samedi 11 janvier 2025

Victime de chantage - 5ème partie

 Bande dessinée de ARDEM (1997)

*****
A suivre...

jeudi 9 janvier 2025

Dressage d’une quadra Ch. 01

 Récit de Patricia2 (2010)

*****

Le chantage, ma prise en main.

J’ai 42 ans, mignonne, paraît-il, bien conservée, brune aux yeux gris, cheveux mi-long, plutôt snobinarde, je le reconnais. Notre couple fonctionne moyennement, mais insatisfaite dans le domaine de la sexualité, et je l’avoue à 42 ans une expérience restreinte.

J’écris régulièrement mon journal intime sur ordinateur, ma vie, mes désirs, mes fantasmes, mes insatisfactions sexuelles (mon mari n’est pas très sexe). Je consulte souvent internet et passe beaucoup de temps à scruter les sites SM, (mon mari étant souvent en déplacement professionnel). J’ai même passé une annonce sur un site SM, afin trouver un couple ou homme qui me permettrait de me faire vivre mes fantasmes en toute discrétion. J’eus de nombreuses réponses, discussions, quelques rencontres mais pas le déclic du passage à l’acte avec les personnes rencontrées, peut être aussi par sécurité.

Je passe des soirées à lire les annonces, lire des histoires SM, en me caressant devant mon ordinateur. Tout ceci est transcrit scrupuleusement sur mon journal agrémenté de photos et histoires érotiques très orientées SM que j’ai appréciées et recopiées, des situations dans lesquelles j’aurais aimé me trouver, avec cette obsession de connaître le fouet, d’être contrainte.

Puis, un jour, dans ma boite mail (dédiée au SM), je reçus un message qui me troubla :

« Bonjour Patricia, vous avez un journal intime très instructif, vos lectures, photos, ainsi que vos écrits ne laissent aucun doute sur vos frustrations sexuelles »

Comment a-t-il pu lire mon journal intime ? qui est-il ?. Il semble bien me connaître.

« Qui êtes-vous ? ».

J’attendis la réponse avec impatience, curiosité et anxiété.

« Bien sûr que je vous connais, mais beaucoup plus depuis la lecture de votre journal. Signé : un ami qui vous veut du bien »

« Que voulez-vous ? »

« Vous faire vivre vos envies. Vous êtes une femme sophistiquée, joueuse, débordante de fantasmes, d’envies avouées, vous aimez l’humiliation, le masochisme, les nombreuses frustrations, un peu rebelle, prête à être guidée, ne demandant qu’à être utilisée. »

« Je vous propose donc mes services afin de réaliser en toute discrétion et sécurité, vos fantasmes clairement exprimés et avec détails, ce qui me permettra d’utiliser au mieux vos frustrations pour vos plus grands plaisirs. Vos lectures, très orientées et instructives m’ont permis de connaître vos attentes. D’ailleurs, avez-vous le choix ? Préférez-vous que votre journal soit transmis par inadvertance à vos proches ? »

A ce moment je fus prise de panique.

« Ceci est-il un chantage ? »

« Non, pas du tout, c’est un service que je vous rends, mais rencontrons-nous, nous en discuterons, vous viendrez en jupe courte, chemisier. »

Je cogitai à ce que j’allais faire : tout dire à mon mari ? Et mon entourage ? Le mieux était de rencontrer cette personne, comment avait t-il bien pu se procurer mon journal ? Qui est-il ? Une certaine envie se dessinait en moi, troublait mes sens, cela n’était-il pas l’occasion de franchir le pas ?

Je me décidai à le rencontrer, le rendez-vous fut fixé dans un café. J’étais nerveuse, je n’avais cessé de penser à cette rencontre. Il connaissait tout de mes désirs les plus intimes, j’en avais honte. J’en rêvais la nuit et me caressais en pensant aux situations auxquelles j’allais être contrainte.

Le jour arriva, je me rendis à ce rendez-vous. J’entrai dans le café, je scrutai la salle, ne vis personne de mes connaissances, je m’installai à une table. A ma stupéfaction je vis entrer un ami de mon mari, il se dirigeât vers ma table.

- Bonjour Patricia, comment allez-vous ? Vous attendez quelqu’un ?

Comment répondre, était-ce le hasard ou était-ce bien lui ?

- Oui, j’attends quelqu’un, mais …

Que dire ?

- Attendez-vous une personne qui connaît tout de vos désirs sexuels ?

Je devins rouge.

- Oui, c’est cela, où avez-vous eu mon journal ? Demandai-je en bafouillant.

- C’est simple, c’est vous qui me l’avez donné lorsque je vous ai demandé de transférer sur ma clef USB des documents d’ordre juridique, la dernière fois que je suis venu chez vous. Vous avez dû faire une fausse manœuvre, vous tromper de dossier, bref je me suis retrouvé avec votre journal très intime. Aujourd’hui, je te propose mes services pour te faire vivre tes désirs les plus intimes pendant une période de 4 mois. Ton mari n’en saura rien, il est fréquemment en déplacement, tu n’as pas d’enfant et tu es actuellement en congés. Ton mari est absent pour 3 semaines, donc, nous nous verrons tous les jours pour un stage intensif, j’ai pour l’instant beaucoup de temps de libre, je viens de vendre mon entreprise. A la suite de ces quatre mois, je détruirais ces documents seulement SI tu m’as donné entière satisfaction. Mais je ne m’inquiète pas trop à ce sujet, je dispose de certaines méthodes qui t’aideront à parvenir à ce résultat.

- Je dois réfléchir. Quelles méthodes ?

- Ta décision doit être immédiate, la seule réponse que j’attends de ta part est : « Je suis prête à vous obéir totalement et à vous donner la satisfaction que vous êtes en droit d’exiger de moi »

Il me tutoyait déjà comme s’il était sûr de ma réponse. Mon cœur battait la chamade, j’avais tellement envie de dire oui. Pierre était un homme agréable de 50 ans qui inspirait confiance, divorcé, ami de mon mari, je me voyais déjà nue devant lui, cela me troublait beaucoup.

- Qui me dit que ce chantage ne se poursuivra pas au-delà des 4 mois ?

- Ma parole, et tu sais par expérience que j’ai toujours tenu parole.

Il sortit un carnet de sa poche, écrivit la phrase qu’il m’avait demandée de prononcer, me tendit le feuillet.

- Un peu de courage, tu en rêves tant !

Je savais avant de venir que si la personne qui me ferait cette proposition indécente me convenait, je dirai oui, alors je me lançai :

- Je suis prête à vous obéir totalement et à vous donner la satisfaction que vous êtes en droit d’exiger de moi.

- Voilà, tu ne me déçois pas. A moi de combler tes attentes, ton dressage débute dès à présent, car c’est bien de ton dressage dont il s’agit.

Je fus choquée par le mot dressage, c’est pourtant bien de cela dont il s’agissait.

- Tout de suite ? Mais j’ai un rendez-vous ! Dis-je comme pour retarder l’instant, une sorte de dérobade.

- Tu décommandes ! Répliqua-t-il d’un ton sec.

Je me levai, le suivis. Nous prîmes sa voiture. Pendant le trajet, je pensais que j’avais mis le doigt dans l’engrenage, j’étais émue, fébrile, anxieuse et impatiente de connaître ce qu’il me réservait. Il posa sa main sur ma cuisse gauche tout en conduisant, puis la remonta vers le haut de mes cuisses. Instinctivement je serrai les jambes.

- Lorsque je te caresse une cuisse comme je le fais, tu remontes ta jupe et tu écartes les jambes, plus je remonte ma main, plus tu remontes ta jupe et plus tu écartes les cuisses. Ouvre le gantier, prends le collier de cuir qui s’y trouve et passe-le à ton cou !

Je fus stupéfaite, mais consciente que j’étais à présent en dressage. Le collier était muni de quatre anneaux, je le passai. Pendant le trajet, il me fit des recommandations :

- Lorsque tu seras avec moi, tu devras porter une jupe courte, pas comme celle-ci. Moulante, mais ample de façon à ce que tu puisses être rapidement troussée, et, naturellement sans culotte, cela facilite l’inspection ou la pénétration. Je ne te désire pas passive, mais tu dois participer activement à ta propre domination, c'est-à-dire pas simplement te donner, mais t’abandonner, offerte au maximum, aux regards, attouchements, aux pénétrations, je t’apprendrai.

J’aurais voulu que ce trajet dure des heures, mais nous arrivions déjà à sa maison. Le portail s’ouvrit, je connaissais cette maison pour y avoir été invitée plusieurs fois avec mon mari, intérieur très rustique, presque médiéval.

La voiture stoppa, il me fit descendre, je le suivis, il ouvrit la porte. Mon cœur battait de plus en plus fort, j’avais envie d’entrer et en même temps de partir en courant. Il me fit passer devant, j’allais devoir me soumettre à lui, mais bien plus vite que je ne le pensais, sans préliminaires (je sentais mon sexe déjà très humide, j’en avais honte).

Il s’assit dans un fauteuil.

- Je ne t’invite pas à t’asseoir, mais à te déshabiller. Mets-toi au centre de la pièce et à poil devant moi, je désire voir comment tu es faite.

Je fis quelques pas. Je pensai que ce dont je rêvais depuis longtemps et redoutais en même temps allait m’arriver, mes jambes tremblaient. Je lui fis face, commençai à dégrafer mon chemisier, l’ôtai. Mes doigts tremblaient, j’étais maladroite. Je le laissai tomber à terre, je ne savais où porter mon regard. Retardant le plus possible le moment d’être nue, je fis glisser la fermeture éclair de ma jupe qui tomba à mes pieds. Je ne portais pas de bas, il faisait trop chaud. Je dégrafai mon soutien-gorge, qui suivit le même chemin que le chemisier et la jupe. Enfin mon dernier rempart, je fis glisser ma culotte.

- Conserve tes chaussures à talons hauts, cela fait plus catin !

Mes mains le long du corps, je ne savais qu’en faire.

- Mets tes mains derrière ta tête, les bras bien en arrière pour tendre ta poitrine, et écarte bien les jambes. Lorsque, par la suite, je t’ordonnerai de te déshabiller,tu prendras cette position, que nous soyons seuls ou en présence d’autres personnes.

Je m’exécutai en disant :

- J’aurai à faire cela devant d’autres personnes ?

- Ce sera à moi d’en décider le moment venu.

Nue devant Pierre, il me détaillait en commentant :

- Jolis seins assez hauts placés, pas trop gros ni petits, bien fermes. Tes tétons sont déjà en érection, cette situation semble t’exciter. Tu es bien proportionnée, jambes fines, bassin assez large, qui invite à te prendre sans ménagement. D’ailleurs dans ton journal tu écris que tu aimerais être prise de la sorte, être violée. Ta chatte est bien lisse, ce qui permet de voir aisément ta fente.

C’était une inspection minutieuse, je me sentais comme un simple objet.

- Avec deux doigts, pénètre ta chatte et dis-moi si elle commence à mouiller et regarde-moi dans les yeux !

J’avais honte (je savais être inondée). Ma main descendit entre mes jambes, je me pénétrai.

- Oui, elle est humide !

- Masturbe-toi !

- Je vous en prie, pas comme ça devant vous !

- Souviens-toi de la demande que tu m’as faite : vous pourrez tout exiger de moi !

Je commençai à me caresser le clitoris, puis enfonçai mes doigts dans mon vagin, j’étais inondée. Je  les fîs aller et venir, cette situation humiliante m’excitait, je commençai à ne pouvoir retenir des gémissements. J’avais rêvé d’être humiliée de la sorte, j’étais servie au-delà de mes espérances. J’entendis ses commentaires :

- Jolie femelle sophistiquée, à poil, sur ses hauts talons qui se masturbe, les cuisses bien écartées, devant un presque inconnu, tu es indécente Patricia, mais je sais que tu adores.

Il m’interrompit à mon regret et en même temps je fus soulagée.

- Viens me rejoindre, mets-toi à plat dos sur cette table basse, replie tes jambes vers ta poitrine, et ouvre bien tes cuisses !

Jugeant que je n’écartais pas assez les cuisses, il me les prit et les écarta avec brutalité.

- Bien ouverte, ta chatte doit toujours être prête à être fouillée, utilisée.

Il y enfonça deux doigts.

- Tu mouilles à ravir ma pimbêche, cette chatte est très prometteuse, bien serrée au repos, et qui s’ouvre dès qu’elle est un peu sollicitée. Nous verrons jusqu’à quel point tout à l’heure. En attendant, continue à te masturber jusqu’à l’orgasme que je vois un peu comment tu fais, j’ai une très belle vue d’ici.

Je m’imaginai dans cette position indécente, je me vis comme si mes yeux avaient quitté mon corps et me regardaient de l’extérieur. Je poursuivis ma masturbation, le désir montait de plus en plus en moi, je haletai, mon corps s’anima des spasmes d’un orgasme.

Il me laissa ainsi, dans cette position, je ne sais combien de temps, je devais avoir l’air maligne. Il mit un disque de Gainsbourg, mais un coup de sonnette retentit à la porte. Je paniquai :

- Oh non Pierre, je vous en supplie, pas ça !

- C’est à moi de décider ce qui est bon pour toi !

- Oui, je le sais, mais pas tout suite !

- Reste comme cela, ne bouge pas !

Il sortit. J’avais la honte de voir entrer un homme, peut être plusieurs ou une femme. Il resta un long moment dehors, je n’osai bouger. Je surpris mon sexe s’inonder une nouvelle fois, finalement ne le désirai-je pas au fond de moi ? Je me faisais honte. Finalement, il revint seul.

- Debout, mets-toi à quatre pattes sur cette table que je puisse voir à quel point ta chatte peut s’ouvrir ! dit il en me désignant la table plus haute.

Je ne pensais plus qu’à une chose, obéir. Je grimpai sur la table et me mis dans la position qu’il m’imposait.

- Ta croupe bien en l’air, ta tête sur la table et cambre-toi bien !

Je reçus deux claques sur les fesses :

- Je crois t’avoir déjà dit d’écarter les cuisses ma belle, ta chatte doit être bien ouverte et accessible, prête à être pénétrée, je ne te le répéterai plus !

Je fis de mon mieux. Je l’entendis faire quelques pas, s’éloigner, fouiller dans un tiroir.

- La snobinarde le cul en l’air, la chatte en attente, on dirait une femelle attendant d’être saillie !

Il revint, je sentis ses doigts me pénétrer, puis il les remplaça par un gode qu’il fit aller et venir en moi, puis il prit un gode beaucoup plus gros qui me pénétrai au plus profond de moi. Sans même avoir à le faire aller et venir je fus prise d’un nouvel et violent orgasme.

- Tu promets Patricia, je crois que nous allons passer de bons moments ensemble, tu sembles pouvoir avoir des orgasmes à répétition. J’adore voir des femmes comme toi, passer de bourgeoise à catin

Il me fit descendre de la table, me fit mettre à genoux, sortit son sexe et m’ordonna de sucer. Je n’avais jamais sucé aucun homme à genoux, son membre était de longueur moyenne, mais très épais. Je le décalottai, l’enfonçai dans ma bouche, le fît aller et venir, tout en ayant peur de l’éjaculation, je n’avais goûté qu’une fois au sperme et ensuite j’avais toujours refusé d’avaler. Il se retira sans éjaculer

- A présent, tu t’assieds à genoux devant moi !

Il s’installa sur le canapé.

- Lorsque tu suces, tu n’y mets pas assez d’ardeur. Lorsque tu arrives à un orgasme, tu ne manifestes pas suffisamment ton plaisir, comme si tu te retenais par honte, tu te donnes un peu, mais tu ne t’abandonnes pas. Je n’ai pas apprécié tout à l’heure lorsque tu m’as demandé de ne pas faire entrer la personne qui a sonné, c’est à moi de juger ce qui est bon pour ton dressage. Afin de t’y aider, comme promis, je vais te libérer de ta pudibonderie, tu vas connaître ta première punition pour ton comportement. Dans ton journal, les mots « être fouettée » reviennent assez souvent, je vais donc te faire connaître ce merveilleux instrument. Il y a le fouet qui donne du plaisir et le fouet qui sert à punir. Aujourd’hui tu vas faire connaissance avec le fouet qui punit pour ne t’être pas abandonnée et ne pas sucer correctement, le fouet fait partie des moyens dont je dispose pour te dresser. Lorsque tu auras à sucer d’autres hommes, je veux être fier de toi.

Il se dirigea vers le centre de la pièce, installa une potence à un crochet fixé à une poutre du plafond, m’invita à venir le rejoindre, me passa un bracelet à chaque poignet et les attacha à la potence. Mes bras n’étaient pas tendus, mais laissaient un battement. Un grand miroir sur le mur en face de moi reflétait mon corps. Il s’installa sur une chaise en face de moi. Tout en détaillant mon anatomie il me dit :

- Je ne veux pas t’entendre dire « arrêtez, cela me fait mal » ou autres mots de la sorte, ton seul droit est de pleurer et crier si tu en as envie. Il te restera quelques traces de ces nécessaires sévices que tu m’obliges à t’infliger, mais ton mari étant absent pour 15 jours, celles-ci auront le temps de disparaître.

Après m’avoir détaillée un long moment, il se leva et alla chercher un fouet. Je sentis les lanières me caresser mes épaules, ses mains me caressaient aussi, c’était bon. Mais après m’avoir longuement caressée différentes parties de mon corps avec ses mains et le fouet, je sentis l’objet entrer en action sur mes fesses, mon dos. Au départ avec douceur, lenteur, comme s’il réfléchissait de l’endroit exact ou il devait me frapper.

Puis, la cadence s’accéléra, tantôts sur mes fesses, mon dos, mes cuisses. Cela m’était plus qu’agréable, j’avais envie de lui demander encore, ma chatte s’humidifiait de plus en plus, elle devait être dégoulinante, j’avais une forte envie de serrer les cuisses tellement j’étais inondée. Puis il me fit face, pinça le bout de mes seins, les fit rouler entre ses doigts, je sentis le désir de jouir monter en moi. Je sentis sa main descendre le long de mon ventre, atteindre mon clitoris, le caresser doucement, puis un doigt, deux doigts, trois doigts s’introduisirent en moi pour aller en venir, je commençai à haleter. Il me dit alors :

- Ta chatte ne demande qu’à s’ouvrir. D’ailleurs c’est ce qu’elle fait, aimes-tu l’alternance du fouet et des caresses ?

- Oui c’est bon !

- Bon ou très bon ?

- Très bon, magnifique !

- Magnifique, enfin un mot qui vient de toi sans que je sois obligé de te l’extirper, aimerais-tu que je continue ?

- Oui, beaucoup, j’adore cela, s’il vous plaît pouvez-vous continuer ,

J’étais entrée dans la peau d’une femme soumise à ses sens.

- Voilà ce que j’attends de toi, que ce genre de demande te vienne naturellement sans que je sois obligé constamment de te le faire reconnaître, que tu participes toi-même et activement a ta propre soumission, que tu progresses. Mais je t’ai moi-même fait une promesse, celle de te punir, de te faire connaître ce qui t’attends si tu ne donnes pas satisfaction, ou cela pourra aussi t’être infligée pour mon propre plaisir.

Il me mit un bandeau sur les yeux. Ses caresses cessèrent à mon grand regret, je sentis alors que la véritable punition allait arriver.

-Cambre-toi bien et offre ta croupe, et surtout, tu restes bien cambré !

j’entendis le fouet siffler, une douleur fulgurante sur les fesses puis deux, trois, mon dos, l’arrière de mes cuisses. Tous les vingt coups que je devais compter, je devais le remercier de bien vouloir me punir. A chaque coup une cuisante brûlure, je sentais mon dos, mes fesses, mes cuisses devenir du feu, je trépignais sur place, je grimaçais, les larmes coulaient sur mon visage, je tirais en vain sur mes liens.

- S’il vous plaît !

- Il ne me plaît pas pour le moment ! Devant maintenant !

- Non, s’il vous plaît, pas devant, je m’appliquerai, je m’abandonnerai, je deviendrai catin !

- C’est pour t’aider à progresser plus rapidement, sans appel possible.

Mes supplications furent vaines. J’entendis le fouet et sentis ses morsures sur mes cuisses, mon ventre. Mes seins ne furent pas épargnés. Avec le bandeau je ne pouvais voir quelle partie de mon corps il choisissait.

Mon imagination travaillait, je me remémorais la photo d’une jeune femme que j’avais vue et copiée sur internet ou l’on voyait celle-ci attachée comme je l’étais à présent et derrière elle la silhouette d’un homme une cravache à la main. Sur le visage de cette femme on pouvait lire la souffrance, j’avais souvent regardé cette photo avec fascination, envie d’être à sa place. 

Je me mise à hurler en sanglotant de douleur.

Il stoppa, me détacha, m’ôta le bandeau, m’embrassa avec délicatesse, avec attention. Sa langue chercha la mienne, ma langue la sienne, puis, avec fougue, j’enlaçai sa tête avec mes bras, j’étais heureuse, je me sentais vaincue, je lui susurrai à l’oreille :

- Puis-je vous sucer, j’en ai très envie ?

Pour seule réponse : 

- Bonne initiative, voilà comment tu dois te comporter !

je m’agenouillai devant lui, pris son membre dur comme du fer, l’engloutis au plus profond de ma gorge. Tout en lui caressant les bourses, je m’appliquai le plus possible avec ardeur et douceur à la fois, je sentis la sève arriver, il se vida dans ma bouche par jets, j’avalai avec plaisir. La quantité était importante, je le bus jusqu’à la dernière goutte, comme pour le remercier de m’avoir faite vivre cela. Pendant que je pratiquais cette fellation, je me sentais devenir de plus en plus soumise à mes sens, sans retenue, j’en éprouvais un infini plaisir.

- Tu vois, tu as besoin du fouet pour te dresser, pour te laisser aller à tes instincts !

Il me prit par les épaules, m’entraîna dans sa chambre, me fit allonger à plat ventre sur le lit, me passa une pommade apaisante sur le dos, avec douceur. C’était bon. Puis, il me fit me mettre sur le dos, et me caressa tout le corps avec cette pommade. En même temps il me parlait doucement :

-Tu es en train de vivre tes fantasmes, déçue ?

- Non, pas du tout ! bien au contraire, je vous remercie, je m’abandonnerai à vous avec plaisir, mais qui sont ces hommes auxquels vous désirez me livrer, si j’ai bien compris ?

- Chaque chose en son temps, mais cela fait partie de tes fantasmes écrit sur ton journal ! Maintenant je vais te prendre !

Il m’attacha une main à une colonne du lit, fit glisser un coussin sous mes reins, j’écartai les cuisses pour m’offrir de mon mieux.

-Pense à moi, à ta chatte, au fait que je vais te prendre, caresse-toi avec ta main libre, je reviens.

Je commençai à me caresser, ma chatte se lubrifiait de plus en plus. Il revint, m’ôta le trop de cyprine, attacha ma main libre à l’autre montant du lit, me pénétra d’un seul coup, puis il me besogna sans ménagement, bien à fond. Lorsqu’il s’apercevait que l’orgasme arrivait, il ralentissait, puis reprenait, je crus qu’il allait me faire devenir folle. Je haletai, criai sans retenue, le suppliai de me faire jouir, le remerciai du plaisir qu’il me procurait. Il me fit dire que je voulais devenir une véritable catin. Il était véritablement machiavélique. Finalement il me donna cet orgasme tant attendu, j’explosai, je n’avais jamais connu cela de ma vie, ce mélange de plaisirs, d’humiliations, de reconnaissance. J’étais fatiguée, mais tellement détendue, heureuse.

- Demain nous irons t’acheter quelques vêtements et divers objets de soumission, je te veux toujours obéissante, n’oublie jamais que tu dois participer activement à ta soumission et prendre des initiatives. Je te raccompagne chez toi, et tu viendras ici, chez moi, à 10h00 précise, nous irons dans un sex-shop pour t’acheter des vêtements et accessoires qui te seront attitrés pour ta nouvelle condition.

- Je ne regrette pas d’avoir été étourdie en te copiant mon journal sur ta clé USB.

A suivre...

mardi 7 janvier 2025

Faire chanter sa superviseuse.

 Traduction d’un texte de Swimstar82 (Inédit)

*****

- Salut Tasha ! Dit Jason en se dirigeant vers l’endroit où la superviseuse au centre aquatique surveille la grande piscine.

- Salut Jason ! Dit la femme, les yeux pétillants.

Tasha est mariée et a trois enfants. Elle est employée au centre aquatique depuis longtemps et elle est devenue la superviseuse du groupe de maître-nageurs. Jason ne peut s’empêcher de poser les yeux sur ses très gros seins.

- Es-tu prêt pour une journée de sauvetage ! S’exclame joyeusement la mère de famille.

Elle ne semble pas remarquer que Jason regarde toujours sa grosse poitrine.

- Ouais ! Avez-vous passé une bonne soirée hier ? Répond-il.

- C’était super ! Dit-elle en souriant de toutes ses dents blanches.

- Oui ça avait l’air ! Dit Jason en lui montrant son téléphone.

- Où as-tu eu ça ? C’était censé être privé ! Dit-elle en regardant l’écran du portable.

Elle vient de voir une photo d’elle dans un club. Elle montre ses seins nus. En vérité elle se souvient à peine de la nuit précédente.

- Je ne savais pas que ton mari était content que tu t’exhibes comme ça ! Dit Jason en sachant très bien que ce n’est pas le cas.

- Il ne le serait pas ! Suis-moi ! Répond-elle en regardant toujours l’écran du téléphone.

Jason suit Tasha dans l’un des vestiaires.

- Jason, il ne faut pas qu’il l’apprenne, s’il te plaît ! Supplie-t-elle.

Son air joyeux a disparu.

- Bien sûr ! Dit Jason.

Il se rapproche d’elle, puis pose sa main sur sa hanche, tâtonnant sur le tissu du maillot de bain une pièce. Il déplace ses doigts sur le devant de sa hanche et il glisse un doigt entre l’ourlet du maillot de bain et l’intérieur de sa cuisse.

- Jason… Dit-elle avant de s’interrompre.

Le garçon peut sentir sa bite devenir dure à l’intérieur de son short. Ça devient de plus en plus évident en quelques secondes

- Peut-être pouvons-nous conclure un accord ? Dit-il.

Il est debout devant Tasha et il place ses mains sur ses fesses pour la rapprocher de lui. Il peut sentir le parfum dans son cou alors qu’il presse son érection contre son maillot de bain.

- Quel accord ? Répond-elle à contrecœur.

Jason enfonce ses doigts dans ses fesses avant de tirer le dos du maillot de bain vers le milieu et de le soulever violemment pour créer u faux string. Tasha pousse un petit cri. Il le soulève à nouveau, mais plus fort cette fois.

- Aie ! S’exclame-t-elle.

Jason recule et détaille le corps féminin devant lui. Le devant du maillot de bain est rentré entre ses jambes, soulignant parfaitement sa chatte.

- Montre-moi tes seins ! Ordonne-t-il.

- Mais Jason… Je suis ta superviseuse… Essaie de plaider Tasha.

Après un silence, avec hésitation, elle retire les bretelles de ses épaules. Elle baisse le haut de son maillot de bain et son énorme paire de nichons rebondit. Jason fixe ses gros mamelons ronds et sombres. Il en attrape un et le titille. Puis il le pince en regardant son visage grimacer.

- Mets-toi à genoux ! Commande-t-il.

Elle obéit et s’agenouille, ses seins ballottant. Jason baisse son short et libère son érection. Tasha le regarde avec des yeux sombres, son visage à quelques centimètres de sa bite. Sans un mot, elle baisse les yeux et enroule ses lèvres charnues autour de la tige de chair.

Tasha le suce et elle s’applique. Elle bouge la tête d’avant en arrière, ses lèvres glissant de haut en bas le longe de la tige veineuse. Jason attrape une poignée de ses longs cheveux noirs et il s’enfonce profondément dans sa bouche. Il enfonce sa queue au fond de sa gorge et elle a des haut-le-cœur ainsi que du mal à respirer. Puis le garçon lui baise la bouche encore et encore.

Finalement il lui tire la tête en arrière. Le visage de Tasha est complètement défait, la salive coulant sur sa grosse poitrine. Le garçon la tire pour qu’elle se relève. Soudain il frappe violemment un sein.

- Aie ! Crie-t-elle une nouvelle fois.

Jason frappe l’autre sein et le regarde rebondir sur le côté. Puis il attrape ses tétons et les tire pour attirer son corps vers lui. Les tétons sont durs comme de la pierre.

Le jeune garçon la lâche alors et se dirige vers le mur où il prend un morceau de corde attaché à une bouée. Il revient vers sa superviseuse et commence à lui lier les mains devant son corps. Il saisit le haut du maillot de bain qui est maintenant sur ses hanches et il le fait descendre à ses pieds, révélant ainsi une chatte rasée et parfaitement lisse.

- Je parie que tu sais t’en servir ! Plaisante Jason en se tapotant les lèvres.

- Penche-toi sur le banc !

Tasha obéit et se penche sur un banc dans les vestiaires. Elle est les fesses nues en l’air tandis que Jason lui attache les mains et les bras au banc. Ensuite il passe derrière elle et lui gifle violemment le cul. Puis il recommence. Tasha gémit, sentant des marques se former sur ses fesses brûlantes et piquantes.

- Ecarte les jambes ! Dit Jason.

Elle obéit et écarte les genoux autant qu’elle le peut. Ses gros seins sont pressés contre le banc. Jason peut voir ses lèvres roses et humides par derrière.

- C’est à ce moment que deux autres maîtres nageurs entrent. Un homme et une femme.

- Jason, c’est quoi ce bordel ? Dit le gars.

- Vous arrivez juste à temps pour le spectacle ! Dit Jason en se mettant à genoux derrière Tasha, sa queue longue et dressée.

Sans un mot, les deux autres maîtres nageurs sortent leur téléphone et commence à filmer. Jason saisit brutalement les fesses de Tasha et avance ses hanches. Le bout de son gland touche les lèvres de sa chatte. Il regarde sa bite pousser et écarter les petites lèvres lisses. Il pousse en avant et sa queue commence à étirer le trou serré. Tasha halète en sentant la grosse bite de Jason la pénétrer. Elle ferme les yeux et se mord la lèvre inférieure. Elle a l’impression qu’il la déchire en deux.

- Tu as une chatte tellement serrée…

Jason sent bien l’ouverture serrer son manche alors qu’il s’enfonce en elle, durement et profondément. Tasha pousse un cri, sa chatte se contractant autour de la bite.

- C’est génial ! Dit la maître-nageuse en zoomant sur le visage de Tasha.

Jason agrippe les hanches de sa superviseuse en enfonçant ses doigts dans sa chair puis il commence à la marteler de plus en plus fort. Ses couilles frappent fort contre son clitoris sensible à chaque coup de rein. Tasha gémit de plus en plus fort, incapable de bouger. Son cœur bat à tout rompre. Elle crie de nouveau alors que la bite de Jason lui ravage la chatte.

Quelques minutes plus tard, le garçon se retire. La superviseuse est trempée, son jus intime coule à l’intérieur de ses cuisses et tombe sur le sol. Jason s’approche de son visage, lui tire les cheveux et enfonce sa bite humide dans sa bouche.

- Est-ce que ta chatte a bon goût ? Demande-t-il en lui baisant la bouche, étalant ainsi son rouge à lèvres sur tout son visage.

A ce moment, d’autres maître-nageurs arrivent. Ils regardent ou enregistre la scène sur leur téléphone. Jason retire alors sa bite de la bouche de la femme et il se replace derrière elle. Il lui gifle violemment le cul.

Puis il utilise ses deux mains pour écarter ses fesses alors qu’il presse son gland contre son cul. Jason grogne et gémit tandis qu’il essaie de faire glisser sa queue dans le cul de sa superviseuse.

- Allez ! Crie-t-il avec frustration.

Il fait glisser sa bite entre les jambes de sa proie pour la lubrifier avec le jus intime avant de réessayer. Ses doigts s’enfoncent dans la peau douce tandis qu’il tente d’écarter encore plus les fesses serrées. Puis il fait bouger ses hanches d’avant en arrière en espérant que sa queue va rentrer à un moment ou un autre. Il s’aperçoit vite que ça nécessite encore une certaine préparation.

Alors Jason enfonce deux doigts dans le cul de Tasha et les remue pour essayer de détendre le petit trou. Il retire se doigts et repositionne son gland contre son cul. Cette fois, le bout de sa bite transperce le cul serré. Un sourire triomphant apparaît sur son visage.

Il saisit fortement ses hanches et, avec un fort gémissement, il s’avance tandis que sa grosse queue glisse dans le cul serré. Sa bite et rouge et les veines ressortent sous la pression. Mais finalement, il est complètement en elle.

- putain ouais ! Crie-t-il en signe de victoire.

Il se retire à moitié et pousse ses hanches en avant, forçant sa bite à pénétrer le trou serré. Tasha halète et gémit bruyamment alors que Jason augmente l’intensité. Il commence à lui marteler le cul violemment, ses ongles s’enfonçant dans la peau douce des fesses pour se maintenir stable. Il grogne et frappe dur son cul. Il dégouline de sueur en l’enculant encore et encore.

Il se penche en avant et attrape une poignée des longs cheveux de Tasha. Il tire dessus, la faisant crier.

- Prends ça comme une bonne pute ! Crie-t-il en la sodomisant tout en lui tirant les cheveux.

Le sol sous Tasha est trempé de son jus. Les deux protagonistes gémissent de façon incontrôlable.

Finalement Jason ressent une accumulation au plus profond de lui. Il accélère son enculage. C’est à ce moment que Tasha sent tout son corps la picoter. Elle ferme les yeux alors qu’elle commence à trembler de façon incontrôlable. Elle se met à crier alors qu’un orgasme intense déchire son corps battu. Elle se tord d’extase alors que sa chatte et son cul se contracte durement autour de la bite de Jason. Celui-ci sort alors de son cul et s’enfonce dans sa chatte dégoulinante. Puis il éjacule, remplissant la grotte humide de longs jets de foutre chaud. Il continue à la baiser jusqu’à la dernière goutte.

Quelques instants plus tard, il sort sa bite ramollie de la chatte ravagée. Il voit qu’un autre maître-nageur a déjà enfoncé sa queue dans la gorge de Tasha.

- Quelqu’un veut prendre la place ? Demande Jason en haletant.

Deux autres gars viennent baiser Tasha, remplissant sa chatte de leur sperme. Un troisième vient l’enculer jusqu’à ce qu’il décharge en elle aussi. La maître-nageuse s’approche aussi, touchant sa chatte remplie de sperme et giflant son cul à plusieurs reprises avant de s’asseoir devant elle pour qu’elle lui lèche la chatte jusqu’à ce qu’elle jouisse sur son visage.

Enfin Jason détache sa superviseuse qui s’allonge sur le dos, les jambes bien écartées pour se reposer. Tout le monde voit le foutre s’écouler de sa chatte et de son cul. Un dernier maître-nageur s’installe sur son torse et met sa bite entre ses deux énormes seins. Il se branle avec ses nichons puis lui éjacule sur la poitrine et le visage pendant que les spectateurs l’acclament.

Ensuite, tout le monde repart pour rependre leur travail.

Tasha se lève, épuisée. Elle a l’impression d’avoir de la gelée dans les jambes. Si c’est ce qu’elle a reçu pour avoir montré sa poitrine lors d’une soirée, elle se dit qu’elle devrait le faire plus souvent.

FIN.

dimanche 5 janvier 2025

Dans le bus Ch.02

Traduction d’un texte de creativeboyinspring

 *****

Le calvaire de Yesnia continue.

Abasourdie et en état de choc, j’essaie de me dire que tout cela n’est qu’un rêve. Ou plutôt un cauchemar bizarre dont je vais me réveiller bientôt. Ça ne peut pas être réel, non ? Des trucs comme ça n’arrive pas aux gens normaux ? Ça ne peut pas arriver aux jeunes femmes de 19 ans intelligentes comme moi ?

Ce groupe de gothiques vicieux, qui sont sous l’emprise de la drogue, m’ont poussée à participer à ce voyage scolaire. Je sais que j’en fais tout un plat qu’ils aient fumé de l’herbe, car ce n’est pas de la mauvaise drogue. Mais pour moi, de la drogue c’est de la drogue. De toute façon, comme je suis une ringarde lâche, je suis montée dans le bus et je les ai laissés faire ce qu’ils voulaient avec moi, assise sur le dernier siège du bus.

Et je dis bien que je les ai laissés vraiment faire ce qu’ils voulaient. Car non seulement ils m’ont enlevé mon pantalon, ma culotte, mes chaussures et mes chaussettes, ils les ont lancés par la fenêtre du bus en marche. Je suis assise sur le siège du fond, les mains menottées aux côtés du fauteuil, mes gros nichons exposés ( qu’ils appellent des mamelles), mon chemisier couvrant ma tête et mon soutien-gorge pendant sur les côtés.

C’est vraiment horrible. En plus, pour rendre ma situation encore pire, ils ont utilisé le cordon USB de mon téléphone pour attacher chacun de mes seins. Je les sens pulser et palpiter, car le cordon coupe la circulation du sang tellement ils ont serré. Je ne vois pas à quoi ressemble ma poitrine, mais ce ne doit pas être trop joli.

Mais la pire chose qu’il m’a été faite, c’est Paul le chef de ce groupe qui m’a fourré sa bite dans la bouche. Il l’a bien enfoncée dans ma gorge et m’a baisé le visage. 

- Oh putain, je ne savais pas que la bouche d’une ringarde pouvait être aussi bonne. Gémit Paul en retirant sa bite de ma bouche.

Un peu de sperme et de salive restent sur sa queue quand il l’enlève complètement. Une fois qu’il l’a totalement retirée, je sens encore le goût du sperme dans ma bouche et au fond de ma gorge. J’essaie de ne pas penser au fait que je viens d’avaler son foutre, car mentalement c’est trop pour moi.

Maintenant que c’est fini je repense à la sensation de son membre dans ma bouche. Il a réussi à le mettre en me tenant le nez pour que j’ouvre la bouche pour pouvoir respirer. Une fois à l’intérieur, il a commencé à le faire entrer et sortir. Mais j’ai fermé mes lèvres autour. Sa bite a été la première dans ma bouche.

Aussi bizarre que ça puisse paraître, je n’arrive pas à croire que je viens de sucer une bite ? Je n’ai jamais pensé que je le ferais un jour. Ça me semblait si vulgaire que j’étais toujours révulsée à cette idée. Mais maintenant que je l’ai fait, je ne trouve pas cela aussi dégoûtant. J’ai toujours cru que le sperme aurait un goût horrible, mais ce n’est pas le cas. La texture était plutôt agréable dans ma bouche. Même son sperme, aussi dégoûtant que soit le personnage, n’avait pas le goût dégueulasse que j’ai toujours pensé qu’il aurait.

Plus tôt, ils avaient couvert mon visage avec mon chemisier, mais lorsque Paul a voulu violer ma bouche il a tiré le chemisier de façon à ce que ma bouche et mon nez soient découverts. Maintenant qu’il a eu ce qu’il voulait il a rabattu le tissu sur mon visage.

- Qui veut être le suivant ? 

Je l’entends poser la question alors qu’il remonte son pantalon tout en restant debout devant moi sur le siège. Je vois assez difficilement sous le tissu, mais je le regarde alors qu’il remonte son pantalon et qu’il boucle sa ceinture.

Je ne dis rien alors que je suis là, nue, exposée à tout le groupe qui me regarde comme si je ne suis qu’un jouet sexuel. Qu’est-ce qu’on dit dans cette situation ? Que dit-on quand on est pratiquement nue et menottée à l’arrière d’un bus après avoir sucé une bite ? Hé bien, je ne dis rien, car il y a des chances que d’autres étudiants puissent me voir. Et si ça arrive, je ne l’oublierai jamais.

- Attends une seconde !

C’est Lynn qui vient de parler. On dirait qu’elle pense à quelque chose. Mes émotions sont si confuses à ce moment que je ne sais plus quoi penser ou ressentir à ce qu’elle pourrait faire. Au son de sa voix, ma première pensée est de crier, car je ne veux pas qu’autre chose m’arrive, mais une partie au fond de mon subconscient est très excitée et veut une autre bite dans ma bouche. J’en veux plus, comme si c’était une drogue. Et le fait que deux filles aient regardé et n’aient pas essayé d’arrêter Paul m’excite aussi, je ne sais pas pourquoi.

- Si vous continuez à vous servir d’elle pour vous vider les couilles, Miss grosses mamelles pourra se plaindre que nous l’avons forcée à sucer des bites pendant des heures. Explique Lynn.

Elle veut faire comprendre quelque chose aux garçons qui ne voient pas clairement où elle veut en venir. Ils attendent la suite.

- Qu’est-ce que tu proposes alors ? Demande Paul assis sur le siège à côté du mien.

Le fait qu’ils parlent normalement alors que je suis nue et attachée me semble irréaliste. Pour rendre la chose encore plus incroyable, je ne prends pas la peine de refermer mes jambes depuis que Paul s’est placé entre elles. Si bien que ma féminité est exposée. Mais je sais que si je les ferme, ils m’ordonneront de les rouvrir.

- Faisons-la jouir ! Dit Lynn sur un ton vicieux.

En l’entendant dire ça, un nouveau sentiment de peur s’empare de moi. Je n’aime pas du tout ce qu’elle vient de dire. Il s’agit de sexe. Et je ne pense pas être prête pour ça. Je suis une fille bien. Je ne me masturbe même pas. Du moins, pas souvent. Et je ne pense pas pouvoir supporter mentalement qu’ils fassent vraiment l’amour avec moi.

- Faisons-la jouir et si ensuite elle nous dénonce, nous pourrons dire qu’elle le voulait. Et qu’elle en a bien profité, car elle a joui. Explique Lynn.

Je commence alors à secouer la tête pour dire non. Je ne parle pas, mais je secoue la tête pour leur faire comprendre que je ne suis pas d’accord avec ça. Qu’ils feraient mieux de ne pas le faire.

- Ce n’est pas une mauvaise idée. Dit Jessica, l’autre fille du groupe qui a l’air de bien aimer cette proposition.

Je ne peux voir correctement les expressions des visages à cause de mon chemisier, mais je sens qu’elle me fixe en parlant.

Encore une fois, je me sens étrangement excitée et humiliée que les filles me traitent ainsi, qu’elles n’essaient pas de m’aider, mais qu’elles m’humilient encore plus. Elles savent ce que je peux ressentir, mais elles s’en moquent. En fait je crois qu’elles prennent plus de plaisir que les garçons.

- Et ça ne peut pas être en la baisant ! Dit soudainement Lynn, comme si elle lisait dans les pensées des gars.

A ce moment il y a quelques gémissements des garçons comme si leurs mères leur interdisaient un jouet. Pendant un moment, je me demande s’ils font assez de bruits pour que les autres passagers du bus s’intéressent à nous. Ils ne pourraient peut-être pas voir mon corps nu, mais ils pourraient se demander pour quoi j’ai mon chemisier sur ma tête et venir voir.

- Comment est-on censé faire jouir cette ringarde alors ? Demande l’un des gars.

Lynn et Jessica soupirent de dépit en même temps ? Si cette scène se passait dans un film ou une série, je suis sûr que ce serait comique. Mais dans la vie réelle, c’est horrible.

- Tu es vraiment irrécupérable, tu le sais ? Dit Jessica.

Puis elle continue avec mépris :

- Tu ne sais rien des filles, ni comment leur faire plaisir. Je suis vraiment surprise que tu ne sois pas toujours puceau. 

J’entends alors du mouvement pendant qu’elle dit :

- Bouge ! Pousse-toi du chemin !

Je vois que le garçon s’écarte pour la laisser passer alors qu’elle était du côté des vitres. 

- Je vais te montrer comment faire. Nous n’avons pas toute la journée. Dit-elle encore avec mépris.

Je ne sais pas pourquoi je n’ai pas compris ce qu’elle voulait dire avant qu’elle s’installe entre mes jambes. Je me crispe d’horreur en réalisant qu’une fille est sur le point de me faire quelque chose. J’essaie de fermer les jambes, mais c’est trop tard. Elle se tient devant moi, entre mes jambes qu’elle empêche de se fermer. Si j’essaie encore, mes genoux se pressent contre ses jambes et je l’entends se moquer de moi.

Je la sens plus que je ne la vois, debout au-dessus de moi, regardant ma nudité et mon impossibilité de bouger. J’essaie de détacher mes mains, mais le cliquetis des menottes limitent mes mouvements. Bizarrement encore, entendre ce bruit et savoir à quel point je suis impuissante me donne chaud. Je voudrais m’enrouler en boule. C’est excitant, mais aussi vicieux et humiliant.

- S’il te plaît… Ne fais pas ça ! Supplié-je doucement tout en sachant que je ne pourrais pas l’arrêter. 

Je sens alors qu’elle se baisse. j’entends les gars respirer plus fort. Je ne vois que faiblement, mais je me rends compte qu’elle s’est mise à genoux sur le plancher du bus, sa tête entre mes jambes.

Je me crispe et j’essaie de reculer dans mon siège. J’essaie d’éloigner mon sexe. Mais je n’ai nulle part où aller et je n’ai pas reculé beaucoup. Je vois le contour de sa tête s’avancer entre mes jambes. Puis un objet chaud et mince touche mon clitoris. Je laisse échapper un gémissement et mon corps se tend encore plus. La chose remonte le long de mon clito puis redescend. Je sais à quel point il est chaud et humide. Je sais qu’il s’agit de sa langue, mais je ne veux croire que la langue de quelqu’un se trouve à cet endroit précis.

Je reste tendue alors qu’elle continue à lécher mon clitoris, lentement et doucement. Contre ma volonté je commence à me détendre. Je ne peux nier que j’aime cette sensation. Je n’ai jamais ressenti de tel auparavant. C’est très intime et agréable, tout en étant follement brûlant. C’est si bon. c’est comme si l’on donnait du plaisir à mon âme.

Je respire plus fort quand elle déplace sa langue sur les côtés de mon clitoris. Je sens mon corps se détendre entièrement alors qu’elle continue. Incapable de m’en empêcher, je ferme les yeux pour me concentrer sur cette sensation merveilleuse. Sa langue est si agréable qu’elle commence à presser plus fort en se déplaçant.

Ce n’est pas possible, ça ne peut pas arriver. Je ne suis pas lesbienne. Je sais que tout le monde est un petit peu introverti, que personne n’est vraiment à 100 pour cent hétéro ou homosexuel. Mais je n’ai jamais pensé que j’aurais une expérience avec une fille. C’est une chose dont je m’étais toujours demandé ce que ça pourrait être, mais que je me refusais à faire. Je suis une fille bien après tout.

Je gémis alors qu’elle commence à lécher plus rapidement et qu’elle appuie davantage sur mon clito. Le plaisir que je ressens, un plaisir sombre et honteux, me fait me sentir différente. Je sais que je commence à apprécier l’étrange sentiment d’être soumis à ces gens. Alors je la laisse me faire cet acte sexuel. Je pourrais crier, hurler ou me débattre violemment, mais au contraire, je reste assise et je la laisse faire.

Comme si elle sent mon acceptation, elle met ses mains sur mes genoux pour écarter encore plus mes jambes. Je gémis à nouveau, car c’est tellement vicieux. J’ai l’impression d’être une pute dans un porno, d’être juste une salope qui est là pour être baisée, que je ne suis bonne qu’à ça.

Un autre gémissement sort de ma bouche lorsque je sens ses mains toucher mes seins gonflés. Elles me caressent et me tripotent avec tendresse et rudesse. Puis les doigts se déplacent vers mes mamelons qui sont plus durs que de la pierre. Les doigts roulent mes tétons, les effleurent ce qui me fait encore gémir.

- Putain les gars, regardez la ringarde ! Cette salope aime ça ! Dit quelqu’un.

Je ne sais pas si c’est un mec ou une fille. Je me concentre sur la sensation qui vient de mon clito. Je le sens sur le point d’exploser à tout moment. C’est comme le centre de contrôle de mon corps. Dans un instant, il va lâcher et un orgasme m’envahira.

J’arque le dos alors qu’elle presse sa langue encore plus fort contre mon clitoris. Le plaisir est tel que je ne peux empêcher mon corps de réagir ainsi. C'est totalement hors de mon contrôle.

Le fait de savoir que c’est l’une des filles que je n’aime pas qui me lèche rend la sensation encore plus intense. Ce n’est pas un amant, une copine ou même quelqu’un de sexuellement attirant. C’est une fille qui pense qu’elle est meilleure que moi, une fille qui a aidé à m’attacher sur ce siège, une fille qui veut m’humilier. Maintenant, sa langue est dans ma chatte et elle me « dévore ».

Puis je le sens. Je suis sur le point de jouir. Il n’y a pas moyen que je me trompe ou de l’arrêter à ce stade. Cette fille est sur le point de me faire jouir simplement en me léchant le clito. Ma respiration est courte et s’accélère considérablement. Elle augment au fur et à mesure que la chaleur monte entre mes jambes jusqu’à ce qu’elle ne soit plus qu’un halètement. Je me sens si chaude et envieuse en même temps que je me sens honteuse et impuissante, alors que les vagues de plaisir sont sur le point de se déchaîner en moi.

- La ringarde est sur le point de jouir, regardez-la !

J’entends Paul se moquer. Je sens alors tous les regards posés sur moi. Ils me fixent alors que je suis nue et qu’une fille me lèche la chatte. Ils regardent mes seins serrés par un cordon qui se trémoussent et mes jambes qui s’écartent alors qu’elle me lèche dans le bus sans être vue.

Soudain ma tête est saisie et tirée en arrière. La personne qui fait ça est brutale et cruelle. Mon chemisier qui couvre mon visage est tiré à nouveau pour que ma bouche soit découverte. Alors que je suis au milieu d’un gémissement et que ma bouche est grande ouverte, on enfonce quelque chose dans celle-ci.

C’est quelque chose de très gros qui étire ma bouche. C’est gros et dur. J’ouvre les yeux et je regarde vers le bas. Je distingue ma propre trousse à crayons qui dépasse maintenant de ma bouche. Ils ont enfoncé la moitié alors que l’autre moitié dépasse. Ainsi je suis bâillonnée.

- Comme ça, personne ne l’entendra ! Dit l’un des gars.

Comme de juste mes gémissements sont instantanément réduits au silence. Ils meurent dans ma gorge, car ils ne peuvent plus s’échapper de ma bouche. Et ça semble arriver juste à temps, car, un instant plus tard, je jouis.

Mon corps se crispe à nouveau et je commence à trembler quand l’orgasme me frappe. Quand ça commence, Jessica appuie avec force sur mes genoux pour les obliger à rester écartés. Mon dos se cambre alors que les vagues de plaisir m’envahissent. Mais elle n’arrête pas de lécher. Elle sait exactement ce qui se passe, mais elle continue à lécher ma chatte, sachant qu’il s’agit d’une torture pour moi.

Les vagues déferlent alors que l’orgasme traverse mon corps. Ces vagues de plaisir sont si fortes et si intenses que mes yeux roulent dans leurs orbites. Elles passent sur moi l’une après l’autre si bien que bientôt je ne suis plus dans un bus scolaire, molestée par des brutes. Non, je suis dans les nuages, en train de ressentir une félicité céleste, vague après vague. C’est un plaisir que je n’ai jamais ressenti auparavant. Je n’ai jamais été amené à un orgasme aussi intense. Jamais par un homme et encore moins par une femme.

Haletante et ayant l’impression que je vais m’évanouir, je gémis dans mon bâillon alors que les vagues de l’orgasme continuent à arriver et que Jessica continue à jouer avec mon clitoris. J’ai l’impression que cela ne s’arrêtera jamais, mais heureusement l’intensité commence à diminuer, me permettant de penser clairement à nouveau. Chaque vague de plaisir devient moins forte que la précédente. Jessica arrête alors de me lécher. Elle sait que je suis épuisée.

Affalée sur le siège, mon corps entier est en sueur et fatigué. Je n’ai jamais ressenti quelque chose comme ça. Je respire fort avec l’étui à crayons dans ma bouche, mes seins qui pendent lourdement et les jambes écartées, une fille toujours entre elles. 

- Voilà messieurs, c’est comme ça que l’on fait. J’espère que vous avez appris une chose ou deux ! Déclare Jessica en riant.

Puis, comme si nous n’avions pas partagé de moment spécial et intime, elle se lève et s’éloigne de moi. Elle retourne s’asseoir à sa place, me laissant l’air stupide. Je me sens idiote.

Plusieurs secondes passent sans qu’aucun d’entre eux ne dise quelque chose. Je pense qu’ils se contentent de me regarder alors que je suis fatiguée et tremblante. Ils regardent la ringarde qui a été amenée à l’orgasme comme une attraction porno. Ils voient ce qu’ils ont fait à l’intello, comme ils l’ont faite jouir. Maintenant eux et moi le savons. Ils pourront aisément me mettre dans l’embarras en le disant à tout le monde en riant.

- Si personne d’autre ne veut rien faire, alors j’y vais ! Dit l’un des garçons.

Je le sens alors bouger de son siège jusqu’à ce qu’il soit près du mien. Comme Paul et Jessica, il s’installe entre mes jambes. A ce moment-là je suis tellement fatiguée et je me sens l’esprit tellement brumeux que je n’essaie même pas de fermer les jambes.

- J’ai voulu faire ça dès que je les ai vus. Il n’y en a pas beaucoup d’aussi gros pour faire ça. Explique-t-il en débouclant son pantalon avec empressement.

Je l’entends, mais je ne fais aucun effort pour l’arrêter. Je sais que je ne peux pas de toute façon. Impuissante en étant menottée et bâillonnée, je me sens aussi très faible après mon orgasme. Je suis tellement fatiguée que je ne pense pas pouvoir faire quoi que ce soit, même si je n’étais pas menottée.

- Tu devrais enlever la trousse à crayons si tu veux utiliser la bouche de cette ringarde ! Dit Paul.

Les autres rient, mais le garçon devant moi ne le fait pas.

- Qui te dit que je veux faire ça ? Demande sérieusement le gars.

A travers le chemisier je vois qu’il baisse son pantalon jusqu’à ce que son membre sorte. Je ne sais pas pourquoi, mais au lieu de détourner le regard, je le regarde. Je veux voir à quoi ressemble sa bite. Ce qui s’est passé avec Paul est arrivé si vite que je n’ai même pas pu voir sa queue. Je n’en ai jamais vu de près, car j’ai toujours pensé qu’elles étaient dégoûtantes. Mais maintenant ? Maintenant, elles me semblent être de nouveaux jouets, quelque chose d’amusant avec lesquelles on peut jouer, quelque chose que j’ai envie d’utiliser.

- Ne dites rien sur ma bite ! Dit le garçon sur un ton mi-sérieux, mi-blagueur.

Il attrape alors l’arrière de ma tête et me tire en avant. Je ne comprends pas, car il rapproche ma bouche de sa bite, mais j’ai toujours ma trousse dedans. Je ne vais rien pouvoir faire.

Mais un frisson de peur traverse mon esprit engourdi lorsque je sens qu’il glisse sa bite entre mes seins. Il passe son membre raide entre mes seins et le fait bouger de haut en bas. Je sens la chaleur de son membre. Ensuite il donne plusieurs claques sur un sein puis sur l’autre pour les faire se trémousser.

Je veux dire quelque chose, car ce qu’il veut faire devient clair. Il veut utiliser mes seins pour se branler. Cette idée est trop dégoûtante pour moi alors j’essaie faiblement de me débattre pour que ça n’arrive pas. Je bouge mes mains une nouvelle fois pour essayer de me libérer et le repousser, mais biens sûr, je n’y arrive pas. Je commence alors à secouer la tête pour dire non, pour lui faire comprendre que je ne veux pas. 

- M’y voilà, entre ces deux gros ballons de basket ! Dit-il en plaçant à nouveau son sexe entre mes seins. Puis il attrape chacun d’eux pour les presser ensemble. Il les écrase l’un contre l’autre et sa bite disparaît. Je ne bouge plus, car je sais que je ne peux rien faire.

Il est sur le point de se branler dans ma poitrine, il va vraiment le faire. Oh non ! Est-ce que ça va faire mal ? J’ai bien vu des vidéos où ça se produisait, mais les actrices pornos étaient dans l’eau ou couvertes d’huile. Et mes seins sont beaucoup plus gros que ceux dans les vidéos. De plus ils sont entourés d’un cordon. 

- Oh ouais ! Dit-il alors qu’il presse mes gros nichons contre sa queue et qu’il les maintient en place. Puis il commence à soulever mes seins ensemble avant de les faire redescendre. Il répète l’opération, déplaçant lentement mes seins de haut en bas autour de sa bite. Il semble apprécier la douceur et la chaleur que ma poitrine procure à sa queue.

Je sens bien son membre entre mes seins, je sens bien ses mains qui les écrasent. Je parie que demain, j’aurais les empreintes de ses mains qui seront restés sur ma chair, tellement il appuie. Pourtant je n’ai pas mal. C’est vicieux, mais ce n’est pas désagréable. Je me sens différente.

Maintenant il commence à accélérer le mouvement en faisant bouger mes seins de haut en bas sur sa bite. Un moment plus tard, je le sens pousser à chaque fois qu’il ma poitrine vers le bas. Puis il va de plus en plus vite. 

Il me baise les seins. Je suis en train de me faire baiser la poitrine. J’ai une grosse bite entre mes seins. La fille intelligente qui a gagné quatre années de suite le prix scientifique de l’université se fait baiser les seins. Oh mon Dieu, qu’est-ce que le jury ou les profs penseraient de moi s’ils savaient ?

- oh putain ouais je baise ces gros nichons avec ma bite. Et toi, espèce de grosse salope ringarde, tu vas rester assise là et subir. Ouais, j’utilise tes grosses mamelles et tu ne peux rien y faire. Gémit le garçon en faisant rebondir furieusement ma poitrine sur sa bite. Pourtant j’ai l’impression qu’il dit tout cela plus pour lui que pour moi.

Je sens la chaleur dans mon corps et je ne sais pas pourquoi, mais je sens que je suis de nouveau excitée. Pourtant ce n’est pas la sensation de plaisir dans mon sexe. C’est juste… Embarrassant. Je pense que c’est pour ça que c’est excitant. Le fait que ce soit vraiment humiliant rend cette sensation vicieusement bonne. Mes seins ne sont pas vraiment faits pour ça.

Il me baise les seins. Ils sont si gros qu’il peut me faire ça sous les regards de ses amis. Il utilise ma poitrine comme un objet de plaisir, comme un outil sexuel. Et je trouve ça sacrément excitant, que je veuille l’admettre ou non. Ça me donne presque envie de lui dire de me baiser plus fort.

- Oh putain ! S’exclame-t-il soudain.

Je sens alors quelque chose de chaud entre mes seins alors qu’il les tient immobile. C’est comme si on avait jeté de la colle chaude sur moi ou quelque chose dans ce genre. Puis je le sens une nouvelle fois, puis encore une autre.

- Putain mon salaud, tu as joui sur ces mamelles d’intello ! Dit Paul, énervé.

Je sursaute en l’entendant et je sens la substance gluante commencer à descendre lentement. Il a joui sur moi ! Il a éjaculé entre mes seins !

Je sens la chaleur de son sperme qui se répand et je suis dégoûtée. Mais ça m’excite. Dans les pornos, les filles se font toujours asperger de sperme sur le visage, les seins ou le cul. C’est ce qu’il vient de faire. Il a baisé ma poitrine et il a éjaculé dessus. Pour la première fois, je me sens très féminine et très sexy. Ça ne me ressemble pas du tout bien sûr. Je sais que c’est plus qu’humiliant. Il vient de me traiter comme une pute, mais je n’ai jamais ressenti ça auparavant. C’est loin de ce que l’on peut penser d’une bonne fille.

- Qu’est-ce qu’on va faire maintenant avec elle ? Demande un autre gars alors que celui qui vient de me baiser les seins remonte son pantalon.

Il le fait devant moi, juste après avoir essuyé sa bite sur ma peau tendre. Il devrait partir, mais il ne le fait pas. Au lieu de ça, il attrape la trousse à crayons que j’ai toujours dans la bouche et il la retire un peu, pour ensuite l’enfoncer lentement. Il le fait encore et encore, en disant que je la suce comme une bite. Ça le fait rire ainsi que tous les autres. 

- D’abord on la nettoie, car je ne touche pas le sperme d’un autre mec. Ensuite… je pense qu’elle mérite d’être punie pour nous avoir laissé lui faire tout ça, vous ne croyez pas ? Peut-être une bonne fessée, et un claquage en règle de ces mamelles ? Et après ça ? Je dis qu’il est temps de s’amuser un peu. Dit Paul en riant.

Les autres rient aussi et me laisse gémir alors que le sperme descend sur mon ventre et que l’autre continue de me baiser la bouche avec ma propre trousse à crayons.

Je continue de gémir en pensant qu’il reste encore des heures avant que nous arrivions à destination.

A suivre…

vendredi 3 janvier 2025

La dette - Ch.04

Texte de Claude Lamour (2010)


*****

Mon maître a dit (partie 2)

Mon corps tout entier devient mou. Une onde électrique me monte des pieds jusqu’au cerveau. Là, il me semble que tous mes circuits disjonctent. Je vais… je dois mourir.

- Quoi ? Mais ? Que… Comment…

- Haha ! C’est bon, chérie ! Je déconne ! Je sais bien que tu serais incapable d’une telle chose ! Ha ha ! Regarde ! Tu es toute déconfite ! Haha ! T’es vraiment trop sensible, toi !

Il me faut quelques secondes pour que mon cerveau retrouve toute sa capacité de logique. Je tremble et j’ai les larmes aux yeux.

- T’es pas drôle Eddy ! Je croyais que tu étais sérieux !

- Rhooo, allons ! Si on peut plus rire. Bon ! Alors, c’est quoi cette grosse bêtise ?

Il ne me reste que quelques secondes pour décider de ce que je veux faire demain. Vouloir rester une petite épouse et mère de famille modèle ou laisser libre cours à mes pulsions sexuelles. Je prends une grande inspiration.

- J’ai planté l’ordi du cabinet.

- Ce n’est que ca ? Ce n’est pas bien grave ma chérie !

- Si ! Ca l’est ! Ce n’est pas la première fois. Lorsque c’est arrivé, le docteur a passé son samedi à tout remettre en ordre. Là, c’est sûr, il va me virer !

- Et tu ne peux rien faire pour arranger le coup ?

- Si, bien sûr ! Mais c’est très long.

- Ben vas-y demain !

- Non ! Il lui arrive de passer au cabinet pour prendre des dossiers. Non, la seule solution… c’est que je répare ma connerie demain soir. Mais ça risque de me prendre la nuit.

- Allez ! Ne t’en fais pas, je suis sûr que tu vas assurer !

Honteuse, j’ai évité son regard toute la journée. Je me demande encore si j’ai pris la bonne décision. Pourtant, je suis là, dans ma salle de bain, à tricher une fois de plus. J’ai passé un chemisier noir transparent, que je cache avec un vieux gilet défraichi. Idem pour ma mini jupe plissée que je dissimule sous une jupe longue. Je n’ai plus qu’à enfiler mon imperméable pour parfaire ma forfaiture.

- Allez ! Courage chérie ! Je suis sûr que tout va bien aller.

- Oui, j’en suis sûre aussi.

Je lui donne un baiser de Juda et je m’en vais. 

Je prends la voiture. J’ai mémorisé le trajet et je n’aurais aucune difficulté à retrouver le domaine de Sir Jefferson. En chemin, je m’arrête sur le parking d’un supermarché. Discrètement, je retire mon gilet et ma jupe longue, puis j’enfile des bas que j’avais dissimulés dans ma poche. Dans la boite à gants, je laisse en permanence un petit nécessaire de maquillage. Trois coups de crayon plus tard, je me sens prête, belle et sexy.

J’arrive à l’heure. Près du perron, une dizaine de voitures de luxe sont stationnées en épi. Je range la mienne. Elle semble ridiculement petite. Mais je suis plus préoccupée de savoir à qui appartiennent ses véhicules, qu’à leurs tailles.

Viola m’accueille en haut des marches. Elle est radieuse et très souriante. Pieds nus, dans son vêtement transparent, elle me fait penser aux servantes romaines de l’antiquité. Je lui souris aussi, sans toutefois lui parler, puisque c’est inutile. Elle prend mon manteau qu’elle accroche avec d’autres sur un portant.

Puis elle revient vers moi et à ma grande surprise, elle glisse sa main sous ma jupe et effleure ma vulve. Sans doute un ordre donné, pour vérifier que je ne porte rien. Comme si cela ne suffisait pas, elle déboutonne deux boutons de mon chemisier. Mes seins sont trop apparents à mon goût et je m’apprête à en reboutonner au moins un, mais elle me l’interdit en fronçant les sourcils.

Elle me conduit dans une salle opposée à la salle à manger. C’est un grand salon où une dizaine d’hommes de tout âge, discutent enfoncés dans de grands fauteuils de cuir. Ils fument et dégustent ce que je pense être du whisky. Ils sont tous très élégants, très classieux.

Je reste à la porte et personnes n’a remarqué ma présence.

Viola va rejoindre Sir Jefferson qui, près d’une grande cheminée, est en grande discussion avec un jeune homme plutôt mignon. Elle lui glisse un mot à l’oreille.

- Haaaa ! Chers amis, permettez-moi de vous présenter ma dernière petite trouvaille ! Cathy ! N’est-elle pas délicieuse ?

Il vient vers moi et après m’avoir pris la main, me conduit au centre du salon. Les hommes se lèvent et me déshabillent du regard. Rougir est devenue pour moi une seconde nature et je n’y prête même plus attention. Un homme s’approche de moi et pose sa main sur mes fesses.

- Tu as quel âge belle enfant ?

- Trente cinq ans, monsieur.

- Hum ! C’est agréable, tu es polie.

Un autre, plus jeune, glisse ses doigts dans mon chemisier et énerve mes tétons.

- Tu portes une alliance. Tu es mariée ?

- Oui, monsieur.

- Et il t’a laissé venir ?

- Je lui ai menti, monsieur.

- Bien ! Très bien !

Leurs attouchements sont furtifs. Ils n’insistent pas et reprennent leurs places.

Le jeune homme qui discutait avec mon hôte, le plus jeune semble t’il, m’apporte une coupe de champagne. Son regard est pénétrant et il me trouble profondément. Ses doigts effleurent les miens et je ne pense pas que ce soit du hasard.

Sir Jefferson s’approche de moi, passe son bras autour de mes épaules et me serre un peu contre lui de façon très paternelle.

- En répondant à mon invitation, tu fais preuve de courage et de détermination. Vois-tu, j’étais certain que tu viendrais. Ce sont des choses que je ressens. Si ce soir j’ai invité mes amis - Maîtres en soumissions, c’est pour participer et jouir comme il se doit, de ton baptême.

SOUMISSION ! Ca y est, le mot est lâché !

Ho, j’avais bien compris ce qu’était et ce que faisait Sir Jefferson. Mais je ne voulais pas me l’avouer. Moi soumise ? Est ce possible ? Ce soir, il me faut bien l’admettre. OUI ! C’est possible.

- Ce soir, tu vas changer de nom. Pour moi, pour nous, tu ne serras plus jamais Cathy. Mais pour commencer la cérémonie, déshabille toi !

J’allais protester, mais je me ravise de le faire. Le jeune homme me débarrasse de mon verre et s’écarte. En cercle, autour de moi, les hommes attendent. Tremblante, je défais les trois boutons restant de mon chemisier. Je le dégage de ma jupe et le fais glisser sur mes épaules. Il glisse sur mes bras et tombe au sol. J’ai froid. Sans doute par la trouille. Mais ça a un effet immédiat sur mes tétons qui pointent et se durcissent d’un coup.

Les yeux des hommes sont plus brillants, plus pétillants. Des bosses se dessinent dans quelques pantalons. Une certaine excitation s’installe en moi, à la simple idée que c’est moi qui leur fais cet effet là.

Je passe mes mains dans mon dos. Je fais sauter l’agrafe de ma jupe et descends lentement la fermeture éclair. Un petit moment d’hésitation et je lâche tout. Elle chute au sol et me dévoile nue.

Désormais, chez tout les Maîtres, des bosses sont visibles, y compris sur Sir Jefferson.

Je dégage mes pieds de mes chaussures à talons hauts et je me penche pour faire rouler mes bas. Je me rends bien compte que dans une telle position j’offre une vue imprenable sur mon fessier et qu’en ouvrant légèrement les cuisses, ils aperçoivent ma fente rose et humide. Cette idée m’émoustille et lorsque j’ai retiré le premier bas, je me retourne pour ôter le second, afin que tous profite du spectacle.

Voilà ! C’est fait. Je suis nue comme un vers devant dix inconnus. Ils s’approchent, ils me caressent, ils me palpent. Des doigts me pénètrent, forcent mon intimité anale. D’autres, fouillent ma bouche, caressent mes cheveux. Je me sens étrangement bien, comme transportée par un plaisir nouveau.

Mais soudain, tout s’arrête. Ils reculent, laissent de l’espace. Ils sont en cercle autour de moi et ils sortent leurs queues presque tous en même temps. Tous sont en érection.

C’est alors que Chastity fait son entrée. Tout comme Viola, elle est nue sous une chasuble transparente. Je vois ses formes charnues, sa poitrine provocante et fière, sa toison brune. Ses cheveux sont coiffés. Plus rien à voir avec la gothique d’hier. Elle est… belle !

Elle affiche un sourire narquois qui n’annonce rien de bon. Elle se place près de son Maître et celui-ci prend la parole.

- Cathy ! Nous allons maintenant procéder à ton baptême, à la suite de quoi tu recevras ton nouveau prénom. Mais tu n’es pas sans savoir qu’avant même de faire partie de notre famille, tu as transgressé la loi et que tu dois être punie. Comme je l’ai dis, j’ai décidé de laisser Chastity s’en charger. Elle m’a fait une proposition, que j’ai acceptée. Par conséquent, à l’issu de la cérémonie, elle te fera subir SA punition.

Tout ce cérémonial me fait un peu peur. J’ignore où je m’engage vraiment. Mais le sourire de Viola et l’amour de Chastity pour son Maître, me conforte dans l’idée qu’il ne peut rien m’arriver de grave.

- Cathy ! Agenouille-toi et place tes mains dans ton dos.

Une fois fait, un premier homme vient se placer face à moi. Je n’ai pas besoin d’explication pour deviner ce qu’il attend. J’ouvre la bouche et engouffre le membre tendu aussi loin que possible dans ma bouche. Je m’applique à le sucer et lui donner un maximum de plaisir comme je le ferais avec mon propre mari.

Au moment de jouir, l’homme se dégage et se termine à la main. Son but… Ejaculer sur mon visage. Mes joues sont souillées et de longues coulées s’étirent vers mes seins. Mais pas le temps de les observer touchant leurs buts. Un autre homme se présente déjà. Il se produit le même scénario et de nouvelles giclées viennent éclabousser ma frimousse.

Très vite, le foutre me dégouline de partout. J’ai la sensation que plus une parcelle de peau n’est encore visible. J’ai un œil fermé qui me brule et je respire doucement pour ne pas inspirer les semences grasses qui encombrent le dessous de mon nez.

Le huitième, puis le neuvième.

Je fatigue et j’ai de plus en plus de mal à la mâchoire. Mais pas question de faiblir et je m’applique à l’identique, sur chaque verges.

Enfin le dixième se libère. Peut être que le meilleur a été gardé pour la fin, car la quantité de jus qu’il déverse sur moi est vraiment très impressionnante. Longue et presque ininterrompue. Pourtant, l’homme est déjà bien mature. Je pense qu’il y en a autant sur mon corps que sur mon visage.

De mon œil valide, je vois Sir Jefferson s’approcher. Il me plante son sexe au fond de la gorge. Je suis à la limite de la nausée.

- Cathy ! Ce prénom, je le prononce pour la dernière fois. Désormais, tu répondras au prénom de Léna. Eclat du soleil. Désormais, tu me dois une obéissance et une abnégation totale. Tu m’appelleras Maître et tu n’auras plus de rapports sexuels sans mon accord, y compris avec ton époux. Les sous-vêtements te sont interdits tout comme le fait de serrer les jambes lorsque tu es assise. D’autres directives te seront données au fur et à mesure. Léna, je te baptise. Bienvenue parmi nous.

Et à son tour il déverse son plaisir sur mon visage.

- En principe, arrivé à ce stade, nous t’apportons eau, savon et serviettes. Mais ce soir, nous te laissons aux bons soins de Chastity pour subir ton châtiment.

Je vois le visage de ma petite "copine" s’illuminer. Elle s’approche de moi avec une sorte de calice à la main et une petite cuillère. J’ai la sensation de savoir exactement ce qu’elle veut faire. La suite me prouve que j’avais deviné juste. Elle s’accroupit face à moi et commence à racler mon visage avec la cuillère, prenant bien soin de récupérer la liqueur poisseuse dans le récipient. Peut-être une bonne grâce de sa part, elle dégage mon œil encombré rapidement. Front, joues, menton, tout est soigneusement nettoyé. Puis elle s’attaque à mon corps. Mon cou, mes seins et mon ventre sont à leurs tours débarrassés de toutes souillures.

Satisfaite de son travail, elle me tend le calice. Environs deux cuillères à soupe de semences froides, commence à coaguler lentement au fond du bol. Pas question que je donne une chance à cette fillette de me ridiculiser. J’approche le verre de mes lèvres. Je reconnais l’odeur caractéristique de la spermine. Certain disent que c’est proche de l’odeur de la truffe. L’odeur, peut être, mais certainement pas l’aspect. Je prends sur moi et décide de provoquer la gamine. J’ouvre la bouche en grand et penche la tête en arrière. Je positionne le calice et verse tout doucement le liquide blanchâtre. Il s’écoule plus ou moins. Parfois lisse et continu. Parfois en paquet gras et gluant, en grumeaux.

Je prends sur moi et sans aucune grimace… j’avale d’un coup.

Pour compléter mon coup d’éclat, je récupère le fond du calice à grands coups d’index que je lèche ensuite goulument. Elle semble étonnée et regarde son Maître avec de grands yeux tout ronds.

- Chastity, conduit Léna à la salle de bain et occupe-toi d’elle. Elle a gagné ton respect et le notre.

Elle se lève, m’aidant à en faire autant. Pas facile car d’être restée à genoux si longtemps a tétanisé les muscles de mes jambes. Elle me prend par la main et nous sortons de la salle entre une rangée d’hommes admiratifs. Pour la plupart, les sexes sont retournés dans les caleçons. Seuls trois hommes se masturbent encore en nous regardant avec convoitise.

Chastity semble plus agréable avec moi. Sa main est douce et tendre sans aucune agressivité. Nous arrivons à la salle de bain et elle m’aide à monter dans la baignoire. Elle retire sa chasuble et me rejoint. A l’aide d’une grosse éponge elle nettoie mon visage, puis, mes seins, mon ventre. Sans m’en rendre compte vraiment, je ferme les yeux. L’eau tiède qui s’écoule sur mon corps m’apaise. L’éponge frôle et caresse ma peau avec grande douceur.

Soudain, je sens le tranchant d’une main glisser sur ma fente. J’ouvre les yeux. Elle est rayonnante de beauté. Sa main se fait plus pressante, plus curieuse et je craque. Je passe mes bras autour de son cou et nous nous embrassons passionnément. Je suis tellement heureuse de découvrir l’autre Chastity. La douce, la tendre, la femme.

Nos seins se touchent, se frottent. Nos tétons se dressent de plaisir. Les miens appellent la bouche de la belle qui les aspire et les mordille tendrement. Puis, elle continue sa course aux plaisirs et tombe à genoux. Je pose un pied sur le bord de la baignoire pour mieux m’offrir. Elle croque à pleines lèvres l’entrée de mon puits d’amour. Je me sens mouiller comme une fontaine.

L’eau qui coule sur mon corps, ne peut éteindre le feu qui me consume de l’intérieur. Je jouis comme jamais je n’ai jouis. Je crois que je crie… fort.

Tout en me dégustant, la jeune fille s’est masturbée et ma jouissance a déclenché la sienne. Plus discrète, elle l’étouffe dans un souffle.

Il nous faudra plusieurs minutes pour retrouver un rythme cardiaque normal.

Elle me fait descendre de la baignoire et m’essuie consciencieusement. Puis, elle ouvre une petite armoire. A l’intérieur, une dizaine de chasubles blanches sont pliées et rangées côte à côte. Sur chacune, un collier comme ceux des deux servantes est posé.

Elle glisse une chasuble sur mon corps encore humide, puis, prend un collier et me le passe autour du cou. Ensuite, elle me place devant un grand miroir. Elle pose sa tête sur mon épaule et nous nous contemplons en nous souriant gentiment.

Nous redescendons le grand escalier, sans nous être adressé un seul mot. Mon Maître est au bas des marches.

- Léna, tu es superbe. Je suis très fier de toi. Je te trouve remarquable, courageuse, pleine d’ambition et je pense très obéissante. Chastity, je suis ravi de constater que tu as changé de politique concernant Léna. J’ai un coup de téléphone à donner. Rejoignez Viola dans le grand salon et offrez-vous une coupe de champagne. Un baptême, ça se fête, non ? Vous êtes autorisées à discuter toutes les trois, juste entre vous.

Cette autorisation nous apparait comme un cadeau merveilleux et, de joie, nous nous sautons dans les bras l’une de l’autre.

- Ho Chastity ! Je suis si heureuse que nous soyons devenues amies. Pourquoi m’en a tu autant voulu dès notre rencontre ?

- J’aime mon Maître et je suis sa favorite. Quand je l’ai vu te regarder, j’ai senti que mon statut était en danger.

- Qu’est ce qui t’a fait changer d’avis ?

- Maître a toujours raison. S’il décide que tu es meilleure que moi, alors, je n’ai rien à dire. En plus, quand je t’ai vu boire avec bonheur la coupe de miel, je me suis dis que tu étais surement meilleure que moi.

- Ca, je ne le pense pas. Et puis je ne suis que de passage et je ne suis pas amoureuse de ton Maître.

- En es-tu sûre Léna ? La soumission est comme une drogue et on y prend vite goût. Tu reviendras en rampant dès qu’il te sifflera. Tu verras.

Elle me donne un dernier baiser et nous retournons au salon.

En y entrant, la première chose que nous voyons, c’est Viola, à quatre pattes sur une table basse, la chasuble remontée jusqu’à la taille, se faisant prendre en levrette par un des hommes.

- Ca vas être difficile de trinquer avec elle !

Mais lorsque nous nous approchons du buffet, deux hommes viennent à notre rencontre.

- Entre nous également d’ailleurs !

Chastity est entrainée dans le fond du salon.

Moi, l’homme me couche sur une table proche et remonte la robe transparente sur mon ventre. Il extirpe sa queue de son pantalon, monte mes jambes sur ses épaules et me pénètre d’un coup, sans préliminaires. Je ne m’en étais pas rendu compte, mais je suis restée dans un tel état d’excitation que mon vagin sécrète de la cyprine en grande quantité, semble t’il.

L’homme s’enfonce en moi sans aucune gêne physique.

Durant la nuit, j’irais de jouissance en jouissance, presque ininterrompues. Je passerais de mains en mains, s’en aucune gêne ou complexe.

Je me fais un devoir de faire plaisir au maximum aux hommes qui me choisissent. Et ils me le rendent bien. A deux reprises on m’a demandé de faire l’amour avec Viola puis Chastity. Deux grands moments de tendresses.

Puis, les hôtes ont commencés à prendre congé, les uns derrière les autres. Cinq heures sonnent quand tous sont partis.

- Maître, je dois partir à mon tour. Mon mari doit m’attendre.

- Pas de problèmes. Chastity et Viola rangeront le salon. Elles restent à demeure. Viola va t’apporter tes affaires.

- Merci, Maître.

- Écoute bien ces quelques consignes Léna ! Je t’interdis d’avoir des relations sexuelles avec quiconque, y compris ton mari. Je te téléphonerai et t’indiquerai une date, un horaire, un lieu. Tu devras te présenter sans sous -vêtement et tu devras arborer ton collier. Tu dois rester dans un état d’excitation permanente. Tu te masturberas en conséquence durant la journée, mais sans jouir. Ta jouissance m’étant réservée. Je suis très content de toi. Ne me déçois pas !

Pour la première fois, mon Maître me prend dans ses bras et m’embrasse. Je me sens toute petite et fragile, mais tellement bien.

- Allez ! Viola t’attend dans le vestibule.

J’enlève ma chasuble et remets mes vêtements à l’exception de mes bas. J’embrasse les filles sans un mot et je remonte dans ma voiture. Je m’arrête sur le parking désert du supermarché et je renfile mon gilet et ma jupe longue. Fatiguée et inquiète, je rejoins mon domicile. Eddy dort profondément devant la télé encore allumée. J’enlève mon imper et je le couvre avec. Grossière erreur ! Ca le réveille.

- Ha ! ça y est ! Tu es enfin rentrée ?

- Oui, tout vas bien ! Rendors-toi. Je vais prendre une douche.

- C’est quoi ca ?

- Quoi donc, chéri ?

- Ce truc autour de ton cou ?

Merde ! J’ai oublié de retirer mon collier. Me voilà fraiche !

- Ho ! ça ? C’est rien, je te raconterais. Rendors-toi vite mon amour !

Je ne lui laisse pas le temps de me poser d’autres questions et je file dans la salle de bain. Je me déshabille et me démaquille. Le miroir me renvoie mon image portant ce collier de cuir. Je le retire avec regret. Je l’aime bien moi, ce collier !

Eddy a rejoint notre chambre et s’est couché. Mais il ne dort pas.

- Où étais-tu ?

- D’après toi ? Au cabinet médical bien sûr ! Je suis contente, j’ai tout remis en ordre.

- J’y suis passé à onze heures pour t’apporter du café. Il n’y avait personne.

- Ha ! Ho ! Onze heures dis-tu ? Ha oui ! J’étais descendue à la brasserie ! Nous avons eu la même idée, tu vois.

- La brasserie était fermée !

- Hein ? Ha oui ! C’est pour çaa ! Je suis allée plus loin vers la gare. Tiens ! C’est là que j’ai rencontré un vendeur à la sauvette. Il m’a tellement saoulée que je lui ai acheté le collier de cuir.

- On dirait un collier pour chien ! Haha !

- Oui ! Hihi ! Tu as raison ! Je ne suis pas prête de le remettre ! Hihi.

Il rit ! Je n’en crois pas mes oreilles. Il a cru à mon histoire. J’en tremble encore. Je reviens de loin.

A suivre...