 

— Tu es habillée comment, là ? demanda Lionel. J’ai envie que tu m’excite !

— Je porte ma jupe plissée écossaise et un débardeur blanc… 

— Enlève-les vite ! Et dessous ? 

— Juste une culotte blanche toute simple, j’ai déjà enlevé mon soutien-gorge… 

— Allonge-toi sur le lit et retire la culotte ! Masturbe-toi et décris-moi ce que tu fais… Je veux entendre le clapotis de tes doigts dans ta chatte ! 

Noëlle s’exécuta et lui décrivit ce qu’elle faisait. Elle expliqua comment ses doigts frottaient ses lèvres un peu pendantes. Comment elle faisait pénétrer son index dans sa chatte largement lubrifiée. Comment elle pinçait les pointes de ses seins. Puis comment elle se mit à frotter vigoureusement son clitoris pour se faire jouir.

Le râle qu’elle entendit à l’autre bout du fil lui prouva que Lionel avait joui lui aussi. Ils échangèrent quelques mots tendres, puis elle raccrocha.

Elle passa la nuit à se demander si elle allait obéir aux exigences du maître-chanteur. Le matin, elle se leva, fatiguée par sa nuit. Quand vint le moment de s’habiller, elle resta un long moment devant le miroir de sa chambre. Elle était nue devant la glace et s’observait sous toutes les coutures. Ses cheveux mi-longs lui donnaient un air un peu sauvage. Sa toison était assez fournie aussi, mais Lionel aimait ça ! Ses seins étaient lourds et volumineux, 90C ou 90D selon les marques… Ils étaient en forme d’obus et les aréoles étaient roses. Les tétons pointaient presque tout le temps. La moindre excitation les dressait aussitôt.

Elle vit le grain de beauté à côté de son nombril et pensa immédiatement à celui situé sous ses fesses. Elle se contorsionna pour le regarder et resta en admiration devant son cul. Pour elle c’était son atout de séduction numéro un. Ses fesses étaient rebondies, un peu comme celles des africaines, mais elles étaient très blanches. Son dos cambré accentuait l’effet. Elle avait un cul à damner un saint !

Elle enfila une culotte, sa jupe et prit le soutien-gorge, hésitante. Elle regarda le chemisier transparent posé sur le lit et se dit que décemment elle ne pouvait pas le porter seins nus. Elle mit donc le soutien-gorge et partit travailler.

A cause des dentelles qu’on voyait par transparence, les garçons de sa classe étaient intenables. Mais au moins, on ne pouvait pas l’accuser d’attentat à la pudeur. Elle eut beau guetter les regards des élèves et des profs, rien ne lui permit d’avoir le moindre début d’un indice permettant d’identifier l’auteur des lettres.

En retournant dans la salle des profs juste avant de partir, son cœur se mit à battre. Une nouvelle enveloppe blanche était dans son casier. Elle l’ouvrit fébrilement et y trouva un mot. « J’avais dit sans soutien-gorge ! La prochaine fois, je diffuse la photo nue dans tout le lycée… »

Cette fois ce n’était qu’un avertissement. Elle poussa un ouf de soulagement, mais son apaisement ne dura pas. Le proviseur entra dans la salle des profs. Il tenait la photo sur laquelle elle était en petite tenue dans la main droite. Il s’avança vers elle et lui tendit le cliché.

— C’est à vous je crois Noëlle ? Je me suis permis de la retirer du panneau d’affichage de la salle des profs… Je ne vais pas vous retarder ce soir, mais demain matin, j’aimerais bien que vous me donniez quelques explications dans mon bureau. Je vous attends à 8 heures !

Sur ce, il tourna les talons et sortit de la pièce. Elle resta bouche bée, puis planqua rapidement la photo car un de ses collègues arrivait. Elle était dans de beaux draps !

(A suivre)

dimanche 17 novembre 2024

Qui suis-je vraiment - Ch. 09

  Récit de Realbluetit (2013)

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Nietzsche continue de souffler le chaud et le froid.

Malgré les évènements et les demandes diverses et variées, je n'en restais pas moins choquée ou honteuse. Choquée en fait de ce qu'on voulait faire de moi, et honteuse de le faire sans plus de résistance.

Je me demandais pourquoi je ne disais pas non. Il ne reviendrait sûrement pas sur sa décision de m'abandonner définitivement si j'exerçais le moindre refus face à ses volontés. Mais je n'en étais pas sûr et je n'avais nullement l'envie de prendre un tel risque. Et puis... j'aimais bien cette sensation d'être dirigée par un homme aussi sûr de lui.

Désormais, je jonglais entre des tenues plutôt sages mais fort féminines pour le travail, et ultra-sexy voire provocatrices avec mon maître. Cela me convenait très bien et je ne souhaitais pas trouver dans mes escapades sexuelles des relations professionnelles ou des proches. Je pense que Nietzsche en était bien conscient et faisait tout pour éviter de jouer avec moi dans le quartier ou au travail.

Nous primes une semaine de congé début avril pour aller au ski. J'eus à cette occasion très peur car j'appris quelques jours plus tard que mon patron partait lui aussi dans cette station heureusement assez vaste pour ne pas nous y rencontrer. C'est ce qui arriva par bonheur pour ma double vie.

Ces vacances furent en tout cas très chaudes malgré le temps toujours hivernal en ce début de printemps. En effet, Nietzsche décida de me partager à nouveau avec ses compères Fabrice & Jean. Mais leurs exigences se firent attendre.

Pendant les 3 premiers jours, je profitais alors à fond pour skier à ma guise. Ce qui était intriguant c'est qu'ils ne portèrent aucune attention à mon égard, ni geste ni regard.

Au cours de ces vacances ils décidèrent de pique-niquer sur les pistes. Idée fort sympathique car ainsi on profitait au maximum de nos journées sans s'entasser dans les restaurants d'altitude. Mais le quatrième jour après un déjeuner accompagné d'un petit bordeaux, ces messieurs redevinrent grivois et graveleux. Nietzsche dit :

—  Laurence, cela fait bien longtemps que tu ne nous as pas dévoilé ton anatomie. Je me trompe ?

— Il ne faut pas exagérer, il n'y a que quatre jours de cela.

— Il a raison, on va finir par oublier qui tu es ! Dit Fabrice.

— Tiens, j'ai même oublié tes surnoms. J'aimerais vivement les entendre et de vive voix afin que les éventuels guetteurs puissent entendre. Ajouta Jean.

— Je suis votre petite soumise, votre salope, c'est bien cela..

— Un peu rebelle et je trouve trop d'assurance dans le son de ta voix ! Dit fabrice

— Ne t'inquiètes pas elle va vite perdre cette douce assurance pour redevenir la fébrile soumise qu'on aime tant. Le petit dessein que nous avons à son égard est idéal en cela. Lui répondit Nietzsche.

— Mais qu'est ce que vous manigancez ?

— Arrête de réfléchir et désape-toi immédiatement en enlevant ce fuseau qui moule si bien ton petit cul. Demanda Jean.

— Oui et voyons ce quelle porte comme dessous quand on ne lui demande rien !

Comme exigé, mais les joues pourpres, je me levai et de manière maladroite en raison de la neige je défis mon pantalon de ski. Ils purent dès lors admirer mon Tanga en dentelle noir. Pour me mettre mal à l'aise, ils me sifflèrent comme les matelots le long des quais selon certains clichés cinématographiques. Nietzsche m'ordonna :

— Mets-toi à quatre pattes qu'on matte ton fessier avec sa guirlande noire.

— Et profites-en pour te caresser l'entrejambe afin de te réchauffer le minou ! Ajouta Fabrice.

Mon assurance avait bel et bien disparu. Je me mis en position, inquiète par ce qu'ils avaient en tête et effrayée que des gens m'aperçoivent ainsi.

L'attente pour mon supplice ne fut pas longue. Sans prévenir Nietzsche prit ma culotte et la descendit brusquement jusqu'à l'inflexion de mes genoux. Puis d'une main il écarta les lèvres de mon sexe pour de l'autre y introduire de la neige. Le froid me saisit au point de gémir, mais Fabrice m'ordonna immédiatement de me taire ce que je fis sur le champ.

— Au lieu de crier tu devrais te préparer pour la suite car cela n'est qu'un hors d'œuvre !

— Il a raison Laurence... tu vois cette stalactite, et bien tu vas la sucer. Comme cela, cela te fera oublier le froid qui secoue ton bas-ventre.

— Mais ce n'est pas de ma faute, c'est le froid qui m'a brûlé le sexe et puis je n'étais pas prête.

— Alors tu n'as pas fini de crier car je vais te remplir ton con de neige.

— Mais surtout tu as intérêt à bien sucer cet embout de glace et par-dessus tout en arrondir l'extrémité !

— Pourquoi cela?

— Parce que ce pieu va servir à enfoncer la neige dans ta chatte. Tu comprends ?

— Non s'il vous plaît, je vous ferais pleins de gâteries en échange mais pas cela. Je suis frileuse et je vais prendre froid.

— Quand on est chaude comme toi il n'y a que la neige pour calmer tes pics de chaleur.

La messe était dite, et Fabrice sortit son sexe raide de part l'excitation de ce scénario tandis que Nietzsche me caressait la tête tel un chien pour le féliciter de son comportement, et plus particulièrement de mon ardeur à préparer ce bâton de glace.

Au bout de cinq minutes, j'avais le vagin remplit de neige, quand Nietzsche me planta sans coup férir le mandrin glacé dans mon anus.

Excité, que dis-je surexcité, Jean sortit son sexe et me le fit lécher, alors que Fabrice investissait mon sexe avec sa verge afin comme il se plut à le dire, de faire fondre laneige. La sensation de brûlure laissa place à une douce sensation de chaud et froid.

Nietzsche, quant à lui, se mit à bouger le pic de glace pour activer mon plaisir. Je commençais à haleter mais mes petits cris étaient étouffés par le bâillon de chair de Jean. Ce dernier céda sa place à Fabrice qui se précipita et me fit avaler sa chaude semence tandis que Jean au fond de mon vagin s'agitait fermement afin de prendre son pied.

Je finis par avoir des secousses et jouir en raison des multiples assauts. Mes muscles se comprimèrent autour du membre de Jean, ce qui eu pour effet de déclencher sa jouissance. Il sortit ensuite sa bite en berne de mon antre.

Quelques instants plus tard, perdue, le regard dans le vide, ne voyant plus mes compagnons, je me relevai et voulus naïvement extraire le plug de glace, avant de rajuster ma culotte et mon fuseau. Sans attendre plus longtemps mon maître d'un geste ferme m'empêcha d'ôter l'objet.

Au même moment Fabrice valida définitivement la décision en remontant le Tanga le plus haut possible jusqu'à faire rentrer le tissu dans ma raie. De fait, le pieu de glace coulissa de nouveau dans mon anus ce qui déclencha un éclair de plaisir tout au long de ma colonne vertébrale.

Je dus par la suite skier pendant une heure tout en étant sodomisée par cet engin. Ces messieurs ne se génaient pas pour m'obliger à plier les jambes ou à me courber afin que je profite à fond de ce membre. J'avais du mal à me concentrer, mon visage était rouge de honte d'anxiété... de plaisir aussi, mais où allaient-ils chercher des idées pareilles.

Après une heure de supplice, ils compatirent et me proposèrent de l'enlever mais pour ce faire, je dus, au cours d'une montée en œufs, baisser à nouveau mon pantalon de ski ainsi que ma culotte. Le reste de stalactite sorti, ils me forcèrent à coller mes fesses à la fenêtre afin d'être vue de tout skieur ayant la tête en l'air tandis que je leur taillais des pipes.

L'enjeu était de remonter mes affaires que si l'un des trois arrivait à éjaculer, tout en maintenant les deux autres queues excitées. Heureusement pour moi que ce remonte pente était long car ce n'est qu'au dernier pylône que Jean me récompensa à nouveau en déversant son jus sur mon pull. Je m'empressai de me rhabiller mais en contrepartie je finis la journée avec cette belle preuve de mon attrait pour le sexe.

Le reste de la semaine fut plus calme. Certes je fus obligée de préparer des repas nue ou servir en me déhanchant pour faire ballotter mes seins. Bien sûr les voisins étaient invités au spectacle puisque les rideaux étaient plus qu'entrebäillés, mais il semblerait que le ski fatigue car mes compagnons ne virent aucun « observateur » aux fenêtres.

Quant au reste, rien de plus classique que de partager mon corps avec trois hommes prêt à me soumettre à leurs envies les plus folles... voire tout simplement à me soumettre.

 ***

Les vacances étaient finies, bien trop rapidement à mon goût, je retrouvai mon fils que j'avais envoyé en colonie. Quant à Nietzsche, je n'eus pas de nouvelle de lui pendant deux semaines. Mais je n'étais pas inquiète car il avait apprécié mon obéissance durant cette semaine au ski.

Un mardi soir donc, Nietzsche m'appela pour m'avertir que je devrais m'habiller de manière sensuelle demain pour aller travailler, car nous irions manger ensemble le midi. J'étais mal à l'aise car je vous l'avais dit, j'aimais bien séparer mes frasques sexuelles de ma vie professionnelle. Cette gêne, Nietzsche la ressentit, et pour me rabaisser un peu plus se moqua de moi et de mes manies de vieille fille alors que quelques instants plus tard je n'étais qu'une dévergondée.

— Je veux que tu portes la robe que nous avons achetée ensemble dans la petite boutique ! Dit Nietzsche.

— Mais elle est transparente et si quelqu'un tire par mégarde sur la cordelette d'en haut, tout le monde va voir ma poitrine.

— Et tu oublies si quelqu'un tire sur la cordelette au niveau des hanches c'est ta foufoune que tu va exhiber. De toute façon tu ne risques rien puisque ton abricot est tout lisse. N'est ce pas ?

— Euh ... oui il est comme tu le souhaites mais je ne peux pas... pas dans le cadre du travail.

— Non mais ? tu t'opposes à mes ordres ou quoi ?

— Non, mais c'est que mon chef n'est pas insensible à mes charmes et si je me montre ainsi il va vouloir me... me... me sauter... voilà!!!

— Bon pour te faire plaisir je t'autorise à mettre des bas noirs et un porte-jarretelles noir comme cela le noir sur le noir cela se verra moins. Et comble de générosité, je t'autorise à mettre un soutien-gorge, mais je veux qu'il soit en dentelle pour souligner ta belle poitrine

— Mais c'est pire que tout, la transparence va faire qu'il va pouvoir voir quel type de dessous je mets. Et en plus comme je ne porte que des strings désormais voire des culottes Tanga il va considérer que je n'attends qu'une chose... lui.

— Va te préparer comme je le veux sinon je risque de changer d'avis et ce sera avec porte-jarretelles mais sans string ni soutien-gorge. Et là, il verra que tu es une dévergondée de première.

— D'accord maître mais...

— Il n'y a pas de mais. Et puis tiens tu m'as énervée. Donc pour la peine je t'appellerai dans la matinée, et tu auras cinq minutes pour ôter ton soutif et ta culotte. Pour m'assurer de ton obéissance tu devras prendre une photo avec ton mobile et me l'envoyer sur le champ.

— Mais je ne sais peux pas prendre une photo de moi en tenant l'appareil de ma main.

— Tu as un système retardateur... donc tu poseras ton mobile sur la table et tu montreras ce que donne ta robe sans tes sous-vêtements. Et puis tant qu'on y est, tu tireras sur la cordelette pour relever celle-ci au niveau de tes hanches et montrer ton mont de vénus.

Sur ces mots il raccrocha. J'étais anéantie, je n'osais plus rien dire de peur d'avoir à faire des choses pires durant cette journée. Je partis dans ma salle de bain telle une zombie pour m'épiler le sexe. Je n'avais pas envie de me faire réprimander pour avoir une pilosité naissante. Qui sait ce que je devrais faire en plus ?

J'appliquai donc de la cire sur mon pubis puis sur mes lèvres et autour de mon anus. Je tirai d'un coup la cire une fois celle-ci refroidie. Passé la douleur, je regardai ma peau de nouveau imberbe et rougie. Pour finir je passai de la pommade pour apaiser le feu de mon bas ventre et allai me coucher pour tenter de dormir malgré l'angoisse de ce que j'avais à faire le lendemain.

Le mercredi matin donc je pris ma douche puis allai dans ma chambre pour prendre les dessous que je devais porter. Je commençai par les bas noirs. Je pris des bas coutures, je ne sais pourquoi. Dans ma tête c'était le classique avec des porte-jarretelles. Comme cela si un amateur de dessous voyait mes sous-vêtements grâce à la transparence de la robe, il pourrait croire que j'étais une vieille fille, une de ces filles qui aime les vêtements des années 30.

En clair j'essayai de trouver une histoire pour diminuer mon angoisse d'être vue dans une telle tenue. Les bas une fois attachés au porte-jarretelles en dentelle noir, je remontai mon string lui aussi en dentelle noire. La dentelle permettait d'apercevoir ma peau, mais difficile avec une robe par-dessus de pouvoir voire mon intimité... enfin je l'espérais et n'avait pas envie de me regarder dans le miroir de peur d'être contredite par les faits.

Ensuite, j'agrafai mon soutien-gorge dont les bouts rouges ressortaient de cette satanée dentelle noire. Enfin, j'enfilai la robe maudite avec ces deux cordelettes que j'appréhendais tant. La transparence n'était pas aussi forte que je le craignais. En fait, le contre-jour était à proscrire, car dans ce cas là effectivement elle était très transparente et dévoilait automatiquement tous les dessous.

J'arrivai donc au travail très tôt afin de pouvoir partir à la première heure, et ainsi avoir à côtoyer mes collègues le moins de temps possible. Malheureusement pour moi, mon chef était déjà présent et semblait de forte mauvaise humeur. M'apercevant de loin il m'appela cinq minutes plus tard et me convoqua dans son bureau. J'étais tout bonnement terrifiée. Pourquoi voulait-il me voir ? Qu'avais-je fait de mal ? Allait-il s'apercevoir de la tenue que je portais ? Cela tombait en tout cas au plus mauvais moment cet entretien.

J'arrivai donc dans le bureau de mon chef qui me demanda de fermer la porte puis de m'avancer. Son visage sévère ne laissait rein présager de bon.

— Avancez Laurence, venez devant mon bureau.

— Qu'y a-t-il Monsieur ?

— Vous savez je suis quelqu'un de tolérant et ouvert, mais je n'aime pas les personnes qui mélangent travail et plaisir.

— Je comprends tout à fait... mais je pense que je n'ai pas commis d'erreur Monsieur.

— Quand je vois la tenue d'aujourd'hui vous comprendrez que j'ai des doutes ??? Mais ce n'est pas pour cela que je vous ai demandé de venir.

— Pourquoi alors Monsieur ?

— Penchez-vous au-dessus de mon bureau je vais vous montrer quelque chose.

— Mais c'est que je porte une robe et ce serait génant si quelqu'un arrivait.

— Ne vous inquiétez pas il est très tôt. Ce que je vais vous montrer mérite toute votre attention.

— Mais c'est qu'on va voir mes cuisses.

— Bon Madame je ne peux rien voir vu que je suis devant vous et personne ne viendra.

Rassurée par ces propos, mais aussi craintive car je sentais que je commençais à l'énerver, je me penchai et sentis la robe remonter au niveau de l'attache de mes porte-jarretelles. Je fis comme si de rien n'était mais j'avais envie que le point se finisse vite.

— Vous voyez ce dossier sur mon bureau.

— Oui ???

— Je viens de le créer vendredi suite à un courrier reçu. Et c'est le genre de dossier qui mérite d'être traité avec sévérité et énergie.

— Mais sur quoi porte t-il ?

— Ouvrez le et vous comprendrez mieux !!!

Sans attendre j'ouvris la couverture carton. C'est alors que je découvris la photo de jambes gainées de bas et porte-jarretelles mais sans culotte dans un lieu ressemblant à l'identique à mon bureau. Certes mon anonymat était préservé mais on devinait clairement qu'il s'agissait de mon bureau et les chances d'une pure coïncidence étaient infimes.

J'étais blême, et je n'osais pas sortir mon regard de cette photo de peur de croiser celui de mon Patron.

— Vous comprenez mieux mon point Laurence ?

— Euh ! oui je peux comprendre...

— Regardez-moi dans les yeux et parlez plus fort je ne vous entends pas très bien.

— Je... je... ne... ne sais quoi dire Monsieur.

— Et bien regardez la suite des photos.

Comme exigé je poursuivis la découverte des photos qui étaient de plus en plus explicites. Je ne me rappelais pas avoir fait tout cela mais il n'y avait aucun doute c'était bien moi lors de mes gages au début de ma relation avec Nietzsche. Et puis tout d'un coup la dernière photo me montrant en train de pratiquer une fellation, avec mon visage en gros plan.

— C'est bien vous, n'est ce pas ?

— Oui patron.

— C'est bien de l'avouer. Bon j'ai deux solutions Madame. Soit vous démissionnez sur le champ, soit nous nous arrangeons entre adultes consentants.

— Je ne le referai plus vous savez, c'était une folie de ma part et...

— Je ne peux pas prendre le risque Madame, donc si c'est cela j'attends votre lettre de...

— Non !!! Je préfère que nous trouvions une autre solution.

— Mettez vos coudes sur le bureau.

— Comme cela Monsieur ?

— Oui. Que voyez-vous là ?

— Une règle en plastique.

— Et en dehors de faire des traits que peut-on faire avec ?

— Donner des coups ?

— Et bien, c'est que je vais faire sur vos fesses. Bon remontez votre jupe que je vois votre petit cul.

Je fis comme demandé et relevai ma jupe afin d'exhiber mes fesses fendues du string dentelle.

— C'est ce que j'avais cru entrevoir, vous êtes vraiment une délurée... que dis-je, une salope. Je crois que je vais aller plus loin avec vous qu'une simple fessée ? N'auriez vous pas un penchant pour la soumission Laurence ?

— Ne dites pas cela Monsieur !

— Bon, commençons la punition.

Sans plus attendre, la règle tomba sur mes fesses. La douleur fut vive mais tenable et je pus me contenir. C'est alors que le téléphone sonna.

— Très amusant cela. Vous allez immédiatement répondre pendant que je continue de vous fesser.

— D'accord Monsieur Bernard !

— Et bien répondez !

— Bonjour !

— Bonjour Laurence, c'est ton maître. Il est l'heure de faire ton strip-tease. 

— Mais c'est que je suis...

— Pas question, tu as cinq minutes pour envoyer la photo. 

Bip Bip Bip...

— Monsieur Bernard j'ai une faveur à vous demander.

— A oui et laquelle ?

— En fait je suis soumise à un homme qui me demande d'ôter mes sous-vêtements et de lui envoyer une photo témoignant de cela. Puis-je le faire ?

— De mieux en mieux, une belle salope soumise. Bon je suis d'accord mais après je vais me rembourser en nature.

Je me relevai et aussi vite que je pus, j'ôtai mon string et mon soutien-gorge.

Bernard me les confisqua immédiatement disant que j'étais plus belle ainsi. Voyant les deux cordelettes et soupçonnant la mine d'or qu'il avait devant lui, il me demanda de tirer sur les cordelettes. J'étais au fond du puits sans aucune autre échappatoire que de montrer à mon chef que j'étais une femme des plus soumise et dépravée qui soit.

Je tirai donc sur les cordelettes l'une après l'autre ce qui eût pour conséquence de dévoiler mes seins puis mon abricot tout lisse. Bernard était aux anges et après avoir photographié le beau tableau puis envoyé la preuve à mon maître, il me demanda de reprendre ma position accoudée sur le bureau afin qu'il me prenne par derrière.

J'entendis sa fermeture éclair s'ouvrir et son corps être tout proche du mien. C'est alors que son sexe dur et chaud se présenta aux abords de mes lèvres en feu. Il traîna son membre le long de mon sexe puis sans avertissement s'enfonça d'un trait. J'en eus le souffle coupé, mais cela ne l'empêcha pas d'aller et venir avec vigueur dans mon vagin. Mon bas ventre était en émoi et je n'arrivais plus à cacher mon plaisir, quand tout d'un coup quelqu'un frappa à la porte.

Je voulus me retourner mais mon patron me l'interdit.

— Qui c'est ?

— Hermès le message divin.

— Entrez ! Et toi reste ainsi !

L'inconnu restait derrière moi et ne disait mot. En fait Bernard reprit ses pénétrations musclées ce qui remplaça l'angoisse d'avoir un inconnu m'observant par un diffus plaisir. Il sortit de mon vagin quelques instants plus tard pour faire le tour du bureau et positionner son sexe devant mon visage. Je compris le message et ouvris ma bouche afin d'accueillir son membre raide. Pendant ce temps là, disons qu'Hermès le remplaça et me pénétra. Mais il ne resta que peu de temps dans mon con. Il préféra changer d'issue et donc me sodomisa quelques instants plus tard.

J'étais prise par deux hommes qui trouvèrent que leurs sexes ne suffisaient pas à ma déchéance. Ils se mirent avec leurs mains à l'un, triturer mes seins et l'autre, me doigter. Je haletai sous leurs pénétrations et attouchements et il ne fallut pas longtemps avant que mon corps explose de plaisir.

Mon patron profita de cet instant pour éjaculer dans ma bouche tandis qu'Hermès prit un malin plaisir à tirer mon bas pour déverse sa semence sur ma cuisse. Affalée sur le bureau, les jambes écartées et tremblantes, j'avalai avec joie le cadeau de mon nouvel amant.

C'est alors qu'Hermès me fit face avec un sourire radieux. Hermès n'était autre que Nietzsche et d'une voix calme m'informa que désormais je pourrais jouir de mes penchants même dans le cadre de mon travail. Donc chaque semaine Bernard pourrait communiquer à Nietzsche ses désirs à mon égard. Libre à lui de me pousser ou non dans ses bras.

Quant au reste de la journée je finis sans sous-vêtement ce qui ne manqua pas d'attirer l'œil de certains collègues qui ne savaient si leur vue leur jouait des tours.

FIN

vendredi 15 novembre 2024

Auto-stop en enfer Ch. 02

 Traduction d’un texte de Grandflasher C.

 ****

Les péquenauds.

La jeune adolescente sait qu’elle n’aura pas à attendre longtemps, non pas qu’elle soit prétentieuse sur son physique, mais elle sait qu’elle est sexy et que la plupart des hommes donneraient leur couille gauche pour la draguer. Comme pour donner raison à ses réflexions, le prochain véhicule, un vieux pick-up rouillé s’arrête en grinçant à quelques mètres de la jeune femme. Amy se précipite joyeusement vers la camionnette alors que celle-ci fait marche arrière et s’arrête à son niveau. La fenêtre du côté passager s’ouvre et un homme costaud sort la tête.

- Vous voulez faire un tour mademoiselle ?

L’homme sur le siège passager ressemble à un vrai péquenaud. Il porte une chemise à carreaux et une casquette de paysan sous laquelle dépassent des cheveux bruns mal entretenus. Il et difficile de deviner son âge. Il pourrait avoir trente ou quarante ans, car son visage est bronzé et cuivré par le soleil. De grandes dents jaunes, avec certaines absentes lui donnent un air lourdaud. Ses petits yeux bruns et son grand nez n’arrangent pas son apparence. En fin de compte il ressemble à l’un de ces rustres qu’Amy a connue toute sa vie.

La jeune fille hésite une seconde en se demandant si elle ne doit pas attendre un autre véhicule. Elle se mord la lèvre et regarde le péquenaud puis le conducteur qui ressemble beaucoup au passager. Amy regarde la route vide avant de prendre sa décision sans vraiment s’apercevoir à quel point l’homme la reluque.

- Où allez-vous ? Je dois aller à Belmeade ! Dit-elle.

Le péquenaud lui répond avec un sourire édenté :

- C’est ton jour de chance ! Moi et mon frère, Roy ici présent, allons tout de suite à Belmeade. Pourquoi ne pas venir avec nous mademoiselle ?

Lui rendant son sourire, Amy jette ses affaires à l’arrière du Pick-up et saute dans la cabine alors que l’homme se pousse sur le siège du centre pour lui faire de la place.

- Merci ! Dit Amy rayonnante.

Elle se dit que ce n’est peut-être pas une mauvaise décision. L’homme désigne le conducteur et dit :

- Eh bien lui c’est Roy ! C’est mon frère, nous sommes fermiers !

- Et vous, vous vous appelez ? Demande joyeusement Amy.

- Ah bien sûr, où sont mes bonnes manières. Je m’appelle Billy Bob !

- Eh bien, ravie de vous rencontrer tous les deux !

La jeune fille serre leurs deux mains. Elle remarque qu’elles sont sales avec de la terre sous les ongles, ce qui contraste avec ses ongles rose parfaitement manucurés. Mais elle n’y fait pas trop attention, car elle connaît un grand nombre de personnes, parents ou amis, qui leur ressemblent.

- Merci pour la balade ! Ajoute-t-elle.

La camionnette démarre et ils partent sur la route avec une allure de quatre-vingts kilomètres heure. Cette vitesse rend Amy heureuse. Le trio passe une bonne vingtaine de minutes à passer le temps en bavardant. Maintenant que l’adolescente est plus proche de lui, elle peut voir que Roy ressemble beaucoup à son frère Billy Bob. Ils ont tous les deux une trentaine d’années et vivent encore avec leur mère dans la ferme familiale. Sur le plan de l’hygiène, les deux gars puent comme s’ils n’avaient pas pris de bains depuis plusieurs jours. Ils sont en sueur et poussiéreux. Ils portent tous les deux des jeans délavés, des vieilles bottes et des chemises à carreaux tâchées et croûtées par la saleté et la boue. Les deux frères ont aussi tous les deux une grosse barbe touffue. Ils ressemblent aux péquenauds qu’ils sont, mais Amy est habituée à ce genre de gars. Billy Bob demande soudainement :

- Hé, ça te dérange de t’asseoir au milieu ? J’aime bien être à côté de la fenêtre.

Sans réfléchir, Amy hoche la tête et répond :

- Bien sûr, pas de problème !

La jolie blonde s’installe alors sur les genoux de Billy Bob qui se déplace. Amy se rend alors compte de son erreur. Plus tôt sur le parking, elle a mis la première chose qu’elle a sorti de son sac à dos qui était malheureusement rempli de ses tenues les plus légères. Elle porte une mini-robe très légère ce qui veut dire qu’elle laisse voir beaucoup de peau. c’est une robe simple avec de fines bretelles, un grand décolleté, une robe moulante qui épouse la silhouette de la jeune fille et une robe courte qui laisse beaucoup trop voir de ses jambes. Le simple fait de s’asseoir dans cette robe est indécent. Et de plus, la robe est blanche et super fine, si bien que ses mamelons sont visibles à travers le tissu. En plus ils raidissent à cause de la climatisation. 

Alors qu’Amy se déplace pour le siège du milieu, elle réalise à quoi elle doit ressembler pour ces deux péquenauds, avec cette robe serrée et minuscule. Les mains de Billy Bob sont partout sur son corps et elles bougent beaucoup. Une main est sur sa taille et remonte jusqu’à sa cage thoracique juste sous ses gros seins tandis que l’autre main est sur son genou et remonte de plus en plus haut sur sa cuisse. Amy devient toute rouge en se rappelant qu’elle ne porte ni soutien-gorge, ni culotte depuis la station-service. Et elle sait que Billy bob sait qu’elle ne porte pas de soutien-gorge puisque sa main gauche tient un sein par en dessous en le pressant légèrement.

En même temps, comme Billy Bob est un homme costaud avec un gros bide, il y a des moments gênants avant que la jeune fille ne puisse enfin se placer entre les deux frères. Amy est choquée quand elle se rend compte que sa robe courte est remontée sur ses hanches. Et comme la main de Billy Bob tient toujours son genou droit, elle est assise avec les jambes partiellement écartées. Les deux hommes regardent sa chatte rasée et exposée. Roy siffle bruyamment en signe d’appréciation. 

Rapidement Amy baisse le devant de sa robe pour se couvrir et ensuite elle retire son genou de l’emprise de Billy Bob. Elle serre ses genoux l’un contre l’autre en rougissant joliment. Elle hoche la tête et dit :

- Désolé, c’est très gênant pour moi !

En reniflant, Billy Bob pose à nouveau sa main sur son genou, faisant tressaillir la jeune blonde à ce contact.

- Oh t’inquiète petite mademoiselle, on n’aime pas trop les grandes dames. Mon frère et moi, on aime les jolies jeunes filles comme toi ! Tu sais bien, les filles qui portent des affaires courtes sans sous-vêtements ! Les vraies salopes !

La main de Billy Bob est lourde alors qu’il commence à masser le genou d’Amy. Elle essaie de dégager son genou, mais elle n’y arrive pas. Elle dit alors :

- Arrêtez ! Et puis je ne m’habille pas comme ça d’habitude ! Je suis en jean et j’ai des sous-vêtements. c’est juste que…

- Juste quoi ? Demande le gars alors que sa main remonte un tout petit plus haut que le genou. 

Amy serre les cuisses et les genoux, mais il continue à pousser ses doigts entre ses jambes fermées. Comment peut-elle expliquer ce qui s’est passé ce matin et pourquoi elle n’a plus de sous-vêtements maintenant ? Elle balbutie :

- C’est… Juste que… Que...

- Allez ! Montre-moi encore ta jolie chatte ! Dit Billy Bob.

Ses doigts forcent le passage entre ses jambes fermées, puis il pousse sa main plus haut sur ses cuisses. Amy se rend compte soudainement que l’autre main de l’homme s’est glissée autour de ses épaules et que la main est près de son sein gauche. Elle se tortille et essaie d‘empêcher la main d’atteindre sa chatte.

- Attendez ! STOP !

- Touche cette petite chatte, Billy Bob ! Dit Roy en conduisant, mais en jetant un coup d’œil pour regarder la blonde qui se débat avec son frère.

Enfin, les doigts de l’homme atteignent la chatte d’Amy. En sifflant pour apprécier les atouts de la jeune fille, il commence à jouer avec son sexe.

- Ta petite chatte est bien humide ! Allez bébé, ouvre grand tes jambes pour papa !

- Va te faire foutre connard ! Enlevez vos mains ! Arrêtez ce camion et laissez-moi descendre, bande de sales péquenauds !

Roy attrape d’une min le genou gauche de la jeune blonde et le tire vers lui. Billy Bob fait de même avec sa main libre et tire sur son genou droit. Les deux hommes sont trop forts pour qu’elle puisse résister. Donc elle se retrouve cuisses écartées, sa chatte nue exposée, sa robe remontée à la taille .

- Oh mon Dieu ! Dit-elle, horrifiée par la situation.

- Bon sang, quelle belle chatte ! Regarde-moi ça, Billy Bob ! Hurle Roy.

L’adolescente essaie de frapper les deux frères avec ses poings. Mais après quelques minutes, elle réalise qu’elle ne leur fait rien. Tout ce que peut faire Amy, c’est de rester assise et laisser Billy Bob la toucher en espérant que ce soit suffisant pour lui.

L’homme profite pleinement de la situation. Amy est magnifique, assise entre les deux frères, les genoux bien écartés et la chatte nue. Elle ne peut rien faire pour l’empêcher d’accéder à son sexe. Le péquenaud joue avec les lèvres de sa chatte et son clitoris. Il a l’air d’aimer ça. La jeune fille se tortille tandis qu’il la taquine impitoyablement avec ses doigts rugueux et sales, pinçant et caressant son intimité, explorant chaque pli de sa chair.

Avec ses grands yeux bleus, elle regarde l’homme d’un air implorant et elle supplie :

- Oh mon Dieu, S’il te plaît, ne fais pas ça ! S’il te plaît, arrête ! Je t’en supplie !

La chatte d’Amy, récemment abusée, est encore incroyablement sensible. Et ce bâtard qui joue avec elle ne fait rien pour arranger les choses. Tout à coup, deux de ses doigts épais plonge dans la grotte intime ce qui provoque un cri de détresse de la jeune fille.

- PUTAIN !

Billy Bob glousse en l’entendant.

- Tu veux que je te baise avec mes doigts, bébé ?

- Oh mon Dieu non, je ne veux pas ! Supplie Amy.

Mais tout ce qu’elle peut dire tombe dans l’oreille d’un sourd. Billy Bob commence à faire subir à la blonde une pénétration complète et vigoureuse de sa chatte. Ses deux doigts, longs et boudinés, entrent et sortent de la jeune fille. En quelques minutes, l’homme a pris un bon rythme et la baise énergiquement. Les doigts qui pénètrent et sortent de l’adolescente deviennent flous. Ils s’enfoncent avec une telle force que la jeune femme recule littéralement dans le siège. Elle hurle de désespoir :

- UNGH ! !! UNGH !! UNGH !! UNGH !! UNGH !! UNGH !! UNGH ! !!

- Putain, la chatte de cette petite salope est serrée et humide ! Crie Billy Bob.

Il apprécie l’intimité brûlante d’Amy et la façon dont sa chatte se serre et convulse autour de ses doigts. Il trouve qu’elle a une fente vraiment accueillante. Et même les bruits de succions sont excitants aux oreilles des deux péquenauds.

- YEEEEE ! Fais crier cette salope, petit frère ! Crie Roy.

Alors que Billy Bob redouble d’efforts, Amy crie en réponse :

- AAIIIEEEE ! PUTAIN S’IL VOUS PLAIT ARRÊTEZ ! OH PUTAIN DE DIEU, ARRÊTEZ !

Sa chatte étant malmenée par les doigts impitoyables du péquenaud, Amy jouit bientôt. Elle arque son dos et tout son corps se tend avant qu’elle laisse échapper un cri aigu. Sa chatte laisse échapper quelques giclées de son jus intime. Cela surprend les deux frères et comme la main de Billy Bob est dans le passage, le jus de la jeune fille gicle en arc de cercle. Des gouttes tombent sur le tableau de bord, sur le volant et même sur Roy. Les deux frères se regardent complètement stupéfaits, alors que l’adolescente se déhanche entre eux deux en profitant des derniers instants de son orgasme. Ils crient tous les deux en même temps :

- PUTAIN DE BORDEL DE MERDE !

Billy Bob glousse de joie. Il dit à son frère :

- Tu dois essayer ça , grand frère !

Il soulève Amy comme si elle ne pesait rien et il la positionne de façon à ce qu’elle soit à genoux, ses fesses pointant vers Roy. Amy pleurniche, elle ne sait que faire :

- Oh mon Dieu ! Arrêtez s’il vous plaît ! Vous avez eu ce que vous vouliez !

C’est seulement à ce moment qu’elle se rend compte qu’ils ne bougent plus. Elle ne sait pas où ils sont, mais manifestement Roy a arrêté la camionnette sur le bord de la route. L’adolescente espère que personne ne passera par là et ne la verra dans cet état.

Roy ignore les suppliques de la jeune blonde et il lui enfonce deux doigts épais dans la chatte. C’est le plus joli cul et le plus joli corps qu’il n’ait jamais vu. Il adore le cri que pousse la fille à cette intrusion soudaine.

- C’est bon, petite mademoiselle ? Dit-il avec un grand sourire vicieux sur le visage. 

Amy ne veut pas que les deux frères découvrent qu’elle peut avoir des orgasmes multiples, mais il est trop tard. Alors qu’elle vient juste de jouir, la pénétration soudaine des doigts de Ray dans sa chatte lui fait cracher une nouvelle fois son jus. Amy remue ses fesses et regarde l’homme stupéfait et consterné. Elle a une expression effrayée sur son visage. Abasourdi par ce qui vient de se produire, Roy pousse un autre cri enthousiaste :

- BON DIEU !

Il ne retire pas ses doigts, mais au contraire il continue à baiser la jeune fille tout en se léchant les lèvres pour goûter au jus que la jeune fille vient de gicler sur son visage.

- Mon Dieu, pouvez-vous arrêter ça et me laisser une minute, s’il vous plaît ? Supplie-t-elle.

Une fois de plus l’homme l’ignore et continue à la baiser avec ses doigts. Elle peut sentir un nouvel orgasme monter en elle, elle en a peur. Se mordant la lèvre, elle tourne la tête devant elle. Surprise, elle voit la bite épaisse de Billy Bob au garde à vous. Ses yeux s’élargissent. Il n’y a pas beaucoup de place dans le camion, même pour une petite jeune fille comme elle. Si bien qu’à quatre pattes, son visage se trouve juset sur les genoux de Billy Bob.

Maintenant qu’il a sorti son gros gourdin de chair, l’homme pose une main à l’arrière du cou de la jeune blonde et il commence à pousser sa tête vers sa bite.

- Allez ma belle, Glouglou !

Cela vaut à Billy Bob un gros rire de la part de son frère et Amy ne tarde pas à s’étouffer sur la grosse bite alors que Roy lui donne un nouvel orgasme. Les deux hommes semblent fascinés par le fait qu’elle soit une femme fontaine, même après avoir joui plusieurs fois. Roy continue de la baiser avec ses doigts, son visage pressé contre les jolies fesses pour la sentir et la lécher sans cesse.

- Billy Bob ? Je crois que la demoiselle a été baisée récemment. Sa chatte en a l’odeur ! Dit Roy à son frère.

- Merde, ça ne me surprend pas du tout ! Une fille habillée comme une salope doit être une vraie pute ! Répond Billy Bob.

Amy est trop occupée à étouffer sur sa bite pour ne pas être d’accord avec lui. L’homme a toujours sa main sur sa tête pour guider vigoureusement sa bouche de haut en bas sur sa bite. La jeune fille ne peut que grogner et gémir alors qu’on l’agresse de deux côtés en même temps.

- Oh putain que c’est bon, petite chatte ! Marmonne Billy Bob en appréciant la sensation de sa bite plongeant au fond de la gorge d’Amy.

Des bulles de salive couvrent maintenant la queue dure de l’homme tandis que des fils épais et gluants pendant des lèvres pulpeuses de la blonde à chaque fois qu’il lui laisse relever la tête. Lorsque ça arrive la jeune essaie de respirer le plus possible avant qu’il ne l’oblige à engloutir son membre à nouveau et à le sucer profondément. Billy Bob se rend compte qu’elle est une suceuse née avec une technique qui pourrait le faire exploser en quelques minutes. Il hurle de plaisir :

- Putain, cette salope sait sucer des bites !

Roy regarde avec amusement la superbe blonde sucer son frère.

- Merde, c’est sûr que ça a l’air bien, mon frère ! Mais regarde ça !

Il a maintenant trois doigts coincés dans la chatte humide d’Amy et il augmente le rythme, ses doigts glissant dans et hors de la grotte intime.

- UNNNNNNGGGGGGHHHHH !

Lorsque qu’elle jouit une nouvelle fois, Amy hurle de toutes ses forces, mais le son est étouffé par la bite au fond de sa gorge.

Elle fait de nouveau jaillir son jus intime sur Roy amusé. Et Billy Bob profite de cet orgasme pour enfoncer sa bite plus profondément dans sa gorge à chaque fois qu’elle crie. Alors Amy s’étouffe et tousse sur la queue, l’imbibant de salive avant de devoir retourner la sucer.

Puis les deux frères repositionnent l’adolescente de façon à ce qu’elle fasse face à la direction opposée, cette fois-ci face à Roy, ses fesses dirigées vers Billy Bob. Bien sûr, Roy a aussi sorti sa queue épaisse et veineuse qui n’attend que la bouche de la fille. Amy n’attend même pas que l’homme pousse sa tête sur sa bite, elle plonge et enroule ses lèvres rouges autour du gland bulbeux et elle le suce avec autant d’enthousiasme qu’elle le peut. 

- Oh putain tu as raison, petit frère ! Cette petite salope sait comment sucer une bite ! Dit Roy heureux que la blonde avale docilement son gros outil.

Petit à petit, le visage de la jeune fille s’enfonce sur la grosse queue jusqu’à ce que son nez touche le ventre de l’homme. En gargouillant quelques minutes et suçant fort comme un aspirateur elle essaie de faire plaisir à l’homme. Ensuite elle reprend son souffle avec une forte respiration, de la salive sur le menton. Elle se lèche les lèvres de manière sexy devant Roy avant de descendre jusqu’à ses grosses couilles poilues et de les sucer avec sa bouche et sa langue. Amy avait réalisé que la meilleure façon d’arrêter ces deux gros connards était de s’assurer qu’ils jouissent le plus vite possible.

Pendant ce temps, c’est au tour de Billy Bob de jouer avec la chatte déjà bien martyrisée d’Amy. Il la sonde avec ses doigts, écarte ses petites lèvres et titille son clitoris avant de baiser la jeune fille assez brutalement avec ses doigts. Assez rapidement la blonde crie de plaisir, sa chatte crachant son jus.

A un moment donné, l’homme commence à lui donner des coups de langue sur son petit trou du cul. C’est trop pour l’adolescente, elle perd totalement la tête à ce moment-là. Avec des doigts dans sa chatte, une langue qui titille son orifice anal et une bite dans la gorge, Amy,  rendue folle par l’abus de ses trois orifices, jouit encore et encore. La blonde crie et gémit pour que ses souffrances sexuelles cessent enfin.

Après une bonne dizaine de minutes dans cette position, les frères s’arrêtent pour laisser la jeune fille se reposer. Le corps d’Amy est perlé de sueur , et l’intérieur de ses cuisses est trempé de son jus collant. Elle est effondrée sur les hommes, le visage enfoui dans les genoux de Ray, une main tenant toujours sa bite. Elle respire lourdement après ces efforts. Elle regarde ses bourreaux et voit de grands sourires sur leur visage. Inquiète elle se mord la lèvre inférieure, elle sait qu’ils n’ont pas encore joui. Billy Bob lui fait un clin d’œil vicieux :

- Et oui, nous n’avons pas encore fini !

Il l’attrape par la taille et la tire sur ses genoux, sa bite épaisse et visqueuse est brûlante contre son ventre fin. Amy veut protester, mais elle est encore sous le coup de son dernier orgasme, trop épuisée pour pouvoir résister à ce péquenaud excité. L’homme commence à pétrir et à masser ses énormes seins, puis il porte ses mamelons à sa bouche pour les lécher et les sucer.

- Oh mon Dieu ! Gémit Amy tandis que Billy Bob mâchouille lascivement un téton, puis l’autre.

- Putain tu n’as pas besoin de ça, ma fille ! Dit-il avant de déchirer violemment sa robe blanche et de la laisser glisser au sol.

Amy est furieuse.

- Espèce d’enfoiré, pourquoi tu as fait ça ?

L’homme fait courir ses mains sur tout le joli et jeune corps de l’adolescente.

- Parce que je voulais te voir à poil, salope ! Juste pour ça !

Il gifle son cul avant de le serrer rudement pour la soulever et de lui ordonner de s’asseoir sur sa queue.

- Putain ! Quel cul parfait ! Putain de merde, il me faut ta chatte !

- NON ! NON ! NON ! Glapit Amy en vain.

La bite de Billy Bob est déjà à l’entrée de sa chatte et il l’attire dessus malgré ses plaintes. Lentement, mais sûrement, elle s’empale sur sa grosse queue.

- NON, elle est trop grosse, putain !

- Ouais ! C’est ce que j’aime entendre ! Rigole son violeur.

Avec ses mains toujours sur son joli cul rond, il soulève la jeune fille de haut en bas sur son engin bien dur. Au début il la baise lentement, mais peu à peu il augmente l’intensité.

- OOOHHHHHHHH PUTAIIINNNNN ! Crie Amy en détresse.

Pendant que la jeune fille et Billy Bob sont occupés à baiser, Roy démarre le camion et roule pendant quelques minutes sur un chemin de campagne loin de l’autoroute. Il décide de s’arrêter près d’un petit ruisseau pas loin. Satisfait de la tranquillité du lieu, Roy coupe le moteur et se déplace sur le siège du milieu. 

- Laisse-moi un petit peu de cette chatte soyeuse, petit frère ! Dit Roy.

Son érection n’a pas diminué au cours des dernières minutes et il ne va sûrement pas laisser son frère tout avoir.

La magnifique adolescente gémit quand elle passe sur Roy. Elle se met à califourchon sur lui et ne tarde pas à rebondir sur sa queue, en poussant des cris de plaisir. Ses gros seins se balancent devant le visage de l’homme. Les vingt minutes suivantes se déroulent de la même manière, les deux frères se partageant la jeune fille. Roy la bise à fond pendant quelques minutes puis il la passe à Billy Bob qui la baise à fond lui aussi pendant quelques minutes au grand dam de la jeune blonde.

Comme le camion a son moteur éteint, que donc la climatisation ne fonctionne plus, qu’il est presque midi et que le soleil brûlant chauffe l’intérieur de la cabine, la température est élevée malgré le fait que les vitres soient baissées. Avec trois personnes baisant furieusement, l’habitacle devient tellement chaud qu’il devient presque insupportable. Les deux hommes transpirent abondamment, mais c’est Amy qui est trempée, chaque centimètre de son corps étant couvert de sueur ou de son jus. Ses longs cheveux blonds sont humides et emmêlés, ils s’accrochent à son dos ou son front.

Amy est dans un état d’hébétude sexuelle, son corps svelte tendu et baisé au-delà de tout ce que l’on peut imaginer par deux gars. Elle a perdu le nombre de fois où elle a juté sur les bites engorgées qui s’enfoncent sans cesse dans sa propre chatte. Mais la preuve de ses jouissances multiples se voient sur les genoux trempés et collants des deux hommes. Comme l’adolescente a pulvérisé son jus dans tous le camion, l’air est épais et l’odeur est musquée par ses fluides vaginaux.

Et juste au moment où ça devient intenable, les deux frères font sortir Amy. Elle est trop abasourdie et éteinte pour faire quoi que ce soit d’autre que de se laisser porter jusqu’à l’arrière du pick-up rouillée où les deux frères veulent continuer à la baiser. L’arrière découvert du camion est asse grand pour qu’ils y tiennent tous les trois. Les gars étendent une couverture sur le sol et mettent la blonde à quatre pattes dessus. Maintenant, ils peuvent la baiser en même temps en la prenant en sandwich. l’un la baise par-derrière tandis que l’autre lui fourre sa grosse saucisse dans la bouche.

Malheureusement pour la jeune fille, les frères tiennent encore dix minutes avant d’être prêts à jouir. Il baise un trou pendant quelques minutes avant de changer de position et d’orifices. Il fait chaud et ensoleillé, et tous les trois transpirent à plein. Amy se sent particulièrement sale au milieu des deux bites. De plus ces queues qu’on l’oblige à sucer ont un goût rance et elles puent de saleté. Le pire c’est qu’elle peut aussi sentir les traces persistantes du sperme de Hank, le camionneur qui l’a baisée le matin.

Mais Amy ne peut rien faire d’autre que de laisser les deux hommes la baiser simultanément, sa chatte convulsant tellement qu’elle ne peut plus la contrôler. Roy qui pour le moment est dans la chatte de la jeune fille commence à sentir qu’il va bientôt jouir, alors il augmente le rythme en donnant à la fille des coups de rein profonds et violents. Voyant cela, Billy Bob fait de même en enfournant sans pitié dans la bouche et la gorge d’Amy. Les deux hommes ignorent les gémissements et les cris incessants de la pauvre blonde.

- Oh Putain Billy Bob, Je vais décharger ! Crie Roy.

- Moi aussi, grand frère ! On va en mettre partout sur le visage de cette petite salope ! Répond Billy Bob qui sent le sperme bouillonner dans ses couilles.

- Putain oui ! Ouvre grand, salope !

Les deux hommes grognent et retirent en même temps leur bite d’Amy. En même temps, Billy Bob attrape les cheveux de l’adolescente d’une main pour la tenir en place tandis qu’il continue à se branler rapidement. Pendant ce temps, Roy contourne Amy, de sorte qu’elle se retrouve maintenant avec deux grosses bites prêtes à décharger, pointées sur son visage.

- Oh mon Dieu ! Marmonne-t-elle avant d’ouvrir grand la bouche et de tirer la langue.

Elle lève les yeux avec appréhension vers les deux frères. Elle n’a jamais eu un garçon qui lui a éjaculé sur le visage donc encore moins deux hommes.

Roy est le premier à éjaculer. Des jets brûlants de sperme éclabousse le visage de la jeune fille blonde surprise. Un jet atterrit dans sa bouche, le second dans son œil, le troisième sur sa joue et son front, la quatrième dans ses cheveux et le dernier dans sa bouche. Quand Ray commence à jouir, Billy Bob décharge lui aussi peu après son frère. Son foutre éclabousse lui aussi le visage de l’adolescente. Il essaie d’atteindre sa bouche, mais il n’atteint sa cible que peu de fois.

Après avoir éjaculé, les deux frères caressent leur bite pour essayer d’en extraire le plus de jus pour recouvrir leur propre victime. Pendant ce temps Amy s’étouffe avec le foutre dans sa bouche. Elle tousse et le sperme dégouline aux coins de ses lèvres pour tomber sur son menton puis sur ses gros seins. Son visage est presque entièrement recouvert. Amy se lèche les lèvres, étonnée de la quantité de foutre ayant giclé des deux bites de paysan. 

Les hommes agitent leur sexe devant le visage de la jeune fille. Amy soupire de résignation et commence à lécher est sucer les deux membres. Elle les nettoie avec sa langue agile et ses lèvres rouges. Quand sa bouche est encore remplie de sperme, les deux frères lui ordonnent d’avaler, ce qu’elle fait à contrecœur. Une fois leurs deux bites propres et luisantes, Roy et Billy Bob demandent à la jeune blonde de récupérer autant de foutre qu’elle peut sur son visage et ses seins et de l’avaler. Bientôt la jeune fille est un peu plus propre. Elle respire fort et regarde ses deux violeurs en étant heureuse que ce soit fini.

- Alors… Vous allez toujours me conduire à Belmeade ? Demande-t-elle avec espoir.

Billy Bob rigole. Les deux paysans sautent de la plate-forme du camion et soulève l’adolescente. Roy ramasse ses affaires ainsi que le couverture et il les jette sur le sol.

- Écoute ma fille ! On voulait juste s’envoyer en l’air ! Désolé, mais nous devons retourner à la ferme maintenant ! Dit Roy en remontant au volant du camion.

- Hein ? C’est quoi ce bordel ? Putain, vous vous êtes foutus de moi ! Crie Amy en colère.

- Désolé bébé, mais c’était amusant ! Dit Billy Bob en faisant un signe par la fenêtre alors qu’ils s’éloignent tranquillement.

Amy n’arrive pas à croire en sa malchance. Quels connards, elle est maintenant coincée en pleine campagne après avoir été baisée de lus d’une façon. Elle est épuisée. Elle regarde son corps sale, couvert de sueur et taché de sperme. Peut-elle avoir encore plus de malchance ? 

Elle ramasse ses affaires et la couverture pour les traîner jusqu’au ruisseau voisin. Elle étend la couverture sur l’herbe, enlève ses talons hauts et pénètre dans l’eau qui lui arrive aux genoux. Elle immerge tout son corps, y compris ses longs cheveux dans le ruisseau. Elle se nettoie autant qu’elle le peut. Puis quand elle a fini, elle remonte sur la berge et s’effondre sur la couverture sans tenir compte des traces de sperme et de la sueur qui l’imprègne. Elle s’endort alors pour une sieste.

A suivre…

mercredi 13 novembre 2024

Une drôle de belle-famille Ch. 12

  Texte de Ricki Black (2012)
*****

la belle-mère et le maire.

C’est vrai que j’ai découvert en Martine, future belle-mère de mon fils, une sacrée chaudasse. Rien ne le laissait présager et j’ai eu le nez creux en allant la chercher dans ses retranchements. Aujourd’hui elle est mon esclave sexuelle, et j’ai réussi à l’amener à devenir la propriétaire sexuelle de son mari, et elle y a pris un plaisir sadique non dissimulé.

Après avoir pris quelques jours de repos bien mérité, je contacte Martine à son bureau. J’avais en souvenir la séance où je l’avais obligé à montrer au Maire, lors d’une réunion de chantier, sa fente luisante.

- Martine, je veux que tu prennes rendez-vous avec le Maire, demain matin vers 11H00, je t’accompagnerais. Car de mémoire, il a apprécié mon intervention téléphonique, lors de votre dernière entrevue. Je pense qu’il sera heureux de nous rencontrer

Je raccroche avant même qu’elle ait répondue. Dans l’après-midi je reçois une confirmation par texto de Martine et on se donne rendez-vous devant la mairie pour le lendemain.

Il est 10H50 lorsque je vois venir vers moi Martine. Je suis devant la mairie, il fait un temps radieux et elle est habillée très classe et très sexe : Un ensemble tailleur rouge, des bas noirs et escarpins rouge. A priori pas de chemisier sous sa veste. Elle se déplace vers moi, féline et aérienne. Elle attire tous les regards des passants. Arrivée à ma hauteur elle s’arrête et attend. Je l’observe et la complimente sur sa tenue. Elle me remercie et me confie qu’elle est habillée conformément à mes attentes. Cela suffit à me faire comprendre que sous son ensemble elle est nue. Cette idée suffit à faire tressaillir ma queue. Je sens dans son regard une forme de peur et lui demande ce qu’elle a :

- Maître, vous savez que le maire est un homme très influant et il peut me faire renvoyer comme il le désire. Et je n’ose imaginer ce que vous attendez de moi ce matin, j’ai très peur des conséquences.

-  Ne t’inquiète pas, tu vas m’obéir et tout va bien se passer. Par contre il va falloir te montrer très obéissante, sans montrer la moindre réticence à mes ordres. Au fait tu me présenteras au Maire comme Monsieur Pierre.et tu baisseras les yeux en le disant. Normalement il devrait comprendre…

Nous entrons ensemble dans l’édifice, une grande salle fait office de réception. Des panneaux indiquent la direction des différents services et face à nous un bel escalier double monte à l’étage. Suivant les pas de Martine, nous l’empruntons. Je suis étonné, car chaque personne que nous croisons la salue cordialement. Elle est très populaire ici. S’ils savaient tous, que cette belle bourgeoise n’est en fait qu’une vraie salope qui ne pense qu’à la bite. Cette idée m’amuse et j’en souris. 

Nous sommes maintenant à l’étage, et nous pénétrons dans le secrétariat qui donne ensuite accès à son bureau. Une femme d’une trentaine d’années est assise derrière un bureau. Elle salue Martine qui l’informe qu’elle est attendue par le maire. La secrétaire l’informe de notre arrivée par interphone, puis nous invite à entrer dans son bureau.

Splendide cabinet, grand et spacieux, il est constitué d’un vaste bureau d’époque et je remarque tout de suite qu’il est ouvert dessous. Quatre chaises lui font face. Sur le côté un canapé d’époque également avec une table basse. Les murs sont décorés de tableaux et de photos. Il y a le président actuel et les maires précédents. Sur une belle cheminée est disposé le buste à l’effigie de Marianne. Celle-ci a des airs de Brigitte… Non pas mon ex, mais plutôt l’ex-star du X.

J’avoue que l’endroit est impressionnant, un homme d’une cinquantaine d’années s’avance vers nous. Une belle prestance, habillé d’un costume cossu noir, armé d’un sourire jovial et les tempes grisonnantes, en fait d’entrée une personne plutôt sympathique. Il salue Martine et se tourne vers moi alors qu’elle me présente les yeux baissés. 

- Je vous présente Monsieur Pierre, c’était l’homme qui était au téléphone lors de notre dernière entrevue.

Le maire me tend un sourire complice et me salue :

- Comme je le disais à Martine, je souhaitais vous remercier d’être intervenu pour me faire bénéficier du magnifique spectacle que vous m’avez offert la dernière fois. Spectacle d’ailleurs qui est encore gravé dans ma mémoire.

Martine est très gênée, mais aussi flattée par ces commentaires. Puis le Maire reprend :

-  Dites-moi Pierre, je peux vous appeler Pierre… Dites-moi comment avez-vous fait pour arriver à un tel résultat ?

L’entretien prend une tournure que j’aime bien.

- Et bien je dois vous avouer qu’après une période d’éducation à l’anglaise, j’ai d’abord annihilé ses velléités, puis j’ai vaincu ses appréhensions et enfin j’ai découvert ses vices, en la faisant au final, une femme soumise à son Maître…

Martine est cramoisie de honte, les yeux plantés dans ses escarpins rouges et je le devine, la fente déjà humide par tant d’humiliation.

-  Mais Monsieur le maire, j’ai cru comprendre par votre réflexion de la dernière fois, que vous n’étiez pas étranger à ce genre de situation ?

-  Oui Pierre, vous êtes très perspicace, à ce que je vois. Effectivement, je pratique la même éducation pour ma femme et de ce fait je sais différentier une femme mariée et de bonnes mœurs à une salope soumise à son Maître. Vous la connaissez bien Martine ma femme, elle travaille ici même au service des réclamations de nos administrés, et croyez-moi elle fait du bon travail, peu de nos concitoyens reviennent se plaindre de ses prestations. D’ailleurs j’ai prévu de la convoquer vers 11H45, dans le but de vous la présenter Pierre. Histoire de vous renvoyer la balle…

Le Maire est maintenant près de Martine, il l’observe sous toutes les coutures. En s’adressant à moi il me demande :

- Pierre, quelles sont ces obligations vestimentaires ?

Je lui explique qu’en toutes circonstances elle ne porte jamais de dessous. La main du maire commence à se poser sur l’étoffe de la veste puis la caresse. Les doigts sentent certainement les tétons nus et durs dessous.

- Pierre, vous pensez que je peux la voir nue ?

Je demande alors à Martine d’ôter sa veste lentement pour que Monsieur le maire puisse apprécier, puis ôter sa jupe. Sans broncher elle obéit et commence son déshabillage au milieu du cabinet. Le maire est retourné à son bureau, fouillant dans un tiroir, il en sort un collier de chienne équipé d’une laisse, d’une ceinture équipée d’un long gode en forme d’énorme bite. Il dépose la ceinture sur le bureau et s’approche de Martine qui est maintenant déshabillée.

Elle est là debout nue habillée d’un simple porte-jarretelle rouge, de ses bas noirs et ses escarpins rouges. Ses poils noirs taillés en ticket de métro ressortent sur sa peau blanche, ses petits seins sont tendus. Le maire lui glisse le collier autour du cou, laissant pendre la laisse. Le maire alors saisit la main de Martine et la dépose sur son pantalon.

-  Voila Martine l’effet que tu me fais maintenant que tu te montres sous ton vrai jour. Tu me fais bander comme lorsque tu m’as montré ta chatte. Et comme tu m’as mis dans tous mes états, il va falloir que tu répares tes bêtises.

Naturellement elle saisit la fermeture du pantalon et la fait glisser, elle fourre sa main dedans et après quelques instants de caresses, elle extirpe la bite du maire. Très bien monté le mec.

- Bien tu vas me sucer salope, mais tu vas passer sous le bureau et comme une chienne tu vas me prendre dans ta bouche.

Il s’installe dans son fauteuil, alors que Martine se positionne à quatre pattes sous le bureau. Une fois en place elle glisse l’énorme queue dans sa gorge. Je peux voir son superbe cul offert devant le bureau. Son sillon est ouvert et on voit aisément son anus et sa fente. Me plaçant à genou derrière elle je lui glisse deux doigts dans la chatte. Elle est inondée de mouille cette pute. J’en profite pour glisser également mon pouce dans son trou du cul. Je commence à bander sérieusement et suis décidé à profiter de la position de Martine pour l’enculer à sec, lorsque l’on toque une fois puis deux fois à la porte. Je panique mais le maire me rassure en me signalant que c’était le code pour sa femme. Il lui demande d’entrer.

Une femme d’une quarantaine d’années pénètre dans le cabinet. Belle blonde aux cheveux longs. Très bien proportionnée, elle est habillée d’une jupe plissée arrivant à mi-cuisses et des bottes hautes, d’où je suis, je vois le haut de ses bas noirs. Un chemisier recouvert d’un gilet léger. A priori au vu des formes du gilet elle a une grosse poitrine. 

Elle a refermé la porte derrière elle et regarde la scène. Martine est à l’œuvre sur la queue de son mari et moi j’ai trois doigts dans sa chatte et son cul.

- Pierre, voici ma femme, enfin ça c’est pour la présentation officielle, pour l’officieuse, je te présente ma chienne. Elle adore les grosses bites, les fentes juteuses, les jeunots elle adore leurs fougues, mais ce qu’elle aime par-dessus tout, c’est d’être humiliée, traiter comme une chienne, et remplir ses trous de foutres chauds, n’est-ce pas chérie ?

Elle répond affirmativement en baissant les yeux. J’enfonce bien mes doigts dans les trous de Martine et me relève pour aller vers madame.

- Mais au fait son prénom c’est ?

- Lise ! me répond-elle.

- Très bien Lise, alors pendant que ton mari se fait pomper à fond, tu pourrais me dire ce que tu penses du goût de la mouille et du cul de cette salope de Martine.

Je lui présente mes doigts souillés et Lise ouvre la bouche et commence à les lécher. Le contact de sa langue avec mes doigts m’électrise et je sens ma queue se raidir dans mon pantalon. Cette sensation est jouissive, car cette belle inconnue bouffe la mouille de ma soumise et j’adore. Elle me répond timidement baissant les yeux :

- Si je peux me permettre Monsieur, elle est déjà très abondante, ce qui prouve qu’elle aime être humiliée, ensuite sa mouille est épaisse et goûteuse, son goût est parfumé et épicé comme je l’aime Monsieur. Et enfin son cul, lui, est beaucoup plus âcre et piquant, ce qui veut dire qu’elle mouille du cul et ça Monsieur c’est un très bon signe, car elle aime être malmenée par là.

C’est alors que le maire sort de son silence et ordonne à sa femme de se mettre nue. Sans ciller, elle déboutonne son gilet et l’ôte, dévoilant un chemisier transparent. Elle ne porte pas de soutien-gorge et on peut voir sa très généreuse poitrine au travers de la fine étoffe en tulle. Ces seins sont magnifiques, tendus et galbés. Deux auréoles brunes percent la blancheur de leur peau. Je suis subjugué par leurs voluptés. 

Lise continue en déboutonnant son chemisier pour se retrouver torse nue. Je remarque tout de suite sur les seins des striures rouges qui témoignent certainement d’une séance de discipline récentes. Sa taille est menue et ses hanches larges qu’elle nous découvre en laissant choir sa jupe à terre. Le spectacle est magnifique. Lise ne porte qu’une paire de bas Dim-up. A creux de son pubis lisse je vois les deux renflements de son sexe et l’expression de l’abricot prend alors tout son sens. Elle est splendide et torride, les jambes très légèrement ouvertes et je trique comme un fou devant cette déesse. 

Elle est immobile au centre de la pièce. Je commence à faire le tour pour voir les facettes encore cachées de Lise, ses hanches larges glissent sur de longues jambes fines et élégantes. Le dos cambré finit en une longue chute de reins qui vient mourir sur une splendide paire de fesses charnue et voluptueuse, mais qui vient, elle aussi, de subir la morsure du fouet récemment. Je suis très excité de savoir que cette belle bourgeoise mature aime être soumise et humiliée et obéissante à son mari et maître qu’elle voit se faire sucer sous le bureau par une belle autre salope de son genre.

- Très bien, maintenant tu vas montrer à notre ami qu’il n’y a pas meilleure éducation que la nôtre pour faire des femmes sages et pieuses comme vous, des putes salopes prêtent à toutes les perversions pour avoir encore plus de bites dans vos orifices. Allez, commence donc par le branler et applique-toi, c’est un invité d’honneur !

Lise dégrafe mon pantalon, introduit sa main dedans et la plaque contre mon sexe palpitant de mille désirs. Je sens ses doigts enserrer mon barreau, puis elle l’extrait de sa prison avant de retourner chercher mes couilles. Me voici avec le matos dehors. Ma queue est dressée au max et mes couilles lisses sont gonflées comme des balles. Lise branle avec une extrême délicatesse ma verge. Je frisonne tellement sa caresse est habile. Le bout de son index vient effleurer le bout de mon gland inondé, comme si elle voulait le faire pénétrer dans le méat. De son autre main elle me câline mes boules, glissant ses doigts jusqu’à mon anus. C’est divin et je pense que je ne vais pas tenir longtemps à ce régime-là. Lise est experte je le concède avec grand plaisir. Après quelques instants de cette divine branlette, monsieur le Maire reprend la parole :

- Ok Lise, viens ici et enfile le gode à ceinture, on va vérifier si ce que tu disais sur l’humidité de l’anus de Martine est vrai. Tu vas l’enculer et si jamais j’entends le moindre cri de sa part, cela voudra dire que tu t’es trompée alors tu seras punie par où tu as péché.

Lise saisit la ceinture, je peux la détailler un peu plus maintenant. Elle est faite d’une ceinture qui se place autour de la taille sur le devant on trouve un triangle qui supporte deux godes. Un qui se situe sur le devant et un autre à l’intérieur. Lorsque Lise enfile la ceinture, elle doit d’abord faire pénétrer le gode intérieur dans son vagin, et il est très gros. Elle écarte les cuisses, puis laçant deux doigts entre ses lèvres gonflées, elle pose le bout du gode dessus et l’enfonce délicatement. Sa fente s’ouvre distendant les grandes lèvres qui cèdent sous l’énorme diamètre de l’objet. Il finit par entrer en glissant jusqu’à la garde. Ainsi la ceinture est en place et Lise peu la boucler autour de sa taille. Son mari alors lui dit :

- Ne triche pas, je ne veux aucune lubrification, tu vas la fourrer à sec cette pute. Tu sais qu’elle suce mieux que toi, elle est très appliquée et elle ne va pas tarder à me faire gicler.

Lise lui jette un regard noir en se positionnant à genou derrière le cul de Martine. J’observe la manœuvre lorsqu’elle dépose le bout du gode sur l’anneau serré. Je sens le corps de ma soumise tressaillir à ce contact. Il faut dire qu’elle peut, car elle ne voit pas l’engin, mais moi je le vois et croyez-moi elle va le sentir passer, encore plus à sec. Il se pourrait même qu’elle la déchire… Je suis positionné à côté de Lise, son visage est à la hauteur de ma bite que je tiens en main pour le moment.

Je perçois la pression qu’exerce Lise sur le gode, imaginant qu’elle doit avoir le retour avec celui qui est planté en elle. Martine pousse et laisse son anus se desserrer, mais ça ne suffit pas à libérer le passage et Lise maintenant appuie de tous ses reins dessus. Martine gémit, puis crie pour finir par supplier d’arrêter. Je profite de ce moment intense pour présenter mon gland devant la bouche de Lise. Qui avidement le gobe jusqu’à la garde. Martine de son côté halète de souffrance lorsque son sphincter lâche et autorise l’objet à lui remplir le cul. Je vois la sueur humidifier le dos et le sillon de ma soumise. 

Pour ma part je me suis positionné les fesses sur le rebord du bureau, tournant le dos au maire, et j’ai attrapé les cheveux de Lise pour mieux lui baiser la bouche. J’enfonce l’intégralité de ma queue dans la cavité. Elle étouffe, et la recouvre d’une épaisse salive gluante. Plus je m’enfonce plus elle a des haut le cœur. En contrepartie elle défonce de plus belle le cul de Martine, qui elle aussi se fait baiser la bouche par le maire. Alors je donne le coup de grâce et m’enfonce au plus profond de sa gorge et maintiens la position quelques secondes. Lorsque je me retire, un jet de vomi s’écrase sur mes couilles dégoulinant sur le dos de Martine. Puis un second encore plus violent et épais. Je saisis Lise par les cheveux et lui balance une énorme gifle, en lui hurlant.

- Salope, tu as vu ce que tu as fait, t’es dégueulasse. Sale pute !

Et son mari qui reprend :

-  Tu as raison Pierre, c’est inadmissible, vas- y je t’en prie, punis cette traînée !

Quittant alors ma place je me place derrière elle, m’agenouille, pose ma bite sur son anus et m’enfonce en elle d’un seul et long coup de reins violent et destructeur. Lise hurle à son tour. Je suis entièrement en elle et étonnement je sens l’énorme gode qui lui remplit la chatte. Je commence à la limer avec énergie et fougue. Lise continue à crier à chaque coup. J’attrape alors ses cheveux et lui plaque le visage sur le dos de Martine qu’elle continue à enculer dans la même cadence.

- Au lieu de te plaindre tu vas nettoyer tes saloperies, allez bouffe tes vomissures !

Alors que je lui maintiens le visage dans ses souillures, Lise s’emploie à récupérer son vomi et à l’ingurgiter, lorsque j’entends Martine vomir à son tour sur la queue de son nouvel amant. J’accentue mon enculage pour, par effet ricochet, accroître l’enculage de Martine. Je suis au bord de la jouissance, alors je me cale tout au fond du cul de Lise et éjacule un litre de foutre dans son fondement. Je comprends que Monsieur le maire se soulage également dans la bouche de Martine qui doit avoir tout avalé.

Je me remets debout et j’aide Lise à se redresser. Il n’y a presque plus trace de souillures sur le dos de Martine, par contre le visage de Lise lui est encore recouvert de traces. Sachant que mon ami s’est bien vidé les couilles, j’attrape Martine par les chevilles et la tire en arrière. Sous la surprise, elle trébuche et se retrouve allongée sur le sol. Je place mon pied alors sur son torse et l’immobilise en lui disant :

- Je suis très déçu de ton comportement, tes plaintes lorsque Lise t’a enculé et comme elle tu n’as pas su te tenir et tu as vomi sur sa belle queue qu’il t’offrait pourtant avec le plus grand plaisir. Lise vient ici, tu vas t’asseoir sur Martine et tu vas vider ce que je t’ai mis dans le cul, dans sa bouche, allez vas-y !

Je vois son mari qui me sourit, ravi de ce petit plus. Lise se place sur Martine, pose ses fesses à 2 centimètres de la bouche ouverte, écarte les fesses pour mieux voir ce qu’elle fait, et pousse. Comme ça on dirait qu’elle va chier dedans, des bruits suspects se font entendre, style clapotis accompagnés de petit pets gras. Puis soudain, un liquide blanchâtre est chassé de l’étroit conduit, comme une déflagration dans un gros pet et souille le visage de Martine qui essaye tant bien que mal d’en récupérer le maximum dans sa bouche largement écartée. Quelle belle salope elle fait ma soumise. Je n’en aurais jamais autant espéré d’elle.

Après nous être nettoyés, rhabillés, nous avons bu le verre de champagne de l’amitié nouvelle qui venait de naître entre nous, puis nous nous sommes quittés.

J’ai ensuite déjeuné rapidement avec Martine qui s’est montrée conquise par cette nouvelle aventure, me priant de continuer à faire d’elle mon objet sexuel, car elle en découvrait à chaque nouvelle expérience, toute la quintessence.

A suivre...