dimanche 5 janvier 2025

Dans le bus Ch.02

Traduction d’un texte de creativeboyinspring

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Le calvaire de Yesnia continue.

Abasourdie et en état de choc, j’essaie de me dire que tout cela n’est qu’un rêve. Ou plutôt un cauchemar bizarre dont je vais me réveiller bientôt. Ça ne peut pas être réel, non ? Des trucs comme ça n’arrive pas aux gens normaux ? Ça ne peut pas arriver aux jeunes femmes de 19 ans intelligentes comme moi ?

Ce groupe de gothiques vicieux, qui sont sous l’emprise de la drogue, m’ont poussée à participer à ce voyage scolaire. Je sais que j’en fais tout un plat qu’ils aient fumé de l’herbe, car ce n’est pas de la mauvaise drogue. Mais pour moi, de la drogue c’est de la drogue. De toute façon, comme je suis une ringarde lâche, je suis montée dans le bus et je les ai laissés faire ce qu’ils voulaient avec moi, assise sur le dernier siège du bus.

Et je dis bien que je les ai laissés vraiment faire ce qu’ils voulaient. Car non seulement ils m’ont enlevé mon pantalon, ma culotte, mes chaussures et mes chaussettes, ils les ont lancés par la fenêtre du bus en marche. Je suis assise sur le siège du fond, les mains menottées aux côtés du fauteuil, mes gros nichons exposés ( qu’ils appellent des mamelles), mon chemisier couvrant ma tête et mon soutien-gorge pendant sur les côtés.

C’est vraiment horrible. En plus, pour rendre ma situation encore pire, ils ont utilisé le cordon USB de mon téléphone pour attacher chacun de mes seins. Je les sens pulser et palpiter, car le cordon coupe la circulation du sang tellement ils ont serré. Je ne vois pas à quoi ressemble ma poitrine, mais ce ne doit pas être trop joli.

Mais la pire chose qu’il m’a été faite, c’est Paul le chef de ce groupe qui m’a fourré sa bite dans la bouche. Il l’a bien enfoncée dans ma gorge et m’a baisé le visage. 

- Oh putain, je ne savais pas que la bouche d’une ringarde pouvait être aussi bonne. Gémit Paul en retirant sa bite de ma bouche.

Un peu de sperme et de salive restent sur sa queue quand il l’enlève complètement. Une fois qu’il l’a totalement retirée, je sens encore le goût du sperme dans ma bouche et au fond de ma gorge. J’essaie de ne pas penser au fait que je viens d’avaler son foutre, car mentalement c’est trop pour moi.

Maintenant que c’est fini je repense à la sensation de son membre dans ma bouche. Il a réussi à le mettre en me tenant le nez pour que j’ouvre la bouche pour pouvoir respirer. Une fois à l’intérieur, il a commencé à le faire entrer et sortir. Mais j’ai fermé mes lèvres autour. Sa bite a été la première dans ma bouche.

Aussi bizarre que ça puisse paraître, je n’arrive pas à croire que je viens de sucer une bite ? Je n’ai jamais pensé que je le ferais un jour. Ça me semblait si vulgaire que j’étais toujours révulsée à cette idée. Mais maintenant que je l’ai fait, je ne trouve pas cela aussi dégoûtant. J’ai toujours cru que le sperme aurait un goût horrible, mais ce n’est pas le cas. La texture était plutôt agréable dans ma bouche. Même son sperme, aussi dégoûtant que soit le personnage, n’avait pas le goût dégueulasse que j’ai toujours pensé qu’il aurait.

Plus tôt, ils avaient couvert mon visage avec mon chemisier, mais lorsque Paul a voulu violer ma bouche il a tiré le chemisier de façon à ce que ma bouche et mon nez soient découverts. Maintenant qu’il a eu ce qu’il voulait il a rabattu le tissu sur mon visage.

- Qui veut être le suivant ? 

Je l’entends poser la question alors qu’il remonte son pantalon tout en restant debout devant moi sur le siège. Je vois assez difficilement sous le tissu, mais je le regarde alors qu’il remonte son pantalon et qu’il boucle sa ceinture.

Je ne dis rien alors que je suis là, nue, exposée à tout le groupe qui me regarde comme si je ne suis qu’un jouet sexuel. Qu’est-ce qu’on dit dans cette situation ? Que dit-on quand on est pratiquement nue et menottée à l’arrière d’un bus après avoir sucé une bite ? Hé bien, je ne dis rien, car il y a des chances que d’autres étudiants puissent me voir. Et si ça arrive, je ne l’oublierai jamais.

- Attends une seconde !

C’est Lynn qui vient de parler. On dirait qu’elle pense à quelque chose. Mes émotions sont si confuses à ce moment que je ne sais plus quoi penser ou ressentir à ce qu’elle pourrait faire. Au son de sa voix, ma première pensée est de crier, car je ne veux pas qu’autre chose m’arrive, mais une partie au fond de mon subconscient est très excitée et veut une autre bite dans ma bouche. J’en veux plus, comme si c’était une drogue. Et le fait que deux filles aient regardé et n’aient pas essayé d’arrêter Paul m’excite aussi, je ne sais pas pourquoi.

- Si vous continuez à vous servir d’elle pour vous vider les couilles, Miss grosses mamelles pourra se plaindre que nous l’avons forcée à sucer des bites pendant des heures. Explique Lynn.

Elle veut faire comprendre quelque chose aux garçons qui ne voient pas clairement où elle veut en venir. Ils attendent la suite.

- Qu’est-ce que tu proposes alors ? Demande Paul assis sur le siège à côté du mien.

Le fait qu’ils parlent normalement alors que je suis nue et attachée me semble irréaliste. Pour rendre la chose encore plus incroyable, je ne prends pas la peine de refermer mes jambes depuis que Paul s’est placé entre elles. Si bien que ma féminité est exposée. Mais je sais que si je les ferme, ils m’ordonneront de les rouvrir.

- Faisons-la jouir ! Dit Lynn sur un ton vicieux.

En l’entendant dire ça, un nouveau sentiment de peur s’empare de moi. Je n’aime pas du tout ce qu’elle vient de dire. Il s’agit de sexe. Et je ne pense pas être prête pour ça. Je suis une fille bien. Je ne me masturbe même pas. Du moins, pas souvent. Et je ne pense pas pouvoir supporter mentalement qu’ils fassent vraiment l’amour avec moi.

- Faisons-la jouir et si ensuite elle nous dénonce, nous pourrons dire qu’elle le voulait. Et qu’elle en a bien profité, car elle a joui. Explique Lynn.

Je commence alors à secouer la tête pour dire non. Je ne parle pas, mais je secoue la tête pour leur faire comprendre que je ne suis pas d’accord avec ça. Qu’ils feraient mieux de ne pas le faire.

- Ce n’est pas une mauvaise idée. Dit Jessica, l’autre fille du groupe qui a l’air de bien aimer cette proposition.

Je ne peux voir correctement les expressions des visages à cause de mon chemisier, mais je sens qu’elle me fixe en parlant.

Encore une fois, je me sens étrangement excitée et humiliée que les filles me traitent ainsi, qu’elles n’essaient pas de m’aider, mais qu’elles m’humilient encore plus. Elles savent ce que je peux ressentir, mais elles s’en moquent. En fait je crois qu’elles prennent plus de plaisir que les garçons.

- Et ça ne peut pas être en la baisant ! Dit soudainement Lynn, comme si elle lisait dans les pensées des gars.

A ce moment il y a quelques gémissements des garçons comme si leurs mères leur interdisaient un jouet. Pendant un moment, je me demande s’ils font assez de bruits pour que les autres passagers du bus s’intéressent à nous. Ils ne pourraient peut-être pas voir mon corps nu, mais ils pourraient se demander pour quoi j’ai mon chemisier sur ma tête et venir voir.

- Comment est-on censé faire jouir cette ringarde alors ? Demande l’un des gars.

Lynn et Jessica soupirent de dépit en même temps ? Si cette scène se passait dans un film ou une série, je suis sûr que ce serait comique. Mais dans la vie réelle, c’est horrible.

- Tu es vraiment irrécupérable, tu le sais ? Dit Jessica.

Puis elle continue avec mépris :

- Tu ne sais rien des filles, ni comment leur faire plaisir. Je suis vraiment surprise que tu ne sois pas toujours puceau. 

J’entends alors du mouvement pendant qu’elle dit :

- Bouge ! Pousse-toi du chemin !

Je vois que le garçon s’écarte pour la laisser passer alors qu’elle était du côté des vitres. 

- Je vais te montrer comment faire. Nous n’avons pas toute la journée. Dit-elle encore avec mépris.

Je ne sais pas pourquoi je n’ai pas compris ce qu’elle voulait dire avant qu’elle s’installe entre mes jambes. Je me crispe d’horreur en réalisant qu’une fille est sur le point de me faire quelque chose. J’essaie de fermer les jambes, mais c’est trop tard. Elle se tient devant moi, entre mes jambes qu’elle empêche de se fermer. Si j’essaie encore, mes genoux se pressent contre ses jambes et je l’entends se moquer de moi.

Je la sens plus que je ne la vois, debout au-dessus de moi, regardant ma nudité et mon impossibilité de bouger. J’essaie de détacher mes mains, mais le cliquetis des menottes limitent mes mouvements. Bizarrement encore, entendre ce bruit et savoir à quel point je suis impuissante me donne chaud. Je voudrais m’enrouler en boule. C’est excitant, mais aussi vicieux et humiliant.

- S’il te plaît… Ne fais pas ça ! Supplié-je doucement tout en sachant que je ne pourrais pas l’arrêter. 

Je sens alors qu’elle se baisse. j’entends les gars respirer plus fort. Je ne vois que faiblement, mais je me rends compte qu’elle s’est mise à genoux sur le plancher du bus, sa tête entre mes jambes.

Je me crispe et j’essaie de reculer dans mon siège. J’essaie d’éloigner mon sexe. Mais je n’ai nulle part où aller et je n’ai pas reculé beaucoup. Je vois le contour de sa tête s’avancer entre mes jambes. Puis un objet chaud et mince touche mon clitoris. Je laisse échapper un gémissement et mon corps se tend encore plus. La chose remonte le long de mon clito puis redescend. Je sais à quel point il est chaud et humide. Je sais qu’il s’agit de sa langue, mais je ne veux croire que la langue de quelqu’un se trouve à cet endroit précis.

Je reste tendue alors qu’elle continue à lécher mon clitoris, lentement et doucement. Contre ma volonté je commence à me détendre. Je ne peux nier que j’aime cette sensation. Je n’ai jamais ressenti de tel auparavant. C’est très intime et agréable, tout en étant follement brûlant. C’est si bon. c’est comme si l’on donnait du plaisir à mon âme.

Je respire plus fort quand elle déplace sa langue sur les côtés de mon clitoris. Je sens mon corps se détendre entièrement alors qu’elle continue. Incapable de m’en empêcher, je ferme les yeux pour me concentrer sur cette sensation merveilleuse. Sa langue est si agréable qu’elle commence à presser plus fort en se déplaçant.

Ce n’est pas possible, ça ne peut pas arriver. Je ne suis pas lesbienne. Je sais que tout le monde est un petit peu introverti, que personne n’est vraiment à 100 pour cent hétéro ou homosexuel. Mais je n’ai jamais pensé que j’aurais une expérience avec une fille. C’est une chose dont je m’étais toujours demandé ce que ça pourrait être, mais que je me refusais à faire. Je suis une fille bien après tout.

Je gémis alors qu’elle commence à lécher plus rapidement et qu’elle appuie davantage sur mon clito. Le plaisir que je ressens, un plaisir sombre et honteux, me fait me sentir différente. Je sais que je commence à apprécier l’étrange sentiment d’être soumis à ces gens. Alors je la laisse me faire cet acte sexuel. Je pourrais crier, hurler ou me débattre violemment, mais au contraire, je reste assise et je la laisse faire.

Comme si elle sent mon acceptation, elle met ses mains sur mes genoux pour écarter encore plus mes jambes. Je gémis à nouveau, car c’est tellement vicieux. J’ai l’impression d’être une pute dans un porno, d’être juste une salope qui est là pour être baisée, que je ne suis bonne qu’à ça.

Un autre gémissement sort de ma bouche lorsque je sens ses mains toucher mes seins gonflés. Elles me caressent et me tripotent avec tendresse et rudesse. Puis les doigts se déplacent vers mes mamelons qui sont plus durs que de la pierre. Les doigts roulent mes tétons, les effleurent ce qui me fait encore gémir.

- Putain les gars, regardez la ringarde ! Cette salope aime ça ! Dit quelqu’un.

Je ne sais pas si c’est un mec ou une fille. Je me concentre sur la sensation qui vient de mon clito. Je le sens sur le point d’exploser à tout moment. C’est comme le centre de contrôle de mon corps. Dans un instant, il va lâcher et un orgasme m’envahira.

J’arque le dos alors qu’elle presse sa langue encore plus fort contre mon clitoris. Le plaisir est tel que je ne peux empêcher mon corps de réagir ainsi. C'est totalement hors de mon contrôle.

Le fait de savoir que c’est l’une des filles que je n’aime pas qui me lèche rend la sensation encore plus intense. Ce n’est pas un amant, une copine ou même quelqu’un de sexuellement attirant. C’est une fille qui pense qu’elle est meilleure que moi, une fille qui a aidé à m’attacher sur ce siège, une fille qui veut m’humilier. Maintenant, sa langue est dans ma chatte et elle me « dévore ».

Puis je le sens. Je suis sur le point de jouir. Il n’y a pas moyen que je me trompe ou de l’arrêter à ce stade. Cette fille est sur le point de me faire jouir simplement en me léchant le clito. Ma respiration est courte et s’accélère considérablement. Elle augment au fur et à mesure que la chaleur monte entre mes jambes jusqu’à ce qu’elle ne soit plus qu’un halètement. Je me sens si chaude et envieuse en même temps que je me sens honteuse et impuissante, alors que les vagues de plaisir sont sur le point de se déchaîner en moi.

- La ringarde est sur le point de jouir, regardez-la !

J’entends Paul se moquer. Je sens alors tous les regards posés sur moi. Ils me fixent alors que je suis nue et qu’une fille me lèche la chatte. Ils regardent mes seins serrés par un cordon qui se trémoussent et mes jambes qui s’écartent alors qu’elle me lèche dans le bus sans être vue.

Soudain ma tête est saisie et tirée en arrière. La personne qui fait ça est brutale et cruelle. Mon chemisier qui couvre mon visage est tiré à nouveau pour que ma bouche soit découverte. Alors que je suis au milieu d’un gémissement et que ma bouche est grande ouverte, on enfonce quelque chose dans celle-ci.

C’est quelque chose de très gros qui étire ma bouche. C’est gros et dur. J’ouvre les yeux et je regarde vers le bas. Je distingue ma propre trousse à crayons qui dépasse maintenant de ma bouche. Ils ont enfoncé la moitié alors que l’autre moitié dépasse. Ainsi je suis bâillonnée.

- Comme ça, personne ne l’entendra ! Dit l’un des gars.

Comme de juste mes gémissements sont instantanément réduits au silence. Ils meurent dans ma gorge, car ils ne peuvent plus s’échapper de ma bouche. Et ça semble arriver juste à temps, car, un instant plus tard, je jouis.

Mon corps se crispe à nouveau et je commence à trembler quand l’orgasme me frappe. Quand ça commence, Jessica appuie avec force sur mes genoux pour les obliger à rester écartés. Mon dos se cambre alors que les vagues de plaisir m’envahissent. Mais elle n’arrête pas de lécher. Elle sait exactement ce qui se passe, mais elle continue à lécher ma chatte, sachant qu’il s’agit d’une torture pour moi.

Les vagues déferlent alors que l’orgasme traverse mon corps. Ces vagues de plaisir sont si fortes et si intenses que mes yeux roulent dans leurs orbites. Elles passent sur moi l’une après l’autre si bien que bientôt je ne suis plus dans un bus scolaire, molestée par des brutes. Non, je suis dans les nuages, en train de ressentir une félicité céleste, vague après vague. C’est un plaisir que je n’ai jamais ressenti auparavant. Je n’ai jamais été amené à un orgasme aussi intense. Jamais par un homme et encore moins par une femme.

Haletante et ayant l’impression que je vais m’évanouir, je gémis dans mon bâillon alors que les vagues de l’orgasme continuent à arriver et que Jessica continue à jouer avec mon clitoris. J’ai l’impression que cela ne s’arrêtera jamais, mais heureusement l’intensité commence à diminuer, me permettant de penser clairement à nouveau. Chaque vague de plaisir devient moins forte que la précédente. Jessica arrête alors de me lécher. Elle sait que je suis épuisée.

Affalée sur le siège, mon corps entier est en sueur et fatigué. Je n’ai jamais ressenti quelque chose comme ça. Je respire fort avec l’étui à crayons dans ma bouche, mes seins qui pendent lourdement et les jambes écartées, une fille toujours entre elles. 

- Voilà messieurs, c’est comme ça que l’on fait. J’espère que vous avez appris une chose ou deux ! Déclare Jessica en riant.

Puis, comme si nous n’avions pas partagé de moment spécial et intime, elle se lève et s’éloigne de moi. Elle retourne s’asseoir à sa place, me laissant l’air stupide. Je me sens idiote.

Plusieurs secondes passent sans qu’aucun d’entre eux ne dise quelque chose. Je pense qu’ils se contentent de me regarder alors que je suis fatiguée et tremblante. Ils regardent la ringarde qui a été amenée à l’orgasme comme une attraction porno. Ils voient ce qu’ils ont fait à l’intello, comme ils l’ont faite jouir. Maintenant eux et moi le savons. Ils pourront aisément me mettre dans l’embarras en le disant à tout le monde en riant.

- Si personne d’autre ne veut rien faire, alors j’y vais ! Dit l’un des garçons.

Je le sens alors bouger de son siège jusqu’à ce qu’il soit près du mien. Comme Paul et Jessica, il s’installe entre mes jambes. A ce moment-là je suis tellement fatiguée et je me sens l’esprit tellement brumeux que je n’essaie même pas de fermer les jambes.

- J’ai voulu faire ça dès que je les ai vus. Il n’y en a pas beaucoup d’aussi gros pour faire ça. Explique-t-il en débouclant son pantalon avec empressement.

Je l’entends, mais je ne fais aucun effort pour l’arrêter. Je sais que je ne peux pas de toute façon. Impuissante en étant menottée et bâillonnée, je me sens aussi très faible après mon orgasme. Je suis tellement fatiguée que je ne pense pas pouvoir faire quoi que ce soit, même si je n’étais pas menottée.

- Tu devrais enlever la trousse à crayons si tu veux utiliser la bouche de cette ringarde ! Dit Paul.

Les autres rient, mais le garçon devant moi ne le fait pas.

- Qui te dit que je veux faire ça ? Demande sérieusement le gars.

A travers le chemisier je vois qu’il baisse son pantalon jusqu’à ce que son membre sorte. Je ne sais pas pourquoi, mais au lieu de détourner le regard, je le regarde. Je veux voir à quoi ressemble sa bite. Ce qui s’est passé avec Paul est arrivé si vite que je n’ai même pas pu voir sa queue. Je n’en ai jamais vu de près, car j’ai toujours pensé qu’elles étaient dégoûtantes. Mais maintenant ? Maintenant, elles me semblent être de nouveaux jouets, quelque chose d’amusant avec lesquelles on peut jouer, quelque chose que j’ai envie d’utiliser.

- Ne dites rien sur ma bite ! Dit le garçon sur un ton mi-sérieux, mi-blagueur.

Il attrape alors l’arrière de ma tête et me tire en avant. Je ne comprends pas, car il rapproche ma bouche de sa bite, mais j’ai toujours ma trousse dedans. Je ne vais rien pouvoir faire.

Mais un frisson de peur traverse mon esprit engourdi lorsque je sens qu’il glisse sa bite entre mes seins. Il passe son membre raide entre mes seins et le fait bouger de haut en bas. Je sens la chaleur de son membre. Ensuite il donne plusieurs claques sur un sein puis sur l’autre pour les faire se trémousser.

Je veux dire quelque chose, car ce qu’il veut faire devient clair. Il veut utiliser mes seins pour se branler. Cette idée est trop dégoûtante pour moi alors j’essaie faiblement de me débattre pour que ça n’arrive pas. Je bouge mes mains une nouvelle fois pour essayer de me libérer et le repousser, mais biens sûr, je n’y arrive pas. Je commence alors à secouer la tête pour dire non, pour lui faire comprendre que je ne veux pas. 

- M’y voilà, entre ces deux gros ballons de basket ! Dit-il en plaçant à nouveau son sexe entre mes seins. Puis il attrape chacun d’eux pour les presser ensemble. Il les écrase l’un contre l’autre et sa bite disparaît. Je ne bouge plus, car je sais que je ne peux rien faire.

Il est sur le point de se branler dans ma poitrine, il va vraiment le faire. Oh non ! Est-ce que ça va faire mal ? J’ai bien vu des vidéos où ça se produisait, mais les actrices pornos étaient dans l’eau ou couvertes d’huile. Et mes seins sont beaucoup plus gros que ceux dans les vidéos. De plus ils sont entourés d’un cordon. 

- Oh ouais ! Dit-il alors qu’il presse mes gros nichons contre sa queue et qu’il les maintient en place. Puis il commence à soulever mes seins ensemble avant de les faire redescendre. Il répète l’opération, déplaçant lentement mes seins de haut en bas autour de sa bite. Il semble apprécier la douceur et la chaleur que ma poitrine procure à sa queue.

Je sens bien son membre entre mes seins, je sens bien ses mains qui les écrasent. Je parie que demain, j’aurais les empreintes de ses mains qui seront restés sur ma chair, tellement il appuie. Pourtant je n’ai pas mal. C’est vicieux, mais ce n’est pas désagréable. Je me sens différente.

Maintenant il commence à accélérer le mouvement en faisant bouger mes seins de haut en bas sur sa bite. Un moment plus tard, je le sens pousser à chaque fois qu’il ma poitrine vers le bas. Puis il va de plus en plus vite. 

Il me baise les seins. Je suis en train de me faire baiser la poitrine. J’ai une grosse bite entre mes seins. La fille intelligente qui a gagné quatre années de suite le prix scientifique de l’université se fait baiser les seins. Oh mon Dieu, qu’est-ce que le jury ou les profs penseraient de moi s’ils savaient ?

- oh putain ouais je baise ces gros nichons avec ma bite. Et toi, espèce de grosse salope ringarde, tu vas rester assise là et subir. Ouais, j’utilise tes grosses mamelles et tu ne peux rien y faire. Gémit le garçon en faisant rebondir furieusement ma poitrine sur sa bite. Pourtant j’ai l’impression qu’il dit tout cela plus pour lui que pour moi.

Je sens la chaleur dans mon corps et je ne sais pas pourquoi, mais je sens que je suis de nouveau excitée. Pourtant ce n’est pas la sensation de plaisir dans mon sexe. C’est juste… Embarrassant. Je pense que c’est pour ça que c’est excitant. Le fait que ce soit vraiment humiliant rend cette sensation vicieusement bonne. Mes seins ne sont pas vraiment faits pour ça.

Il me baise les seins. Ils sont si gros qu’il peut me faire ça sous les regards de ses amis. Il utilise ma poitrine comme un objet de plaisir, comme un outil sexuel. Et je trouve ça sacrément excitant, que je veuille l’admettre ou non. Ça me donne presque envie de lui dire de me baiser plus fort.

- Oh putain ! S’exclame-t-il soudain.

Je sens alors quelque chose de chaud entre mes seins alors qu’il les tient immobile. C’est comme si on avait jeté de la colle chaude sur moi ou quelque chose dans ce genre. Puis je le sens une nouvelle fois, puis encore une autre.

- Putain mon salaud, tu as joui sur ces mamelles d’intello ! Dit Paul, énervé.

Je sursaute en l’entendant et je sens la substance gluante commencer à descendre lentement. Il a joui sur moi ! Il a éjaculé entre mes seins !

Je sens la chaleur de son sperme qui se répand et je suis dégoûtée. Mais ça m’excite. Dans les pornos, les filles se font toujours asperger de sperme sur le visage, les seins ou le cul. C’est ce qu’il vient de faire. Il a baisé ma poitrine et il a éjaculé dessus. Pour la première fois, je me sens très féminine et très sexy. Ça ne me ressemble pas du tout bien sûr. Je sais que c’est plus qu’humiliant. Il vient de me traiter comme une pute, mais je n’ai jamais ressenti ça auparavant. C’est loin de ce que l’on peut penser d’une bonne fille.

- Qu’est-ce qu’on va faire maintenant avec elle ? Demande un autre gars alors que celui qui vient de me baiser les seins remonte son pantalon.

Il le fait devant moi, juste après avoir essuyé sa bite sur ma peau tendre. Il devrait partir, mais il ne le fait pas. Au lieu de ça, il attrape la trousse à crayons que j’ai toujours dans la bouche et il la retire un peu, pour ensuite l’enfoncer lentement. Il le fait encore et encore, en disant que je la suce comme une bite. Ça le fait rire ainsi que tous les autres. 

- D’abord on la nettoie, car je ne touche pas le sperme d’un autre mec. Ensuite… je pense qu’elle mérite d’être punie pour nous avoir laissé lui faire tout ça, vous ne croyez pas ? Peut-être une bonne fessée, et un claquage en règle de ces mamelles ? Et après ça ? Je dis qu’il est temps de s’amuser un peu. Dit Paul en riant.

Les autres rient aussi et me laisse gémir alors que le sperme descend sur mon ventre et que l’autre continue de me baiser la bouche avec ma propre trousse à crayons.

Je continue de gémir en pensant qu’il reste encore des heures avant que nous arrivions à destination.

A suivre…

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