samedi 23 novembre 2024

Une drôle de belle-famille Ch. 13

Texte de Ricki Black (2012)
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les salopes au sex-shop.

J’arrive à un moment idéal de mon aventure. Pour résumer, sur une incitation de la plus jeune fille des futurs beaux-parents de mon fils, j’ai fini par pervertir une bonne partie de cette belle-famille. La plus jeune et la mère sont sous ma coupe et sont prêtes à satisfaire le moindre de mes désirs sexuels, le père est maintenant sous le joug de sa maîtresse femme et est devenu son soumis sexuel.

Les événements allaient prendre une tournure inattendue, lorsque je reçus un appel de Virgile, le vigile du centre commercial. Il m’annonçait qu’il avait reçu la visite de mon ex-femme au centre. Qu’elle lui a raconté que la dernière séance de baise l’avait extrêmement troublée, bien qu’elle soit une femme très convenable, cette expérience avait réveillé en elle des désirs, jusqu’alors ignorés. 

- Bref, me dit Virgile, ton ex, elle est venue pour que je la baise !!

Cette révélation va alors engendrer dans mon esprit un déclic, et je me dis qu’il est grand temps de réunir toutes ces belles salopes à leur insu, et quel meilleur endroit que le sex-shop d’Al, mon pote. J’en parle à Virgile qui est toujours partant pour une expérience de baise. Il va devoir accompagner Brigitte dans le sex-shop d’Al, je pense qu’il n’aura pas de difficulté à la convaincre, s’il y a une bonne partie de queue en perspective.

J’appelle Al pour lui confier mon plan. Pour lui pas de problème, il me donne la date et l’heure vers laquelle il faut venir, car j’ai demandé à Al qu’il y ait des clients dans la boutique. Il me recommande de venir vers 20H00, il y a en général une dizaine de mecs à cette heure. Je lui confie qu’il y aura 2 femmes matures, dont une mariée et accompagnée de son mari soumis. De plus moi je serai aussi présent avec une jeune soumise. Al me répond :

-  OK alors je te réserve une surprise Michel, je pense que tu vas apprécier…

Nous actons le planning et nous donnons rendez-vous, que je confirme à Virgile. Pour ma part je m’occupe de Martine et Pierre, futurs beaux-parents de mon fils. J’ordonne à Martine d’emmener Pierre dans un sex-shop afin de lui acheter des articles dédiés à sa nouvelle condition de soumis. Je pense à un gode ceinture et une cagoule avec un gode intérieur et extérieur. Equipé de cet accessoire Martine va pouvoir se baiser et s’enculer sur lui. Bien sur Martine est partante et ne perçoit pas le piège que je leur tends. Je l’informe que je ne serai pas présent mais que je la confie à Al, le patron du sex-shop que je lui recommande et qu’elle devra lui obéir comme si c’était moi. Son enthousiasme retombe un peu, mais l’idée de soumettre Pierre dans un tel lieu la motive encore énormément. Je lui donne l’adresse, la date et l’heure.

Arrivé le grand jour, je stationne mon 4x4 à quelques rues du sex-shop, ne voulant pas éveiller le moindre soupçon chez Martine ou Brigitte. Je suis accompagné de Léa, la benjamine de la belle famille est une sacrée salope et très soumise à mes désirs. Je lui ai raconté que nous allions baiser dans un sex-shop et ses yeux s’étaient alors allumés d’une lubrique flamme.

Elle est habillée comme j’aime, une petite robe légère, courte et transparente, sans rien dessous. Un décolleté profond qui laisse presque voir les auréoles de ces tétons. 

Nous entrons dans la boutique, en écartant un épais rideau rouge qui obstrue le passage. Al m’accueille avec un grand sourire et salue Léa avec un :

-  Bonsoir belle demoiselle.

Il est 19H30 et je ne vois qu’un seul client.La pièce principale comprend des rangements sur trois murs, Sur deux, sont disposés les DVD présentés par genre, sur le troisième sont présentés les articles et objets sexuels. Godes en tous genres, accessoires SM. 

Le quatrième mur laisse la place à plusieurs cabines de visionnage. Al m’invite à choisir un DVD puis de prendre place dans une cabine. Je demande à Léa de choisir le DVD, alors que je me dirige vers les cabines. J’ouvre la porte et découvre un espace plutôt cosy et assez spacieux. Une banquette assez large en velours rouge fait face un écran grand format. Des boutons placés sous l’écran permettent d’avancer, de reculer, de ralentir le film choisi. Un détail attire mon attention sur la porte de la cabine. Une vitre sans tain l’équipe et une fois fermée je m’aperçois que je peux voir absolument tout ce qui se passe dans la boutique alors que je reste invisible à leurs regards. Je me dis que c’est la surprise d’AL.

Je m’installe, alors que Léa me rejoint dans la cabine. Nous refermons la porte et poussons le loquet verrouillant la porte. Léa me complimente pour le lieu et surtout l’idée de voir sans être vu. Il est 19H50 lorsque l’écran s’allume et je découvre le choix de Léa. C’est un film de Mario Salieri, producteur italien de talent qui met en scène des situations très excitantes de personnes qui se retrouvent piégées et humiliées par des hommes puissants armés de bites énormes. Le titre s’affiche ‘L’ENFER’. La première scène se passe dans un restaurant, une femme dîne avec son mari et une autre femme le chauffe. 

Léa s’est déshabillée et à ouvert ma braguette pour commencer à me masturber. En l’espace de 10 minutes, une dizaine d’hommes sont arrivés dans la boutique. Il est 20H05 lorsque Virgile entre accompagné de Brigitte. C’est Léa qui les voit entrer, elle me sert fermement la queue et me disant.

-  Tu es vraiment pervers mon Maître, en faisant venir ton ex avec Virgile, quel est ton plan cette fois ?

Je lui renvoie en lui fourrant mon index dans sa fente trempée :

- Mate et régale-toi petite salope, cette fois tu vas pouvoir voir cette pute se faire humilier.

Brigitte est habillée comme une bourgeoise salope. Un ensemble tailleur chocolat, des bottes hautes noires. La jupe est très courte et laisse aisément voir le haut de ses bas noirs, voire la peau blanche de ses cuisses. Léa ne loupe rien alors qu’elle me branle avec vigueur elle murmure :

-  Quelle salope ton ex, habillée comme ça elle va se faire violer… mais j’imagine qu’elle n’attend que cela.

Brigitte est devant Virgile et son entrée n’est pas passée inaperçue. Tous les clients ont relevé la tête, certains plus hardis que d’autres se sont discrètement approchés d’elle. Elle est maintenant face aux DVD et tourne le dos à Virgile qui est positionné à côté. Trois mecs se sont approchés et Virgile attrape le bord de la jupe courte de Brigitte pour la remonter doucement. Il découvre ainsi peu à peu les bas, puis les cuisses et enfin le cul bas de mon ex…

Je suis particulièrement excité par la situation et Léa le sent.

-  Ça te fait drôlement durcir de mater ton ex en train de s’exhiber devant cette bande de vicieux.

Brigitte ne bouge pas et accepte d’être ainsi exposée, pire Virgile saisit ses fesses et les écartent pour exhiber le splendide plug qui est planté dans son cul.

Les trois spectateurs ont extirpé leurs bites et commencent à se branler. Ils bandent tous comme des taureaux, Virgile alors entraîne Brigitte dans le coin de la pièce et lui ordonne de se mettre à genoux. Elle obéit, alors que les trois compères l’entourent en leurs tendant leurs grosses bites. Je peux apercevoir subrepticement une des queues lui remplir la bouche. J’adore. Virgile lui est toujours à côté et surveille. 

Léa scrute la scène et je perçois comme une jalousie dans son regard. Elle aimerait bien être à sa place, je le sens et lui demande. Elle me répond qu’effectivement elle n’a jamais sucé trois mecs en même temps… Alors que sa main continue à m’astiquer, le rideau rouge se soulève et laisse la place à Martine accompagnée de Pierre. Léa stoppe tout mouvement, complètement figée par ce dont elle est témoin. Sa bouche est entrouverte et sa respiration chaotique. 

-  Putain c’est pas possible !!! Qu’est-ce qu’ils font là ??? Michel tu as vu ce sont Papa et Maman, mais qu’est qu’ils font dans un sex-shop ? Mais je rêve ce n’est pas possible… je ne veux pas le croire.

Léa est dans une grande agitation et je dois la contenir pour pas qu’elle sorte.

-  Léa calme-toi. Calme-toi. Il n’y a pas de quoi en faire tout un plat. Ils n’ont pas commis un meurtre, ils viennent simplement s’encanailler un peu, ils ont le droit. Tu le fais bien toi alors ne les juge pas.

Mes mots ont un peu apaisé son angoisse, alors qu’elle a maintenant le visage collé à la vitre sans tain, dans la fébrilité de ce qu’elle va découvrir. 

Martine entre et va à la rencontre d’Al. Il se parle pendant quelques instants alors que Pierre est derrière sa femme tête baissée et silencieux. Puis il aperçoit dans le fond les trois hommes, mais il garde la position soumise. Al alors va chercher dans un tiroir des objets et les tend à Martine. D’où je suis je vois bien que ce sont un collier et une laisse de chien. Se retournant vers Pierre, elle lui demande de baisser la tête et lui positionne le collier sur le coup avant de l’attacher. Puis elle dispose la laisse sur l’anneau du collier. 

Léa est rouge de confusion et reste muette de consternation. Elle observe le moindre geste de ses parents et découvre avec effarement les jeux pervers auxquels ils s’adonnent. J’en profite pour lui fourrer mon index d’un seul coup dans l’anus. Elle gémit de plaisir et me dit de lui en mettre un autre. Je l’entends murmurer que ce n’est pas possible, il est soumis à ses désirs, cette salope a réussi à en faire ce qu’elle veut… Elle a profité de sa faiblesse… cette sale Pute… Je suis étonné par le raisonnement de Léa qui incrimine sa mère et détaxe son père sans même connaître encore les tenants et les aboutissants. Mais quelque part je vais pouvoir exploiter cette image qu’elle a de sa mère et lui démontrer qu’elle ne peut pas la renier.

Virgile observe Martine qui traverse la pièce en tenant son mari en laisse. Les autres clients matent également cette belle bourgeoise habillée de cuir. Pierre suit, honteux du regard malsain que les autres hommes posent sur lui. Martine les regarde avec dédain, certains se caressent par-dessus leur pantalon. On sent la tension monter lorsque Virgile demande à Martine de s’approcher. Mon plan marche on ne peut mieux. 

Léa suit les mouvements et commente.

-  Oui vas-y salope, il va te faire souffrir, et c’est bien tout ce que tu mérites d’humilier mon père comme ça.

J’en profite pour accélérer ma cadence et glisse un troisième doigt dans son anus. Elle est tellement excitée qu’elle le sent à peine. 

Martine ne s’est toujours pas aperçue de la présence de Brigitte, cachée par les trois hommes qu’elle suce avidement.Se positionnant à côté de Virgile, elle attache la laisse de Pierre au comptoir. Al alors s’adresse à Martine.

-  Ton Maître m’a dit que tu dois payer tes emplettes en nature, on est bien d’accord ?

Martine acquiesce de la tête.

-  Très bien, je dois du fric à cet homme-là, alors tu vas faire ce qu’il te demande, OK ?

Martine acquiesce de nouveau en se tournant vers Virgile. Pierre, lui, est livide et anxieux, il prend conscience que sa femme est en train d’offrir son corps à un énorme black pour payer une dette. 

Léa, elle, y va de commentaires crades.

- Tu vois je le disais cette une véritable pute, elle va se faire baiser pour du fric… J’espère qu’il va lui exploser le cul avec sa bite de cheval !

Les clients s’approchent lorsque Virgile ordonne à Martine de se déshabiller. Je vois dans son regard comme un tressaillement alors que son corps se crispe. Elle commence par ôter son haut en cuir et se retrouve torse nu, sa petite poitrine tendue et dressée par la peur. Les regards pervers se font plus inquisiteurs lorsqu’elle dégrafe sa jupe qui tombe au sol. Le regard de Virgile est humide du désir inspiré par de si belles courbes et je sais que dans son esprit à cet instant, il me voue des remerciements chaleureux. 

Martine est nue au centre du sex-shop, habillée de ses bottes et de ses bas noirs, son abricot à la vue de tous les mâles et devant son mari qui, effondré, reste tapi dans son coin.Les hommes font face à Martine et chacun d’entre eux a sorti sa queue et se caresse, exhibant leur gland gonflé, Virgile s’est approché d’elle et lui murmure quelque chose à l’oreille. La main de Martine alors se pose sur la braguette de Virgile, regardant les voyeurs d’un regard fixe et déterminé, elle descend la fermeture du pantalon et plonge sa main à l’intérieur, pour en extraire avec difficulté l’énorme verge noire déjà bien tendue. La main de Martine a du mal à en faire le tour. Pierre, lui, est pétrifié en voyant la taille du pénis, et s’enfonce encore plus dans le coin pour essayer de ne plus être visible. Mais c’est sans compter sur sa femme qui au vu du missile de Virgile en profite pour humilier son soumis.

-  Pierre regarde ce que c’est une bite d’homme, la tienne serait plutôt de l’ordre d’un gros clito de salope, d’ailleurs montre à nos amis voyeurs comment la nature t’a dépourvu, et ils vont comprendre pourquoi j’ai besoin de prendre leurs calibres dans mes trous.

Pierre s’exécute, honteux, mais moi je sais qu’au fond de lui, il aime ça et d’ailleurs on peut le constater lorsqu’il extirpe sa bite raide de son pantalon.

- Vous voyez messieurs, même quand il bande à mort il reste trois fois plus petit qu’une belle bite de black comme celle là !

Léa s’est figée en voyant son père exhiber ainsi sa bite. Elle observe avec un intérêt particulier et je la comprends. C’est quand même de cette queue qu’elle est sortie. Elle murmure à nouveau.

- Quelle salope, et en plus on dirait qu’il aime ça se faire humilier devant tout le monde. Regarde comme il bande comme un taureau. Moi je la trouve belle et désirable cette bite et ce n’est pas parce que c’est celle de mon père !!!

Tout ceci m’émoustille vraiment et je ne vais pas tarder à enculer Léa qui mouille comme une folle. Alors que Martine s’agenouille devant Virgile, le rideau rouge s’écarte pour laisser apparaître une créature de rêve. Al s’approche d’elle pour lui faire la bise, puis il lui murmure quelques mots à l’oreille. La belle inconnue regarde Pierre qui est dans le coin la queue à la main et, aux ordres de sa femme, se masturbe.

Elle est très grande, brune le visage fin mais un peu trop maquillé à mon goût. Elle porte une robe en cuir noire très moulante qui laisse découvrir ses généreuses formes. Une ample poitrine généreuse et pesante, une taille de guêpe, une chute de reins exceptionnelle mourant sur une large paire de fesses. De longues jambes gainées de noir et des escarpins. La femme sexuelle et troublante. 

Elle approche de Pierre qui mate toujours Martine ayant pris en bouche l’énorme pine de Virgile. Les autres spectateurs se sont rapprochés et se branlent devant elle. La belle inconnue est devant Pierre qui a cessé de se branler. 

-  Continue ! lui intime t-elle tout en dégageant ses seins de la robe en cuir.

-  Suce-moi les tétons en même temps, petite pute !

A ces mots Pierre plonge le visage dans l’énorme poitrine et reprend son branlage. De son côté Martine est maintenant entourée de cinq bites qu’elle suce à la chaîne. J’observe aussi Brigitte qui s’active également sur les trois clients. L’un d’entre eux n’y tenant plus la relève, se place derrière elle et lui glisse sa queue au fond de la chatte. Sous le coup de boutoir Brigitte crie, révélant ainsi à Martine qu’une autre femme est présente. 

-  Bien je ne suis pas la seule salope à me faire baiser ce soir ici !

Virgile profite de cette occasion pour accélérer les choses en invitant Martine à rejoindre justement sa voisine. Elle obéit en se redressant. Elle avance vers les trois hommes, se fraye un chemin et arrive devant Brigitte qui crie de plaisir. Martine stoppe net en voyant Brigitte, et Brigitte cesse de geindre.

- Toi ? Mais qu’est-ce que tu fais dans un tel endroit ? demande Martine estomaquée par l’apparition.

-  Bien je pourrais te renvoyer la question petite salope… Moi je suis venue me faire remplir les trous de foutres chauds et épais.

Abasourdie par la réponse de la future belle-mère de sa fille, Martine est décontenancée. Mais elle ne tarde pas à reprendre la parole. 

-  Eh bien moi je suis venue acheter des objets pour ma chienne Pierre, tu connais je crois, et le patron m’a demandé de payer en nature. Alors je ne me suis pas fait prier et je suis prête à payer même plus cher si je peux prendre de la grosse bite, comme toi grosse pute !

Et sur ces derniers mots elles se mirent à rire comme des folles. Virgile reprend le contrôle sur un ton ferme et sans équivoque :

-  Ça va les bourges, vous n’êtes pas au salon de thé ici, faudrait vous employer à astiquer nos queues, allez, ouvrez vos bouches qu’on vous les baise.

S’exécutant, les deux femmes complices se remettent à sucer les bites qui leur sont présentées, alors qu’elles sont maintenant encerclées par une dizaine d’hommes plutôt affamés.

Léa est sur le cul de voir les deux vieilles salopes devenir complices, alors qu’une heure avant elle leur aurait donné le bon Dieu sans confession. Mais comment cela était-il possible ?

FIN