lundi 29 juin 2020

Les Infortunes de l'infirmière Ch. 03

Les Infortunes de L'infirmière - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Notre infirmière découvre le gouinage.

Cynthia gisait sur la table d'examen, jambes grandes ouvertes, chevilles rivées aux étriers. Son cul était suspendu quelques centimètres au dessus du matelas, tout son poids reposait sur ses épaules et son dos. Elle commençait à avoir des crampes dans ses bras liés au dessus de sa tête. Elle sentait le foutre qui avait séché sur son visage et sur ses cuisses au sortir de sa chatte. Elle avait cessé d'appeler inutilement à l'aide.

Cela faisait maintenant deux heures que ses deux derniers visiteurs l'avaient quittée. Elle s'était débattue pour se libérer de ses liens, mais en vain. Elle s'était retenue longtemps mais elle n'en pouvait plus, elle entendait sa pisse tomber au sol, elle savait déjà à quel point elle se sentirait humiliée lorsqu'on la découvrirait.

Elle entendit au loin le son d'un aspirateur, Cynthia réalisa que le groupe chargé du nettoyage du bâtiment était arrivé en avance. Elle savait que normalement ils n'entraient pas dans le bureau du docteur, mais elle comprit au son que la porte du bureau devait être grande ouverte. Ils viendraient sûrement nettoyer les moquettes et vider les poubelles s'ils voyaient la porte grande ouverte.

Cynthia voulait crier, mais elle pensa au dernier instant que sa voix serait couverte par le bruit des shampouineuses, aussi attendit-elle que l'équipe de nettoyage s'approche du cabinet.

Brandi parcourait le couloir vidant les poubelles alors que sa partenaire briquait les sols. Ce n'était pas le boulot habituel de cette jeune femme de 22 ans. Brandi était venue aider sa mère qui dirigeait l'équipe de nettoyage. Avec ses cheveux courts et son corps ferme et bien formé elle n'avait vraiment le physique d'une concierge. Mais elle était venue aider son amie Martina pour qu'elle finisse plus tôt son boulot, elle serait ensuite libre d'aller flâner au concert.

Martina était une jeune femme de 26 ans d'origine hispanique. Elle portait ses courts cheveux bruns tirés en arrière. Elle avait un corps magnifique, une petite poitrine et portait habituellement des jeans bien larges et des chemisiers de flanelle.

La mère de Brandi savait que Martina était lesbienne mais elle ignorait que sa fille et sa collègue s'aimaient tendrement.

Brandi vit que la porte du cabinet du docteur James était ouverte en grand, cela lui parut très surprenant qu'il y ait quelqu'un dans le bureau en ce jour de congé. Elle jeta un coup d'œil dans le bureau et ne vit personne. Légèrement embarrassée elle s'y reprit à deux fois avant d'entrer dans le cabinet.

Elle laissa la shampouineuse dans le couloir pour couvrir le bruit de ses pas au cas où il se trouverait quelqu'un dans le bureau. Elle entra et jeta un œil dans bureau d'accueil et vit le sac d'une infirmière grand ouvert posé sur le bureau. Brandi craignait qu'il ne s'agisse d'un cambriolage et s'apprêtait à sortir lorsqu'il lui sembla entendre du bruit provenant d'une pièce au fond du vestibule.

Ignorant sa première impression qui la poussait à se sauver elle se glissa silencieusement vers cette pièce. Jetant un œil dans la petite salle, Brandi n'en crut pas ses yeux. Une infirmière était ligotée sur la table d'examen les chevilles rivées aux étriers, sa chatte était tournée vers la porte.

Réalisant que l'infirmière n'avait pas pu la voir, elle retourna dans le hall d'accueil et sortit du cabinet du docteur James, elle saisit la shampouineuse et se rua à la rencontre de Martina.

Remorquant Martina elle revint au cabinet du docteur James, Martina jeta à son tour un œil dans la petite salle d'examen et vint rejoindre Brandi à la porte du bureau.

- C'est cette salope d'infirmière qui m'a incendiée un jour où j'avais garé ma voiture trop près de la sienne ! L'informa Martina rêveuse.

- C'est une foutue snob ! Elle pense qu'elle vaut beaucoup mieux que n'importe qui dans ce bureau ! Je me demande bien comment elle a pu se foutre dans une telle situation ! Réfléchissait Brandi à voix haute.

- Qu'est ce que ça peut nous foutre ? Pour ce que ça nous rapporte ! Rétorqua Martina amèrement.

Elles étaient sur le point de quitter les lieux lorsque Martina afficha un large sourire.

- Ce serait honteux de laisser une si jolie petite chatte se morfondre toute seule !

- Que veux-tu dire ? Répliqua Brandi légèrement inquiète.

- Pourquoi ne retournerions pas dans la salle d'examen pour nous amuser avec la chatoune de cette petite salope ?

- Penses-tu qu'on le puisse .... Ne risquons nous pas de graves ennuis ?

- A voir sa posture elle serait la première à avoir des ennuis si quelqu'un la trouvait ainsi, comment justifierait-elle de sa position ?

- Par l'enfer il va bien falloir qu'elle nous raconte comment elle s'est fourrée dans une telle situation !

Cynthia entendit quelqu'un marcher dans le couloir. Tout d'abord elle eut peur que ce soit l'un de ses agresseurs qui soit revenu. Lorsqu'elle vit Martina et la jeune brunette entrer dans la salle elle se sentit à la fois soulagée et honteuse. Elle supposait depuis un bon moment que Martina était une gouine et elle sentait les yeux de la femme de ménage explorer sa foufoune entièrement livrée à sa convoitise.

- Dieu soit loué... S'il vous plait détachez moi. Les pria Cynthia.

- Nous ne te détacherons après s'être un peu amusé avec toi ! Lui rétorqua Martina hilare.

- Que... Quoi ? Balbutia Cynthia effondrée.

Puis elle sentit Martina sonder du doigt sa chatte engorgée.

- Arrêtez saleté de gouine ! Hurla Cynthia au premier doigt fourré dans sa cramouille.

Brandi fit le tour de la table d'examen et se posta de l'autre coté, elle entreprit de lui peloter les nibards avant de se pencher pour les mordiller et les sucer.

- Oh mon Dieu Nonnnn... Ne me faite pas ça ! Larmoyait Cynthia éperdue de honte.

- Mais tu n'es qu'une petite salope ! Cracha Martina

- C'est bien toi qui as pissé sur le sol n'est-ce pas ? On va être obligée de te nettoyer la chatte avant tout autre chose !

Martina sortit de la salle d'examen et revint quelques minutes plus tard une carafe munie d'un pulvérisateur en main, elle pulvérisa son contenu sur la foufoune de Cynthia en riant. L'infirmière entravée frémit au contact de l'eau fraîche sur ses appâts intimes. Mais ce n'était rien en comparaison des sensations qu'elle endura lorsque la femme de ménage enfouit son visage entre ses cuisses et entreprit de lui brouter le gazon.

Cynthia hurlait son désespoir alors que, pour la première fois de sa vie une femme lui léchait la chatte. Pire encore, pendant ce temps, l'autre fille lui mâchouillait les tétons. Cette expérience la révulsait. Au moins au cours des viols précédent c'était des hommes qui l'avaient possédée.

Et voila qu'elle se faisait a violenter par deux femmes. Et le pire, c'est que petit à petit son corps répondait à leurs assauts. Sous la langue de Cynthia elle sentait monter un nouvel orgasme ravageur. Et, juste au moment où elle allait jouir, la femme arrêta ses caresses et dit à sa comparse d'en faire autant.

Martina quitta à nouveau la salle et revint une paire de minutes plus tard avec quelque chose en main. Mais Cynthia ne parvenait pas à voir ce dont il s'agissait. Elle tendit l'engin à Brandi et lui intima :

- Quand je te dirai de l'utiliser tu sais quoi faire !

Puis elle revint mâchouiller la cramouille de Cynthia éperdue. Alors qu'un nouvel orgasme risquait de la terrasser, Cynthia luttait de toutes ses forces pour le repousser se refusant à jouir des caresses d'un autre femme. Mais elle savait bien que c'était une cause perdue d'avance. Son corps se réjouissait trop de ses caresses intempestives pour qu'elle puisse résister bien longtemps. Elle se mit à gémir traduisant les inavouables délices que lui procurait la langue habile. Quelques secondes avant qu'elle n'exulte, Martina recula sa tête et cria :

- Maintenant !

Cynthia hurla de douleur alors qu'une pince serrée se refermait sur son téton droit. Elle jeta un œil vers le bas et vit une que Brandi avait refermé une puissante pince à papier sur son mamelon qui virait au pourpre.

- Je vous en prie enlevez moi ça ! Les supplia-t-elle d'une voix chevrotante.

Puis Martina se remit à la lécher. La douleur émanant de son nibard se heurtait au plaisir irradiant sa foufoune. Puis petit à petit son téton s'engourdit alors que le plaisir grandissait dans sa foufounette. Soudain elle arrêta de nouveau, Cynthia hurla à nouveau alors que Brandi refermait une autre pince sur son téton gauche. Cynthia se débattait de toute son énergie dans les liens qui l'entravaient. Elle lutta encore plus farouchement lorsque Martina se releva et saisit les deux pinces, étirant ses mamelons torturés.

- Je vous en prie, arrêtez ! Pleurnichait Cynthia affolée par la douleur.

Mais Martina se remit à lui brouter le gazon. Son téton gauche s'engourdissait à son tour, alors qu'une fois encore sa chatoune s'affolait sous les caresse labiales de l'habile gouine. Elle tendit le ventre en avant réclamant de nouvelles caresses, elle haletait alors que son excitation grandissait, cela lui importait peu maintenant que ce soit les mains ou même les lèvres d'une femme qui la travaillaient, elle ne se souciait plus que son envie de jouir. Mais son envie de jouir se mut en de terribles cris de douleur alors que quelque chose d'infernal lui mordait atrocement son clito dardé, elle hurla réalisant qu'une troisième pince se refermait sans pitié sur son petit haricot. Elle avait pensé que la douleur émanant de ses tétons était terrible mais ce n'était rien comparé à cette effroyable torture lancinante.

- Feras-tu tout ce qu'on te demandera si j'enlève ces pinces ? LLui demanda suavement Martina.

- Ou... Oui... Balbutia Cynthia folle de douleur.

- Alors bouffe la chatte de mon amie ! lui ordonna une Martina impitoyable.

Brandi avait déjà enlevé ses habits et grimpait sur la table d'examen se postant au dessus du visage de Cynthia. Celle-ci jeta un œil affolé sur la chatte rasée à quelques centimètres de son visage.

- Je... Je n'ai jamais...

Sa protestation mourut dans un cri déchirant alors que Martina empoignait la pince martyrisant son clito pour l'étirer sauvagement. Vaincue elle tendit la tête pour enfouir son visage dans l'entrecuisse de son assaillante et entreprit de lui lécher la fente. Brandi chaloupa des hanches se plaçant en bonne position pour que l'infortunée infirmière puisse lui bouffer correctement la chatte. Elle était déjà trempée, elle se mit tout de suite en action. 

Cynthia cherchait à faire abstraction de la douleur émanant de soin entrecuisse alors qu'elle broutait servilement la fentine de cette sale gouine. De toute sa vie, elle n'avait jamais été tentée d'avoir des rapports sexuels avec une autre femme. Et voilà qu'en cet instant elle mâchouillait la chatoune d'une inconnue, faisant de son mieux pour combler ces deux tourmenteuses.

Alors qu'elle suçait sa partenaire elle sentit qu'on lui sondait la cramouille, elle pensa tout d'abord qu'il s'agissait des doigts de Martina, mais elle réalisa très vite que c'était quelque chose de bien plus gros. Elle se demandait bien ce que cette salope cherchait à introduire dans sa moule.

Sa cramouille était de plus en plus distendue à la limite de la rupture, elle voulut crier mais ses plaintes de perdaient dans la chatoune qu'elle broutait consciencieusement. Brandi se tortillait sous les caresses enivrantes de la bouche inexpérimentée, elle gémissait d'extase emportée par un orgasme fulgurant.

Cynthia savait que la jeune femme jouissait sous les caresses de sa langue, elle sentait sa cyprine lui couler sur les joues alors qu'elle continuait à la lécher servilement. Finalement ayant joui par tous les pores de sa peau, Brandi se releva et la désenfourcha descendant de la table d'examen.

Cynthia jeta un œil vers le bas entre ses jambes, elle vit alors que Martina lui enfonçait de force une grosse bouteille en plastique dans la foufoune. Elle faisait bien 30 cm de long et 20 cm de diamètre, elle était déjà parvenue à l'emboîter de moitié dans sa chatte horriblement distendue.

- Tu aimes ? Lui demanda Martina se marrant comme une brute.

- Non... Bien sur que non... Enlevez moi ça ! Cracha Cynthia en retour.

- Voilà tout ce que tes protestations te rapporteront ! La railla Martina tirant de façon saccadée sur la pince provoquant une multitude d'élancements douloureux dans sa chatte et ses lombes.

- Regarde moi ça ! Intervint alors Brandi lui présentant un godemiché en plastique imitant parfaitement un pénis en pleine érection. Cynthia reconnut immédiatement le leurre, c'était l'un des modèles dont se servait monsieur James pour démontrer le fonctionnement d'une bite. Elle avait souvent plaisanté avec ses collègues prétendant qu'elles aimeraient toute trouver un homme aussi bien monté que ça.

- Amène le moi ! Intervint alors Martina.

 Elle saisit le gode et commença à le frotter entre les jambes de Cynthia. La plus jeune s'était accroupie et écarta ses cuisses en grand, le leurre pouvait maintenant glisser dans toute sa fentine. Lorsque Martina pensa qu'il était suffisamment lubrifié, elle le pointa tout contre l'étroit anus de Cynthia qui frémit de peur.

- Oh non... Je vous en prie... Pas ça... Pas dans mon anus ! Hurla Cynthia paniquée.

Martina éclata de rire alors qu'elle poussait le gode en avant, l'introduisant lentement dans l'œillet ridelé de la belle odalisque.

- Es tu prête maintenant ? Lui susurra-t-elle égrillarde à souhait.

Cynthia hocha la tête.

- Ce n'est pas assez ! Dit-elle retirant un peu l'épais leurre de son trou du cul.

- Supplie moi de te laisser brouter ma chatte !

Cynthia ne parvenait pas à croire ce à qu'on exigeait d'elle.

- S'il vous plait... Donnez moi votre chatte à lécher !

Martina grimpa sur la table d'examen et enfourcha le visage de Cynthia. Cette dernière pensa tout d'abord qu'elle risquait d'étouffer, mais trouva bien vite la bonne méthode pour respirer par le nez, elle se mit à brouter le second chaton qu'on proposait à sa convoitise. Tandis qu'elle broutait le gazon de Martina, Brandi prit place entre ses cuisses et se mit à la pistonner avec la bouteille en plastique un doigt fourré dans son anus, ce qui ne faisait qu'ajouter à la confusion de la malheureuse infirmière saoulée de caresses.

- Oh oui, bouffe moi la chatte petite salope ! S'écriait Martina pressant sa chatte contre le visage de Cynthia.

Elle savourait tous ces instants et était déterminée à se vider dans la bouche de la jeune infirmière.

- Oh oui ! Cria-t-elle soudain submergée par un orgasme fulgurant alors que Cynthia continuait à lui brouter le gazon..

Cynthia sentait la chatte de Martina battre contre son visage elle savait pertinemment qu'elle succombait à un orgasme d'une rare intensité, elle continuait de la lécher la faisant rebondir d'orgasme en orgasme. Puis finalement Martina s'écroula. Elle s'allongea de tout son long se débrouillant pour que sa chatte reste contre les lèvres de Cynthia, coinçant la tête de la petite infirmière entre ses jambes pour l'empêcher de tourner la tête. Elle regarda Cynthia droit dans les yeux avec un large sourire.

- C'était merveilleux ma petite Cynthia, tu as bien gagné ton dessert !

Cynthia sentit un liquide chaud sentant fort lui inonder la bouche, elle voulut fermer la bouche mais il était bien trop tard, Martina lui pissait dans la bouche.

- Avale ma chérie.... Lui intima Martina hilare.

Cynthia n'avait guère le choix en la matière, elle devait soit avaler soit étouffer, aussi ingurgita-t-elle péniblement l'urine de Martina. Une fois qu'elle se fut vidée la vessie Martina se releva.

- Et maintenant on va te donner bien du plaisir !

Elle saisit les pinces ornant ses tétons et les retira vivement. Cynthia pensait avoir souffert tout à l'heure, mais l'afflux de sang dans ses tétons engourdis lui octroya une douleur bien plus intense que les pinces elles mêmes. Puis les deux jeunes femme lui sucèrent tendrement ses mamelons meurtris.

Martina se dirigea alors vers son entrecuisses, elle commença par lui enlever la bouteille de plastique enfouie dans sa chatte, puis desserra la pince refermée sur son clito, Cynthia hurla à nouveau de douleur. Sa peine diminua rapidement sous les caresses de la langue de Martina qui fourrageait dans sa foufoune.

Cynthia roulait des yeux en sentant son corps répondre à ces assauts lubriques. Brandi lui suçait toujours les tétins alors que Martina s'occupait de sa féminité exacerbée. Cynthia haletait de plus en plus fort, sa jouissance était intense.

- Oh mon Dieu... Oh oui... Faites que je jouisse... Je vous en prie je veux jouir ! Hurlait-elle en plein délire.

Sa prière se réalisa soudainement, sa chatte explosa en extase alors qu'un dernier orgasme la faisait trembler de la tête aux pieds. Elle avait souvent joui cet après-midi, mais pas encore avec une telle intensité. Elle secouait la tête en tous sens hurlant sa joie alors que la jeune femme la tête entre ses cuisses continuait imperturbablement ses caresses.

A suivre...

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