Dans les temps qui ont suivi, j’ai continué à baiser dans le dos de mon mari avec son fils. Nous prenions de plus en plus de risques, mais je m’en fichais, je voulais profiter au maximum de sa belle queue et de ses idées perverses. J’étais son sac-à-foutre disponible dont il pouvait faire ce qu’il voulait, en plus de Pierre qui passait le plus clair de son activité professionnelle avec la bite dans un des trous de sa secrétaire (ce vicieux avait pris notamment l’habitude de ne lire son courrier et ses mails du matin qu’après m’avoir fait le chevaucher pour planter sa bite au fond de ma chatte ; je restais ainsi parfois près d’une heure sans bouger, à attendre qu’il ait fini sa lecture. Quand c’était fait, il donnait quelques coups de reins et éjaculait au fond de mes entrailles. Sa queue était enfoncée si loin en moi que j’avais l’impression qu’il me jutait directement dans l’utérus, ce qui me faisait jouir comme une folle !)
Par ailleurs, Rémy ne se gênait plus pour me partager avec d’autres. Toujours aussi assidu à la fac, il organisait des après-midi poker avec ses potes. A ces occasions, il négociait des « RTT » pour moi avec Pierre afin que je participe à ces après-midi. Vêtue de bas, de talons hauts et d’une tenue de soubrette, je faisais le service des boissons. Quand cette activité ne m’occupait pas, je passais sous la table pour sucer leurs bites rendues accessibles par l’absence de pantalons, slips, ou caleçons. Tous se mettaient nus sous la ceinture avant de commencer la partie, et je devais sucer chaque bite en érection, sans oublier de bien leur lécher les couilles. C’était toujours un peu brouillon au début, mais au fil de la partie les choses se calmaient et les queues se levaient presque chacune leur tour. J’étais alimentée en sperme toutes les 10 minutes environ. Bien sûr, quand je sortais de sous la table pour servir des verres, les invités en profitaient pour me palper la chatte et le cul, et faire des commentaires salaces à mon sujet auxquels je répondais par un sourire, voire un merci lorsque l’insulte était particulièrement dégradante. « Pompe-à-jus » et « vide-couilles sur pattes » étaient mes préférées.
J’étais devenue à ce rythme une parfaite putain lorsque les vacances d’été sont arrivées. Guy m’a invité pour un séjour de 14 jours dans un hôtel à Lomé, au Togo. Guy avait auparavant adoré la Côte-d’Ivoire, il trouvait les paysages magnifiques (certes, mais la chaleur y était insupportable), la cuisine locale savoureuse (mais bien trop épicée pour moi !) et les gens chaleureux et toujours prêts à vous rendre service (je ne m’en étais pas franchement rendue compte, mais suite à ce séjour, j’allais me ranger définitivement à l’opinion de mon mari !). Guy se faisait donc une joie de ce nouveau voyage. Pour ma part, la perspective de passer 15 jours avec Guy me déprimait. Et puis je n’étais pas encore partie que la bite de Rémy me manquait déjà. C’est la raison pour laquelle je n’ai fait que le sucer durant les 48 heures qui ont précédé mon départ, afin de faire le plein de son sperme ! Toujours débordant d’idées, ce vicieux m’a « aidé » à faire ma valise. J’allais en effet avoir — m’avait-il expliqué — des devoirs de vacances à effectuer. Il n’était pas question selon lui que mon cul soit abandonné durant tout ce temps et que ma chatte soit fourrée une fois ou deux par mon mari (en réalité, je ne comptais pas sur Guy: son fils n’étant pas là pour lui « préparer » le passage, il était hors de question qu’il me touche! « J’arriverais bien à trouver une excuse pour me défiler» pensais-je).
Voilà quels étaient mes devoirs de vacances de putain (presque) confirmée: celle du jour du départ comprise, je n’ai eu le droit de n’emmener que 15 petites culottes, toutes de couleur de surcroît (ceci dit, à quelques exceptions près, Rémy les avait toutes choisies noires…). Rémy a exigé qu’à mon retour chacune d’elles soit maculée de sperme. Je devais promettre que ce ne serait pas celui de mon mari, ceci pour que ce ne soit pas trop facile et qu’il me faille aguicher les hommes comme une salope (ça, c’était pas trop dur : même si je le lui avais permis, ce pauvre Guy était bien incapable de me baiser une fois par jour !). Toute émoustillée, j’ai promis. Rémy a aussi précisé que plus mes culottes seraient souillées, plus je serais récompensée. Sachant que ma récompense serait très certainement du foutre à avaler, je n’en ai été que plus motivée !
Néanmoins, ce petit jeu présentait un certain nombre de difficultés qu’il me faudrait surmonter. Premièrement, comment allais-je bien pouvoir faire pour fausser compagnie à mon mari tous les jours afin d’aller salir mes culottes ? Deuxièmement, qui allais-je bien pouvoir trouver pour m’arroser tous les jours le conduit vaginal ? Et enfin, comment faire pour que mon mari ne remarque pas l’état de mes culottes ? J’ai pensé que je verrais tout ça sur place. N’empêche ! Je n’avais pas intérêt à chômer, car le jeu commençait le jour du départ; si je ne trouvais pas le moyen de me faire sauter avant ce soir, je prendrais déjà du retard sur le programme, ce qui m’obligerait par la suite à changer de culotte dans la même journée et à me faire sauter une seconde fois, avec tous les problèmes logistiques que cela pouvait entraîner. Heureusement, pour le premier jour, Rémy m’a très gentiment aidée. Juste avant de partir pour l’aéroport, il a saisi une occasion pour me chuchoter :
-« Quand tu monteras dans la voiture, fais semblant d’avoir oublié un truc et reviens le chercher… »
J’ai attendu que Guy démarre la voiture, je suis montée puis j’ai prétexté que j’avais envie d’aller aux toilettes.
-« T’aurais pu y penser avant ! On va finir par manquer l’avion… » a grommelé Guy.
Aussitôt la porte d’entrée franchie, Rémy m’a attrapé et il m’a appuyé sur les épaules pour que je me mette à quatre pattes. Toujours sans dire un mot, il a relevé ma robe légère sur mes reins, il a baissé ma culotte à mi-cuisses et a enfoncé sa queue dans mon vagin bien éduqué, puisqu’il s’humidifiait dès que j’étais dans la posture d’une chienne ! Rémy s’est activé dans ma chatte à une vitesse folle pendant une minute ou deux et au moment de jouir, il a juté à l’intérieur de ma petite culotte de dentelle mauve. Tout s’est passé si vite que je n’ai pas eu le temps de prendre mon plaisir, mais j’ai eu au moins la satisfaction de sentir la semence de Rémy contre ma chatte poilue pendant une bonne partie du voyage, ce qui m’a furieusement excitée ! Avant de remettre ma robe en place, j’ai fixé mon amant dans les yeux et je me suis caressée la vulve au travers de ma culotte pour bien étaler le sperme contre ma toison.
-« Foutue salope ! » m’a dit Rémy en m’embrassant légèrement (pour ne pas défaire mon maquillage) « Amuse-toi bien ! »
La chatte baignant dans le sperme de son fils, je suis remontée dans la voiture, j’ai souri à Guy qui avait si aimablement patienté pendant que sa petite femme se faisait baiser et nous sommes partis. Le petit souvenir de Rémy que je gardais entre les cuisses m’a mis du baume au cœur et je me suis montrée très enjouée durant tout le trajet. Quand Guy m’a dit qu’il était content de voir à quel point le fait de passer 15 jours ensemble me mettait de bonne humeur, j’ai eu toutes les peines du monde pour ne pas éclater de rire !
J’étais d’ailleurs tellement ravie de passer du temps avec mon cher époux que ma première préoccupation lors de notre arrivée à l’hôtel à été de me retrouver seule pour entamer mes devoirs de vacances. L’occasion m’a été offerte sur un plateau par mon mari en personne !
Très impatient, Guy a voulu sortir sans attendre pour profiter du soir qui tombait. Je lui ai répliqué que je préférais d’abord défaire mes valises et prendre une douche pour me détendre, mais qu’il pouvait y aller sans moi. Guy n’a pas insisté et je suis montée dans notre chambre. Cinq minutes après, on a frappé à la porte: c’était un jeune homme du service d’étage qui apportait les valises. Quand je dis jeune, je devrai plutôt dire mineur, ou majeur depuis pas très longtemps… Quoi qu’il en soit, il était mignon et avait une belle carrure de sportif, et j’ai tout de suite pensé qu’il ferait merveille entre mes cuisses. Nous avions emporté quatre valises plus un sac de voyage, il en avait monté deux et il lui restait donc au moins un voyage à effectuer. Par chance, il avait d’abord amené mes valises. Je les ai ouvertes précipitamment sur le lit en prenant soin de bien mettre ma lingerie en évidence. Quand le garçon d’étage a de nouveau frappé à la porte, je lui ai dit d’entrer. Dans une pose très étudiée (penchée au-dessus du lit et la croupe bien cambrée), je farfouillais dans mes sous-vêtements avec une concentration feinte au moment où il a posé le reste des bagages à côté de moi. Bien résolue à me faire enfiler par ce jeune mâle, j’ai respiré un grand coup avant de lui demander :
-« Impossible de mettre la main sur ma petite culotte mauve ! Voudriez-vous m’aider à la chercher, je vous prie ? »
Il aurait été bien en peine de la trouver sur le lit, puisqu’elle était actuellement entre mes jambes ! Il a approché sa main tremblante de mes dessous et les a vaguement manipulés du bout des doigts en roulant des yeux. Dans le même temps, je jetais des regards appuyés et gourmands sur la bosse qui déformait la toile de son pantalon et je me penchais pour qu’il puisse se rincer l’œil dans mon décolleté. Pourtant, toujours rien ne se passait. Je me suis assise sur le bord du lit et je lui ai demandé :
-« vous ne la trouvez pas ?
- non, madame.
- peut-être que vous ne cherchez pas au bon endroit » ai-je répondu en écartant doucement mes cuisses.
Je pensais que j’y allais un peu fort : s’il n’avait pas compris à quelle garce il avait affaire après ça ! Eh bien à ma grande déception, non ! Je me suis finalement mise à quatre pattes (en prenant soin de bien écarter mes cuisses !) pour faire mine de chercher sous le lit. Je suis restée un peu dans cette position, mais mon jeune étalon est demeuré incorrigiblement immobile. « Quel empoté ! », pensais-je, agacée. Que fallait-il donc que je fasse pour qu’il se décide à venir me coller sa bite au fond de la chatte ? En désespoir de cause, j’y suis allée franco. Au lieu de me remettre debout, je suis restée à genoux devant lui, le visage à hauteur de sa braguette et j’ai sorti le membre doucement. Je constatais à cette occasion que j’avais fait mon effet. C’est un beau braquemart bien bandé et prêt à cracher sa liqueur que j’ai extrait de sa prison de tissu ! Je l’ai manié un peu avec admiration, puis, afin de lever toute incertitude sur mes intentions, je l’ai enfourné dans ma bouche. Mal m’en a pris, car je n’avais pas encore totalement refermé mes lèvres autour de la tige que le jeune homme a gémi comme une fille et m’a expédié sa purée au fond de la gorge ! Ce n’était pas du tout là où je voulais en venir, même si une bonne rasade de foutre, c’est toujours bon à prendre ! J’ai siroté son sperme tout en réfléchissant à la suite: mon expérience m’a tout de suite indiqué que le plus sûr était de le laisser rebander bien au chaud dans ma bouche de pute. Les mains bien cramponnées à ses fesses, j’ai tété gloutonnement la bite qui n’a fait que ramollir un peu avant de redurcir de plus belle. J’ai stoppé mes succions dès que la bite m’a semblé à bonne taille, je me suis allongée sur le lit et je lui présenté ma fente en écartant les cuisses et en tirant sur la culotte que je lui avais, en vain, enjoint de retrouver. Tout ça m’a quand même demandé un gros effort, parce que d’habitude une queue, si on ne me l’enlève pas de la bouche, je la suce jusqu’au bout ! Mais il me fallait modérer ma voracité si je voulais obéir à Rémy: je n’étais pas là pour me goinfrer de foutre, mais pour en prendre plein la chatte et le cul !
Très excitée, ma proie s’est avérée beaucoup plus entreprenante. Le jeune homme s’est avancé entre mes cuisses, j’ai pris sa queue que j’ai dirigée vers l’entrée de mon vagin, puis j’ai donné un coup de rein et je me la suis enfoncée jusqu’à la garde ! Huummm ! Que c’est doux de sentir ce bâton chaud palpiter dans son ventre ! Le petit salaud me remplissait bien l’orifice reproducteur et j’avais hâte qu’il le garnisse de sa crème ! Par des mouvements de bassin, je l’ai encouragé à me défoncer la chatte, ce qu’il a fait pour mon plus grand bonheur en me pilonnant maladroitement, mais avec vigueur. Il a tenu plus longtemps que la première fois (heureusement !) mais mes contractions vaginales sont assez rapidement venues à bout de sa résistance. Au moment de jouir, il a plaqué son gland contre mon utérus qu’il a noyé sous un flot de semence. Je me suis moi aussi pâmée de jouissance en sentant les jets de sperme brûlant se déverser en moi.
J’ai soigneusement remis ma culotte en place pendant que mon baiseur, qui devait sans doute craindre que son absence finisse par se remarquer, se dépêchait de filer. Avant qu’il ne regagne son poste, j’ai pris mon porte-monnaie pour lui donner un pourboire qu’il a très galamment voulu refuser, mais j’ai insisté :
-« Si, prends-le, comme ça tu me rendras un petit service, ok ?
- Oui, je veux bien… Lequel ?
- Si tu as des collègues que ça intéresse de venir tirer à boulets rouges dans mon buisson, dis-leur qu’ils sont les bienvenus. Et toi aussi, n’hésite pas à revenir me voir… »
Sur ce, j’ai fermé la porte en me demandant comment allait se dérouler la suite des évènements. Pour l’heure, j’ai veillé à rester debout le temps que le foutre contenu dans mon vagin tapisse le fond de ma culotte, puis je suis allée me faire couler un bain dans lequel j’ai traînassé une grosse demi-heure. En me rhabillant, j’ai jugé que je pouvais changer de culotte: l’ancienne était entièrement maculée de blanc. Je me suis réjouie de savoir que celle-ci au moins ferait bonne figure devant Rémy !
J’ai passé le reste de la soirée avec Guy sans que rien d’autre de particulier ne se produise. Dès le lendemain en revanche, en allant prendre mon petit déjeuner vers 10 heures (mon mari était déjà debout depuis longtemps), j’ai croisé mon jeune baiseur de la veille. Je lui ai fait un grand sourire et il s’est approché discrètement de moi. A voix basse, il m’a dit :
-« Si votre proposition d’hier tient toujours, vous n’avez qu’à aller au premier sous-sol, dans la salle marquée réserve n°1 aujourd’hui vers 13h… »
Il avait fait vite, le petit salaud ! Heureusement d’ailleurs: d’une part, je ne pouvais pas trop me permettre de prendre de retard dans mon planning; d’autre part, ma chatte criait famine depuis le début de la journée, des picotements parcouraient mes petites lèvres et je devais régulièrement, pour les calmer, me rendre régulièrement aux toilettes afin m’introduire un doigt ou deux dans mon vagin mielleux. Mais je savais que seule une bite pourrait me soulager…
Premier objectif, parvenir à me débarrasser de mon encombrant mari ! Pour cela, j’ai prétendu que la chaleur me coupait l’appétit et que je préférais aller à la piscine ombragée de l’hôtel (le genre d’activité qu’il déteste !). Néanmoins, pensant me faire plaisir, il m’a dit qu’il m’y retrouverait après le déjeuner, ce qui me laissait quand même une bonne marge. Sans perdre de temps, je me suis mise en quête de l’endroit où l’on m’avait donné rendez-vous. J’ai trouvé facilement et je suis arrivée avec un bon quart d’heure d’avance dans cette pièce qui servait à stocker des denrées non périssables, type conserves. Je me sentais godiche, plantée au milieu des cartons et j’ai décidé de recevoir dignement mes baiseurs, c’est-à-dire comme une pute ! J’ai pris deux gros sacs de riz que j’ai disposé au milieu de la pièce, assez loin l’un de l’autre. J’ai ôté ma culotte, puis j’ai mis mes genoux sur chacun des sacs. Ensuite, j’ai posé mes avant-bras sur le sol après avoir retroussé ma robe sur mes reins. Dans cette position, j’avais le cul et la chatte bien écartés qui faisaient face à la porte et j’ai attendu qu’on vienne m’enfiler. Pas longtemps d’ailleurs : deux hommes sont entrés. En me voyant dans cette pose, l’un d’eux a lâché :
-« Whaou !
- alors, t’as vu que je ne t’ai pas raconté de conneries ! »
Le type, probablement trop abasourdi par le spectacle que j’offrais, n’a rien répondu à celui que je devinais être mon jeune étalon de la veille. Les deux hommes se sont approchés de moi et aussitôt, j’ai senti plusieurs doigts fouiller ma vulve, et très vite aussi, mon cul. Se faire tripoter sans voir le visage du type, ça m’a fait littéralement dégouliner de la chatte ! Ses doigts jouaient avec mon intimité et en vraie salope, j’ai tortillé du cul pour montrer à quel point cela me plaisait.
-« Elle est déchaînée, cette femelle ! » a commenté l’autre. « prends des notes, Abou, je vais te montrer comment on baise une pute en chaleur ! »
Le temps qu’il se déshabille et sa queue s’est enfoncée dans ma grotte humide pour me la bourrer. Sa queue me remplissait bien, elle touchait toutes les parois de mon vagin et son gland appuyait sur l’entrée de mon utérus. J’étais aux anges !
-« Tiens pétasse ! Prends ma queue ! C’est ça que tu voulais, hein, une bite dans la chatte ?
- Oui, vas-y ! Mets m’en plein la conasse ! Défonce-moi avec ta grosse queue ! Ooooh… Salaud… ce qu’elle fait du bien à ma petite chatte, ta queue… continue… c’est bon… tu vas bien me gicler dedans, hein, tu promets ?
- Ce que tu es bavarde ! Abou, bâillonne-là avec ta bite pendant que je lui éclate la chatte ! »
Abou a obéi à celui qui semblait être l’un de ses supérieurs hiérarchiques et je me suis comme la veille retrouvée avec sa bite dans la bouche, sauf que cette fois il a été plus long à éjaculer. Pendant que je le tétais comme une pute en manque de sperme, l’autre me pistonnait le vagin à grands coups de butoirs et je sentais ses couilles claquer contre ma vulve. Ma chatte me brûlait et je sentais la jouissance poindre au creux de mon ventre. Mon baiseur s’est soudain arrêté net et quelques instants après j’ai senti son sperme se déverser abondamment en moi. Comme à chaque fois qu’on me remplit, j’ai joui intensément tout en m’activant sur la queue que je pompais. Le résultat prévisible ne s’est pas fait attendre et le jeune Abou a arrosé mon gosier avec son foutre crémeux en geignant de bonheur. Voyant que j’avais tout avalé, l’autre s’est exclamé :
-« Quelle sacrée putain ! T’es pas une novice toi ! Si c’est de la bite que tu veux, je vais t’en procurer, t’inquiète pas ! En attendant, suce-moi ! »
Sa queue était restée dure. J’ai vraiment été flattée de voir que je lui faisais autant d’effets, à moins que cette érection persistante ne fût provoquée par l’abstinence: vu la dose de foutre qu’il m’avait mis dans la chatte, il est en effet probable qu’il ne s’était pas vidé les couilles depuis plusieurs jours. Quoi qu’il en soit, j’étais heureuse de lui servir de bassine ! J’ai englouti sa belle pine noire dans ma bouche et j’ai commencé à la sucer avec délice: sa queue avait le goût de ma chatte et de son sperme poivré qui m’a tout de suite plu: j’avais hâte qu’il m’en expédie une bonne rasade dans la gorge. Et puis il ne fallait pas que je traîne de trop: mon mari allait bientôt me rejoindre à la piscine où j’étais censée être. Du coup, j’ai déployé tous mes talents de suceuse pour le faire gicler au plus vite. J’ai tété amoureusement son gland, j’ai léché et gobé sans retenue ses couilles velues qui sentaient le mâle tout en le branlant, et au bout de 5 minutes il a joui dans ma bouche grande ouverte. Quand il a eu fini de se vider, j’ai tout avalé en claquant la langue contre mon palais afin de montrer que j’appréciais, ce qui ne lui a pas échappé.
-« Ca se voit que tu aimes le sperme, sale garce ! »
J’ai sauté sur l’occasion :
-« C’est vrai que j’adore avaler du sperme ! Je suis tellement salope que j’accepte de traire toutes les queues… Mais j’aime aussi avoir mes deux autres trous bien remplis… » expliquais-je, faussement naïve et déjà excitée de sa réponse.
-« Tu pouvais pas mieux tomber, chérie ! Je suis le responsable du personnel de cet établissement, et tu peux compter sur moi pour dire à mes gars de ne pas hésiter à venir te remplir la gueule à ras-bord ! Gourmande comme tu es, je suis sûr que ça va te plaire… »
J’ai approuvé d’un hochement de tête et d’un sourire. En vitesse, j’ai essuyé mes cuisses toutes glaireuses avec ma culotte que j’ai ensuite enfilée, puis je me suis dépêchée de retourner à la piscine.
Je suis rapidement devenue la pute de tout le personnel masculin de l’hôtel, mais le responsable ayant surtout vanté la qualité de mes pipes et mon penchant pour le sperme, ils venaient surtout pour se faire sucer, ce qui me faisait mouiller comme une folle mais qui n’arrangeait pas mes affaires… A ce rythme, il allait falloir que j’en fasse, des pipes, pour parvenir à l’objectif qui m’avait été fixé… Et de fait, j’en ai vidé des paires de couilles au cours de ce séjour ! Ce sont des milliards et des milliards de petits togolais potentiels qui ont fini dans mon estomac !
En échange de mes faveurs, le responsable du personnel — Kofi de son prénom — était aux petits soins pour mon mari: il ne cessait de lui présenter à des tarifs préférentiels tout un tas d’activités prévues par l’hôtel. Mon mari, qui se sentait privilégié (le pauvre !), acceptait sans rechigner tout ce qu’on lui proposait. Bien sûr, Kofi privilégiait les excursions. Pour ma part, je les déclinais toujours sans difficulté car Guy se sentait plus libre de ses mouvements sans moi (les visites, moi, ça me fatigue et ça me rend très vite insupportable…) A chaque fois, il me demandait si cela ne me dérangeait pas qu’il y aille sans moi. Je lui répondais que non, pas du tout, ce sur quoi il m’embrassait en me disant que j’étais gentille ou qu’il m’aimait. Ainsi, pendant qu’il était en vadrouille, je disposais de longues heures que je passais dans notre chambre à me faire baiser par tous les trous (mes amants togolais n’avaient en effet pas été longs à comprendre que c’était me faire plaisir que de me mettre une bite bien au fond de mon cul, et à cet égard, ils se sont montrés adorable avec moi !).
Ces jours d’excursion, je servais tout bonnement de reposoir pour les pauses des employés. Au fur et à mesure de la journée, je voyais défiler dans ma chambre (et dans mes orifices) les membres masculins des différents services de l’hôtel. Vers midi, c’était les garçons d’étage qui prenaient leur pause. Ils débarquaient à une dizaine dans ma chambre, rigolards, tandis que je les recevais à poil, à quatre pattes sur le lit, les cuisses bien écartées. Durant 1h30 très précisément, ils me baisaient sans relâche. Je jouissais comme une folle en suçant toutes les queues qu’on me présentait et en savourant les bordées de sperme dont ils me gratifiaient. Souvent, ils étaient trop nombreux pour que tous aient le temps de me juter à l’intérieur. Du coup, certains se branlaient et me giclaient sur le visage, le ventre, les seins ou les fesses, faute d’avoir pu trouver un orifice vacant. Au final, Ces 1h30 suffisaient largement à me donner l’allure d’une serpillière à foutre !
Je disposais ensuite d’un quart d’heure pour me dégourdir et recueillir la semence mâle dans une de mes culottes, puis les cuistots arrivaient. Ils étaient un peu moins nombreux (5 ou 6) mais ils étaient rejoints vers 14 heures par les serveurs, ce qui me faisait une bonne demi-douzaine de paires de couilles supplémentaires à essorer. Le challenge pour moi était donc de parvenir à calmer les verges gonflées des cuistots avant que leurs collègues ne débauchent, sans quoi ça devenait ingérable. Les serveurs avaient eux aussi très envie de se détendre après leur service et parfois des disputes éclataient, les serveurs prétextant que c’était « à leur tour de profiter de la pute » et qu’ils n’avaient qu’à « se dépêcher de me m’éjaculer dedans ». Tout ça se faisait naturellement sans me demander mon avis. D’ailleurs, les cuistots parlementaient avec les serveurs sans quitter mes trous pour ne pas se faire voler leur place. Ils me traitaient vraiment à la manière d’une poupée gonflable, ce qui m’excitait à mort et me poussait à être encore plus chienne avec eux. Rapidement, les négociations prenaient fin et tous me passaient joyeusement dessus durant le reste de l’après-midi, puisqu’ils ne reprenaient le travail que vers 18 heures.
Heureusement que les excursions n’étaient pas tous les jours, sans quoi je n’aurais pas tenu, d’autant plus que le matin, avant la pause des garçons d’étage, je tenais mes trous à la disposition de Kofi et de ses copains qui se chargeaient charitablement de m’ouvrir et de me lubrifier le cul avec leur sperme afin que je sois prête pour la suite. De surcroît, certains clients avaient repéré mon manège et s’étaient débrouillés pour avoir leur part du gâteau. Notamment un papy d’environ 70 ans qui arrivait vers 15h30 (heure à laquelle sa femme faisait sans doute la sieste…) dans la chambre tandis que l’orgie battait son plein. Charitablement, mes baiseurs lui faisait toujours une place, et c’est ainsi qu’il a pu goûter à tous mes orifices. Bref, je terminais ces journées amidonnées de foutre et totalement crevée. J’aurais voulu m’endormir comme ça au milieu de cette odeur de sperme qui m’enivrait, cependant je me devais d’être présentable pour mon tendre époux…
Avec ces horaires, je ne mangeais rien d’autre que du jus de couilles de toute la journée, mais ils m’en donnaient suffisamment pour me rassasier ! Et en dépit de tout ce que j’avalais, il en restait tellement sur mon corps et dans mes deux autres trous que mes dessous étaient de vrais torchons à sperme. Je souriais chaque fois que je constatai dans quel état abominable se retrouvaient mes petites culottes après ces journées : Rémy serait sans doute content de voir que j’étais obéissante et que sa pute ne rechignait pas à se faire fourrer par le premier venu… En vérité, je trichais, puisque je ne me faisais pas baiser tous les jours (en revanche, que mon mari soit présent ou non, il y en avait toujours quelques téméraires qui parvenaient par divers stratagèmes à m’isoler dans un coin pour se faire sucer. Cette espèce de mini-concours me faisait mouiller comme une folle et je suçais les audacieux concurrents avec vice) mais je récoltais les autres jours suffisamment de sperme pour compenser largement mes retards de planning… Lorsque j’ai avoué la supercherie à Rémy, cela m’a valu une punition mémorable que je vous raconterai certainement.
Quand mon mari rentrait, les amusements étaient en théorie terminés. En théorie seulement, car pendant que nous dînions mon mari et moi, je mouillais ma culotte en le voyant parler calmement à des hommes qui dans l’après midi avaient rempli la chatte, le cul et la bouche de son épouse… Tous les hommes se montraient au demeurant très convenables avec la putain que j’étais, mais je sentais une lueur d’amusement dans leur regard dès qu’ils s’adressaient au type dont tout l’hôtel savait qu’il était archi-cocu.
Et puis est arrivé le dernier soir de nos vacances, au cours duquel ma relation avec Guy a définitivement basculé.
FIN (malheureusement, à ma connaissance, l'auteur n'a jamais écrit de suite)