mardi 29 avril 2025

Dressage d’une quadra Ch. 06

Récit de Patricia2 (2010)

*****

Fin de mon dressage.

Comme Pierre m’en avait parlé, j’allais avoir l’occasion de me racheter et de donner satisfaction à une autre de ses relations, je lui demandai combien d’hommes y allait-il y avoir. Il me répondit que cela ne me regardait pas, mais que ce qui allait m’arriver avait été orchestré dans les grandes lignes.

Je m’habillai comme la fois précédente : jupe courte, cuissardes, chemisier, et mon collier. Pierre me conduisit en voiture jusqu’à un portail et me dit : 

- C’est là, donne satisfaction !

Il me tendit une enveloppe que je devais remettre. Je sortis, regardai la voiture s’éloigner, puis je me décidai à sonner,. Le portail s’ouvrit, je me dirigeai vers la porte d’entrée de la maison. Une distance d’environ 15 mètres m’en séparait. Un mot scotché sur la porte :

« Tu te déshabilles, tu mets le bandeau qui se trouve à terre sur tes yeux, et à genoux ! La phrase magique à dire : je suis je suis venue pour me faire dresser et me faire monter ! »

Je regardai aux alentours s’il y avait peu de vis-à-vis. Des deux fenêtres d’où on pouvait me voir, je ne vis personne derrière les vitres.

Je me déshabillai, mis le bandeau, à genoux, j’attendis un long moment. Ils me faisaient déguster mon humiliation, moi, qui, étant plus jeune m’amusais a faire marcher les garçons, et à présent être à leur entière disposition, et devoir donner satisfaction, m’abandonner à eux, combien seraient-ils ?

J’entendis la porte s’ouvrir, je prononçai la phrase magique, et tendis l’enveloppe, il l’ouvrit et lut a haute voix :

« MODE D’EMPLOI DE PATRICIA :
Si vous lisez cette lettre, c’est que vous avez devant vous Patricia, et cette lettre est en quelque sorte son mode d’emploi :
C’est une bourge particulièrement salope, elle est aussi bien clitoridienne que vaginale, elle mouille rapidement et facilement.
Il est préférable de la fouetter avant de la posséder, elle n’en éprouvera que plus de plaisir et se donnera avec plus d’ardeur.
Elle suce bien, mais peut s’améliorer, ne pas hésiter à la faire sucer le plus possible et avaler, ne pas hésiter à l’humilier, elle apprécie.
Voilà, je vous en souhaite bonne utilisation, et surtout n’hésitez pas à la punir si elle ne vous donne pas satisfaction. Je m’en chargerai également dès son retour (c’est la double peine) »

Je sentis une main me pincer fortement le bout d’un de mes seins. Il me fit me relever et m’entraîna à l’intérieur.

- Messieurs, je vous présente Patricia, la salope que nous attendions.

Il m’ordonna de mettre les mains sur les hanches, comme une pute qui vend son corps et retira mon bandeau.

J’ai cru que j’allais défaillir, horreur, un copain de FAC, Philippe se trouvait devant moi, je le reconnus facilement, il n’avait guère changé. A l’époque je l’avais fait marcher, lui posant des lapins, jouant avec ses désirs pour moi sans rien lui accorder, cela faisait partie des jeux de filles. Philippe ne marchait pas, il courait, le type de l’amoureux transi.

Comment Pierre avait-il fait (facebook ?). Il est machiavélique, j’étais livide. Nue devant lui, je sentis le bout de mes seins s’ériger, je m’en voulais de ne pouvoir les contrôler, cette situation humiliante plaisait aux bouts de mes seins, nue devant lui et à sa merci, à devoir lui obéir, le satisfaire. J’avais envie de protéger ma poitrine, mon sexe avec les mains, mais je pensai au fouet entre les jambes, et je pensai que je devais affronter, surmonter cette épreuve, je devais être à la hauteur, ne pas décevoir.

A la FAC et par la suite, j’avais le pouvoir sur les hommes, à présent, c’était l’inverse, ma vie avait basculé depuis que je connaissais Pierre.

- Alors la bourge, comme on se retrouve, te souviens-tu de moi ?

- Oui Philippe !

- Tu te souviens de m’avoir fait marcher et même courir ?

- Oui, mais cela fait longtemps, et ce n’était pas méchant !

Je reçus une paire de gifles (j’ai l’impression que les hommes aiment bien me gifler)

- C’est moi qui parle et juge, toi qui obéis ! Je n’ai rien oublié, et tu dois bien te douter que lorsque Pierre est venu me demander ce service, j’ai pris grand plaisir à accepter, participer à ton dressage est intéressant et te fera le plus grand bien ! J’ai invité quelques copains, mais c’est bien pour te rendre service, pour te faire plaisir… D’abord, tu vas nous parler de toi, ensuite nous t’utiliserons comme doit l’être une femme dans ton genre !

Il me fit asseoir sur une table basse, les fesses juste au bord, les bras croisés derrière le dos, les cuisses grandes ouvertes. Il attacha des pinces à mes lèvres avec des poids (tout en visitant mon intérieur humide) pour bien ouvrir ma chatte. Ils étaient face à moi assis sur fauteuils et canapés à me détailler, je reçus une autre paire de gifles (c’est bien ce que je disais me gifler doit être leur plaisir aux hommes).

- C’est pour le passé, et ce ne sera pas la dernière ! Nous allons jouer aux questions réponses, c’est pour faire connaissance, pour t’utiliser au mieux. Si tu ne réponds pas assez vite c’est une gifle, si tu mens (nous le saurons), c’est une paire !

Et les questions commencèrent :

A quel âge je me suis fait baiser pour la première fois ? à quel âge j’avais commencé à sucer ? à avaler ? si je préférai être montée sans ménagements ou avec douceur, si je préférai les longues queues dans la bouche ou les épaisses ? quels étaient mes fantasmes (elle fait mal cette question, humiliante, et surtout d’y répondre avec franchise), etc...

Je devais répondre en regardant dans les yeux la personne qui m’avait posé la question.

Je reçus seulement une fois une paire de claques (oui, encore une), de temps en temps un des hommes introduisait deux ou trois doigts dans ma chatte (que je maudissais, car elle s’ouvrait), pour me masturber, pinçait mon clitoris, me pinçait le bout des seins et installait des pinces a linge, je grimaçais de plaisir ainsi que de douleur, avec une forte envie de serrer les cuisses.

Les questions cessèrent, ils me firent les sucer les uns après les autres, eux, assis et moi à genoux devant eux, c’était pour me faire faire connaissance avec leur queue, ils n’allèrent pas jusqu’au bout.

Philippe, lui, préféra se lever, et moi à genoux devant lui, il voulait que je lui « vide les couilles », (le moment redouté arrivait), je le haïssais, j’allais y être obligée. Philippe vint m’attraper par les cheveux plaça ma tête devant la fermeture de son pantalon.

- Allez suce Patricia ! et correctement, il faut que tu me donnes satisfaction sinon…

Je fis glisser la fermeture, dégrafai la ceinture, fis descendre le pantalon puis le slip, je retardai l’instant. Son sexe était à présent dressé devant moi, je me décidai, je pensai que c’était le sexe d’un autre que Philippe, cela m’aidait, je suçai la verge, les grelots, la décalottai et l’enfournai dans ma bouche la faisant aller et venir, je pensai à ce qui m’attendait si je ne donnais pas satisfaction. Mon amour propre et orgueil en prirent un coup, j’y mis beaucoup d’applications, d’ardeur.

- Jusqu’au bout Patricia et tu avales ! cela me fait plaisir de te voir me sucer à genoux, la bourge sophistiquée devenue catin, je reconnais que tu es une bonne suceuse, tu verras tout à l’heure lorsque je te monterai ma petite pouliche !

Je bus mon humiliation jusqu’à la lie, je sentis la sève monter, et inonder ma gorge, je l’avalai en remerciant et en prenant bien soin de lécher la dernière goutte, j’étais honteuse.

Je devais reprendre la main, prouver ma bonne volonté et prendre une initiative pour me racheter de la dernière fois. J’avais vu un fouet sur une commode, je me levai, allai le chercher, me mis à genoux devant eux, le fouet à plat sur mes mains et leur tendis.

- S’il vous plaît, je suis meilleure lorsque j’ai été fouettée !

Je me devais de donner satisfaction, je pensais au fouet entre les jambes, et en même temps cela me coûtait de m’humilier ainsi devant Philippe.

J’entendis l’approbation et rires à mes dépens, ils semblaient ravis : bonne initiative. Ils m’attachèrent les mains en l’air, les jambes grandes écartées, je sentis le fouet claquer sur mes fesses, mon dos, pendant que deux me fouettaient, les deux autres s’occupaient de mes seins de ma chatte, de mon clitoris, puis ils échangeaient leur rôle.

Je compris qu’ils désiraient me faire jouir, ou plus exactement m’amener au presque orgasme et ralentir, donc la frustration de jouissance. l’un des hommes voulut me prendre par-devant, mais sans me faire jouir.

Puis, Philippe s’assit entre mes jambes et devant moi, me mit des pinces aux lèvres munies de poids pour laisser, je le suppose, ma chatte bien accessible, et se mit à s’occuper sérieusement de mon clitoris, le stimulant d’un doigt, et de son autre main il me pénétra de deux ou trois doigts, conjointement à l’action du fouet, cela devenait insupportable.

J’avais l’interdiction de jouir, je les suppliai, c’est ce qu’ils attendaient de moi, je mouillai, une vraie fontaine, j’avais honte, je me surpris à trépigner tellement le désir de jouir était intense et m’était interdit, j’avais envie de jouir, de serrer les jambes, je tirai sur mes liens.

Puis ils me détachèrent, j’étais épuisée, ils voulurent me jouer pour savoir lequel allait me « monter » le premier.

Ils me firent mettre à plat dos, les jambes repliées vers la poitrine, et grandes ouvertes, un coussin sous les reins, je dus avec mes mains écarter mes lèvres et ouvrir ma chatte, je pensai que Philippe devait être ravi de me voir ainsi offerte, dans cette humiliante position, d’ailleurs il me le fit savoir :

- Tu es indécente Patricia, lorsque tu étais étudiante, je suis sûr que tu ne pensais pas qu’un jour tu serais ainsi ouverte devant moi !

Ils prirent chacun 5 billes, se mirent à trois ou quatre mètres de moi, celui qui en mettait le plus dans le trou de Patricia serait le premier qui me sauterait, ensuite le suivant, etc... Execo ils rejouaient.
J’entendais les commentaires du style « ça y est, dans le trou de la bourge ».

Ça y était, l’ordre pour me « monter » fut établi, Philipe m’avait gagnée en premier. Ils me « vidèrent des billes» en me fouillant avec vigueur et sans ménagement, et en me disant que j’allais être remplie mais avec autre chose, puis ils m’emmenèrent sur un lit.

Je m’allongeai, deux des hommes me prirent chacun une jambe et ils m’ouvrirent au maximum. Les jambes un peu repliées et relevées, j’entendis Philippe dire :

- C’est moi qui te monte en premier et tu as intérêt à te donner, je veux t’entendre couiner !

J’étais écartelée, je vis que Philippe enfilait un genre de bague en caoutchouc munie de picots à son pénis. Il me pénétra d’un coup sec, puis alla et vintt lentement en moi, mais bien profondément. Il me prit la tête entre ses mains pour que je le regarde dans les yeux, (je compris à quoi servait l’objet qu’il avait mis a son pénis : celui-ci venait exciter mon clitoris à chaque coup de boutoir, terriblement efficace)

Il alla et vintt lentement en moi, comme pour savourer son triomphe, sa domination et me faire comprendre qu’il me prenait, me baisait, qu’il me dominait, qu’il me chevauchait, qu’il prenait le contrôle de mon corps, de mon esprit.

- Alors tu vois, je te monte, je te baise, je te la mets bien profond, et je veux t’entendre chanter, gémir, abandonne-toi, sinon je dirai à Pierre que je ne suis pas satisfait de toi !

Il continua de me besogner de plus en plus fort, cela me fit de l’effet, je commençai à geindre, gémir, je sentais ma chatte s’ouvrir, s’ouvrir inexorablement et mouiller.

Il ralentit, jusqu’à ce que je le supplie de me faire jouir. Il m’embrassa à pleine bouche, puis introduit deux ou trois doigts dans la bouche que je suçai avidement. Il arriva à ses fins, je ne me contrôlai plus et le remerciai de me donner du plaisir, de me faire l’honneur de me sauter. Il me gifla à deux reprises pendant qu’il me possédait. 

- Pour mon plaisir ! me dit il.

Je m’abandonnai, il déchargea. J’étais humiliée, domptée, vaincue, il avait pris possession de mon corps, de mon esprit. Pendant qu’il me prenait, j’entendais vaguement les commentaires salaces des « invités » de Philippe, « c’est une sacrée salope la Patricia », « écoute comme elle couine bien », « regarde comme ses mamelles ballottent », etc...

Un des hommes voulut me prendre par le petit trou, je dus me mettre courbée, la tête plaquée sur une table, les mamelles pendantes, les cuisses bien écartées, et les mains écartant les deux lobes de mes fesses, et demander :

- S’il vous plaît, faites-moi ce plaisir !

Pendant que celui qui m’avait gagnée me pénétrait, deux autres de chaque côté de moi, s’occupaient de jouer avec mes seins, les pinçant, les giflant. Les deux autres voulurent me prendre en sandwich, la vraie catin que l’on utilise.

Je livrai mon corps et âme tout au long de l’après-midi à leurs caprices, avec l’alternance de prise de possession de mon corps entrecoupée de jeux tels que de me mettre des pinces reliées à de longues chaînes aux lèvres, et je devais jambes grandes écartées et légèrement repliées, mains sur la tête faire aller et venir mon bassin d’avant en arrière, les poids devant aller toucher mes fesses et mon ventre, sinon fessée, ceci agrémenté de commentaires. Je devais offrir un magnifique spectacle. 
Un godemiché sur un tabouret, je devais m’y empaler, les mains sur la tête. 

Ils avaient beaucoup d’imagination, j’étais leur jouet sexuel qu’ils pouvaient utiliser à leur convenance puisque obligation d’obéissance et de donner satisfaction, à ce stade, je n’avais plus aucune pudeur.

*****

Voici arrivé la fin de mes récits, Pierre me dit que j’étais dressée et que nous allions pouvoir vivre différentes aventures et situations. Comme par exemple, le soir où je me suis retrouvée attachée au lit dans un grand hôtel, nue naturellement avec la serveuse venant apporter un plateau et Pierre de lui dire : 

- Madame n’a pas été sage, j’ai dû l’attacher !

Le lendemain, le personnel de l’hôtel me regardait avec un sourire narquois.

Aventures qui se sont déroulées dans différents lieus : Etretat, dans les forêts, chez un gynéco un peu particulier d’une ville du sud est de la France, etc….

Depuis le début de ces récits, j’ai divorcé d’avec mon mari. Avec Pierre nous vivons séparément, et heureuse pour ma part, je suis indépendante. Comme j’ai déjà pu le dire, je ne suis l’esclave que de mes pulsions, désirs, envies, Pierre n’est pas mon maître, je ne suis pas son esclave, mais sa grande complice.

Je remercie Pierre de m’avoir dressée, je bénis le jour où j’ai fait par étourderie l’erreur de transférer mon journal intime sur clé USB et d’être « tombée » sur la bonne personne.

Nous ne poursuivrons pas notre vie ensemble, je désire quitter la France pour aller vivre dans un autre pays, au sein d’une ville romantique, impériale, envoûtante, dont je suis amoureuse. Je vous souhaite à toutes et tous de vivre aussi intensément que je je fais.

Patricia

FIN

dimanche 27 avril 2025

Le mec de ma fille

Récit d'anonyme.

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Notre fille, Josette, âgée de 21 ans, était venu nous rejoindre à la campagne, pour quelques jours, mon mari et moi. Nous étions bien heureux de cette visite, les occasions de se voir étaient si rares depuis son départ de la maison, il y avait déjà trois ans. Toutefois cette visite était un peu ombragée par la présence inattendue d'un copain, Marc, grand escogriffe, plutôt maigre mais musclé, aux cheveux ébouriffés, portant une barbe courte de quelques jours et vêtu de cuir et de jean. À peine plus âgé que notre fille, il parlait peu, avait des manières brusques et m'occasionnait un profond malaise.

Le repas et la soirée furent sans histoires, sinon que j'avais remarqué les regards discrets mais particuliers de Marc. Certes à 45 ans je n'étais plus de première jeunesse, mais ayant toujours pris soin de ma personne, je n'avais aucune honte de mes courbes et me considérait encore comme une belle femme. Manifestement, Marc partageait cette perception et mon malaise en augmenta d'autant. Josette et Marc étant sorti tard en soirée, mon mari et moi étions au lit depuis longtemps lors de leur retour à la maison.

Le lendemain, comme de coutume, je me suis levée aux premières lueurs du jour et après les dispositions habituelles et un premier café, je me suis rendu à la salle d'eau pour y prendre ma douche quotidienne. Notre vieille maison de campagne, toute en pierres, avait été rénovée mais la complexité des travaux nous avait obligés à faire quelques concessions d'aménagement. Ainsi, la salle d'eau, avait été installée près de la cuisine, dans un appentis à l'arrière de la maison.

Comme nous vivions seuls, nous avions nos habitudes bien ancrées, et ce matin là, j'entrai dans la salle d'eau sans refermer la porte ni engager la serrure. Après m'être dévêtue, j'entrai dans la douche pour mes ablutions quotidiennes, d'une durée habituelle de trente minutes. Au bout d'à peine quelques minutes, en me savonnant sous le jet délicat de la douche, je me retournai et je vis au travers de la porte vitrée, une grande silhouette que je reconnus sans peine comme étant Marc. Je restai figée et après de longs instants, Marc referma la porte de la salle d'eau, retira son slip et entra sous la douche.

Au moment où il ouvrit cette porte, je détaillai en un instant son corps mince et musclé. son pénis en érection, d'une grosseur et d'une taille supérieure à la normale, attira immédiatement mon regard. Ayant refermé la porte, il me regarda longuement sans dire un mot. Puis, il tendit la main vers ma poitrine. Au contact de ses doigts, mes mamelons se durcirent instantanément, provoquant une sérieuse crampe dans mon vagin. Gênée et hésitant entre crier, me sauver ou m'abandonner, je me retournai et me blottis contre la paroi de la douche, lui demandant à voix basse de me laisser. Au contraire, Marc s'avanca tout contre moi, son pénis se frayant un passage entre mes fesses que je tenais aussi serrée que possible. Ses mains se frayèrent un chemin vers mes seins et mon intimité. Je résistai de mon mieux, mais pas de toutes mes énergies : je voulais, je ne voulais pas... Marc était un étranger et jamais encore, après plus de 25 ans de mariage, je n'avais trompé mon mari.

Devant ma résistance, Marc m'enlaça le bas ventre d'un bras et immobilisa mes deux poignets au-dessus de ma tête avec son autre main. Puis il se pencha légèrement, plaça son gland à l'entrée de mon anus, lequel était encore vierge de toute pénétration. En se relevant, il exerça une pression énorme et entreprit de se frayer un chemin par ce passage. Je protestai à voix basse, tellement basse qu'il ne put rien entendre. Je me relevai autant que possible, sur le bout des orteils et je tentai même de grimper sur la paroi pour échapper à la pression. J'y parvins un bref instant, mais ayant perdu pied, je retombai. L'eau qui s'écoulait sur nos corps en provenance de la douche était un excellent lubrifiant et en retombant, je m'empalai d'un trait sur toute la longueur de son membre. La douleur fut beaucoup moindre que prévue et, comme Marc s'activait en retirant son pénis jusqu'au gland puis en l'enfonçant à nouveau, je m'abandonnai, en tentant de conserver mon équilibre. Je le laissai fouailler mes entrailles selon son bon vouloir. 

Tout en continuant le vigoureux ramonage de mon rectum, Marc explora adroitement de ses doigts mon vagin, mes lèvres et mon clitoris. Ce dernier fut agressé tantôt avec douceur puis avec violence, comme l'intérieur de mon vagin, où il trouva sans peine le point le plus sensible. En même temps, il me proféra des obscénités dans l'oreille, nous comparant moi et ma fille, décrivant avec soin les jouissances avec Josette et me félicitant d'être beaucoup plus salope que ma fille. Il savait y faire et je jouis, longtemps, geignant, à la fois honteuse et soumise. J'adorai être enculée malgré ma honte. 

Après de longues minutes, il libéra mes poignets et enfila ses deux bras sous les miens. Consolidant son emprise, il s'enfonça violemment dans mon cul, me soulevant littéralement avec son membre, étirant mon anus à l'extrême et s'immobilisant ; je ressentis enfin ses tressaillements de jouissance. Après une longue période d'attente, empalée à fond sur son pénis et pleinement consciente que mon cul avait été vaincu par ses assauts, il me reposa délicatement. Je me retournai entre ses bras et je l'embrassai longuement pendant que, d'une main, je nettoyai tendrement son pénis. Au bout de quelques instants, nos lèvres toujours soudées, je sentis son membre reprendre de la vigueur et il m'ordonna de lui faire une fellation pour lui prouver que j'étais meilleure que ma fille. Toujours sous l'eau de la douche, agenouillée devant lui, j'entrepris de le contenter.

Quel membre ! Je l'aurais avalé avec délectation. J'entrepris une longue caresse du bout de la langue, tout autour du gland et de là jusqu'à la base de la queue. D'une main, je massai ses couilles, alors que de l'autre, je massai et étirai son membre. Tout cela alors que ma bouche avalais et palpais ce chibre vibrant de vie. 

Marc me repoussa soudain et je le crus enfin déterminé à me prendre. Mais non ! Il m'empoigna la taille et me bascula cul par-dessus tête, plaçant mes jambes sur ses épaules, de chaque coté de sa tête, sa face directement enfoncée au plus profond de mon intimité. Je me retrouvai en 69 debout, face à son membre que j'avalai à nouveau avec délectation. Sa langue s'acharna sur mon clitoris et mon vagin pendant que je le suçai de mon mieux. L'eau chaude de la douche sur mon dos, sa langue et mon excitation furent un cocktail explosif : je jouis à répétition et avec une telle violence que je fus incapable de compléter ma fellation.

Marc me déposa ensuite sur le sol, écarta mes jambes et me pris lentement, profondément, complètement. Il s'enfonça en moi en se tortillant doucement entre mes jambes, ce qui eut pour effet d'élargir le passage, d'exacerber mes parois et de compléter sa totale domination sur moi. Puis Marc me quitta, repu et sans coeur, me laissant étendue sur le sol, nue, mouillée, écartelée et ouverte par tous les trous. L'eau ne coulait plus et il faisait chaud. Il me fallu longtemps pour récupérer et retourner dans la maison.

Heureusement j'étais seul, Marc étant retourné se coucher avec ma fille. J'eus le temps de me refaire une toilette avant le réveil général. En fin de journée, Josette et Marc décidèrent de retourner à la ville. Un peu avant leur départ, Marc vint me dire bonjour dans la cuisine. Malgré la présence de Josée et de mon mari dans la pièce voisine, le goujat m'empoigna par la taille et m'embrassa pendant que son autre main s'enfonça sous mes sous-vêtements. En quelques secondes je fus caressée et palpée aux seins, au ventre, aux fesses et à la vulve, ses doigts s'enfonçant tour à tour dans mon vagin puis dans mon cul. Je fus presque totalement déshabillée. Je l'aurais bien laissé faire et franchement, je regrettai qu'il me laissa ainsi pantelante pour aller rejoindre Josette.

Marc et Josette se quittèrent quelques mois plus tard et depuis je n'ai plus de nouvelles de lui. Toutefois, il faut avouer que pendant la période où il fréquenta Josette, Marc vint très souvent à la campagne et il me fit subir autant de fois les pires outrages. Je n'offris jamais la moindre résistance, je ne refusai jamais la moindre de ses initiatives et je ne regrettai jamais cet épisode un tumultueux de ma vie... Dieu que c'était bon ! 

FIN

vendredi 25 avril 2025

Rumeurs vicieuses Ch. 01

 Traduction d’un texte de Iwroteathing

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Une directrice réagit aux rumeurs qui circulent à l'école.

La grande salle aux murs en acajou est pleine à craquer. Les portraits de vieillards aux visages sévères surplombent les étudiants assistant à leur première réunion pour la nouvelle année au pensionnat de garçon de St Bernard.

Une imposant silhouette se place derrière le pupitre en noyer et regarde les étudiants. Elle s’éclaircit la gorge, prête à dire aux garçons rassemblés de se taire, mais sa silhouette imposante porte ce message bien avant qu’elle ne puisse ouvrir la bouche. Puis sèchement elle dit :

- Merci ! Pour ceux qui reviennent pour une nouvelle année scolaire et qui ne le savent pas, le directeur, M. Bittenbinder a pris sa retraite. Nous lui souhaitons donc tous le meilleur pour l’avenir. C’est pourquoi je m’adresse à vous en tant que nouvelle directrice.

- Je n’arrive pas à croire qu’ils l’aient nommée directrice, j’ai entendu dire que c’était une vraie salope. Murmure un élève.

- Je parie qu’elle a obtenu ce poste en baisant tout le conseil. Lui répond son ami à voix basse.

- Beaucoup d’entre vous ont l’habitude de m’appeler Mme Quedir depuis mes six années en tant que professeur d’informatique. Je vais vous laisser un peu de temps pour vous adapter, mais mon nouveau titre est Directrice Quedir, est-ce clair ?

- Plutôt Directrice « Queue dure » Marmonne un garçon trapu dans sa barbe.

- Quand j’ai commencé à enseigner l’informatique beaucoup m’ont déconseillé de le faire. On ne savait pas encore si internet ne serait qu’une mode passagère ou un nouvel avenir. Mais j’ai suivi ma passion et je suis aujourd’hui directrice de l’école privée la plus prestigieuse du pays. Vous aussi, vous pouvez suivre vos rêves. Alors restez concentré et apprenez tout ce que vous pouvez, on ne sait jamais quelles portes pourraient s’ouvrir pour vous en apprenant du code hexadécimal.

- A moins que le code hexadécimal me donne une ouverture pour son cul, je m’en fiche. Plaisante un garçon à voix basse vers son ami.

Aucun des étudiants qui chuchotent entre eux ne se doute que Gladys Quedir capte des bribes de leurs commentaires et adore ça.

 *****

Gladys retourne dans la maison qui fait office de logement de fonction pour le directeur du campus. Elle n’est pas censée y rester tout le temps, mais elle a choisi d’y aménager au moins pendant la première année. Son mari est à la tête d’une grosse entreprise et ne s’inquiète pas de ses longs séjours sur le campus, car lui-même est souvent en voyage d’affaires à l’étranger. Elle verrouille la porte derrière elle et elle crie de joie refoulée face à cette nouvelle situation.

Être enseignante dans une école réservée aux garçons signifie toujours une inévitable sexualisation enfantine, des moqueries des élèves, des murmures étouffés quand ils pensaient qu’elle ne pouvait pas les entendre, des commentaires désagréables écrits sur les murs des toilettes, des rumeurs sur ses penchants sexuels qui varient d’une semaine à l’autre.

Le fait que sa silhouette imposante soit déterminée par d’énormes seins en bonnet E et un cul assorti n’aide pas. Elle n’est pas maigre et certains la voient même grosse, mais ce n’est pas le cas. Elle porte la majeure partie de son poids dans ses seins et ses fesses. Ce que les élèves ne savent pas, par contre, c’est que Gladys a l’ouïe d’une chauve-souris. Aussi loin qu’elle s’en souvienne, les conversations à voix basse ne sont jamais assez faibles pour qu’elle ne les entende pas.

Au début, elle ne s’est pas laissée atteindre par ces choses, puis elle les a trouvées drôles. Puis au fil du temps, elles l’ont pénétrée comme une rivière qui use la pierre. Si bien qu’aujourd’hui, à chaque commentaire sexiste, elle se réfugie dans le fantasme de se demander à quoi ressemblerait sa vie si elle était la personne qu’ils disent qu’elle est.

A 36 ans, et maintenant à la tête d’une école, Gladys sent le pouvoir l’envahir et ressent des picotements à l’idée de savoir comment elle peut l’utiliser. Elle ne sait pas si c’est simplement parce qu’elle a maintenant du pouvoir et de la liberté, ou si c’est la crise de la quarantaine, mais elle est impatiente de voir ce qu’elle peut faire.

Lors des entretiens pour le poste de directrice, elle avait mentionné quelques défauts sur le site web de l’école, et le conseil avait convenu que la solution la plus facile de corriger ces problèmes était qu’elle le fasse, étant donné ses qualifications informatiques.

Lors de la correction du site, elle avait décidé de laisser une petite coquille dans la page « A propos de la directrice ». Elle avait laissé la chaîne de caractère «  73616c6f7065 ». Pour un œil non averti, c’était une chaîne de caractère et chiffres aléatoire, mais en vérité c’était du code hexadécimal qui voulait dire « Salope ».

C’est à partir de ce jour que Gladys découvre la joie de semer « des miettes de pain », des indices. Elle a toujours aimé les théories de conspiration adolescente selon laquelle elle serait une pute en secret. Et maintenant elle va se faire plaisir en créant sa propre conspiration et en attendant de voir si quelqu’un pourra parvenir à déchiffrer ce code qu’elle laisse un peu partout. Sur la première page du site web de l’école, elle a jouté « la directrice est une sale pute » en écriture hexadécimale au bas de la page. Cela peut être pris comme une erreur informatique.

Bien qu’elle dispose d’un grand bureau à l’école, elle a également un bureau dans son logement de fonction sur le campus. Elle a baptisé son bureau en écrivant en lettres vertes le texte « Si tu m’ordonnes de te baiser, ici et maintenant, je deviendrai ton esclave ». Ce texte est écrit en petit sur un écran d’ordinateur sur une photo de groupe prise en classe qu’elle a encadré sur le mur.

La veille du premier jour d’école, Gladys a passé la nuit perdue dans ses fantasmes. Elle s’est imaginée que l’ensemble des étudiants se livraient aux spéculations habituelles sur sa vie sexuelle, puis qu’un jour, l’un de ses anciens élèves, maintenant plus âgé et suffisamment intelligent pour déchiffrer le code commencerait à trouver ses indices et réaliserait que tout est vrai.

Mais alors qu’elle fantasmait, elle s’est rendu compte que jusqu’à présent, elle n’avait seulement fait qu’à contribuer aux spéculations des étudiants dans des endroits étranges. Mais la vérité n’était pas encore établie. C’est alors qu’elle a décidé qu’il lui fallait un but, quelque chose d’infiniment impossible à atteindre, qui prouverait sans aucun doute, qu’elle était une déviante sexuelle.

Il lui fallut un peu de temps avant de découvrir le site « SkankBank », un site de mannequins pornos où on pouvait déposer ses créations. C’était un site qui avait la pire réputation sur internet. Il était gigantesque et affreux, mais l’inscription était facile. Gladys créa un nom utilisateur : « 1a569dcac42e79d8ab ». C’était son nom complet en hexadécimal. Quiconque déchiffrerait ses indices pourrait peut-être la trouver. Mais la création de ce compte n’était que la première étape.

Le site lui permettait de créer deux profils, le premier étant destiné aux personnes qui ne payaient pas, et le deuxième pour les fans payants. Gladys laissa son profil gratuit presque vide sans photos. Puis elle passa au profil premium pour les personnes payantes et le mit en attente.

Elle prit une profonde inspiration. La vidéo qu’elle allait faire n’était pas vraiment prévue, elle tournait simplement dans sa tête depuis longtemps, l’empêchant parfois de dormir.

Elle se rendit dans sa salle de bain pour se préparer, un processus qu’elle avait l’habitude de faire tous les matins. Elle s’assura d’avoir exactement la même apparence qu’un jour d’école ordinaire. Elle coiffa ses longs cheveux noirs en un chignon sévère. Elle se maquilla de façon ordinaire, un maquillage léger qui n’attirait pas l’attention ou qui pourrait faire qu’elle soit accusée d’être trop sensuel, juste un maquillage pour avoir l’air professionnel. Ensuite elle enfila ses vêtements de travail : une jupe noire jusqu’aux genoux, ses jambes étant couvertes d’épais collants noirs, un chemisier blanc avec une cravate aux couleurs de l’école, et enfin un blazer gris. C’était exactement ce qu’elle portait à l’école, à l’exception du fait que là elle n’avait mis aucun sous-vêtement.

Elle posa son téléphone debout sur la table face au lit où tous les directeurs précédents avaient dormi, et elle appuya sur « Enregistrer ».

- Bonjour ! Gloussa-t-elle.

- Si tu vois ça, alors tu as résolu tous mes indices et déchiffré ma honte. Eh bien je suppose que tu as mérité ce qui suit.

Gladys fait quelques pas en arrière et commence à se balancer en retirant son blazer. Elle fixe la lumière du téléphone qui illumine son strip-tease silencieux et qui lui rappelle qu’elle est enregistrée.

- Tu vois déjà que je ne porte pas de soutien-gorge ! Je ne peux plus supporter d’enfermer ces gros seins un instant de plus.

Elle gémit, en tirant sur son chemisier pour laisser ses mamelons se détacher sous le tissu.

- Tu veux les voir ? Tu veux voir les seins sur lesquels les élèves de mon école se branlent en rêve ?

Elle retire la cravate de l’école d’un seul mouvement vif et elle commence à dégrafer les boutons du haut de son chemisier. Ses mains tremblent tellement alors qu’elle danse et respire fort. Elle se débat avec les boutons alors que le chemiser se desserre. Lorsqu’elle remarque qu’il lui reste encore six boutons à défaire, elle décide d’avoir une approche différente. Elle soupire, s’approche un peu pour que son torse soit directement devant la caméra et elle tire sur son chemiser pour le déchirer.

Les boutons claquent et s’envolent tandis que les seins de Gladys apparaissent. Elle reprend son souffle, retire les restes du chemisier puis caresse ses seins exposés.

- Ce sont les plus gros nichons, les plus gros seins de salope que tu aies jamais vus ? Tu n’as pas envie de fourrer ta bite entre eux et de jouir sur mon visage ?

Elle se dandine et recule pour déboucler sa jupe. Elle se tourne sur le côté pour que la caméra capture les courbes de son cul alors qu’elle tire l’ourlet de la jupe vers le bas.

- Oh mon Dieu, ces collants ne cachent pas grand-chose n’est-ce pas ? Je parie que si tu regardes bien, tu peux voir ma chatte ! Dit Gladys en tirant sur ses collants pour montrer les lèvres nues de sa chatte sous le tissu.

- Je ferais mieux de les enlever, ils ne vont que me gêner alors que je joue avec moi-même.

Gladys s’assit sur le lit et retira ses collants le long de ses jambes. Elle poussa un petit cri en réalisant qu’elle était entièrement nue devant une caméra qui l’enregistre. Elle se releva en passant les mains sur ses courbes voluptueuses.

- J’espère que tu aimes les gros culs ! Cria-t-elle en se penchant et en écartant ses fesses.

- j’ai un cul énorme qui est parfait pour avaler des bites.

Elle avança et passa sans problème de la position penchée à la position à quatre pattes sur le lit. Elle s’effondra en avant tandis que sa main se plaça entre ses jambes.

- Mon Dieu, ma chatte est tellement mouillée que je parie que je vais jouir très fort. Tu veux me regarder jouir ? Demanda-t-elle.

Elle n’attendait pas de réponses et laissa sa main titiller son clitoris. Elle ne contrôlait plus ses gémissements de plaisir. Elle utilisa son autre main pour écarter une fesse afin de s’assurer que le téléphone capte chaque centimètre du spectacle. Il ne fallut pas longtemps à Gladys pour avoir un orgasme. Elle hurla avant de s’effondrer sur le lit. Puis elle reprit ses esprits et se tourna vers le téléphone.

- Les rumeurs sont vraies, La Directrice Gladys Quedir et une salope en chaleur ! Dit-elle avant d’éteindre le téléphone et de s’allonger pour revoir le film.

Elle regarda la vidéo trois fois en se masturbant avant de prendre sa résolution et de la télécharger sur le site SkankBank.

En fin de téléchargement, le site lui demanda quel prix elle souhaitait fixer pour que l’on puisse voir son profil payant et la vidéo.Elle réfléchit et se dit qu’il n’y avait aucune somme d’argent qui n’était plus élevée que l’argent de poche de certains élèves de son école privée, qui pourrait les dissuader de payer. Alors elle eut l’idée de fixer le prix à 2047 euros, le maximum autorisé par le site.

Puis elle retourna sur son profil gratuit où elle téléchargea sa photo depuis le site web de son école ainsi que sa biographie. Elle passa celle-ci dans un traducteur polonais puis dans un traducteur français afin qu’il y ait des erreurs dans le texte. Le premier cours informatique qu’elle donnait apprenait à ses élèves ce qu’était une arnaque informatique ainsi que les fakes sur internet. Donc elle s’assura que son profil y ressemble. Puis elle eut une montée d’adrénaline quand elle cliqua sur « Soumettre son profil » et qu’elle regarda sa page être mise en ligne.

C’était un pari risqué, mais il n’était plus impossible maintenant que quelqu’un découvre la preuve de ses déviances sexuelles.

 ******

Gladys frissonne en marchant dans la cour de l’école. Elle garde toujours son apparence sévère qui pose son autorité et limite les commentaires aux remarques sarcastiques dans les couloirs calmes. Mais chaque fois qu’elle perçoit une pique sur son corps de la part des jeunes garçons remplis d’hormones dont elle est responsable, ça lui rappelle la vidéo qu’elle a tournée.

Gladys continue de laisser des indices quand elle le peut. « 4a27616920756e6520766964c3a96f 2073757220536b616e6b42616e6b » est sa confession. C’est une chaîne de caractère hexadécimal qui dit : « J’ai une vidéo sur SkankBank ». Elle est placée en tout petit caractères à la fin de sa signature électronique.

Gladys est contente qu’une confession de sa nature de salope se trouve dans toutes les boites de réception des administrateurs, des parents d’élèves et même de son mari à qui elle avait envoyé un message depuis sa boite professionnelle. Néanmoins elle reste tranquille tant qu’elle reçoit pas de virement bancaire de la part du site SkankBank.

Mais après un certain temps, Gladys a envie d’essayer autre chose. Elle veut que les rumeurs à son sujet à l’école deviennent réalité. Elle veut être la salope de l’école sur laquelle ils fantasment tous. Mais en même temps, l’idée de baiser un étudiant la rebute et les élèves ne parlent d’elle qu’en train de vouloir de vouloir mendier une bite de jeune garçon. Elle se demande alors s’il est possible de diriger les rumeurs, d’exercer un minimum de contrôle pour les guider dans la bonne direction tout en les laissant suffisamment libres pour lancer les commentaires qu’elle aime. Il lui suffit d’une modification subtile d’une commande de produits pour la cafétéria mélangée à une rédaction intelligente d’une annonce matinale pour voir si elle peut orienter les esprits.

« Bonjour, avant de passer aux résultats du tournoi de rugby intra-muros, j’ai quelques annonces à faire. Tout d’abord, j’aimerais rappeler à tous les garçons que se masturber sous la douche est strictement interdit. C’est dégoûtant et nous avons eu une série de canalisations bouchées à cause de cela. Deuxièmement, l’école et la cafétéria sont à court de concombres, donc tous les plats avec cet ingrédient sont supprimés du menu jusqu’à ce que nous puissions nous réapprovisionner. »

Dans sa tête, Gladys s’imagine les jeunes esprits excités qui croient avoir eu une révélation. Elle est certaine qu’à la fin de la journée, tous les garçons vont penser que quelqu’un comme elle a utilisé tous les concombres pour se faire plaisir. Elle en a la confirmation quand elle entend un garçon chuchoter à son ami :

- Je parie que la cantine n’a plus de concombres parce qu’elle les a enfoncés dans sa chatte !

- Les filles n’ont besoin que d’un concombre pour ça, Denis ! Répond son ami.

- Pas si elle utilise un après l’autre. Une garce excitée comme ça, je parie qu’elle peut passer tout le week-end à se baiser comme une folle.

« Très bien, si tu penses vraiment à ça, je ne vais pas te décevoir » Pense Gladys. Elle anticipe déjà ses courses au supermarché vendredi soir et elle espère qu’il vendra des cagettes de concombres.

 ******

Gladys se réveille samedi mati avec un plan. Elle sort du lait du réfrigérateur pour ses céréales du matin et elle frissonne de joie en voyant le bac à légumes rempli de concombres. Son épicerie ne vendait pas les concombres en gros, mais elle avait décidé d’en ramener une très grosse quantité. Elle avait décidé qu’à la fin du week-end, elle se serait baisée avec tous les concombres du réfrigérateur.

Une fois son petit déjeuner terminé, elle se dirige vers la douche et attrape  un concombre dans le frigo. Quand elle sent qu’il est très froid dans sa main, elle décide de tous les sortir pour les poser sur la table de la cuisine pour qu’ils se réchauffent.

Sous la douche, elle glisse le premier concombre dans sa chatte, haletant devant sa volonté de suivre les instructions imaginaires de ses étudiants excités. Au début, il est un peu difficile de trouver le bon angle, mais une fois qu’elle est allongée sur le sol de sa douche et qu’elle a trouvé le bon rythme, elle atteint un premier orgasme avec le légume.

Quand elle reprend ses esprits, et qu’elle comprend ce que se baiser avec un concombre implique, la pile sur la table commence à l’effrayer. Si elle continue comme ça, sa chatte va être en feu en un rien de temps. Son cerveau bourdonne d’idées, les commentaires imaginés résonnant dans ses oreilles avant qu’elle n’ait une idée.

 *****

- Bonjour ! Dit Gladys, debout au milieu de sa cuisine, pinçant ses tétons exposés, la lumière du téléphone illuminant son corps nu pendant qu’elle enregistre.

- Nous sommes le 9 octobre. Hier la cafétéria de l’école n’avait plus de concombres et la rumeur qui court parmi les étudiants est que je les ai tous pris pour me baiser. C’est un petit peu tiré par les cheveux n’est-ce pas ? Mais comme nous le savons, les rumeurs à mon sujet sont vraies.

Gladys tend la main vers la table et prend un concombre pour le montrer à la caméra. Elle s’assoit sur le sol de la cuisine et glisse le concombre dans sa chatte en gémissant de plaisir et de honte. Elle le pousse à l’intérieur et le sort pendant quelques instants avant de lancer un sourire effronté à la caméra.

- Je n’ai pas besoin de tous ces concombres si je me baise avec en les utilisant un par un, n’est-ce pas ?

Elle prend un deuxième concombre et l’enduit avec de l’huile d’olive. Elle avait trouvé sur Google que si on se lavait soigneusement après, l’huile d’olive était un bon lubrifiant sexuel en cas de besoin.

- Tu veux me voir enfoncer ce concombre dans mon gros cul de salope ?

Elle s’agenouille face à la caméra et elle se penche en utilisant une main pour tenir le concombre dans sa chatte et l’autre pour faire glisser le deuxième dans son cul. Gladys connaît la sodomie depuis longtemps, car son mari et elle ont essayé à peu près tout. Mais la sensation d’avoir quelque chose dans sa chatte alors qu’elle pousse autre chose dans son cul est nouvelle. Elle pousse un gémissement puissant alors que son cul s’ouvre et qu’elle se sent complètement remplie.

C’est assez difficile de se baiser avec les deux concombres en même temps et d’essayer de le faire pour que la caméra voit vraiment tout. Gladys manque de s’arrêter à ce moment-là, mais elle a prévu autre chose. Elle gémit :

- Oh oui… Dons tu peux dire que je suis une pute anale aussi. Mais je veux te montrer à quel point je suis bonne avec une bite dans la bouche.

Elle se redresse et s’agenouille, utilisant le sol pour garder les concombres dans sa chatte et son cul pendant qu’elle en prend un autre. Comme il s’agit moins de plaisir de performance , elle prend son temps, léchant sensuellement le légume avant d’enrouler ses lèvres autour et de le pousser dans sa gorge.

Gladys pousse le concombre plus loin que son mari n’ait jamais été. Elle l’enfonce jusqu’à ce qu’elle ait un réflexe nauséeux et qu’elle commence à s’étouffer avec le légume. La pensée de ce à quoi elle doit ressembler à ce moment, la sensation d’avoir ses trous remplis, et la pression étouffante dans sa gorge poussent Gladys à accélérer. Elle mord le concombre pour le forcer à rester dans sa gorge alors que ses mains retournent pilonner sa chatte et son cul avec les deux autres. Tout son bassin vibre en rythme alors qu’elle jouit de cette stimulation écrasante.

Elle s’effondre sur le sol et crache le concombre. Elle tremble sous le contrecoup de son expérience réussie. Elle reprend ses esprits et se lève, puis elle saisit son téléphone :

- Mmmmm… Donc ça fait trois concombres utilisés, combien j’en ai ?

Elle tourne l’objectif vers la table de la cuisine et elle compte à voix haute avant de dire :

- Il en reste six, je ferais mieux de me dépêcher !

A ce moment elle a une autre idée géniale qu’elle sait devoir dire à voix haute pour s’engager.

- Je parie que je pourrais être une salope aux concombres dans chaque pièce de la maison de la directrice. Combien de pièces y-a-t-il ? En plus de la cuisine et de la salle de bain où je me suis déjà baisée, il y a la chambre, le bureau, le couloir, la chambre d’amis, le salon…

Essoufflée elle s’arrête un court instant jusqu’à ce qu’elle réalise :

- Oh, il y a aussi le jardin derrière ! Ça fait six zones et j’ai six concombres, je vais alterner entre ma chatte et mon cul. Je ferais mieux de me mettre au travail.

Gladys arrête l’enregistrement, mais se dit qu’elle n’a pas le droit de télécharger la vidéo avant d’avoir terminé le défi qu’elle vient de s’imposer. Tard dans la nuit, sa chatte et son cul en feu, elle se dirige vers son ordinateur et clique sur « Télécharger ».

 ******

Son expérience avec les concombres et les picotements de joie qu’elle ressent en parcourant les couloirs de l’école font que Gladys est sur un petit nuage pendant un certain temps. Bien que les rumeurs perdurent, elles n’évoluent pas beaucoup. Donc Gladys passe des semaines à entendre des conversations sur elle et les concombres. Elle est ravie que les étudiants ne sachent pas à quel point elles sont vraies.

En plus, Gladys s’occupe à laisser encore plus d’indices. Elle change sa signature électronique afin de changer le code hexadécimal pour un autre qui veut dire « Je suis une salope de SkankBank. De nouvelles vidéos bientôt... ». Mais son plan le plus osé est de mémoriser en hexadécimal le lien vers le site et de l’écrire sur tous les papiers qui traînent quand elle se promène dans les couloirs.

- Quelqu’un finira bien par se poser des questions ! Se dit-elle.

Alors que l’automne approche et que les feuilles commencent à tomber, Gladys décide de s’acheter un nouveau manteau. Comme elle est directrice d’école et qu’elle a reçu une augmentation de salaire, elle décide de se faire vraiment plaisir et elle achète un long manteau marron de luxe, dont le pris n’est pas négligeable. Après avoir porté ce manteau pour la première fois à l’école, les rumeurs commencent à changer de manière inattendue, mais pas désagréable.

- Tu as vu le nouveau manteau de la directrice ?

- Le long, marron ? Qui s’en soucie ?

- Qui s’en soucie ? Olivier, c’est le genre de manteau que les exhibitionnistes utilisent. Je te parie qu’elle sort le soir sans rien porter dessous !

- Tu penses que la Directrice Quedir est une exhibitionniste ? C’est pas possible…

« Pas encore » pense Gladys.

 *****

La nuit dans un pensionnat est tout un autre monde. L’internat est séparé des salles de cours et des gardiens de nuit patrouillent dans les locaux. Mais il manque toujours de personnel et les enseignants finissent par prendre des tours de garde pour gagner des heures supplémentaires. Gladys dit alors au corps enseignant que pour garder le moral de tout le monde , elle prendra elle aussi de temps en temps des heures de garde. Elle veut monter qu’elle ne demande pas aux autres de faire quelque chose qu’elle ne ferait pas elle-même.

Gladys frissonne. Après tout, elle avait acheté ce manteau parce que le temps dehors se faisait plus froid, mais maintenant, elle est dehors dans une nuit froide de fin octobre, ne portant rien d’autre que son manteau et des talons hauts. Lors de sa première promenade dans les dortoirs, elle portait plus de choses, mais elle était allée se changer dans le bâtiment principal de l’école où personne ne patrouillait la nuit, faisant confiance aux serrures (dont Gladys avait les clés), aux alarmes (que Gladys désactivait), aux caméras de sécurité (que Gladys éteignait) pour assurer la sécurité de l’école.

Gladys pose son téléphone sur un pot de fleurs face aux emblématiques portes d’entrée en acajou. Elle l’incline pour s’assurer que le grand panneau indiquant « Ecole privée de St Bernard : là où l’avenir est façonné » soit également dans le cadre.

- les garçons de mon école ont discuté ensemble et j’ai entendu dire qu’ils pensent que mon nouveau manteau ressemble à un manteau d’exhibitionniste.Je ne pense pas qu’il ressemble à un manteau d’exhibitionniste, et vous ?

Elle bouge et tourne devant la caméra pour montrer son manteau.

- Peut-être que ça vient de la doublure ? Est-ce que la doublure fait que ça ressemble à un manteau d’exhibitionniste ?

Elle ouvre le manteau, exposant son corps nu à la caméra, frissonnant sous la bouffée d’air froid qui frappe son corps.

- Oh mon Dieu, je suis une exhibitionniste ! Je pense alors que ça fait de ce manteau, un manteau d’exhibitionniste. Dans ce cas, je ferais mieux d’aller montrer mon corps d’exhibitionniste à tout l’école n’est-ce pas ? Dit-elle avant d’avancer vers le téléphone, manteau ouvert pour laisser la caméra filmer son corps nu et froid, avant de l’éteindre. Elle a décidé que ce soir ce serait une série de vidéo d’elle s’exhibant dans l’école. Et elle connaît la première étape de sa tournée.

La grande salle est utilisée pour les assemblés du matin, ainsi que pour beaucoup d’autres évènements scolaires. Elle est donc un lieu important pour la vie scolaire. Elle est conçue avec une série de hautes fenêtres qui laissent entre la lumière naturelle. L’emplacement de la scène est fait pour que l’orateur soit complètement éclairé, mais le matin le soleil tombe dans ses yeux si bien que les assemblées se déroulent toujours avec les stores fermés et les lampes allumés. Cela signifie que, malgré la nuit noire, la grande salle ressemble exactement à celle d’une réunion ordinaire.

Cela prend un peu de temps et d’expérimentation à Gladys pour placer son téléphone au bon endroit dans une rangée du milieu pour offrir un point de vue similaire à celui d’un élève en assemblée lorsqu’elle monte sur scène.

- Bonjour ! Calmez-vous, calmez-vous ! Dit Gladys à un public imaginaire.

- Récemment, un étudiant a découvert un profil que j’ai créé sur un site web et il me fait chanter. C’est pourquoi je vais passer le reste du temps comme ça !

Elle s’écarte du pupitre et laisse tomber son manteau, imaginant les cris de surprise ainsi que les rires moqueurs qui viendraient d’un public de garçon voyant leur directrice totalement nue.

- Oui, les rumeurs sont vraies, je suis une sale pute et je veux que vous voyiez tous mon corps de salope. Y’a-t-il des questions ? Se moque Gladys en faisant comme si on lui posait des questions.

- Sur quel site avais-je un profil ? Bonne question. Il s’agit de SkankBank. Ne vous inquiétez pas, je mettrais dans un e-mail envoyé à toute l’école plus tard dans la journée. Bien sûr j’enlèverai le paiement pour ma page privée.

- Se déshabiller devant toute l’école est sûrement pire qu’un maître-chanteur qui publie vos vidéos coquines ? Vous avez raison, mais ce que vous ne prenez pas en compte c’est que je suis une vraie salope qui veut qu’on la fasse chanter.

- Est-ce que je suis toujours votre directrice ? Eh bien, je le suppose jusqu’à ce que quelqu’un se plaigne et me fasse virer. Jusqu’à ce moment-là, vous pouvez m’appeler Directrice « Queue Dure », ou si vous n’aimez pas ça, vous pouvez m’appeler, salope, sale pute, connasse, comme vous le voulez.

- Qu’est-ce qui me fait aimer ça ? Eh bien, laissez-moi vous montrer !

Gladys s’avance et s’assoit devant le pupitre, afin de pouvoir écarter les jambes.

- Regardez cette chatte humide ! Comment ne pourrais-je pas être une pute avec une chatte aussi affamée de bites ! Regardez ces mamelles géantes qui se balancent, je parie que je pourrais branler dix bites à la fois avec ces nichons gigantesques. Vous tous les garçons, vous avez regardé mon corps et vous avez tout de suite su que j’étais une salope insatiable, je ne fais que remplir mon rôle.

Elle se relève et reprend place derrière le pupitre.

- Et maintenant ? Eh bien je suppose que vous pouvez faire ce que vous voulez de moi jusqu’à ce que la police vienne m’arrêter pour être une pute affamée. Si vous avez besoin de moi, je serais dans les toilettes des garçons a attendre vos abus. Merci, ceci met fin à la réunion !

Gladys ramasse son manteau et rigole intérieurement jusqu’à ce qu’elle retourne à son téléphone pour l’éteindre. Dans son improvisation, elle a, sans faire attention, planifié la prochaine étape de son expédition exhibitionniste.

- Nous voici donc dans les toilettes des garçons ! Annonce Gladys sur son téléphone en faisant un selfie de son corps nu.

Les toilettes sont bien plus propres et mieux entretenues qu’elle ne l’aurait souhaité, mais l’odeur est suffisamment forte pour baisser ses défenses alors qu’elle s’agenouille à côté des urinoirs et explore les cabines. Elle arrive à l’une d’elles et ses yeux s’écarquillent de joie.

Au-dessus de la cuvette, il y a une grande inscription qui dit : « Ces toilettes sont dédiées à la Directrice Quedir ». Gladys entre et tourne la caméra vers les parois de la cabine qui sont couvertes de graffitis obscènes à son sujet. Elle voit même des stylos laissés sur le distributeur de papier toilette pour permettre à n’importe quel élève d’évacuer sa frustration sexuelle envers la directrice.

- C’est la meilleure chose que j’ai jamais découverte ! Gémit Gladys devant la caméra, son esprit s’excitant rapidement devant la vulgarité dégradante qui l’entoure.

- Les étudiants pensent que je suis une vraie salope. Imaginez ce qu’ils penseraient s’ils savaient que je lis leurs commentaires.

Elle prend une profonde inspiration alors qu’une idée se forme dans son esprit.

- Imaginez ce qu’ils penseraient s’ils m’entendaient lire leurs commentaires à voix haute tout en me masturbant.

Il faut peu de temps à Gladys pour poser son téléphone, de façon qu’elle n’ait pas besoin de le tenir, mais qu’il puisse voir l’intégralité de l’intérieur de la cabine fermée. Finalement elle doit faire une concession et elle pose le téléphone sur le lavabo en face de la cabine et elle laisse la porte ouverte. Elle est plus exposée et elle doit crier plus fort pour être entendue, mais malheureusement elle ne pourra pas lire les graffitis sur la porte. Heureusement il y assez de saletés sur les trois murs restants pour l’occuper. Elle se détoure de la caméra et se penche sur la cuvette, sa main se tortillant sur sa chatte alors qu’elle commence à lire les graffitis sur le mur du fond.

- Quedir a l’air d’être une chaude au lit ! Gémit-elle.

- Je la baiserai si fort ! Mmmm….

- Elle a un gros cul dans lequel j’aimerai enfouir ma bite !

- Je veux voir son visage stupide s’étouffer sur ma bite.

- Je parie qu’elle avale !

- Oh mon Dieu, j’aimerais baiser ses gros nichons, je voudrais gicler mon foutre dessus !

- Si elle portait un décolleté aux réunions, je parie que je jouirai sur place dans mon pantalon ! Ohhhh….

- Je veux l’enculer profondément !

Gladys ne voit plus de mots sur le mur du fond, bien qu’il y ait plusieurs dessins qui font vagabonder son esprit. Elle se tourne et s’assoit sur le siège de la cuvette. Elle ouvre grand les jambes et continue à lire les commentaires dans une frénésie sexuelle alors qu’elle titille son clitoris.

- Je parie qu’elle a eu son poste de Directrice en baisant tous les administrateurs !

- Moi je lui donnerai n’importe quel travail si elle suçait ma bite !

Gladys ralentit un peu, mais commence à utiliser son autre main pour enfoncer deux doigts dans sa chatte pendant qu’elle continue à titiller son clitoris. Elle regarde la caméra pour donner un explication à son public imaginaire.

- J’ai ralenti parce que j’ai décidé que je n’avais pas le droit de jouir avant d’avoir lu tous les commentaires sur ces parois.

Le dire à voix haute excite encore plus Gladys qui se rapproche de plus en plus d’un orgasme.

- Je laisserai bien ce gros cul me lécher la bite après que j’ai pissé !

- Je suis sûr qu’elle est adepte des gloryholes ! Vous vous imaginez Quedir dans un gloryhole ? Elle deviendrait une banque à sperme en quelques minutes !

- Enfouir sa bite entre ses seins doit être comme la mettre dans des plis de Sumo !

- Ses nichons sont si gros que ma bite aurait le mal de montagne si elle se baladait entre eux.

- Je voudrais la retourner et la baiser violemment !

- Je veux tellement la baiser que je signerai pour abandonner mon héritage et aller vivre das un monastère jusqu’à la fin de ma vie !

- J’aimerais avoir Quedir à côté de moi dans les toilettes, me suppliant de lécher mon cul pour le rendre propre !

- Je la ferais ramper juste pour pouvoir me sucer !

- Mon Dieu… Ohhhh….

Gladys jouit et hurle de plaisir, sa chatte giclant partout dans les toilettes. Mais il y a encore des graffitis non lus, elle a joui trop tôt. Elle laisse passer les vagues de plaisir puis elle regarde d’un air penaud la caméra.

- Oh non, je n’avais pas fini de lire tous les commentaires quand j’ai joui. Je suppose que je suis une salope trop stupide pour suivre des ordres. Je dois être punie, n’est-ce pas ?

Elle regarde autour d’elle pour essayer de trouver une punition appropriée, puis elle voit les crayons et elle a une idée.

- Donc il y a quatre pauvres étudiants qui n’ont pu m’entendre lire leurs graffitis pendant que je me masturbais. Je ne veux pas qu’ils pensent qu’ils ont perdu leur temps à s’exprimer, alors pour me faire pardonner, je vais écrire leurs commentaires sur mon corps.

Elle prend un stylo et commence à écrire sur ses seins, en lisant lentement ce qu’elle écrit :

- Quedir m’a dit qu’elle changerait son nom en « poubelle de chiotte » si elle pouvait me sucer la queue après que j’ai pissé.

Elle se penche alors et commence à écrire sur l’intérieur de sa cuisse :

- Je la baiserai si fort que ses gros nichons se balanceraient et provoqueraient un tremblement de terre dans l’école.

Elle passe à son autre cuisse :

- Ma bite demande une grosse caverne humide, amenez-moi la chatte de Quedir !

Puis finalement, elle écrit le dernier graffiti sur son pubis :

- Quedir veut sucer ma grosse bite bien raide !

Gladys gémit de plaisir et d’humiliation avant de récupérer son téléphone et de dire à la caméra :

- Je ne peux vraiment pas partir sans laisser ma contribution, n’est-ce pas ? Demande-t-elle en commençant de gribouiller sur le siège des toilettes.

- La Directrice Quedir s’est masturbé ici jusqu’à ce que sa chatte soit à vif. Elle a également enregistré ça pour le télécharger sur SkankBank !

- Tu crois que quelqu’un va croire ça ? Demande-t-elle à l’objectif de son téléphone avec un sourire effronté avant d’arrêter l’enregistrement.

 *****

Gladys se promène dans la cour de l’école, tendant l’oreille pour attraper toute rumeur, un stylo à la main au cas où elle trouverait un papier sur lequel écrire l’adresse de son profil sur le site. Tout d’un coup, du coin de l’œil, elle repère un graffiti étrangement situé. Dans une petite alcôve, au-dessus d’un escalier qu’un étudiant avait dû gravir pour l’atteindre, se trouvaient les mots : « Quedir s’est masturbée ici ! ».

Plus tard, lors de sa tournée, elle revoit les mêmes mots près des bennes à ordures derrière la cantine. Puis sous un toit près d’une fenêtre ouverte. Il semble que son graffiti aux toilettes a déclenché une nouvelle tendance chez les étudiants qu trouvent de plus en plus d’endroits bizarres pour taguer ce fantasme.

Au cours du mois suivant, Gladys prend note mentalement à chaque fois qu’elle aperçoit le graffiti emblématique en se disant qu’elle reviendrait plus tard dans la nuit pour en faire une prophétie réalisée. Pendant ce temps, la rumeur la plus courante qui circule est la spéculation que c’est elle-même qui écrit tous ces graffitis. Elle a même un coup de chaleur et elle doit ventiler son bureau lorsqu’elle a entendu un étudiant deviner que la confession dans les toilettes était son œuvre et qu’il allait même essayer de trouver son compte sur SkankBank.

Hélas, comme toute tendance adolescente, elle finit par échapper à tout contrôle et, le cœur lourd, Gladys doit y mettre un terme. Elle boude le reste de la journée dans son bureau après avoir demandé au concierge d’enlever tous les graffitis et d’annoncer que si des tags supplémentaires étaient repérés, tout l’école serait punie. Même la cabine dédiée à elle dans les toilettes n’est pas épargnée, elle est complètement nettoyée. Sa seule consolation est qu’elle espère que les étudiants, n’ayant plus cette distraction, se remettront au travail pour répandre de nouvelles rumeurs dégoûtantes sur elle. Assise seule dans son bureau, elle sort un stylo et écrit : « Quedir s’est masturbée ici » sur son bureau avant de cacher l’inscription sous un tas de papier tout en riant silencieusement.

 *****

La frustration de la Directrice Quedir atteint son paroxysme. Les élèves vont bientôt partir en vacances pour Noël. Pourtant elle entend souvent son nom dans les conversations privées. C’est inévitablement soit des garçons qui se plaignent de sa sévérité, qui spéculent avec quel professeur elle a couché, ou, si elle a de la chance, une continuation en bouche à oreille de la mode des graffitis sous la forme « Quedir s’est branlée ici » en trouvant les pires endroits où elle pourrait se masturber.

Mais tout cela devient ennuyeux. Elle se rend même parfois dans différentes toilettes après les heures de cours pour voir si une autre cabine lui est consacré. Mais son attitude stricte avait été trop efficace et avait dissuadé les adolescents de gribouiller des insanités. Une fois de plus, elle doit intervenir personnellement pour guider les rumeurs vers un terrain plus fertile.

Au début de la dernière semaine avant les vacances de Noël, Gladys décide de réunir tous les élèves pour aborder les vacances à venir. Elle ajoute quelques lignes à son discours pour faire vibrer l’imagination de certains des étudiants.

- … Bien sûr, quelles que soient vos croyances, pour la plupart des gens, Noël est un moment à passer en famille, mais pensez à ceux qui ne peuvent pas. Je ne verrai pas ma famille à Noël, car je reste dans mon logement sur le campus, mais néanmoins, j’ai prévu beaucoup de choses pour rendre ces vacances de Noël très spéciales pour moi…

Alors qu’elle finit de prononcer son discours, elle voit des sourires et des coups de coude de certains étudiants dont l’imagination travaille à plein régime pour spéculer sur ses vacances.

Son esprit nage dans les conversations chuchotées des élèves alors qu’elle parcoure les couloirs de l’école. Elle entend les suppositions standard et peu inspirées selon lesquels elle passerait les vacances avec son amant, sûrement un professeur. Certains parlaient d’une orgie à venir gigantesque avec Gladys comme héroïne. L’un des étudiants pense même que Gladys va passer ses vacances à être entraînée comme esclave par un groupe de Maître et Maîtresses.

Tout cela dépasse sa capacité d’organisation, mais finalement ses plans de Noël lui viennent sous la forme d’une conversation entendue à la cafétéria entre des garçons qui déjeunent à quelques tables d’elle.

- … je pense que c’est avec Mademoiselle Amal qu’elle va passer ses vacances.

- Sois sérieux Serge, ne laisse pas ton fantasme pour le porno lesbien interracial prendre le dessus…

- Tout le monde aime le porno  lesbien interracial, y compris Quedir !

- Arrêtez d’être idiot ! Écoutez, voilà ce que nous savons de la directrice : C’est une exhibitionniste, et elle s’est masturbée dans toute l’école, donc elle n’a pas de liaison, elle aime juste se masturber.

- Ce n’est pas plus réaliste que les idées lesbiennes interraciales de Serge. Ce ne sont que des graffitis.

- Rappelez-vous de la cabine des toilettes, personne n’avait la même idée sur Quedir. Et puis tout d’un coup, tout le monde s’accorde à dire qu’elle est une exhibitionniste et qu’elle se masturbe en public. I doit y avoir une part de vérité là-dedans.

- Très bien, alors elle va passer ses vacances à se masturber et à faire de l’exhibition.

- Elle le fait déjà. Donc elle va vouloir faire quelque chose de spécial pendant les vacances, quand il n’y aura personne.

- Bon, on a compris, tu as réfléchi longuement, bite en main, à propos de notre directrice. Alors dis-nous Sherlock le Branleur, qu’est-ce que ton brillant esprit a déduit ?

- Les exhibitionnistes aiment le risque. Mais quand nous serons tous partis, elle va devoir faire quelque chose pour provoquer ce risque. Je pense qu’elle va faire en sorte qu’il lui soit impossible de porter des vêtements pendant la période de Noël, comme les enfermer ou quelque chose comme ça.

- C’est stupide…

- Laisse-le finir !

- Eh bien, la seule chose qu’elle peut planifier c’est sa nudité. Après ça, il s’agit pour elle de vivre une vie où elle est toujours nue, dans une excitation sexuelle. Donc elle va prendre des risques, se lancer des défis, passer les vacances à être la salope du campus.

Gladys ne sait pas comment remercier l’étudiant qui a eu ces idées. En fait, elle quitte la cantine sans regarder par-dessus son épaule pour ne pas savoir qui vient de lui dicter ses activités pour les vacances de Noël.

 *****

- Bonjour à tous les abonnés de SkankBank ! Dit Gladys à la caméra qui l’enregistrer alors qu’elle est appuyée contre un pot de fleur devant sa maison.

- Je suis en train de faire geler mes gros seins de salope parce que je suis à l’extérieur de ma maison et tous mes vêtements sont à l’intérieur. Je vais donc vous expliquer mes plans pendant que je marche vers l’école pour rejoindre la chaleur des radiateurs.

Gladys attrape son téléphone et commence à marcher rapidement vers l’école. Elle frissonne dans le froid extérieur.

- Tout le monde est donc rentré chez lui pour Noël, sauf moi. Mes élèves se demandent pourquoi je suis restée. Ils savent que je suis une salope exhibitionniste, alors ils ont eu quelques idées, mais laissez-moi vous expliquer en détail ce qui va se passer. J’ai bien fermé ma maison à clé et je ne pourrais pas y entrer sans cette clé.

Elle brandit la clé devant la caméra alors qu’elle franchit la porte d’entrée de l’école et se dirige vers son bureau.

- Mon Dieu, mon plan me fait tellement mouiller ! Mais je me suis promis de ne pas me toucher avant d’avoir expliqué mon plan. Comme ça, je deviens plus stupide et plus salope à chaque instant. Donc, cette clé est le seul moyen pour moi d’entrer dans ma maison et de récupérer mes vêtements. Ici, sur mon bureau, j’ai une enveloppe matelassée adressée à l’école avec un timbre pour courrier lent dessus.

Elle prend l’enveloppe, y met sa clé, et la ferme.

- D’après mes calculs, si je poste ça, je serais coincée nue pendant un bon bout de temps. Nous sommes vendredi soir donc ils ne ramasseront pas le courrier avant lundi. En théorie, ça devrait prendre trois à quatre jours ouvrables pour qu’elle revienne. Mais jeudi c’est la veille de Noël, donc ils ne pourront livrer le courrier avant le jour ouvrable suivant Noël c’est-à-dire le 26 décembre. Mais nous savons tous que les choses prennent plus de temps pendant la période des fêtes. Donc si je poste cette lettre, je vais être coincée complètement nue pendant au moins sept jours. Alors voilà ce que je vais faire avant d’être autorisée de me masturber comme une folle pour vous.

Elle pose le téléphone et commence à jouer lentement avec sa chatte pour souligner sa frustration.

- Un : je vais marcher jusqu’à la boite aux lettres qui se trouve sur la route principale et poster cette lettre. Deux : Je vais revenir à mon bureau et écrire douze tâches différentes avec une difficulté croissante, les quatre avant-dernières devant être des choses que je n’aurais jamais rêvées de faire, des choses impensables et la dernière qui sera totalement dévastatrice pour moi. De cette façon, je vais passer les vacances de Noël à me demander constamment si ce courrier va bien arriver.

Gladys doit retirer sa main de sa chatte pour se retenir d’avoir un orgasme. Elle est complètement frustrée alors elle termine son explication, saisit l’enveloppe et s’enfonce dans le noir.

La chair de poule recouvre chaque centimètre de la peau nu de Gladys alors qu’elle s’enfonce dans l’obscurité en frissonnant. Le pensionnat est délibérément éloigné des villes voisines, de sorte que les routes sont calmes. Mais cela ne l’empêche pas de frissonner derrière le portail de l’école en attendant d’avoir réuni assez de courage pour s’aventurer hors du campus.

Elle court vers la boite aux lettres, oubliant de filmer correctement alors qu’elle doit soutenir ses énormes seins qui rebondissent pendant sa course. Puis devant la fente de la boite aux lettres, elle tient le téléphone bien en main pour se filmer, tremblante de froid, de frustration et de peur.

- Si je lâche cette enveloppe, je vais rester coincée dans mon rôle de salope pendant au moins sept jours. Et si la poste perd le pli ? Ou si la clé déchire l’enveloppe et tombe ? Oh mon Dieu, et si… Ah trop tard, je l’ai laissé tomber. Maintenant elle est dans la boite aux lettres, je suis coincée comme ça.

Elle serre les jambes, ses mains tremblent, alors elle court vers son bureau où la prochaine tache l’attend.

Gladys ne veut pas que la caméra voit ce qu’elle écrit, mais chaque foi qu’elle fait une pause, elle gémit d’impatience pour l’orgasme qui l’attend. Elle perd parfois son souffle sur certaines de ses idées et elle crie alors que ses pensées deviennent plus erratiques. Puis, dans un grand cri, elle annonce qu’elle a terminé et elle saisit immédiatement un vibromasseur de sa collection de jouets sexuels dans un tiroir de son bureau et elle l’enfonce dans sa chatte jusqu’à ce qu’elle ait l’orgasme le plus rapide qu’elle ait jamais eu.

 *****

« Premier jour : Écris chaque jour une nouvelle insulte sur ton corps avec un marqueur indélébile jusqu’à ce que tes clés arrivent. L’insulte doit être quelque chose que tu as entendu dire par un élève à ton sujet »

Gladys lit son bloc-notes. Elle fait quelques pas en arrière pour montrer à la caméra qu’elle a fait les choses en grand pour son premier jour. Elle a écrit « PUTE » en énormes lettres multicolores sur ses seins.

 *****

«  Deuxième jour : Fais une photocopie A3 de tes seins et colle-la sur le drapeau de l’école sur le mât »

Gladys fait passer la caméra sur son corps (avec désormais l’inscription « salope aux gros nichons » sur sa jambe) au mât du drapeau, la photocopie de ses seins flottant au vent.

 *****

- Troisième jour, le dernier des plus faciles ! Annonce Gladys entre deux respirations profondes dans la salle de sport, le corps couvert de sueur, avec « grosse et allumeuse » désormais écrit sur son ventre.
« Fais deux kilomètres de vélo d’appartement avec un gode sur le siège. »

 *****

- Quatrième jour, veille de Noël !

Gladys se raidit, elle a l’air particulièrement mal à l’aise, et pas seulement à cause de l’inscription « grosse mal baisée » écrite sur ses fesses.

- Un étudiant m’a raconté un jour qu’en Russie ils jeûnent la veille de Noël, alors j’ai décidé d’une routine rigoureuse pour m’assurer que rien n’entre ou sorte de mon corps pendant 24 heures. Donc j’ai porté un plus anal en moi toute la journée ainsi qu’un bâillon pour m’empêcher de manger. Mais je l’ai enlevé de temps en temps, parce que chaque fois que j’ai uriné aujourd’hui, je l’ai fait dans un bol que j’ai ensuite bu pour que rien ne quitte mon corps.

Gladys frissonne de dégoût.

- Je n’ai jamais fait ça auparavant, mais regardez-moi, je suis une pute qui boit sa pisse, mes étudiants seraient fiers.

En arrière-plan, une horloge sonne minuit.

- Oh merci mon Dieu, je vais aller retirer ce plug et soulager la pression que j’ai dans mon corps.

 *****

- Cinquième jour, jour de Noël ! Annonce nerveusement Gladys dans les cuisines de la cantine

Elle a trouvé une peu d’espace sur son sein gauche pour écrire « salope suceuse de bites ».

- Alors cette tache est un peu plus dangereuse, mais j’ai promis de la faire. Aujourd’hui je vais être le dîner de Noël.

Gladys prend une bouteille d’huile de tournesol et commence à s’en badigeonner généreusement le corps tout en poursuivant son explication.

- Je sais que la viande traditionnelle de Noël est une dinde, mais la viande dinde est une viande maigre, et je ne le suis pas vraiment, alors, à la place, je vais me transformer en cochon rôti. Oh, j’oubliais….

Gladys pose l’huile un instant et prend un crochet nasal improvisé qu’elle a fabriqué avec des trombones et des élastiques. Elle pousse des grognements devant la caméra avant de l’installer pour qu’il lui relève le nez comme un groin. Puis elle finit de s’huiler.

- Bien sûr, comme tout chef cuisinier le sait, le secret d’un bon rôti c’est la farce ! Dit-elle en ramassant un panais et en se penchant pour que la caméra la filme en train de l’enfoncer lentement dans son cul.

Ensuite elle prend une carotte et l’enfonce dans sa chatte.

- Maintenant que je suis farcie, il est temps de me faire cuire. Nous avons un four de taille industrielle dans lequel je pense pouvoir entrer. Ne vous inquiétez pas, je l’ai réglé à 60 degrés et j’ai vérifié que l’air circule pour que je ne m’étouffe pas. Je vais régler la minuterie pour qu’il s’éteigne automatiquement au bout de dix minutes, au cas où. Allez, rôtissons ce cochon !

Gladys met une pomme dans sa bouche en guise d’humiliation finale avant de s’approcher et ouvrir le four.

Une bouffée de chaleur la frappe alors qu’elle se baisse au niveau du four, se tourne vers la gauche et glisse latéralement sur la plaque du four en attente, la peau de ses genoux la picotant sous l’effet de la chaleur. Alors qu’elle avance un peu plus loin, elle pousse un cri à travers la pomme tandis que son mamelon effleure le sol chaud. Elle essaie de soulever sa poitrine, mais son dos appuie déjà contre le haut du four. Elle prend une profonde inspiration, pivote, et s’effondre à l’intérieur, pressant ses seins pendants et huileux contre le sol. Elle attrape la porte du four et la referme derrière elle. Elle est maintenant coincée dans un four chaud pendant dix minutes. Elle peut ouvrir la porte quand elle veut, mais elle reste résolue à rester à l’intérieur pendant dix minutes complètes.

Gladys gémit et se tortille sous l’effet de la surcharge sensorielle qu’elle ressent. Son corps est brûlant, surtout là où il entre en contact avec les parois du four. Elle sent l’huile commencer à lui piquer la peau alors qu’elle chauffe et coule sur son corps. Avec la lumière du four allumée, elle a l’impression d’avoir un projecteur braqué sur elle et elle passe un moment dans le fantasme du personnel de cuisine, rassemblé autour du four, regardant leur patronne devenir une salope rôtie. La carotte commence à glisser, alors, avec quelques manœuvres, Gladys tend la main pour la remettre en place.

L’effet est immédiat. Elle commence à marteler sa chatte avec la carotte de plus en plus vite tandis que son corps s’échauffe. L’huile coule sur le sol du four en glissant sur ses seins, créant une flaque de chaleur alors qu’elle se balance d’avant en arrière pour se faire plaisir.

Finalement, la lumière s’éteint pour lui signaler que le four est maintenant éteint, mais Gladys ne sort pas avant d’avoir fini. Puis la porte du four s’ouvre et de la fumée s’élève alors que la directrice roule dehors. La chaleur se répand autour d’elle pendant qu’elle se dirige vers la caméra, retirant la pomme de sa bouche pour révéler un énorme sourire.

- Votre cochon est rôti et brûlant maintenant et il vous supplie de venir le manger ! Conclut-elle avant d’arrêter l’enregistrement.

 *****

- Sixième jour, le lendemain de Noël ! Bégaie Gladys en claquant des dents.

Elle est dehors, dans la cour de l’école, « bimbo suce-bites » fraîchement écrit sur l’intérieur de sa cuisse.

- Aujourd’hui, je vais utiliser l’étang de l’école pour faire ma propre version de ces cinglés qui vont nager tous les lendemains de Noël.

Elle pose son téléphone sur un banc près de l’étang. Ce plan d’eau est idyllique et bien entretenu, mais la tranquillité est rompue par les cris de Gladys quand elle plonge son corps nu dans l’eau calme et glacial. Elle nage en petits cercles avant de sortir, le corps couvert de chair de poule, les dents claquantes, et les tétons si raides qu’ils pourraient graver du marbre.

- J’ai préféré le four ! Dit-elle.

 *****

- Septième jour, peut-être le dernier.

Gladys se tient dans le hall d’entrée de l’école avec l’inscription « sac à foutre » écrite sur son ventre.

- Le courrier arrive en début d’après-midi. Si ma clé n’est pas là, je devrais passer aux défis inimaginables. Je parie que vous adoreriez ça, que je reste coincée dans mon rôle de salope de plus en plus tordue, alors que la clé reste à la poste ? Je vais vous révéler un secret, je crois que j’aimerai ça aussi !

Gladys laisse un silence s’installer pour laisser cette révélation être assimilé par son public imaginaire, mais aussi par elle-même.

- le défi d’aujourd’hui est simple, je vais baiser Monsieur Bernard.

Gladys tourne la caméra vers la statue de bronze du fondateur de l’école ornant le hall d’entrée, un homme droit et sévère, imposant et respectable à l’exception du gode qui a été attaché à la hâte et scotché à son entrejambe.

La directrice commence son spectacle en s’enroulant autour de la statue, l’embrassant sur la bouche tout en faisant courir ses mains de haut en bas sur son corps. Son visage reste impassible alors qu’elle s’agenouille devant lui et commence à sucer sa bite de substitution rose vif. Une fois qu’elle est satisfaite et que ses amygdales ont été convenablement chatouillées, elle s’éloigne et se penche en forçant sa chatte humide sur le gode qui attend.

Habituellement, lors d’une levrette, l’homme fait la plupart du travail, mais Monsieur Bernard reste impassible. Alors Gladys commence à se balancer d’avant en arrière, ses fesses rebondissant sur les genoux de bronze tandis que ses seins se balancent au rythme des battements. Après un certain temps, Gladys hurle et s’enfonce pus profondément sur le gode en jouissant. Elle s’effondre sur la statue avant de se lever et lui donner u dernier baiser lascif.

- J’aime tellement cette école !

 ******

- Huitième jour ! Frissonne Gladys.

Elle est rouge de peur. « Pute à violer » est écrit autour de son cou comme un collier. Elle est assise à côté d’une boite bleue encastrée dans le mur d’un bureau.

- Je sais que j’ai dit que j’attendais ça avec impatience, mais maintenant je m’inquiète de ce que je vais devoir faire s’il n’y a pas de clé dans la boite.

Elle ouvre celle-ci et en sort une poignée de lettres qui avaient été livrées la veille. Elle les dépose une par une sur la table en constatant que sa clé ne se trouve pas parmi elles. Elle prend son bloc-notes et lit le premier des défis impensables.

- Va sur la route qui longe le côté de l’école, masturbe-toi sous un lampadaire, tu n’as pas le droit de t’arrêter tant qu’une voiture ne t’a pas klaxonnée ! Balbutie-t-elle, le visage pâle.

- Je suppose qu’il est temps, je ne peux pas vraiment être la salope exhibitionniste de l’école si je n’ai jamais montré mon corps à u inconnu auparavant.

Elle prend son téléphone et se dirige vers la porte. I n’est pas très tard dans l’après-midi, mais comme c’est l’hiver, la nuit est déjà tombée.

La situation de Saint-Bernard fait que les routes avoisinantes ne sont pas très bien éclairées. Gladys cherche dans l’obscurité et fouille dans ses souvenirs jusqu’à ce qu’elle découvre où se trouve selon elle le lampadaire le plus proche. Il n’y a que de l’obscurité dans le champ de la caméra pendant u certain temps avant qu’un îlot de lumière apparaisse à l’horizon. Il s’agit d’un carrefour où il y a eu assez d’accidents pour obliger la municipalité à installer un éclairage. Gladys pose son téléphone dans un coin et s’éloigne un peu plus loin. Elle se tient maladroitement debout, les jambes écartées tout en tripotant sa chatte.

En plein milieu de Noël, il n’y a pas vraiment de raisons pour que les gens viennent dans ce quartier près de l’école. Gladys reste donc seule un bon moment avant qu’elle ne grimace d’embarras au bruit d’un moteur qui s’approche. Elle gémit et se trémousse sur place, son corps réagissant au désir de fuir. Mais elle reste sur place alors qu’une Jaguar couleur argent s’arrête au carrefour. C’est une chose que n’avait pas envisagé Gladys en choisissant un carrefour, car les voitures ne passent pas à toute vitesse, elles doivent s’arrêter pour respecter le stop. Les yeux de Gladys s’écarquillent de peur lorsque le conducteur de la voiture, un homme plus âgé la regarde.

Gladys a l’impression qu’il s’écoule des heures alors que le conducteur de la Jaguar couleur argent l’observe. Ses yeux parcourent son corps. Il y a un moment de véritable terreur pour Gladys lorsque ses yeux rencontrent les siens. Elle répond au regard d’un homme alors qu’elle se tient nue et se masturbe au bord de la route.

Un sourire apparaît sur le visage de l’homme, il est signe qu’un plan vicieux germe dans sa tête. Juste au moment où il est sur le point de détacher sa ceinture de sécurité, une autre voiture s’arrête derrière lui et klaxonne pour qu’il démarre. L’homme étant distrait, Gladys s’enfuit en attrapant son téléphone et en s’enfonçant dans l’obscurité. A plusieurs reprises, sur le chemin de retour vers l’école, elle doit se cacher alors qu’une Jaguar couleur argent patrouille lentement dans la zone.

 ******

- Neuvième jour ! Vous remarquerez peut-être que je ne suis pas à la boite aux lettres du bureau aujourd’hui. Je pense que je joue le rôle d’une stupide salope depuis si longtemps que je suis en train de le devenir.J’étais tellement occupée à assouvir ma chatte affamée que j’ai oublié qu’il n’y avait pas de courrier le dimanche. Je vais donc devoir relever un autre défi impensable. Mais avant de commencer, vous avez peut-être remarqué que je n’ai pas ajouté d’insultes à mon corps. J’ai pensé que vous voudriez regarder pendant que je le fais.

Gladys étouffe un sanglot en sortant un stylo. Elle se penche très près pour que la caméra puisse voir son visage. Puis, d’une main tremblante, elle écrit lentement « Connasse stupide » sur son front.

- Alors, voici ma prochaine tache impensable : il est temps de punir mes grosses mamelles. En fait j’ai écrit : « Prends une boite d’élastique pleine et ton plus petit gode. Mets le gode dans ton cul et commence à marcher vers la ville la plus proche. Chaque fois que le gode tombe de ton cul, tu dois mettre un élastique autour d’un de tes seins de pute »

Gladys gémit en se souvenant de la frénésie sexuelle dans laquelle elle était quand elle a écrit cela.

- Je continue : « S’il reste des élastiques dans la boite lorsque tu atteindras le panneau indiquant « Bienvenue à Montbazon », tu pourras faire demi-tour et revenir une fois que tu auras enroulé le reste des élastiques autour de tes nichons bien sûr. Mais si tu ne peux pas garder ton cul serré comme une bonne salope et que tu n’as plus d’élastiques avant d’atteindre le panneau, tu ne pourras revenir qu’une fois que tu auras trouvé quelqu’un à Montbazon qui t’auras giflé sévèrement les seins. Tu ne pourras retirer les élastiques qu’une fois de retour à l’école.

Gladys est vraiment effrayée. Quand elle a commencé à écrire ça, elle était certaine que ça ne se produirait pas. Donc non seulement son corps tremble de peur à l’idée de ce qu’elle va faire, mais aussi à cause du souvenir de l’état d’excitation dans laquelle elle était et des choses folles qui l’attendent si la clé n’arrive pas.

- Je pense qu’avec le fait de tenir la boite d’élastiques, de m’occuper du gode et inévitablement doigter ma chatte excitée, je vais avoir les mains occupées cette fois-ci. Donc je suis obligée de laisser mon téléphone, je vous ferais un rapport quand j’aurai fini.

La vidéo est coupée, mais revient immédiatement sur Gladys, épuisée. Ses seins sont violacés et bombés, les élastiques coupant la circulation. La directrice parle en phrases courtes et bégayantes.

- Je l’ai fait. Montbazon est assez loin à pied. Au début, le gode tombait souvent. Mais ensuite je m’y suis habituée et il n’est tombé que quelques fois de plus. Il est toujours là maintenant.

Gladys se tourne pour que la caméra puisse la voir retirer le gode de son cul tout en gémissant de plaisir.

- je n’ai donc pas eu besoin de trouver quelqu’un pour gifler mes seins. Oh ces seins de salope… Ils sont si sensibles en ce moment.

Pour illustrer son propos, elle chatouille légèrement le côté de ses seins bombés et tout son corps tremble de douleur et de plaisir.

- La seule autre chose à signaler c’est que j’ai été vue par au moins deux voitures. Je n’ai pas vraiment compté, car j’étais distraite. Mais il n’y en avait pas plus de cinq. La moitié des professeurs de cette école vivant à Montbazon, j’espère que ce n’était pas l’un d’eux qui conduisait.Quoi qu’il en soit, il est maintenant temps d’enlever les élastiques.

Gladys prend les ciseaux et s’assure que la caméra a une bonne vue d’elle en train de les glisser sous les élastiques pour les couper proprement.

Elle crie et s’effondre sur le sol, mais un moment de raison la force à se relever et à libérer son autre sein. Elle se débat et crie lorsque la pression se relâche. Puis elle rampe vers la caméra.

- Ce facteur ferait mieux de m’amener mes putains de clés demain !

 *****

- Dixième jour : un gros paquet de courrier est arrivé aujourd’hui, j’espère que ma clé est avec ! Dit Gladys à côté de la boite aux lettres avec « Grosse salope » écrit sur la joue droite.

Elle parcourt lentement le courrier jusqu’à ce que ses yeux s’illuminent. Voilà l’enveloppe avec sa clé de maison. Elle l’ouvre et fait pendre la clé devant la caméra, se moquant de son public imaginaire avant d’éteindre le téléphone.

La scène suivant la montre debout dans ses vêtements quotidiens de directrice, la même tenue qu’elle portait lors de sa première vidéo pour son profil SkanBank. Toutefois, les inscriptions sont toujours visibles sur son cou et son visage, sapant ainsi son look et son attitude sévère de directrice.

- Maintenant que j’ai récupéré mes vêtements, je ne suis plus une stupide traînée, je suis la directrice de cette école et vous devez me traiter avec respect ! Ordonne-t-elle à la caméra.

- cependant je pense qu’il est juste que je vous raconte les trois dernières taches que j’aurais dû effectuer si mes clés n’étaient pas arrivées.

Elle lève le bloc-notes et lit d’un ton neutre et pragmatique :

- Si les clés n’étaient pas revenues aujourd’hui, je me serais fait livrer des plats à emporter, puis j’aurais offert au livreur de faire ce qu’il voulait comme pourboire. Le lendemain, si les clés n’étaient toujours pas arrivées, je me serais attachée aux bennes à ordures devant la cantine et je serais restée là jusqu’à ce que les éboueurs que j’avais demandés pour ce jour-là me libèrent. Enfin, le douzième jour sas avoir récupéré ma clé, j’aurais marché jusqu’au Centre de Tri Postal, j’aurais réclamé mon colis aux postiers, puis je me serais attachée à un panneau extérieur jusqu’à ce que je reçoive mon enveloppe. Vous pouvez donc voir à quel point c’est bien que mes clés ne soient pas perdues.

Une légère fissure apparaît alors dans son aspect sévère alors qu’elle s’accorde à rougir à cette pensée.

- Maintenant, vous voudrez bien m’excuser, je vais voir si je peux effacer ce marqueur permanent sur ma peau avant que les élèves ne reviennent. J’avoue que j’ai hâte d’entendre les rumeurs qu’ils vont continuer à inventer au cours de l’année.

 ****

Epilogue.

Gladys déteste les réunions avec les administrateurs. Ils veulent toujours avoir une vue d’ensemble du fonctionnement du pensionnat, mais ils ne se préoccupent jamais des détails quotidiens de la gestion de l’école.

Donc la réunion se passe sur une journée entière pendant laquelle Gladys est assise à écouter et à hocher la tête pendant que des hommes déconnectés lui montrent des graphiques et des données tout en lui parlant de manière abstraite des concepts de base de l’enseignement.

- je pense qu’il est temps de faire une pause déjeuner rapide avant de se remettre au travail, n’est-ce pas ? Dit un homme à moustache sans ironie.

Gladys sort calmement pour ne pas avoir l’air pressée, mais la vérité est qu’elle doit passer la pause déjeuner pour vraiment travailler tout en avalant ce qu’elle peut manger.

Elle est assise dans son bureau, noyée dans les e-mails et des projets, mangeant à peine quelques bouchées de son sandwich au saumon fumé et de son fromage blanc avant que l’horloge lui indique qu’elle doit retourner à cette maudite réunion avant que son retard ne donne une impression négative.

Alors qu’elle traverse le couloir en trombe, elle consulte son téléphone et fait défiler les notifications pour trouver le dernier SMS de son mari, les messages de ses amis sur Facebook et les inévitables spams journaliers. Soudain, une notification lui glace le sang. Son estomac remonte dans sa gorge et elle manque tomber.

« Votre application bancaire : 2047 euros ont été déposés sur votre compte »

- Allez madame la directrice, la réunion recommence. Je suis sûr que quoi que ce soit, ça peut attendre la fin.

Gladys a le sentiment qu’elle va être distraite jusqu’à ce qu’elle puisse retourner à son ordinateur.

A suivre...