Ecole privée - - Soumission - chantage - récit érotique
13 -- Une chance de jouir.- Alors salope, es-tu prête à jouir?
MAURICE la regardait alors qu'elle était à genoux dans sa petite chambre dans le dortoir. Était-elle prête à jouir?
- Oui oui M. MAURICE, je le suis.
Elle était si excitée après quatre semaines sans orgasme. Sa chatte lui rappelait constamment, si bien qu'elle avait peur que son jus ne coule sur ses cuisses en classe. Sans culotte, rien ne pouvait l'arrêter. Elle leva les yeux sur son bourreau avec espoir.
MAURICE libéra lentement sa queue de son pantalon et dit :
- Eh bien, il ne s'agit plus vraiment d'une question n'est-ce pas? La vraie question est de savoir ce que tu peux faire pour le mériter? Pendant que tu y réfléchis, tu peux nettoyer ma bite, je viens de passer quelques moments délicieux avec Belinda dans la salle de gym.
Comme si elle n'avait pas remarqué qu'ils avaient traîné après le cours de gym et avaient disparu dans la pièce des équipements. Elle avait même entendu leurs grognements et gémissements tandis que MAURICE baisait la jeune fille debout.
Elle se pencha en avant et commença à lécher. Le goût de la sueur mêlée à son sperme et au jus de la fille lui était bien connu maintenant. Mais ça la rendait encore plus douloureusement consciente de son manque de bite en elle. Elle essaya de se concentrer et de penser à quelque chose à répondre, quelque chose qui le pousserait à lui donner l'orgasme dont elle avait tant besoin. Elle sentit la bite réagir à ses soins et grandir dans sa bouche. Elle essaya de l'exciter encore plus pour qu'il la baise. Mais il recula.
- Alors, des suggestions chienne?
Elle dit la première pensée qui lui vint à l'esprit :
- Vous pouvez me baiser comme vous le voulez M. MAURICE.
Il gifla son visage violemment.
- Stupide chatte, Quand comprendras-tu que tu dois mériter le privilège que je te baise? Et en plus je te l'ai dit, j'ai de meilleures proies. Penses-tu que, alors que je peux baiser Belinda, je pourrais être intéressé par une grosse vache comme toi.
Il baissa les yeux pour la faire reculer. Il désigna la chaise et la força à se précipiter dessus. Elle dut s'asseoir face au dossier et pour cela, elle dut écarter les jambes pour s'adapter aux accoudoirs. Le garçon attacha ses pieds à ceux de la chaise. La position était très inconfortable avec son poids reposant sur ses cuisses sur les accoudoirs en bois dur. Mais le pire était que sa chatte était grande ouverte et en l'air. Elle pouvait déjà sentir son jus se former. Bientôt il goûterait sur le siège.
- Bon, je vais dîner maintenant. Je suis sûr que tu es prête à manquer le repas pour avoir la chance de penser à quelque chose qui pourrait être récompensé par un orgasme. Amuse-toi chienne.
Il passa sa main dans son entrejambe et titilla son clitoris pendant quelques secondes. Un instant, Anne pensa qu'elle allait jouir, mais il fit attention et la laissa juste au bord de l'orgasme. Souriant, il ferma la porte derrière lui.
Dans la position où elle se trouvait, Anne sentait très bien sa chatte excitée. Elle savait que la chaise allait être recouverte de son jus. Elle se surprit à rêver de bites et découvrit qu'elle essayait de frôler la chaise pour se caresser. Elle essaya désespérément de penser à quelque chose qu'elle pourrait offrir à son bourreau pour qu'il lui permette de jouir. Mais tout ce qu'elle avait comme idées, il le faisait déjà ou ne le voulait pas. Elle se sentit devenir folle.
Lorsque MAURICE revint une heure plus tard, elle n'avait toujours pas trouvé quoi lui offrir. Le garçon se dirigea vers le siège, et passa un doigt dessus. Ensuite il le nettoya en le frottant sur le nez de l'enseignante. L'odeur de sa chatte devint insupportable et elle dut se battre pour ne pas se lécher la lèvre supérieure et le nez.
- Alors salope? Des suggestions qui pourraient me divertir suffisamment pour que je t'accorde un orgasme?
Anne essaya de rassembler ses pensées.
- Pour être honnête, Monsieur, je ne vois pas ce que je pourrais vous proposer qui vous satisferait. Alors, s'il vous plaît, ne pouvez-vous pas simplement me dire ce qui vous divertirait?
- Tu essaies de te simplifier la tâche, salope. Laisse-moi t'expliquer. Cette année, tu va faire tout ce que je veux, tu as raison sur ça. Pourquoi devrais-je t'accorder un orgasme? Si tu veux jouir tu dois le gagner et faire une suggestion toi-même. Et tu sais pourquoi? Parce que je veux que tu admettes que tu es juste une chienne en chaleur, que tu fais n'importe quoi pas seulement parce que je le dis, mais parce que ta chatte dégoulinante a besoin de bites. Pas parce que j'ai des photos compromettantes, mais parce que tu es une pute. Donc, à moins d'admettre cela et de te comporter comme tel, tu resteras excitée sans pouvoir te satisfaire. Crois-tu que tu pourras rester sans un seul orgasme pendant une année, salope? Et souviens-toi que je peux savoir si tu te masturbes. Si tu le fais sans ma permission, toutes ces belles images seront diffusées un peu partout. Alors quel est le plus important : l'estime de toi ou le besoin de jouir?
Une année? Ça ne faisait que quelques semaines et sa chatte commençait à couler à la moindre idée de sexe. Elle essaya de se forcer à le nier, mais elle savait qu'elle n'arriverait pas à tenir aussi longtemps. Putain, elle voulait jouir.
- S'il vous plaît, M. MAURICE, j'avoue que je suis une pute, une salope et que je veux jouir. Si vous ne voulez pas me donner un ordre, ne pouvez-vous pas au moins me faire une suggestion? Je ferai n'importe quoi pour gagner des orgasmes. N'importe quoi Monsieur.
- N'importe quoi?
Il fit une pause avant d'ajouter :
- N'importe quoi pour avoir de la bite? tu es juste une chienne en chaleur.
- Oui Monsieur, je suis une chienne en chaleur qui a besoin d'être montée.
Le garçon réfléchit une minute, les yeux d'Anne suspendu à son visage, espérant et détestant le faire.
- Très bien salope. Voilà le marché : tu peux demander pour un orgasme quand tu veux. Si je pense que tu le mérites, je te donnerai le choix entre trois choses à faire et tu en choisiras une. Mais si tu ne le fais pas après que j'ai autant réfléchi tu seras punie. Et je ne parle pas d'une petite fessée, je veux dire que tu auras vraiment mal au cul. Laisse-moi réfléchir à quelques tâches pour toi.
Il partit sans lui laisser le temps de répondre. Quand elle regarda autour d'elle, elle remarqua qu'il avait laissé la porte légèrement entrouverte. Un petit courant d'air et elle serait exposer à tous les garçons passant dans le couloir. Ils la verraient attachée sur une chaise, la chatte dégoulinante. Anne se trouvait d'humeur curieuse. Elle craignait ce qu'il allait proposer, mais ne pouvait s'empêcher de rêver d'avoir un orgasme sous peu. MAURICE prit son temps et il était presque 22 heures quand il revint avec une cravache.
- Prête pour un super orgasme, salope?
Il sourit et éclate de rire quand elle fit un signe de tête enthousiaste.
- D'accord, tu vas avoir le choix entre trois tâches. Et juste au cas où tu songes à n'en choisir aucune...
Anne cria quand la cravache tomba sur son cul exposé et laissa une ligne rouge en travers.
- Tu auras 25 coups, dix sur ton cul, 10 sur te mamelles et 5 autres sur ta chatte affamée. Compris?
- Oui M. MAURICE, quelles sont les tâches? Demanda-t-elle.
- La première est assez simple : supplie Belinda et moi de t'utiliser comme toilettes privées et de pisser dans ta bouche chaque fois que tu veux jouir.
Anne écarquilla les yeux et pâlit. Il ne pouvait pas être sérieux. Le garçon la regarda avec un sourire ironique.
- Tu as dit « n'importe quoi » tu te souviens, salope? Tu veux entendre le deuxième choix?
Elle acquiesça silencieusement.
- La deuxième est que tu te baises toi-même alors que je te regarde. Mais tu le fais dans les toilettes avec la brosse à chiotte.
Anne s'arrêta de respirer. Pas question qu'elle fasse ça.
- Pas à ton goût non plus? Alors c'est le troisième choix ou les 25 coups de cravache. Peut-être que la punition te fera jouir. Pour le troisième choix, tu dois te faufiler dans le couloir, entrer dans une chambre et implorer quiconque est à l'intérieur de te baiser.
Le mot « baiser » envoya une secousse à travers son corps. Elle essaya de réfléchir. S'offrir à l'un des garçons de cette façon était humiliant. Mais ils semblaient avoir tous accepté son comportement jusqu'à présent. Et ils étaient jeunes et sûrement virils. Elle acquiesça.
- Je vais faire ça M. MAURICE.
Sans un mot, il la détacha de la chaise. Elle se leva et frictionna ses membres pour rétablir la circulation. Puis elle s'approcha timidement de la porte. Elle entendit des pas dans le couloir et attendit qu'ils disparaissent. Son cœur battait très vite. Elle essaya de se rappeler qui partageait sa chambre avec qui et où. Elle ne voulait pas marcher trop longtemps sans le couloir, nue et excité. Elle avait donc intérêt à choisir la chambre la plus proche, donc celle de MAURICE. Il n'y aurait que David GRIFFON, le colocataire de son bourreau, à l'intérieur. Bien qu'elle ne sente pas particulièrement attirée par David, il était assez beau. Elle jeta un coup d'œil par la porte, puis prit une profonde inspiration.
Suivie de MAURICE, elle se précipita dans le couloir. La première porte n'était qu'un placard de rangement mais la deuxième était la bonne. Elle hésita encore une fois, mais craignant qu'une autre porte s'ouvre et que quelqu'un la voie ainsi, elle poussa la porte et pénétra dans la chambre.
Cinq paire d'yeux fixèrent son corps avidement. Elle déglutit et resta figée. Davis avait visiblement invité les occupants des deux chambres suivantes. Tom LIERE était assis sur le lit de MAURICE avec Thomas VIEILLE. Charles LAVIE et Guillaume BETON étaient assis par terre. A la vue de son corps nu, Thomas se pourlécha les lèvres et Charles changea de position pour tenter de se sentir mieux avec l'énorme érection qui poussait dans son jean. Pendant une minute, personne ne parla et Anne sentit son cœur battre à mille ç l'heure. Finalement MAURICE rompit le silence.
- Eh bien Mme POISTOUT, je pense que vous devriez expliquer ce qui vous amène ici dans cette tenue inhabituelle.
Elle manqua presque de reconnaître son nom comme le garçon ne l'avait pas utilisé depuis plusieurs semaines. Il se tut et la laissa se débrouiller. Sa bouche fonctionnait mais elle n'arrivait pas à sortir un mot. Dans la panique, elle essaya de se retourner et de fuir dans sa propre chambre. Mais MAURICE bloquait la porte, et, hors de la vue des autres, secoua la cravache. La signification était évidente : si tu fuis tu seras fouettée. Elle se retourna lentement et fit face aux cinq jeunes hommes. Essayant d'empêcher son cœur de s'emballer, elle prit une grande inspiration et commença :
- Je... je voulais demander si...
Sa détermination flancha et elle dut se ressaisir. Elle finit par dire :
- Je voulais demander si l'un de vous voulait me baiser.
Quelques regards s'élargirent. Thomas devint rouge betterave, mais elle pouvait voir des sourires s'étaler lentement sur leur visage. Seul celui de David s'assombrit. Il dit lentement :
- Il y a un problème Mme POISTOUT...
Ses yeux passèrent de son corps à MAURICE. Elle réalisa alors qu'il devait être impliqué dans l'affaire et qu'il cherchait un signal de son ami.
- Vous savez, je crois que nous voudrions bien vous baiser tous les cinq. Et ce sera difficile pour les quatre restants de ne pas la faire, vous ne croyez pas?
Le regard d'Anne se déplaça d'un visage à l'autre quand elle réalisa ce que ça signifiait. Elle était coincée alors elle fit le plongeon.
- Alors pourquoi ne me baiseriez vous pas tous? Dit-elle hésitante.
Un lent sourire se répandit sur le visage de GRIFFON.
- Qu'est-ce que vous en dites les gars? Allons-nous rendre ce petit service à Mme POISTOUT?
Il y eut des hochements de tête enthousiastes, mais personne ne bougea. Un silence gênant s'ensuivit. Anne sursauta lorsque MAURICE chuchota à son oreille.
- Dis leur que tu veux être traitée comme une salope, être juste baisée.
La pointe de la cravache tapa son derrière. Anne murmura alors :
- S'il vous plaît ne soyez pas timide. Prenez-moi comme vous le voulez, j'aime ça.
Elle se détesta d'avoir prononcé ces mots, mais elle savait que c'était vrai. Elle avait juste besoin d'être baisée. MAURICE la poussa dans la chambre et dit :
- Vous pouvez utiliser mon lit les gars. Pourquoi n'attendriez-vous pas là-bas pendant qu'ils décident qui va commencer, Mme POISTOUT.
Adossée au mur, Anne attendit avec impatience pendant que David demandait aux autres d'écrire leur nom sur un bout de papier. « Je suis le prix d'une loterie » pensa-t-elle amèrement. Les regards affamés qu'elle sentait sur son corps auraient dû la faire reculer, mais au contraire ils l'excitaient encore plus. Sans surprise, elle remarqua que MAURICE ne mettait pas son nom dans le pot, mais qu'il allait tirer l'ordre de passage. Il le montra aux garçons mais ne lui dit pas à elle. La pensée de cinq queues se suivant dans sa chatte fit trembler tout le corps d'Anne. Elle sentit une vague de plaisir envahir son corps.
- Hé, je t'ai dit de venir ici!
Anne se rendit compte qu'elle n'avait probablement pas entendu David la première fois. Se secouant, elle se dirigea vers le lit. Tom et Thomas lui firent de la place et David lui fit signe de s'allonger. Il haussait les épaules pour ôter sa chemise.
- Elle a dit qu'elle ne voulait pas de préliminaires, alors pourquoi ne pas l'ouvrir pour moi. Je vais lui donner ce dont elle a besoin tout de suite.
Anne se sentit poussée dans le lit et quand elle souleva ses jambes, Thomas les a saisies et écartées pour donner aux quatre autres garçons une vue parfaite sur sa chatte et son cul.
- Mecs, regardez cette chatte, elle dégouline déjà. Pas étonnant qu'elle soit venue pour supplier d'être baisée.
Guillaume sourit :
- Ça ne vous dérange pas que l'on parle un peu vulgairement? N'est-ce pas Mme POISTOUT?
- je pense qu'elle pourrait même aimer ça. Et il n'est pas normal d'appeler une femme qui vous supplie de la baiser « Mme POISTOUT », n'est-ce pas? Pourquoi ne nous diriez-vous pas comment nous devons vous appeler Mme POISTOUT?
Les yeux de MAURICE brillaient.
- Appelez-moi salope ou putain, mais baisez-moi, s'il vous plaît. Gémit-elle en se tortillant pour se rapprocher de la queue qui l'attendait.
GRIFFON la regarda dans les yeux.
- Ok. Alors putain, prépare-toi à être baisée comme tel.
Il se pencha en avant et saisit durement son sein droit. Il sembla la tirer vers lui et il la pénétra d'un mouvement rapide et fluide. Elle put vois ses yeux s'écarquiller tandis que l'humidité soyeuse de sa chatte l'engloutissait. La sensation de ce membre bien raide à l'intérieur d'elle lui fit perdre tout contrôle de soi.
- Oh oui, bien fort. BAISE-MOI!!!
Les derniers mots se changèrent en gémissements quand GRIFFON commença à la marteler. Il ne fallut pas plus de dix secondes avant qu'elle ne crie sous l'effet d'un orgasme devant les six garçons. Ce fut la jouissance la plus intense qu'elle ait jamais connue, et ça lui sembla durer éternellement.
Elle se foutait de qui l'entendait ou la voyait. Elle vivait juste pour le plaisir qui se répandait de sa chatte à tout son corps. Finalement quand l'orgasme passa, elle resta aussi excitée qu'avant. Le jeune garçon continua à l'utiliser jusqu'à ce qu'il gicle sa graine profondément dans son ventre. Elle cria de déception quand la queue quitta sa chatte. Elle sentit qu'elle était retournée et un autre corps se pressa par derrière sur le sien. Un instant plus tard, Tom pénétra sa chatte par derrière et elle gémit de reconnaissance. Il la pilonna sans hésiter. Elle perdit le contrôle et n'était plus qu'un corps en détresse. Elle sentait le prochain orgasme arriver quand Tom se retira, haletant.
- Waou, c'était la meilleure baise que je n'ai jamais eue. Dit-il d'une voix basse.
Elle ne l'avait même pas senti jouir en elle. Mais avant qu'elle ne puisse se plaindre, elle entendit Charles lui demander de se mettre à quatre pattes. Avec empressement, elle obéit et écarta les jambes. Le garçon s'agenouilla près d'elle, poussa sa bite dans son sexe et commença à la ramoner. Encore une fois, elle perdit le contrôle, se tordit et gémit jusqu'à ce qu'un deuxième orgasme la traverse. Une autre charge de sperme se déversa dans son ventre en même temps. Elle s'effondra sur le lit.
Mais elle n'eut pas de répit. Guillaume la poussa brutalement sur le côté et commença à la baiser plus violemment que les autres. Tout son corps tremblait sous la force des coups de rein. Elle se sentait comme une poupée gonflable en train de se faire malmener. Mais l'excitation est peu à peu revenue, et quand il eut fini avec elle, elle avait encore envie de bites. Elle voulait un autre orgasme.
- Viens ici sur le sol!
Au début, elle n'avait pas reconnu la voix de Thomas VIEILLE. C'était un ordre si imposant que ça ne semblait pas venir du jeune garçon timide qu'elle connaissait. Docilement elle se laissa tomber du lit, sans faire confiance à ses jambes pour la porter. Il la fit ramper dans la bonne position devant lui et il attrapa brutalement ses cheveux.
- Je vais te montrer comment une salope comme toi devrait être baisée. Cria-t-il avant de fourrer sa bite dans sa chatte.
Anne ne se souvint pas de beaucoup de choses après, si ce n'est qu'elle avait joui à nouveau et qu'il l'avait baisée si fort que sa chatte fut douloureuse toute une journée. Finalement quand il s'arrêta, elle resta simplement sur le sol, haletante, complètement épuisée et repue. Elle entendit les garçons parler autour d'elle mais elle ne les écouta pas. Ça avait été si intense. Alors qu'elle réalisait ce qui s'étais passé et à quel point elle avait été humiliée et dégradée, elle savait aussi qu'elle en avait encore besoin. Encore et encore.
- Salope, je pense qu'il est temps de tout expliquer à ces messieurs.
La voix de MAURICE brisa sa rêverie.
- Puisque que tu sembles être épuisée, je vais le faire et tu pourras confirmer. Tu écoutes chienne?
- Oui. Parvint-elle à murmurer.
- Bon, alors voilà le marché. Notre Mme POISTOUT est une salope naturelle. Elle a besoin de bite, elle a soif de bite. Et elle fera tout pour avoir de la bite. Mais elle sait aussi que ce genre de comportement est dangereux et doit être contrôlé. Alors elle m'a fait une proposition inhabituelle. Elle m'a demandé de la contrôler. Et j'ai accepté. Donc effectivement notre Mme POISTOUT est ma propriété. C'est bien vrai, salope?
Comment pouvait-il déformer autant les faits? Mais elle savait qu'elle n'avait pas le choix. Et après ce soir, elle devait peut-être admettre qu'il avait raison.
- Oui M. MAURICE.
Les garçons devaient la regarder avec incrédulité, mais Anne garda la tête baissée sur le sol.
- Alors voilà le contrat les gars. Nous pourrons avoir toute la baise que l'on veut, mais cela ne sort pas de ce groupe à moins que je le dise. Et cela ne doit pas affecter le travail scolaire. D'accord? Nous voulons tous avoir notre diplôme. Cependant nous pouvons nous amuser un peu en attendant, alors ne gâchez pas cette occasion. Elle s'occupera de tout le monde quand vous le voudrez. Allez dans sa chambre et dites-lui ce que vous voulez. Mais elle peut avoir un orgasme seulement si je lui ai permis, alors ne vous laissez pas emporter. D'accord?
Il y eut un cœur de « oui » tout autour et Anne marmonna également son assentiment.
- Je ne t'ai rien demandé salope. Tu n'as rien à dire. Tu es juste une pute pour nous. Oh, souvenez vous les gars, elle aime qu'on soit brutal et vulgaire avec elle.
Il y eut quelques éclats de rire jusqu'à ce que David dise :
- Vous savez quoi? Je crois que je pourrais bien me la taper une seconde fois.
MAURICE rigola.
- Quel est le problème? tu veux la baiser? Mais dépêche-toi un peu, il est tard et je veux me coucher.
Une minute plus tard, Anne chevauchait GRIFFON et était de nouveau pilonnée.
- Je bande de nouveau, je suis le prochain. Sourit Tom.
- Non, j'ai dit que je voulais dormir. Si tu as besoin de te vider les couilles, fais-toi sucer.
Et tout en étant martelée par GRIFFON, Anne fit sa première pipe en public.
A suivre...