lundi 9 juin 2025

Nathalie - Ch. 03

Traduction d'un texte de Black demon par Coulybaca (2007)

*****

Asservie par les pervers fils de ses amies.

- Nathalie ! S'entendit-elle appeler.

Trish Lawson, assise à une table dans le salon de thé, lui faisait signe de la main. Kris Williams et Diane Nelson lui tenaient compagnie. Amies de longues dates, elles étaient toutes quatre entrées dans la boite à son ouverture, avaient des enfants du même âge, eux-mêmes les meilleurs amis du monde.

Se saisissant d'une chaise, elle respira profondément afin de se relaxer un peu, Nathalie sourit comme Diane commentait :

- On doit vous féliciter, Dave et toi, d'agrandir la famille à votre âge.

Kris ajouta :

- Je ne sais pas si j'aurais pu mettre fin à une brillante carrière comme tu l'as fait ! Je serais très embêtée de devoir reprendre les biberons comme tu l'as fait !

Et Trish surenchérit :

- Mon Dieu, j'aimerai tant que mon mari ressemble à Dave ! J'aimerai qu'il me fasse encore l'amour comme autrefois ! 

- Oh, oh les filles... Je suis désolée d'être en retard, mais je me sens si lasse ! Je pourrais m'endormir séance tenante, ici même ! répondit Nathalie se glissant sur une chaise.

- Je ne sais pas comment tu t'arranges pour toujours être en forme et élégante, d'autant plus que tu as arrêté les cours de gym auxquels tu participais avec nous auparavant ! Commenta son amie Diane.

Et Kris enchaîna :

- Oh Diane, Nathalie prend bien plus d'exercice que nous trois réunies ! Et elle y prend beaucoup de plaisir... Les sports de chambre ne servent pas uniquement à faire des bébés !

- ...

Nathalie sourit et rougit à ces commentaires, ses plus jeunes enfants, avaient 4, 2, et 1an, ce qui confirmaient leurs dires.

Elle était dans la trentaine comme ses amies, mais la seule à avoir recommencé une seconde nichée, ayant trois bébés coups sur coups. Et bien sûr, les filles enviaient Nathalie d'avoir un mari si viril, si on en croyait les trois naissances.

"Mon Dieu, si vous connaissiez la vérité", pensa Nathalie un tantinet honteuse.

Bien sûr, la conversation porta rapidement sur les enfants qui fréquentaient le collège, Nathalie espérait que ce sujet serait rapidement abandonné. Son aîné, Brian, fréquentait un collège possédant une équipe sportive de haut niveau, Nathalie les renseigna rapidement sur ses occupations.

Quant à Tim Williams, Sam Lawson et Josh Nelson ils étaient ensemble au lycée local, jouaient dans la même équipe de football et cherchaient un appartement pour habiter ensemble.

Nathalie soupira profondément alors que ses amies se plaignaient de voir rarement leurs enfants bien qu'ils soient dans un lycée tout proche, à à peine une heure de route. Elles devaient se contenter de les voir brièvement après les matchs à domicile et parfois elles dînaient en leur compagnie ces soirs-là, mais ils les quittaient rapidement. Serrant les cuisses, Nathalie pensait :

- Si vous saviez que je les vois le vendredi chaque semaine, et que vous êtes toutes les trois grand-mères d'un de mes derniers.

Perdue dans ses pensées, elle se remémorait cette journée ensoleillée cinq ans plus tôt, lorsque les petits anges de ses amies vinrent la visiter alors que Dave et Brian étaient partis pêcher, Nathalie ignorait alors que les trois jeunes avaient découvert son secret, pourtant elle avait prié longuement pour qu'il ne soit jamais découvert. Les trois ados enhardis par leur découverte se manifestèrent avec une audace qui surprit Nathalie. Elle en frissonnait encore. Nathalie se rappelait que les fils de ses amies se tenaient à la clôture en bois du jardin la reluquant de la tête aux pieds dans son mini-bikini jaune alors qu'elle se reposait au bord de la piscine. Josh avait ouvert le feu disant :

- Madame Stevens, vous êtes drôlement sexy dans ce petit bikini ! 

Elle en était devenue écarlate.

- Blague à part, madame Stevens, Josh prétend qu'il peut rester deux minutes sous l'eau... S'exclama Tim.

- Le croyez-vous que ce soit possible madame Stevens?... l'in-terrogea Sam

Josh avait poursuivi goguenard :

- Faut bien vous dire les gars qu'une grande marée remontait le canal et que j'avais pris le canot pour récolter des huîtres... Je jure qu'à chaque plongée je suis resté au moins deux minutes sous l'eau à chercher des coquillages... Une fois sous l'eau, je me débrouillais pour arracher une huître et je la mangeais avant de remonter à l'air libre...

A ces mots, Sam, Tim et elle-même avaient ri de ce qui semblait une vantardise irréalisable à son âge. Josh les avisa alors :

- Puisque c'est comme ça, réglez bien vos montres, madame Stevens vous savez bien que je fais toujours ce que je dis !

Ces mots avaient embarrassé Nathalie car il voulait qu'elle le chronomètre avec les autres.

Il prit plusieurs longues inspirations, et prévint ses copains :

- Vous êtes prêts... On fait comme on a dit... Ne faites rien tant que j'ai la tête sous l'eau... 

Nathalie avait alors regardé Josh respirer profondément se préparant pour son long plongeon sous l'eau.
Elle ne portait pas de montre aussi rejoignit-elle les deux comparses pour constater l'incroyable exploit. 
Mais aussitôt que Josh disparut sous l'eau, Nathalie nota que les deux amis sautant dans l'eau venaient l'encadrer. Elle fut totalement prise au dépourvu lorsqu'ils lui agrippèrent les bras. Avant qu'elle puisse pousser un cri, Tim lui plaquait sa main sur la bouche tandis que Sam enlevait les aiguilles qui maintenaient son chignon, ses longs cheveux retombèrent sur ses épaules. Les jeunes ados, qui suivaient assidûment les entraînement de football, étaient très forts, ils la repoussèrent contre la paroi, là où l'eau était la plus profonde, bras reposant sur la boite de filtrage. Un long frisson la parcourut lorsqu'elle sentit les mains de Josh lui agripper les hanches pour dégrafer la culotte de son mini bikini. Une seconde plus tard, il flottait à un mètre de son visage, alors que Tim s'esclaffait lourdement :

- Je suis sûr qu'on va bien s'amuser madame Stevens ! On sait maintenant qu'il sait vraiment éplucher les huîtres... Voyons maintenant s'il peut les savourer sous l'eau !

Nathalie ne comprit ce à quoi Tim se référait, mais elle sentit alors Josh lui écarter les cuisses. Elle comprit alors ce qu'il voulait, elle se débattit de toutes ses forces, cherchant à se libérer, elle frissonna longuement lorsqu'il parvint à ses fins. Elle se mit alors à gémir :

- Mon Dieu... Oh mon Dieu... Ça ne peut pas m'arriver... Pas à moi... Pas avec les meilleurs amis de Brian...Ce damné Josh agit comme un animal... Il va me... Me bouffer la touffe...

Nathalie sombra alors dans un délire insensé alors que Josh lui bouffait le gazon :

- Oohhhhhh... Ahh... Ahhh... Ahhhhh... Ohhhhhh !

- Bon Dieu... Il bouffe la chatte de madame Stevens !  s'exclama Sam enthousiasmé.

- Eh oui... Il déguste une huitre juteuse ! renchérirent Tim et Sam explosés de rire.

- Oahhh... Ahhhhh... Ahhhh...;Ooh, Mon Dieu... Je vais jouir... Ahhhhhhhhh...;Ohhhhh... Mon Dieu !  s'époumonait Nathalie ayant perdu tout contrôle de soi, le corps secoué par des spasmes convulsifs.

Quelques secondes plus tard, Josh émergea un sourire goguenard éclairant son visage, se pourlèchant les babines au grand bonheur de ses copains, il leur dit :

- C'était la plus goûteuse des huîtres que j'ai jamais dégusté !

Quelques heures plus tard, chaque ado était devenu un homme, ils avaient tous profité de cette occasion de perdre leurs pucelages entre les soyeuses cuisses de la mère de leur ami. Nathalie s'était retrouvée à l'entière merci de leurs désirs lubriques, sous la menace de divulguer le film de leurs ébats. Bien entendu ces jeunes ados savaient tout de l'emploi des préservatifs, mais ils n'avaient pris aucunes précautions, en fait ils espéraient tous engrosser Nathalie.

Six semaines après la partouze, Nathalie dut faire face au pire des scénarios, confrontée aux nausées matinales et au test de grossesse positif. Comme Dave et Brian se rendaient à une partie de pêche de nuit une fois par mois, les copains de Brian en profitaient pour venir piquer une tête dans la piscine avant qu'elle ne les distraie dans la chambre conjugale.

Lorsque le petit naquit, se posa la question de savoir lequel des trois ados était le géniteur, ils étaient tous trois anxieux, revendiquaient tous la paternité, ils avaient amenés leurs photos de prime enfance pour se comparer au bébé. Même s'il ne s'agissait pas là d'une méthode scientifique, la ressemblance du bébé avec une photo de Josh au même âge était convaincante, Tyler était le portrait craché de Josh. Ils durent se contenter de cette preuve, ne pouvant se permettre de demander la permission de faire un test ADN.

Pendant toutes les années de collèges de son aîné, incapable de dissuader Bryan de fréquenter ses amis, Nathalie dut endurer des suées d'angoisse, chaque fois qu'il les invitait. Et comme les boissons pétillantes étaient en libre service, les lubriques ados en profitaient pour surgir à tout moment dans la cuisine. Inutile de préciser qu'en fait pop-corn et boissons n'étaient que des prétextes. Nathalie ne pouvait jamais savoir lorsqu'elle faisait la vaisselle ou qu'elle cuisinait si un des jeunes ne profiterait pas de l'occasion.

Plusieurs fois elle avait réussi à déserter la cuisine le temps de leur visite, mais, lorsqu'ils parvenaient à la surprendre, nez blotti dans son cou, ils ne se privaient pas de lui peloter le cul et les seins. Parfois même ils parvenaient à disposer de plus de temps avec elle en tête à tête dans la cuisine. 

Nathalie se rappelait ce jour où Tim avait inséré sa main dans son short, puis dans sa petite culotte, la doigtant du majeur, ce qui avait immédiatement provoqué sa jouissance.

D'autres occasions lui revenaient en mémoire : ce jour où Sam avait ouvert sa braguette avant de la serrer contre l'évier, lui retirant les mains de l'eau savonneuse, il l'avait obligée à s'agenouiller pour lui prodiguer une savoureuse pipe.

Cependant Nathalie, considérait Josh comme le plus pervers et le plus dangereux de la bande. Une fois, alors que Dave faisait des grillades et que Brian discutait football avec ses amis, il s'était introduit dans la cuisine sous le prétexte de boire un coup, il avait empaumé ses seins au travers de ses bonnets de soutien-gorge, puis, il avait poussé sa bite sous ses jupes, entre ses cuisses. Quelques instants plus tard elle s'était retrouvée seule dans sa cuisine, des larmes de rage perlant à ses yeux, les cuisses et la toison enduites de son sperme gluant.

Après avoir découvert que Josh était le père de Tyler, leur visite changèrent de nature, deux d'entre eux jouaient avec bébé pendant que le troisième baisait la mère dans la chambre conjugale, Sam était toujours le dernier à profiter de ses charmes. En fait ce n'était pas fortuit, et Nathalie sut rapidement pourquoi il en était ainsi.

Le second mois après la découverte de la paternité de Josh, alors que Tim et Josh se contentaient de se vider dans sa bouche lorsqu'ils la baisaient, elle comprit que seul Sam se vidait les couilles dans sa chatte. La paternité de Josh avait provoqué l'envie de Tim et Sam, de ce fait ils avaient tiré au sort lequel allait l'engrosser à son tour. Sam avait gagné le droit de l'engrosser, il en résulta la petite Jenny.

Une année plus tard, trois mois après la naissance, Tim ne s'y prit qu'à deux reprises pour l'engrosser à nouveau, il était très fier ce résultat rapide, mais il était cependant désappointé de n'avoir été que peu de temps le seul à pouvoir cracher son foutre dans l'adorable foufoune de madame Stevens, alors que Sam en avait profité presque une année complète.

Il n'avait profité que deux mois de cette opportunité avant de reprendre le même statut que les deux autres. Mais Tim eut bientôt la joie de voir naître son petit Denny.

Maintenant que les vigoureux ados étaient au lycée, Nathalie trouvait qu'ils sollicitaient ses faveurs encore plus qu'auparavant. Et comme ils disposaient maintenant d'un appartement bien à eux, sans parents pour les surveiller, ils s'étaient arrangés pour libérer entièrement leurs mercredis.

Beaucoup de gens considèrent le mercredi comme la pause du milieu de semaine, mais pour les trois ados c'était jour liesse.

Tyler fréquentait l'école maternelle, Nathalie confiait les deux petits à une baby-sitter ce qui lui permettait de parcourir l'heure de route la menant à l'appartement des trois jeunes. Dès sa première visite elle comprit qu'ils voulaient tous trois profiter de son corps isolément. Une heure avec chacun d'eux, après qu'ils aient tiré au sort leur place puis ils la partouzaient les quelques heures qu'elle restait avec eux.

Ils alternaient leurs places, mais elle en avait toujours un en bouche, un en con et le troisième en cul.

Elle rentrait alors chez elle, reprenant Tyler au passage.

Bien qu'ils prétendent l'aimer, lorsqu'ils se trouvaient seuls avec elle dans la chambre, Nathalie savait très bien qu'elle n'était que leur garage à bites, qu'ils ne se servaient d'elle que pour satisfaire leur lubricité. Chaque fois qu'ils se satisfaisaient en elle, ils utilisaient son nom marital ainsi que des commentaires tels que :

- Ooooooh, madame Stevens... Je vous aime... Agh-hhhhhhhhhhh... Arghhhhhhhhhhhhhhh... Aahh-hhhhhhhhhhh !

Petit à petit, Nathalie comprit qu'ils rentabilisaient leur appartement en faisant payer leurs copains qui voulaient assister à leurs ébats.

Chaque mercredi elle revêtait une tenue élégante, aujourd'hui elle portait une robe rose et une paire de hauts talons blancs. Mais elle était tracassée, l'email qu'elle avait reçu lui enjoignait de porter exactement ce qu'ils avaient noté et de se rendre au motel en bordure du campus.

"Pourquoi ? Pourquoi lui donner subitement rendez-vous dans un motel ? - Qu'allait-il se passer ?" Ces questions trottèrent dans sa tête pendant tout le trajet.

Elle avait reçu un autre mail des trois ados l'instruisant de certains changements, elle leur avait répondu demandant pourquoi, mais, elle n'avait obtenu pour toute réponse que :

- Sois à l'heure... Sinon...

"Etre à l'heure ! Dans un motel... Que se passait-il donc ?" Nathalie frissonna longuement en approchant de son but.

Elle respirait avec nervosité, yeux braqués sur l'énorme enseigne Star-light Motel qui surplombait l'immeuble. Reconnaissant la voiture de Josh garée sur le parking, elle se rangea à coté, descendit de voiture et prit le mot glissé sous un de ses essuie-glaces. Elle y lut : "chambre 212". Son coeur s'emballa tandis qu'elle gravissait les escaliers menant au second étage. Comme elle allait toquer à la porte de la chambre, celle-ci s'ouvrit et un souriant Josh l'accueillit d'un :

- Juste à l'heure madame Stevens.

Puis il la fit entrer une main lui étreignant l'épaule. Ses intuitions craintives prirent alors corps, un colosse noir était assis dans un fauteuil, il commenta :

- Vous avez raison fistons... Ce que vous m'aviez dit se vérifie... Mais ça peut-être un piège... Prouvez-moi que cette jeune femme n'est pas un flic... Ordonnez lui de me faire une pipe...

Horrifiée Nathalie voulut tourner les talons et s'enfuir loin de cette chambre d'hôtel, mais Tim et Sam lui saisirent les bras, et la poussèrent vers le vendeur de drogues.

- Non... Non... Comment osez-vous... Je ne veux pas... Rugit Nathalie en pleine rébellion.

- Ces garçons veulent que je les approvisionne en stéroïdes interdits à la vente, de façon à accroître leur musculature, aussi, m'ont-ils promis quelque chose de spécial pour me remercier ! Et d'après ce que je vois, c'est vraiment un cadeau très spécial !

Agenouillée de force, bras tenus fermement, Nathalie vit avec horreur le vendeur de drogues se débraguetter. Nathalie avala sa salive, cela faisait un bon nombre d'années qu'elle n'avait pas vu une bite noire de cette taille, depuis qu'elle avait succombé aux avances du joueur de football noir qui l'avait accostée chez elle après avoir emmené les enfants à l'entraînement. Tyrone l'avait séduite, puis il avait réalisé cette horrible cassette qu'avait découvert les trois jeunes ados qui la faisaient chanter depuis. Quant à Tyrone, il avait migré vers une équipe de football renommée et s'était fait tuer dans une fusillade opposant deux gangs rivaux.

Mais pour Nathalie, ce colosse de 135 kgs était loin du jeune joueur de football qui l'avait fait succomber. Elle allait bien vite découvrir que ce colosse possédait une queue en rapport avec sa taille, c'était une bite monstrueuse. Lorsqu'il avait ouvert sa braguette, la puanteur de ses organes génitaux avait failli la faire vomir.

- Mon Dieu, comment peuvent-ils me faire ça ? Soupira-t-elle cherchant vainement à se libérer.

Dès qu'elle était entrée dans la chambre, Art Thompson avait compris que ce n'était pas une femelle flic, mais il voulait savoir comment s'y prenaient ces étudiants pour la contraindre à leur volonté. Jetant un oeil sur l'élégante jeune blonde, il nota l'alliance à son majeur. Art appréciait sa grimace de dégoût alors qu'il lui avait fourré son énormité sous les yeux. Il pouffa en la voyant chercher à détourner le visage. Et lorsque Josh saisit sa blonde chevelure, la faisant hurler de douleur, Art en profita pour lui fourrer sa grosse bite dans la bouche.

Art pensait : "Cette foutue garce n'est sûrement pas flic ! Oôah, chérieeeeeee... Ah, ouiiiiiiiiiii... Suce-moi... Suce-moiiiiiiiiiii... Je vais jouir... Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh... Ca y'est... Je gicle...". 

Il  gémit en s'arquant sur les hanches. 

La main sur les lèvres, refrénant ses nausées, le corps tremblant de dégoût, elle recracha quelques filets de sperme sur le corsage de sa robe rose. Mais Nathalie nen avait pas fini pour si peu, Josh dégrafa le dos de sa robe, descendant de toute sa longueur la fermeture éclair. Sa robe passa au-dessus de ses épaules, on aurait dit une vente aux enchères alors que Josh empaumait ses seins sortis des bonnets du soutien-gorge les offrant à la convoitise du noir.

Lorsque Josh lui lâcha les seins, Nathalie sentit une main bien plus grosse et plus calleuse lui palper la poitrine, la caressant comme pour tester la maturité de fruits juteux. Puis il referma les mains sur ses tétons et s'en servit pour l'attirer contre lui. Au même instant Josh la dépouillait de sa robe la livrant en soutien-gorge, petite culotte et ceinture porte-jarretelles à la convoitise du géant noir.

- Regardez cette belle salope, elle n'a vraiment pas l'air de m'aimer ! Elle doit avoir un faible pour les blancs... pouffa Art tout en titillant rudement ses tétons dardés.

- Allongez-la sur le lit les gars, cette petite pipe m'a mis en appétit aussi voudrai-je goûter ce beau morceau !  Mettez-la  à poil ! Précisa-t-il tandis qu'ils la traînaient de force vers le lit.

- Josh, non... Laissez-moi... Tim, Sam... Arrêtez... Je vous en prie... Je ne veux pas coucher avec lui... Je vous en prie... Nonnnn... Je ne veux pas... Ce... Ce serait un viol.... Criait frénétiquement la blonde.

Art se branlait langoureusement rendant à sa bite une vigueur certaine tout en s'approchant du lit. 

Josh lui tenait les bras au dessus de la tête, Tim et Sam lui avaient agrippé les chevilles, lui écartant les cuisses en grand.

- Nonnn... Nonnnnnnnnnn... Mon Dieu... Nonnnnnnn  ! Se plaignait Nathalie, alors que le colosse plongeait entre ses cuisses lui bouffant le gazon.

Elle raidit ses hanches instinctivement alors que l'ignoble noir se régalait de sa chatte juteuse, l'épaisse langue s'enfonçait profondément dans les replis de ses muqueuses pour ensuite aller dénicher son clito si sensible. Nathalie découvrit alors qu'en expert, cet homme avait immédiatement déniché son point G.

- Oahhhhhhhhhhhhhhhhh... Ahhhhhhhhhh... Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! s'époumonait-elle submergée par un orgasme inouï qui la prenait à l'improviste.

Cherchant à reprendre sa respiration, Nathalie se mit à trembler à la vue du colosse se positionnant au pied du lit tout en entretenant de la main son érection.

- S'il vous plait... Je vous en prie... Ne le laissez pas faire... Vous savez bien que je ne peux pas prendre la pilule... Ce serait trop dangereux... Je ne veux pas risquer qu'il m'engrosse... Ne le laissez pas faire... Nonnn... Pleurnichait-elle, cherchant à apitoyer les pervers ados.

Le lit fléchit sous le poids du colosse qui l'enjambait, Nathalie se mit à trembler tandis qu'il l'interpellait :

- Chérie, tu vas savoir ce que c'est que se faire baiser par un vrai mâle ! 

- Oh... Mon Dieu... Il est trop gros... Si gros... criait-elle alors qu'il la pénétrait sans pitié.

Maintenue sur le lit par les adolescents qui prétendaient l'aimer, elle se faisait violer par le vendeur de drogues, Nathalie comprit alors à quel point elle en voulait à ces salopards d'ados. Elle n'était qu'un morceau de viande pour eux, une pute juste bonne à satisfaire leur lubricité, à assouvir leurs désirs de paternité, et maintenant ils échangeaient ses charmes contre une boite de stéroïdes interdits à la vente et ce pour parfaire leur forme athlétique.

Décidée à se venger se ces salauds, Nathalie cherchait comment elle pourrait circonvenir le colosse noir et en faire l'instrument de sa vengeance. Bien qu'il lui distende douloureusement la chatte, elle était déterminée à lui plaire, elle roucoulait :

- Oooooooooooooooh, Mon Dieu... Ouiiiiiiiii... Ooooh... C'est si bon... Ohhhhhhhhhhh, oui... S'il vous plait... Lâchez mes bras et mes chevilles... Je promets de ne pas vous griffer... Oh S'il vous plait... Je veux sentir votre torse musclé...

Souriant de toutes ses dents, Art leur intima :

- Lâchez-la les gars ! 

S'accrochant à ses épaules musculeuses, elle se cambra vers le haut, les trois ados se sentaient démoralisés en entendant ses commentaires.

- Oh mon Dieu... C'est si bon de se faire baiser par un vrai mâle...

Cette façon de les ravaler au niveau de gamins mal outillés les vexait profondément.

- Baisez-moi... Encore... Encoreeeeee... Oui... Oh oui... ouiiiiiii... Mon Dieu... Que c'est bon...

C'était la femme de leur rêve qui, essoufflée, criait ces mots alors que l'épais gourdin noir allait et venait dans sa féminité distendue au delà de toute expression. Puis le vendeur de drogues grogna :

- C'est ça chérie... Jouis... Prends ton pied...

Et à leur grande consternation, la femme de leur rêve répondait haletante :

- Oh oui... Ouiiiii.....Gicle dans mon ventre... Engrosse-moi... Fais-moi un bébé noir...

En sentant la charmante beauté s'agrippant à ses épaules défaillir spasmodiquement sous ses assauts, Art sut qu'un orgasme sauvage la submergeait, elle trayait véritablement sa grosse bite de ses muscles vagi-naux. Jamais Art n'avait eu une si ravissante partenaire de lit, l'orgasme le submergea à son tour alors qu'il beuglait :

- Serre-moi... Serre-moi dans tes bras... Yeahh-hhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !

Elle avait verrouillé ses chevilles dans son dos tandis qu'Art lui injectait de lourdes giclées de foutre au fin fond de l'utérus. Bouclant ses poignés sur ses épaules, Nathalie s'agrippa encore plus fermement cuisses serrées sur son torse, sachant que les trois ados les regardaient consternés, Nathalie soupira langoureusement :

- Oooooooooh... Que c'est bon d'avoir une VRAIE BITE D'HOMME Dans la chatte...  Ooooohhhhhhhh, Y avait si longtemps... Si longtemps que j'attendais ça ! Que je j'espérais me faire baiser par un VRAI MALE... Me faire baiser par une GROSSE QUEUE... Je voudrai qu'il me prenne encore...

A sa grande satisfaction, elle entendit le vendeur de drogue glousser et entrer dans son jeu :

- Alors chérie, ces petits blancs ne parvenaient pas à te satisfaire !  C'est ça chérie ?

Prenant sa revanche jusqu'au bout, Nathalie approuva :

- Oh non... Comparés à vous, ce sont à peine tout juste des petits garçons... Montrez leur comment on doit faire... Montrez leur comment on baise une femme...

Et tandis qu'il allait et venait machinalement dans sa moule marécageuse, Nathalie grommela :

- Oh oui... Montre-leur comment fait un homme... Baisez-moi avec votre grosse queue noire...

Constatant à quel point la jolie jeune femme blanche était étroite, Art savait qu'il avait dû la faire souffrir mille morts tandis qu'il lui distendait correctement le goulot, il soupçonnait que ses gémissements d'extase étaient surtout destinés à vexer les trois ados en dépréciant leur virilité.

- Tu te sens bien chérie ? Demanda-t-il suavement guettant leur mine désappointée

- Aimerais-tu que je leur donne des leçons de baise ? Dis-leur que dorénavant t'es ma pute personnelle ! 

A sa grande satisfaction, Art l'entendit répliquer :

- Oh ouiiiiii... J'ai tant besoin de votre grosse bite... Si grosse et si longue... Baisez-moi... . Baisez-moi encore... Jamais on ne m'a fourrée aussi bien... Faites de moi votre salope... Votre petite pute... Baisez-moi... Encore... Mon Dieuuuuuuu...

Allant et venant vigoureusement dans son sexe accueillant, Art sourit en l'entendant gronder :

- MOn Dieu... Mon Dieu... Ouiiiiiiiiii... Encore... C'est si bonnnnnnnn...

Les trois ados regardaient avec révérence la femme qu'ils aimaient tant répondre sauvagement aux assauts de l'homme qu' ils lui avaient imposé. La façon de madame Stevens de verrouiller ses chevilles dans son dos tout en se cambrant pour approfondir les pénétrations les avait profondément désappointés.

L'après-midi même, durant le trajet du retour, Nathalie se félicitait intérieurement d'avoir si profondément vexé les trois jeunes ados. Lorsque le vendeur de drogue s'était retiré de sa fente dégorgeant de foutre, en voyant les trois ados s'astiquer le poireau en rond autour du lit, elle avait délibérément écartés en grand ses cuisses les invitant ironiquement :

- Allez les garçons, venez me brouter la chatte comme chaque semaine... Venez mettre un peu de sauce tartare dans l'huître que vous aimez savourer... Ainsi vous pourrez goûter au jus D'UN VRAI MALE...

Tendant la main, elle saisit la bite flaccide de colosse, le tenant par la base elle la présentait aux trois ados en gloussant :

- Regardez les garçons, même molle elle est plus grosse et plus épaisse que les vôtres bandées... Alors que dire quand elle est bandée... Cela doit drôlement vous attrister de vous rendre compte que vous n'êtes pas encore des hommes... Regardez-vous... Vous et vos petites bites... Mais vous mollissez... Vous êtes pathétiques !

Alors que la femme de leurs rêves secouait leur signifiant son écoeurement, ils la virent se pencher sur le vendeur de drogues, prendre en bouche sa bite flacide et se remettre à la lécher sérieusement.

- Allez bande... Raidis-toi... Je veux encore me faire baiser par un VRAI MALE... l'encourageait Nathalie cherchant à mettre définitivement KO les trois ados.

Ils regardaient Nathalie s'acharner sur la bite du colosse noir, la parcourant de la langue avant de l'emboucher langoureusement.

- Ooooooooh, ouiiiiiiiiiiiiiii... roucoulait Nathalie s'empalant sur la bite tendue.

Puis elle demanda à son amant noir :

- Pourquoi ne ramènerais-tu pas ces gamins chez eux... Ils n'ont plus rien à faire ici dans cet état... Et nous pourrons nous aimer toute la journée...

Et à sa grande satisfaction il répliqua :

- Allez les gars faites comme elle dit... Virez-moi vos culs d'ici... Désormais elle m'appartient si vous voulez que je continue à vous fournir vos stéroïdes chaque semaine... 

Nathalie sourit alors que les trois ados franchissaient la porte dépités, le vendeur de drogue l'allongeait déjà, sur le lit et pointait sa grosse bite noire sur sa foufoune impatiente.

****

Après avoir repris le petit Tyler à la sortie de la crèche, couverte d'une écharpe dissimulant les taches de foutre, Nathalie se gara dans l'allée de son garage. Disposant d'encore une heure de liberté, elle prit une longue douche qui élimina les odeurs d'amour et une douche vaginale, qui avec un peu de chance chasserait le sperme du vendeur de drogue noir.

- Mon Dieu comment vais-je m'arranger pour gérer tout ça ? Il a du me jouir au mois cinq fois dans la chatte... Pensait-elle fe-mant les yeux pour mieux se remémorer cette fantastique partie de baise.

Nathalie était très heureuse de la tournure que prenaient les événement, elle avait vécu une fantastique séance de baise, elle se réjouissait encore de la tête des trois ados dont elle s'était payé la tête, ou plutôt la virilité,

- Un juste retour de manivelle pour tout ce que m'ont fait subir ces petits bâtards ! Pensa-t-elle fugitivement.

Maintenant qu'elle était sous la coupe du vendeur de drogues, lui qui l'avait si bien baisée l'après-midi même, elle supposait qu'ils ne l'ennuieraient plus jamais...

- Je leur ferai payer tout ce qu'ils m'ont fait ! pensa-t-elle soudain, la vengeance lui apparaissant soudain envisageable.

- Peut-être bien qu'Art leur fournira des stéroïdes éventés... Je le lui demanderai... Se jura Nathalie.

- Toutes ces années à faire leurs quatre volontés, à me faire baiser par tous les trous sous la menace de la divulgation de cette foutue cassette, tout cela pour finir par me prostituer à leur dealer, quoi qu'il puisse arriver, je me vengerai... Je donnerai à Art les meilleurs orgasmes qu'il ait jamais eu... Je ferai la pute pour lui... S'il m'aide à me venger... fulminait-elle figé dans le désir de se ven-er de ces salauds.

FIN