mercredi 9 avril 2025

Dressage d’une quadra Ch. 04

 Récit de Patricia2 (2010)

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Prêtée pour essayage.

Pierre m’informa que je devais rapidement être prêtée a une de ses relations, car cette personne devait s’absenter pour longtemps et il désirait m’essayer avant de partir. Il me donna l’adresse et me demanda de m’y rendre habillée en jupe courte, bottes cuissardes, et chemisier, sans sous-vêtements.

Je me préparai, j’étais prise de court, cela m’affolait un peu, je n’avais pas le temps de me préparer à cette idée. J’arrivai au pied de l’immeuble, mon cœur battait la chamade, d’ici peu de temps
j’allais être nue devant je ne sais qui et je devrai obéir. Je reconnus le nom sur la sonnette : Alain. j’hésitai, qu’allais-je dire ? Je me lançai et sonnai. Une voix répondit :

- Allo, oui ?

- C’est Patricia, je viens de la part de Pierre !

- Je vois, très bien, montez au 3ème !

J’entendis le clic de l’ouverture de la porte d’entrée. Je la poussai, puis je me dirigeai vers l’ascenseur, je me dirigeais vers mon destin, je montais, l’ascenseur stoppa, je fis quelques pas, je me trouvai devant la porte.

Je sonnai. Après un instant, qui me sembla court et en même temps une éternité, la porte s’ouvrit. Un homme assez grand, maigre, la quarantaine, en robe de chambre, un air « supérieur», imbu de sa personne, dédaigneux, se trouva devant moi, un ricanement sur le visage. Et j’allais devoir lui obéir, je le détestai déjà, j’osais a peine le regarder.

- Vous venez pourquoi ?

Cette question me déstabilisa, (je suis le plombier avais-je envie de répondre, j’avais envie de pouffer de rire, c’était nerveux). Je bafouillai : 

- Je viens de la part de Pierre pour…

Je ne savais plus que dire, je baissais les yeux.

- Vous êtes la femelle qui vient pour se faire dresser et écarter les cuisses, est-ce bien cela ? Il ne faut pas être timide, osez le dire ?

- Oui, Monsieur Alain, je suis la femelle qui vient pour être dressée !

Il me fit rester sur le palier, déboutonna lentement mon chemisier, rabattit les pans de celui-ci vers l’arrière de mes épaules avec brutalité, laissant ainsi ma poitrine à l’air. Il me prit les seins, les soupesa, les malaxa, les claqua de haut en bas, puis de droite à gauche, me pinça les bouts (il m’avait fait mettre les mains derrière la tête). Il me « travailla » les mamelles comme il le disait. Cette alternance de douleurs, caresses commença à me faire de l’effet, je commençai sérieusement à
mouiller.

- Jolies mamelles, les bouts déjà en érection, je suis sûr que ce traitement te fait de l’effet !

Il voulut vérifier, il dirigea une main vers mon entrejambe et j’écartai les cuisses. Il introduisit deux doigts dans ma chatte profondément et sans ménagement :

- Tu lubrifies vite ma belle, déjà trempée, tu dois être une bonne salope, cette chatte s’ouvre déjà, tu verras tout à l’heure, tu seras étonnée de voir à quel point cette chatte va s’ouvrir.

J’entendis l’ascenseur redescendre, s’arrêter puis remonter. Je paniquai. Pendant ce temps, Alain m’ordonna de retirer ma jupe, je fus alors nue sur le palier, campée dans mes bottes cuissarde à hauts talons, bref : la parfaite catin que l’on évalue pour savoir si elle vaut le coup, et cet ascenseur…

Il stoppa à l’étage comme je le redoutais. Horreur, un homme en sortit. j’étais pétrifiée, instinctivement, je me protégeai la poitrine avec un bras, de l’autre mon entrejambe. Je reçus alors une paire de gifles magistrale, suivi d’un ordre :

- Mains derrière la nuque, cuisses écartées la bourge, tu es ici pour être dressée, utilisée, tu aimes être soumise et humiliée, alors assume ! Tu as de la chance, de nombreuses femmes sont frigides, et n’éprouvent donc aucun plaisir sexuel, toi, tu ne demandes que du plaisir. Les hommes préfèrent les salopes et putes de ton genre, cesse de jouer a la pimbêche et sainte nitouche et reconnais que tu aimes le cul, de te faire sauter, te faire dominer, sucer les hommes ! J’attends !

- Oui, Monsieur, je suis soumise et j’aime cela, j’aime le sexe, j’aime les sexes des hommes, j’aime sucer !

- Ton épilation te va à ravir, la fente bien en avant, qui ne demande qu’à être forcée.

Alain s’adressa à l’inconnu :

- C’est une relation qui me l’a prêtée pour l’après-midi, si tu veux tu peux m’aider à la dresser, si tu as besoin de te vider les burnes n’hésite pas, elle en sera ravie ! (ce monsieur devait être un copain et ceci une mise en scène)

- Ce sera avec plaisir !

Alain me fit tourner sur place, ils me palpèrent, me détaillèrent : mon cul, ma chatte avec la fente bien en avant, mes seins qui ne demandaient qu’à être travaillés, ma bouche à être fouillée, ils vantèrent mon épilation.

- Elle est baisable, j’espère qu’elle sera une bonne salope et qu’elle chantera bien !

Ils se décidèrent à me faire entrer dans l’appartement, je me sentais humiliée, objet sexuel, femme publique, et pourquoi aimais-je cela ? Pourquoi cela me faisait-il autant mouiller ? Pourquoi cette envie d’être violée, forcée, ouverte, fouettée.

- Mets-toi a quatre pattes, la tête en bas, ton cul en l’air et présente-nous tes trous !

Je crus comprendre que je devais prendre cette position et écarter les deux lobes de mes fesses avec les mains.

- La bourge, le cul en l’air, prête à se faire saillir !!!

Je ne m’y attendais pas, je reçus un coup de fouet, d’autres suivirent, puis ce fut la cravache, mes fesses brûlaient, je serrai les dents et en même temps des picotements dans mon bas-ventre se faisaient ressentir, j’avais envie de me caresser. Puis les coups cessèrent. Il me releva la tête : 

- Tu me dis merci pour la correction et tu suces !

Je le remerciai, écartai les pans de la robe de chambre, un sexe, pas très long, mais très très épais apparut, c’était impressionnant, il était bien droit et raide. Je le décalottai, il allait m’étouffer, et je le mis dans ma bouche, j’en avais plein la bouche, et je commençai à le sucer en caressant les bourses. Je reçus un avertissement :

- Si tu continues comme cela tu vas recevoir une raclée, applique-toi !

J’y mis tout mon cœur, la ressortant, la léchant, l’engloutissant a nouveau aussi loin dans ma gorge que je le pouvais, léchant les bourses, le masturbant lentement en même temps. Il m’ordonna de le regarder dans les yeux. J’étais agenouillée devant cet homme que je méprisais, contrainte a lui donner du plaisir, à le satisfaire, et j’aimais cette situation, pourquoi ? je ne puis l’expliquer. Cet homme que je méprisais pouvait faire de moi ce qu’il désirait, m’ordonner… pourquoi aimai-je être humiliée de la sorte ?

- Suce bien salope, tu aimes cela, et remercie-moi de te permettre de me sucer !

- Je vous remercie de bien vouloir me laisser vous sucer, monsieur Alain !

Je sentis son sexe se durcir encore plus, il stoppa, et laissa la place à son copain. Son sexe était beaucoup moins épais mais plus long, j’en fis de même. Cet homme ne me laissa pas mener le jeu, il m’emmena le dos contre une table basse, accroupie, les cuisses bien ouvertes me tenant la tête, il se servit de ma bouche comme d’un vagin, buta contre le fond de ma gorge, il déchargea par longs et abondants jets de sperme.

- Avale salope !

J’avalai tout jusqu’à la dernière goutte.

Ils décidèrent de me faire faire un peu d’exercice, ils m’attachèrent une pince au bout de chaque sein, les dents métalliques des mâchoires me firent très mal, c’était horrible, comme si les bouts de mes seins allaient être arrachés. Et en même temps cette douleur me fit mouiller encore plus. Au bout de chaque pince des grelots, je dus sautiller sur place devant eux, les mains derrière la nuque. Mes seins ballottèrent, je devais avoir l’air ridicule. Par la suite ils ajoutèrent des poids aux pinces, la douleur fut alors atroce, les larmes coulèrent le long de mes joues, ils voulurent y adjoindre des poids encore plus lourds. Là, je n’en pus plus, je me jetai à leurs pieds en sanglotant et en
implorant leur mansuétude, je pleurai a chaudes larmes.

Ils n’insistèrent pas, retirèrent les pinces, et me dirent qu’ils allaient me faire connaître le septième ciel pour me consoler. Nadine me manquait, elle, elle savait comment me consoler. Ils m’ordonnèrent de me mettre à plat dos sur le lit, me fixèrent solidement les chevilles à chacun des montants, passèrent un oreiller sous les fesses pour faire bien ressortir ma chatte.

L’un d’entre eux alla chercher un flacon et versa quelques gouttes d’un liquide sur mon clitoris. Je ressentis des brûlures, des démangeaisons, cela devint intenable. Ma chatte mouilla, me démangea, saliva, dégoulina, s’ouvrit. J’essayai de me tortiller, mais impossible, je haletai, hurlai de plaisir. J’essayai en vain de remuer les jambes comme pour échapper à ce presque orgasme permanent.

Un des hommes me tendit son sexe, je la happai, suçai, bien au fond de la gorge, avec avidité comme pour faire diversion. Et j’entendis les commentaires :

- Elle a le feu aux fesses la salope, elle a faim cette chatte !

- Je crois que les bourges sont encore pires que les autres, sa chatte est luisante, baveuse, elle ne demande qu’à être remplie !

- Tu as vu comme elle se tortille la femelle, un peu de retenue Patricia, tu es indécente !

- Elle a un bassin à être prise sans ménagement, à le hussarde !

- Tu crois que c’est le moment ?

- Attends, je me vide les couilles !

Je sentis un jet inondant ma bouche, j’avalai avec plaisir. Je continuais de jouir, je n’en pouvais plus.

- Allez, on y va : tu veux y aller ou j’y vais, j’y vais et toi tu te fais sucer !

- Ok

- Alors ma belle, tu veux que j’éteigne le feu que tu as au cul ? tu veux que je m’occupe de ta chatte ? que je te baise ?

- Oui, s’il vous plaît Monsieur Alain baisez-moi !

Monsieur Alain alla chercher un énorme gode.

- Tu vas voir, je suis sûr que ta chatte va l’avaler !

Il me pénétra d’abord avec deux, puis trois, puis quatre doigts, j’entendais le clapotis de la cyprine, j’étais véritablement inondée.

- Elle est à point la bourge, tu te souviens ce que je t’ai dit ma belle, tu seras étonnée de ce que ta chatte va avaler, et je suis sûr qu’elle va aimer,. Tu peux crier, chienne, je veux te voir jouir et t’entendre piailler !

Sa main allait et venait en moi, j’avais reçu l’ordre de ne pas jouir, c’était difficile de le respecter. Puis il présenta un énorme gode, le fit pénétrer par petits coups successifs, je le sentis entrer en moi peu à peu, m’écartant mes lèvres. Je couinai de douleur, de plaisir, il s’enfonçait. Alain me libéra les chevilles, instinctivement j’écartai encore plus les cuisses pour aider à faire entrer le gode, puis, ne pouvant plus me retenir, je hurlai de plaisir dans un gigantesque orgasme, les spasmes faisant sursauter mon corps

La suite de l’après-midi, ils me firent prendre des positions on ne peut plus indécentes, obscènes. Ils m’avaient vaincue, je me donnais, livrais abandonnée à eux sans retenue. Lorsque je me rebellais ou que ma pudeur refaisait surface, une bonne fessée, paire de claques ou fouet me remettait les idées en place. C’était un véritable dressage. Grande ouverte, j’étais un jouet, mes fesses me cuisaient, mais j’étais heureuse, comblée de ne pouvoir me dérober à leurs exigences

A suivre...