samedi 27 juillet 2019

Bourgeoises Soldées Ch. 05

Bourgeoises soldées - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

La pire des humiliations.

A la demande générale, je continue le récit de la déchéance de ma mère et moi. Nous sommes désormais sous la coupe d'une bande de jeunes voyous. Mohamed et ses complices ont fait de nous leurs putes qu'ils peuvent baisées quand ils veulent et où ils veulent.

J'étais chez moi dans mon appartement à faire le ménage. Mon mari était de permanence. Nous étions dimanche. Un coup de sonnette m'interrompit. J'allais ouvrir et je fus étonnée de découvrir ma mère en manteau de fourrure. Je blêmis en découvrant qu'elle était accompagnée de Mohamed ainsi que d'un grand black que je ne connaissais pas ; Il me dévisagea avec un regard pervers. Je suis habillée d'un caleçon et d'un t-shirt.

Ils entrèrent dans mon appartement poussant ma mère. Le grand black que l'on me présente comme étant Moussa s'approche de moi et me pousse vers le canapé du salon. Il me positionne à quatre pattes dessus et baisse mon caleçon. Je ne porte rien dessous et ma fente apparaît. Il me claque les fesses.

- Quelle salope, comme sa mère. Tu sais, on l'a sauté ta mère et par tous les trous et elle en redemandait...

Il m'enfonce ses doigts dans ma chatte et instinctivement je me cambre...

J'entends la voix de Mohamed :

- Dépêche-toi, les clients attendent et on a de la route à faire...

Je frémis...Que nous réservent-ils encore?

Moussa me pénétra d'un brutal coup de reins. Je poussais un cri rauque en sentant cette queue hors norme qui me déchirait. Les mains crispées sur mes hanches, il me pilonne sauvagement. Mon corps est projeté en avant sous la violence de ses coups de reins. J'halète en sentant cette bite qui me défonce. J'entends ma mère raconter à Mohamed d'une voix tremblante comment elle est devenue une pute à blacks depuis que Moussa et ses sbires l'ont baisée toute une journée.

Moussa accélère ses va-et-vient et il lâche des torrents de sperme en grognant sur mes fesses.

J'ai été contrainte de m'habiller devant Moussa et Mohamed. Ils ont bien insisté sur le fait que je devais m'habiller très classe. Très BCBG. Très bourgeoise. Les clients l'ont expressément demandé. Ma mère, sous son manteau de fourrure, est habillée d'une veste blanche très chic. Ses longues jambes gainées de bas blancs émergent d'une jupe noire cintrée, moulant son cul... Elle porte des talons aiguilles noir et blanc.

Pendant que maman, à genoux devant Mohamed lui suce la bite, Moussa choisit ce que je vais porter. Après avoir enfilé un porte-jarretelles retenant des bas gris, je mets une jupe grise ainsi qu'une veste rouge sans rien dessous. Il choisit avec soin mes chaussures et je me retrouve affublée d'une paire d'escarpins « ouvert » à hauts talons que l'on met généralement en été mais avec les bas cela me rend encore plus sexy...Au moment où je suis prête, Mohamed éjacule aspergeant le palais de maman de sperme....

Le trajet dura plusieurs heures. Nous nous rendons en province à quelques kilomètres de la ville où maman et moi nous habitons. En rigolant, Mohamed nous a annoncé que nous allions passer un dimanche à la campagne. Nous arrivons devant une ferme, totalement isolée. A l'écart, une grange avec des vaches à l'intérieur. Ça sent le fumier et le crottin. Il y a de la boue dans la cour. Un gros berger allemand aboie en nous voyant arriver. Dans un enclos, un âne.

Nous descendons de la voiture. Maman et moi nous nous regardons, pas vraiment rassurées. Quelles avanies allons-nous encore subir?

Un vieil homme, la soixantaine bien tassée, que je qualifierais de paysan, sort de la ferme. Il porte un vieux pantalon et un pull. Son ventre de buveur de bière gigote quand il avance vers nous. Mohamed lui serre la main et il discute tarif devant nous. L'affaire se conclue très vite et l'argent change de main.

Nous sommes emmenées dans la ferme. Assis à une table un jeune homme. Le vieux nous présente son fils qui se prénomme Antoine. Avec nos tenues de bourgeoises nous détonnons complètement dans ce décor rustique.

Les deux hommes nous observent les yeux remplis de convoitises comme un enfant devant le sapin de noël qui n'ose pas ouvrir ses cadeaux. Mohamed intervient :

- Allez les salopes! Déballez la marchandise!

Rouge de honte, maman et moi nous retroussons nos jupes dévoilant nos porte-jarretelles.

Moussa filme avec sa caméra numérique bien sûr...Mohamed ouvre nos vestes afin que les deux hommes puissent mater nos seins. Ils semblent impressionnés par ceux de ma mère qui sont plus imposants que les miens.

Le père et le fils se décident et font un pas vers nous. Ils s'emparent de nos seins en soufflant comme des porcs. Le vieux, Raymond, m'a choisie pendant que son fils a jeté son dévolu sur maman. Il lui malaxe les seins, les soupèse, les laisse retomber, lui mordille les tétons.

Le vieil homme me force à l'embrasser, je manque vomir de dégoût...il ne doit pas se laver les dents tous les jours...

Sa main s'est faufilée dans ma chatte et il y introduit ses gros doigts.

Maman est agenouillée et elle a un haut le cœur quand elle sent l'odeur nauséabonde de la bite qui cogne contre sa bouche fermée. Mohamed doit lui fesser le cul pour qu'elle surmonte son dégoût et engloutisse le membre...Antoine lui agrippe la chevelure et la guide donnant des coups de reins pour mieux s'enfoncer dans sa bouche. Puis il sortit son sexe permettant à maman de reprendre sa respiration et il mit son gland entre les seins de ma mère...

- Allez la bourgeoise, fais-moi une bonne cravate de notaire! Avec tes grosses loches, ça doit être le pied...

Rougissante et sous l'œil de la caméra, maman s'exécute. S'emparant de ses seins, elle commença à branler la bite du paysan.

Je fus retournée et cambrée sur la table. Raymond me pénétra, enfonçant son gros membre dans ma chatte. Me tenant par les seins, son gros sexe me labourait...Sa main pelotait ma poitrine...Il me martelait comme un fou, ahanant...La table grinçait...

- Bouge ton cul salope, vas-y, putain quel pied...

Il sortit précipitamment et son sperme se répandit sur mes fesses.

Antoine a contraint maman à retirer son élégant manteau de fourrure et l'étendre par terre. Il la prend ainsi, à quatre pattes, sa bite enfoncée dans sa chatte. Comme sur une peau de bête. Maman gémit sous la violence des coups de reins du jeune Antoine. Il se redresse brusquement, fait le tour et asperge les seins de maman de sa semence.

Nous pensions en avoir terminé mais l'horreur ne faisait que commencer...

Nous sortons de la ferme et nous sommes entraînées vers l'enclos où se trouve l'âne. Antoine va chercher le chien. Il commence à pleuvoir un fin crachin et nos escarpins son vite recouverts de boue ainsi que nos jambes. Nous sommes trempées en arrivant devant l'âne. Mohamed et Raymond nous mettes à quatre pattes dans l'herbe salissant nos bas. Jupe retroussée, cul à l'air. Je comprends soudain quand Antoine va chercher l'âne. Je pousse un hurlement!

- Non!!!! Pitié, non, pas ça, je vous en supplie.

Je tente de me relever mais impitoyable Mohamed me maintient au sol...

Maman aussi a compris et se débat....

On positionne l'âne au-dessus de moi...

- Suce le salope, suce la bite de mon âne, tu vas voir c'est autre chose. Branle-le d'abord...

Écœurée, au bord de la crise de nerfs, je saisis de ma main la bite de l'âne et je le branle doucement...L'âne bouge un peu mais reste tranquille. Très vite sa bite devient énorme entre mes doigts...

Maman, malgré ses supplications et ses pleurs doit se faire lécher la chatte par le berger allemand, Celui-ci lui fouille son intimité de sa langue râpeuse...

On me tire par les cheveux et je suis forcée d'avaler la bite de l'âne. Ma bouche est déformée par l'épaisseur de la queue...on me maintient fermement la tête pour que je ne recrache pas la bite. Le sexe de l'âne commence à gonfler dans ma bouche. Il déchargea soudain m'étouffant en de longues giclées de sperme...

Maman secoue la tête en gémissant sous les coups de langue du chien. Médor lui lèche la vulve donnant de grands coups de langue...On releva soudain ma mère et elle dut se mettre à quatre pattes. Elle cria quand elle comprit qu'on la livrait au chien pour une saillie contre nature!!!

Le chien renifla le cul de ma mère et monta sur son dos. Il la pénétra et commença à s'activer sur elle! Folle de terreur, ma mère pousse un hurlement déchirant. Le chien rythmant sa pénétration entrait et sortait de la fente de ma mère. Il ne tarda pas à jouir et il se répandit dans les entrailles de maman, morte de honte....


Nous sommes relevées maman et moi et reconduites vers la voiture de Mohamed. Nous sommes recouvertes de boue. Nos cheveux dégoulinent d'eau. Le rimmel a coulé souillant nos visages d'élégantes bourgeoises...Mais surtout, nous venons d'être humiliées comme jamais, livrées à des animaux! Abattues, effondrées, maman et moi ne disons pas un mot sur le chemin du retour...

A suivre...

Susan et les bidouilleurs de PC Ch.05

Susan et les bidouilleurs de PC - récit érotique - soumission - hu

miliation - dégradation - contrainte

Le magasin informatique.


Il se passa une paire de jours avant que Susan ne soit à nouveau contactée par ses maîtres chanteurs". Pendant une pause à son boulot, elle jeta un œil son portable et lut le massage suivant :

- Appelle moi aujourd'hui !

C'était un message de Ray. Elle n'osa pas ignorer l'ordre cette fois, aussi sortant du magasin elle fit son numéro. Ses mains tremblaient légèrement, son cœur battait plus vite alors que la sonnerie tintait.

- Hello Susie. Répondit tout de go son interlocuteur.

- Hello !

- Comment se porte notre petite pute ?

- Ne m'appelez pas comme ça ! Soupira-t-elle misérablement.

- Mais c'est ce que t'es ma petite chérie. J'ai quelques instructions à te donner. Tu vas nous rejoindre demain à 17 heures au magasin d'informatique de notre copain. Je vais te faire parvenir l'adresse et un petit plan pour t'y rendre. Si tu as besoin de plus d'informations, appelle moi !

- Je... Je ne sais pas si je pourrais !

- Tu ne m'as pas très bien compris ma petite salope. Il ne s'agit pas d'une requête, mais d'un ordre. ET tu y seras. Oui peut être préfères tu qu'on informe ton mari et ta fille de...

Elle comprit tout de suite qu'il serait vain d'argumenter plus longtemps.

- C'est... C'est d'accord ! Répliqua-t-elle humblement.

- T'es une bonne fille, tu prendras la balle magique dans le tiroir de ta table de nuit et tu te la fourreras dans la chatte. Je veux que tu l'aies dans ta moule lorsque tu nous rejoindras. C'est bien compris ?

- Oh oui. Rétorqua-t-elle désespérée.

- C'est bon. Passe une bonne journée. On se voit demain.

Elle eut bien du mal à se concentrer sur ses tâches le reste de la journée.

Elle connaissait le quartier de la ville où se tenait le magasin, elle suivit cependant scrupuleusement ses consignes. Son cœur battait la chamade lorsqu'elle entra dans le petit magasin. Un homme imposant, dans la trentaine, se tenait derrière le comptoir. Il en termina avec son seul client, Gary et Ray n'étaient pas encore là.

Lorsque le client quitta la boutique, le vendeur s'approcha d'elle, il était à peu prêt certain que c'était elle, d'après la description des deux jeunes.

- Hello, que puis-je pour vous ? L'interrogea-t-il suavement.

- J'attends quelqu'un. Rétorqua-t-elle nerveusement.

- Dans ce cas vous devez être Susan.

- Oui. C'est moi en effet. Mais...

- Gary et Ray ont été retardé, ils m'ont dit de que vous deviez les attendre. Allons donc les attendre dans l'arrière salle. Ce sera plus confortable que le magasin.

- Je ne sais pas. Je préférerai les attendre ici.

- C'est une ânerie. Répliqua-t-il.

- Viens par ici que je te montre mon bureau.

Il la mena dans son bureau dans l'arrière boutique. Il était meublé d'un large bureau, de trois chaises, et d'étagères couvertes de PC en réparation.

- Prends un siège !

Il retourna alors dans le magasin, referma la porte et suspendit une affichette « fermé » à la cliche de porte avant de revenir dans l'arrière salle.

- Je m'appelle Dave. Se présenta-t-il rapidement.

- Hé oui. Répondit-elle timidement.

- C'est moi qui ait tenu la jambe de ton mari samedi dernier pendant que, si je puis dire, Ray et Gary s'occupaient de toi !

Susan se sentit rougir de honte, mais ne dit pas un mot, ç'aurait été trop gênant.

- Bon... Serais tu d'accord pour me faire un petit merci ?

- Merci... Souffla-t-elle regardant le sol espérant que ses maîtres arrivent rapidement.

- Tu ne me sembles pas très reconnaissante ! Serais-tu ingrate ? Constata-t-il railleur.

- Si, si. Je vous remercie. Mais c'est juste que...

- C'est bon, mais j'aurai cru que tu aurais tenu à me montrer ta reconnaissance !

- Que... Que voulez -vous dire ?

- Je pensais que tu m'accorderais une petite faveur en retour !

- Quel genre de faveur ?

- Attends que je réfléchisse. Lui dit-il frottant son menton narquoisement.

- Que penserais-tu d'une petite pipe ?

- Quoi ! Hurla-t-elle en se redressant vivement.

- Je crois que je ferai mieux de partir.

- Assieds toi Susie ! La coupa-t-il autoritairement.

Son ton et le fait qu'il utilise son surnom de pute la paniquèrent. Elle ne s'assit pas mais au contraire se dirigea vers la porte. Dave attrapa prestement une télécommande agissant sur la boule magique et appuya sur le bouton à pleine intensité. La balle se mit à vibrer frénétiquement dans sa chatte, elle s'arrêta pile, ses mains agrippèrent son entrecuisse et elle tomba à la renverse contre le mur.

- Aaaaaaaah. S'il vous plait… se plaignit-elle.

Il pointa la télécommande sur elle comme s'il s'agissait d'une arme et tourna le curseur sur la position moyenne. Quelques secondes plus tard il le remit sur lent ce qui lui permit de reprendre une attitude normale. Il lui intima :

- Assieds toi Susie !

Elle se refusa tout d'abord à obéir, mais le voyant poser la main sur le curseur prêt à le remettre sur une intensité maximum, elle se dirigea lentement vers la chaise et s'assit.

- Ça marche véritablement d'enfer. dit-il la regardant obtempérer.

- Et maintenant, où en étions nous ? Ah oui, on se demandait comment tu pouvais me remercier d'avoir retenu ton mari pendant que tu te faisais sauter !

Susan se tenait immobile, rassemblant ses esprits, se demandant ce qui allait lui advenir. La boule magique qui vibrait toujours dans sa chatte lui échauffait les sens. Il se posta devant elle et s'appuya sur la table la regardant droit dans les yeux.

- Et si on reparlait de cette petite pipe ?

- Je vous en prie... Je suis désolée. Mais... je ne peux pas. Je suis mariée !

- Tu me fais mourir de rire en jouant ce petit rôle ! Lui dit-il sur un ton sévère.

- Je veux que tu me suce la bite ! Répéta-t-il pointant à nouveau la commande vers elle.

- C'est d'accord ?

Il plaça le curseur sur la position médiane.

- Ooooh. Je vous en prie. Arrêtez... Larmoya-t-elle humblement.

- C'est d'accord ? Répéta-t-il autoritairement.

- Oui... Oh oui… Renonça-t-elle éperdue.

Il remit le curseur en position lente et s'approcha à quelques centimètres d'elle.

- C'est la bonne réponse ! Se moqua-t-il railleur.

- Et maintenant sors ma grosse queue de mon caleçon !

Lentement elle posa les mains sur son jean, elle déboucla sa ceinture, défit le bouton de la taille et descendit la fermeture éclair. La braguette grande ouverte, elle baissa son caleçon, sa grosse bite se déploya immédiatement sous ses yeux affolés. Elle remarqua que sa bite était aussi longue que celle de son mari mais beaucoup plus épaisse alors qu'elle n'était qu'en tout début d'érection.

- Fais moi bander ! Lui intima-t-il autoritairement.

Elle prit sa bite en main et entreprit lentement de le masturber. Il répondit rapidement à ses caresses voluptueuses, en un rien de temps sa bite se déploya pointant droit sur son visage.

- J'espère que t'es aussi bonne avec la bouche qu'avec tes mains ! Avança-t-il suavement.

- Tu m'as assez branlé comme ça, suce moi maintenant !

Elle ouvrit la bouche en grand et avala l'épaisse bite frémissante. Il posa sa main sur sa nuque et la força à engloutir sa mentule au fin fond de sa gorge.

- Oui. Comme ça... Suce moi bien...

Bien vite elle prit son rythme de croisière, sa bouche allant et venant sur la hampe frémissante. Elle pensait que plus vite elle le ferait gicler, plus vite il la laisserait tranquille. Mais en dépit de ses efforts acharnés, il gardait son contrôle.

- J'étais sur que t'étais une bonne suceuse ! Commenta-t-il lui pelotant les nibards de l'autre main.

Elle se laissait faire docilement espérant que cela hâterait la conclusion.

- T'as des beaux nichons... pas très gros mais bien fermes ! Ouvre ton chemisier !

- Mmmmmph. Protesta-t-elle la bouche pleine.

Il se contenta de saisir le col de son chemisier.

- Si je tire plus fort, j'arrache ton chemisier. Aussi, si tu veux l'éviter, enlève toi même ton corsage !

Gardant sa grosse bite en bouche, elle remonta les mains et entreprit de déboutonner les boutons du chemisier qui lui servait d'uniforme de travail. Elle défit les boutons jusqu'à la limite où son corsage s'insérait sous la ceinture de sa jupe. Il empauma ses nibards au travers de son soutien-gorge, et très vite il trouva le clips situé sur le devant entre les bonnets. Il le dégrafa d'une main. Il pouvait maintenant lui pétrir les deux nibards à même la peau, il en profita largement, pinçant et étirant ses mamelons.

- Aaah... Oh oui. Tu t'en tires très bien ma petite Susie !

Elle continuait à le sucer de son mieux tandis qu'il lui palpait les nibards, mais il lui coupa son élan en lui intimant :

- Allonge toi sur la table !

Elle extirpa la grosse bite de sa bouche.

- Mais... Mais vous aviez dit une pip ... Et puis…

Il la coupa tout de go :

- Ne t'en fais pas tu vas encore sucer ma bite, mais je veux te peloter le cul à mon aise tandis que tu me suces !

- Et maintenant grouille toi d'obéir ! Dit-il en la relevant avec impatience.

- Vire ta chemise ! Lui ordonna-t-il ensuite.

Elle s'exécuta sans plus regimber et sa chemise chut au sol, bientôt rejointe par son soutien-gorge.

- Et maintenant allonge-toi sur le ventre ton visage pointé sur ma bite !

Elle grimpa sur la grande table, le torse nu, s'allongea sur le ventre s'appuyant sur les coudes. Il lui présenta alors à nouveau sa bite.

- Reprends ta pipe maintenant !

Elle était bien en place pour reprendre sa fellation. Il se pencha sur elle et se mit à lui peloter les fesses.

- T'as un joli petit cul ma petite Susie. La complimenta-t-il en continuant à lui pétrir la croupe.

- Écarte les cuisses ! Lui ordonna-t-il avec concupiscence.

Comme elle ne s'exécutait pas, il lui colla une gifle sonore sur les fesses.

- Je t'ai dit d'écarter tes cuisses !

Cette fois, avec une dernière claque sur la croupe, elle obtempéra. La bite profondément enfouie dans sa bouche étouffait ses protestations, mais les coups sur les fesses l'avait convaincue d'obéir. Elle écarta prestement ses cuisses livrant un accès des plus aisé à sa raie culière. Il tendit la main entre ses cuisses la promenant sur les endroits stratégiques.

Il empoigna sa chatte au travers de son pantalon, elle gémit sourdement. Tout en inventoriant ses charmes il sentit la boule magique tapie dans sa fentine puis il remonta vers son clito. Ses caresses lui avaient fait perdre le rythme de sa fellation, mais cela importait peu, déjà sa bite frémissait prête à se vider dans sa bouche.

Il se redressa et extirpa sa pine de sa bouche, il lui leva le menton plongeant son regard dans le sien.

- Les gars avaient raison ! T'es vraiment une délicieuse petite salope ! La railla-t-il ironiquement.

- Maintenant je veux que tu te retournes sur le ventre fesses pointées vers moi !

- Il faut vraiment que je parte maintenant ! Tenta-t-elle d'objecter plus pour la forme qu'autre chose.

- Je t'entends bien ma chérie, mais je suis loin d'en avoir fini avec toi ! Je sais que tu meurs d'envie de te faire sauter par une bonne grosse bite !

- Pas vraiment !

- Bon ! Commenta-t-il laconiquement en contournant la table.

D’un mouvement vif, il se posta derrière elle alors qu'elle était penchée sur le bureau. Avant qu'elle ait le temps de dire quoi que ce soit, il commença à la fesser.

- Ooooooow... Nonnnnn... Ooooooow... S'il vous plaît !

- Ils m'ont dit que tu avais besoin d'une bonne correction de temps à autre ! L'avertit-il tout en la fessant de plus belle.

- Ooooow.. Je vous en prie... Arrêtez. Oooow !

- Es-tu prête à te comporter en bonne fille maintenant ?

- Oh... ouiiiiiii.

- Dis moi que tu vas te comporter en bonne petite salope docile !

Wak... Une autre gifle venait de s'abattre sur sa croupe échauffée.

- Dis moi comment tu vas te comporter !

- Je... Je serai docile... Je vais me comporter comme… Comme votre petite salope.

- C'est bon, et maintenant installe toi sur la table !

Sur ce, il l'aida à s'étendre sur le dos. Bien que ses fesses soient douloureuses, elle obtempéra.

- Écarte tes cuises en grand Susie !

Elle obéit de nouveau et il l'aida, la disposant jambes pendantes de chaque coté de la table.

- Mains sur la nuque ! Lui intima-t-il ensuite.

Elle s'exécuta à nouveau sans la moindre hésitation. Il jeta un œil sur la jeune femme torse nu, ses jambes étaient si écartées que son pantalon noir s'enfonçait profondément dans sa fente intime, il s'approcha d'elle et caressa doucement ses nibards dénudés.

- Quel âge as-tu ma petite Susie ?

- 37 ans.

Tout en lui pétrissant les nibards, il la félicita :

- T'es vraiment bien conservée pour ton âge !

Elle se mordait les lèvres, refoulant l'excitation montant dans ses reins, alors qu'à nouveau son corps la trahissait.

- Tes tétons sont drôlement sensibles ma petite chérie !

- Euhhh... Oui...

- Sens -tu encore mieux mes caresses si je fais ça !

Et il mouilla ses doigts de salive avant de lui titiller de nouveau les mamelons.

- Ou ça ?

Et il se pencha sur sa poitrine happant un de ses tétins pour le mâchouiller lubriquement.

- Owwwwwwww. oui. Répliqua-t-elle éperdue.

Il continua à lui tripatouiller les nibards, les serrant, les pinçant, les suçant, les mordillant. Elle perdait tout contrôle de ses sens, sa résistance était détruite. Il releva une de ses jambes et saisit sa touffe au travers du pantalon, elle gémit misérablement.

- A mon avis ta fente est toute trempée ma petite chérie ! Lui dit-il calmement.

- Voyons ce que tu caches dans ton pantalon.

Il dégrafa et déboutonna rapidement la ceinture de son pantalon et le fit glisser le long de ses jambes. Elle ne portait plus qu'une minuscule petite culotte rouge qui dissimulait à peine son pubis.

- C'est très joli tout ça ! La félicita-t-il en jubilant tandis que sa main prenait possession de sa chatte faisant redoubler ses gémissements.

Il écarta le petit triangle de tissu et yeux dans les yeux il se saisit de la boule magique et l'agita devant son visage.

- Regarde bien ça, ton petit con est tout trempé, tu n'es qu'une foutue salope qui va me supplier de la baiser , n'est-ce pas ?

- Non... Nonnnnn ! Protesta-t-elle faiblement, alors que son corps clamait son accord.

Pour toute réponse, il rit brièvement suivant d'un index fureteur la forme de sa fente détrempée. Le fond de sa petite culotte s'humidifiait de plus en plus. Il pressa son doigt contre son clito. Elle agrippait à deux mains l'arête de la table alors qu'elle essayait de refréner de sourds gémissements de plaisir. C'était une bataille que ses caresses lui faisaient inéluctablement perdre. Il lui enleva ses chaussures de la main gauche.

- Et maintenant au tour de ton pantalon ! Enonça-t-il le l'abaissant sur ses genoux avant de le jeter au sol.

Elle ne portait plus que de courtes socquettes et sa minuscule culotte rouge. Il repoussa de coté le triangle du cache sexe exposant sa motte fraîchement rasée.

- Quel joli spectacle ! Tu t'es rasée la chatte pour moi ma jolie Susie ? Se marra-t-il vulgairement.

- Non... Nonnnn... Ohhhhhhhh...

- Non ? Tu veux dire que c'est nos deux amis qui t'ont rasé ton petit minou ? C'est merveilleux !

Il se mit à lui titiller la fente y plongeant deux doigts, revenant à son clito, replantant ses doigts dans sa féminité. Elle en tremblait de tout son corps sentant un brutal orgasme monter dans ses reins. Il extirpa son index de sa fente détrempée et l'essuya sur ses lèvres.

- Ta moule est toute prête à se faire ramoner ma petite Susie. Lui glissa-t-il suavement à l'oreille.

Sa main courut sur sa motte pinçant brusquement son clito, son orgasme déferla. Il se hâta d'enlever son jean et son caleçon tant que son corps était secoué de spasmes orgasmiques, puis il promena lentement sa bite dans sa fente embrasée. Il l'attira à lui, elle noua ses bras autour de son cou, il écarta le petit triangle de tissu et parcourut à nouveau sa fentine détrempée de son épais membre.

- Tu le veux maintenant, n'est ce pas ?

Il l'alluma encore pressant de sa bite la féminité exacerbée.

- Oui. Oui... Dut-elle admettre confuse.

Il lui prit le menton pour la regarder droit dans les yeux.

- Supplie moi de te baiser salope !

- S'il vous plaît... S'il vous plaît... Faite moi l'amour, je vous en prie !

- Supplie moi de te ramoner la chatte !

- S'il vous plaît... Je vous en prie... Prenez moi... S'il vous plaît ! Soupira-t-elle en écho.

La regardant droit dans les yeux, il commenta :

- On parle de ta chatte, de ton con, de ta fente. Supplie moi correctement !

- Je vous en prie... Ramo... Ramonez moi la chatte !

Elle détestait user de telles mots. Il décida de ne pas la faire patienter plus longtemps, lui saisissant les fesses à deux mains il plongea sa bite dans sa fentine la faisant hurler de plaisir. Elle se suspendit à son cou alors qu'il l'empalait de plus en plus profondément à chaque coup d'estoc.

- Oh ouiiii. Baise moi... Encore. Oh ouiiiiiiiiiiii. Hurlait-elle l'encourageant à affirmer sa possession.

Il la baisait de toutes ses forces, la labourant rudement. Bientôt il la sentit succomber à un orgasme d'une force exceptionnelle. Il la laissa jouir. Comblée elle se laissa glisser au sol, mais il n'en avait pas fini avec elle. Pressant son visage contre sa bite il lui ordonna de la sucer. Il la baisait maintenant en bouche, l'encourageant à son tour :

- Oh oui ma petite chérie... C'est ça... Suce moi bien... Lèche ma bite.

Soudain son foutre fusa dans sa gorge.

- Ahhhhhhhhhhh... Oh ouiiiiiiiiiii... Ahhhhhhhhhhhhhhhhh...

Il se retira alors de sa bouche, projetant ses derniers jets de plaisir sur son visage.

- C'était formidable ! La félicita-t-il.

- Le jour où tu veux recommencer, tu sais où venir !

- Tu peux te nettoyer là ! Lui annonça-t-il lui désignant les toilettes.

Puis il se nettoya, se rhabilla, alla à la fenêtre et fit signe à ses deux jeunes copains qui discutaient dans leur voiture. Ils descendirent de la voiture et vinrent les rejoindre.

- Merci bien les gars... C'est vraiment une très chaude salope que vous avez déniché là ! Quelle suceuse ! Les complimenta-t-il en souriant à pleines dents.

- On te l'avait bien dit ! Rétorqua Ray hilare.

- Je parie que tu as adoré sa chatoune imberbe !

- Sur... C'était formidable ! Mais vous savez ce que j'aimerai surtout ?

- Oui on sait bien... On y travaille.

Ils continuèrent leur discussion ne se taisant que lorsque Susan revint dans la pièce.

- Hey Susie, Dave nous dit que tu t'es régalée !

Elle ne répondit pas.

- Allez. Laissons là rentrer chez elle. Dit Gary gentiment.

Ils la laissèrent partir sur ses mots.

A suivre...