jeudi 19 juin 2025

la condamnée

 Texte de Zioni (2014)

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Tous les personnages de cette histoire sont fictifs, majeurs et âgés de plus de 18 ans. Toute ressemblance avec des faits ou personnages ayant existé ne serait que pure coïncidence. Il s'agit ici de fantasmes.

Ceci est l'histoire de mon avilissement, de ma descente aux enfers, de mes désirs d'humiliation et de dégradation.

Je m'appelle Samantha Endersson; à 45 ans je suis une femme pulpeuse, une chevelure châtain qui tombe en larges boucles jusqu'au milieu de mon dos, une bouche aux lèvres ourlées, un visage fier et arrogant, une peau de pêche, légèrement hâlée.

Malgré mon âge, les hommes se retournent toujours sur mon passage : j'ai une chute de reins très cambrée, des fesses charnues comme les blacks, des jambes longues aux muscles dessinés. Mon corps a pris quelques kilos avec les années mais ces rondeurs me rendent, parait-il, encore plus sexy.

Mon atout majeur, ce sont mes seins : je fais du 105DD, des seins lourds, en forme d'énormes poires avec des tétons qui pointent vers l'extérieur. Au moindre de mes mouvements, ils frottent l'un contre l'autre et ballottent lourdement, attirant les regards des hommes de tout âge.

Jeune, j'étais gênée par cette poitrine démesurée que je trouvais obscène. Maintenant, j'en suis très fière et je la mets en évidence en portant toujours des vêtements moulants ou des décolletés les plus provoquants.

Avec mon mari Dexter, 50 ans, ingénieur, nous habitons dans les beaux quartiers de Houston, au Texas, dans le Sud des USA. Nous n'avons plus grand-chose en commun, lui et moi, n'ayant pas eu d'enfants. Je n'en ai jamais voulu ; c'était impossible avec ma carrière. Nous partageons la même vie mais la passion n'y est plus ; nous sommes mariés en séparation de biens pour que chacun puisse reprendre ses billes si ça tourne mal pour l'autre...

Je suis CEO d'une grosse société de conseil financier et immobilier. J'ai lutté durement pour gravir les échelons et je suis fière de régner sur plus de 300 employés. Dans la vie active, je suis une femme ambitieuse, autoritaire et crainte par mes employés.

Mon côté obscur est tout différent : je suis hantée par des fantasmes masochistes, de soumission, d'humiliation, d'esclavage...

Mon mari ne partageant pas mes désirs, j'avais dû assouvir ceux-ci par des rencontres sur internet. Les 1ères rencontres avec des inconnus, selon des scenarios préparés à l'avance avaient révélé ma sexualité.

J'avais longtemps eu une liaison avec un black musclé, très dominant. Je l'attendais dans la chambre d'hôtel où il me rejoignait le midi, nue à genoux m'étant moi-même menottée les mains derrière le dos après avoir laissé la porte entrouverte. Il entrait sans un mot, me giflait copieusement en me traitant de grosse pute ou de sac à foutre puis il me forçait à le sucer, lentement, gobant et léchant langoureusement ses couilles, ma langue s'insinuant dans son anus.

Il me tenait par les cheveux m'étouffant à moitié en enfonçant son énorme sexe dans le fond de ma gorge ; j'adorais le regarder en lui offrant ma bouche pendant qu'il me crachait dessus et m'insultait. Il jouissait en longs jets salés et acres et j'avalais sa semence jusqu'à la dernière goutte. Après avoir nettoyé son sexe avec ma langue, il me battait à coups de poings et de pieds ou me cinglait les fesses et les seins à coups de ceinture. D'autres fois, il m'attachait au lit les mains au-dessus de la tête et appelait un room service. Lorsque le garçon d'étage entrait, il me trouvait enchaînée nue sur le lit, les seins et les fesses striés des zébrures des coups de ceinture. Il lui demandait alors de m'enculer sans aucune forme de respect. Après avoir remercié le garçon d'étage, je devais lui nettoyer le sexe avec ma langue en m'excusant « que mon gros cul de poufiasse soit plein de merde ». Après quoi, mon amant black prenait mon portefeuille et lui donnait un pourboire princier.

Quand mon mari partait en voyage d'affaires, je participais à des soirées dans des clubs SM très fermés où on me vendait comme esclave pour quelques jours.

J'adorais l'humiliation d'être ainsi exposée et palpée comme du bétail. Tenue en laisse par une dominatrice toute vêtue de cuir, je montais sur scène, nue enchaînée les mains derrière le dos, des fers à mes chevilles avec une lourde chaîne les reliant, sous les moqueries du public. Je me tenais fièrement, cambrée, toisant les acheteurs qui venaient soupeser mes seins, mes fesses et explorer mes trois orifices de leurs mains. Pour faire monter les enchères, ma dominatrice me forçait à danser de façon obscène à coups de cravache. Les chaînes me faisaient souvent tomber pour le plus grand plaisir des spectateurs qui voyaient mes seins s'écraser sur le plancher rugueux de la scène.

La honte, l'humiliation, les moqueries du public me procuraient une excitation incroyable. Une fois vendue, ma dominatrice m'ordonnait de me mettre à genoux et lorsque mon acheteur montait sur scène, je baisais humblement les pieds de mon nouveau maître tandis qu'elle me cravachait les fesses. C'était tellement intense que je jouissais parfois sur scène, dans de longs râles entre deux léchages de semelles.

Mon propriétaire temporaire m'emmenait alors en laisse pour plusieurs jours d'esclavage sexuel où je mettais toute ma science et ma sensualité pour satisfaire ces hommes parfois répugnants. Parfois aussi des femmes m'achetaient, c'étaient de loin les plus sadiques et les plus imaginatives.

Mais tous ces plaisirs ne durèrent qu'un temps et je rêvais à présent de bien plus.

Je voulais que ma déchéance soit totale et permanente ; les petites séances d'un soir ne me comblaient plus. Je rêvais d'esclavage réel, devant tout le monde, sans possibilité de faire marche arrière.

Assise dans mon grand bureau directorial au 50e étage de l'immeuble GRR&R ltd, je rêvassais, distraite, l'ennui s'étant installé profondément dans ma vie.

J'avais lu sur internet des récits où des femmes étaient punies des travaux forcés sur une galère, ramant nues sous les coups de fouet, en sueur, pataugeant dans leurs excréments, la tête rasée, enchaînée à leur banc. Pendant leurs rares moments de répit, elles devaient satisfaire leurs gardiens, avec leur bouche. A l'idée de me voir condamnée à des travaux forcés très durs, de n'être plus qu'une bête de somme, mon clitoris se durcissait et je me masturbait frénétiquement pendant des heures, laissant une large auréole humide sur mon siège.

Aujourd'hui, ma secrétaire devait m'apporter un rapport très important. Lillian, 38 ans, mince, assez fade était ma secrétaire et aussi mon souffre-douleur. Je passais sur elle mes frustrations sexuelles en la traitant de façon infâme.

- Alors Lillian, est-ce que vous avez enfin bouclé ce rapport ?

- Oui, Madame Endersson, le voilà.

Elle me tendit une farde épaisse et s'assit sur le siège faisant face à mon bureau.

- Vous ai-je autorisée à vous asseoir ? Non ? Alors, restez debout !

- Oui, je... pardon Madame Endersson.

- Je vais lire tout ce rapport ; vous, ne bougez pas, ça me distrait, compris !?

- Oui, oui, Madame Endersson.

Après une heure de lecture et de nombreuses remarques blessantes sur la mauvaise qualité du travail, je jetai la farde par terre, avec dédain.

- Ma pauvre Lillian, quand serez-vous à la hauteur de ce qu'on vous demande ? C'est de la merde, ce travail !!! Vous allez me recommencer tout ça et vite !

- Mais, Madame Endersson, j'en ai pour toute la journée et même toute la nuit, je... j'ai mon fils qui m'attend ce soir et...

- C'est ça ou la porte ! Quand à votre gros benêt de fils, vous irez le chercher à la sortie de l'école et il passera la soirée avec vous, ça vous fera peut-être aller plus vite, petite idiote !

Je lui ordonnai de ramasser les papiers éparpillés et elle sortit du bureau, les yeux pleins de larmes mais aussi de haine. A peine cette petite imbécile sortie, je me replongeai dans internet. Un article intéressant sur le durcissement des lois avait excité ma curiosité : avec la crise et l'augmentation de la criminalité, de nouvelles lois avaient été votées. Chaque condamnation devait à présent avoir plusieurs aspects. La privation de liberté du coupable bien sûr, mais aussi un aspect dissuasif en rendant publique la condamnation et en montrant à la population ce qui attendaient les criminels. Le condamné étant conduit publiquement sur les lieux de son forfait pour y demander pardon et étant ensuite emmené nu et enchaîné vers sa prison pour y purger sa peine.

Un autre aspect qui faisait remonter en moi mes désirs les plus infâmes était que chaque condamné(e) devrait payer sa dette à la société en se soumettant à des travaux au service de la collectivité... Un site montrait une prison du Sud de l'état où des femmes condamnées à de longues peines travaillaient nues enchaînées par les pieds les unes aux autres à casser des cailloux pour la construction d'une route.

Leurs conditions étaient très dures, on les voyait essayer de rouler de gros rochers sous les coups de fouet des gardiens. Beaucoup de ces femmes étaient des criminelles de basse classe, des noires mais il y avait aussi quelques blanches dans cette prison. Je me demandais si je serais capable d'endurer de telles conditions, de devenir une de ces esclaves. Mais en fait, depuis plusieurs mois, je savais que je voulais définitivement quitter cette vie ennuyeuse et banale...

J'avais échafaudé un plan fou dans lequel je me dénoncerais moi-même à mon Conseil d'Administration pour me faire condamner. Il y a des années, j'avais en effet profité d'une erreur pour détourner une grosse somme d'argent. J'en éprouvais un sentiment de culpabilité obsédant et des remords me faisaient souvent me réveiller en sueur au milieu de la nuit. Plusieurs fois,

J'avais préparé un courriel avec un fichier contenant toutes les preuves, à envoyer aux administrateurs. Mon doigt avait caressé la touche « envoyer » mille fois mais je n'avais pas osé le faire ; comme le suicidaire qui n'ose pas appuyer sur la gâchette. Tout le dossier fraude était caché soigneusement dans ma mallette.

J'hésitais, pesant ma vie luxueuse, puis me voyant nue, couverte de chaînes devant tout le monde comme je le désirais tant.

La journée avait passé rapidement et je fus surprise par l'entrée de Lillian et de son fils, Kevin, 18 ans mais paressant 15, rouquin boutonneux, quasi obèse, avec son regard porcin et ses airs de puceau. Il me regardait toujours avec une envie malsaine, ce petit vicieux. Et aujourd'hui, je vis que ma robe noire lui faisait de l'effet : très moulante, avec un décolleté profond découvrant mes seins presque jusqu'aux aréoles, elle était aussi très courte et il remarqua vite la lisière noire de mes bas. Je croisai mes jambes et il eut brièvement une vision de mon porte-jarretelles. Mais assez joué...

- Lillian, terminez le rapport dans le bureau annexe et mettez Kevin dans la salle de réunion à côté du mien, sinon les vigiles de cette nuit prendront votre crétin de fils pour un cambrioleur !

- Oui, Madame Endersson, tout de suite, Madame Endersson.

Il était tard et je fermai la porte séparant mon bureau et celui de ma secrétaire pour me replonger dans ce reportage sur cette prison aux conditions très dures. Les gardiens, des blacks pour la plupart, avaient l'air de brutes épaisses et en les voyant maltraiter leurs prisonnières, je m'imaginais entre leurs mains, hurlant sous le fouet ou les satisfaisant avec ma bouche, réduite en esclavage, couverte de sueur et de poussière, cassant des cailloux le long d'une route devant les habitants de l'endroit...

Les images tournaient dans ma tête et je recommençai à me masturber, lentement. De mon autre main, je caressais mes tétons emprisonnés dans ma robe si moulante. Je décidai de l'enlever et je me mis nue, avec mon porte-jarretelles, jambes écartées sur mon fauteuil, une main massant mon clitoris, l'autre mes seins.

J'étais proche de l'orgasme quand j'entendis derrière moi un soupir. Je sursautai et vis Kevin, le pantalon baissé en train de masturber son petit sexe. J'avais oublié de fermer la porte de la salle de réunion !!!

En deux bonds, j'étais sur lui, qui s'était empêtré dans son pantalon et était tombé par terre, son gros cul nu.

- Espèce de sale petit vicieux, tu vas voir ce que tu vas prendre.

Sautant sur lui, je lui administrai une fessée cuisante jusqu'à ce que ses fesses soient toutes rouges.

- Pitié, Madame, pardon, je...AAIIE ! OUILLE !!! HAAA !!

- Comment oses-tu te branler devant une femme comme moi ? Tu n'es qu'un ver de terre, baisse les yeux, saleté !!!

Il pleurait à chaudes larmes, honteux et humilié de s'être fait prendre. Je remis ma robe et appelai Lillian :

- Lillian, dans mon bureau tout de suite !!! Regardez ce que votre petite ordure de fils faisait !!!

- Madame Endersson, je... je...

- Vous, vous... arrêtez, espèce de gourde !!! Sortez de mon bureau tous les deux et vous, continuez ce rapport sinon...

Une fois le calme revenu, je respirai un grand coup, pris le dossier contenant mes fraudes et l'ouvris sur mon bureau. Ma décision était prise...

Je mettais mon sort entre les mains de ma secrétaire. Je sortis du bureau :

- Lillian, je rentre ; remettez mon bureau en ordre, je ne veux plus rien voir traîner, compris ? Et terminez ce rapport, sinon ça va barder pour vous demain !

- A vos ordres, Madame Endersson.

Je laissai tomber un gant et lui jetai un regard noir :

- Alors, qu'est-ce que vous attendez pour le ramasser, petite idiote ?

- Le voici, Madame Endersson, pardon ! me dit-elle les yeux pleins de haine.

Elle me détestait.

Le lendemain, en route vers le bureau, je me demandais si Lillian avait lu le dossier que j'avais laissé et si oui, m'avait-elle dénoncé ? J'étais taraudée par la peur et l'excitation. Plusieurs fois, j'avais rebroussé chemin, hésitant à reprendre ma route. J'avais mis une robe trop courte ultra moulante qui m'arrivait au ras des fesses, avec un string rouge et sans soutien. Décolletée dans le dos mais aussi dévoilant mes gros seins presque entièrement, j'étais obscène, on aurait dit une putain. Sans soutien, mes seins pendaient lourdement, mes mamelons dardant sous le tissu, ma robe arrivant tout juste à contenir l'un contre l'autre mes gros seins, mais mes tétons pointant vers la gauche et la droite, de vraies mamelles.

Arrivée au bureau, je fus immédiatement arrêtée par les 5 policiers qui m'attendaient dans le hall, sous les yeux stupéfaits de mes employés de me voir emmenée dans une telle tenue.

Mon procès fut expédié en quelques heures ; j'avais tout avoué et n'avais pas demandé d'avocat. C'est donc dans cette tenue de prostituée que je m'entendis condamner :

- Samantha Endersson, en vertu des lois de notre état, je vous condamne aux travaux forcés à perpétuité, sans possibilité de remise de peine. Vous serez incarcérée à la prison d'Alvord pour y accomplir votre peine. Demain, vous serez conduite sur les lieux de votre crime pour vous repentir devant votre personnel.

Ma vie basculait ; dans la salle, j'aperçus mon mari et ma secrétaire qui applaudissaient à l'annonce du verdict. Je fus emmenée en me demandant si c'était le hasard qui les avait fait s'asseoir l'un à côté de l'autre.

Le lendemain, dans le fourgon cellulaire qui me conduisait vers mes anciens bureaux, la fonctionnaire pénitenciaire, Madame Olga, une petite femme maigre, la cinquantaine au regard très noir, m'expliqua :

- Quand tu seras montrée enchaînée devant tous tes employés, tu avoueras tes crimes et tu demanderas pardon.

- Oui, Madame ! soufflai-je folle de honte et d'excitation.

- Tu demanderas toi-même à être préparée pour ta mise en esclavage au service de la société, compris ?

- Mais Madame, en quoi consiste cette... préparation ?

Elle échangea un clin d'œil complice avec les deux gardiens qui m'escortaient et avec un sourire narquois, elle répondit :

- Tu verras, tu vas adorer et tes employés aussi, saleté !

Mes gardiens étaient deux noirs très jeunes, tous deux bâtis comme des armoires à glace ; ils me considéraient avec mépris, le regard mauvais ; je compris vite qu'il ne fallait pas les contredire et qu'il vaudrait mieux me montrer obéissante.

Arrivés devant l'immeuble de mes ex-bureaux, Madame Olga avait pris soin de couper les bretelles de ma robe ainsi que l'élastique qui en serrait le bas. Elle ne tenait donc plus que par ma taille et mon ventre. Je devais donc continuellement la remonter sur mes seins et tirer sur le bas qui laissait apparaitre mes grosses fesses et mon string à chaque pas que je faisais. Agacée, la fonctionnaire m'ordonna :

- Quand on s'habille comme une putain, on assume ! Arrête de tirer dessus, de toute façon, tu seras bientôt à poil...

Elle avait raison...

Je pénétrai dans le hall de l'immeuble l'air hautain et impassible, comme si je venais travailler normalement, à la différence que j'avais les seins qui ballottaient maintenant complètement hors de ma robe et que j'avais les fesses exposées aux yeux des employés stupéfaits...

- Madame, pourrais-je passer par les toilettes, je dois... c'est urgent.

- Non mais, tu te prends pour qui, connasse ? Tu pisseras quand je te le dirai et pas avant ! Me répondit Madame Olga.

Je fus conduite dans la grande salle de congrès où j'avais fait tant de discours et dans laquelle on avait réuni tous mes employés. Je traversai la salle sous les murmures et les ricanements moqueurs de mon ancien personnel.

- Mesdames, Messieurs, voici votre ex-directrice Samantha Endersson. Ce n'est plus à présent que la condamnée n° 252312. Ecoutez ce qu'elle va vous dire et respectez toujours les lois de notre cher pays !

- Je... Chers collègues... heu, je veux dire, ex-collègues, je...

Puis je retrouvai ma fierté et en regardant fièrement la salle :

- Je suis coupable et je ne mérite aucune pitié de votre part. Je suis bannie de la société. J'ai été justement condamnée aux travaux forcés à perpétuité. Je passerai le reste de ma vie à accomplir les travaux les plus durs dans la nudité totale et sous le fouet comme le veulent nos nouvelles lois. Je remercie le tribunal et tous ceux qui ont contribué à mon arrestation.

La salle me huait copieusement. Je me tournai ensuite vers mes gardiens et je les toisai avec mon air arrogant:

- Je suis prête pour ma mise en esclavage, Messieurs. Ne faites pas attendre tous ces gens qui semblent impatients de me voir nue et dressée !

Libérée par ces déclarations, l'assemblée s'en donnait à cœur joie ; les insultes, les huées pleuvaient sur moi.

- A poil, saleté ! m'ordonna Madame Olga.

- Oui, Madame, j'obéis.

Pour bien me ridiculiser devant mon personnel, elle m'avait fardé le bout des seins avec un rouge à lèvres criard et m'en avait couvert les lèvres en débordant partout. J'enlevai ma robe puis mon string en gardant mes jambes bien tendues pour le faire glisser jusqu'à terre et en me penchant vers l'avant pour exciter tous ces porcs qui se réjouissaient de ma déchéance.

- Face au public, mains sur la tête et jambes écartées, poufiasse! M'ordonna Madame Olga.

Une fois en position, morte de honte, humiliée mais aussi de plus en plus excitée, je faisais face à tous ces gens qui, il y a peu, me parlaient avec respect et m'obéissaient et qui à présent, me huaient, m'insultaient et se moquaient de moi. Tous avaient sorti leurs portables et prenaient des photos ou me filmaient, dans une ambiance indescriptible. J'essayais de garder la tête haute et le regard fier malgré les tomates pourries qu'on lançait sur moi. Les femmes étaient les plus cruelles, visant mes seins avec des pommes achetées à la hâte à la cafeteria. J'avais une envie folle de me masturber...

- Garde tes mains sur la tête, sous-merde ! me dit la fonctionnaire quand je voulus nettoyer mon visage couvert du jus de ces fruits pourris.

- Aaaarrrhh !!! une tasse de café brûlant atterrissant sur mes seins me tira un hurlement rauque.

- Tu vas rester tranquille, oui ?!!! Hurla-t-elle en me giflant copieusement.

- Pardon, Madame, je ne le ferai plus, aaahh !!! Pardon... Ah !!! Non, ahh !!! Moins fort s'il vous plait ! implorai-je.

Madame Olga demanda alors aux gardiens de commencer ma préparation. Un des gardiens me riva aux chevilles des fers très lourds et rouillés, reliés par une grosse chaîne de près d'un mètre.

- Mains derrière le dos, putain blanche, m'ordonna mon gardien.

Mes poignets furent ferrés également, mais seul un anneau reliait les deux fers si bien que je ne pouvais absolument plus bouger mes mains, les mains derrière le dos. Je n'étais désormais plus maître de mon propre corps. Mon excitation grandissait ; le poids des chaînes, tous ces gens, les ordres des gardiens me mettaient dans un état second. Mon sexe était trempé...

- Tes nouveaux bijoux te plaisent ? lança quelqu'un dans la salle sous les rires et les applaudissements.

- Après le maquillage et les bijoux, passons à la coiffure, me dit Madame Olga avec un sourire sadique. Une saleté comme toi, ça doit avoir plein de poux !

Assise sur un tabouret, on me coupa les cheveux avec des ciseaux. Les mèches tombaient sur mon corps et sur le sol, mêlées à mes larmes de rage et de honte. Le gardien s'empara alors d'un rasoir électrique et me tondit le sommet du crâne, laissant les côtés garnis comme un homme atteint de calvitie. Il ramassa deux mèches au sol et me les enfonça dans les narines puis me promena sur toute la scène pour que tout le monde puisse bien se moquer et me prendre en photo.

Il reprit son travail et en quelques passages, ma tête fut aussi lisse qu'un œuf. Nouvel intermède pour bien me soumettre aux moqueries de la salle...

Jamais, même dans mes rêves les plus pervertis, je n'avais pensé à une telle humiliation. J'en savourais autant que j'en haïssais chaque moment.

Mon excitation était à son comble. Et la vision de mon ex-secrétaire au 1er rang vint encore l'augmenter.

- Si tu te voyais avec ton crâne d'œuf ; tu es toute belle, ma salope, crois-moi !!! me lança-t-elle, hilare.

Je voulus bondir au-devant de la scène pour lui cracher dessus mais mes deux gardiens me rouèrent de coups. Ils me firent rejoindre mon tabouret en rampant, s'acharnant sur moi à grands coups de pieds.

- Par mesure symbolique mais aussi pour qu'une telle criminelle ne puisse enfanter d'autres déviants comme elle, la condamnée aura le sexe fermé, expliqua la fonctionnaire à la foule.

- Noooon, nooon, pas ça, pitié, pitié Madame !!! hurlai-je en vain.

Maintenue fermement par un des gardiens, le second et Madame Olga me percèrent les grandes lèvres avec un poinçon chauffé à blanc et je fus fermée par un lourd anneau de métal. Je m'évanouis presque, foudroyée par la brulure fulgurante mais je subis vaillamment ce 1er supplice.

- T'inquiète pas, sac à foutre, il te reste ta bouche et ton trou de cul, me rassura Madame Olga.

Nue, enchaînée, la tête rasée, mes mamelles et mes fesses exposées à tous, le sexe distendu par l'anneau, j'étais devenue une sorte de bête curieuse et mon sort devait en effet faire réfléchir et se tenir tranquille la population. Les nouvelles lois de l'administration pénitentiaire avaient donné naissance à des artistes de l'humiliation comme Madame Olga...

Pourtant je n'avais plus qu'un désir, vivre ma nouvelle vie d'esclave et me soumettre de la plus honteuse des façons. Malgré l'anneau qui me fermait le sexe, la cyprine coulait sur l'intérieur de mes cuisses, ce que pouvaient voir les spectateurs des 1ers rangs.

- Il faut encore te vermifuger ; tu ne voudrais tout de même pas infester toute la prison avec tes puces, non ?!!! me dit-elle. Allez, au pied, saloperie !!!

Je me jetai à genoux devant Madame Olga, attendant ses ordres.

- Ta face de truie par terre, ton gros cul bien relevé, sous-merde !!! Et écarte tes fesses avec tes mains !

Je fis ce qu'on m'avait ordonné. Sur un geste de la fonctionnaire, un des gardiens me maintint la tête au sol en appuyant sa semelle sur mon cou. Pendant que le deuxième forçait mes sphincters avec une sorte de pompe à vélo remplie d'un liquide visqueux qu'il vida dans mes entrailles en riant.

- Pour que tu la chies pas, on va te mettre ça dans le cul ; autant que tu t'habitues directement à notre calibre, car dans la prison, presque tous les gardiens sont blacks et ils aiment pas les esclaves blanches au cul trop serré !!! me dit-il en me montrant un énorme phallus d'acier terminé à sa base par un anneau retenant une cloche de vache, qu'il fit tinter joyeusement.

- Quelqu'un dans la salle voudrait-il être assez charitable que pour aider une ex-collègue à conserver son vermifuge ? gouailla ma tortionnaire.

Ce fut immédiatement la ruée et une bousculade vers l'estrade. J'espérais que Lillian serait choisie pour me sodomiser avec le phallus mais ce fut finalement mon ex-chauffeur qui fut le plus rapide. Je décidai de ne pas le décevoir. C'était un gros homme chauve, tout proche de la retraite, assez primaire avec un regard borné et sévère.

Essoufflé par sa lutte pour arriver sur scène, il se planta devant moi, hésitant. Aussitôt, je me mis respectueusement à genoux en le regardant dans les yeux, les reins cambrés et les seins offerts.

- Ben... je... voilà, alors il parait que c'est moi qui dois vous... vous... enfin, vous me comprenez, hein, Madame la Directrice? dit-il un peu mal à l'aise.

- Monsieur René, il n'y a plus devant vous qu'une condamnée, qui ne mérite aucun respect ni marque de politesse. Parlez-moi comme vous parlez à votre chien et ce sera très bien. Allons, donnez vos ordres, Monsieur et j'obéirai, lui dis-je calmement en me prosternant devant lui. J'avais hâte de sentir cette brute me pénétrer devant tout le monde. Il se ressaisit rapidement...

- Euh, je... Allez, salope, grosse pute, montre-moi ton cul et plus vite que ça !!! Ouvre-le mieux que ça, tu comprends, imbécile ?!!! 

En aboyant ses ordres, il se tournait vers la salle comme pour obtenir l'approbation de ses collègues. Ceux-ci applaudissaient à tout rompre...

S'emparant du godemiché, il l'appuya contre mes sphincters et je le laissai pénétrer en moi au plus profond de mes entrailles. Je poussai un râle de plaisir, les yeux mi-clos en donnant moi-même une dernière poussée pour bien m'empaler sur le gigantesque phallus.

- Aaaahhh, merci Monsieur René, c'est un honneur pour moi que vous ayez accepté de contribuer à mon châtiment. 

Le primate se tourna alors une nouvelle fois vers l'assemblée en levant ses poings au ciel en guise de victoire, le sourire béat.

Je devenais folle en me contorsionnant sur le phallus d'acier et, abandonnant toute pudeur, je me perdis dans l'avilissement :

- Madame Olga, je demande une ultime faveur : Monsieur René a participé à ma mise en servage et je voudrais l'en remercier de la façon qui lui plaira, dis-je bien fort pour que toute la salle entende.

Après discussion avec la fonctionnaire, mon ex-chauffeur opta pour me donner 10 coups de règle sur les seins. On lui donna une latte plate en métal souple de 60 cm qu'il tapota d'une main sur l'autre puis Monsieur René me la mit sous le menton pour me relever le visage et me dit :

- Les coupables comme toi ont besoin d'une bonne raclée ; tu vas voir ce que tu vas prendre, directrice de mes fesses, connasse ! Quand je pense à toutes les fois où je t'ouvrais respectueusement la porte de la voiture et jamais un merci !!! Ben maintenant, tu vas me remercier de t'avoir battue, hein, t'as compris, tête d'œuf ?!!!

J'écoutai à genoux les paroles de mon bourreau et je le regardai droit dans les yeux alors qu'à 10 reprises, il abattait sa règle sur mes seins. Après quelques coups, je hurlais sans retenue et lui me frappait de plus en plus fort, faisant bondir mes seins de façon obscène, pour le plus grand plaisir des 300 spectateurs.

- Flaccc !!! Aaaaaahhhh !!!! Flacccc !!! Rhaaaahh... oui, Monsieur René.... Flaccc !!!! Aaaaarrhh !!! Aaaah, Monsieur... Flac, flac, claccc !!!!! Aaaah...hhh...Monsieur René, oh, oui, rhaaah... aaaahhh !!! sanglotai-je.

Mes seins striés de marques rouges avaient presque doublé de volume sous les coups. Cette brute avait une force hors du commun. J'étais à ses pieds, vaincue... Je le remerciai en lui baisant longuement les pieds sous l'œil amusé de mes gardiens. Il redescendit de la scène sous les applaudissements de mes ex-employés.

- Allez, feignasse, lève-toi, il est temps de partir ; on t'attend à la prison ! m'ordonna Madame Olga.

Je me relevai avec difficulté, empalée par mon godemiché, mes seins et mon sexe percé me faisant souffrir mille douleurs. Pendant qu'elle me mettait en laisse, Madame Olga me fit remarquer :

- Avec la cloche à ton gros cul de salope et tes gros pis, tu as de plus en plus l'air d'une vache !

- Oui, Madame, je ne suis plus qu'une bête de somme et on va m'utiliser comme telle. Une condamnée aux travaux forcés ne doit plus ressembler à une femme mais simplement accepter son sort d'esclave. J'ai hâte d'être mise au travail et de payer ma dette envers la société le restant de mes jours. J'espère qu'on sera très sévère avec moi ! lui répondis-je.

- Eh bien, voilà déjà un bon début ! Allez, hue, bourrique ! rigola-t-elle. 

Puis, s'adressant à la salle : 

- Votre Directrice vous quitte ; elle a trouvé du travail chez un nouvel employeur ; je suis certaine qu'elle a obtenu de meilleures conditions, ha, ha, ha !!! Mais elle va descendre vous faire ses adieux ; vous pourrez la féliciter comme il se doit !!!

En laisse derrière la fonctionnaire, nous descendîmes nous frayer un passage à travers une haie d'honneur improvisée par les employés. Les gardiens qui me suivaient ne faisaient rien pour me protéger des gifles, des crachats, des pincements, que m'infligeaient mes anciens employés. "Ding, dilling" tintait la cloche honteuse qui pendait entre mes fesses pour me ridiculiser à chaque pas.

- Houuu, houuu !!!

- Saloooope !!! Tu vas en baver dans ta prison ! Ils vont te dresser, sale esclave !!!

- Tu n'es plus rien qu'une merde !!! Hoouuuu !!! 

Les insultes fusaient de partout.

- C'est toi qui va travailler pour nous, maintenant, ha, ha, ha !!!

Un groupe de secrétaires qui me détestaient et me jalousaient brandissaient leurs agrafeuses. Elles s'acharnèrent sur mes seins et mes fesses, me faisant pousser des cris stridents, tirant vainement sur ma laisse et mes chaînes pour échapper à leurs morsures.

J'aperçus le groupe des veilleurs de nuit ; je me dirigeai vers eux et m'agenouillai sans un mot. Ils me rossèrent à coups de poings et de pieds.

Arrivés à la sortie de l'immeuble, je regardai derrière moi une dernière fois la vie que je quittais. En me retournant pour monter dans le fourgon cellulaire, je ne pus masquer ma honte car devant moi se trouvait Lillian, le sourire narquois.

- Alors, saleté, on s'en va sans me dire au revoir ? me nargua-t-elle.

L'humiliation et la rage étaient trop fortes et je la toisai d'un « sale petite garce, tu savoures ta vengean... » Mais je n'eus pas le temps de finir ma phrase : un des gardiens m'asséna un violent coup de poing dans le ventre qui me fit tomber aux pieds de ma dénonciatrice.

- A genoux quand une dame te parle, pourriture !!! Et sois polie, sinon, ça va barder !!!

- Je vous demande pardon, Madame Lillian.

- Regarde-moi bien, je vais te faire un cadeau pour ton départ. Et lentement, elle se pencha et me gratifia d'un gros crachat.

- Merci, Madame ! lui répondis-je en recueillant avec ma langue une partie du liquide visqueux.

- Ta gueule, idiote !!! J'ai compris ton manège. Tu n'es qu'une salope maso dégénérée ! Tu m'as laissé volontairement le dossier de tes escroqueries sur ton bureau. Ça te plait d'être à poil devant tout le monde, hein poufiasse !?! Mais dis-toi bien que toute une vie d'esclavage, c'est long ! Dans peu de temps, tu regretteras ta vie de bourge et ton bureau confortable ! Mais moi, je rigolerai bien. Là où ils t'emmènent, c'est l'enfer !!!

- Ah, j'oubliais, ajouta-t-elle, comment me trouves-tu avec ta robe ? Et regarde cette bague, tu la reconnais ?

- Oui, Madame, dis-je, la tête basse, tentant de ravaler ma colère. De toutes façons, je n'ai plus besoin de vêtements ni de bijoux là où je vais...

- Ça, c'est vrai, mais tu pourrais me féliciter tout de même. Allons, je veux t'entendre t'humilier devant moi ! dit-elle en gloussant et en virevoltant pour me faire admirer sa robe.

- Madame Lillian, cette tenue vous va à ravir ; vous la portez mille fois mieux que moi. Je suis très heureuse que vous la portiez à ma place. Merci, Madame Lillian, merci.

Malgré ma honte et ma rage, je sentais monter en moi une incroyable excitation mon vagin était trempé et l'anneau qui me maintenait fermée, frottait contre mon clitoris, y faisant battre mon sang et chaque pulsation et mouvement infime de mes cuisses me rapprochait de la jouissance.

J'étais nue, couverte de chaînes devant ma rivale, vaincue, contrainte de m'humilier moi-même devant elle et j'aimais ça. Pour rien au monde, je n'aurais voulu revenir en arrière. Dans la rue, les passants s'arrêtaient et s'approchaient du fourgon, avides de satisfaire leurs mauvais instincts comme chaque fois qu'une femme nue quittait le monde libre pour rejoindre celui des esclaves.

Madame Olga m'ordonna de me relever pour le départ.

J'avais une envie terrible d'uriner depuis que j'étais arrivée sur scène mais je n'avais plus osé demander la permission. A présent, avec le coup de poing du gardien, ma vessie ne pouvait plus résister et malgré mes efforts désespérés pour me retenir, je me laissai aller devant tout le monde, debout jambes écartées, offrant un dernier cadeau à celle qui m'avait envoyé en prison.

- Tu te pisses dessus, à poil, en pleine rue. Tu n'as plus aucune pudeur, ma parole, hein, espèce d'animal ? me dit-elle d'un air dégoûté et méprisant. 

- Mais... Mais, qu'est-ce que tu as fait ?! Mais cette truie en a mis plein mes chaussures !!! cria Lillian, prenant à témoin tous les passants.

Puis me regardant d'un air bienveillant :

- Tu les aimais tellement, ces chaussures et maintenant qu'elles sont à moi, tu les abimes avec tes gouttes de pisse ; ce n'est pas bien ! me dit-elle, d'un ton de reproche, comme on parle à un petit enfant.

Je savais ce qui m'attendait...

Sans un mot, avec un sourire cruel, elle me montra le sol avec son doigt et me présenta un de ses pieds. La tête basse, je me mis à genoux en serrant mes poings puis je me baissai pour nettoyer consciencieusement les escarpins que je portais autrefois. Ma langue léchait la semelle, puis s'attardait longtemps sur les talons aiguilles, comme une prostituée vénérant le sexe de son client.

Qui m'aurait dit que je ferais un jour des choses aussi honteuses, nue à genoux en pleine rue, pataugeant dans ma propre pisse, devant des dizaines de passants amusés. Pourtant, je n'aurais pour rien au monde voulu revenir en arrière. A partir de ce moment, je devenais pleinement une esclave condamnée à perpétuité, acceptant mon sort, abandonnant toute pudeur et fierté...

- Allez, monte, on part, truie ! me dit un des gardiens en me tirant par la laisse à l'intérieur du fourgon grillagé.

Le fourgon m'emporta vers mon horrible destin. Je me demandais encore comment Lillian... ou plutôt Madame Lillian, devais-je dire, avait reçu mes vêtements et la bague... Les lui avait-on donnés pour la récompenser ? Ou alors... au procès, je l'avais vue à côté ce mon mari. Est-ce que...?

Mais tout ça n'avait plus d'importance, à présent. Une traction sur ma laisse m'arracha à ma rêverie : c'était le gardien assis à ma droite qui réclamait sa récompense. A genoux devant lui, j'ouvris docilement ma bouche pour le recevoir.

FIN.

mardi 17 juin 2025

Maryse, naissance de la perversion - Ch. 04

 Texte de Lecteur (2009)

*****

Exhibition et sex-shop.

Résumé de l’épisode précédent : Après avoir accompagné son mari à la gare, Maryse fait sa première exhibition sur internet. Le lendemain, elle est de nouveau envoyée à la déchetterie par son chef. Elle décide d’en profiter pour récupérer les photos de M. Francis. Cela ne se passe pas tout à fait comme prévu, mais elle réussit tout de même à les récupérer après s’être abandonnée à M. Francis.

Elle n’en revient toujours pas de ce qu’elle a fait avec M. Francis. Elle était terriblement excitée malgré la bestialité de la situation. Elle a osé des choses que jamais elle n’avait tentées et cela lui a plu… énormément. Rien que d’y penser, elle sent l’excitation la gagner de nouveau. Il faut qu’elle se raisonne, elle ne peut pas continuer comme ça. Elle a dépassé les limites du convenable, elle a trompé son mari. Toutes ces pensées se bousculent, mais elle a beau ressentir de la honte pour son comportement, elle ne peut s’empêcher de penser à la jouissance qu’elle a ressentie.

Après un rapide repas, elle allume son ordinateur pour regarder ses mails. Elle en trouve un de H-mateur, son admirateur de la veille. Il lui écrit qu’il a adoré leur petit jeu de la veille. Il serait ravi de recommencer ce soir vers 21H00. Elle sourit. « Pourquoi pas » se dit-elle. Elle se connecte sur le chat. Comme la veille, elle reçoit différents messages qui la laissent indifférente. Elle a encore un peu de temps devant elle pour surfer sur internet. Cette fois-ci, ses recherches sont centrées sur le sexe. Elle est dans un état second en regardant toutes ces photos de femmes se faisant prendre par derrière par des sexes monstrueux. Certaines se font éjaculer abondamment sur le visage. D’autres sont prises par deux hommes à la fois. Toutes la regardent, l’air de dire : « tu es comme nous, une salope ».

Elle reçoit une invitation de son H-mateur, qu’elle accepte. Ils discutent de tout et de rien. Puis il lui demande ce qu’elle a fait aujourd’hui. Elle hésite un instant, et finit par lui raconter son aventure. Il n’en revient pas. Il veut des preuves. Cette discussion l’amuse autant qu’elle l’excite car elle sent son partenaire très excité lui aussi. Elle l’invite alors à partager sa webcam, ce qu’il accepte avec empressement. 

Elle n’a pas pris le temps de se changer en arrivant. Elle commence à déboutonner son chemisier pour lui montrer ses deux seins voluptueux soutenus par la guêpière. Il commence à se caresser en profitant du spectacle qu’elle lui offre. Il lui dit qu’elle est très désirable, mais que cela ne prouve pas qu’elle se soit fait baiser cette après-midi. La seule manière de lui prouver, c’est de lui montrer son petit trou qui doit être encore rouge des assauts qu’il a subis. Elle retire donc rapidement sa jupe, ce qui fait monter d’un cran l’excitation de son mateur. Il faut dire qu’elle est diablement sexy dans son ensemble de lingerie. Elle se retourne et lui présente ses fesses bien rondes. Elle écarte son string qui ne cache pas grand chose et lui offre son petit trou. Elle peut voir sur l’écran qu’il est bien rouge et encore un peu ouvert. Il faut dire que M. Francis s’est acharné. Elle a adoré son ardeur et sa bestialité au moment où il la sodomisait. Rien que d’y repenser, elle sent son sexe mouiller. Elle lui dit :

— J’ai besoin de quelque chose en moi ! Mais je n’ai rien sous la main.

— Tu n’as pas de dildo ou de vibromasseur ? C’est étonnant de la part d’une nympho comme toi.

— Eh bien non. Comme je te l’ai dit hier, je ne me découvre des envies que depuis peu temps. Où pourrais-je en trouver un ?

— Tu as le choix, ou sur internet, ou dans un sex-shop…

— Mmmmm il va falloir que j’y pense rapidement.

Elle se caresse de plus en plus fort. Elle s’introduit même un doigt dans l’anus, ce qui l’excite encore plus. Elle le regarde se masturber comme un fou devant elle. Elle-même se caresse frénétiquement jusqu’à ce qu’elle jouisse. Elle se laisse aller à gémir bruyamment en le voyant décharger copieusement sur lui.

— Tu es un vrai cochon. Tu en as partout, c’est du gâchis !

— Et toi tu es une magnifique salope et gourmande en plus de ça !

Elle se caresse doucement en lisant cette dernière ligne. « Il a sans doute raison » se dit-elle. Il lui demande à nouveau s’ils peuvent se rencontrer. Comme la veille, elle esquive les questions trop personnelles, avant de lui dire qu’elle doit le quitter pour aujourd’hui. 

Elle repense à ce qu’il lui a dit. Et si elle osait ? Elle regarde rapidement sur internet. Elle trouve des centaines de modèles, bien sûr, mais elle ne peut attendre plusieurs jours avant de le recevoir. Il va falloir qu’elle trouve le courage d’aller le chercher directement en magasin… dans un sex-shop. Elle regarde les adresses des magasins les plus proches. Elle en choisit un qui se trouve assez loin de chez elle… peut-être qu’elle ira le lendemain après le travail. Pour l’heure, elle a bien besoin d’une douche avant de se coucher.

Le lendemain est une journée monotone. Elle attend la fin avec impatience et évidemment la journée passe terriblement lentement. Elle a décidé de ne pas trop se laisser aller à ses nouveaux penchants au travail. C’est beaucoup trop risqué. Malgré cela, elle s’est habillée d’une robe arrivant au-dessus des genoux et très légèrement décolletée. Elle porte aussi une large ceinture pour mettre en valeur sa taille et cacher son petit ventre. Elle a chaussé des petits talons qui la font légèrement se cambrer. Elle est ravissante. Elle attire quelques regards qu’elle fait mine de ne pas remarquer. Elle ne veut surtout pas se laisser aller à l’excitation qu’ils provoquent, sur le lieu de son travail.

Une fois dans sa voiture, elle hésite encore à aller jusqu’au bout de sa démarche. Elle était si respectable avant sa rencontre avec M. Francis, maintenant elle devient insatiable, tout l’excite. Elle a envie de sexe. Elle a envie de jouir. Il lui semble qu’elle a perdu trop de temps emprisonnée par son éducation de petite fille sage. Elle se dit qu’après tout, il s’agit juste de rentrer dans un magasin pour y acheter un produit… Pas n’importe quel magasin, un sex-shop et pas non plus n’importe quel produit, un gode. 

Sur ces réflexions, elle arrive à l’adresse trouvée sur internet. Le quartier n’est certainement pas le plus huppé de la ville. Une enseigne lumineuse rouge indique le sex-shop. De l’extérieur, on ne voit rien de plus. Un épais rideau ferme l’entrée du magasin sans vitrine. Une femme en bottes de cuir noir à talons aiguilles la regarde approcher, un petit sourire aux lèvres. Elle présente fièrement une poitrine volumineuse et débordante dans un corset à lacet. Maryse fait tout pour éviter son regard. Elle a le cœur qui s’emballe. Elle est morte de honte, mais décide de rentrer dans le magasin. 

Une fois dans le magasin, elle est surprise par la chaleur presque étouffante qui y règne. Un homme assez jeune l’aperçoit. Il fuit son regard. Il semble encore plus honteux qu’elle d’avoir été surpris par une femme dans cet endroit. Il se détourne rapidement pour ne pas affronter son regard. Derrière la caisse, elle voit un homme bedonnant qui après lui avoir jeté un regard, se remet à sa lecture.

Le magasin n’est pas très grand. D’un côté, il y a de nombreuses publications qui semblent beaucoup intéresser le jeune homme. Au-dessus des rayons de magazines, il y a plusieurs ensembles de lingerie et de combinaison de cuir pour femme. Dans l’allée centrale, il y a de nombreux gadgets en tout genre. De l’autre côté, se trouvent les vidéos et au-dessus des rayons de DVD, se trouvent d’autres ensembles de combinaison. Elle remarque un petit escalier qui descend au sous-sol. Le panneau, placé au-dessus des marches, indique qu’il faut prendre ses jetons à la caisse avant de descendre. À côté de l’escalier, se trouve une petite cabine d’essayage dont le rideau semble trop court pour remplir son office correctement.

Le jeune homme quitte le magasin rapidement alors qu’elle se trouve dans le rayon des gadgets. Il y en a de toutes sortes. Elle voit des godes de toutes tailles, certains sont vraiment très gros. Elle se dit qu’elle ne pourrait jamais s’introduire quelque chose de cette taille. Elle en voit composé de boules dont la taille augmente peu à peu. Certains ont des formes très bizarres. Comment choisir parmi toute cette diversité ? Le magasin propose aussi des sortes de martinets dont le manche est en forme de sexe. Elle aimerait essayer certains de ces modèles, cette pensée l’excite. Elle continue son exploration et tombe sur des plugs. Certains ont une forme conique qui se rétrécit à la base. D’autres se terminent par une sorte de queue de cheval.

Le magasin propose toutes sortes de crèmes et autres pilules, elle passe rapidement devant ces produits. Elle voit toute sorte de vibromasseurs. Là encore la diversité est telle qu’elle ne sait pas comment choisir. Elle trouve d’autres accessoires comme des gants en cuir, et des masques. Elle se dit que cela serait très pratique pour ses petites séances devant sa webcam. Elle en choisit un qui recouvre le visage jusqu’à la base du nez. Elle a hâte de l’essayer. 

Elle retourne près des godes. Elle en choisit un dont la boite dit qu’il a été moulé d’après le sexe de vingt-cinq centimètres d’un acteur. Elle le trouve très gros, mais elle est de plus en plus excitée. La boîte indique qu’il a plusieurs vitesses de fonctionnement. Par contre il est assez cher. Elle prend aussi un flacon de lubrifiant vu la taille de son choix. Elle a une boule dans l’estomac en choisissant tous ces articles. Elle regarde les combinaisons, mais le prix de ces articles la dissuade rapidement.

Maintenant, il va falloir qu’elle s’approche de la caisse avec ses achats. Tout à coup elle manque de courage. Elle regarde le caissier qui ne semble pas s’occuper d’elle. Elle hésite à tout reposer et à quitter les lieux au plus vite, mais ce serait ridicule. Elle s’approche et dépose les articles sur le comptoir. Il lève des petits yeux vers elle, puis il enregistre ses articles. Elle n’ose pas le regarder, mais elle remarque son petit jeu. À chaque article, il semble chercher le prix et en même temps, il en profite pour regarder ses seins. Il lui annonce un prix qui la fait frémir.

— Eh bien c’est… assez cher…

— Je sais ma petite dame, mais ce sont des articles de qualité qui vous satisferont bien.

Il la dévisage en lui disant cela. Elle est troublée qu’il lui parle ainsi. Elle ressent de nouveau toutes ces sensations qu’elle a quand elle se sent désirée. Elle ne peut pas contrôler son excitation.

— Je peux vous faire un prix, mais cela ne dépend que de vous !

— Comment cela ?

— Hé bien cela dépend de ce que vous accepterez… de faire pour moi !

Elle voit parfaitement où il veut en venir. Cet homme bedonnant, presque chauve qui la regarde avidement avec ses petits yeux. Elle le trouve abject, mais la situation et sa demande l’excitent de plus en plus. Osera-t-elle jouer le jeu jusqu’au bout ? D’une petite voix elle lui demande :

— Que voudriez-vous que je fasse ?

— Oh, mais beaucoup de chose ma petite dame. Mais pour ces articles, laissez-moi réfléchir… 20% si je peux vous peloter les seins, 50% pour une petite gâterie en plus !

Bien entendu, elle se doutait qu’il allait lui faire ce genre de proposition, mais elle est quand même surprise. Elle trouve la situation totalement irréelle. En venant dans cet endroit, elle savait qu’elle devrait faire face à des regards lubriques. Elle avait honte d’entrer dans ce type de magasin. Elle ne s’attendait quand même pas à ce que cela tourne ainsi.

— Comme je vous le disais, cela dépend entièrement de vous.

Elle hésite. Elle n’en revient pas d’hésiter. Il y a quelques semaines, elle l’aurait envoyé balader. Oui, mais il y a quelques semaines, jamais elle ne serait rentrée dans un tel magasin. Elle jette un coup d’œil autour d’elle, il n’y a personne dans le magasin. D’une voix troublée, elle lui dit :

— D’accord…

— D’accord pour quoi ?

Il veut l’entendre dire elle-même jusqu’où elle est prête à aller.

— … D’accord pour… 50%

C’est au tour du caissier d’être surpris. Ce qui n’était rien d’autre qu’un petit jeu sans espoir pour lui, devient tout à coup réalité. Elle est là, devant lui, prête à lui offrir sa poitrine et à lui sucer la queue. Ses yeux s’agrandissent en remarquant les tétons pointés à travers le tissu de la robe de sa cliente. Il n’ose pas encore profiter de la situation. Elle se cambre légèrement pour accentuer la courbe de sa poitrine. Elle respire profondément. Ses mains ne quittent pas le comptoir. Il ose enfin approcher ses mains doucement. Il passe d’abord ses doigts le long de ses seins pour tester sa réaction. Voyant qu’elle ne réagit pas, d’un coup, il lui empoigne avec plus de force. Elle a un sursaut de surprise en sentant sa poitrine serrée dans les mains de cet inconnu. Elle se laisse faire, elle se perd une fois de plus dans son excitation. 

L’homme profite passionnément de la poitrine de sa cliente en la malaxant. Il la soupèse et apprécie son volume. Elle ferme les yeux, elle apprécie les sensations que lui procurent ces mains inconnues. Elle ouvre grands les yeux en poussant un petit cri quand elle le sent lui pincer les tétons pour ensuite les tirer vers lui. Elle n’a d’autre choix que de se pencher un peu sur le comptoir. Il a un sourire carnassier maintenant qu’il profite pleinement de cette volumineuse poitrine.

— Viens me rejoindre !

Elle fait le tour du comptoir pendant qu’il défait la fermeture éclair de son pantalon. Il en sort un sexe circoncis plutôt court et déjà bandé. Une petite goutte de liquide perle au bout de son gland violacé. Il sort aussi ses bourses poilues en les caressant. Elle s’agenouille devant lui et commence par lui caresser le sexe. Ses doigts parcourent toute sa longueur et font le tour de la base du gland, provoquant un gémissement du caissier. Il lui relève le menton et lui indique de se mettre sous le comptoir. Elle s’installe à genoux sous le comptoir étroit. Elle reprend ensuite ses caresses. Elle passe maintenant sa langue le long de sa verge malgré l’odeur forte qu’elle dégage. Elle pose ses lèvres sur le gland puis elle descend le long de ce sexe, appréciant son volume dans sa bouche. Son front frotte contre la bedaine du caissier. Elle entame un mouvement de va-et-vient. Le bruit qu’elle fait en le suçant l’excite un peu plus encore.

Tout à coup elle se fige en entendant la sonnette du magasin retentir. Quelqu’un vient d’entrer. Elle n’ose plus bouger. Si on la découvrait, elle mourrait de honte sur l’instant. D’un geste de la main, il lui ordonne de continuer. Après une hésitation, elle le reprend en bouche et, le plus discrètement possible, elle recommence à le sucer pendant que l’inconnu erre dans les rayons du magasin. 

Le client s’approche du comptoir et y pose quelque chose. Le caissier enregistre l’article et lui annonce le prix. L’autre cherche quelques instants sa monnaie, paye le caissier et quitte le magasin.

Pendant tout ce temps, Maryse continue à sucer le sexe du caissier. Son cœur bat la chamade. La peur d’être découverte a décuplé son excitation. Quand elle entend le client quitter la boutique, elle commence à le sucer furieusement. Elle a accéléré ses mouvements. Elle aspire son sexe. Elle commence à se caresser frénétiquement d’une main jusqu’à la jouissance. L’homme n’en peut plus de se retenir. Il lui attrape les cheveux et la force à le garder en bouche. Et dans un râle puissant, il lui éjacule dans la bouche. Elle essaie d’avaler sa semence au fur et à mesure, mais elle en laisse s’échapper un peu. Elle sent le liquide couler le long de son menton et s’écraser sur sa robe au niveau de son sein gauche. Il la libère enfin en gémissant.

— Eh bien ma petite dame, vous avez bien mérité votre remise de 50% !

Elle lui sourit, ravie. Il lui présente un mouchoir en papier pour essuyer le surplus de sperme qui macule sa robe. Elle se relève et retourne de l’autre côté du comptoir un peu flageolante. Elle paie ses articles avec 50% de réduction et s’apprête à quitter le magasin quand il l’appelle. Elle se retourne.

— Vous pouvez revenir quand vous voulez ma petite dame. Au revoir.

Elle sort, elle apprécie l’air frais quand elle entend une voix de femme.

— Eh bien, ma jolie, on a pris du bon temps à c’qu’on dirait ! Faudrait pas me faire trop de concurrence quand même ! Ça te dirait d’en prendre avec moi ?

Elle se retourne et voit la femme qui était à l’entrée du magasin tout à l’heure. Elle lui sourit et a une moue entendue quand elle remarque la tache sur le haut de la robe de Maryse. Elle reste un moment figée sur place. Elle regarde cette femme habillée d’une combinaison de cuir comme elle en a vu dans le magasin. Sa poitrine déborde de son corset qui accentue la finesse de sa taille. Ses bottes à talons aiguilles lui cambrent la silhouette. Cette femme sait très bien ce qui s’est passé dans le magasin. Elle la regarde comme si elle appréciait une marchandise. Elle était déjà troublée en sortant du magasin et le regard de cette femme ne fait qu’augmenter son état. Elle trouve enfin le souffle pour lui répondre :

— … Euh non… désolée… je dois y aller, on m’attend…

— La prochaine fois alors.

Maryse se retourne et se dirige vers sa voiture d’un pas mal assuré. Les sensations qu’elle a eues ont été trop fortes. Il faut qu’elle se calme avant de reprendre le volant. Elle essaie de respirer doucement pour se détendre. Elle démarre peu de temps après sa voiture pour rentrer chez elle.

Quand elle sort de son garage, elle est interpellée par sa voisine, Mme Chelau. Elle vérifie rapidement que ses achats ne sont pas identifiables. Elle se dirige ensuite vers elle en la saluant. Mme Chelau est une petite femme sèche d’une cinquantaine d’années. Elle porte des lunettes, ses cheveux châtain clair sont coiffés assez court. Elle a toujours une attitude pincée et son sourire comme son regard n’est jamais franc. Elles discutent de la pluie et du beau temps et des autres voisins. Mme Chelau est une vraie concierge… puis cette dernière lui dit :

— Oh vous vous êtes tachée !

Maryse devient rouge pivoine et balbutie une histoire de café… qui ne convainc pas sa voisine inquisitrice.

— Ça ne ressemble pas à une tache de café, enfin bon si vous dites…

Maryse essaie d’écourter aussi poliment que possible la conversation en prétextant une journée harassante au travail. Mais l’autre continue de plus belle en lui posant de nouvelles questions sur son travail, ses conditions… Elle finit tout de même par lui dire au revoir. Elle rentre chez elle en essayant de ne pas se précipiter.

Elle ne peut attendre plus longtemps avant d’ouvrir ses paquets. Elle essaie tout d’abord le masque qui s’ajuste sur son visage jusqu’au nez. En se regardant dans le miroir, elle se dit qu’ainsi personne ne pourra la reconnaître. Elle sort le gode de sa boite. Il est vraiment gros et épais. Elle se dit qu’elle a peut-être exagéré en prenant ce modèle. La texture la surprend, elle ressemble à s’y méprendre à de la peau. Il est parcouru de grosses veines qui la font presque frémir d’envie. Il y a une grosse ventouse à la base des deux grosses boules de ce sexe géant. Elle manque de le lâcher quand elle l’actionne. Il est pris de mouvement rotatif d’une force qui l’impressionne. Elle sélectionne une autre position qui entraîne un mouvement de va-et-vient dont elle peut faire varier la vitesse.

Elle se déshabille entièrement, puis elle se dirige vers son armoire pour choisir une tenue dans laquelle elle va s’exposer devant sa webcam. Décidément, elle se rend compte que sa lingerie est trop classique et rien ne va avec son masque… Elle choisit un ensemble rouge à fines bretelles qui fera l’affaire. Elle est très excitée à l’idée d’essayer son nouveau jouet sous le regard avide d’un spectateur. Elle passe ensuite un peignoir avant de s’installer sur son lit. Elle cache son jouet sous son oreiller et démarre son ordinateur.

Elle a de plus en plus de succès sur son chat. Elle discute un peu avec d’autres internautes avant d’accepter l’invitation d’une certaine Mme XDom. Son interlocutrice est très directe et directive. Elle lui pose de nombreuses questions sur sa vie sexuelle. Elle semble très intéressée par les changements qui se sont opérés chez Maryse depuis quelques semaines. Elle lui demande si elle est aussi excitée par le regard des hommes que celui des femmes. Maryse lui répond que oui, mais que les femmes savent être plus discrètes, et qu’il est plus difficile de les surprendre. Maryse finit par lui raconter sa dernière aventure au sex-shop. Mme XDom met un peu plus de temps à lui répondre et finit par lui dire qu’elle est une sacrée salope et qu’elle aimerait bien la voir en action. 

Alors que Maryse se serait offusquée qu’on la traite ainsi il y a quelque temps, elle est maintenant très excitée dès qu’on lui parle ainsi. Elle l’invite à brancher sa webcam et son micro. Elle désire voir son interlocutrice. La femme qui apparaît sur son écran doit avoir une quarantaine d’années. Son visage fin est encadré d’une chevelure brune très courte. Ses yeux d’un bleu très clair sont mis en valeur par un maquillage foncé. Elle est, elle aussi, en peignoir négligemment ouvert laissant apparaître un petit sein dont le téton pointu darde au milieu d’une petite aréole rose. Cette femme dégage une autorité naturelle qui trouble Maryse. Tout à coup elle comprend le pseudo de son interlocutrice, Dom pour Dominatrice. Elle en est encore plus troublée. Mme XDom, après avoir passé sa langue sur ses lèvres, lui dit :

— J’aime beaucoup ton masque ma chérie. Il te va à ravir, mais j’aimerais voir le reste de tes charmes.

— Euh oui…

Avant qu’elle ait pu dire quoique ce soit d’autre, Mme XDom la reprend brutalement :

— Dès lors que tu t’adresses à moi, tu finis tes phrases par Madame ! Au moindre manquement, il t’en coûtera.

Maryse est de plus en plus troublée. Elle se rend parfaitement compte de son trouble et de l’excitation qu’elle ressent. Elle sent qu’elle commence à mouiller abondamment. Après tout qu’a-t-elle à perdre à jouer le jeu ? Si jamais cela va trop loin, elle peut tout arrêter en un clic. Elle lui répond timidement :

— Oui, Madame

— C’est bien, ma chérie, maintenant ouvre ton peignoir.

Elle ouvre doucement son peignoir, pour laisser apparaître sa lingerie rouge. Elle se sent intimidée par cette femme qui ne laisse rien deviner de ses sentiments. Elle finit par le retirer entièrement.

— Cambre-toi… oui c’est bien, ma chérie. J’aime que tu m’obéisses. Passe tes mains dans tes cheveux… oui c’est bien… cambre-toi au maximum. Présente-moi tes beaux fruits.

Maryse obéit docilement à toutes ses demandes. Elle est de plus en plus excitée de se laisser diriger de la sorte par une autre femme. Elle lui présente ses seins en se cambrant. Cette position, bien qu’inconfortable, l’excite beaucoup et plus encore quand elle voit son interlocutrice sourire en appréciant sa poitrine.

— Tu me plais. Je me demande jusqu’où tu serais prête à aller pour me satisfaire…

— Demandez-moi ce que vous voulez… je suis… à vous, Madame

— Je me demande si tu te rends compte de ce que tu m’offres. Mais soit j’accepte. Avant que nous fassions réellement connaissance, tu vas me montrer ce fameux jouet dont tu m’as parlé.

Maryse, le cœur battant, se retourne pour prendre le gode qu’elle vient de s’offrir. Elle lui présente ainsi ses fesses rebondies. Mme XDom n’en perd pas une miette. Elle sort le gode de sa cachette et le lui montre.

— Eh bien, ma chérie, c’est une belle taille. Tu as déjà eu un homme aussi gros en toi ?

— Non, Madame !

— Quel dommage que tu ne sois pas avec moi.

— Oh oui, Madame

— Es-tu prête à faire exactement ce que je vais te demander ? Réponds-moi franchement.

— … Oui… Madame !

— Bien. Demain tu viendras à 19h00 à l’adresse que je vais t’envoyer par mail. Il faudra que tu sois la plus désirable possible. Tu apporteras aussi ton gros jouet. Pour ce soir nous allons terminer là. Je ne veux pas que tu essaies ton jouet avant demain. Tu ne te feras pas jouir non plus. Je compte sur toi ! Est-ce que tu m’as bien comprise ?

Maryse hésite. Dans quoi s’engage-t-elle ? Elle ne va quand même pas se présenter chez cette femme qu’elle ne connaît pas. Mais l’excitation l’empêche de se raisonner complètement.

— Oui, j’y serai… Madame !

A suivre...

dimanche 15 juin 2025

Je suis tellement désolée Ch.02

 Traduction d’un texte de FullyLoadedUK.

 *****

Mon mariage est fini.

Un SMS sur mon téléphone me réveille après une nuit inconfortable. Il est écrit : « S’il te plaît, laisse-moi t’expliquer ! »

Je repose mon téléphone sur la table de nuit, puis je me lève et me dirige vers la salle de bain pour vider ma vessie. 

Je n’ai aucune idée de ce que je vais faire. Hier, toute ma vie a volé en éclats lorsque Mary m’a envoyé un bref SMS contenant un lien vers une vidéo montrant ma femme faire l’amour avec de nombreux hommes et femmes. De là j’en ai trouvé d’autres sur le site. Certaines sont courtes et ne décrivent qu’un acte sexuel alors que d’autres sont des orgies de plus d’une heure où ma femme est maltraitée tout le temps. La première vidéo que j’ai vu est une ce celles-là.

J’essaie de voir à quelle date ont été faites certaines vidéos et à quel point elles ont croisé ma vie. Par exemple, dans l’une, je vois ma femme guidée dans les toilettes d’un restaurant par deux des types de la première vidéo. Ils la baisent à tour de rôle et la vidéo se termine quand elle revient à table. Je connais ce restaurant, je connais le jour où a été tourné cette vidéo grâce à la robe d’été que portait ma femme et à la serveuse à qui elle parle à la fin de la vidéo. Cette serveuse était la nôtre ce soir-là. Je ne lui avais pas donné de pourboire, parce qu’elle avait été grossière avec ma femme. Maintenant, en sachant pourquoi elle avait agi de la sorte, j’ai envie de la retrouver et de lui donner un gros pourboire pour avoir été gentille avec moi.

En tirant la chasse d’eau, je me regarde dans le miroir. Le visage heureux et chanceux que j’y voyais habituellement a disparu, remplacé par celui d’un homme hanté par les mauvaises choses qui lui arrivent.

Mary m’a dit hier soir que Perry, son ex-mari lui avait montré les vidéos. Selon lui - m’a-t-elle dit – un ami féru d’informatique avait reconnu ma femme sur une photo de nous quatre qu’il gardait sur son bureau. Il a ensuite utilisé son téléphone pour lui montrer une des vidéos afin que Perry confirme que c’était bien elle.

A partir de là, Perry s’est lancé dans l’aventure. Il a demandé à son ami de créer un site web pour lui, puis de récupérer toutes les vidéos de ma femme et de les mettre sur ce site afin qu’il les partage avec tous ceux qu’il pensait pouvoir être intéressés.

Donc il a commencé à montrer ce site à nos amis communs, nos voisins et tant d’autres. Apparemment il a dit à Mary qu’il se fichait de ce que ça pouvait nous faire à ma femme et moi. Son mariage étant foutu, il n’en avait rien à faire de celui des autres.

Mary m’a également raconté que son ex-mari avait également exprimé le souhait d’être l’un des hommes de la vidéo ou au moins de pouvoir bien baiser ma femme. Il lui a dit qu’il pensait qu’elle était une grosse salope qui le ferait avec n’importe qui lui demanderait. Et il avait bien l’intention de lui demander.

Perry n’est plus rien pour moi. De toute façon il l’était déjà après avoir trompé Mary. Mais là, il est vraiment mort pour moi. Et le reste des voisins le sont aussi. Pas un seul d’entre eux n’a eu le courage de me dire ce qui se passait. Je me dis que tous ceux qui connaissent Perry doivent être écartés de mon cercle d’amis, et probablement tous les hommes que j’ai connus par l’intermédiaire de ma femme. 

J’ai du mal à trouver des personnes qui ne savaient pas. Peut-être les gens avec qui je travaille. Beaucoup de monde a dû voir le site de Perry et les mauvaises nouvelles se propagent toujours comme une traînée de poudre. En y réfléchissant, il est probable que certains au bureau le savent aussi. Ils sont tous férus d’informatique. Oui, ils sont certainement au courant. Ce sont des bâtards, tous autant qu’ils sont.

Ma seule issue semble être un nouveau départ aussi loin que possible de cet endroit. Trouver un nouveau nom si je pouvais, un nouveau travail dans un autre secteur si possible, et d’autres amis par la suite.

Il est temps pour moi de faire des plans. La première chose est de dire que je suis malade pour la journée. J’ai besoin de temps pour faire le point et me préparer au nouveau monde dans lequel je me trouve, un nouveau monde où ma femme est une salope et une star de porno et où tout le monde le sait. C’est le monde dans lequel tout le monde vit depuis un moment et que je viens juste de rejoindre. Pendant une fraction de seconde, je souhaite revenir à mon ancienne vie où je ne sais rien et ou je vis heureux, mais je reprends vite mes esprits. Le fait de savoir me permet de faire face à la situation et d’essayer d’aller de l’avant, de construire quelque chose de meilleur un jour avec de la chance.

Deuxièmement je dois voir un médecin. Il faut que je sache si je suis en bonne santé et si ma femme n’a pas partagé avec moi une maladie sexuellement transmissible obtenue en offrant sa bouche, sa chatte et son cul. Si elle m’a transmis une maladie, construire quelque chose de mieux pourrait juste se transformer en s’assurer que je vive bien en attendant de mourir. Cela va être le point positif de la journée, un test de dépistage de MST. Puis mon cerveau un peu embrumé me rappelle que le test pour le VIH doit attendre trois mois après ma dernière activité sexuelle. Et j’ai fait l’amour le week-end dernier avec ma femme. D’ailleurs c’était un des rares jours où elle a passé toute la journée avec moi.

Troisièmement il faut que je recherche un nouvel emploi. Il va déterminer où je vais finir. La première partie va consister à déterminer ce que je veux faire dans ma nouvelle profession. Je suis chef de projet actuellement après avoir été développeur de logiciels.

Quatrièmement, il faut que je décide que faire d’elle, de la maison et de nos biens. A part divorcer, je ne veux plus rien faire avec elle. Pour la maison, je veux la vendre, car il me faudra ma part pour m’aider à recommencer ma vie, surtout si trouver un nouveau travail s’avère difficile. Elle peut garder les souvenirs de notre vie commune, mais je veux mes vêtements, ma collection de DVD et mes outils au garage.

Cinquièmement, il faut que je trouve un endroit où dormir. Je ne peux pas continuer à m’imposer dans la maison de Mary. Celle-ci a assez de problème en ce moment et je ne voudrais pas les aggraver.

Je prends mon téléphone et je rédige un e-mail disant que je n’irai pas au travail aujourd’hui parce que je ne me sens pas très bien. C’est alors que je me souviens que j’avais mis mon téléphone en mode silencieux la nuit dernière. Pourquoi l’arrivée d’un SMS m’a réveillé ? En y repensant, je ne pense pas que ce soit çà. J’ai dû me réveiller et voir l’écran s’allumer lorsque le message est arrivé. 

En examinant les notifications, je découvre que ma femme a appelé quinze fois au cours des deux dernières heures. En plus, il y a une douzaine de SMS de longueur décroissante. Le dernier contient quatre mots où il m’implore d’avoir une chance de tout me dire ;

Je regarde la chambre et je me rends compte que les seuls vêtements que j’ai sont ceux que je portais hier. J’ai tout laissé dans ma maison avec elle. Donc il faut que j’arrive à résoudre ce problème, mais je vais devoir porter mes habits sales.

Je descends et je trouve Mary en train de lire un livre dans le salon. Elle me propose un café quand elle me voit. J’acquiesce et elle va en chercher. En me tendant le café elle me demande avec sympathie :

- Tu as bien dormi ?

- Non. Et elle a appelé et envoyé des SMS pendant les deux dernières heures. Elle a au moins attendu que ce soit l’heure où je vais travailler habituellement. Au fait, je leur ai envoyé un mail pour leur dire qe je n’irai pas aujourd’hui.

- D’accord. Tu es le bienvenu chez moi aussi longtemps que tu en auras besoin. J’espère que tu le sais.

- Merci Mary. Mais le problème c’est que ta maison est trop proche de la mienne. Pour le moment c’est bien parce que je peux la surveiller, amis je ne voudrais pas qu’elle sache où je suis. En parlant de surveillance…

J’attrape mon ordinateur portable, l’allume et j’utilise Skype pour appeler l’ordinateur du salon à côté. Je me connecte et je peux voir mon salon.

Ma femme, Gillian, fait les cent pas devant la télévision qu’elle a réussi à éteindre. Elle crie sur quelqu’un au téléphone :

- Putain de merde, mets-toi ça dans le crâne ! Je m’en fous de ce qui va m’arriver. Mon mari est au courant de la merde que vous m’avez fait faire et je l’ai perdu. J’ai perdu l’amour de ma vie ! Perdu! Toute ma vie est foutue. J’aurai dû lui dire ce qui se passe. Et je lui dirais s’il veut bien m’écouter… Vas-y, balance tout ce que tu as d’autres… Tu ne pourras pas l’atteindre… J’EN AI PLUS RIEN A FOUTRE !!!!! Son patron ??? Fous-moi la paix, il va rien faire ou j’enverrai à sa femme la vidéo avec lui dedans. Je parie qu’elle le reconnaîtra avec ou sans le masque de PD qu’il portait… JE VAIS RACCROCHER !!! Et ne vous attendez pas à me voir cette semaine. Et vous feriez mieux de continuer à me payer et de vous assurer que mon mari ne perde pas son emploi… Faites ce que vous voulez, je vais appeler la police et leur dire moi-même ce que j’ai fait et ce que vous faites… OUI JE LE FERAI PUTAIN. EMMERDEZ-MOI ET VOUS VERREZ !!!!

Après avoir raccroché, elle jette le téléphone sur le canapé. Si fort qu’il rebondit et tombe sur le sol à ses pieds. Elle le reprend et le jette au loin. Puis elle saisit son téléphone portable sur la table basse et commence à taper furieusement un message.

A peine a-t-elle fini que l’écran de mon téléphone s’allume avec le message suivant : « Appelle-moi avant d’aller travailler ».

Ce que je viens d’entendre me conforte dans l’idée que je ne retournerai pas à mon travail et que mon patron ne va pas me forcer. Mais j’ai besoin de m’en assurer. Je fais défiler mes contacts et je trouve le numéro dont j’ai besoin. Je l’appelle. 

Comme personne ne répond, j’appelle le cabinet de mon médecin. Ils me proposent de prendre un rendez-vous pour demain ou d’essayer un centre médical sans rendez-vous où les premiers arrivés sont les premiers servis. Je prends rendez-vous en pensant que je ne ferais sûrement pas l’amour dans les prochaines vint-quatre heures. 

Puis je décide d’envoyer un message à ma femme en utilisant la messagerie de Facebook :

« J’ai pris rendez-vous chez le médecin pour m’assurer que je n’ai pas de maladie et que je ne transmettrai rien si je décide d’avoir des relations sexuelles avec quelqu’un. Mon rendez-vous est demain. Je te suggère de le faire aussi. Mais pas demain, je ne veux pas te voir chez le médecin. Je veux juste que tu restes loin de moi.

J’ai aussi besoin d’une liste de tous ceux que tu as baisés. Je veux leurs noms. J’en connais quelques-uns, mais je veux savoir à qui je ne peux plus faire confiance. Je ne veux plus que ces gens m’approchent. C’est pareil pour tous ceux qui sont au courant de ça. Ne t’inquiète pour nos voisins dans la rue, je sais déjà qu’ils savent. l’un d’eux me l’a dit. Tu peux remercier Perry et ses amis, ils ont créé le site que tu as vu sur la télé hier soir. Ils l’ont montré à tous ceux qu’ils connaissent. Au fait, il a pu te baiser ? Je ne l’ai pas vu dans les films, mais apparemment c’était le prix de son silence.

Je dois récupérer des vêtements et des affaires. j’ai oublié de les emmener hier soir. Dis-moi quand tu ne seras pas à la maison pour que je puisse passer.

Et enfin, je n’ai pas l’intention d’aller travailler cette semaine. Mais dis-moi pourquoi je dois te contacter avant de le faire ? Est-ce que tous mes collègues sont dans le coup ? » 

Après avoir envoyé ce message, Mary et moi regardons l’écran de mon ordinateur. Je vois le téléphone portable de ma femme sonner pour une notification. Pendant une seconde je vois de l’espoir dans ses yeux. Il disparaît à la seconde où elle commence à lire le message. Et l’espoir est remplacé par des sanglots et des larmes. 

Lentement, elle commence à taper une réponse. Elle est assise sur le canapé, les pieds relevés et repliés sous elle. Je réalise alors qu’elle porte toujours les mêmes vêtements que lorsqu’elle est rentrée à la maison hier soir. Elle ne s’est pas couchée ? Je ressens un léger sentiment de pitié pour elle. Je l’aimais. Non, j’aimais ce que je pensais qu’elle était. Mais je ne sais pas ce qui était réel ou des mensonges pour qu’elle puisse aller baiser d’autres personnes devant des caméras. Je décide donc de penser à elle comme Gillian et non comme ma femme.

Mary prend ma tasse à café vide et va nous en chercher d’autres. La réponse de Gillian arrive alors que Mary s’installe à côté de moi sur le canapé avec nos tasses de café remplies.

« Je comprends tes demandes. j’ai fait des tests tous les mois durant l’année dernière. C’était pour nous protéger toi et moi de ce qui se passait dans les vidéos que tu as vues. J’ai besoin que tu comprennes qu’il y a une explication à tout ç et il faut que je te le dise en face. S’il te plaît, accepte de me rencontrer.

La lise de tous les participants risque d’être difficile à rédiger. Parfois, j’ignorais qui ils étaient. J’ai honte d’apprendre que Perry a informé nos voisins et nos amis. Du moins ceux qu’il connaît. Il ne m’a jamais baisé, car je ne suis pas vraiment son genre. Je ne sais pas si vous le savez, mais il est gay. Je ne l’ai jamais dit à Mary. Mais si tu veux une preuve, j’ai un vidéo que je lui ai promis de ne jamais diffuser. Mais comme ce bâtard l’a fait pour moi, je le ferai aussi.

Je comprends que tu ne veuilles pas que je sois là quand tu rentreras, mais comprends que j’ai besoin de te parler. Pour te dire ce qui s’est passé et tout t’expliquer. Si tu acceptes ça, je ne me battrai pas avec toi pour le divorce. J’accepterai sans restrictions tes conditions. Mais s’il te plaît, viens me parler. Si tu as besoin d’une bonne raison pour le faire, alors appelle Sharon et demande-lui. Elle ne sait pas que c’est toujours en cours, mais elle sait comment ça a commencé. »

je lis le message puis je le montre à Mary. Elle sourit et me dit :

- Je veux cette vidéo. Elle va m’aider pour l’audience de mon divorce.

Mary est une femme riche, enfin relativement. Elle a hérité de l’entreprise de son père et l’a développé avant de la vendre. Puis elle en a racheté trois autres. L’une d’elle a été vendue récemment et lui a rapporté quatre fois ce qu’elle avait investi. Elle va faire de même avec les deux autres. Cet argent n’est que du bonus en plus des salaires qu’elle tire de ces entreprises. Elle a toujours travaillé sans relâche pour que ses sociétés soient prospères et lui offrent des avantages ainsi qu’à ses salariés.

Perry, quant à lui, était un cadre moyen dans une petite entreprise de développement de logiciels. Sa famille avait eu de l’argent dans son enfance, mais elle avait tout perdu à cause des investissements hasardeux de son père et des dépenses excessives de sa mère et de sa sœur. La famille cherchait un riche bienfaiteur pour les aider. En fin de compte c’était Perry qui l’avait fait en épousant Mary, mais il avait tourné le dos à sa famille. Son père s’était suicidé, sa mère avait été la maîtresse d’un homme jusqu’à ce que son physique ne soit plus efficace. Alors elle s’était tournée vers le chantage et avait fini en prison. Sa sœur avait accumulé des dettes et avait disparue. Personne ne l’avait revu depuis des années. 

Perry a trompé Mary dès le début de leur mariage. c’était sa façon de rester quelqu’un. Si quelqu’un l’apprenait à Mary, il réussissait toujours à apaiser sa femme. Il était habile pour transformer la colère , la haine et la trahison qu’elle ressentait en dévouement et amour. Mais la dernière fois, il s’est loupé et a laissé échapper qu’il avait subi une vasectomie. Il l’a privé de la seule chose qu’elle désirait plus que tout : avoir des héritiers pour ses entreprises et ainsi continuer l’œuvre de son père et lui rendre hommage. Elle a dépensé beaucoup d’argent pour savoir si ce qu’il disait était vrai, même s’il avait essayé de la convaincre du contraire. Alors la procédure de divorce a commencé et Perry se bat pour essayer de revenir chez Mary, de se retrouver dans son lit et de profiter de son compte bancaire. S’il a révélé le secret de Gillian, c’est pour la blesser elle et tous ses amis. Il l’a fait par dépit parce qu’il voit que tout lui échappe. Il veut blesser des gens, n’importe qui et les vidéos ont été pour lui un moyen de blesser du monde.

Donc entendre de parler de la vidéo démontrant que son mari est gay a réjoui Mary. Perry se bat bec et ongles pour essayer de sauver son mariage et essayer de retourner l’esprit de sa femme afin qu’elle renonce. Mais avec cette vidéo, son divorce sera rapide, et lui coûtera moins qu’elle ne le pensait.

- Qui est Sharon ? Me demande Mary en me rendant mon téléphone. 

- Ma nièce, la fille de ma sœur ! Elle est venue travailler avec Gillian cet été après avoir obtenu son diplôme du cycle secondaire. Je ne sais même pas comment la contacter. Je crois qu’elle est partie dans une université au canada. Si elle a quelque chose à voir avec cette affaire, je peux comprendre qu’elle soit loin maintenant. Après tout je pourrais aller au Canada moi aussi.

- Mais peut-être qu’elle est chez elle. Ici l’année scolaire s’arrête la semaine prochaine, mais peut-être que là-bas c’est terminé. Tu pourrais peut-être appeler ta sœur pour savoir ?

Je regarde dans mes contacts pour trouver ma sœur quand la sonnette retentit sur l’écran de mon pc portable. J’arrête de chercher dans mon téléphone pour regarder l’image à l’écran et voir qui est là. j’entends Gillian crier :

- Entre ! Comment ça se fait que tu sois là ? Je croyais qu’on était d’accord pour que tu restes à Toronto jusqu’à ton diplôme. 

- J’avais besoin de te voir, tante Gillian. Je suis ici parce que maman m’a demandé de venir. Elle m’a dit que tu l’avais appelé très tôt et que tu cherchais mon oncle Bob. Elle m’a aussi dit que tu n’avais pas l’air bien. Est-ce que ça va ?

- Non ça ne va pas. A cause de notre affaire. Tout ne s’est pas terminé après le premier paiement. En fait c’est juste terminé, car j’ai fini de payer. Mais ton oncle a tout découvert hier soir et il a disparu. Il m’a quitté et après tout, je ne lui en veux pas, je le comprends.

- Donc les vidéos sont devenues publiques ? Et tout le reste ?

- Oui ma chérie. Donc je voudrais que tu reprennes l’avion pour le Canada.  Mais avant, si ton oncle devait t‘appeler, pourrais-tu le rencontrer et lui en dire autant que tu le souhaites, puis insister pour qu’il me parle. s’il te plaît.

Gillian est en pleurs quand elle a terminé. Sharon la prend dans ses bras et essaie de la calmer. Il semble que ce soit impossible.

- Je vais essayer tante Gillian, je vais essayer.

Je regarde Mary et je lui dis :

- Qu’est-ce que tu en penses ? Je devrais aller à côté, non ?

- Oui. De toute façon il faudra bien que vous parliez un jour. Peut-être que c’est le bon moment si tu te sens assez calme. Et si tu veux, je peux t’accompagner et aider…

- Oui et tu pourras lui demander la vidéo de Perry. Allez, finissons-en !

Je coupe la connexion Skype et nous sortons de la maison pour marcher jusqu’à la porte à côté et ma maison, vers Gillian et ses mensonges. J’ouvre la porte et je fais signe à Mary d’entrer. Je la suis.

- Bob ? Crie Gillian depuis le salon en se précipitant tête baissée vers la porte d’entrée. 

Elle tombe sur Mary et elle se fige en la voyant. Elle pense que son mari l’a envoyé chercher ses affaires. Si c’est ça, il est sûrement dans la maison à côté. Elle pourra le voir.

- Oui, et moi ! Dit Mary en avançant vers le salon.

- Mary ? 

Gillian n’a pas remarqué que je suis derrière. Déçue que ce soit elle, elle n’a même pas remarqué que Mary a confirmé que j’étais avec elle.

- Oui, nous devons parler d’une vidéo que tu possèdes et qui va me faire économiser des tonnes d’argent.

- Et Bob ?

Je décide de lui faire comprendre que je suis là. Mais il faut aussi que je ne parle pas de la connexion vidéo. 

- Je suis là. Je ne sais pas si j’ai envie de savoir. Je ne pense pas que notre mariage soit récupérable et que je puisse passer du temps dans la même pièce que toi, mais Mary m’a convaincue de te parler.

Gillian sursaute au son de ma voix. Il lui faut quelques instants pour voir que je suis là. Elle regarde Sharon qui baisse la tête et me dit :

- Bon. Je vais commencer par le début, ou du moins pas comment j’en suis arrivée là…

- Laisse-moi commencer tante Gillian. Tout ce que tu as fait c’est à cause de moi. Dit Sharon.

Alors que Gillian hoche la tête, Sharon se tourne vers moi et me demande :

- Tu te souviens de William ?

Je hoche la tête. c’était son ancien petit copain que nous avions rencontré quelques fois lors d’évènements familiaux il y a quelques années. Je ne l’aimais pas beaucoup, mais Sharon semblait l’adorer. 

 ***

- Tout a commencé le soir où j’ai découvert que William me trompait. Pendant des mois nous nous sommes vus quotidiennement et puis ça s’est arrêté. Nos rendez-vous sont passés de journaliers à une ou deux fois par semaine. Il mettait ça sur le compte de la pression qu’il avait eue pour la préparation des examens et de nos boulots d’été. Mais je ne l’ai pas cru.

- Je m’apprêtais à franchir le pas avec lui parce qu’il le voulait et que j’estimais que nous étions depuis assez longtemps ensemble. Je l’aimais et je voulais de nouvelles expériences. Mes amies avaient déjà couché et j’étais prête à les suivre dans leur vie d’adulte. J’étais prête à lui donner ma virginité. 

Elle rougit sur ce dernier commentaire en baissant les yeux sur le sol. 

- Je suis toujours vierge à cause de lui. Depuis, personne n’a pu gagner ma confiance. Personne n’a pu abattre les défenses que j’ai mis en place pour combattre ce qu’il a fait et ce qui est arrivé à tante Gillian cette nuit-là.

Elle passe du rougissement aux sanglots. Gillian l’entoure de ses bras et lui donne un mouchoir.

- Cette nuit-là, j’ai suivi William. Il a été dans un club du centre-ville. Je l’ai vu entouré de deux hommes noirs et de plusieurs femmes. Celles-ci se pâmaient devant lui et les deux autres types.

- J’étais énervée qu’il sorte en ville sans moi, énervée que ces femmes flirtent avec lui, mais fière de ne pas avoir couché avec lui. J’allais partir quand il s’est levé et s’est penché sur l’épaule d’un des hommes noirs. Ils se sont parlés et se sont serrés la main. Et William a fait signe à une femme de le suivre.

- Ils ont quitté le club, le bras autour de la taille de l’autre. Ils ont traversé la rue pour s’engager dans une ruelle bordée de garages de chaque côté.

Elle baisse la tête. Ses mots dégoulinent de douleur. Elle fait une pause pour essuyer ses larmes et prendre un autre mouchoir.

- La femme a ouvert un garage et est entrée. William l’a suivie à l’intérieur en laissant la porte ouverte. De l’endroit où j’étais garée, je pouvais apercevoir le coin d’un lit et un tabouret à côté. Je ne pouvais pas voir mon copain, mais j’ai vu son bras lorsqu’il a déposé ses vêtements sur le tabouret.

- Quand son caleçon est tombé sur le tabouret, la femme est apparue nue à côté de lui. J’ai vu ses mains autour de sa taille alors qu’elle se penchait sur lui. Je suppose qu’elle l’a embrassé avant de l’emmener plus loin dans le garage. Pendant les dix minutes suivantes, j’ai regardé le lit trembler, puis j’ai vu William nu à côté du tabouret en train de s’habiller.

- Puis ils retournent au club pour rejoindre le groupe du début. A ce moment-là, je suis vraiment furieuse, mais j’ai peur de lui parler. Je décide d’attendre qu’il rentre chez lui et qu’il soit seul.

- Une heure plus tard, il recommence avec une autre fille. Alors qu’ils traversent la route pour revenir au club, j’appuie sur l’accélérateur et j’essaie de l’écraser. Le crissement des pneus lorsque la voiture accélère l’avertit pour lui sauver la vie. Il pousse la femme en avant et il recule. Je passe entre eux deux, mais je les frappe. On m’a dit que j’avais cassé les deux jambes de la fille et une de William. Je crois qu’il ne marche pas toujours correctement. 

- Bêtement je me suis arrêtée et je suis sortie de la voiture pour voir les dégâts. J’ai traité William de tous les noms et je lui ai dit que je le quittais. C’est alors que les noirs du club se sont précipités vers moi, alors je suis remontée rapidement dans la voiture et j’ai fui.

- Mais ils m’ont suivie. Tandis que je roulais en ville avec eux à mes trousses, j’ai appelé tante Gillian. Pour être honnête, je n’avais pas l’esprit clair et c ‘était la première personne dans mes contacts en qui j’avais confiance pour m’aider. Je l’ai eux et elle m’a dit de venir au bureau où elle était toujours. Elle a dit qu’elle me ferait entre et que si les gars essayaient d’entrer, elle appellerait la police.

- Je suis entrée dans le parking souterrain et j’ai rejoint Tante Gillian vers une porte. Je me suis précipitée vers elle et je l’ai serrée dans mes bras. Je n’aurai pas dû faire ça, car j’ai fait tomber de ses mains la carte pour ouvrir la porte d’accès.

- Alors que nous étions en train d’essayer de récupérer la carte, cinq gars nous ont soudain entourées.

- Je vais continuer à partir d’ici, Sharon ! Dit Gillian.

La jeune fille hoche la tête pour approuver en séchant ses larmes.

 ***

- Ils voulaient que Sharon remplace la fille. Elle gagnerait de l’argent pendant que l’autre se remettrait. Ils voulaient la violer sur place. Alors j’ai essayé de leur parler pour qu’ils nous laissent tranquilles. Je les ai suppliés et menacés.

- Finalement, à force de discussion, ils ont dit qu’ils nous baiseraient toutes les deux et que ça irait. Finalement, si je les baisais tous les cinq ils nous laisseraient partir.

Gillian regarde nos visages, enfin surtout celui de Mary et le mien, Sharon ayant la tête baissée et pleurant bruyamment.

- Ils m’ont ordonné de me déshabiller. Et comme j’étais trop lente, car je tremblais de peur, ils m’ont arraché ce qu’il me restait. Ils m’ont forcé à me mettre à genoux pendant qu’ils se déshabillaient eux aussi. Mais l’un d’entre eux était trop impatient alors il s’est contenté de sortir sa bite.

- Il a saisi une poignée de mes cheveux et a enfoncé sa bite dans ma bouche. Il m’a baisé violemment le visage. C’était brutal, je m’étouffais sur sa bite avec l’accumulation de salive dans ma gorge. Il s’en fichait et continuait de me baiser. Mon nez tapait contre ses poils pubiens, ses couilles frappaient mon menton. J’étais maltraitée, humiliée devant ma nièce. Et je n’ai pas compris mon corps qui répondait par de l’excitation et des décharges électriques dans mon bas-ventre. 

- Je ne comprenais pas, je voulais que ça s’arrête, je voulais partir de là, mais mon corps en redemandait. La douleur et le plaisir ont été déconnectés de mon cerveau.

- Les autres m’ont entourée alors qu’il jouissait. Il a tenu fermement mon visage contre son entrejambe alors qu’il déversait son foutre dans ma gorge, giclée après giclée. Je me suis étouffée sur son sperme, mon visage me brûlait alors que je luttais pour avoir de l’air. Mais mon corps aimait ça. J’ai eu un gros orgasme et je me suis effondrée sur le sol quand il m’a relâchée.

- Mais je n’ai pas eu de pause. Un autre a attrapé mes cheveux m’a relevé sur mes genoux et a enfoncé sa bite dans ma bouche. Il a baisé mon visage comme son prédécesseur. Un autre a pris ma main pour la poser sur sa bite, voulant que je le branle pendant qu’il attendait son tour.

- Le troisième s’est mis à genoux derrière moi. Il a saisi mes tétons et il les a tirés aussi fort qu’il le pouvait, en les tordant. J’ai tremblé une fois de plus avec un autre orgasme qui a traversé mon corps. 

- Il a continué à malmener mes seins, puis il a enfoncé deux doigts d’une de ses mains dans ma chatte. Il m’a baisé avec ses doigts sans se soucier de moi. Il s’est amusé avec mon corps. Mon esprit était consterné, effrayée, mais mon corps brûlait de désir.

- Les deux gars restant tiraient de temps en temps ma tête pour que je change de bite qui baisait mon visage et celle que je branlais avec ma main. 

- C’est alors qu’en même temps que la bite explosait dans ma bouche et la remplissait de foutre, j’ai joui et ma chatte a explosé sur les doigts du gars. Ça ne m’était jamais arrivé auparavant. J’ai arrosé les pieds du type devant moi. Il s’est retiré aussitôt et il a continué à me gicler son foutre sur le visage tout en me giflant et en me traitant de pute pour l’avoir arrosé.

- Le chef du groupe s’est moqué de lui, ce qui l’a rendu encore plus furieux. Alors il m’a giflé à nouveau. Et putain, ça m’a plu. J’étais si loin de la réalité que je ne pensais pas revenir à la raison.

- Celui qui était derrière moi m’a tiré en arrière et a empalé mon cul sur sa bite. Sans avertissement, sans lubrifiant, il m’a tiré en arrière et a utilisé mon propre poids pour s’enfoncer profondément en moi. Ça me brûlait, j’avais mal et ça m’a fait jouir. Il a saisi mes hanches et il a commencé à pilonner mon cul avec force.
Puis le premier gars s’est remis à bander. Il s’est arrangé avec son ami pour pouvoir mettre sa bite das ma chatte. Et ils m’ont baisée tous les deux, de plus en plus vite, de plus en plus fort, de plus en plus de douleur et de plaisir pour répondre aux besoins de mon corps.

- Un troisième gars s’est joint à nous en forçant sa bite dans ma bouche. Il n’a pas pu me baiser avec la même force qu’avant, mais il a quand même introduit sa bite dans ma gorge.

- Celui qui était dans mon cul a éjaculé puis m’a poussé. - - Je n’ai eu qu’un bref instant pour souffler avant que celui qui était dans ma bouche se couche sur moi et tire mon cul sur sa bite. Un quatrième mec a alors enfoncé sa queue dans ma bouche.

- Ça s’est répété encore et encore jusqu’à ce que j’aie huit charges de sperme dans ma chatte et mon cul. Ensuite ils m’ont fait nettoyer leur bite avec ma langue puis ils m’ont laissée sur le sol en béton dans une flaque de leur sperme mélangé à mon jus de chatte pendant qu’ils se rhabillaient.

- Sharon, qu’elle soit bénie, est venue me voir en pleurant des excuses. Elle a essayé de m’aider à m’habiller. Mais mon soutien-gorge et ma culotte étaient déchirés, mon chemisier n’avait plus de boutons, juste ma jupe était dans un état correct. 

- Elle m’a aidé à enfiler le chemisier et la jupe qui étaient couverts de sperme, mais au moins j’étais à peu près couverte. C’est à ce moment-là que j’ai repris mes esprits et me suis rendu compte de mon comportement. j’étais mortifiée par mes réactions.

- A près tout çà, je me suis dit qu’ils allaient partir et que tout était fini. Mais non. Ils voulaient être dédommagés pour l’argent qu’ils allaient perdre pendant la convalescence de la pute que Sharon avait heurtée. De plus le chef de la bande avait tout enregistré  de mon gang-bang sur son téléphone. Il me tenait. J’étais dans une mauvaise situation.

- Je ne sais pas pourquoi, mais je les ai amenés dans les bureaux jusqu’au coffre-fort où j’ai pris vingt mille livres sterling que je leur ai données. Ils semblaient contents et ils sont partis.

- Finalement nous n’étions plus que toutes les deux et nous avons pensé que c’était fini. Nous avons convenu avec Sharon de n’en parler à personne. Pour sa sécurité, Je lui ai demandé de trouver une université aussi loin que possible et de ne pas revenir avant longtemps ou même jamais. Je suppose qu’elle ne m’a pas écouté.

Gillian fait une pause et regarde Sharon pleurer. Elle la prend dans ses bras pour essayer de la réconforter.

- Nous sommes rentrés chez nous et nous avons essayé d’oublier ce qui s’était passé. Je crois que j’ai passé plus d’une heure sous la douche ce soir là pour essayer de me débarrasser de ma honte. Mais ça ne m’a pas aidé.

- le lendemain au travail j’ai été appelée dans le bureau de mon patron, Reggie. Katsuko, la directrice financière est là ainsi que le chef de la bande de la veille qui se prénomme Dwayne. Sur son téléphone, mon patron me montre une vidéo prise par les caméras de surveillance de la société. On me voit voler de l’argent dans le coffre. Il enchaîne avec une vidéo des caméras du parking où on me voit me faire baiser. Puis il finit par une vidéo où on voit Sharon écraser William et la pute. On distingue clairement sa plaque d’immatriculation et on la voit sortit de sa voiture après la collision.

- Ce jour-là, Reggie m’a baisée dans son bureau pendant que Kat filmait. Puis ils ont échangé et il a filmé sa directrice me baiser avec un gode ceinture. Je croyais que c’était tout ce qu’ils voulaient, mais non. C’est là qu’ils m’ont expliqué que Dwayne et Reggie étaient associés dans une affaire de films porno. Ils utilisaient les filles de Dwayne comme actrice. Ils m’ont dit que maintenant je serais la star du studio. 

Maintenant Gillian pleure, luttant pour raconter la suite.

- Au début j’ai refusé, et je me suis dit que j’en subirai les conséquences auprès de la justice. Mais Reggie a mis fin à ma résistance en appelant leur troisième associé dans le studio pornographique. C’est ton patron, Bob. Donc, en plus des problèmes de justice pour Sharon et moi, tu allais être viré et ton patron a assuré que tu ne retrouverais plus jamais de travail.

- Je me suis sentie bien piégée et la meilleure façon de m’en sortir était d’accepter de faire ça. Notre accord ne devait durer que jusqu’à ce que j’aie remboursé l’argent volé. Les vidéos devaient être vendues et non diffusées gratuitement. J’espérais que personne ne me reconnaisse, mais tu sais comment ça a fini.

- Je suis devenue l’esclave sexuelle de Reggie et Kat quand ils le voulaient, le jouet de baise de votre patron aussi, ainsi que certains des cadres supérieurs des deux entreprises. Et Charlie dans ta société.

- Charlie ? Crié-je .

Charlie partage un bureau avec moi. D’est mon ami le plus proche à mon travail. Du moins je pensais que c’était un ami.

- Apparemment il était furieux que tu aies eu une promotion. Celle que j’ai demandé qu’ils te donnent étant donné ce qu’ils me faisaient faire. Ils te l’ont donné mais le prix pour moi fut que Charlie m’a baisée. Cet enfoiré a déversé sa colère sur moi. Mes seins furent meurtris et mon cul saignait. 

- Putain de connard. Je vais tuer cet enfoiré !

- Bob, mon chéri, ce n’est qu’une petite chose dans la totalité de ce que j’ai subi. Ton patron a tout organisé. Non, nos patrons l’ont fait. Dit-elle en essayant de me prendre dans sa bras.

Mais je m’éloigne. Je vois que ça la blesse, mais tout ce que je vois ce sont les vidéos d’elle avec tous ces hommes et ces femmes. Ça me donne la chair de poule.

- Je suis presque sûre que j’ai gagné ma liberté depuis longtemps, mais ils refusent de me laisser partir. Je suis une machine à sous pour eux. Ils se sont rendu compte que des gens achètent des abonnements à cause de mes vidéos. Ils ont toujours les preuves du vol, de l’accident. Et ils menacent même de retrouver Sharon et de lui faire payer à elle aussi.

Mary est choquée et en colère. Je l’entends dans sa voix quand elle prend la parole :

- Putain de merde. Il ne peut pas y avoir plus glauque. Pour commencer, éliminons la menace pour Bob de perdre son emploi. Bob, tu peux travailler pour moi !

- Merci Mary, mais je pense que j’ai besoin d’un nouveau départ aussi loin d’ici que possible. Mais il faut que je me venge avant. J’ai un plan. Laissez-moi vous expliquer ! Dis-je en les regardant.

A suivre...