dimanche 19 mai 2024

Les débauches de mon épouse - Ch. 05

 Texte de Cadan (2011).

*****

Ses premiers "clients".

C a eu beaucoup de mal à dormir. À chaque mouvement dans le lit, le plug se rappelait à son bon souvenir en lui vrillant le sphincter. Heureusement, son mari ne s’était rendu compte de rien. De plus, elle essayait de trouver un prétexte pour s’absenter le soir. "Comme si j’étais une femme infidèle", pensait-elle, alors qu’elle n’était que l’esclave sexuelle de son Maître. Que lui préparait-il ? 

La journée face aux élèves fut très longue. Elle sentait ses jambes flageolantes. Son cerveau se projetait sur la soirée, imaginant des scénarios, toujours plus fous pour cette jeune institutrice. À midi, elle téléphona à son mari pour le prévenir de ne pas l’attendre ce soir, prétextant un repas entre collègues pour un anniversaire. À sa grande surprise, il ne fit aucune remarque. Elle ne pouvait savoir qu’il avait bien compris ce qu’elle allait faire. Malgré son désespoir, il ne contacta pas le patron, ayant compris qu’il n’attendait que cela pour l’avilir encore plus. 

Dès la fin de la classe, C se précipita chez elle pour se préparer comme le souhaitait son Maître. Une douche rapide. Elle ceint le porte-jarretelles, fait glisser les bas résille le long de ses jambes. C’était le seul ordre explicite. Que mettre par-dessus ? Elle se décide pour le chemisier transparent, et la mini (ras la touffe). Elle termine par les talons aiguilles. En se regardant dans la glace, elle se rend compte qu’elle a oublié le maquillage : vite, fond de teint, rouge écarlate sur ses lèvres. Ça y est, elle est prête. Son manteau (les voisins !), et elle est partie. Arrivée devant le restaurant, C laisse le manteau dans la voiture et se dirige droit vers la cuisine. Quelques hommes attablés voient passer une pute.

- Ah Lola. C’est bien, tu es à l’heure. À poil ! Tu gardes juste tes bas, tes talons et ton collier. 

Elle se retrouve encore une fois nue devant son Maître. Elle prend soin de ne cacher ni son sexe ni ses seins. Cependant, ce n’est pas encore assez.

- Tu dois apprendre à te présenter, Lola. Tu dois écarter tes cuisses, pour montrer qu’on peut te baiser, et ouvrir la bouche pour montrer que tu es une bonne suceuse. De plus, tu mettras tes mains derrière la tête, pour redresser tes nichons. Pour être sûre que tu n’oublieras plus, tu vas avoir droit au fouet.

- Non, Maître, s’il vous plaît, je n’oublierai pas.

- Il me plaît de faire traiter ton cul de salope au fouet. Alors, ta gueule !

Il n’est plus question de rébellion pour C. Elle obéira. Elle se fera fouetter et elle sait qu’elle comptera les coups qui s’abattront sur ses globes charnus. En attendant.

- Viens me montrer ton cul, ma petite chienne.

C s’approche de son Maître, se retourne. Il lui appuie sur la nuque pour la faire se pencher. Ses mains se posent sur ses fesses, les écartent. Le plug queuté est bien visible. Elle ne bouge pas.

- Alors, comment tu te sens, enculée ?

- Ça me gêne, Maître.

- Il faut préparer tes fesses, Lola. Marie, viens vérifier. 

Marie tire violemment le plug. L’anus de C est encore ouvert. La cuisinière pose alors un doigt et l’enfonce d’un seul coup. C crie de surprise et de douleur. Marie tente un deuxième doigt, sans succès.

- C’est encore trop étroit, Monsieur.

- Bien, tu lui en prépareras un plus large. Pour l’instant, Lola, tes nichons sur mon bureau et tends tes fesses. La punition va commencer !

Lola se met en position et attend. Le premier coup s’abat sur ses deux fesses en même temps. Elle sursaute, mais compte « un ». La lanière du fouet cingle son cul. Parfois, elle entoure complètement, venant finir sa course au ras de son pubis. Au quinzième coup, elle n’en peut plus et sanglote convulsivement. Son derrière est strié de marques rouges, dont certaines laissent perler quelques gouttes de sang.

- Ça suffit, Marie. On va voir si cette pute a retenu sa leçon. À toi, Lola !

- J’écarterai mes cuisses pour montrer ma chatte à baiser. J’ouvrirai la bouche pour sucer. Je mettrai les mains derrière la tête pour redresser mes nichons.

- Bravo, Lola. Tu vois quand tu veux. Maintenant, en position !

C se redresse, cuisses bien écartées, bouche ouverte, mains derrière la tête. Ses fesses la brûlent outrageusement, mais elle ne bouge pas.

- Tes clients t’attendent, Lola. Comme ils ne peuvent pas t’enculer, je perds beaucoup d’argent. Il faudra vite être prête de ce côté. En attendant, sois gentille et donne-leur ce pour quoi ils vont payer !

Cette fois, ça y est. Elle va être baisée contre de l’argent. Elle va se prostituer. Elle se sent plonger dans l’abîme. La porte derrière elle s’ouvre. Une voix masculine :

- Eh bien Ali, tu n’avais pas menti. Elle est bonne, ta nouvelle recrue.

- Qu’est-ce que tu veux : sa bouche ou sa chatte ?

- Je baiserais bien sa chatte.

- C’est deux cents francs. Donne-lui l’argent ! 

C se rend compte que son Maître l’a fait volontairement pour la faire mieux rentrer sans sa nouvelle condition : pute ! Elle se tourne alors vers l’homme. Il a une quarantaine d’années et la regarde avidement. Il lui tend deux billets qu’immédiatement elle donne à Monsieur Ali et elle attend le désir de son client.

- Mets-toi à quatre pattes. Et tends tes fesses. 

Elle prend la position, le cul tourné vers son client, le regard vers son Maître. Les mains de l’homme se posent rudement sur ses globes, la faisant sursauter : elle sent encore les suites du fouet. Le sexe masculin, tendu, se glisse entre ses cuisses, vient se frotter sur ses lèvres vaginales. D’un seul coup, il s’enfonce dans son sexe, écartant sans ménagement les lèvres. Elle a le dard fiché profondément dans son vagin et elle essaie de s’habituer à cette pénétration qui n’est que bestiale : c’est un mâle qui saillit une femelle. L’homme recule lentement, jusqu’à amener son gland au bord du sexe féminin : c’est doux. Mais, nouvelle poussée violente. Tout son corps est projeté vers l’avant. Ses seins ballottent sous les coups de boutoir de l’homme qui violente son sexe.

- Écrase tes nichons sur le sol, pour bien lever ton cul. 

Évidemment, elle obéit. L’homme rugit de plaisir : 

- Qu’est-ce qu’elle est bonne, cette salope ! 

Il continue de la limer férocement. Le corps de C réagit et son sexe commence, mécaniquement, à mouiller. Cette réaction n’échappe pas à Ali, qui sourit. Il vient de gagner une fille qui pourra lui ramener gros. Enfin, le client déverse son sperme au fond du vagin de la fille et se retire lentement. Au moment où son sexe sort, il emmène avec lui une partie de la liqueur qui se met à couler le long des jambes de C, atteignant la lisière de ses bas. Une claque sur ses fesses et il quitte la pièce. C se relève. Ses seins sont couverts de poussière, son sexe déborde de sperme. Elle n’a pas le temps de s’essuyer qu’un second client entre. C’est un homme plus âgé, une soixantaine d’années.

- Tu la baises, ou tu te contentes d’une pipe.

- Je veux qu’elle me suce.

- Bien. C’est cent balles. 

Et le manège recommence. L’homme lui tend un billet qu’elle tend respectueusement à son Maître.

- À genoux, salope, et suce-moi bien. 

Lola, car c’est bien d’elle qu’il s’agit à ce moment, s’agenouille. Elle n’oublie pas de bien écarter les cuisses. Elle prend entre ses doigts le sexe, encore un peu mou, et l’approche de sa bouche. Il n’est pas très propre et sent l’urine. Pourtant, bien éduquée, elle glisse ses lèvres autour de la bite et commence à la sucer. Le sexe n’est pas très important et elle n’a pas trop de difficulté à se le mettre en bouche. Elle fait tourner sa langue autour du gland. Le client a l’air d’apprécier.

- Lèche-moi les couilles, putain. 

La langue de Lola se râpe un peu sur les poils des testicules. Elle ré embouche la queue. Elle la suce tout en la masturbant.

- Prends tout dans ta gueule, salope !

Le sperme s’écrase sur ses yeux, son nez, ses lèvres. Il coule dans le cou. Elle n’a pas le temps de s’essuyer. Un troisième client est entré. Il descend son pantalon et son slip et en sort un sexe déjà tendu. Il s’assied sur une chaise.

- Allez, viens, ma salope ! Viens t’enfoncer sur ma bite !

Lola s’approche, écarte les cuisses, plie les genoux. Le sexe effleure sa fente. Soudain, d’un geste brutal, l’homme la prend par les épaules et la fait s’empaler d’un seul coup. Elle se sent déchirée.

- Bouge ton cul pour me caresser les couilles. 

Elle obéit et entame un mouvement circulaire. Les testicules du mâle lui frottent les fesses. La verge, dans son ventre, grossit encore. Il pose ses mains sur sa poitrine.

- Veux-tu que je te les caresse ?

- ...

- Réponds salope !

- Oui, monsieur !

- Alors, demande-le-moi !

- Caressez-moi les seins, Monsieur !

- Demande-le comme la salope que tu es !

- Pelotez-moi les nichons, les mamelles, Monsieur !

Il empaume ses seins, passe aux tétons qu’il étire, ce qui la fait gémir. Il les pince, leur fait faire quasiment un tour complet. La douleur est horrible et, pourtant, elle sent l’humidité gagner son sexe rempli par celui de son client.

- Bouge sur ma bite, sale pute !

Lola appuie sur ses hauts talons. Ses lèvres glissent lentement le long de la tige jusqu’à ce que le gland atteigne l’entrée de sa chatte. Puis elle s’empale de nouveau complètement. Le manège dure. Elle commence à avoir des crampes dans les cuisses. Son client n’arrête pas de lui torturer les tétons. Elle n’arrête pas de le chevaucher. Quand il lâche ses seins, c’est pour lui claquer les fesses, encore endolories du fouet. Enfin, le sexe enfoncé au plus profond de son ventre éjacule de longs jets de foutre, qu’elle sent bien frapper le fond de sa matrice. Avant de partir, l’homme essuie sa bite souillée sur les poils pubiens de Lola. Il quitte la pièce et un nouveau client entre. Combien y en aura-t-il ? À cet instant, elle entend la voix de son Maître :

- Attends un moment, et toi Lola, viens ici. 

Que se passe-t-il ? Elle a pourtant été bien obéissante.

- Alors, Lola, est-ce que tu es une bonne pute ?

- Je pense, Maître.

- Pourquoi ? 

Elle comprend que son Maître la met à l’épreuve.

- Ma bouche a bien sucé la bite du client, Maître. Et ma chatte les a bien essorées.

- Et tu n’as rien oublié, connasse ? 

Mon Dieu, elle a oublié de faire payer le troisième client.

- Je vais te punir pour ça. Fous-toi à poil complètement et approche. 

C enlève ses chaussures, ses bas et son porte-jarretelles. Monsieur Ali a sorti une paire de menottes en acier. Il lui attache brutalement les mains dans le dos. Un martinet apparaît dans ses doigts. Les lanières partent et s’abattent violemment sur ses seins. C se plie de douleur. Marie, la cuisinière à tout faire, lui tire brutalement les cheveux en arrière. Elle ne peut plus alors rien faire pour éviter le martinet qui s’abat maintenant régulièrement sur ses seins, ses tétons qui se marquent, comme ses fesses de stries violacées.

- Tu n’oublieras plus Lola ?

- Non, Maître.

- Rappelle-moi tes tarifs.

- Cent francs la pipe, deux cents francs la chatte.

- Maintenant, à quatre pattes. Ton client a entendu. Il veut ta chatte. 

Difficilement, avec les mains attachées dans le dos, Lola s’agenouille puis se penche en avant jusqu’à ce que ses épaules, ses seins soient sur le sol. Dans cette position, elle présente ses fesses et son sexe de manière très obscène. Le client ouvre son pantalon, en sort son sexe déjà bandé. Il écarte les lèvres de C avec ses pouces et la pénètre d’une seule et longue poussée. Son vagin, encore poisseux du sperme précédent, est de nouveau empli. La bite, très longue vient cogner le fond de sa matrice. Elle reste au fond.

- Baise-toi, salope !

Lola comprend. Elle avance son bassin, sans que l’homme ne bouge, ce qui fait glisser le phallus. Puis elle recule pour l’avaler complètement. Elle est en train de se baiser elle-même. Elle continue le mouvement. L’homme souffle fort dans son dos. Puis l’agrippant par les hanches, il se met à la pilonner violemment. Ses seins endoloris frottent le sol. Le client finit par sortir sa queue et lui gicle sur les fesses. Lola sent le sperme couler dans sa raie, entre ses cuisses. 

Cela fait plus d’une heure que Lola est le jouet sexuel d’inconnus. Elle est toujours en position de chienne sur le sol, avec les mains menottées dans le dos. Comme elle n’entend plus de client entrer, elle pense qu’elle en a terminé.

- Relève-toi Lola et viens ici. 

Elle roule sur le sol pour se redresser et se rapproche de son Maître. Il lui enlève ses chaînes.

- Va te laver, maintenant. Tu es sale et tu sens le foutre. 

Elle se dirige vers l’évier, seul point d’eau de la pièce. Marie lui tend un chiffon mouillé. C frotte toutes les parties de son corps marqué par les hommes qui se sont succédés sur elle et en elle. Elle a mal partout et surtout elle a honte. Elle vient d’avoir des rapports sexuels avec quatre hommes complètement inconnus. Elle ne peut pas dire qu’elle y a pris du plaisir, mais elle n’a pas refusé non plus. Elle s’est laissé faire. Pire, elle sait qu’elle recommencera quand son Maître lui ordonnera. Pour l’instant, il l’appelle :

- Viens ici petite chienne. 

Vêtue seulement (si l’on peut dire) de son collier de chienne, C s’approche de Monsieur Ali.

- À genoux. Et pose tes nichons sur mes cuisses. 

En s’agenouillant, elle n’oublie pas de garder les cuisses écartées. Ses seins douloureux du martinet se posent sur le pantalon de son Maître.

- Lève la tête et ouvre la bouche. 

Sans décoller sa poitrine, elle se casse le cou pour regarder Monsieur Ali. Elle reçoit sa langue, qui lui lèche la sienne. Puis un filet de salive, qu’elle avale docilement. Enfin, elle doit sucer servilement la langue de son Maître qui lui en donne l’ordre.

- Tu vois, Lola, avec moi, tu es bien obéissante. Mais tu n’es pas bonne avec les clients. Non seulement ils ne peuvent pas prendre ton cul, mais, en plus, tu te contentes d’être baisée : tu ne sais pas les contenter. Il va falloir que tu deviennes meilleure pute. Sinon, je te mets en maison d’abattage. Tu sais ce que c’est ?

- Non, Maître. 

- On te couche sur une paillasse. Tu n’as qu’à ouvrir les fesses et tu te prends une centaine de bites à suivre. Ça rapporte moins, mais je me rattraperai sur la quantité.

- Je vous en supplie, Maître, je ferai des efforts. Je donnerai du plaisir aux… clients.

- Et ton cul, Lola ?

- Je ne peux pas, Maître. Il est trop étroit.

- Tu l’élargiras, salope ?

- Comme il vous plaira, Maître.

- Comment ? 

C comprend qu’il veut qu’elle s’humilie encore plus.

- Avec le plug, Maître. Je vais me fourrer le cul avec le plug jusqu’à ce qu’on puisse m’enculer.

- Tu vois quand tu veux. Tiens, enfile-le. 

Et il lui met dans la bouche le jouet anal. Lola le suce un peu. Puis, sans se relever, ouvre ses fesses d’une main, et s’enfonce le plug dans le fondement. Preuve que cela commence à faire de l’effet, elle a beaucoup moins mal qu’hier. Elle se sent investie. Elle imagine la crinière, sortant de sa raie, reposant sur le sol. Elle imagine l’image qu’elle donne. Et elle imagine ce que dirait son mari s’il la voyait comme ça.

- Bon, ma petite salope, tu vas suivre Marie. Elle va t’emmener dans une chambre. Youssef et Marco t’attendent pour t’apprendre à te conduire comme une bonne pute. Ne les déçois pas, et surtout ne me déçois pas. Autrement, je serais obligé de t’envoyer en maison d’abattage. 

Une petite tape sur ses seins et C se redresse. Elle suit Marie qui monte l’escalier. Elle sent la crinière lui caresser les cuisses. Ce qu’elle ne sait pas, c’est que Ali est en train de téléphoner à son mari.

- Dites donc, je n’ai pas eu de vos nouvelles. Vous n’avez pas envie de savoir ce que fait votre adorable petite salope de femme quand elle est chez moi.

- Vous nous tenez avec votre chantage, que voulez-vous de plus ?

- Je veux que tu saches. Elle vient de se prendre trois bites dans la chatte et d’en sucer une quatrième. Tu sais qu’elle apprend bien. Elle a tout avalé.

- Ça suffit.

- Tu n’as pas envie de la voir se faire sauter. Viens demain à dix-huit heures. 

Et il raccroche. 

Marie a ouvert la porte d’une chambre et y a poussé C. La chambre est minable, un papier peint défraîchi, un lavabo branlant et un bidet. Assis sur le lit, Youssef et Marco la regardent. C ne sait quoi faire. Alors, elle reste nue, debout, immobile.

- Monsieur Ali pense que tu as encore beaucoup à apprendre pour devenir une bonne gagneuse, dit Youssef. Alors, tu vas être bien obéissante et bien retenir ce qu’on va te faire faire, salope. 

C’est la première fois qu’elle est dans une chambre, avec deux hommes. Elle a compris que cela allait durer et qu’elle devrait, non seulement se prêter à tous leurs ordres, mais en plus, vraiment, participer.

- Tu dois nous donner envie de te baiser, petite chienne. Pour commencer, présente tes nichons, à pleines mains.

- Tourne-toi. Présente tes fesses.

- Elles sont bandantes, tes fesses, avec les marques du fouet et la crinière qui sort de ton cul.

- Maintenant, mets-toi à quatre pattes, comme la chienne docile que tu es.

- Viens vers nous, doucement. Ouvre la bouche et lèche-toi les lèvres. Regarde-nous dans les yeux. 

Lola approche du lit. Les deux hommes ont ouvert leur braguette et se caressent doucement le sexe.

- Prends-les dans tes mains et branle-nous.

- Oui, c’est bien. Maintenant, suce une queue pendant que tu branles l’autre. 

Elle fait coulisser ses lèvres autour de la verge. Sa langue titille le gland dans sa bouche. Dans sa main, elle sent l’autre sexe durcir encore. Puis elle change. Sa main est maintenant humide de sa salive et la verge glisse mieux. Elle se voit, nue, à genoux, dans une chambre d’hôtel, avec deux hommes qui vont la prendre. Quelle honte ! Pourtant, elle continue. Elle s’applique. Tout pour plaire à son Maître.

- Viens sur le lit et écarte les cuisses, petite chienne. On va te baiser. 

Lola s’ouvre en grand. Youssef, le premier, pointe sa verge à l’entrée de son vagin. Il s’enfonce lentement. Elle se sent pénétrée, bien plus fort que tout à l’heure, dans la cuisine. Il est au fond de son ventre. Marco s’installe alors sur ses seins et lui présente son sexe à sucer. Elle n’hésite pas à le happer, et, alors qu’elle commence à jouer avec sa bouche, Youssef se met à la limer, sortant presque entièrement avant de replonger au fond de sa chatte.

- Caresse-moi les couilles pendant que tu me suces, petite pute.

- Et contracte les muscles de ta chatte, pour me masser la queue. 

Lola, bien sûr, obéit, essayant de donner le maximum de plaisir aux deux hommes. Les verges sortent de ses orifices quand ils décident d’échanger leur place. La bite de Marco n’a aucun mal à fouiller son minou. Elle sent ses sécrétions vaginales quand elle suce celle de Youssef, et cela l’écœure un peu. Puis ils la font se mettre à quatre pattes sur le lit. Elle est entre les jambes de Marco et l’embouche immédiatement.

- Tends tes fesses vers ma queue. Les pouces de Youssef écartent ses lèvres. Il la pénètre à nouveau.

- À toi de te baiser sur ma queue. 

Les deux hommes changent encore de position. De nouveau, elle suce sa crème intime. Cela fait plus d’une demi-heure qu’ils usent de son corps.

- Maintenant, tu vas t’allonger en travers du lit, cuisses grandes ouvertes et tête renversée. 

Youssef lui baise la bouche, ce n’est pas autre chose. Il utilise la bouche de C comme si c’était un sexe. Pendant ce temps, Marco la pilonne sauvagement. Elle le sent lâcher le premier son sperme au fond de son ventre. Puis c’est Youssef qui lui éjacule au fond de la gorge. Elle s’applique à ne rien laisser ressortir.

- Nettoie nos bites avec ta bouche. 

Lola s’applique à les débarrasser de tout ce qui macule ces sexes qui viennent de la saillir.

- Pas mal, Lola. On pense que tu vas vite devenir une bonne gagneuse. 

Elle a bien compris. Son Maître va la prostituer. Elle va devenir une putain. Et pourtant, elle ne ressent aucun sentiment, ni peur, ni honte, ni rien. Elle est comme anesthésiée.

- Lave ta chatte et redescends voir Monsieur Ali. 

C descend les escaliers, complètement nue (excepté le collier qui montre son appartenance). Elle se place devant son Maître dans la position qu’il exige d’elle : cuisses écartées, mains derrière la tête pour redresser ses nichons et attend.

- Bon, Lola. Youssef et Marco étaient assez contents de toi. Alors, tu reviens demain soir, pour six heures et tu te mettras au boulot. 

Alors, ça y est. Demain sera les débuts de Lola la pute. Elle ne cherche même pas à savoir comment elle va faire passer ça à son mari. Elle sait qu’elle obéira, c’est tout.

- Par contre, les clients aiment les dessous de pute. Alors, ce soir, tu passes au sex-shop et tu t’achètes ce qu’il faut pour les exciter. Et n’oublie le porte-jarretelles, je ne veux pas de ces bas qui tiennent seuls. Maintenant, viens sur mes genoux et embrasse-moi, salope. 

Long baiser où les langues s’emmêlent. Crachat dans sa bouche. Elle avale.

- Casse-toi, maintenant. 

Rhabillage (elle a toujours le plug fiché au fond de ses fesses). Elle prend sa voiture et se dirige vers le magasin qu’elle commence à bien connaître. Cette fois-ci, le patron n’a pas à lui imposer quoi que ce soit. Elle se dirige directement vers le rayon lingerie. Elle choisit des bas noirs, un serre-taille de la même couleur. Puis une culotte de dentelle noire, fendue devant et derrière. Enfin, un redresse-seins noir et rouge. Une pause devant le rayon des plugs. Une impulsion irraisonnée. Elle en prend un, plus large que celui qu’elle a. Le patron ricane. Elle ne réagit pas. Elle est devenue une putain et son cul va devoir servir.

A suivre...

vendredi 17 mai 2024

Une femme au foyer tout à fait soumise Ch. 05

 Texte de Monique2.

*****

Une partouze dans un manoir.

Le soir, vers 20 heures, nous sommes arrivés à la clinique où Patrick était hospitalisé. Comment vous présenter Patrick ? Il est le double de mon mari, son ami de toujours, son frère, avec lui il a fait les quatre cent coups. Donc moi je le connais très bien, c’est avec lui que mon mari m’a initié à la double pénétration. Et depuis quinze ans, ils m'ont prise en sandwich un nombre incalculable de fois, ils m'ont pénétrée dans toute les positions possibles. Ils ont même établi des records. Celui qui tenait le plus longtemps quand je le suçais, celui qui pouvait m’enculer ou me baiser le plus longtemps ou celui qui me faisait jouir le plus vite en me léchant.

Arrivé devant la porte de sa chambre mon mari frappa, Patrick nous dit d’entrer.

- Alors vieux frère, on veut jouer au jeune homme, à quarante ans on ne fait plus de moto !

Et mon mari me dit a l’oreille :

- Mets-toi à droite du lit, c’est sa main valide !

Je m’exécutai sur-le-champ et m’approchai de Patrick par la droite. Je me penchai pour l’embrasser, je me relevai et me plaçai de façon que sa main droite soit au niveau de mon entrejambe.

- Tu parles, s’il n’avait pas plu, je n’en serais pas là !

Il avait passé sa main sous ma jupe et commençait à tripoter ma chatte, j’écartai tout ce que je pouvais pour lui faciliter la tache,

- Tu en as pour longtemps avec ce bras ?

- Non, je dois sortir dans deux jours, et je garderais le plâtre deux ou trois semaines je ne sais pas !

Mon mari me fit signe avec ses yeux que Patrick avait besoin de réconfort. Je m’empressai de lever son drap et de sortir sa queue, et je me baissai pour lui prendre son membre et commencer à le sucer. Il continuait à parler, je le suçais comme il aimait en lui tournant la queue avec la main et en même temps je montais et descendais avec ma bouche. Je lui caressais les couilles de l’autre main.

Au bout un moment il se mit à jouir. Je pris tout dans la bouche et l’avalai, et puis je lavai le reste de sperme qui restait sur sa queue.

- Maintenant chérie tu vas descendre à l’accueil nous chercher des cafés, nous avons à parler !

Je m’essuyai la bouche et sortis, je pris tout mon temps, mon maître ne voulait pas de moi dans la chambre. Il me dirait quand je pourrais rentrer. 

Au bout de dix minutes, je me retrouvai devant la porte. Je frappai très doucement, je ne voulais pas qu’ils boivent leur café froid. Mon maître ouvrit la porte, me prit les cafés des mains et la referma, je restai dans le couloir à attendre l’autorisation de rentrer. 

Au bout du couloir, deux infirmiers commençaient leurs soins du soir. J’ai patienté un bon quart d’heures avant que mon mari ouvre et m’autorise à pénétrer dans la chambre. Nous parlâmes de tout et de rien, puis mon mari dit qu’il était temps de partir pour laisser Patrick se reposer. Je l’embrassai, il avait des étincelles dans les yeux, je connaissais bien ce regard, il me préparait quelque chose.

Le voyage de retour se passa sans problème, je ne posai aucune question à mon maître. Je n’avais pas l’habitude de le questionner, il me donnait des ordres et je les exécutais. Je repris ma vie normale à faire des ménages surtout chez des habitués comme Marcel. Je couchai avec deux hommes à qui j’avais été offerte par mon maître. Je revis Patrick, plusieurs fois chez lui ou à la maison, enfin une vie tout fait dévouée à son maître. Ah si, j’avais fêté l’anniversaire de Marcel, il avait invité quelques potes mais je vous raconterais ça un autre jour. Trois semaines s’étaient passées, j’avais oublié cette discution entre mon mari et Patrick. Le samedi pendant le déjeuner mon mari me dit :

- Ce soir tu sors ! Tu te fais belle, et tu mets ton manteau car tu rentreras dans la nuit, voire au petit matin, et où tu vas il ne fait pas très chaud. Je veux être totalement satisfait de toi, et ne pas avoir de reproches, je t’emmène vers vingt et une heures !

Et brutalement me revenait en mémoire cet évènement de la clinique. Ça c’est un coup de Patrick. Mon maître me prêtait pour la nuit, je devais être nue sous un manteau et être totalement l’esclave des personnes que je verrais cette nuit.

- Je serai totalement soumise et je serai le jouet des personnes que je verrais cette nuit, tu seras fière de moi, chéri !

Nous avons fini de déjeuner. L’après midi s’écoula tranquillement.Vers vingt heures, je pris un bain et me rasai de près la chatte et le reste. Nous partirent à vingt et une heure comme prévue, je me rendis compte que nous allions vers l’Oise. Après avoir fait bien soixante dix kilomètres, il faisait nuit noire, mon mari s’arrêta derrière une grosse voiture type Espace juste avant un grand carrefour.

- Tu descends là, monte dans la voiture devant !

Je m’exécutai, mon mari repartit aussitôt. Je me dirigeai vers cette voiture, le chauffeur me fit signe de monter derrière.

- Bonsoir Monsieur !

- Bonsoir Madame, veuillez attacher votre ceinture !

Et la voiture démarra. L’homme ne parlait pas, nous roulâmes quelques kilomètres sur la grande route, puis il bifurqua dans une petite route qui rentrait dans la forêt. Et il roula un certain temps, cela me paraissait assez long. Je ne pus réprimer un frisson, on était en pleine forêt, tout était noir sauf les faisceaux de lumière de la voiture qui balayaient la route qui n’arrêtait pas de tourner. Puis il prit à droite dans une sorte de chemin de terre. J’étais pas mal secouée et une inquiétude montait en moi. Dans quel fantasme m’avaient entraînée mon mari et patrick ? 

Brusquement, au détour d’un virage, une très grande maison apparue. La voiture stoppa, le chauffeur arrêta le moteur et descendit. Je fit de même, je me trouvais sur un parking où six autres voitures étaient garées. L’homme me fit signe de la main de le suivre. Tout en marchant je regardais cette batîsse, c’était une grande maison, presque un petit château en pleine forê. En m’approchant je remarquai des panneaux de publicité. C’était un restaurant. D’ailleurs je vis maintenant que tout le bas de la maison était des baies vitrées. 

L’homme s’arrêta devant une porte vitrée, s’accroupit et ouvrit avec une clef, se releva, m’ouvrit la porte et me fit signe d’entrer. J’étais dans une immense pièce qui était dans noir. On ne distinguait les tables dressées que par la faible lumière des blocs de sécurité qui étaient allumés. 

L’homme derrière moi referma la porte à clef et passa devant, je le suivis. Arrivé au fond il ouvrit une porte dissimulée derrière une grande tenture et se pencha pour allumer la lumière. Je vis un escalier qui descendait. Il fit signe de descendre, derrière moi il referma la porte a clef. L’escalier descendait pas mal. Arrivée en bas, je me trouvais devant une nouvelle porte. L’homme passa devant moi et frappa trois coups et s’effaça pour que ce soit moi qui soit devant la porte. J’entendis une clef tourner dans la serrure et la porte s’ouvrit. Un homme d’une quarantaine d’années de taille moyenne était dans l’encadrement de la porte. Cheveux mi-longs châtains presque blonds peignés vers l’arrière, des yeux bleus rieurs, une barbe naissante blonde, et un large sourire finissait le tableau. Il était craquant, il portait un gilet de costume, une chemise blanche avec cravate et un pantalon de costume très certainement d’une grande marque. Il s’effaça pour me permettre de rentrer dans la pièce. Mon chauffeur passa devant moi pour rejoindre un groupe de personne. 

L’homme qui m’avait ouvert la porte la referma derrière moi et me prit par le bras. J’étais dans une grande pièce très large et encore plus profond, toute voûtée comme une cave mais elle devait être d’une hauteur de quatre à cinq mètres. Les murs et la voûte étaient en grosses pierres de taille de couleur beige. A ma gauche une grande table rectangulaire avec une nappe blanche. Dix couverts y étaient mis avec des verres à pieds. Plus loin quatre fauteuils en cuir marron clair mis en croix et au centre de cette croix un pouf de grande taille lui aussi en cuir de couleur marron. A ma droite une table rectangulaire contre le mur avec une nappe blanche, dessus une multitude de bouteilles d’alcools, et de grands raviers avec toute sorte d’amuse-gueules, puis une petite table à roulettes contre le mur. Trois fauteuils du même genre que les autres disposés en demi-cercle qui faisaient face à un autre fauteuil en cuir mais ou l’on pouvait s’allonger. Puis toujours à droite, un lit ou plutôt un sommier et un matelas recouvert d’un drap. Tout à fait au fond une grande table toujours avec une nappe blanche où était disposé un buffet. Au fond de la salle deux portes. Je sus par la suite que celle de droite était un cabinet de toilette avec deux wc, un grand lavabo et tous qu’il faut pour se laver. Ainsi qu’une douche qui rendra bien service. La porte de droite, c’était une réserve avec deux frigidaires, micro-onde, lave vaisselle et réserve de vins.

Maintenant les personnes qui se tiennent à quelques pas de moi, et qui me font face sont huit hommes, tous entre quarante et cinquante ans. Ils sont en gilets de costume comme l’homme qui me tient le bras. J’ai nettement impression qu’ils ont l’habitude d’être ensemble, et qu’ils sont tous aisés. Je me repère aussi aux voitures que j’ai vues sur le parking qui sont toutes de luxe, et à leurs costumes qui sont de grande marque, et je me trompe rarement sur les vêtements. 

Un peu sur la gauche du groupe d’hommes, trois personnes se tenaient l’une à coté de l’autre. Un jeune homme d’une vingtaine d’année, une jeune fille à qui je donnerais à peine dix sept ou dix huit ans, et une femme de vingt cinq ans environ. Le jeune homme avait un visage très fin presque féminin, des petites lunettes rondes cerclées d’or. Ses cheveux était très courts et bruns. Il portait un pantalon de toile de couleur blanche et une chemisette de couleur saumon. La jeune fille était blonde les cheveux attachés derrière sa tête en tresse arrondie. Elle avait le teint très pâle sans maquillage et des taches de rousseur autour du nez. Ses yeux étaient noirs très inquiets voir un peu affolés, elle portait une robe dos nu, noire très moulante et très courte, on voyait ses touts petits seins à travers le tissu. L'autre femme était brune, les cheveux mi-longs attachés derrière, de taille moyenne elle avait le visage un peu allongée sans réellement d’expression. Elle portait un cache cœur bleu clair, et une jupe noire. Je distinguais sous le cache cœur une poitrine assez belle. Tous les trois me regardaient avec inquiétude. L’homme qui me tenait le bras prit la parole :

- Messieurs, je vous présente Monique la femme de notre ami qui a eu l’extrême obligeance de nous la prêter pour cette soirée. Etant l’esclave de notre frère de débauche, vous ne verrez pas objection à la considérer comme des nôtres, et à ne pas appliquer nos règles pour les jouets sexuels de nos soirée !

Dans un ensemble parfait les huit hommes rebondirent par l’affirmative à la demande. Il reprit la parole en désignant les trois jouets comme le disait le maître de cérémonie :

- Bien pour vous trois je vous rappelle nos règles. Vous êtes nos esclaves pour la nuit, vous devez soumission totale aux neuf membres. Vous avez interdiction de parler entre vous, interdiction de parler aux neuf membres et bien sur à Monique, sauf si on vous y invite. Vous pouvez crier voir hurler vous êtes dans une cave et personne nous entendra. Vous devez accepter toute demande des neuf membres, si vous dérogez à ces règles notre punition sera à la mesure de votre refus. Je tiens à vous rappeler que vous avez tous un compte a régler avec un des membres de cette assemblée !

Les deux jeunes étaient vraiment inquiets maintenant. L’homme qui me tenait le bras se pencha à mon oreille et dit doucement :

- Bien sûr pour vous ma chère il n’est pas besoin de punition, nous savons très bien que vous êtes toute disposée à nous satisfaire, et nous sommes tous impatients de vous voir en action. A ce que je sais de votre mari et de Patrick, votre réputation n’ai plus à faire vis à vis des choses du sexe !

Puis il releva la tête et dit :

- Est-ce que ces trois personnes pourraient se déshabiller maintenant !

Tous les yeux se tournèrent vers eux. La jeune fille était un peu pétrifiée, puis doucement elle passa ses mains derrière sa nuque et défit le nœud qui tenait le haut de sa robe. Puis elle descendit les mains avec la robe jusqu’à la taille et dévoila ses petit seins puis elle continua jusqu’aux pieds et leva ses deux pieds pour la retirer complètement, puis elle mit ses pouces de chaque coté de ses hanches et descendit sa culotte qu’elle retira. Elle était vraiment blonde naturelle et avait de petites fesses. L’homme près de moi reprit sur le même ton :

- Jeune fille, quel est ton prénom !

- Aurélie, monsieur !

- Bien, ma petite Aurélie; je crois que tu vas découvrir des choses ce soir !

Le garçon défit sa chemisette, il était assez maigre. Il défit sa ceinture et descendit sa braguette et laissa tomber son pantalon. Puis il défit son slip, il avait un petit sexe comme d’un enfant de quatorze ans.

- Quel est ton prénom !

- Bruno, monsieur !

Puis se fut le tour de la femme. Elle détacha dans son dos son cache cœur et l’enleva, elle avait des seins vraiment très jolis pas vraiment gros mais vraiment proportionnés. Puis elle défît sa jupe puis sa culotte.

- Quel est ton prénom !

- Céline, monsieur !

ils étaient tous les trois nus, et attendaient un peu comme des animaux qui vont à l’abattoir. Il se tourna vers moi :

- Et maintenant le plat de résistance, Monique vous voulez bien ? 

Je défis mon manteau, il y eu quelques murmures, qui était tous sur la grosseur de mes seins.

- Maintenant les domestiques veuillez prendre place pour nous servir l’apéritif !

Tous les membres se dirigèrent vers la table près de la porte d’entrée. La femme et le garçon se mirent à servir les apéritifs et la jeune fille prit des raviers contenant des amuses gueules. Le maître de cérémonie avait mit sa main gauche sur une de mes fesses et la droite sur mon sein droit et commençait à me tripoter. Il me dit :

- Il y a longtemps que j’entends parler de toi, Patrick m’avait parlé de ton corps. Mais il était en dessous de la vérité.

Un autre homme se mit à ma gauche et me prit la fesse gauche et le sein et tout les deux se mirent à me tripoter, puis leurs mains lâchèrent mes seins, descendirent vers ma chatte et se mirent à fouiller mon intimité. Pendant qu’ils me caressaient, je regardai autour de moi. 

Le jeune homme avait fini de servir, il était à genoux et était en train de pomper un des hommes et il tenait de sa main gauche une autre queue. Pour la femme elle était dans la même position, mais elle avait trois queues à s’occuper. Et pour la jeune fille, elle continuait de servir mais un homme lui prit les raviers des mains, les posa sur la table puis la fit s’agenouiller et lui présenta sa queue qu’elle prit dans la bouche. Le dernier homme lui mit sa bite sous le nez, elle la prit avec sa main gauche et commença a le branler.

- Je manque à tous mes devoirs,  voulez vous boire quelque chose Monique ?

- Oui, s’il vous plait, un verre de jus d’orange… Je me rends compte que je ne connais pas votre prénom !

- Richard, vous devez l’avoir déjà entendu !

C’était vrai, mon maître et Patrick l’avait déjà prononcé devant moi. Je lui fit un sourire. Après avoir bu mon verre, je me mis en devoir de faire pareille que mes petits camarades. Je tendis mon verre à l’homme qui me tripotait sur ma gauche et me mis à genoux. Leurs queues étaient sorties. Je pris la queue de Richard dans la bouche, et l’autre queue je me mis à la branler et j’allais de l’un à l’autre. Cette séance de fellation battait son plein et au bout d’un certain temps Richard dit :

- Bon ! Messieurs, nous n’allons pas jouir de suite, la nuit est encore longue, je vous propose de passer à table !

Richard m’aida à me relever et tous ensemble nous nous dirigeâmes vers le buffet. Les trois esclaves sexuels se mirent à courir pour être les premiers près du buffet pour pouvoir servir les membres. Chaque homme se présentait devant l’un des trois, leur disait ce qu’il voulait manger, et pendant que l’esclave le servait, il lui tripotait ou la chatte ou le cul ou les seins. Quand tout les membres furent servis, Richard dit :

- Bon maintenant que tout le monde est servi et à sa place, Aurélie et Bruno vous passez sous la table, et Céline nous servira à table !

Les deux jeunes disparurent sous la table et commencèrent à pomper chaque membre, et Céline les servit. Chaque fois qu'elle se mettait entre deux hommes elle se faisait tripoter la chatte le cul ou les seins. Moi j’étais entre Richard et l'autre homme. 

Tous les hommes parlaient et demandaient à Céline de venir pour du vin ou pour rien simplement pour lui mettre les doigts dans la chatte ou dans le cul. Dans ces cas là, elle écartait les jambes pour faciliter l’opération. Richard mangeait toujours et discutait avec moi ou un des membres. L’autre homme sur ma gauche avait arrêté de manger et me palpait les seins et me promettait une cravate de notaire à la fin du repas, je lui répondis que j’étais à sa disposition. Richard dit :

- Bon il serait bien d’avoir un petit spectacle non !

Il demanda à deux des membres en bout de table d’amener la table à roulettes près deux, ce qu’ils firent. Elle était plus haute que la table où on mangeait.

- Très bien, Céline et Aurélie vous allez nous faire le plaisir de faire un 69 sur cette table !

Céline posa la bouteille et alla s’allonger sur la table, Aurélie sortit de dessous de la table et commença à monter dessus. En passant près du visage de Céline elle lui dit tout doucement :

- Je n’ai jamais fait ça !

Et Céline de répondre :

- Tu lèches et tu fermes ta gueule sinon tu vas être punie. 

Tout le monde pouvait les voir, Bruno continuait a pomper en dessous. 

Le dîner continua, mon voisin de gauche me léchait les seins et tripotait ma chatte, on avait demandé à Bruno de sortir de dessous de la table pour servir à boire, un membre lui avait mit une bougie dans cul et il devait servir comme ça. Je discutai avec Richard, puis je me permis de lui poser une question :

- Tu pourrais m’expliquer ! Comment trouvez-vous ces gens pour ces soirée !

- Tu es bien curieuse Monique, en général on ne parle pas de la façon de procéder. Bon ! Parce que c’est toi, prends Aurélie, elle est en apprentissage avec lui !

Il me montre un des membres,

- Elle avait eu déjà à faire avec la justice pour de menus larcins, rien de très grave mais du sursis quand même. Mais voilà la petite se fait prendre par les cameras de surveillance de sa société en train de piquer dans la caisse. Il lui a fait voir la cassette, et lui a mit le marché en main, et donc elle est là. Pour Céline c’est autre chose, son mari l'a quitté en la laissant avec un bébé, des dettes et pas de travail. Je lui ai trouvé un travail. Un autre membre lui a trouvé un financement pour ses dettes, ça lui évite de perdre sa maison. Donc en échange, elle nous consacre des soirées à notre demande. On a plusieurs femmes dans ce cas là, et on les appelle de temps à autre pour changer ! 

- Combien de soirée !

- Une vingtaine, et pour notre petit pédé c’est le mignon de ce membre !

et il me montre un homme.

- Il est tombé amoureux de lui, alors tout de suite notre membre a vu l’opportunité. Il l'a dressé et il est devenus son esclave, c’est la première fois qu’il vient. D’ailleurs c’est pareil que pour Aurélie !

A la fin du repas, tout le monde sortit de table, trois membres demandèrent à Céline de venir. Un des hommes s’assit sur un des fauteuil la queue bien raide. Céline s’assit en s’empalant sur sa bite. Les deux autres étaient de chaque coté et se faisaient pomper. 

Deux autres prirent Aurélie, la mirent à quatre pattes sur le lit, un la baisait, l’autre se faisait sucer. 

Pour Bruno, ils le mirent à califourchon sur le grand pouf. Il avait les jambes qui pendaient d'un coté et les bras et la tête de l’autre. Un homme se mit derrière lui, il lui écarta les fesses et l’encula sans ménagement. Il poussa un cri, un autre lui présentait sa queue, il la prit dans sa bouche. L’homme lui prit la tête de chaque coté et se mit a limer avec force et lui rentra la queue complètement dans la bouche. 

Pour moi Richard et mon voisin m’entraînèrent sur le grand fauteuil où on pouvait s’allonger. J’étais sur le dos, l’homme avait mit sa queue entre mes seins et se mit a limer. Richard était face a lui et me mit sa bite dans la bouche et je me mis a sucer. Au bout d’un certain temps, Richard et l’homme me firent me relever, Richard s’allongea il demanda que je m’asseye sur sa queue, il m’écarta les fesses et je m’enculai sur lui. L’autre homme me mit sa bite dans la chatte et ils commencèrent à me labourer. 

Je vis un des hommes qui se faisait pomper par Céline se diriger vers le groupe d’Aurélie. L’homme qui la baisait s’allongea et Aurélie se mit sur lui, elle tournait la tête vers l’homme qui venait d’arriver avec des yeux implorants. L’homme écarta ses petites fesses, lui présenta sa bite prête à forcer sa rondelle, et il mit un violent coup de rein pour lui perforer le cul. Elle se mit a hurler, en le suppliant d’arrêter. L’homme continuait de plus belle en riant, celui de dessous se mit à la baiser avec force, le troisième les laissa. Il se dirigea vers Bruno, qui se faisait toujours enculer, il demanda la place à l’homme qui le besognait, qui lui laissa.

- Vas-y, continue à défoncer le pédé, je vais aller me faire laver la queue par celle qui hurle ça la fera taire !

L’homme se dirigea vers la bouche d’Aurélie et lui présenta sa queue. Elle détourna la tête, il lui força la bouche et lui rentra sa bite.

- Eh les gars ! Allez plus doucement pour défoncer la petite pute, elle doit s’appliquer pour me laver la queue !

Celui qui l’enculait s’arrêta de la défoncer, et dit :

- il me semble avoir vu un refus de sa part !

Il répondit par l’affirmative.

- Bon ! Quand on en aura marre on va lui dilater le cul avec une bouteille de vin comme punition !

Pour Céline les choses avaient changé, elle était sur la table où elle avait fait le 69, elle était allongée sur dos dans le sens de la largeur la tête pendante vers l’arrière, un des deux hommes lui avait mit sa queue dans la bouche, et l’autre lui avait levé les jambes et les tenaient avec ses mains tout en l’enculant profondément. 

Quand ils eurent fini avec Aurélie, les trois plus l’homme qui se faisait sucer par Bruno prirent la petite et la mirent sur le pouf à la place de Bruno. Elle était à califourchon les jambes d’un coté, les bras et la tête de l’autre. Un des homme s’assit sur elle pour qu’elle ne puisse pas se relever, deux autres lui tenaient les jambes, le dernier tenait dans ses mains une bouteille de Bourgogne. Il enleva le papier métallique qui entourait le goulot, et il présenta la bouteille. Chaque homme qui tenait les jambes d’une main, lui écartèrent les fesses de l’autre. L’homme à la bouteille mit le goulot contre sa rondelle et l’enfonça tout en tournant. Il rentra la bouteille au maximum qu’il pouvait, et se mit a faire un va et vient de plus en plus rapide. Aurélie criait et pleurait. 

L’homme qui se faisait sucer par Céline lui avait déchargé dans la bouche, l’autre qui avait arrêté de l’enculer était parti se laver. Ils se retrouvèrent à table pour manger un morceau. 

Pour moi l’homme qui me baisait était parti se faire sucer par Bruno. Richard se lavait la queue après avoir déchargé dans ma bouche, et en partant il demanda à Céline de venir me lécher pour nettoyer ma chatte et mon cul. Elle s’exécuta. Richard revint me voir pour discuter avec moi pendant que Céline me léchait, c’est comme ça que j’appris que ce groupe de joyeux dépravés existait depuis plus de dix ans. Que les fondateurs étaient Patrick mon mari et Richard, qu’ils se retrouvaient deux à trois fois par mois, mais qu’ils avaient d’autres activités comme fournir des femmes aux membres pour un soir ou un week-end, quand leurs femmes et enfants étaient partis. Ou faire un jeu de pines, c’est Cécile qui expliqua. La fille a huit à dix adresses pour une journée de travail de neuf heures a dix sept heures et elle doit se rendre à chaque adresse professionnelle et faire une pipe à chaque membre vu à ces adresses. D’ailleurs pendant le bref moment ou nous étions toutes les deux, elle me dit tout doucement que si jamais un jour nous avions besoin d’une esclave femelle, moi et mon mari, elle serait toute dévouée à nous deux.

Et la nuit continua, Aurélie après son traitement avec la bouteille fut totale soumise à tous les hommes. Ils la prirent par tous les trous. Bruno passa une bonne partie de la nuit à genoux a sucer des queues, et bien sûr, son petit cul fut défoncé plus d’une fois. 

Pour moi et Céline nous étions prises régulièrement en sandwich. Vers trois heures du matin, la soirée se termina et mon chauffeur me ramena chez moi, je n’avais pas besoin de raconter à mon mari ma nuit, car dans la cave il y avait des caméras numériques, et ils lui firent une copie de ma nuit. Je revis Richard pendant les vacances de cette année dans un hôtel club très spécial pour libertins avertis en Espagne.

D’ailleurs mon mari et moi avons emmené Céline avec nous. Je vous raconterais peut-être ces vacances un jour.

A suivre...

mercredi 15 mai 2024

Gang-bang d’une femme riche.

 Traduction d’un texte de Glenn S

 ****

Wendy a 43 ans. Elle est très séduisante, maquillée avec soin et ne porte que des vêtements de marque très chers. Son mari est riche, il travaille dans la finance. Ils possèdent un grand manoir avec une vue superbe sur un lac.

Wendy n’a pas besoin de travailler et elle fait ce qu’elle veut. Son mari étant souvent en déplacement, elle passe ses journées à faire du shopping, déjeuner avec ses amies, puis refaire du shopping et aller au salon de beauté et chez le coiffeur. 

Elle aime l’art et fréquente souvent les galeries avec ses amies, achetant parfois des œuvres pour les exposer dans son manoir. Le prix n’est jamais un problème pour elle et elle achète ce qu’elle veut. Elle est riche, séduisante et obtient toujours ce qu’elle veut. Pour certains, ses manières brusques dénotent un caractère hautain et grossier.

Toutefois, elle charme tous les hommes qu’elle rencontre. Ceux-ci remarquent toujours ses gros seins avant le reste. Elle sait que sa sexualité peut lui apporter tout ce qu’elle veut. Après tout, elle l’avait bien utilisée pour épouser son mari riche bien plus âgé. Le vieux fou. Elle a eu de nombreuses liaisons discrètes pendant les cinq ans de leur mariage. Elle aime tout ce qui est cher dans la vie.

Nous sommes mardi et Wendy a son rendez-vous habituel chez son coiffeur. Elle conduit son cabriolet Mercedes jusqu’au parking client puis elle entre dans le salon. Elle remarque qu’il y a une nouvelle personne qui y travaille.

- Qu’est-il arrivé à Linda ? Demande-t-elle à la propriétaire, Mme Krueger.

- Elle a dû retourner dans son pays, car sa mère est malade, donc nous avons un nouvel employé dans l’équipe. Il s’appelle Antonio, il est italien. Il est charmant et il a beaucoup d’expérience. Il va vous coiffer aujourd’hui si ça vous va ?

Wendy regarde Antonio de haut en bas. Il est grand, bien foutu, avec de larges épaules et un incroyable sourire. Wendy estime qu’il a juste un peu plus de vingt ans. Il y a une vraie aura sexuelle autour de lui. Des pensées vicieuses traversent l’esprit de la femme riche. Elle aime fantasmer sur l’idée d’être infidèle à son mari. Mais ce jeune homme n’a pas d’argent ni de position sociale. Elle ne baise que des hommes riches. Son mari n’a jamais de temps pour elle, il est toujours occupé par son travail et ses voyages d’affaires à l’étranger. Elle est prête pour une nouvelle aventure, mais pas avec Antonio. Toutefois elle dit : « un peu de flirt ne fait jamais de mal ». Elle aime exciter les hommes. Finalement elle répond à la propriétaire du salon de coiffure :

- Oui bien sûr, Antonio peut me coiffer, ça sera parfait, merci !

Le jeune coiffeur a déjà été informé que Wendy et l’une des meilleures clientes fortunées et qu’elle doit faire l’objet de toutes les attentions. Elle s’assoit sur la chaise et se présente à Antonio. Celui-ci répond avec un accent sexy :

- Appelez-moi Tony.

Il passe ses doigts dans ses cheveux et commence à lui masser le cuir chevelu. C’est agréable et elle s’enfonce un peu plus dans le fauteuil. Elle lui demande où il loge. Il lui dit qu’il a loué un appartement pendant six mois, non loin du salon. Il le partage avec quelques amis qui sont venus en Australie avec lui. 

- Mme Krueger m’a dit que vous aimiez l’art ? Je suis un peu artiste en Italie, mais je commence. Dit Antonio.

Wendy est intéressée. Alors il poursuit :

- Je n’ai pas d’œuvres d’art ici, mais j’ai quelques photos si vous voulez les voir ? Peut-être pourrions-nous prendre un café ensemble un jour et je les apporterai pour vous les montrer ?

Wendy a-t-elle bien entendu ? Cet homme l’invite-t-elle à prendre un café ? Ils viennent juste de se rencontrer, mais il est assez séduisant alors elle se dit « Pourquoi pas ? »

- Merci Tony, ça sera agréable. Mais vous devrez me laisser payer. 

Ils prennent rendez-vous pour le lendemain dans un endroit qu’elle ne fréquente pas souvent, mais qui est idéal pour passer un moment agréable dans des petits box qui offrent une certaine intimité aux clients.

Le lendemain elle est excitée à l’idée de son rendez-vous avec Antonio. Elle est la quintessence de la femme fatale, alors elle s’habille en conséquence. Elle met une jupe très courte, mais élégante, un chemisier moulant, des chaussures et un sac à main assortie. La tenue vaut plus que ce qu’Antonio gagnera en trois mois à coiffer des riches femmes. En dessous de tout ça, elle porte un soutien-gorge et une culotte noirs. 

Au moment de partir, elle a une idée géniale. Elle s’arrête, remonte sa jupe et enlève sa culotte qu’elle laisse derrière elle en se disant : « Peut-être que Tony aimera avoir un aperçu de ce qu’il ne peut pas avoir »

Elle retrouve le jeune garçon qui est à l’heure. C’est bien, elle aime la ponctualité. Elle le surprend à regarder ses jambes et ses seins, alors elle a une montée d’adrénaline . Elle adore manipuler les hommes. « Continue de regarder Tony ! Tu ne pourras jamais me baiser, alors continue de rêver, pauvre petit rital coupeur de cheveux ».

Ils s’assoient à la table qu’elle a réservée et le serveur prend leur commande. Elle croise les jambes et s’assure que Tony puisse bien voir le haut de ses cuisses. Elle est dans son élément. Ils commandent tous les deux du vin rouge et en boivent un verre avant que le repas arrive et qu’elle feuillette l’album photo des œuvres d’art du jeune homme. Au bout d’un moment Wendy s’excuse pour aller aux toilettes.

Tony en profite pour remplir les verres de vin et il ajoute discrètement un liquide transparent dans le verre de la femme. Wendy revient, s’assoit et dit :

- Je ne peux boire qu’un dernier verre de vin , Tony. Je conduis.

Le repas arrive et ils parlent de choses et d’autres. Wendy flirte avec lui en faisant ressortir ses seins et en croisant et décroisant ses jambes. Elle laisse discrètement sa jupe remonter assez haut pour qu’il puisse voir sa chatte. Elle a l’habitude de jouer comme ça avec les hommes. Au bout d’une vingtaine de minutes, elle commence à avoir la tête qui tourne, comme si elle avait bu deux bouteilles de vin plutôt que deux verres. Elle dit :

- Je ne comprends pas. Deux verres ne me font jamais ça.

Tony lui propose alors de la raccompagner chez elle, car il ne veut pas qu’elle conduise. Elle paie l’addition et donne les clés de la Mercedes à Tony. Il lui prend le bras et l’accompagne jusqu’à la voiture. Il la fait asseoir sur le siège passager. Lorsqu’elle entre dans l’auto, sa jupe courte se retrousse presque à la taille. Antonio peut voir sa chatte sans problème, il voit qu’elle est soigneusement taillée et ses lèvres sont gonflées. Wendy ne se rend pas compte que sa jupe est complètement remontée, elle ne bouge plus.

Tony prend la place du conducteur et démarre. Mais il ne la ramène pas chez elle. Il l’emmène à son appartement. A l’arrivée, il l’aide à sortir de la voiture. La drogue a bien fait son effet et elle est presque endormie. Cette drogue est conçue pour cela et rendre coopérative la personne. Il ouvre la porte de son appartement et il aide Wendy à aller dans la chambre où elle s’assoit sur le bord du lit.

Elle sait qu’elle n’est pas chez elle, mais elle ne s’en soucie pas. Elle se sent vraiment bien et c’est tout ce qui compte pour elle à ce moment. Elle s’allonge sur le lit et perd connaissance.

Quand elle se réveille, elle constate qu’il fait nuit dehors. Elle réfléchit qu’elle a bien dû dormir au moins six heures. Sa tête est embrumée, mais elle se sent bien. Puis elle a un choc. Il y a quatre personnes dans la pièce ainsi que de l’équipement vidéo et des caméras. C’est alors qu’elle se rend compte qu’elle est complètement nue.

- Qu’est-ce qui se passe, bon sang ? Demande-t-elle.

C’est Tony qui répond :

- Relaxe, salope ! On t’a juste bien baisée et on a fait un film. Laisse-moi te présenter à mes amis, Mike, Sal et Théo.

Les trois hommes lui font un signe de tête.

- Les autres hommes qui t’ont baisée sont juste des gars que j’ai trouvés dans la rue. Ils t’ont baisée pour rien. Ça ne m’a pas coûté un centime. 

Wendy est en état de choc. Elle a été droguée et baisée comme une pute. c’est alors qu’elle se rend compte que sa chatte et son cul sont légèrement douloureux et que l’odeur inimitable du sperme couvre son corps.

- Mon Dieu, vous m’avez tous violée ! Je vais appeler la police !

Elle se lève et se dirige vers le téléphone.

- Doucement, sale pute ! Tu veux peut-être regarder la vidéo avant. Je sais que ton mari aimerait la voir.

Tony appuie sur un bouton et la vidéo commence sur la télévision. Wendy est debout et regarde se faire baiser et enculer par au moins douze hommes. Elle se voit sucer leur bite et elle a l’air d’aimer ça. Pour quiconque qui verrait ce film, il aurait l’impression qu’elle participe de son plein gré à ce gang-bang.

- Tu as apprécié nos bites, salope. Bon sang, je pense que tu n’avais même pas besoin d’être droguée, tu nous aurais baisés quand même. Tu n’avais pas de culotte sous ta jupe de marque, donc je pense que tu voulais baiser le vieux Tony. Maintenant, parlons affaires !

Wendy ne sait pas que faire. Si son mari met la main sur ce film, elle perdra tout y compris son train de vie luxueux. Mon Dieu, comment peut-elle être si stupide ? Elle n’a pas d’autre choix que de coopérer.

Tony Romano est un petit criminel à deux balles qui gagne de l’argent dans la prostitution, les paris illégaux, le chantage et la drogue. Ce n’est pas un gros bonnet, mais il connaît bien la rue ainsi que certaines personnes.

Tony présente le contrat à Wendy. Elle doit déposer de l’argent chaque mois sur un compte bancaire, mais pas trop sinon son mari va avoir des soupçons. Elle doit juste déposer assez pour permettre à Tony et ses amis de vivre un peu mieux pendant un certain temps.

- D’accord, je vous donnerai votre argent. Maintenant, rendez-moi mes vêtements pour que je puisse m’en aller.

- Pas si vite salope ! Tu dois faire quelque chose d’autre pour nous.

- Quoi ? Vous allez avoir votre argent !

- Non, espèce de salope blanche stupide riche et coincée, tu vas vendre ta chatte et ton cul pour gagner de l’argent tous les jours. Les gars et moi ne sommes pas avares alors nous avons besoin de plus d’argent que tu pourras mettre en banque. Et tu as intérêt à être bonne ou nous ferons en sorte que ton mari ait une copie de la vidéo. Nous en enverrons aussi à tous tes amis riches et nous la vendrons sur internet. Tu comprends, sale pute ?

Wendy est piégée, elle ne voit pas d’échappatoire. Elle peut leur dire d’aller se faire foutre, partir et risquer de divorcer et tout perdre. Elle perdait même sa réputation et serait connue comme une vulgaire pute par tous ses amis riches. Mais devenir une prostituée ? Non, elle doit jouer le jeu.

- Tu peux commencer par nous baiser à nouveau tout de suite. Et ça a intérêt à être bien. Allume la caméra, Mike.

Celui-ci obéit et les quatre hommes entourent Wendy, leur bite devant son visage.

- Obéis salope ! Suce nos putains de bite ! Crie Tony.

Elle prend la bite de Sal dans sa bouche et commence à la sucer. La queue est bientôt dure comme de la pierre et elle a du mal à la faire entrer dans sa bouche. 

- Fous-toi à quatre pattes maintenant qu’on puisse t’enculer ! Dit Tony.

Lentement elle obéit. Tony passe derrière elle et enfonce vicieusement sa bite dans le cul de la salope riche. Elle proteste bruyamment et reçoit immédiatement une claque sur son visage.

- Ferme ta gueule, sale pute !

La bite de vingt centimètres est entrée dans son cul jusqu’au bout. Tony commence à la retirer et l’enfoncer à nouveau violemment tout en claquant durement son cul. Wendy commence rapidement à pousser ses hanches  en arrière pour répondre aux coups de boutoir de Tony. 

Commence-t-elle à aimer ça ? Est-ce possible ?

Sal éjacule dans sa bouche et elle s’étouffe avec le sperme pendant un moment avant que Théo n’enfonce sa bite. Mike vérifie la caméra puis prend sa part. Il s’allonge sous elle et enfonce sa bite dans sa chatte de bourgeoise. Elle est baisée en double alors qu’elle doit sucer deux bites. La caméra continue de tourner. Tony la regarde et dit aux autres :

- Les gars, je pense que nous avons une petite esclave soumise ici.

Wendy se déhanche maintenant et suce goulûment les bites dures qui lui tombent sous la main comme une prostituée. Elle n’a plus besoin d’être obligée, elle en profite pleinement et tout est filmé.

Les hommes continuent de l’utiliser comme une pute pendant encore une heure avant de s’effondrer d’épuisement. A ce moment-là il est 22 heures. Tony dit alors à Wendy :

- Ton premier service va commencer, salope ! Mets ça !

Il lui jette une minuscule mini-jupe et un haut transparent. La jupe est si courte que l’on peut voir sa chatte et son trou du cul si elle se penche légèrement. Ses gros seins sont bien visibles à travers le tissu fragile de son haut.

Elle ressemble vraiment à une prostituée et c’est exactement ce qu’ils ont prévu pour elle à l’avenir. Qu’elle soit une riche salope blanche hautaine, obligée de sucer des bites pour 5 dollars et de se faire enculer pour 10 dollars, ce sont les instructions spécifiques que Tony a reçues de son « client » inconnu, mais qui paye bien. Tony avait été engagé pour organiser tout ça, il s’était dit qu’elle avait dû vraiment déplaire à quelqu’un.

Tony ordonne à Wendy de sortir de l’appartement et de marcher sur le trottoir pour le plaisir des hommes, sa jupe remontant et montrant sa chatte et son cul, l’intérieur des cuisses mouillé du sperme qui suinte de ses orifices bien baisés.

Puis elle est poussée sur le siège arrière de sa voiture entre Sal et Mike. Tony se dirige vers le quartier le plus chaud où Wendy rencontrera ses premiers clients pour la nuit. Il y en aura d’innombrables autres.

Tony arrête la voiture à un feu rouge et crie vers une bande de 15 libanais . Il leur fait signe de s’approcher.

- Les gars, vous voulez une pute pour la nuit ? Une salope blanche ? Elle aime se faire enculer. Vous aimez les salopes blanches, n’est-ce pas ?

Les jeunes jettent un coup d’œil à l’arrière de la voiture et examinent Wendy.

- Elle a de beaux nichons. Combien tu demandes ?

- Vous pouvez tous la baiser pour 50 dollars !

Wendy remue sur le siège arrière de la voiture. Elle a déjà été bien baisée et elle est sur le point d’être vendue à cette bande de voyous étrangers pour 50 dollars. Mais sa chatte est inondée de jus, elle ne peut l’empêcher. « Qu’est-ce qui m’arrive ? » Pense-t-elle, « Je suis vraiment une pute bon marché ».

L’un des gars donne 50 dollars à Tony et Wendy doit sortir de la voiture. Sal l’escorte jusqu’à une chambre d’un motel minable qu’ils ont réservé pour la nuit. Il ordonne à Wendy de se déshabiller et de commencer à sucer des bites. Elle obéit avec diligence en faisant des bruits de succion avec sa bouche tout en branlant les gars qui attendent.

Très vite, tous les gars ont sorti leur bite en attendant leur tour pour baiser cette pute blanche. D’énormes quantités de sperme éclaboussent le visage et les seins de Wendy alors que les bites se succèdent. On lui ordonne de présenter son cul et elle est rapidement sodomisée par les gars. Sal prend des photos. Il fait même la queue pour avoir une fellation et il l’encule une nouvelle fois. Il aime tant son cul serré.

Après deux heures environ, la bande de jeunes, épuisée, se rhabille et part. 

- C’est une putain assoiffée de bites ! Dit l’un d’eux à Sal en partant.

La nuit de Wendy n’est pas encore terminée. Sal appelle Tony sur son portable, et, cinq minutes plus tard, la Mercedes s’arrête près du trottoir.

- Je viens d’organiser d’autres réjouissances pour toi, salope !

Tony vient de s’arranger pour que Wendy fasse un strip-tease dans une boite louche et ensuite elle doit se faire baiser par le public. Pour quel prix ? Tony a vendu Wendy pour 40 dollars. Pour quel public ? Pour une centaine de clients excités de pouvoir la baiser à fond.

Le cœur de Wendy bat la chamade, sa chatte et son cul bien baisés palpitent. Elle pue le foutre et ses cheveux sont emmêlés avec du sperme séché. Mais Tony ne la laisse pas se nettoyer. Elle ne pense qu’à ce que ces hommes vont lui faire. Quelle quantité de sperme va-t-elle être obligée d’avaler ?

La boite est un repaire dégoûtant et délabré où les petits délinquants vendent de la drogue et où de vieilles putes se prostituent. C’est le genre d’endroit que Wendy n’a vu que dans des films. Jamais elle n’aurait pensé qu’elle serait obligée d’y travailler en suçant des bites et en se faisant enculer.

Mon Dieu, comment son monde à changer en moins de 24 heures. De la riche femme mondaine et hautaine avec du style, elle est devenue une pute bon marché qui suce la racaille dans les rues et qui se fait baiser comme une chienne.

Elle est fatiguée, sale et tout ce qu’elle veut, c’est pouvoir rentrer chez elle, dans sa belle maison. Mais Tony a d’autres plans.

- Tu vas monter sur scène, danser et enlever ces putains de chiffons. Sois sexy pour que le public ait envie de te baiser. Compris Salope ? Rugit Tony.

Wendy acquiesce alors qu’il la pousse vers la scène. Elle peut entendre la foule bruyante. Elle sait qu’elle va être baisée comme jamais elle ne l’a été auparavant. Sa chatte commence à mouiller et son jus commence à couler. C’est comme si son sexe avait sa propre conscience et qu’il voulait toutes ses bites, que le cerveau de Wendy le veuille ou non.

Une musique retentit et le rideau se lève. Tony lui met dans les mains deux godes vibrants géants en forme de bite et il lui dit :

- Utilise ça dans ton cul et ta chatte, salope !

Il la pousse sur scène et elle tombe à la renverse. Une voix crie :

- Lève-toi sale pute ! Et enlève tes putains de vêtements !

Elle obéit, se lève et commence à se déhancher. Elle regarde le public. Il y a tous les pervers et dégénérés qui aiment se branler en regardant ce genre de choses. 

Elle pose les godes et enlève son petit haut. Ses gros seins nus sont accueillis pars des hurlements d’approbation. Elle se tourne et remue son cul en enlevant sa jupe. Elle l’écarte d’un pied et un homme s’en saisit comme souvenir.

- Montre-nous ta chatte ! Crie un sale bâtard.

Elle obéit en se mettant à quatre pattes en en montrant son sexe et son cul au public. Les sifflements et les applaudissements sont presque assourdissants.

Wendy peut voir Tony, hors de la scène, faire des gestes vers les godes. Elle prend l’un d’eux et commence à l’enfoncer dans sa chatte. Elle le fait vibrer à pleine vitesse et s’assoit dessus pour qu’il entre entièrement. Elle remue son bassin et il glisse plus profondément. Elle sent arrivé un orgasme puissant.

A ce moment-là, Tony apparaît sur scène. Il prend l’autre énorme gode, verse du lubrifiant dessus et commence à l’enfoncer dans le trou du cul de Wendy. Celle-ci commence à protester, mais Tony crie :

- Ferme ta gueule !

Impitoyablement il enfonce le gode dans son cul jusqu’à ce qu’il y en ait deux tiers. Le gode est presque aussi gros qu’une canette de coca. Le cul de Wendy est distendu à l’extrême. Et c’est là qu’elle a un orgasme puissant, son corps convulsant comme un épileptique.

- Tu aimes ça, n’est-ce pas ? 

Puis il se lève et crie à la foule :

- Elle est prête pour vous tous maintenant !

Les hommes hurlent leur approbation et commence à se diriger vers la scène. Un agent de sécurité leur fait former deux queues à peu près égales, une au niveau du cul, une au niveau de la tête. Tony établit les règles :

- Par-devant, vous avez droit à une pipe. Par-derrière vous la baiser dans son cul ou sa chatte. Ensuite, soit vous retournez faire la queue, soit vous rentrez chez vous !

Tony retire les deux godes. Wendy regarde les hommes. Elle estime qu’il y a au moins 50 gars par queue. Une première bite est poussée dans sa bouche.

- Suce salope ! Demande son propriétaire.

Une autre bite pénètre son cul. Elle sait que la plupart des gars vont vouloir l’enculer. Mais avec un peu de chance, ils ne mettront pas trop de temps à jouir.

Après quinze minutes, elle n’a réduit les files que de quatre gars. Mike n’arrête pas de lui mettre la caméra sous le nez. Il ne manque pas une minute de l’action.

Une heure passe et elle est couverte de foutre. Certains gars lui demandent d’avaler alors que d’autres veulent voir leur sperme éclabousser son visage. Ses cheveux sont complètement trempés de foutre et ses yeux piquent à cause du sperme que des mecs aiment y faire gicler. Wendy perd le compte du nombre de queues qui ont baisé son cul et sa chatte. Mais elle se dit qu’il y en a au moins vingt qui sont passés. Certains types sont des salauds brutaux et claquent son cul si fort que la douleur manque la faire s’évanouir.

Une autre heure passe et les files d’attente diminuent. Elle n’essaie même plus de compter. Le sperme forme des flaques autour d’elle et sous elle, là où il a coulé de son corps. Incroyablement, elle aime toujours être baisée, être une pute pour tant d’hommes. Ça l’excite et elle est déterminée à finir les deux files. Elle adore ça, mais elle se demande « Comment puis-je aimer ça ? ».

Tony se tourne vers Mike et dit :

- Mec, ça va faire une super vidéo. Cette salope prend la bite comme aucune pute ne l’a jamais fait !

Wendy continue à être baisée pendant plusieurs heures jusqu’à ce qu’il ne reste que huit hommes. Tony leur dit d’entourer Wendy et de se branler sur son visage.

- Quelle belle façon de terminer cette vidéo ! Dit Mike.

Les gars éjaculent sur la femme qui reste là à regarder l’objectif de la caméra. Puis elle sourit et lèche le foutre avec sa langue. Elle l’attrape avec ses doigts et le met goulûment dans sa bouche. Tony et ses amis n’en reviennent pas. 

Il est presque 6 heures du matin et Tony dit :

- Il est temps de rentrer chez toi, sale pute. N’oublie pas que tu dois revenir ce soir ;

Wendy est étonnée de répondre :

- Super, j’espère que les clients seront meilleurs que ce soir.

Tony demande à Sal de l’enrouler dans une couverture afin qu’elle ne salisse pas les sièges de la Mercedes.

Wendy, la femme riche et hautaine devenue une pute bon marché est conduite à quatre pâtés de son luxueux manoir. Le soleil se lève et les rues commencent à être animées, les gens vaquant à leurs occupations quotidiennes. Tony ordonne à Wendy de sortir de la voiture et il lui reprend la couverture. Elle proteste, mais comme d’habitude l’homme lui dit de la fermer. Il lui jette un petit short en jean, dont les fesses ont été découpées. Il ne lui donne pas de haut, mais il lui tend ses clés de maison.

- Mets ce short, salope et rentre chez toi !

Elle enfile le short qui ne cache rien du tout. Ses bras cachant ses seins, elle part. Mike s’est mis à la fenêtre de la voiture et filme son cul alors qu’elle s’éloigne sur le trottoir.

Les gens remarquent cette prostituée presque nue qui marche vite dans leur rue de banlieue chic. Wendy se dit qu’elle est sûrement regardée par des gens qu’elle connaît. « Quel salaud ce Tony ! »  Se dit-elle.

Quand elle arrive près de son manoir, elle remarque que sa Mercedes est garée dans l’allée. 

- Qu’est-ce qu’il veut encore cet enfoiré ? Dit-elle tout haut.

Elle ouvre la porte avec se clés et entre. Elle voit son mari avec les quatre hommes répugnants. « NON » Crie-t-elle dans son esprit.

- Assieds-toi ma chérie, tu es dans un état lamentable ! Dit son mari Arthur.

Elle balbutie des excuses incohérentes sur le fait que Tony l’a enlevée et violée.

- Doucement ma chérie. c’est moi qui aie engagé Tony. Dit son mari.

Wendy est en état de choc. A-t-elle bien entendu ? Son mari a engagé des hommes pour l’enlever, la baser et la transformer en pute .

- Pourquoi ? Demande-t-elle doucement.

- Tu vois, je sais tout de tes coucheries dans mon dos ces cinq dernières années. Tu a cru que j’étais idiot ? Il fallait bien que tu reçoives une leçon. Bien sûr, maintenant je n’ai pas besoin d’une pute dans ma maison alors je me suis arrangé pour que tu quittes le pays ce soir dans mon jet privé.

Wendy le regarde d’un air perplexe.

- Je t’ai vendu comme esclave sexuel à des hommes du Moyen-orient, ma chère. Tu m’as rapporté une belle somme je dois dire. Ta disparition est bien planifiée, je dirais que tu as choisi d’aller vivre en Europe.

En vint-quatre heures, la vie de Wendy a été réduite à néant. Maintenant elle devra servir le reste de ses jours comme une misérable esclave sexuelle d’arabes.

Sa chatte commence à palpiter et son jus commence à couler.

FIN

lundi 13 mai 2024

Ils sont à moi - Ch 01

 Récit de Marphil.

*****

Un couple rencontre un dominant.

En 1996, pour Marie et moi Pierre, un homme Phil va chambouler à jamais notre vie. Nous avions à l’époque 33 ans tous les deux. Je vivais avec Marie depuis 10 ans. Phil avait été le petit ami de vacance de Marie durant ses années de fac quand elle avait 20 ans, cela n’avait duré qu’un été et leur relation était restée platonique. 

En cette année 1996, nous l’avons rencontré par hasard lors d’une soirée entre de vieux amis de fac de Marie, c’est à cette occasion que j’appris leur ancienne petite aventure. Phil sympathisa avec moi et Marie n’y trouva rien à y redire. Leur histoire était une aventure de jeunesse comme il en arrive souvent, et pour elle, il n’y avait aucune raison de ne pas fréquenter cet ex. On s’est échangé nos téléphones et puis le temps a passé.

Un jour, je reçois un appel de Phil pour nous inviter au restaurant, nous avons accepté et la soirée fut agréable, si bien que je l’invitai à boire un verre à la maison après le repas. Nous avons alors développé au cours de la soirée notre amitié. Les jours ont passé, et il est devenu un habitué de la maison, débarquant souvent avec un repas complet, ce qui nous arrangeaient bien Marie et moi car nous travaillions toute la journée. 

Phil était marié et avait deux enfants à l’époque, une fille de 7 ans et un fils de 10 ans, par contre niveau mariage, ce n’était plus ça. Il me parlait souvent de ces problèmes familiaux et avec les mois, il laissait la boisson prendre le dessus lors de nos soirées. Marie et moi voyions bien qu’il était de plus en plus malheureux. Une soirée sans doute trop arrosée, il affirma qu’il aurait dû garder Marie. Elle fut flattée mais sans plus, il est sûr que Marie était bien plus jolie que sa femme paysanne devenue grosse et égrise.

Nous l’épaulions du mieux possible. Les mois passèrent et un soir que Marie était absente, il me confie son désarroi, il ne faisait plus l’amour avec sa femme, ajoutant que c’était insupportable pour lui qui avait besoin d’éjaculer au moins 8 fois par jour de grande quantité de semence, m’expliquant au passage, sans doute sous l’effet de l’alcool, que cela était dû sans doute à son impressionnant sexe que lui avait offert la nature, ce furent ces propres mots. 

Je rigolai un peu, et visiblement bourré, il descendit son pantalon. Effectivement il était bien bâti, malgré son sexe au repos en forme de cône très épais à la base se finissant par un gland très arrondi, je ne pus estimer la longueur qui était très honorable, mais j’étais surtout impressionné par l’épaisseur, à quoi devait-il ressembler en érection ?

Avec de telles caractéristiques, je me demandais si le problème de son couple de ne venait pas de cela. Je ne pus m’empêcher d’imaginer ce qu’aurait été l’enfer de Marie si elle avait poursuivi sa relation, devenue sexuelle avec le temps, avec lui. 

Marie n’a connu sexuellement que moi et moi je n'ai connu qu’elle. Mes dimensions sont bien plus humbles et elle est très étroite. Phil encore plus bourré me dit : 

- Tu ne me la prêterais pas Marie ?

Ma réponse fut qu’il était temps de rentrer dormir. Les jours passèrent.

Phil revint un jour avec un livre sur le libertinage où on parlait de couples qui faisait des choses bizarres. Je vais passer sur cette période qui a duré des semaines et pour vous dire la vérité ni Marie, ni moi n’étions intéressés, mais au vu de la situation de Phil qui se dégradait avec le temps, nous l’écoutions pour lui faire plaisir.

Au bout d’un moment, au fil de ses lectures perverses, son discours a changé. Il était convaincu que la solution à son problème de couple serait de disposer d’une femme ou d’un couple soumis à ses désir sexuels, ainsi il pourrait avoir avec sa famille une vie normale et il ferait subir ses excès sexuels à ce couple. Vous pensez deviner la suite…

En fait, il commença par devenir obsédé par ce problème, il nous racontait comment avec un couple cela pourrait se passer, il avait compris que Marie et moi étions très unis. Mais il était évident pour nous qu’il voulait nous emporter dans sa perversité, nous aurions dû mettre fin à notre relation à ce moment là. Mais nous ne l’avons pas fait. Pourquoi ? Ni Marie, ni moi ne le savons encore aujourd’hui.

Il devenait plus explicite, nous décrivant ce qu'un couple apporterait à son maître, il était parfois très lourd. Ce cirque a duré des mois, nous étions persuadés que cela lui passerait. Et un soir où je faisais l’amour avec Marie, un de ces soirs où on est un peu plus excité que d’autre, on la inclut dans notre fantasme, nous rappelant de ces prétentions sexuels, finalement, une forte jouissance était au rendez vous. Cela nous a troublé. D’autant que les jours suivants le phénomène se répéta. Le temps avait joué en sa faveur, il faisait parti de notre sexualité. On a mis du temps à l’accepter.

Dès lors, les choses ont changé, je ne sais toujours pas s'il avait prévu cela, mais nous nous sommes montré plus dociles, oui, c’est le mot, nous étions plus attentifs à son discours, il a dû le sentir.

Un soir où Marie n’était pas encore là, il s’est lâché : 

- Je veux que vous soyez à moi ! 

J’étais abasourdi, à croire qu’il avait toujours un coup d’avance sur nous. Je ne savais quoi dire. J’étais heureux, surpris, honteux. Je me sentais un peu homosexuel, mais ce n’était pas ça !

Je ne suis d’ailleurs toujours pas homosexuel aujourd’hui, il s’agit de bien d’autre chose dont je reparlerai dans un autre texte. Non, il nous avait conditionné patiemment et il obtenait le fruit de son long travail. Il avait réussi à sublimer le sexe. Alors que c’était son seul but pour lui, il l’avait fait mûrir en nous en un plaisir tiré du plaisir que l’on peut procurer à celui qui vous possède ou vous domine.

Au vu de ma réaction, il n’eut aucune hésitation quand Marie rentra. Figée, il l’entraîna presque de force dans notre chambre fermant la porte. Il n’en sont ressorti que 6 heures plus tard et il quitta notre maison.

Je rejoignis Marie aussitôt, elle était nue sur le lit les yeux fermés, les jambes écartées. Je me couchai à ses côtés. Elle avait l’odeur du mâle. Son corps était humide. Elle était visiblement épuisée d’un nouveau plaisir inconnu. Je la réveillai doucement. Elle se plaignit d’un mal de ventre, ce sexe inconnu énorme l’avait comme à nouveau défloré. Elle sentait une sueur que je ne connaissais pas. Ses tétons avaient été sucés à l’extrême, ils avaient un goût salé que je ne leur connaissais pas. Sa bouche était laiteuse, il y avait autour de ses lèvres de petites plaques blanches séchées acres.

Je devinai tout ce qu’elle avait pu subir. Mais je me surpris à porter ma langue sur son sexe et m’en servant comme d’une cuillère, je remontai jusqu’à sa bouche et je l’embrassai mélangeant nos salives à ce nectar. Elle me dit : 

- Il ne m’a pas demandé mon avis, il s’est servi de moi comme on se sert d’un objet. Son sexe est énorme, il m’a fait mal, il m’a obligée à avaler sa semence, ce que je ne pensais pas possible. Il m’a interdit de me laver avant son retour demain, et mon chéri, tu vas me haïr, mais je suis déjà en manque de lui, je suis une folle, mais je ne l’aime pas, je me sens comme une esclave qui doit obéir, pardonne moi, mon amour,je suis folle !

Nous avons discuté le reste la nuit. Je l’ai rassurée et nous avons trouvé un peu de sommeil.

Le lendemain dès son arrivée, Phil a emporté Marie dans la chambre et cela a duré des heures, malgré son mal de ventre de la veille. Il est également venu avec de la vaseline, j’ai tout de suite compris.

Quand il est parti, je n’ai fais que la cajoler. Il l’avait rassuré en lui expliquant que la douleur de ses orifices ne durerait que quelques semaines, le temps que son petit corps s’adapte au sexe de celui qui devenait notre maître. 

En effet Marie a souffert le temps de l’adaptation de son vagin et de son anus qui était vierge. Elle n’avait pas avalé auparavant de semence, cela la dégoûtait. Mais bien qu’elle ne m’ait pas raconté en détail sa nouvelle éducation sexuelle, j’ai bien vite compris qu’elle n’avait pas trop droit à la parole et que cela lui convenait ainsi. 

Au bout de quelques semaines, son corps et son esprit furent adaptés à son nouvel ôte. Phil avait pris le contrôle sexuel et mental de Marie. Les exigences de Phil étaient énormes et effectivement il éjaculait plus de 8 fois en une journée. C’était anormal pour moi, mais Marie dut satisfaire ses besoins sexuels. Même si nous n’avions pas des relations de type SM heureusement car on n’aurait pas supporté ça, il était très sévère avec elle.

Très vite, mon petit sexe s’est mis à flotter dans le minou de ma chérie, c’était très humiliant, elle finissait par se caresser en pensant à Phil.

Mais après quelques temps, nous avons accepté cette situation qui nous avait été imposée. Mais le pire restait à venir…

A suivre...

samedi 11 mai 2024

Hôtel des rencontres sévères - 2ème partie

  Bande dessinée de Claudio Trinca.

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A suivre...